Lol, frappée d’immobilité, avait regardé

s’avancer, comme lui, cette grâce abandonné,

ployante, d’oiseau mort… Qui était-elle ?

On le sut plus tard : Anne-Marie Stretter.

Etait-elle belle ?… Par quelle voie mystérieuse

était-elle parvenue à ce qui se présentait

comme un pessimisme gai, éclatant, une

souriante indolence de la légèreté d’une

nuance, d’une cendre ?

Old par -- Zan le 30 Jan 2003

au menu

homme nu



F***K


Old par Rodia le 06 Fév 2003

Confession



ELLE ÉTAIT JEUNE ET BELLE MAIS MAINTENANT ELLE EST BATTUE ET COMPLÈTEMENT. ELLE N’EST PAS La PREMIÈRE ET ELLE NE SERA PAS Le BOUT Que J’étends Des NUITS ÉVEILLÉES PENSANT À MA PROCHAINE VICTIME. PEUT-ÊTRE ELLE SERA LA BEAU BLONDE QUI GARDE LES ENFANTS PRÈS DU PETIT MAGASIN ET DESCEND LA RUELLE FONCÉE CHAQUE SOIRÉE ENVIRON SEPT. OU PEUT-ÊTRE ELLE SERA Le BRUNETT BIEN FAIT QUI A INDIQUÉ XXX AUCUN QUAND Je LUI AI DEMANDÉ PENDANT Une DATE DANS Le LYCÉE. MAIS PEUT-ÊTRE IL NE SERA PAS NON PLUS. MAIS Je DÉCOUPERAI SES PIÈCES FEMELLES ET LES DÉPOSERAI POUR TOUTE LA VILLE POUR VOIR. AINSI NE LA FAITES PAS À FACILE POUR MOI. GARDEZ VOS SOEURS, FILLES, ET ÉPOUSES OUTRE DES RUES ET DES RUELLES. STUPID DE MLLE BATES WAS. ELLE EST ALLÉE À l’ABATTAGE COMME Un AGNEAU. ELLE N’A PAS MIS VERS LE HAUT Une LUTTE. MAIS Je . C’ÉTAIT Une BOULE. J’ai coupé LA PREMIÈRE FOIS Le FIL MOYEN Du DISTRIBUTEUR. ALORS Je L’AI ATTENDUE DANS La BIBLIOTHÈQUE ET L’AI SUIVIE DEHORS APRÈS ENVIRON DEUX MINUTES. LA BATTERIE DOIT AVOIR ÉTÉ AU SUJET DES MORTS D’ICI LÀ. J’AI ALORS OFFERT À l’AIDE. ELLE ÉTAIT ALORS TRÈS DISPOSÉE À ME PARLER. Je LUI AI DIT QUE MA VOITURE ÉTAIT EN BAS De la RUE ET QUE Je LUI DONNERAIS Une MAISON D’ASCENSEUR. QUAND NOUS ÉTIONS PARTIS De la BIBLIOTHÈQUE MARCHANT, J’ai dit qu’elle AVAIT LIEU AU SUJET De TEMPS. ELLE M’A DEMANDÉE, « AU SUJET DE L’HEURE POUR CE QUI? » J’ai dit qu’il ÉTAIT PRESQUE L’HEURE POUR ELLE DE MOURIR. Je L’AI SAISIE AUTOUR Du COU AVEC Le MON REMETS SA BOUCHE ET MON AUTRE MAIN AVEC Un PETIT COUTEAU À SA GORGE. ELLE EST ALLÉE TRÈS VOLONTAIREMENT. SON SEIN S’EST SENTI DE DESSOUS CHAUD ET TRÈS FERME MES MAINS, MAIS SEULEMENT UNE CHOSE ÉTAIT SUR MON ESPRIT. FAISANT SON SALAIRE POUR TOUTE LA BROSSE OFFS QU’ELLE M’AVAIT DONNÉE PENDANT LES ANNÉES ANTÉRIEUREMENT. ELLE EST MORTE DUR. ELLE A TORTILLÉ ET A SECOUÉ PENDANT QUE Je LA CALAIS, ET SES LÈVRES TWICHED. ELLE LAISSÉE HORS D’un CRI PERÇANT UNE FOIS ET Je L’AI DONNÉE UN COUP DE PIED DANS La TÊTE POUR LA FERMER. J’ai plongé Le COUTEAU DANS ELLE ET IL S’EST CASSÉ. J’AI ALORS FINI Le TRAVAIL PAR La GORGE De CUTTING HER. Je NE SUIS PAS MALADE. Je SUIS ALIÉNÉ. MAIS CELA N’ARRÊTERA PAS LE JEU. CETTE LETTRE DEVRAIT ÊTRE ÉDITÉE POUR QUE TOUS LE LISENT. ELLE POURRAIT JUSTE SAUF QUE FILLE DANS LA RUELLE. MAIS C’EST JUSQU’À VOUS. IL SERA SUR VOTRE CONSCIENCE. PAS MINE. OUI, Je VOUS AI FAIT CET APPEL EN OUTRE. IL ÉTAIT JUSTE Un AVERTISSEMENT. PRENEZ GARDE… de moi ÉGRAPPE VOS FILLES MAINTENANT.

