A
Seul bâtiment intact de l’antique cité une fromagerie du quartier Nord. Sa rénovation était en œuvre au moment de la guerre des champignons.
Tu l’as dit Bouffi!
la nuit on est tous des…
/paint%20(dessins%20pas%20seulement%20par%20moi,%20des%20fois%20faits%20%E0%20plusieurs)/zombi%20kid%20(color).gif)
et des fois le jour aussi!
Le genre de lundi dont on cherche l’entrée.
Being blOg
Thinking blOg
Waking up blOg
Playing game blOg
Artistic working blOg
Et puis quoi encore ! (…)
Reste en paix Jean Rollin. Les deux vampires sont orphelines une fois de plus.
petite lucie aime à se promener dans les rues
toute la semaine
le lundi elle se promène
le mardi elle se promène
le mercredi elle se promène
le jeudi elle se promène
le vendredi elle se promène
le samedi idem
et le dimanche elle flotte dans le canal
petite lucie ne se promène plus
glouglou
Parole vaine du héros.
#52
Tentation de dépassement que l’impatience encourage à
se réaliser ; un grand coup de pied au maigre édifice,
une insouciance scandaleuse dans l’entrée aux portes du nouveau ;
c’est la clef d’une phrase différente ; mais je suis encore au même niveau ;
l’illusion d’avoir traversé des épreuves tombe, le pétrin
s’ouvre aux éternelles souffrances, je radote, je recommence.
Ce soir, Igor carbure à la garbure.

sous les arcades
il regardait la bouteille
avec une compassion infinie
comme si elle eût été
un enfant fievreux
S’il fallait trouver un motif, une forme récurrente, ça pourrait, ça serait sans doute, un objet gris métal, structure ellipsoïdale… #htc
Surprenant d’être sur un pont au-dessus de l’eau. Le courant est si fort qu’on se croirait emporté; vers le trou (la gorge du diable)/. En rentrant à l’hôtel on s’aperçoit que plein de petits bouts de plantes se sont collés à nos chaussures. On pleure; d’émotion. Regarde-moi dans les yeux, c’est la dernière fois que je te vois.
Demain on recommencera la litanie; tu te souviens? On est sur le pont au-dessus de l’eau, c’est aussi nul que de regarder les étoiles allongés dans l’herbe. J’ai envie, de me tourner sur le côté pour t’enlacer. Mais c’est plus difficile qu’en images (toi, à enlacer, comment faire, comment passer mon bras sous ton dos, entre l’herbe et toi). Sur le côté, l’air se remplit de vibrations violentes, que je ne sens même plus. Je ne peux pas me touner.
regarde moi bien —je suis new yorkaise /// tes yeux océans /// mes ongles d’or
Note n°37 (aux urgences) : ne pas tenter de sucer un noyau d’avocat comme on le fait avec une cerise.
Un rêve très spectaculaire portant sur la lutte entre le bien et le mal, puis je prenais le métro avec @Monsieur_Poulpe et @salomettte .
To ℱℴℓℓℴω or not to ℱℴℓℓℴω ?
Interlude, dansé.
10-10 Possible Crime (prowler, suspicious person/vehicle, shots fired, etc.)
Les fanfares de la victoire de Wagram retentissaient encore au cœur de la monarchie autrichienne.
Le maugréant : My god, moi aussi…
« De : Albert et soeurs,
Monaco, principauté de Monaco
Avec le plus grand respect, j’implore votre compréhension de cette proposition. Je suis Albert le fils de défunt prince Rainier III, l’ancien souverain de la principale de Monaco, qui a été blessé par la chaleur de la crise politique ici dans mon pays, la principale de Monaco. Alors, quelques jours après, avant qu’il soit mort dans l’hôpital, il nous a remis tous les documents relatifs aux douze millions cinq cent mille dollars ($12.500.000) à la banque comme entrepreneur, bénéficiaire de ladite principale. Nous savons obtenu vos coordonnées dans notre recherche et nous souhaitont vous proposer ces affaires dans une confiance stricte.
C’est pourquoi toute la confidentialité est obligatoire dans cette histoire.
En effet, je sollicite votre aide pour le transfert télégraphique de cette somme, six millions de dollars des Etats-Unis ($ 12.500.000) de l’Amérique en vue d’investissement privé à but éducatif dans votre pays. Le douze millions cinq cent mille dollars($ 12.500.000) supplémentaires ont été déposés dans un compte de dépôt fixe par notre défunt père et ont été déclarés au nom de son associé étranger outre-mer off-shore pour des raisons de sécurité.
