Il neige encore, je vais sortir déblayer l’allée, si je ne reviens pas, prévenez les maitres chiens. Genre dans 15 minutes. J’ai une pelle.
je prédis un grand retour de « je connaissais la même avec un rabbin »
Pit pat pit le tigre dans le salon pit pat le tigre dans le bureau pit pat le tigre.
Everybody spread the word, We’re gonna have a celebration, Une armée de gamins qui brûle les magasins, 5000 chimpanzés dynamitent le zoo.
Mina, Igor et Carver surveillent l’horloge nucléaire coréenne. L’Homme à la Tête de Chat ouvre son abri plombé au public. Années 80.
Messagerie « 666 » Free: le 17/02 à 18:06, ce correspondant a appelé 1 fois sur votre mobile sans laisser de message
On a décoré nos masques à gaz avec de petites étoiles phosphorescentes. On parfume le bunker à la sauge, à la myrrhe. Dehors, tout est mort.
Igor et Carver passaient tous les soirs manger une currywurst et boire des Kölsch chez UDO. La milice n’en savait rien. bit.ly/udobar
Un type de plus de deux mètres. Un soldat borgne. Il installe un néon au plafond. Il a posé son arme dans le cendrier en inox.
Mina : « Fermez bien les yeux, ça brûle. »
La tête me tourne, je zieute alentour, hésite, la vallée ou le campement des hooligans mutants ? Les cyclopes font un excellent vin naturel.
Si le décalage horaire ne me tue pas, c’est l’esprit de noël qui aura ma peau.
La nuit, fonction, je porte les gants à dépecer. On mange froid. Techniquement on peut se fier à @lrntrlln et l’âme on la donne à @troudair.
Rien à ajouter.
C’est ce qu’on voit dans les westerns. Je peux t’assurer que si un Indien appelait une femme « squaw » (= putain), on lui faisait son affaire.
Et cette nuit tellement longue, et savoir que je vais te retrouver, à l’aube. Insomnie. Forcément.
Les jours sont comptés. Les jours sont. Les jours. Les.
Instinct de survie.
Mina : « J’aime mon bo loulou pour ses hanches gracieuses, pour son doctorat en neuroscience appliquée aux armes de guerre innovantes ».
Mina mangeait abondamment et souvent mais les arts martiaux pratiqués depuis l’enfance ne laissaient rien dépasser sous ses abdos d’ado.
Ce soir @udobar : RADQOHSKI MAY 2011 TOUR – bit.ly/jYi3xt – mysp.ac/jAVSfJ – bit.ly/iWi54e – C’était la classe. Merci !
Toutes les villes devraient avoir un chat qui les guide.
Carver : « je vais te crever raclure ». Mina : « pas très original ». Igor : « mais ça peut marcher, non ? ». Soudain, Il pleut des grenouilles.
Il me reste douze cartouches et, autour de l’hôtel de ville, les miliciens festoient, en bons voisins. Personne dans le no man’s land.
Carver, Mina communiquaient souvent en japonais. Les serbes ne le comprenaient pas : l’hermétisme élégant était l’un des buts à atteindre.
Et en ce jeudi matin glacé, se blottir dans les bras de ses amis, les laisser se blottir en retour. Enfin l’aube ?
Igor se coupe les ongles. Mina valide la prestation de Carver en livreuse de baisers express. On rase gratis en Corée du Nord. No reason.
Non.
Une seule idée, une grande idée, comme une lumière, chaude, à se transmettre, dans le cou.
En 1950, Sri Aurobindo a quitté son corps. Quelqu’un l’a-t-il retrouvé depuis ? Les cagoulards depuis les anciennes carrières fomentent.
Dans la malle il y a un tigre. Les filles sont vierges et friandes de commérages. La doublure est un échalas noir en costume d’explorateur.
Jeudi Prochain : « croître pour croître est la philosophie du cancer ».
Bon les cocos, la maison brule et les enfants sont à la cave. Sauvons les chats et les livres numériques, on peut toujours refaire des…
El próximo parabelo es bien el lago del demonio ?
#hop
Oh mais j’y pense !
Tu peux pas test’ : les derniers mots du chaton puceau en flamme dévoré par un dauphin zombie en mal d’amour amiante. #grenelle2 #chicplanet
Et dans le ciel, les dirigeables noirs, la neige.
Igor sentait son cœur à nouveau prêt à être volé, brisé et piétiné. A vos marques mesdames (et autres) ! t.co/bsTS4m06
Oui c’est TOI l’inconnue qui vient hanter mes nuits. T’occupant des serveurs d’une boutique de manga et bossant ensuite pour l’armée.
Barbelith.
Je passe une heure à nettoyer une lunette de visée, un pinceau, un stylo argenté et un ukulele en bois de cerisier du Japon. Soupirs lents.
Holiday, Celebrate et vive et vive le feu. Holiday, Celebrate et vive et vive le feu. Holiday, Celebrate et vive et vive le feu. Oh yeah !
brume comme une forme vague / ça ne me porte pas vraiment / couler pierre ronde noire / coup de dés et abolir le hasard / blablabla #milice
Well it’s been a long time, long time now since I’ve seen you smile.
Autour de la maison, les flammes, autour, se maquillent nettes et fluides, les bêtes sont chtoniennes, avides et floues. #hum
Il y a une petite fille fantôme dans le miroir du salon. Celui en forme de cercueil. Elle regrette son enfance, sa poupée, perdus.
