Allons au bois Dame Lombarde, allons au bois, nous trouverons le serpent vert, nous le tuerons.
Et le lapin, de planquer ses œufs, et Mina d’y relier ses détonateurs, et les enfants d’accourir, riants. Explosions. t.co/xVqRayoLtk
Oracle, pourquoi as-tu écrit « Le Poids de la sauterelle » ? Que sommes-nous censés apprendre ?
Carver, l’été, préfère porter la jupe. Mina, affectionne les balles dum-dum. Et Igor, Mina.
Et Mina et Igor de lancer du riz. Et Carver d’essayer de choper le bouquet. Félicitations.
Mina et Igor, victimes de la momie maudite, évitent de trop fréquenter les usines de peinture. Bon moral, pourtant. instagram.com/p/gWdgU_vhp3/
Et dans le coffre de l’Aston Martin, le corps démembré de Giant Coocoo. Mina accélère.
Saudade.
Et viennent les jours sombres.
Et nos amours, préraphaélites. t.co/HO0Mv6QldB
Et dans la chambre, un squelette. t.co/uoT0lCX5k5
Carver, il y a quelque chose dans votre dos. A Pompéi, tournez à gauche.
La terrasse de l’hôtel abandonné, surplombant la piscine vide, nos amis contemplent les champignons atomiques. Lointains.
Carver, à bicyclette.
Et, derrière Igor et Mina, ligotés face au peloton d’exécution, on pouvait apercevoir Bill Murray jouant à lance gerbilles avec Carver. Nus.
La caisse des BMX, des centaines de grosses araignées, mortelles. Dans le ventre du voyageur, la peur, et un nid. Mina s’éclate.
Mobilis in mobile.
Et nous boirons, à l’Amour, aux amis, aux mathématiques et à la Nuit. Nos âmes à l’unisson.
Le dernier mot dièse de Carver : #keur.
Mardi, Mina lève le voile. Igor ignore le danger. Carver, explicitement, est homme et femme. Dehors, il pleut.
Mina : « Boum ! »
Cheval.
Se réveiller avec une sensation de blessure par balle. À la joue. Une coulée, chaude, de sang. Épaisse et noire. Et la mort qui vient.
Joyeux Norouz. Dixit Mina. Ivre.
Pendant tout le début du conflit, les enfants sont restés dans les ruines de l’hôtel. Le plus souvent dans la piscine. À jouer aux cadavres. Nus.
Alors, danser.
Et Igor de s’interroger. t.co/jdel5DAAsA
Et Heidegger, Chef de la sécurité de Shinra, sera finalement la prochaine cible de Mina, Igor, Carver. Émoi au Secteur 7, tendance taudis.
Et Mina de briser le miroir.
Dans les prisons de Nantes (air connu).
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Et Mina de LUI coller une balle dans la tête. Mercy killin’. Carver, salopette, préfère les attentes, le vélo, 40 ans d’amour. Ruines. Nus.
Igor, de bonne humeur, trouve la journée « fantastique ! ». i.imgur.com/7BOKEHq.gif
Les rites mystérieux que les enfants observent les nuits d’été me paraissent à présent d’une effarante simplicité.
Dans le train, jouer à « Léa, passion forêt domaniale ».
Igor, ce Stade de France.
Il y a 10 ans, déjà, la Maison. Réminiscences. tourgueniev.com/2003/08/03
Stig à Igor : « Ni le saut du cabri ni le lever du soleil ne sont des performances. »
Si vous avez une itinérance préférée, indiquez-la au chauffeur.
Devant les miliciens épuisés, Mina contrebande de son mieux, mais le coeur n’y est pas. Plus de dirigeables en hiver.
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Ses seins de Bakélite. Tu délires. C’est du quartz.
On la surnomme la folle aux chats.
Mina à Igor : « ça commence. »
Et pour tromper l’ennui. Pour définir les contours. Foutre la zone dans les plans de l’ennemi. Un concert de Queen. Wembley. Moustache.
Igor yeux soucoupes absinthe à la rescousse de tracer cercle protecteur shaman psalmodier hermétique spasmodique épilepsie tralala.
Mina, Igor et Carver, en traître, décident de s’embarquer pour la Sicile. On y signale une invasion. Des ours. Fariboles.
Mina, hilare, à Igor, ivre, sous les bombes A : « À cœur brisé rien d’impossible ! »
Salutation au soleil. Igor, Mina, Carver, bord du canal, regards complices. Rentrer enfin. Affamés. Dans les collines, le grand incendie.
Thomas éthylique.
Carver dit : « c’est une radio de quelqu’un qui a gobé une bute… » t.co/OATyMxX61g
Sanglante matinée à Vierzon. Le Gros Roger ne visitera plus ses amis en fin de semaine. Mina s’irrite.
Radio Gaga.
Et une image après l’autre, Ray tire sa révérence.
Petit déjeuner dans les ruines d’Angkor. Igor se délecte de céréales complètes. Mina respecte le bacon. Carver, grasse matinée.