Dans votre intérêt de m’aider dans cette transaction pour l’affaire, j’exige de vous, une réponse réussie de sorte que je vous envoie les coordonnées de la banque où cet argent est déposé. Ainsi vous pourrez les instruire sur le transfert des $12.5 millions de dollars jusque dans votre compte bancaire. Au terme de cette transaction, nous vous offrirons 20% du montant total, et le reste (80%) nous sera livré quand nous arriverons dans votre pays. Aussi dans cette transaction êtes-vous requis de la traiter avec la confiance la plus stricte.
Merci en prévision de votre reconnaissance de cette lettre.
Dieu vous bénisse.
Albert et soeurs. »
Je passe une heure à nettoyer une lunette de visée, un pinceau, un stylo argenté et un ukulele en bois de cerisier du Japon. Soupirs lents.

je ne sais pas ce qu’ils faisaient au coin de la rue
ils avaient l’air d’attendre un taxi
mais ne faisaient aucun signe
…
L’intertextualité est le mouvement par lequel un texte récrit un autre texte, et l’intertexte l’ensemble des textes qu’une oeuvre répercute.
c’est sexy, extatique, crazy, excentrique, animal, romantique, c’est communiste… tinyurl.com/muj4fh
![]() |
||
|
![]() |
|
![]() |
![]() |
|
|
On va manger un horrible oiseau demain. Les lumières (les fleurs) sont belles, clignotent et les tables sino-nippones sourient, drôles. Au bout du monde tu passes pour moi des disques d’Amour. Dehors, il fait tout blanc, enfin. Tes mots me gardent à l’abri du vent. J’écoute Daho. |
||
Paris, bords de seine. Les miliciens passent les arbres au lance flamme. L’odeur est très musquée.
Don’t blink.
Hier on m’a offert un pingouin télécommandé, c’est plutôt rigolo, il avance encore moins droit que moi quand je suis alcoolisé. #linux #soft
Igor, sur le sable luminescent, sous un soleil mortel, repensait aux décisions égoïstes, financières, masculines qui menaient à ce moment.
Si on ne peut plus lancer un ballon de foot par la fenêtre à 5h du matin sans blesser un joueur de cricket nu, je me demande où va le monde.
Les gens pensent que je suis parti en vacances cet été, mais en fait j’étais perdu dans les égouts.
Dehors la musique est tonitruante et les basses, volcaniques, font exploser les trop petits animaux. Carver enfile ses jeans neufs et des lunettes d’aviateur. Ses pupilles sont déjà immenses, lacs sans fond, quand il bondit hors du bunker. On va voir ce qu’on va voir. Fuck. Yeah.
oh mon amour, mon coeur est lourd
je compte les heures je compte les jours
je voudrais te dessiner dans un desert
le desert de mon coeur
oh mon amour, je passe mon tour
j’ai déserté les alentours
je te quitte, voilà c’est tout.
extrait de « desert », émilie simon.
l:l:µn<
l:l:µn<
DÉPARTS
Commençant à écrire, j’exigeais d’une phrase qu’elle se soulève au-dessus de moi pour me conduire vers l’inconnu. Aujourd’hui, la raison d’écrire renverse rapport et je tiens à remonter à l’origine de cette phrase, recherchant son essence. N’ayant jamais encore trouvé cette origine, je doute avoir commencé un travail. (Peut-être ai-je anticipé en brûlant des étapes.)
Cet exercice quotidien m’échappe. S’agit-il d’un entraînement ?( Si oui, en vue de quoi ?) Représente-t-il une fin ? Ces questions m’inquiètent. Comme si ce travail était menacé par une désignation, son titre par exemple. Je préfère lutter contre lui en m’adaptant à son anarchie. Anticiper sur sa fin est un risque. Relire ce qui précède, une souffrance. Allons de l’avant, les plûmes.
PLUS TARD
(Savoir une fois pour toutes poser la question. Poser une question. Tandis que le projet avance, les mauvaises images s’écartent, les souvenirs poreux restent sur le bas-côté.)
Une journée. Je suis dedans, complètement englué en elle. On trouve que c’est mieux que rien.
La journée que je passe, assis dans un transat précaire, totalement sous le soleil. Il y a de l’eau prés de moi. Des livres aussi.