Old par M. Fox le 26 Juil 2003

relax…




D'abord je suis allée rejoindre Cindy et la bande à une party



C'était une soirée Open Bar au Coca, génial !



Les copines et moi, on était un peu fatigué, alors on est allé faire une sieste toutes les 3




Là, j'ose pas trop te dire ce qui s'est passé...



Voilà chéri j't'ai tout dit... ben quoi ? T'es pas jaloux ???

La condition de la réussite :
patience, bienveillance, diableries.

Et entre les lignes de silence, lequel des deux prend sa valise et s’enfuit ?

Old par Nicolai le 14 Avr 2002

Old par motown le 06 Mar 2003

tout noir

ouais.

plus de messagerie…

tinnnnnnnnnnnnnnnnnnnnn…

tinnnnnnnnnnnnnnn…

alors j’utilise le panneau des affitches d’annonces.

lost : cat

name : messagerie

colour : green

stripes ? : stripes !

call me home please ! : driiiiine !

ouala : merci

Je ne suis pas vraiment là où vous pensez me trouver. Ce n’est pas que j’essaye de vous échapper. Je suis un peu plus loin. C’est tout. Mais j’apprécie les réactions. Ce que vous dites en un sens je l’accepte. Mais cela ne me concerne déjà plus. Vous n’êtes pas vraiment clair. Ou alors je suis idiot. Le vertige n’a rien d’organique comme vous semblez le penser. Laissons le corps à sa place. Il n’y a pas que du malaise dans cette histoire qui recommence. On espère une pause. J’ai expliqué qu’il faut parfois passer par là, par une lutte, une crise. Et plus tard, on espère pas de réconciliation, mais autre chose, un amour comme vous dites. Avec ses soubresauts violents, parfois très doux aussi. Sachez qu’il n’y a pas que des chutes ou des corps à terre inanimés, saignant. Je n’ai rien d’autre à vous dire.
Par ailleurs, corrigez mes accents, sinon je ne viendrai plus. (Peut-être est-ce que vous attendez ? Libre à vous : l’espace est bien plus vaste que ce que vous pensez.)

Amicalement, A.D.C.

R.I.P

Old par JLB le 20 Mai 2005

< Les déboires d’Aurore >

AVANT LA COURSE

LES MECHANTS (AU FOND, SI SI EN ROUGE)

LA DEFAITE

j'aime tes yeux
mes ongles sur ton torse
petit batard
mes griffes lacèrent tes seins
petite putain
mes dents sur tes lêvres
petit branleur
qui saignent déchirées
petite raclure
par mes morsures
si
vaines

incapable de t’atteindre
vraiment

tu es si loin
même si tes fesses
sont à moi
et
ta queue
en morceaux
aussi
tu es si loin
de moi

Old par igor le 15 Nov 2002

elle pleure toujours lorsque vient la tempête qui les dispersera

sereinement il attend la non-existence,

les premières rafales dispersent leurs membres

les rafales suivantes sèment la confusion dans leurs esprits

les voilà à nouveau indifférenciés,

sans conscience,

sans douleur,

sans rien,

juste la plénitude d’être portés par les vents,

toujours.

Old par M. Fox le 06 Avr 2002

Le buveur d’absinthe n’aime pas les oeufs de Pâques

Old par JLB le 14 Avr 2006


dimanche
il est tard
je suis crevé
c’est une belle journée
je vais me coucher
longue nuit
pas le courage de faire mieux
ce soir
je roule dans le salon
mes yeux se ferment
et anne-elisabeth vient
de remporter les 40 000 euros
bravo anne-elisabeth
gri-gri sourire un grand merci
bonne nuit

add-on
——————————–
j’ai blessé une personne que j’apprécie beaucoup
je ne sais pas comment réparer
——————————–

Old par igor le 10 Nov 2002

Contorsionnisme matinal et lavage haute-pression

Le maugréant : « une jambe dans chaque main » et la gueule dans le cul.

Le moelleux au chocolat nocturne provoque un croissant de douleur blanche et bileuse au sud du sternum – quel con – et d’énormes quantités de café sous pression sont projetées à plusieurs centaines de bar en direction de la paupière droite afin de l’ouvrir, putain de merde – se raser le crâne, nouer une cravate, tout à l’heure sans doute, pour l’heure l’onirique Contre-volonté règne sans partage et fait sourire beuêtement.

(tourguenian, tourguenian, tourguenian, tourguenian…?)

Old par ... le 05 Oct 2006

nan mais franchement !

je suis karyotypic !

