Oh ! Bien.
On se servait d’une simple TR-808 pour déminer la plage. Et de puissants amplificateurs. Il fallait aussi fermer les yeux et y croire, fort.
« La violence est le dernier refuge de l’incompétence »
Fais passer…
Et prends garde que le mulet n’ait vent de tes paroles
Cet instant là, de bonheur, la nuit, Mina endormie, juste là, à mes côtés. Dans le placard, de petits bruits, bleus et discrets. Un animal.
Bonne année 2008 et tout et tout…
En quittant cette Cité qui l’avait couvert de langues empâtées et de nuits sans sommeil, il ne pensait jamais y revenir, du moins pour y vivre… cet aimant l’attira cependant de nouveau… qui est à blamer ?
Le boulanger !
Marchand au hasard dans Paris.
Ceci n’est pas un Haïku.
< Noir Désir >
« Si vous ne trouvez plus rien cherchez autre chose. »
[POINTS DE RETRAITE] roman à publier à heures fixes (25 633)
augustine a mal dormi
c’est toujours comme ça quand il y a un changement d’heure
en plus comme hier son arthrose la faisait souffrir
c’est lucienne qui a préparé le diner
garbure et endives, elle l’a fait exprès
augustine digère trés mal la garbure
ça lui donne des gaz
ça explique en partie la mauvaise nuit qu’elle a passé
ça et le changement d’heure
le changement d’heure n’affecte pas tellement lucienne
elle somnole devant télématin
augustine est tentée de mettre la une
ça agacerait lucienne
ça oui ça l’agacerait
trois mois ont passés sans que nulle voile ne couvre mon horizon,
mon ame pleure de ne pas etre auprès de toi,
chère Venise,
tu me manques tellement,
…
« -ça va depuis le temps ? T’as l’air en forme…
– Pfff en forme de quoi , d’abord ? Tu sais skitdi mon angle aigü ?..
– Bon allez je me casse, t’es pas marrant
– C’est ça, à la prochaine. Embrasse-moi j’étouffe. »
Nous sommes dans un jardin. Il y a 3 jeunes filles, la doublure du Général et moi. Il y a aussi une malle énorme, sous un belvédère blanc.
le récitants : de nouveaux amis extrêmes.
Le piment |ultime médicament| ?
Carver et Mina fonçaient sur #Lodz ne se souciant ni des limiers chinois ni de l’incertitude d’Igor. Dans la cale on débutait les parties.
Krrkzt-groa

De tendres containers blindés, des tankers entiers, une corne d’abondance,
téléportés à sépulcro-assassine les synapses en révolution, depuis un arthrobunker sonique.
Pour les renards c’est la grande migration qui commence,
on part vers le sud trouver des jolies filles et de l’herbe plus verte,
ca marche pas toujours mais on a ca dans le sang,
ce grand départ vers l’horizon
vers un ailleurs lointain qu’on espere meilleur.
à bientôt !
Igor et Mina se tenaient au bord du gouffre, un parachute pour deux, les hordes fanatiques en approche. Un regard, le grand plongeon, enfin.
Il n’a pas ramassé beaucoup
le gitan
au blouson usé
et son accordéon branlant
ne sonnait plus que d’un côté
mais
ces chaussures de maquereau
cirées
brillaient comme une cathédrale
je lui aurais bien donné mon cœur
παραδεικνύναι : Jamais plus de deux longues. Une longue, deux courtes, ou trois puis on peut se permettre une autre longue. #chance
Des nouvelles de papy
Bougival – Musée Tourgueniev et Villa Viardot
16, rue Ivan Tourgueniev – Tel : 0145778712
Prosper Mérimée et Ivan Tourgueniev, une amitié littéraire
Lectures – Samedi et dimanche 18 et 19 octobre 2003
à partir de 10h
ou ça.
Et bienvenue tout le monde dans ce merveilleux mardi. Le mardi c’est comme le vélo. Quand on sait faire, on n’oublie pas. Le mardi c’est…
Reminiscence
– …Une descente de lit rouge, avec de longs poils synthétiques pas vraiment agréables au toucher. Un décorum vachement seventies, vachement trop, de grosses fleurs blanches sur fond bleu au mur, et je crois bien une armoire en plastique coloré qu’on zippe et dézippe. Un camion Tonka au pied du lit. L’aspirateur, qui a manifestement interrompu son office monotone.
