Les rites mystérieux que les enfants observent les nuits d’été me paraissent à présent d’une effarante simplicité.
Ses seins de Bakélite. Tu délires. C’est du quartz.
Et Igor de s’apercevoir, subitement, de.
Igor, Carver, en slips, trop petits, attendent la fin du monde. Dans l’ascenseur, Mina, de faction, commence ses mémoires. En chinois.
Mobilis in mobile.
Et l’enchaînement des nuits, entrecoupées de virgules ensoleillées. Et nos sourires, nos mains, soudées. Et toujours la transe.
Alors, danser.
Carver, à bicyclette.
Igor : « … conclusions et affirma que les accusés avaient le plein contrôle de leurs facultés mentales… »
Petit déjeuner dans les ruines d’Angkor. Igor se délecte de céréales complètes. Mina respecte le bacon. Carver, grasse matinée.
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Tranquillou le ronron !?
Mina, Igor, Carver, foutent le feu. Cocktail Molotov sur les manifestants chanteurs. Les cantiques, ça brûle au poil. On rase gratis. Aussi.
Pluie de cendres. Bunker palace hôtel. Igor, souterrain, imagine le pire. Dimanche de fête sous la couette.
Mina, hilare, à Igor, ivre, sous les bombes A : « À cœur brisé rien d’impossible ! »
Carver, il y a quelque chose dans votre dos. A Pompéi, tournez à gauche.
Mina se fait tatouer un abraxas sur la clavicule de Salomon. Igor, le crash du Hindenburg sur la cuisse de Jupiter.
L’aporie nous guette ! L’aporie nous guette ! Ohé ohé ! L’aporie nous guette ! L’aporie nous guette ! Ohé ohé ! (air connu)
Carver dit : « c’est une radio de quelqu’un qui a gobé une bute… » t.co/OATyMxX61g
Igor, en larmes, à Mina : « je te jure, des putains d’araignées géantes, en oxyde de cuivre ou un truc comme ça, et mes mains comme de petits paquebots ».
Parfois on a besoin d’un peu d’aide. www.youtube.com/watch?v=YHGfSBr2FrY&list=SPaR-PbNOgKigIenqcjje31iHJudY3Thu_
Et nos amours, préraphaélites. t.co/HO0Mv6QldB
Radio Gaga.
Mina : « Fermez bien les yeux, ça brûle. »
Et Igor de s’interroger. t.co/jdel5DAAsA
Mina plonge.
Se réveiller avec une sensation de blessure par balle. À la joue. Une coulée, chaude, de sang. Épaisse et noire. Et la mort qui vient.
Si vous avez une itinérance préférée, indiquez-la au chauffeur.
Explosions variées. Nocturnes.
Mina à Igor : « FAMILIER –Qui est belle, en parlant d’une femme.
FAMILIER –Qui a des rondeurs. »
Mina, Igor et Carver surveillent l’horloge nucléaire coréenne. L’Homme à la Tête de Chat ouvre son abri plombé au public. Années 80.
Et il aurait caressé son singe.
Je suis le roi du pétrole.
Saudade.
Et cette nuit, le cheval pâle.
Carver, l’été, préfère porter la jupe. Mina, affectionne les balles dum-dum. Et Igor, Mina.
Et les substances de ronger mes sens.
Igor, ce Stade de France.
La Police de la Pensée, la Police Temporelle, logeaient sous la Piscine Rouvet. Mina envisage une action de sabotage, il y a trois semaines.
Et l’homme et la bête, solidaires. Supplice du train.
Le dernier mot dièse de Carver : #keur.
Après la guerre, les choses semblaient subtilement différentes. Igor, Mina sentaient le vent du changement. youtu.be/LIVtma0fN7w
Mina à Igor : « ça commence. »
Mina, Igor et Carver se livrent à l’ennemi. Une énigme pour tous.
Thomas éthylique.
Pendant tout le début du conflit, les enfants sont restés dans les ruines de l’hôtel. Le plus souvent dans la piscine. À jouer aux cadavres. Nus.
Et les renards nazis.
Et nos trois amis de souhaiter, en cœur, au Docteur, un bon anniversaire.
C’est un jour, dissection de grenouilles. Et sous la pluie. Les sciences naturelles en folie. Plus ou moins.
Il y a une velue araignée sur le mur du réfectoire. C’est la nuit.
Après la première offensive, la Corée, Igor rencontre un vieux type bizarre qui lui raconte qu’il ne mourra jamais. Vieux comme la colline.
Marie Paule Belle Mondo ?
Mina, Igor et Carver ouvrent les hostilités. On rase gratis. L’homme à la tête de chat énerve les miliciens eunuques. Explosions variées.
Si c’est trop cher dis moi et je sors.