Old par igor le 20 Jan 2004

VERIDIQUE: Cet homme est atteint de Tourguenisme en phase terminale ! Et il a même pas fait "ouïe" !

Pavel Filonov and analytic painting

The artist-proletarian‘s obligation is not only to create works that answer the demands of today, but also to open the way to intellect into the distant future.

The artist-proletarian must act on the intellect of his comrade proletarians not only through what they can understand at their present stage of development.

Work on content is work on form and vice versa.

The more forcefully the form is expressed, the more forcefully the content is expressed.

Form is made by persistent line. Every line must be made.

Every atom must be made; the whole work must be made and adapted.

Think persistently and accurately over every atom of the work you are doing.

Make every atom persistently and accurately.

Introduce persistently and accurately into every atom the color you have studied — so that it enters the atom just as heat enters the body or so that it is linked organically with the form, just as in nature a flower’s cellulose is linked with its color.

Painting is the colored conclusion of drawing. (Russian Art of the Avant-Garde, 286-7). [D.K. and A.B.]

Je ne vois plus le fond – glou glou

C’est l’histoire d’un brave type, voir d’un pauvre type.
Il croit en de nobles sentiments : l’amour, l’art, la fidélité. (C’est vraiment un pauvre type)
Il les projette sur Phoenix, une jeune artiste au coeur pur.
Trahi par celui en qui il avait confiance, il tente de prévenir sa dulcinée du danger qui la menace.
Mais celle-ci, appatée par la gloire, l’argent et le sexe, n’entend rien et le repousse pour se jeter dans les bras du démon.
Le démon finit par périr, le pauvre type aussi et la pute se retrouve comme une conne.
Moralité : c’est bien fait pour ta gueule.

Old par Rodia le 31 Mar 2003

Le nimportekoi de ma soirée
« Sapeurs Pompiers bonsoir.
-Bonsoir je vous appelle car je suis dans un cinéma, il ya eu un cocktail et un jeune homme se sent mal.
-Vous travaillez au cinéma?
-Heu non Adrienne et moi on est bénévoles
-Vous etes ouvreuse?
-Non on est derrière le bar.
-Haha ils vous ont seléctionnée pour votre voix?
-Heu non on s’est incrusté derrière le bar c’est là qu’on est le mieux servi.
-Vous avez une tres belle voix.
-Heu hihi merci. Donc c’est un homme d’une trentaine d’années il est allongé il bouge plus il est tout blanc.
-Il est évanoui?
-Heu… ah ben non il va mieux il a relevé la tête.
-On vous envoie les sapeurs?
-Heu ben non, il fait signe qu’il veut pas. Tant pis.
-Bon très bien bonne soirée.
-Bonne soirée à vous au revoir. »


Old par M. Fox le 22 Mai 2003

1 Foiradeje n’aime pas ce texte

longtemps cru que l’&eacutecriture n’avait rien a voir avec eux
alors je tu nous ils
remplacent
le mot
par l’image
Je regarde ton image
Je ne la d&eacutecris pas
Je ne l’&eacutecris pas
Je d&eacutesamorce la bombe
et n’aime pas ce texte.

2 Autrement dit je l’aime un peu plus

Trouver mes amis un vrai probl&egraveme et vite, si possible
sans aucune solution pas de miracle, surtout pas, au-dessus de nous
rien ne compte, pas encore le poids des autres lettres intimidantes, je
jouis parfois d’une libert&eacute quasi musicale qui se gausse du sens
dont je connais jamais la progression, si, en relisant, oui mais plus tard,
quand enfin je suis pass&eacute a autre chose, au piano par exemple
sur lequel je dessine des majuscules sur chaque touche et je suis heureux
good night. (Jou&eacute aria des variations goldberg devant un chat et le portrait
de l’oc&eacutean, muet comme une CARPE & comme BACH).

Ce soir, je sors, cela vaut mieux pour vous, femmes inconnues.

Old par A venir le 16 Oct 2002

Je suis une quatrième personne du singulier, je trouve les jours trop courts
Je suis le Je fêlé, l’instauration d’une méthode sérielle en art déglingué.
Je suis l’effectuation temporelle de la blessure, la place variable,
Je suis la respiration interne accélérée
Je suis la montre à huit aiguilles
A force de bonne volonté et d’arbitraire
Je ne suis pas nécessairement fondé, ni formé
Je suis des prémisses, je suis chaque chose dans la boutique.

le récitant : je suis à la fois la fin est le commencement.

Old par igor le 12 Avr 2004

Old par Gu. le 02 Mai 2003

Allez hop, un nectar de poire pour qui s’en soucie trop:
un petit verre d’espoir …

Mes adieux, ah mes aïeux !

Ceci à titre de rappel solennel au moment où l’Histoire semble prendre un virage bouleversant.

Jamais, amis, l’amitié franco-russe ne saurait souffrir une quelconque altération.

Jamais la noblesse d’âme et d’esprit que je représente pour notre beau pays ne saurait se passer de son homologue.