– Quoi d’autre ?
– Chais pas. Une espèce de grosse peluche, un truc assez haut et trés laid, je crois que ça représentait un chien. C’était fait de la même matière synthétique rouge et rêche, les poils devaient tomber, en plus, parce qu’en plus de la texture je me souviens du goût. J’ai dû en bouffer.
– Quoi d’autre ?
– De longs poils rouges, en tous cas. Un chien, avec de longs poils rouges et rêches, c’était un bâtard mais il avait une certaine gueule. Un van, un vieux tube je veux dire ; les sigèes étaient en longs poils rouges, une sorte de moquette qui s’est laissée aller, ou une moquette baba cool qui se rase plus sous les bras depuis le manifeste des 343, une moquette-larzac, qui sent le mouton, enfin tout un tas de clichés pour une moquette rêche et rouge qui devait salement gratter le dos en été.
– Quoi d’autre ?
– un frigo, un frigo avec de longs poils rouges à l’intérieur, de longs poils rouges et gluants cette fois, je crois pas que c’était rêche, c’était trés gluant, j’ai jamais pigé pourquoi ce frigo était rempli de longs poils rouges et gluants. L’odeur me faisait penser à un singe qui joue au tarot, c’était musqué et rance, un peu moisi – les jeux de cartes je trouve ça moisi – mais c’est surtout la texture qui revient, un truc particulièrement gluant. J’aimais pas ce frigo. La porte se coinçait tout le temps, je flippais de m’y retrouver coincé. J’avais entendu des histoires pas possibles sur des frigos carnivores. A priori un frigo, c’est un gros bloc froid clinique, qui fait office de réservoir high-tech et nous dispense du coup d’enfermer la bouffe dans trois tonnes de sel et un placard, ou de la fumer quelle qu’elle soit. Un frigo c’est le truc le plus rassurant qui soit, a priori, un indice de civilisation, le truc frais que tu adores ouvrir les nuits d’été pour taper une tomate, une bière ou un bout des restes. Le frigo c’est l’essor de la consommation bienveillante des années 50, tu vois tout de suite les gros frigos US avec les pubs kitchissimes qui vont avec – my god, freeze !. Le frigo, c’est la machine de combat grand luxe des années 80, l’embonpoint technologique et les glaçons sur commande, le foyer au sein du foyer, la cheminée à l’envers, le coffre-fort biologique, le garde-manger optimisé, mine de rien. On construit des baraques entières autour du frigo, parfois. Nan, sérieux, je déconne pas. Je suis sûr qu’en Californie, tu as quelques architectes barrés qui ont construit des baraques entières autour du frigo. Le centre névralgique du home sweet home. Qu’est-ce que tu as à foutre d’un home cinéma ou d’un jacuzzi dans la salle de bains si tu n’as nulle part où aller piocher de quoi grailler ? Bref, le frigo c’est le truc le plus familier qui soit. J’ai jamais compris pourquoi ce frigo-là était rempli de longs poils rouges et gluants, avec cette odeur de pourriture. Y en avait sur toutes les parois. Dans le compartiment congélateur, les poils rouges se transformaient en fines stalagtites cristallines et cassantes, mais ça puait toujours autant.
– Y avait quoi dans ce frigo ?
– Je me souviens plus trop. C’est surtout ces poils rouges qui me reviennent. Je crois qu’il était essentiellement vide, enfin la plupart du temps. J’allais pas y foutre le nez tout le temps, parce que je détestais ce frigo, en fait.
– Mmh.

Écrire de pierres anciennes / Igor, Mina, Carver en réunion / l’homme à la tête de chat / magna mater / venus à la fourrure / #nepastwitter
Non mais, sérieusement.
Obscur et froncé comme un oeillet violet
Il respire, humblement tapi parmi la mousse
Humide encor d’amour qui suit la fuite douce
Des Fesses blanches jusqu’au coeur de son ourlet.
Penser au bacon, se motiver, penser aux œufs, se motiver, sortir du lit.
…
Je suis lesbienne…
Mais parfois j’embrasse les garçons.
Coucher, non… Mais parfois embrasser…
Et me serrer, là, tout contre.
Hum…
Mes parents vont-ils me comprendre ?
