La nuit, fonction, je porte les gants à dépecer. On mange froid. Techniquement on peut se fier à @lrntrlln et l’âme on la donne à @troudair.
Et nos amis, nos amours, sont ils morts, oubliés ou seulement pliés en morceaux égaux coulés dans une dalle du sous-sol, nos amants si doux.
Igor jouait à un étrange jeu d’anniversaire manuel avec le louche Mazkärat à l’@udobar… bit.ly/bHQxq / bit.ly/udosanz
Le ninja du biriani a encore frappé.
Je vais te crever petite croulante sous-alimentée. Mes mains sur tes cuisses de pizza aux ongles. La lune ça pèse un carabin saoul. #hum
Encore quelques minutes. Je vais sauter. Le portable le plus FIN DU MONDE. Quelques secondes. Odeurs corporelles. Très étroit. Seize. Enfin.
Les mains sur les yeux, faire mine de ne pas remarquer cette étrange créature qui ne se nourrit que de la couleur rouge des objets éparts.
Mina, en larmes, sur la jetée.
Ne l’oublions pas : www.dailymotion.com/video/xqyq4
Poser quelques mines anti dauphins et licornes autour du lit. Et reposer, enfin. Dehors, les choses se passent, mal. La Nuit.
Pourquoi il n’y a aucun canard ?
Igor était maintenant là : twitter.com/#!/dactylo/flash-cocotte . Promotion sociale. Mina portait une culotte en peau de tigre.
Pandemic wicked little town, invisibility is not an option. ♫ blip.fm/~59xgq
Et, oui, j’aime, les, virgules.
Juste avant l’aube, les sirènes. On commençait à s’y habituer. La bonne heure pour nourrir les félins, aveugles. Puis, un thé, vert et fumé.
A la fois artisan et commerçant, le métier de charcutier traiteur est l’affaire de professionnels qualifiés. #xfactor
La hutte est en papier et les chausses sont numériques.
La nuit. Hum.
Ca colle à la peau ce truc. mais en même temps, c’est plutôt sensuel, un peu comme les touches douces de ce drôle de clavier blanc.
Mais quand je vois mon Stallone me sourire avec ses dents blanches sur fond caramel, j’ai envie de connaître le secret de la Caramilk. #hum
El cazador de la bruja ?
C’est la nuit.
Grosse agitation autour du métro Crimée. Vivres et munitions commencent à manquer. Les milices tiennent le Monoprix et le Castorama. Misère.
Enfin tu vois quoi.
Fly me to the moon…
Journée du patrimoine. Exterminate ! plixi.com/p/46018039
Mina proclame son indépendance. Carver tourne de l’oeil. Igor, dans sa cellule, fait du vélo. Sur les murs : un œil, une date, c’est tout.
Biches biches !
Il pleut tellement de trucs noirs, gluants, radioactifs que même les miliciens siciliens abandonnent les boulodromes aux alsaciens ivres.
J’ouvre un Red Bull. #apocalypse
Ce soir là, Howard Philip : « Le rêve de Seekonk – raz-de-marée – foudre du ciel – exode depuis Providence – la chute du dôme du Congrès. »
Ô Mélibée, un Dieu nous a donné cette oisiveté.
Nous remontons à la surface avec nos combinaisons intégrales. Carver est en larmes, Mina serre les poings, je pousse la dernière trappe. Nous sortons du bunker. Dehors le ciel est violet, la pluie noire, les bâtiments relativement intacts. Nous sommes les derniers zombies. Enfin.
R.I.P. : Paul Gillon – bit.ly/iOgoba
Carver dit : « c’est une radio de quelqu’un qui a gobé une bute… » t.co/OATyMxX61g
Et un hommage à un vieux copain fidèle : t.co/7BOMrwr
Les personnes réelles sont faciles à reconnaître. Elles clignotent.
Le saucisson à l’ail tue. t.co/g4UNlUlh
Je t’€{45* !
Je suis la météo et je suis un personnage de fiction.
Carver, en pleine phase j’aime la nature, je dors avec mon totem, etc, se demandait bien pourquoi il devrait faire bénir son vélo avant noël. Simple bon sens.
Pas le manteau lyonnais.
Stig à Igor : « Ni le saut du cabri ni le lever du soleil ne sont des performances. »
Samedi 3h36 et la neige radioactive tombe toujours sur Paris. Dans le ciel, les ballons. Les yeux du Patriarche. Rouler tellement trop vite.
Il pleut sur Barcelone. Nos amis nous déposent en banlieue. On mange de vieux tapas. Les bombardiers nous harcèlent. On danse, pourtant.
La galatrace galarienne est plutôt vénère.
Igor et Carver, bord de mer, polluée, métaux lourds et poissons morts. Coucher de soleil sur champignon atomique. S’enlacer pour oublier.
Les eaux du golfe de Naples étaient en permanence surveillées par l’incessant ballet des dirigeables argentins libertaires. On nage en paix.
Igor, Carver, enlacés, déchiffrent les indications gribouillées sur les boîtes de haricots chiliens trouvées lors de l’ouverture du tombeau.
Mina, Carver et l’homme à la tête de chat célèbrent, sobrement, l’anniversaire du renégat, Igor. Le jeune funèbre sera rompu à l’aube.
