Et Igor de se déguiser souvent en homme à la tête de chat. Sans succès.
Et en route pour la joie.
Poser quelques mines anti dauphins et licornes autour du lit. Et reposer, enfin. Dehors, les choses se passent, mal. La Nuit.
Mina, Igor, ne se lassaient pas de compromettre la sécurité du pays en promulguant lois et décrets stupides. t.co/zFvOUVEN
Triple looping avec final en cœur.
Mina à Igor : « un diamant est éternel ». Igor : « l’inspecteur Derrick est super doux ». Carver : « je veux du canard ». Bavardage. Chevals.
Hipsters everywhere.
Je cherche cette amie du regard. Les passants sont trop rapides. Je les distingue à peine en contrebas. Cette amie. t.co/0klN8dIq
Par la fenêtre, une dystopie, uchronique, cyclopéenne, de toute beauté. Dirigeables, Grand Amour désespéré, guérilla urbaine pour nos héros.
Mina est une merveilleuse cavalière. Igor un piètre alpiniste. Carver reste au chalet.
C’est bon sa mère. #canard #saucisson
Convenez que c’est étrange : t.co/xIO5FBBd
Ils sont pas tous fondus à la même taille. C’est assez peu pratique, pour faire du deltaplane, du jokari ou compter sur ses doigts.
Sérieusement, cette soirée estivale a un sérieux parfum d’apocalypse. On rase gratis, pour fêter ça.
Comment expliquer. Je porte le badge blanc. Et je danse jusqu’à vieillir la nuit.
Et un double saut carpé.
Où suis je ?
Sans pouces, c’est relou.
Si notre danse est satisfaisante. Si et seulement si.
Je laisse les ados se droguer sous le canapé du salon et je retourne dormir un moment. Ils sont souriants et silencieux. Optimistes. Aussi.
Et, sur la cheville gauche de Mina, un grand dragon aquatique. Igor se penche pour mieux l’examiner : « Année du Dragon, ça va secouer ». Oui.
Et ne se tenir que d’une phalange. Brisée. Ici on mange correctement. Nos dents sont fidèles, sensibles, matinales. Salutations.
Je pense que c’est encore la nuit. Si vous pouviez tous arrêter de jacasser ainsi au fond de mon crâne et retourner vous coucher. Merci.
Une sorcière étant plus légère que l’eau, si elle flotte, elle est repêchée et brûlée vive. Si elle se noie, elle est innocente. Ouf.
Il me reste douze cartouches et, autour de l’hôtel de ville, les miliciens festoient, en bons voisins. Personne dans le no man’s land.
Je ne pense pas. Non.
Mais sourire aux lèvres.
Mina est, on peut le dire à présent, une ancienne du Katanga. Igor n’aime pas trop aborder le sujet. Non, ça ne rigole pas chez les loulous.
Mes doigts dans l’acide. J’ai comme une sensation de grande douleur. Je vais acheter un poney pour Mina. Ou un dragon. Fondus les doigts.
Je ne cherche pas à risquer ma vie pour. Mais je ne sais pas si je peux risquer. Ça n’est pas à moi. La fenêtre est ouverte. Béante. Saute.
Igor, indisposé, à Mina, integratrice web : « les onglets ont débarqué. »
Étranges pérégrinations humides.
Un jeu du type pelote basque qui se pratique avec un équipement composé d’une balle en caoutchouc attachée à un socle par un élastique.
Dehors. Tous. Dehors.
Un moyen de savoir si une femme est une sorcière consiste à la jeter nue à l’eau, mains et pieds attachés ensemble pour l’empêcher de nager.
Un bon site web ça ne remplace pas la bonne vieille campagne de pub à base de néons géants sur un terrible dirigeable atomique supersonique.
Je me sens légèrement zoomé et panoramique ce matin.
Igor à Mina : « je vais t’embrasser, ne me frappe pas. » – t.co/XwA4qUgV
Trampoline.
Et la neige. Et la nuit.
Okan est seul. Au musée. Il me cherche des yeux. Nous devons sortir. Dans sa main un de nos tracts séditieux. t.co/DG9MDjyM
Et la basse. Et nos yeux empathiques. Entropie et tango.
Ok, on danse. Dubstep.
Et le arroser la terrasse au lance-flamme, sourire à la vie, le cœur explosant. Sens propre. Je ne manque de rien. Ah si, de roquettes.