Jamais, de l’Atlantique à l’Oural, le très noble Tourguenisme ne cessera d’avancer.

Tourgueniev est mort, vive Tourgueniev !

« L’Etat, c’est toi. »

Winner

J'ai gagné...

Old par Amok le 02 Nov 2003

je me déchire toute seule entre
que tu me laisses
que tu me suives
que tu m’abandonnes
que tu me suives
que tu me laisses crever
que tu me suives
et j’ai perdu les bons doux mots de l’amour, que tu me suives…

Il vaut mieux parfois
s’en remettre aux signes

Old par -- Zan le 30 Oct 2002

Wondering in Wonderland (ter) : Attention ce post n’est pas sujet à élucubrations (excepté les miennes…)

le récitant : en 1973 le virus tueur chinois est activé.

Old par igor le 19 Sep 2005

Saint-Tropez, juillet 2004


Old par JLB le 31 Août 2004

le récitant (comme sur un blog) : et en plus il pleut.

Old par igor le 28 Jan 2005

mon plat pays…

« Deux lignes convergent, un train déraille, c’est réglé comme du papier à musique, ça ne rate jamais.

Au fond, nous étions à un moment où s’exacerbaient les problèmes de l’enregistrement par numérisation externe des caractéristiques singulières et stockage sur support pérenne. La « dématérialisation », terme en vogue au début du XXIe siècle, permettait enfin l’inscription des unités biologiques dans un canevas de réseaux de contrôle occultes, que les maigres organisations de l’époque n’ont pas vraiment pu endiguer. C’est également l’échec de ces organisations proto-subversives qui a donné naissance aux circonbulles, et plus encore aux nocturbulles, et on sait les difficultés que le Gouvernement Tectonique Central éprouve dans leur éradication, à cause de cet incessant switch d’incarnations/désincarnations (il suffit de se rappeler le printemps « mon plug dans ton cul » et le bordel qui s’en est suivi), qui caractérise bon nombre de bulles dissidentes. Je prendrai comme référence l’analyse superbe que développe Sikorski, dans « la Vie est un p’tit ruisseau pas tranquille du tout ». Dans le contexte d’une bureaucratie tectonique supermatricielle qui peine à globaliser totalement sa coercirégence humanitaro-communautaire, l’atomisation binariste (Bit Normation 01) a permis à la fois aux biodirectives de prospérer dans obstacle, et malgré nos préventions, aux vélléités séparatistes de forger des instruments d’émancipation utocryptée ponctuelle. Putain de sa mère. La politique de verrouillage logiciel et de conditionnement esthético-technique, menée initialement, n’a pas eu tout à fait l’effet antiseptique recherché. Une « fenêtre sur autre chose », selon le mot de Krakentoès, une « fenêtre sur jardin secret », selon certains tracts anonymes, que la Tectomère en formation n’a pas pu endiguer à temps. L’actuelle limitation de l’interface de connexion renforce d’autant la certitude, répandue dans les champs consumo-énergétiques et parfaitement ancrée au sein de chaque néocortex en réseau, selon laquelle il n’existe qu’un Centre Névralgique Total, présidant à la production du sens selon un schéma linéaire descendant, par détournement démocratique, (c’est minable, franchement c’est minable). C’est un succès, sur ce plan. La maîtrise lexicologique, l’hyperstandardisation segmentaire dès ses premières applications, le verrouillage logiciel, les rationnements sensitifs et le pod-cloisonnement, ont tous contribué au flamboyant succès de l’entreprise. Mais plusieurs hélicoïdes ont perduré, parfois psychostiles. En haut lieu, on en a chié des haches. Les premiers Surbarons Autopromus ont en fait des jaunisses, sans parler de ceux que certaines réactions erratiques ont déconsidéré. Sans parler du terrorismeTM.

… ça vous dérange d’éteindre votre cellulaire, vous ? Merci.

