Alors, danser.
Mina, Carver, Igor et l’homme à la tête de chat, classiques nomades temporels, avaient un sens aigu de l’étiquette. Même nus.
Et les roulés coppa-fromage n’ont plus le même gout, quand tu n’es pas là.
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La caisse des BMX, des centaines de grosses araignées, mortelles. Dans le ventre du voyageur, la peur, et un nid. Mina s’éclate.
Après la guerre, les choses semblaient subtilement différentes. Igor, Mina sentaient le vent du changement. youtu.be/LIVtma0fN7w
En Inde on avait demandé à Igor de frapper une carpe sur la tête afin de déterminer l’ordre de succession d’une famille trop nombreuse.
Qu’on lui coupe la tête.
Emmène moi danser ce soir. www.dailymotion.com/video/x190ywt_bourreia_music
Nos corps meurent, pourrissent, comme les vôtres. Mais nos âmes vivent pour l’éternité. Mina, légitimement, doute.
Dans les prisons de Nantes (air connu).
Et nos amours, préraphaélites. t.co/HO0Mv6QldB
Oran, filles et garçonnes, locales, mènent la danse. Marché noir, poésie numérique, tendresse, musique et hospitalité sont au programme.
Mina, hilare, à Igor, ivre, sous les bombes A : « À cœur brisé rien d’impossible ! »
Il y a une velue araignée sur le mur du réfectoire. C’est la nuit.
Et jaillir à la lumière, vivants, pupilles dilatées, prêts à affronter les démons du midi. Main dans la main.
Devant les miliciens épuisés, Mina contrebande de son mieux, mais le coeur n’y est pas. Plus de dirigeables en hiver.
Jamais de flageolets en avril. Carver possédait plusieurs dictons utiles en cas de conflits armés. Sagesse des ancêtres. En Corée on rigole.
Dans le train, jouer à « Léa, passion forêt domaniale ».
Et les renards nazis.
Oracle, pourquoi as-tu écrit « Le Poids de la sauterelle » ? Que sommes-nous censés apprendre ?
Non encore exempt, même régnant sur eux comme sur des esclaves, du hasard, de la mort et de la mutabilité.
Pierrot Tactile ?
Igor, nu, s’allonge sur le sol. La terre, juste retournée, exhale une douce chaleur contre sa joue, son ventre. Il écoute le murmure, chthonien.
Igor, l’homme à la tête de chat et la Salamandre philosophent devant une tasse de Earl Grey. Urbi et Orbi.
Et le matin.
Petit déjeuner dans les ruines d’Angkor. Igor se délecte de céréales complètes. Mina respecte le bacon. Carver, grasse matinée.
Mina à Igor : « ça commence. »
Mina, fatiguée, reste au lit. instagram.com/p/elFkYuvhtt/
Once again, a masked figure drops an iron token through your letterbox late at night.
Mina, Igor et Carver, en traître, décident de s’embarquer pour la Sicile. On y signale une invasion. Des ours. Fariboles.
Et Igor de s’apercevoir, subitement, de.
On la surnomme la folle aux chats.
Et viennent les jours sombres.
Oh, Jack !
Et Igor de demander l’asile politique à l’homme à la tête de chat. Mina, malade, dessoude du milicien savoyard. Ce soir on rase gratis. Si.
Et dans la chambre, un squelette. t.co/uoT0lCX5k5
Igor, ce Stade de France.
La Police de la Pensée, la Police Temporelle, logeaient sous la Piscine Rouvet. Mina envisage une action de sabotage, il y a trois semaines.
Et l’homme et la bête, solidaires. Supplice du train.
40 !
Carver, Igor, deux bons amis. Mina, l’arlequin. Danser, bondir et repenser à nos années passées, heureuses. Hum.
Mina, Igor et Carver surveillent l’horloge nucléaire coréenne. L’Homme à la Tête de Chat ouvre son abri plombé au public. Années 80.
Carver répondait toujours « autre ».
Mina, Igor, Carver, un peu orphelins. t.co/0lIJ0sKq
Avec Carver c’est souvent : des gars, des os.
Et pour tromper l’ennui. Pour définir les contours. Foutre la zone dans les plans de l’ennemi. Un concert de Queen. Wembley. Moustache.
Et les substances de ronger mes sens.
Dans l’Ahunavaiti Gatha, Zarathoustra accuse en effet certains de ses coreligionnaires d’abuser de la vache. Le Dieu Ahura Mazda demande à Zarathoustra de protéger les bovins.
Mina sursaute. Igor végète. Tout est bien. Les tambours.
Igor demande aux partisans du moindre effort l’autorisation de parler à la foule. Période de fêtes. On rase gratis. La foule démembre l’orateur empoté. Illico.
Joyeux Norouz. Dixit Mina. Ivre.
Au secours, au secours, voilà Monsieur le marquis de Carabas qui se noie !
