Igor ne pleurait toujours pas. Mais le vide, le vide n’était pas une petite plaisanterie. On entendait le vent par ses ventricules, béants.
Dosto : Essayez de ne pas penser à un ours polaire, et vous verrez que cette maudite bête vous reviendra à l’esprit chaque minute…
Mina, l’homme à la tête de chat parlent de Chomsky jusqu’aux premières lueurs de l’aube atomique. Dehors les imprudents brulent, nus, seuls.
Hey Lloyd I’m ready to be heartbroken I can’t see further than my own nose at the moment…
Dans le terrain vague à l’arrière de la maison en ruine, Igor trouve un vieux goban miteux, ramasse des cailloux noirs, des blancs, se perd.
Ce que j’aime chez les snipers c’est que pour les déménagements on peut toujours compter sur eux pour porter la machine à laver, bleue, nus.
Mina à Carver : et moi ? je suis représentée par quelle couleur ?
Carver collectionne les éclats d’obus de marque chinoise. Un dans la jambe, un dans le dos. Et aime aussi le smurf, lancer des objets ronds.
I just lost the game. bit.ly/lost_game