Parfois on a besoin d’un peu d’aide. www.youtube.com/watch?v=YHGfSBr2FrY&list=SPaR-PbNOgKigIenqcjje31iHJudY3Thu_
Carver et l’homme à la tête de chat se retrouvent, en situation inconfortable. Plus de vodka dans le mini bar. Ni de croquettes. Aïe.
Mina, Carver, Igor et l’homme à la tête de chat, classiques nomades temporels, avaient un sens aigu de l’étiquette. Même nus.
Sortir dans la nuit. Marcher dans l’herbe humide. Cette nuit là. Parler aux animaux. Un couteau glissé contre la hanche.
Après la guerre, les choses semblaient subtilement différentes. Igor, Mina sentaient le vent du changement. youtu.be/LIVtma0fN7w
Et derrière la porte, un mur.
Marie Paule Belle Mondo ?
Nos corps meurent, pourrissent, comme les vôtres. Mais nos âmes vivent pour l’éternité. Mina, légitimement, doute.
Oran, filles et garçonnes, locales, mènent la danse. Marché noir, poésie numérique, tendresse, musique et hospitalité sont au programme.
Mina, Igor et Carver limitent la casse.
Mina à Igor : « FAMILIER –Qui est belle, en parlant d’une femme.
FAMILIER –Qui a des rondeurs. »
Et Igor de demander l’asile politique à l’homme à la tête de chat. Mina, malade, dessoude du milicien savoyard. Ce soir on rase gratis. Si.
Igor, Carver, en slips, trop petits, attendent la fin du monde. Dans l’ascenseur, Mina, de faction, commence ses mémoires. En chinois.
La Police de la Pensée, la Police Temporelle, logeaient sous la Piscine Rouvet. Mina envisage une action de sabotage, il y a trois semaines.
Igor, ce lapin. t.co/2qel044O
Et l’homme et la bête, solidaires. Supplice du train.
Carver découvre la vérité sur ses origines. On brûle un village breton pour protéger un élevage de galettes sauvages. Mina pleure.
Explosions variées. Nocturnes.
Et nous étions, dès le matin, sur le pied de guerre. Nos petites mains serrées sur les cerceaux, nos cheveux, rasés, et l’œil cruel et vif.
On s’attable, on étale les cartes, on range les munitions dans le cellier. Un peu tout ça dans le désordre. Mina aiguise son poignard.
Mina (s’)emballe. Le chauve sourit. Carver passe des disques et, ivre, l’homme à la tête de chat ronronne sous les caresses.
Au secours, au secours, voilà Monsieur le marquis de Carabas qui se noie !
Mina, Igor observent depuis la Suisse les prémices de la Troisième Guerre Mondiale. Carver s’engage dans l’aéronavale. Pilote de dirigeable.
Carver, en pleine phase j’aime la nature, je dors avec mon totem, etc, se demandait bien pourquoi il devrait faire bénir son vélo avant noël. Simple bon sens.
Igor, passion nomadisme temporel.
Dans l’Ahunavaiti Gatha, Zarathoustra accuse en effet certains de ses coreligionnaires d’abuser de la vache. Le Dieu Ahura Mazda demande à Zarathoustra de protéger les bovins.
Mina : « Fermez bien les yeux, ça brûle. »
Ce soir les indiens gagnent.
En arrière plan, le coucher de soleil est magnifique. Au premier plan, la mort est proche. Tirer la langue. Nus.
Mina, Igor et Carver ouvrent les hostilités. On rase gratis. L’homme à la tête de chat énerve les miliciens eunuques. Explosions variées.
Cythère, à Mina, un peu tristement : « Papa est sur une île en forme de lettre, dans l’océan Atlantique ».
Dans la cave, on trouve maquettes de dinosaures, modules lunaires et quatre vélos, rouges. Dehors, on brûle les sans-abris.
Michael : « j’aime bien l’idée que les drogues devraient être réservées aux gens de plus de quarante ans, ce serait plus simple. »
Carver, Igor, deux bons amis. Mina, l’arlequin. Danser, bondir et repenser à nos années passées, heureuses. Hum.
Igor, sous la pluie.
Pluie de cendres. Bunker palace hôtel. Igor, souterrain, imagine le pire. Dimanche de fête sous la couette.
Avec Carver c’est souvent : des gars, des os.
Once again, a masked figure drops an iron token through your letterbox late at night.
Et jaillir à la lumière, vivants, pupilles dilatées, prêts à affronter les démons du midi. Main dans la main.
Au milieu des débris du cockpit, une unique pépite. Ses bras crochetés autour de la jeune galaxie encore inerte. Mina dort encore.
Dans la remise, Carver et l’homme à la tête de chat réparent le vélo, atomique.
Et nos héros, fatigués, depuis le hall de l’hôtel, préparent leur prochaine sortie en ville. Accumuler les bouquins de philo et les magrets.
Igor demande aux partisans du moindre effort l’autorisation de parler à la foule. Période de fêtes. On rase gratis. La foule démembre l’orateur empoté. Illico.
Causer des animaux qui te regardent dormir. Lui : « Ne t’inquiète pas, ça ne fait que commencer. » Elle : « Weirdo, va me chercher une glace. »
Mina, Igor, Carver, un peu orphelins. t.co/0lIJ0sKq