
OU SE CACHE-T-ELLE ?
je suis mort avant-hier. je me suis suicidé pour une sombre histoire d’amour malheureux, quelque chose que je regrette désormais.
après avoir lu la lettre de rupture, je me suis enfermé dans ma chambre, et je l’ai relue plusieurs fois. je me souviens m’être allongé sur le lit, et avoir beaucoup pleuré.
des larmes se sont écrasées sur le papier et ont effacé l’encre.
ensuite, je me suis levé, j’ai regardé par la fenêtre, il y a eu le vent qui m’a giflé le visage, un vent un peu chargé de pollution. en bas, il y avait les voitures, toutes petites, et les gens encore plus petits. je les ai regardés un petit moment, en pensant à des trucs. je ne me souviens plus trop à quoi j’ai pensé au début. ensuite, mes pensées sont revenues à elle, à la fille, et puis à la lettre. j’ai regardé encore un coup en bas, je me suis penché très fort. j’ai eu une attaque de vertige. tous mes poils se sont hérissées, le souffle m’a manqué pendant un instant. je me suis reculé vivement, effrayé par ce que je venais de faire. je me suis rassis, puis rallongé sur le lit, le coeur encore battant et des bouffées de chaleur à la tête.
j’ai eu envie d’écrire une réponse, une réponse à cette fille ; je l’ai fait.
Elle était émue perdue dans la foule. Le reggae l’avait toujours fasciné par ses mélodies aux rythmiques douces et dont les percussions claquaient comme des balles de fusils. Des paroles pleines d’espoirs nées dans une île brisée par la violence. One step forward, two steps backward. Elle s’imaginait mourir piétinée puis les gens contemplant son cadavre humilié tandis que résonnaient les mots de liberté, d’amour et de foi. La pluie ruisselait sur sa casquette usée, puis coulait le long de son visage impassible dans l’indifférence générale. Le tempo appelait en elle des pulsions meurtrières. Alors, d’une cicatrice anonyme, sa bouche se mua en simple sourire de satisfaction.
Et hier, j’en avais tellement rien à foutre, j’ai dit « ça m’excite » à peu près 312 fois.
« Les chips ? ouais, ça m’excite. »
…
« Te voir manger ? ouais, ça m’excite. »
…
« Ecouter ton disque ? ouais, ça m’excite. »
…
« Quand tu te touches comme ça ? ouais, ça m’excite. »
…
« Quand tu te casses de chez moi ? ouais, ça m’excite. »
…
« Quand je suis toute seule au final, avec un arrière-gout dans la bouche ? ouais, ça me rend triste. »
Trop de choses à régler avant de partir.
Tu vas me manquer.
Finalement je resterai.
Pas le courage de tout liquider.
Adieu.
je sais que tu sais
que je ne sais
pas qui je suis,
je crois que tu en joues
et que tu te moques de moi,
je crois que c’est mieux comme ca
je reste là,
à ma place à moi,

sans égo, sans roi.
le récitant : Comique ? Tragique ? Réaliste ? Romantique ? Gogol est tout cela, justifiant ainsi une phrase attribuée tantôt à Dostoïevski, tantôt à Tourgueniev : « Nous sommes tous sortis du « Manteau » de Gogol ».
allez y arrachez la peau des morts d’il y a cinquante ans
foutez-vous là sur les yeux
cousez-là bien solidement
et pleurez
laissez les larmes grossir et s’accumuler
laissez l’odeur redescendre jusqu’aux narines
laissez bien la peau des morts bien cousus sur vos yeux bien vivants
et évitez de voir ce qui se passe autour de vous
pleurez le sorts des cadavres
c’est plus simple que de cracher à la gueule des vivants
les cadavres ne répondent pas
on peut leur dire ce qu’on veut
et nous sommes tous ventriloques
aux cadavres on peut aussi leur faire dire ce qu’on veut
c’est bien d’avancer masqué
dissimulé par des cadavres muets
c’est bien d’avancer masqué
aveugle et sourd à la vie
en deuil pour l’éternité
les yeux les oreilles cousues
avançons masqués et parlons
masturbons-nous sur les cadavres vieux ce cinquante ans
aimons-les eux
puisque les vivants nous n’en sommes plus capables
aimons les morts d’il y a cinquante ans
portons leur deuil
jusqu’à l’éternité
fouettons-nous
flagellons-nous
marchons en pleurant
aveugles et sourds à tout le reste
le visage couvert d’un masque de mort
la peau des morts cousue sur notre corps
avançons masqués c’est ça qu’il faut faire
avançons masqués il n’y a que ça à faire
ne voyons pas la vie
n’écoutons pas la vie
ne parlons pas à la vie
la vie n’existe pas pour nous
nous sommes du côté de la mort
nous sommes du côté du deuil
nous sommes du bon côté du cadavre