J’ai le courage de tourner la tête pour voir le gros immeuble jaune ou rouge, où des vieux finissent leurs vies. Je commence quoi ? A me tarir. J’ai extrêmement chaud. (Le fantasme : courir vers ma propre histoire. La suggérer, la conduire, instamment.)
Mais bronzer, c’est pas mal aussi.
( Une pulsion de parole commune. Comme les jeunes qu’on interview à la télévision. On demande : comment entrevoir son avenir ? Je réponds : dans le sud de l’esprit. Là où les pensées sont chaudement exposées au danger.)
Le danger est pour l’instant invisible. Quoi que je risque de gêner mes voisins. Je peux gueuler, exiger que les enfants, dans la petite cour de mon immeuble restent dans l’ombre de leur misérables appartements.
Une jeune fille l’a dit, aigri. Elle était tellement moche, tellement peu crédible. Sa laideur recouvrait chacune de ses phrases.
( Tandis que la beauté sauve la bêtise de certaines salopes.)
Les mots sont jetés brutalement. ( On pense enfin devenir un produit de son intelligence. On est rebuté par de longs exposés.)
Rien à voir : ici : soleil et désœuvrement. Aucune force pour raconter comment les objets qui transpirent contribuent à me rendre inutile mais si heureux de prendre des couleurs.
le soleil brûlait presque sa peau. elle rentrait à l’ombre, dehorsl’odeur du pastis, les cris des enfants dans des piscines.
en voiture, elle ouvrait la fenêtre, l’air était tiède, le vent dans les abres, c’était joli. le soleil en face qui ferme les yeux. les oiseaux silencieux. des bouffées de parfums de fleurs. frotter ses mollets l’un contre l’autre, soulever la jupe pour avoir un peu d’air.
lire le soir, quand ça se rafraîchit. marcher pieds nus.
au même moment penser à ceux que le même soleil éclaire, tous ceux autour qu’on oublie au soleil. aujourd’hui c’est impossible d’oublier, et j’espere bien que je n’oublierai plus jamais.
Il a bon dos ton téléphone.
Ce soir j’ai causé longtemps avec mon ange gardien
enfin causé longtemps…
il m’a dit : «j’en avais vraiment marre de ta gueule petit con
j’ai baisé ta meuf, sniffé ta coke et je suis allé me faire
la tournée des casinos avec ton pognon.
Des années que je te vois profiter sans rien faire.
Tu aurais du voir la gueule de mon auréole
au petit matin…»
Au fond de ma poche j’ai retrouvé deux cartes de visite :
le Dr Glück, « laboratoire identitaire et formation en secrétariat »
et le Pressing Tourgueniev, « vos chemises commme celles
de Jean Yes en une nuit ».
Sûrement des clients du casino…
Et quel futur ?
Pour les petits durs.
Et quel futur ?
Entre quatre murs.
Et quelle société ?
Pour les enragés.
Et quelle société ?
#béru
… Blogger ta mère !
Pardonnez tant de vulgarité mais … putain de bordel à culs ! tant de tracas pour retrouver un login recouvert de poussière et se voir refoulé par le rutilant nouveau Blogger qui tue sa race qui veut vous faire migrer, c’est contrariant.
Je voulais juste dire, Igor, il manque un bouton « écrire » dans le bouton à gauche : c’est fatiguant de taper blogger.com.
(ok j’aurais pu le faire en privé)
Ah il est tout en bas ?
Bon et alors ?!
Nan j’ai rien à ajouter !
Merde.
Bonne Chandeleur
(en plus y a même pas mon nom infalsifiable, pfff)
foutu
pour foutu
autant
se défoncer
la gueule
en attendant
son heure
même si
ça la fait
arriver
plus vite
Ce jeudi est le plus mortifère des événements du XXIème siècle. On pourrait compter les idées obscures, anciennes et lourdes suantes nues.
Debout sur la frontière, Igor, hésite une dernière fois, se retourne pour ses larmes cacher, puis, souriant, fait un pas en avant, extase.
« Maintenant ? » — « Urgences » — « Une traversée ? » — »Périples, cache-cache avec le temps. » Tout ça bien sûr en guise de masque. Nous traversons la rue, et ceux qui vous regardent, je les félicite : ils ont bon goût. Un peu bruyante tout de même madame. « Nous allons rendre visite au jour. » Nous sommes enfin arrivés dans l’autre époque. Pages tournées, ambitions modifiées, énergies décuplées. La ville avait enfin de quoi nous divertir. La nuit nous dormirons si possible à la campagne. Et la journée — vacances. Urgence de trouver un pas juste, une cadence pour marcher ensemble ; je ne le dirai pas cinq cent fois : vous me suivez, ou vous disparaissez.
fou ouille ouille
Depuis 16 jours fou ouille ouille hardos.