…Nous devons au professeur Katzenstein le complément de l’analyse de Sikorski (ARF-58, section F). Celui-ci critique l’installation de la Tectomatrice, dont il est dit qu’elle a usurpé la réponse aux besoins informulés à la fin du siècle précédent, et usé d’une stratégie technoscélérate qui a consisté à recenser/atomiser la population à T zéro au nom d’une protection contre des dangers chaotiques conjoncturo-ponctuels hétérogènes : Katz faisait valoir que si les unités biologiques se sont abandonnées à l’absolutisme d’une régence technicomatricielle (youpla, mon cafééé-merci), c’est en théorie pour que celui-ci fasse rempart à un corpus de menaces à propos desquelles la plus grande confusion conceptuelle a été entretenue, entre virtualité maladroite et généralisations à la fois abusives, particulièrement erronées selon les raids circonbullaires psychostiles, et surcloisonnantes. Katzenstein a certes peu de sympathie pour l’œuvre de Sikorski, et Sikorski, comme on s’en souvient, aimait bien tirer des mandales en travers de la gueule à Katzenstein en plein déjeuner : mais pour moi les travaux de ces deux grands chercheurs convergent. Le processeur bio-embarqué, la suite Biosoft-Greffon 6.4, c’était en quelque sorte « contrôler pour sauver ». Ensuite, il était lumineux de paramétrer chaque pile sur l’Agrégateur de Mondes et son générateur de scripts aléatoire. C’est avant tout sous l’oriflamme de la prévention que s’avançaient ces initiatives, teintées de mysticisme millénarotronique qui plus est. C’était ça ou risquer un excès de vitesse. Sous l’égide de la maîtrise de l’in-maîtrisable, et spécialement de menaces virtuelles initialement profondément différenciées dont on s’est employé à faire advenir les conséquences plutôt qu’à lutter contre (on a dit un peu tout et n’importe quoi, mais les populations étaient dangereusement habituées), tout en les aglomérant en deux ou trois tendances lourdes dont rien n’est scientifiquement venu conforter les bases. C’est là que résidait l’astuce. C’était brillant, putain. Ne restait qu’à ré-étymologiser le concept de terrorismeTM pour évacuer les dernières notions historiques contraires à la neuroprogrammation géostratégique (cf. Rapport Antibullaire 04, mars 2023). La retranscription de cette époque et des enjeux en jeu ne souffre pas ces critiques, et les travaux de Sikorski et de Ktzenstein ont été compilés, réagencés et remis en circulation après leur pasteurisation. Coupe coupe brother.

On a eu chaud.

Et pourtant. Une phrase fameuse du professeur Shandralah Actarus-Korsakoff m’a toujours laissé perplexe : « l’hélocoïde est ontologiquement pernicieuse ». Au fond, c’est émettre un jugement de valeur conforme aux normes tecto-sécrétées sur un phénomène qui de par sa nature chaotique et tourguespirale, n’a jamais pu ni jamais voulu s’inscrire, partiellement ou totalement, dans l’un des deux cents Segments Comportementaux Consolidés. Au tréfonds, ça ne veut plus dire grand chose. Il est habituel de définir le scientifique par le prévisible. C’est le désir de mettre le savoir au poste de commandement. Et ce désir a ravi les capacités, pour utiliser un terme de la tradition antéglobale. Je n’ai pas encore fait de recherche étymologique ou historique sur le terme de gouvernance ; mais cette notion a exprimé le désir inoculé de résorption du gouvernement dans la gestion segmentaire. De résorber le politique dans l’administratif, dit-on en hélicoïdal (ce qui déclenche déjà les foudres de la censure tectonique appliquée). Et cette résorption s’est imposée comme idéale pour l’humanité, selon l’un de ses cinq paradigmes basiques actualisés. Lorsque enfin le politique a dépéri, a commencé le « dimanche de la vie », si je puis dire. D’ailleurs, on l’avait déjà parfaitement perçu durant l’ère Managériale, juste avant la Première Réorganisation. Le thème du dépérissement des idéologies, la massification artificielle des tectoniques dont il était dit à l’époque qu’elles s’affrontaient dans leur homogénéité, (le terme « tectonique » a commencé à revêtir une signification autre que géologique à cette époque), l’antagonisme comme un fil conducteur, quelques ouvrages médiatiquement répandus, ont servi de braises. On a cru le mouvement menacé par quelques téméraires tentatives de forage idéologique, justement, mais l’Entité Labyrinthique. C’est la forme que prend le désir de la prévention et de l’anticipation par le savoir, qui a été très heureusement illustrée par quelques auteurs depuis prohibés des années 1950. À partir du moment où le savoir permet de prévoir ou peut anticiper et prévenir les phénomènes considérés comme non souhaitables, cela autorisait un premier eugénisme des événements. De façon pernicieuse également, certains éléments de la fin de l’ère managériale avaient pris la désagréable habitude de clamer qu’ils avaient de plus en plus le sentiment de vivre un roman de science-fiction. Le hic est qu’ils ont fini par se comporter selon des critères eux-aussi tirés d’une certaine forme de narration, sauf que celle-là n’avait rien d’officiel, et qu’elle s’employait à contredire l’ensemble, ou du moins une grande quantité, des préceptes progressivement mis en place dans le cadre des Réorganisations. On a beau eu leur pourrir le terreau, flinguer l’hydroponie et conditionner l’air, certaines pousses ont résisté. C’est un peu l’hallu. »

Pr. Bob Dabolina, douzième édition des « Tentatives d’Explication du Comment Putain de Merde en est-on Arrivés Là ? », avril 2024.

Café, clope. Gnn.

Old par ... le 05 Sep 2006

This is not a love song

rigaut in rubber sheets/climbing his golden rope/my mouth on him/he’s dead/after an afternoon/of stealing grapes and being refused/although it’s our clinic death/hold the rule against my breast/strangers/illustrated/we plot the entrance/of the bullet/mark it/ picturing our black/scorched vortex/and permit salty lips/to burn together/best friends/powder burns/the charcoal of our hair/shading the sheets/as feathers fall/strangers/illustrated/(don’t) illustrate it.