Igor, de bonne humeur, trouve la journée « fantastique ! ». i.imgur.com/7BOKEHq.gif
Se réveiller avec une sensation de blessure par balle. À la joue. Une coulée, chaude, de sang. Épaisse et noire. Et la mort qui vient.
Carver, Mina, à la pêche au bébé dauphin, depuis la passerelle du dirigeable surarmé, discutent philosophie alien.
Mobilis in mobile.
« Middle night crisis » : l’homme à la tête de chat donne son avis, enfin. Igor, Mina, Carver, rechargent. On va manger froid.
Renard ?
Il t’en faut combien des mecs chelous dans ta vie ?
Explosions variées. Nocturnes.
Et le lapin, de planquer ses œufs, et Mina d’y relier ses détonateurs, et les enfants d’accourir, riants. Explosions. t.co/xVqRayoLtk
Dans les hauts-parleurs, le vol de nuit est annoncé.
Je dors dans le jardin avec les chats. instagram.com/p/d10YadPhh0/
La terrasse de l’hôtel abandonné, surplombant la piscine vide, nos amis contemplent les champignons atomiques. Lointains.
Alors je porte Deux masques. Zéro ambition. Une amie et Trois comparses. Et la nuit du passage. t.co/HoC02C1t
Marie Paule Belle Mondo ?
Oh. Une murène.
Mina, Igor arrivaient en gare de Charlottesville. Max, aux haut-parleurs : « Le voyageur tomba mort, frappé par le pittoresque. »
Les champignons s’élèvent dans le ciel. Nos lunettes nous protègent efficacement des rayonnements aveuglants. Par contre on va vite bronzer. Cool.
Igor, peintre compliqué. Période zoologique, 1977-78. N’a pas percé. instagram.com/p/ctzt7RPhgd/
Mina, Igor et Carver se livrent à l’ennemi. Une énigme pour tous.
50 minutes avant sa mort, on aperçut Igor en train de trafiquer les munitions du peloton d’exécution. Quelques années plus tard, la Sicile.
Si vous avez une itinérance préférée, indiquez-la au chauffeur.
Cherche Midi Suédois.
Je suis le roi du pétrole.
Et il aurait caressé son singe.
Et Mina, de mettre le feu aux poudres. Igor ramasse le penny, en retard. Jetlag.
Mina, Igor, Carver, foutent le feu. Cocktail Molotov sur les manifestants chanteurs. Les cantiques, ça brûle au poil. On rase gratis. Aussi.
Et Heidegger, Chef de la sécurité de Shinra, sera finalement la prochaine cible de Mina, Igor, Carver. Émoi au Secteur 7, tendance taudis.
Sur le kiki.
Pluie acide et radioactive sur Paris. Parapluie en plomb conseillé. Mina, Igor, observent la Seine, luminescente, déborder, noyer les rues.
On fête quelque chose. Vous les entendez, les tambours ?
Attributs du 4e grade (Lion), foudre de Jupiter.
Et l’homme à la tête de chat de se remémorer sa jeunesse folle : « Bal trash-chic à Colombey… » Presque.
C’est un jour, dissection de grenouilles. Et sous la pluie. Les sciences naturelles en folie. Plus ou moins.
Michael : « j’aime bien l’idée que les drogues devraient être réservées aux gens de plus de quarante ans, ce serait plus simple. »
Après la première offensive, la Corée, Igor rencontre un vieux type bizarre qui lui raconte qu’il ne mourra jamais. Vieux comme la colline.
Et nos amis, ignorants, se perdent dans le marécage corrézien. On ne retrouvera personne. Un verre à leur santé. La nuit.
Radio Gaga.
Mina et Igor, victimes de la momie maudite, évitent de trop fréquenter les usines de peinture. Bon moral, pourtant. instagram.com/p/gWdgU_vhp3/
Igor, Carver, en slips, trop petits, attendent la fin du monde. Dans l’ascenseur, Mina, de faction, commence ses mémoires. En chinois.
Mina : « Boum ! »
En arrière plan, le coucher de soleil est magnifique. Au premier plan, la mort est proche. Tirer la langue. Nus.
Et nus, bien sûr, la nuit, forcément. Et la transe, côtoyer les petits dieux, ceux planqués, souriants, derrière les brumes. Et bredouiller.
Explosions variées. C’est l’emballement. Igor numérote ses abattis. Mina pousse ses forces à la limite. Carver bouquine, à poil. Affections.
Carver, l’été, préfère porter la jupe. Mina, affectionne les balles dum-dum. Et Igor, Mina.
We are the champ…
Ce soir les indiens gagnent.
Et Mina de tendre à Igor le miroir. Et Igor d’y apercevoir l’homme à la tête de chat, dans un coin, à l’ombre d’un dirigeable en flamme. Nu.