Hum…
Enfin quoi… C’est pas difficile à comprendre ?
Si…
Ah… Je me disais aussi.
Bises et bon week-end.
…
ありがとう!
« La réalité c’est comme un grand jet d’eau glacée,
tu veux toujours aller vers la source
mais tu peux pas, tu te la reçois en pleine face »
S.J.
Le grand dieu pan par delà le mur du sommeil, un remède contre le cancer. Entropy tango.
Tu as oublié de boire beaucoup d’eau fraiche. En finnois. 50 secondes avant, laisser passer la jambe.
Principe Simulé
Ce qui est est.
Ce qui n’est pas est possible.
Seul ce qui n’est pas est possible.
Il était une fois le Prince Charmeur et la Princesse Trobonne.
(…)
Ils vécurent malheureux et n’eurent jamais d’enfants.
17h17, mardi, Igor décide de laver son corps. Il entre nu dans la douche et se frotte. Un savon parfum bois de santal. Dehors il neige.
Parceque c’était une foirade, une erreur, je le jure, une incartade comme on pourrait dire, j’ai sorti le plus bel attirail,
et mis un costume pas si moche, pour défiler devant les yeux creux des mères de famille : que souhaitez-vous faire ?
« Recommencer. »
« Quoi donc ? »
« Les règles du jeu. »
(Le jeu est en cours d’élaboration, les mères aussi, quoi qu’aux fils, ils peinent à essuyer les fautes de leur pères.)
Parceque c’était une foirade et que mon père était mort, j’avais la possibilité insensée de provoquer les mamans etc.
« Recommencer ? »
Je souhaitais réaliser de biens piteux projets. Recommencer tout à zéro, démontrer qu’en costume, je passe partout : je suis un jeune homme poli qui sait faire table rase d’un passé sombre.
« Vous pensiez qu’il fallait d’abord parader devant les mères ? »
« Bien évidemment. »
Parceque c’était une foirade, je pouvais mélanger les éléments, revenir au point mort : réinventer les rapports.
« Recommencer ? »
Parceque c’était une foirade, j’avais mes alibis. Je choisissais comme je l’ai dit le costume sombre pour être crédible.
Et une valise aussi. Genre : je reviens ou je pars en voyage. Sur la valise, en évidence, le nom des compagnies d’avions de pays exotiques : orient, etc.
« recommencer ? »
« Oui, c’est ça, emmener les mères ailleurs. »
Exclusif. @sumoto_iki et @Troudair décryptent, bicéphales, les secrets du #remaniement, d’#Albanel, de l’#Iran et des infos collantes. #eu09
Depuis quelques jours la Réalité s’obstinait à dépasser allègrement les limites de la fiction, coupant salement la chique du narrateur, nu.
J’ai une grande nouvelle
à vous annoncer…
Je (Born Bad & Bad Girl)
viens de rencontrer
Gü. (…)
Elle va bien.
Elle mange.
Elle nourrit.
Et nous deviendrons des amies !