Old par JLB le 01 Fév 2006

Asphyxie

Les volutes empoisonnées
de Babylone
auront raison de ses adorateurs

Ultime sacrifice
librement consenti

Ils brulent
et toussent dignement
alors que la cité les tue lentement

Au revoir

Old par M. Fox le 14 Juin 2006

estragon t’es ou?

reviens…

LOVE

—————–

je suis « LOVE » la petite coquine avec la motocyclette rouge.

je suis « LOVE » et je loge dans le jardin de mes parents.

je suis « LOVE » et les taupes sont mes amies.

je suis « LOVE ».

Old par igor le 10 Juin 2003

le récitant : Je n’suis pas un héros. Faut pas croire ce que disent les journaux…

Old par igor le 06 Oct 2003


Old par M. Fox le 06 Juin 2003

P O L A R O Ï D S
O L A R O Ï D S
L A R O Ï D S
A R O Ï D S
R O Ï D S
O Ï D S
Ï D S
D S
S

Old par Gu. le 10 Avr 2003

Je croyais tenir une main mais non, rien, que des phalanges infinies, ou presque,
des kilomètres de doigts grêles comme des cordes de funambule au dessus du néant,
je croyais avoir vu des yeux mais non rien, juste des projecteurs qui fusillent mon ombre,
non, deux miradors blasés, qui ne daignent même pas me poursuivre, je croyais goûter
des lèvres mais c’était le feu de la lèpre qui dansait sur les miennes et dessinait des
étoiles éteintes, je croyais que tu m’aimais.

Old par -- Zan le 06 Déc 2002

Camille, déçue, lui dit : " T’es camé, Léon "

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Old par igor le 16 Juil 2004

Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées

Old par D.b le 24 Juil 2003

LA PUDEUR.
Ca vous a deja servi à quelque chose?

je deteste le lundi

le bordel quotidien / poésie hebdomadaire / 17ème livraison

à chaque fois que je quitte paris
je vois la tour siemens dressée dans le ciel gris
au moins quarante étages et une enseigne en béton au sommet
d’au moins quinze mètres de long et qui tourne lentement
et chaque fois je me demande
à quoi peut bien servir
un immeuble aussi grand
à quoi ça peut bien servir
tout ça
quelle activité nécessite
quarante étages de gens
quelle activité nécessite
autant de gens que ça
et je ne comprends pas
***
dans le métro il y a
des arabes en jogging qui crient
un curé en soutane qui se tait
une copine à moi qui rigole et moi
qui raconte des conneries
un type qui écoute et ne rit pas du tout
un indien et un type
qui apprécie enki bilal
des gens
des gens
des gens
***
dans le train y’a un rabbin
avec un chapeau noir et un habit noir
et une barbe blanche et un grand sac ed
blanc et vert et rouge
hors du train un type fait son jogging sur une chemin de campagne éloigné de tout
je le regarde courir et ne vois ni maison
ni voiture
ni rien
des fois il pleut
des fois il ne pleut pas
ça dépend des kilomètres
à une gare déserte
le rabbin descend
je reste seul dans le wagon
et je remarque
sur le dossier du siège qu’il occupait avant
un vieux smiley
dessiné au marqueur
à la couleur passée
***

jeudi matin

le jour se, je rentre à la, j’ouvre la, les chats sont, merci ça fait, tu dors et, le chauffage est, je ferme les, heureusement que tu, il ne manque plus qu’, il exite deux solutions que, je trouve la première sous, je range la cuisine au, les chats sont de sales, il ne manque que, pourquoi ne pas chercher, un dirigeable dans le, les chinois sur la table, je me demande ce qui, elle se demande ce qui, la musique est trop, ainsi va la, on s’éventre avec un grand, ça peut couter cher ce genre de, histoire de dire un, on peut toujours lui, je vais me coucher à, le sommeil ne veut pas, alors je me, et dehors il pleut.

Old par igor le 17 Mar 2006

A se dépouiller de ces encombrants oripeaux
On ne perd pas forcément son âme.

Je tourne en rond


(merci M.C. Escher)

Toute la vérité.

toute la vérité.

Old par igor le 06 Mar 2004

la cloche

Il faut quitter ces bars.

Ne pas attendre que la dernière cloche retentisse.

Non, il n’y a rien de moral là dessous. Catégorique, le dernier verre que l’on boit sans trop savoir pourquoi est vain. Un point c’est tout. Laisser ces formes passer en sachant qu’il n’y aura d’étreinte que dans la pensée. Torture dérisoire.

Il faut quitter ces bars.