Sur ses bottines rouges en peau de serpent on pouvait lire : « GRAF ZEPPELIN » en lettres d’or.
Mina, lasse, assise dans la douche exiguë, se laisse aller à la nostalgie. L’eau, pas très chaude, déborde tranquillement. Dehors, il neige.
Magic in hotel rooms. Here’s to the blank badge. And to everything around it that makes it seem blank. No more then. No more now. To chaos.
En sommeil.
Encore de la vodka pour Igor, ses idées folles. Mais un mojito ne serait pas refusé. Même avec un jour de retard. Poser nu devant un fusil.
#hop
Eurêka.
En campagne, les agneaux sont petits, boiteux, ou pas. On brule les anciens au napalm. Mamie Collette n’aime pas ça, le feu. Barbecue. #cdm
Et Mina, triomphante, petit déjeune sur les ruines. Avec l’Antéchrist, avec une tête de chat. On rase gratis à la fin du monde. Vrai.
Igor au serbes sélénites : je pense que les dirigeables chinois ne vont pas rester plus longtemps au dessus de la zone franche. #mars
En route pour la baule, chloe et igor écoutent prince buster chanter la folie. La milice est discrète.
Oran, filles et garçonnes, locales, mènent la danse. Marché noir, poésie numérique, tendresse, musique et hospitalité sont au programme.
Oh un cochon !
Enfin tu vois, quoi.
Il fait si froid contre le chauffage.
❤ Ìgör †öµrgµêñïêv & lê§ mïlï¢ïêñ§ §êrßê§ jöµêñ† lå möñ†rê ☠
La nuit³.
Carver, au réveil, couvert de paillettes et de sang neuf : « mais qui voudrait être banquier quand on peut être poète ? ».
Trampoline.
Couche-toi près de moi, bariolée, nous avons du temps de reste pour retourner à la bergerie. #ns
Ontologie granulaire : t.co/IrKWlFu7
Je vais, me couchant, tendrement penser le futur, ou plus durablement, panser le passé. t.co/ZjfVko1H
Samedi matin. Se débarrasser de la corde de guitare. Planifier nos prochaines actions avec grâce. Mina somnole. Igor craque le code. Apogée.
Se replier vers les catacombes.
Et on laisse des messages sur Internet parce que le téléphone fait un peu de lumière. Artificielle. Et un peu de réseau ça rrrassure. Poc.
Je me sens #bouc émissaire au centre du #pentacle. #666 #satan #panda
Mauve hotel on a lonely highway (aire connue).
Parfois, une aura précède la crise. L’aura est une sensation qui varie d’une personne à l’autre.
Je n’ai pas vu les peintures éruptives des corps cendrés, embrasés par les danses guerrières – Corilen Apirana
Le petit barman, chauve et torse nu, se faisait appeler Igor. Il bondissait, derrière le comptoir, couvert de mousse, complètement hilare.
Notre minuscule stand de reproduction d’objets. La petite imprimante surchauffe. La refroidir à la Vodka. Extruder un petit dragon. Suspens.
Les choses changent.
Les ruines de la cité antique, 1000 soldats inertes rêvent de pluies glacées, de cavernes accueillantes. Mina aiguise sa baïonnette. Brume.
Igor : quitte à être une légende, autant être une légende vivante. Mina : je vais te crever, ordure.
On s’attable, on étale les cartes, on range les munitions dans le cellier. Un peu tout ça dans le désordre. Mina aiguise son poignard.
Avis aux raconteurs d’histoires, à deux : t.co/KrMMGV7M
Sur le kiki.
Non à la soumission par voie de légumes ! #cdd
En modifiant l’angle que fait mon oreille gauche avec le sol je peux capter France Info, merci l’abduction isotherme velue. #wurst @udobar
Igor, Carver, en slips, trop petits, attendent la fin du monde. Dans l’ascenseur, Mina, de faction, commence ses mémoires. En chinois.
Vecteur diffus de pouvoir spirituel ou d’efficacité symbolique supposé habiter certains objets et personnes…
Joyeux Norouz. Dixit Mina. Ivre.
Mina et Igor bloquent la porte de l’abri avec une chaise tordue. Dehors, Carver change de disque, se tourne vers la lumière et sourit. Ivre.
La cafétéria bondée, les brumes du sommeil, un thé tiède, le débat mortel du matin qui agite déjà l’abri 813 : la peste ou l’alcool de rat ?
Et un simple piquet de bois, marqué de l’infamant Y, indiquait, sans gloire, la sépulture du dernier des mâles humain. t.co/OtsTCqzA
« I can teach you the secret of enlightenment…or I can teach you how to fly a jet plane. »
Mina aimait les paysages proposés par les simulations des Enfants du Cube Z-Entropie. Tom Chaton et ses potes en animation saccadée. Noyés.
On sortait la mappemonde, la maquette de dirigeable, les bouquins sur les armes et les revues de mercenaires et on triangulait naïvement.
La couleur tombée du ciel. tweetphoto.com/35094522
Internet est un endroit étrange. Ne surfez jamais seul.
ありがとう!
Igor sous la couette écoute le cycle séchage de la machine à laver en préparant un plan diabolique pour sauver le monde et ses alentours.
On trouve de petits morceaux d’étoiles, vifs, au bord du canal, les soirs pluvieux. Organiser une battue. 1000 chats. Igor, parfois la nuit.