l’ennui s’accumule et se chosifie
Lors de la première moitié du XXIe siècle,
la littérature européenne affiche certains traits qui relèvent de la notion de
fragmentation telle qu’entretenue par les nouvelles sciences des signes, comme
celles de la médecine et de la mode. Dans cette thèse, nous ramenons ce lien au
tourguenisme. Le tourguenisme entretient une certaine ambivalence face à la
fragmentation: il semble acquiescer à un état de choses auquel il s’oppose. Le
tourgueniste tout comme des sociologues, identifient comme symptôme principal de
l’être fragmentaire l’ennui. Cette réaction prend de l’ampleur à partir de 2004,
quand, pour des raisons en grande partie socio-politiques et économiques, le
tourgueniste se propose comme héros qui se dissocie de l’époque tout en
insistant sur sa propre modernité. Sans prétendre faire le tour de l’horizon du
tourgueniste au XXIe siècle, notre premier chapitre cherche à relever les lieux
publics où s’exprime son ennui. Le salon, le club, le bistrot, la rue sont
autant de théâtres où le nouveau héros tend son miroir au monde, se repliant sur
lui-même, prônant l’irréductibilité de sa manière d’être. Homme des foules, le
tourgueniste se définit par rapport à sa critique de la loi de l’échange. À
travers les trois figures du médecin, du collectionneur, et de la prostituée, le
tourgueniste produit un discours qui fétichise la valeur de l’individu. Chez le
médecin, l’ennui se fétichise en névrose. Chez le collectionneur, esthète du
naturel, l’ennui s’accumule et se chosifie. Chez la prostituée, l’ennui prend un
visage érotique qui résume la spécificité du tourguenisme. Le tourgueniste doit
sa spécificité à son implication dans la mode. La logique de la mode est celle
du fétichisme dont l’analyse, dans cette thèse, se déroule sur deux niveaux: le
niveau hype, impliquant le discours de la pathologie, et le niveau psycho anal
impliquant les procédés du fétichisme. Nous regardons les théories marxiste et
freudienne du fétiche sous cette double perspective, d’une part pour démontrer
leurs affinités avec le tourguenisme et d’autre part pour cerner le
fonctionnement du tourguenisme. Par ces théories, nous verrons comment le
tourguenisme révèle le caractère fétichiste de la masculinité. Si le noyau de
cette thèse se constitue d’analyses de textes littéraires, c’est que certains
artistes littéraires de la fin du XXe siècle contribuent à l’élaboration d’un
champ de réalisation de l’idéal du tourguenisme. Chacun des auteurs dont nous
analysons l’oeuvre constitue une variation sur le thème du fétichisme qui remet
en question l’identité masculine. L’oeuvre du tourgueniste est un cas limite de
la négativité de la notion de castration, le héros y assumant une névrose
féminisante. Chez le tourgueniste, le héros est imprégné de tourguenisme dans la
mesure où il s’approprie le genre féminin sans pour autant renoncer à
l’idéologie du masculin à l’époque victorienne. Enfin, tourguiguy soulève
l’héroïsme romantique au sein de la démarche tourgueniste, la dialectique
incommode entre l’aveu et le désaveu. Le tourguenisme s’avère un foyer important
d’interrogations sur l’identité masculine. Sa logique fétichiste aboutit à
l’aveu que la différence se situe à l’intérieur d’un héros dont l’ennui revêt
tous les symptômes d’un désordre féminin. Si la femme est châtrée, le héros
affiche sur son propre corps la preuve que l’homme l’est également. Son identité
masculine est fondée sur la castration de son moi.
Quand il me dit que je suis le meilleur,
Je me demande pourquoi son coeur bat pour quelqu’un d’autre.
Quand il me dit qu’il ne veut que moi,
Je me demande pourquoi il couche avec mes amis.
Introduction au Conciliabule Celluloïd

« we are all… egyptians, we are all… egyptians » (toodoodoodoo…)
…
Yeux qui pleurent,
fatigue, lassitude..?
Chaud-soleil encore une fois,
dans mon dos.
Ca aide quand il fait si froid en moi,
ma main glisse vers le coupe-papier.
Je le lance vers le mur,
il ricoche,
se loge sous le bureau.
Le bouquetule suspendu au plafond sursaute.
Il frotte ses affreuses petites pattes poilues les unes contre les autres.
Il siffle entre ses mandibules et s’approche de moi.
Je frissonne. Ses 8 yeux me scrutent.
Mes doigts sont douloureux, je pleure,
mes sphincters se relâchent et l’odeur se répand dans la pièce.
Il est au-dessus de moi
et se laisse descendre doucement
enveloppant ma tète de son corps spongieux.
Ses sucs digestifs piquent mon visage,
ça commence.
Je ne sens plus le soleil sur mon dos.
M’endormir… Enfin.
…
Les ambassadeurs se rencontrent régulièrement pour tenter de défricher la situation internationale confuse, ivres. t.co/9ThVSkxw
« Le monde réellement renversé est un flanby périmé qu’on démoule à coup de marteau »
Jean-Yes after Guy Debord
J’habite mon immeuble, logiquement. Je suis célibataire, bon. Je dois donc m’unir physiquement avec d’anciennes créatures venues de la mer ?
Ce matin, j’ai vu ce qu’il y avait sous le masque : des OS et de la CHAIR à vif, des NERFS et le portrait d’un ECORCHE
VIF

J’ai pris connaissance de l’avertissement et je souhaite continuer.