Il me semble m’être tissée une écorce cette nuit : mon corps est rigide,
tellement tendu.
Je guette les craquelures sur mes cuisses, mes hanches, mes seins.
Je me sens à l’étroit dans ce nouveau costume.
Ma peau en dessous de l’écorce cherche à respirer.
Encore une journée à devoir surveiller chaque mouvement, chaque parole.
Vais-je tenir?

Effet papillon ?

Old par M. Fox le 10 Jan 2005

Paradoxalement, ces terroristes numériques naîtront de mouvements
collectifs hostiles aux nouvelles technologies et que l’institut
baptise les « refuznik « . Pour 58 % des sondés, ces refuznik essaieront
par tous les moyens, y compris le terrorisme, de perturber le fonctionnement
du réseau.

Old par To le 02 Oct 2006

en anglais ?

Old par igor le 06 Mai 2002

Je me demande si l’illusion de l’amour

ne vaut pas mieux que l’amour authentique

parfois…

Old par M. Fox le 19 Juil 2003

Lundi, 15h, réveil.

Absence, angoisse.

Broutilles, bordel.

Constats, café, cul-entre-deux-chaises, clopes, culpabilité.

Déprime débile datant de décembre.

Elle est éteinte.

Fatiguante, fatiguée, fric facile, financièrement finie.

Grande gueule.

H, hébétée, hommes harassants.

Idiote idoine invisible.

Jeune.

Kawa.

Laminée, liquéfiée, lui.

Mal maquée, mal menée, mal embouchée. Mensonges.

Nicotine.

Outlaw occupée.

Perdue ?

Quinteux.

Ruinée, raturée, revêche, rogue.

S a t u r é e

Troublée, tendue.

Ubique…

Versatiles vacances

Ways

Yin, yang, yatoopartoo

Zut.

Old par motown le 08 Sep 2003

on s’est bien enlacés
tu es déjà lassé
c’est presque du passé
je suis dépassée.

j’aime te frapper, te tordre et t’entendre gémir

Old par M. Fox le 10 Mar 2003

NB

Je ne lirai pas (même sous la torture) votre pavé

livresque saignant.

l’éviscération quotidienne du Docteur Shioran

les infos de l’AFP nous fournissent chaque jour des listes interminables de victimes à décapiter et à écarteler au cours de la Terreur qui suivra la Révolution prochaine.

le Docteur Shioran choisit chaque jour, dans cette masse de faux-prophètes et d’assassins par procuration, celles qui méritent d’être éviscérées sur la place publique.

aujourd’hui…

Le livre d’Eva Joly dans le peloton de tête des ventes

(…) le livre de la magistrate, aujourd’hui en disponibilité, est troisième des meilleurs ventes derrière le nouvel opus des aventures d’Harry Potter et « Guérir le stress, l’anxiété, la dépression sans médicaments » de David Servan-Schreiber.

éviscération sans condition de tous les lecteurs de ces deux dernières merdes (et ils sont nombreux)

Le livre d’Eva Joly qui a instruit l’affaire Elf entre 1994 et 2002, décrit le climat d’un dossier hors-normes, « le premier qui se rapproche de la République occulte », et la découverte « d’un monde souterrain qui échappe à la justice ordinaire ». Eva Joly, Française d’origine norvégienne, aujourd’hui conseiller auprès du gouvernement norvégien, affirme dans son livre avoir fait l’objet de menaces de mort.

éviscération sans condition de tous les sous-fifres débiloïdes qui ont été payés comme les chiens puants qu’ils sont pour envoyer des menaces de mort à quelqu’un dont ils ne savaient rien, tout ça pour conserver leur place de misérable esclave sans couille et mettre un beau costume orné d’une belle carte de visite devant leur femme aussi conne et criminelle qu’eux.

le Docteur Shioran vous remercie de votre attention.

fuck you doctor !

Old par -- Zan le 03 Déc 2004

Orbite?

Have You Ever Seen The Rain

Pierre La Police ce héros

J’ai changé l’annonce d’accueil.

Old par Rodia le 13 Avr 2003

le récitant : indice.

Old par igor le 06 Août 2003

I can feel your hands
on my body
and hear your voice
but not see you…

I belong to yourself…
You come from myself… Ouuuhhhhhh!!!

Oh my Ghost !!!

Oh, please, I beg you to stay with me for-ever…

Old par Gu. le 11 Mai 2003

Je suis vide quand je consulte ma boite de déception.

faudrait trouver un moyen d’échapper à ces monstres

Old par M. Fox le 08 Mar 2003

Shall we…?

Tu es épuisé
Viens, allonge-toi
Tu n’as rien à expliquer
Je comprends

Old par M. Fox le 15 Mai 2003

speciale dédicace à Troudair Potter :

« Je suis une jeune fille de 14 ans et je rêve d’être ministre de la défense, serais-je lesbienne ? »

Old par M. Fox le 22 Mai 2002


Old par igor le 13 Juin 2003

Méthode C.
Il faut te choisir un maitre.
JUST DO IT.
nike toi.