Cascades de fictions abracadabrantesques.
Impossible d’établir le contact, territoire hostile aux perturbations.
Une interdiction, une incompréhension.
Me semble-t-il.
Solutions imaginées par dizaine (2 en fait) mais leurs radicalités frôleraient encore l’excès, la précipitation, une ambiance atmoterroriste dirait Pet Slo car les métaphores climatiques sont nombreuses dans ces dossiers amoureux. Un coup de foudre basé sur deux regards qu’il faut garder en tête depuis 16 jours car il n’y a rien d’autre à faire pour l’instant. Probabilité d’une éclaircie, incertaine.
Réfugié en haut du Taipei101 concentré sur le texte l’attente n’en est pas moins longue mais différée a-temporalisée et en cela même sûrement trop magnifiée. Voilà ce que cela coûte un manque de concentration de quelques heures par mois.

Emporté par un vent inattendu mais espéré depuis si longtemps que sa venue ne surprend personne je pense prendre possession du Taipei101 avec mon équipe d’intervention n°1, trop c’est trop, on le sait tous, il faut y aller, allons-y. Nous n’étions plus si jeune, voire cramés pour certains, dépressifs au possible, emportés dans les affres de l’hyperspécialisation mais une promo en classe Evergreen à 420 euros l’aller simple nous a décidé en quelques minutes et c’est avec joie et empressement que nous retournons sur terre définitivement en nous rendant au Taipei101 pour en prendre possession dans l’imposture la plus totale. Vive l’art global. Le terminal 8 de l’aéroport de Roissy est étrangement occupé pendant quelques jours par quelques 828 chtarbés ayant décidés, d’un coup d’un seul, tous ensemble tous ensemble, que trop c’était trop. Passagers hors normes a-normalisant les quelques « classe moyenne » perdus en notre mi-temps nous forçons les hôtesses de Eva Air à nous passer l’intégrale de Kenneth Anger plutôt que la dernière production Buena Vista à danser sur le dernier Vincent Epplay à nous ouvrir la cabine des pilotes pour des moments un peu plus fun. Makoto Yoshihara déploie ses boucles noisy stéréophoniques au milieu du pilote et co-pilote pour un set apprécié de tous quelque part au dessus de la chaîne Himalayienne. Parfait. L’atterrissage se déroule dans une ambiance religieuse car conscient, enfin, de la mise en action de la mise en action.
Nous exigeons, non sans mal, l’arrivée d’autres taxis pour absorber notre flux afin de quitter l’aéroport en meute. Tous les jours quelques cent cinquante totos en arrivance. Nous déferlons sur la ville dans nos taxis jaunes, matraquons au numérique, noircissons quelques pages de carnets, alignons les signes sur nos pads. Préparation. Attention nous sommes au top, nous venons prendre possession des lieux, pas singer nos attitudes habituelles. C’est pour de vrai cette fois-ci. Mittler zwischen Hirn und Händer mus das Herz sein !
Cela commence probablement par quelque chose d’inattendu, une situation qui n’a plus lieu d’être une situation pour laquelle des milliards de compétences s’auto-coordonnent à ce qu’elle n’ait pas lieu, mais qui cette fois-ci à bien lieu. Nous étions plus ou moins jeunes et peu larges d’épaules, normal, mais l’efficacité allait être au rendez-vous, ponctuelle. En l’espérant, en l’attendant patiemment nous la nommions Bug, Phase 2, voire même Prise de conscience, nous restions sur nos gardes tout en sachant que la période ne se prêtait pas à l’attaque, juste sauver les meubles, les meubles ultra fonctionnels dépérissant aux yeux de tous mais pourtant bien là, frais et dispo, des outils qui trépignent d’impatience d’être réutilisées dans la bonne concordance. A l’unissons. ET puis le déclic, la fenêtre d’ouverture, l’état de grâce, le moment in, l’explosion, la symbiose, le flash, la grosse grosse montée compossible qui s’actualise, surréaliste certes dans son apparition mais terriblement réaliste si soudainement.