Sur Rowe Island, Mina, Carver, Igor et l’homme à la tête de chat achèvent les préparatifs. On décore les palmiers. t.co/yA2xfh75
« L’homme est un animal, il est né comme ça. Il est pourri dès la naissance. C’est un animal condamné et très subtil à la fois. C’est un vice de naissance. Qu’est ce que l’histoire ? La démonstration de l’inhumanité de l’homme. Quelque chose d’impur, de méprisable. Je crois que c’est sans remède. »
Je ne suis qu’un animal
passe ton chemin,
retourne dans le monde des hommes,
oublie-moi
et pars sans te retourner
ne me regarde pas pleurer
Ceci n’est pas un texte à lire
Ceci est un texte à imaginer
Fferme les yeux et compte jusqu’à dix
En pensant à une chose trés douce.
Au top tu fermes les yeux et tu comptes sur tes doigts
Pour ne pas troubler ta douce pensée
A dix, tu ouvres les yeux et tu continues à ne pas lire.
Top !
Bon, c’est bien, tu commences à devenir Tourgueniste.
De nouveau, ferme les yeux et compte jusqu’à dix
En pensant à une personne que tu aimes.
A dix, tu ouvres les yeux et tu continues à ne pas lire.
Top !
Bien, tu progresses.
Tu peux refaire cela autant de fois que nécessaire
Mais n’oublie pas d’ouvrir les yeux à la fin
Et de ne pas lire ce texte.
Top !
J’ai neuf mois et demi de retard sur mes règles.
piluïïïïïïïïïïtt
Joe-Baskets-Tranquilles et puis la vie, Joe-Baskets-Tranquilles et puis rien le vasistas déchaussé en bas de chez lui et le chien qui crie et tout pour oublier l’accent, Joe-Baskets-Tranquilles est un eux dans l’eau, Joe-Baskets-Tranquilles n’aime pourtant pas les jeux de mots, bon pour les ramassis d’estropiés, Joe-Baskets-Tranquilles l’a croisé ce soir et il a dit bonsoir pour la deuxième fois, gêné. Joe-Baskets-Tranquilles chemine cheminée Gitanes dans les rues tout s’aplatit les prospectus ta mère et ma sœur les gargouillis des passants énucléés, l’église l’arc dans le ciel le Kippour la Seine les bassins de chauves les toilettes publics Joe-Baskets-Tranquilles ne sait pas si c’est masculin, et puis la fièvre, et puis le chemin très long jusqu’à autre chose que Joe-Baskets-Tranquilles. On l’a toujours appelé comme ça, il s’en est sorti en approuvant, en étant ailleurs, en n’étant pas là. Joe-Baskets-Tranquilles, son métier c’est de ramasser les papillons sur les chemins c’est à peu près tout. C’est un peu compliqué alors c’est pour ça qu’il s’habille en blanc, ça les attire et des fois il a plein d’amis. On dit amis, mais en vérité c’est un peu naïf. Ce ne sont que des papillons. Mais Joe-Baskets-Tranquilles il fait partie de ces gens-là. Moi-aussi.
Le monde se termine, un mardi, en plus, c’est complètement stupide comme phrase. Un jeudi, pourquoi pas, la fin de l’univers, mais un mardi.
Carver, en pleine phase j’aime la nature, je dors avec mon totem, etc, se demandait bien pourquoi il devrait faire bénir son vélo avant noël. Simple bon sens.
我测试软肋澳大利亚黑手党不坏
Ok, on danse. Dubstep.
Voyez vous-même.
Le pitch

En 1938, dans le midi de la France. Un vieux comédien ruiné,
autrefois célèbre, entre dans une maison de retraite
réservée aux nécessiteux du spectacle.
Son arrivée fait éclater passions et rancunes.
si tu sais de quoi je parle
il faut que ça cesse.
mes ongles dans ton dos et nos conversations secrètes.
tes jupes retroussées et ton sourire mutin.
nos doigts qui se cherchent et se déchirent.
lundi, il ne restait plus qu’une dose
et je me suis mise à te hair, baby.
je suis ta pire ennemie et je suis à tes trousses.
Cendrillon et la signification m’échappent.
je suis à ton service. passe moi les Curly.
j’aime ce gout d’arachide sur ta queue.


