Old par igor le 03 Juil 2002

La vie est une fleur…

Les 29 chambres sont toutes différentes les unes des autres.
Elles toutes ont une connexion internet de haut niveau (ADSL), un parquet en bois,
les meubles de la vieille maison,une salle de bains, la climatisation, le téléphone,
la télévision, minibar et un coffre-fort.

Old par igor le 27 Déc 2005

Rapport médical n°130678

« La Patiente semble expliquer sa tentative de suicide par des problèmes sentimentaux. Elle dit qu’elle a quatre hommes extraordinaires dans sa vie et qu’elle n’arrive pas à supporter cette situation sereinement.

Le premier couche volontiers avec elle, mais s’enfuit quand elle parle de sentiments,

Le second l’aime autant qu’il est possible d’aimer mais refuse obstinement tout contact physique,

Le troisième est un homme généreux et doux, qu’elle a aimé avant et qu’elle ne peut plus aimer,

Le quatrième est son grand amour du moment, tout contact avec elle semble le dégoutter (est-il homosexuel ?) et lorsqu’elle évoque ses sentiments pour lui, il est très embarrassé, comme si l’amour, son amour à elle, déclenchait en lui un sentiment de panique irraisonné.

La situation des quatres hommes idéaux semblant sans espoir, je place aujourd’hui la patiente sous traitement médicamenteux visant à réduire les possibilités d’une récidive. Je lui conseille aussi de cesser de voir ces quatre hommes, pour s’interesser à un homme nouveau, qu’elle ne connait pas encore. »

Old par M. Fox le 03 Jan 2005

En passant

Être une plaque sensible aux impressions

les plus variées, les développer

ou les racourcir. Restituer, inventer, parader,

triompher, chuter — voilà grosso modo

le sens (provisoire) que je donne à l’autologie.


1er : le facteur

La femme aux sacs de courses termine avec plus de deux minutes de retard

Old par -- Zan le 10 Fév 2006

Old par Gu. le 17 Juin 2003









Old par Gu. le 18 Juin 2003

c’est 20,
et tu le sais…
alors, …
pourquoi ?

Old par Gu. le 20 Fév 2005

ainsi font font font, les petites marionettes.

ainsi font font font, trois pti tours et pi s’en vont !

Old par JR le 26 Juil 2002

MANIAKO-DEPRESSIV – blacklisté par NOBODY

le blog est une imposture de la bonne conscience collective
c’est du bullshit generator

la vie de ton chat
je m’en branle

y’a rien à la télé et tu t’emmerdes dans ton deux pièces cuisine ?
je m’en branle

tu n’aimes pas le Jean-Pierre Pernod 51
moi non plus et alors ?

bonne conscience collective
mon cul

juste une façon de faire du porno
sans montrer son cul

je préfère un beau cul
à ces misérables expressions quotidiennes

ces gamines qui se prennent en photo devant leur miroirs
qui parlent du prince charmant
en s’écrasant le clito à longueur de temps

ces mecs qui font wesh wesh dans la rue
mais qui préfèrent se branler par web-cam interposée

et ces trentenaires bobo-isés, lobo-bo-tomisés

je ne vais pas sur toutes ces pages parce que ça m’emmerde

les fées et les princesses sont à la mode
rêves de trentenaires
reloaded
to be or not to be
dans la matrice de la Warner ?

le mielleux et le bon sentimentalisme
ça me gave et j’y crois pas,
ça renifle le socialisme de la belle époque à 100 mètres
on roule à 60km/h sur la file de gauche
par habitude, par abandon
on crache sur sarko dans les dîners en ville
on parle de révolution, du grand soir…
il est bon ton shit

la vie en leasing…

foutez-moi le camp
j’ai d’autres plans d’avenir
cligno, rétro
prochaine sortie à deux bornes

la crise est passée par là
la dépression collective s’exprime
à travers les blogs justement

prenez des nouvelles de moi
mais ne m’appelez pas, je répondrai pas
tu veux savoir comment ça va ?
si tu as le haut-débit tu sauras tout sur moi
sinon tu peux envoyer un mail
je répondrais pas

tu es venu lire
tu repartiras sans rien dire
on se connaît
on se connaît pas
on s’est connu
mais on ne se reverra jamais plus
peu importe

vous me faites chier
à ne pas faire attention aux autres

vous me faites chier avec cet égoïsme
que vous jetez à la gueule des autres

ceux qui me manquent sont morts

les autres sont en vie
à attendre la catastrophe,
le suicide ? on l’avait pas vu venir…

vous me faites chier et je vous emmerde…
comme dirait l’autre
faites une dépression, une bonne un vraie !

je reste debout !

…à bon entendeur

Old par igor le 27 Jan 2004

Comme tout le monde, y a des jours ou j’aimerais bien revenir en arrière… genre d’un peu plus d’un an environ.

Old par Rodia le 11 Avr 2003

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