Eldfjöll eru mjög ánægðir að drekka verðandi. Þú getur einnig brim á efni hraun rennur slétt.
I lament the abandoned
terraces, their shattered
waters, silent ears
of stone and light…
bit.ly/cPycId
Je vais me servir de tes bras pour me réchauffer. Dès qu’ils seront décongelés. Mina sait jouer au go et parler japonais, aime les fusils.
Sur les flancs du dirigeable des terroristes, une maxime : « Jubilation matriarcale contre castration patriarcale ! »
La Chine l’autre pays du fromage.
Et il lui donne une pomme.
Dans les flammes de l’enfer.
La chaussette bleu du pistolero espagnol, le cheval, les bois, Londres. Mama, i feel the same. Nimp. Maman moi. Reine de la danse. #ns
Mina est Carver est Igor est l’homme à la tête de chat est Mina, personnages de fiction. Un dirigeable dans le ciel est signe d’utopie. #htc
Henry Lee Lucas : « j’ai un problème sexuel, je désire sans cesse les femmes ».
Et la lumière.
Messagerie « 666 » Free: le 17/02 à 18:06, ce correspondant a appelé 1 fois sur votre mobile sans laisser de message
Igor, du ska, à l’@udobar, on sautille doucement / viscères iridescents en gelée / prendre du bon temps / sofa soufi à Sophia. #hell
L’actif Romantique.
Nous repartîmes à toute volée. J’eus le temps de percevoir le tonnerre des légions qui acclamaient leur chef…, puis tout s’évanouit…
L’Homme à la tête de chat dans le panier n’attendait qu’un signe de sa maitresse pour éventrer le petit monstre hurleur du train vers Paris.
Je peux entendre les pensées de mon chat, pas les comprendre. Trois kilos de croquettes au poulet ou de la philo, je ne sais. #lucide #bis
Le crâne du zouave, le Corbusier et Mina. Sauve tes fesses, Una. Au cricket, les serbes restaient toujours parfaitement fair-play. #bim #bam
Hier on m’a offert un pingouin télécommandé, c’est plutôt rigolo, il avance encore moins droit que moi quand je suis alcoolisé. #linux #soft
Le matin.
Pourquoi je dors jamais ?
Igor croise le festiblog. nostalgie. On passe en phase 3.
J’aime être ici. J’aime tout ce… chaos, et cette douleur.
Glitter !
Je peux tout entendre. Je peux tout dire. Je possède un objet de nature extraterrestre greffé entre les deux sections de mon thalamus. #zen
Et il aurait caressé son singe.
Allongés sur le toit du bunker, nos amis se réchauffent au soleil, se sourient, se blottissent très tendrement. Leurs combinaisons protectrices sont un peu encombrantes et épaisses mais offrent une protection d’au moins sept minutes. Quel luxe. Autour d’eux, un monde de cendres.
La guerre est finie. On a perdu. Mina pleure.
Il faut que je digère le sanglier, cette nuit au bord du lac, les éclairs déchiraient la nuit. Dans l’aquarium tactile. (tribute to Didier)
L’homme à la tête de chat lave sa gamelle dans la salle de bain du 3ème étage. Du coin de l’oeil, son Kobo, le Trône de Fer : hécatombe.
Enfin tu vois, quoi.
Hey, I just met you,
And this is crazy,
But here’s my number,
So call me, maybe ?
L’Académie / le tigre / la malle / les jardins / le Général / la photo / le costume d’explorateur / 3 pucelles / la doublure / le belvédère.
Absorbé conformément au mode d’emploi, Ubik procure un sommeil ininterrompu garanti sans torpeur matinale.
Reprise des activités tourguenistes, recherches d’auteurs, relire les #archives, le meilleur c’est toujours avant, ou avec #toi, baby. #mini
Allongés dans l’herbe rase, brûlée, on se frôle, souriants, nos doigts lumineux s’enlacent, se crochent, nos peaux irradiées se collent.
Dans la Conurb, grand retour des Panthères Modernes, du Front de Libération de la Réalité. Ambiance toujours pourrie. Cannibalisme.
Des fois même avant.
Il y a une autoroute subspatiale passant par ma tête où tu skates allègrement, l’envie me prend de commander un bon bouquin, numérique.
Bon, Electrelane, fin du passé. J’ai des couteaux couteux. J’ai aussi une pelle. Je veux dire.
La maison nous aimait tellement. Nos amis ne juraient que par ses miracles. Et puis un jour ils furent dans la cave. Sous la terre. Enfin.
Killing yourself is not the answer.
Et on danse.
Vérole !
50% poulet. 50% sélénite. 50% nocturne, tendance lave vitre.
Chercher l’état de gnose à quatre pattes dans les herbes.
Laisse le foma diriger ta vie. Il te fait brave et heureux, il te rend bien portant et heureux.
8h56 my dear. Sortir dans les voitures, oui. Une boisson frelatée, un os pour vieux chauves en même et. (p’tain j’adore !)
La finale du cent mètres, les concurrents, étranges, se bousculent sur la ligne jaune. Le juge lève son pistolet. Frisson dans les tribunes.
Dimanche : je suis une asperge confite.