Nous savons au milieu de quoi nous tenterons de poser nos exigences a-normales. Un contexte positionné sur un forme proche du tryptique (la nouvelle course au capitalisme vertical mise en place depuis quelques années et s’accélérant très fortement, la résistance de Taiwan au nouveau « chef » du capitalisme : la Chine, la tentative de création à Taiwan d’un capitalisme innovant, écologique et social —quel programme !—). Dans cette trinité conceptuelle les totos artistes exigeant s’invitent comme jamais à la table des dynamiques symboliques en action. Nous nous invitons sans problème, d’un coup, inattendus, surgissant, déferlant, imprévisibles tant la rétention fut contenu sur quelques siècles déjà ou finalement tant de totos pensaient quand même à un déroulement des affaires du monde beaucoup plus fluide. :)))))
Pas de fioritures, pas de comédies esthétiques, pas de looking désespérément néo-nihiliste ni rétro-kitsch branchouille, juste nous, comme cela, à un moment donné, sans le gel ou les accessoires inutiles de la fiction mode. Biens, beaux, belles, formidables. Entre eutopie et putsch.
A
An
Bon
Boom
Comme
Bonne
Bonne m
Bonne ou
Bonne oui
Bonne nuit
Bonne nuit m
Bonne nuit on
Bonne nuit non
Bonne nuit mon
Bonne nuit mon à
Bonne nuit mon an
Bonne nuit mon ami
Bonne nuit mon amie
Bonne nuit mon ange
Je veux me réveiller de cette interminable insomnie.
Bonjour dr,
voici les resultats
(joie d’une porte ouverte)
L’enquête continue. t.co/pkM5pQ0b
Mala vida – Soleil
La Mano avait tout compris au traumatisme hivernal…
Nuit productive ? Trop froid pour dormir… -4 au compteur
Bugs

I got bugs
I got bugs in my room
Bugs in my bed
Bugs in my ears
Their eggs in my head
Bugs in my pockets
Bugs in my shoes
Bugs in the way
I feel
about you
Bugs on my window
Trying to get in
They don’t go nowhere
Waiting, waiting…


Bugs on my ceiling
Crowded the floor
Standing, sitting, kneeling…
A few block the door
And now the question’s:
Do I kill them? Become their friend?
Do I eat them? Raw or well done?
Do I trick them?
I don’t think they’re that dumb
Do I join them?
Looks like that’s the one


I got bugs on my skin
Tickle my nausea
I let it happen again
They’re always takin’ over
I see they surround me, I see…
See them deciding my fate
Oh, that which was once…was once up to me…
Now it’s too late
I got bugs in my room…one on one
That’s when I had a chance
I’ll just stop now
I’ll become naked and with the…
I’ll become one
















ce soir je dois…
aller à un vernissage de purée de pois cassés marins,
passer voir mes surfeurs au ventilateur,
travailler pendant une marée minimum,
aller en boite avec des dockers marseillais déjantés.
maman, serre moi fort contre toi,
j’ai trop peur
et j’ai trop froid !
nous allons ecrire sans accent
mais quoi
pendant quatre ans j ai fait 3 fois 36 photos par semaine
je n y crois plus
je vous regarderai en face sans accent sans voile sans fiction sans mot
nous ecrivons plus facilement que prevu sans accent
nous sommes tres heureux
nous vivons plus facilement que prevu sans photographie
Je suis Dany Dan.
Regarde-moi bien dans les yeux.
Je vais compter jusqu’à trois et tu vas t’endormir.
UN.
Tu respires profondément …

La nuit, d’accord, mais le sommeil ?
J’ai envie de bouffer une petite étudiante.
|
l’ogre est à Paris, la créature a un an, rien ne bouge et poivrons verts.
|
Les choses deux fois.
Parole vaine du héros.
Je n’accepte pas ma faiblesse ; celle de mon corps,
et j’éprouve plus que personne mes limites, et
je devine qu’il peut se passer quelque chose,
mais l’effort qui doit m’y mener me navre ;
la lacheté, ce n’est pas la mienne ; c’est la
fatigue du monde — son usure —qui est responsable ;
quelque chose du dehors me menace, et perturbe
le sens d’un devoir naturel : celui d’etre l`,
davantage que les autres.
私は、霧の中で午前
Akim se montrait, avec l’aide de mina, un excellent chasseur de parasites. On ne s’en sortait pas vraiment, de cette panade grise.
Et ne se tenir que d’une phalange. Brisée. Ici on mange correctement. Nos dents sont fidèles, sensibles, matinales. Salutations.






