Carver, en pleine phase j’aime la nature, je dors avec mon totem, etc, se demandait bien pourquoi il devrait faire bénir son vélo avant noël. Simple bon sens.
Renard ?
Mina, Carver, Igor et l’homme à la tête de chat, classiques nomades temporels, avaient un sens aigu de l’étiquette. Même nus.
On la surnomme la folle aux chats.
Carver, Igor, deux bons amis. Mina, l’arlequin. Danser, bondir et repenser à nos années passées, heureuses. Hum.
Pluie acide et radioactive sur Paris. Parapluie en plomb conseillé. Mina, Igor, observent la Seine, luminescente, déborder, noyer les rues.
Un moyen incroyable !
Et l’homme à la tête de chat, coincé dans un arbre, attend les pompiers. Carver affute sa tronçonneuse. Mina bastonne Igor, nu et hilare.
40 !
Michael : « j’aime bien l’idée que les drogues devraient être réservées aux gens de plus de quarante ans, ce serait plus simple. »
Carver aux miliciens : « Nos troupes sont en déroute, ne restent que villageois populistes et histrions nihilistes ». Les témoins se marrent.
Igor, l’homme à la tête de chat et la Salamandre philosophent devant une tasse de Earl Grey. Urbi et Orbi.
La caisse des BMX, des centaines de grosses araignées, mortelles. Dans le ventre du voyageur, la peur, et un nid. Mina s’éclate.
Cherche Midi Suédois.
En Inde on avait demandé à Igor de frapper une carpe sur la tête afin de déterminer l’ordre de succession d’une famille trop nombreuse.
Igor, sous la pluie.
Dans l’Ahunavaiti Gatha, Zarathoustra accuse en effet certains de ses coreligionnaires d’abuser de la vache. Le Dieu Ahura Mazda demande à Zarathoustra de protéger les bovins.
Ce soir les indiens gagnent.
Carver, Mina, à la pêche au bébé dauphin, depuis la passerelle du dirigeable surarmé, discutent philosophie alien.
Alors je porte Deux masques. Zéro ambition. Une amie et Trois comparses. Et la nuit du passage. t.co/HoC02C1t
On fête quelque chose. Vous les entendez, les tambours ?
Au milieu des débris du cockpit, une unique pépite. Ses bras crochetés autour de la jeune galaxie encore inerte. Mina dort encore.
Taxi. Paris. La nuit. Les bombardements. Les dirigeables noirs dans le ciel. Avec Mina on refait le monde. Nus. Carver décide de ne pas. Nu.
Sortir dans la nuit. Marcher dans l’herbe humide. Cette nuit là. Parler aux animaux. Un couteau glissé contre la hanche.
Cheval.
Et dans le ciel, les dirigeables noirs, la neige.
Igor, au volant de sa Dodge Veg-O-Matic neuve, ne se souciait vraiment pas du code de la route. A l’arrière, Poison, Cordelette, ivres, nus.
Jamais de flageolets en avril. Carver possédait plusieurs dictons utiles en cas de conflits armés. Sagesse des ancêtres. En Corée on rigole.
Et Mina de briser le miroir.
We are the champ…
Difficile début. Fracassé par l’épilepsie. Acheter les médicaments en catastrophe. Attendre que ça fasse effet le cerveau en marmelade.
Joyeux Norouz. Dixit Mina. Ivre.
Et le matin.
Et les roulés coppa-fromage n’ont plus le même gout, quand tu n’es pas là.
Emmène moi danser ce soir. www.dailymotion.com/video/x190ywt_bourreia_music
On s’attable, on étale les cartes, on range les munitions dans le cellier. Un peu tout ça dans le désordre. Mina aiguise son poignard.
Igor, de bonne humeur, trouve la journée « fantastique ! ». i.imgur.com/7BOKEHq.gif
50 minutes avant sa mort, on aperçut Igor en train de trafiquer les munitions du peloton d’exécution. Quelques années plus tard, la Sicile.
Les champignons s’élèvent dans le ciel. Nos lunettes nous protègent efficacement des rayonnements aveuglants. Par contre on va vite bronzer. Cool.
Oui, 50 minutes, avant. Et pourtant, son corps en morceaux. Et Mina, en larmes. Carver, hilare, creuse une fosse. Alors, qui, en Sicile, plus tard ?
Et Igor de demander l’asile politique à l’homme à la tête de chat. Mina, malade, dessoude du milicien savoyard. Ce soir on rase gratis. Si.
Mina : « Boum ! »
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Avec Carver c’est souvent : des gars, des os.
Et Mina et Igor de lancer du riz. Et Carver d’essayer de choper le bouquet. Félicitations.
Et jaillir à la lumière, vivants, pupilles dilatées, prêts à affronter les démons du midi. Main dans la main.