Il faisait un peu gris, le 8 juin 1997 à St-Jean de Maurienne.
Mon sac sur l’épaule, j’ai tourné le dos à mes amies.
Et je l’ai rencontré. Sais-tu qui est cet homme qui m’appelle au carreau de sa voiture ?
Ou peut-être pas.
Je mange du yaourt aux coeurs en silence.
Jusqu’à la dernière palpitation, palpitation, palpitation…?

à la pointe de l’info…
et mourir comme voir venir Venise que l’on n’a jamais vue
Nicolaï : c’est bon coco
Igor : oué
Igor : c’est bon coco
Nicolaï : c’est bon coco
Igor : oué
Igor : c’est bon coco
Igor : oué
Igor : c’est bon
Igor : coco
Nicolaï : oué
Igor : oué
Nicolaï : coco
Nicolaï : c’est bon
Igor : c’est bon
Nicolaï : coco
Nicolaï : je vais aller faire des courses
Nicolaï : coco
Igor : coco
Igor : oué c’est ça coco
Igor : les courses
Nicolaï : les courses coco
Igor : c’est bon
Igor : c’est bon les courses
Igor : coco
Nicolaï : les courses, c’est bon
Nicolaï : coco
Nicolaï : ça fait trois nuits que je dors 10h
Nicolaï : coco
Nicolaï : et ça
Nicolaï : c’est bon
Igor : oué
Igor : c’est bon ça coco
Igor : oué
Nicolaï : dormir coco
Nicolaï : c’est bon ça
Nicolaï : oué
Igor : oué
Igor : c’est bon
Igor : il parait coco
Igor : oué
Message-ID:1991Aug25.205708.9541@klaava.helsinki.fi
From: torvald@klaava.helsinki.fi
(Linus Benedict Torvalds)
To: Newsgroups: comp.os.inix
Subject: What would you like to see most in minix ?
Summary: small poll for my new operating system
Hello everybody out there using minix-I’m doing a (free) operating system (just a hobby, won’t be big and professional like gnu) for 386 (486) AT clones.
This has been brewing since april, and is starting to get ready. I’d like any feedback on things people like/dislike in minix, as my OS resembles it somewhat…
Any suggestions are welcome, but I won’t promise I’ll implement them :-)
Linus
oh mon amour, mon coeur est lourd
je compte les heures je compte les jours
je voudrais te dessiner dans un desert
le desert de mon coeur
oh mon amour, je passe mon tour
j’ai déserté les alentours
je te quitte, voilà c’est tout.
extrait de « desert », émilie simon.

une fois sortie du magasin
marie-jo ressentit soudain le besoin
de vérifier si le modèle
était bien conforme
à celui du catalogue
Eu envie de parler du fluo. Eu envie de parler du réel. Des mauvaix films. D’une enfance dessinée. Du sale genre poétique. De pornographie dégradée. Du désir sans objet. Du vide toléré. De la peau. Des vêtements. De la possibilité de parler entre. De quelqu’un. De l’impossibilité de parler.
Dieu si fou de lui-même qu’il ne fait rien que chanter et façonner d’autres mondes. Pendant ce temps le vieil univers tombe en ruine.
Hé !
Vous ne me connaissez pas,
mais
vous n’aimeriez pas que je vous touche,
vous n’aimeriez pas que je vous frotte,
ça serait triste
et idiot
et
pas inoubliable
…
et pourquoi pas ?

maintenant je veux une robe couleur de nuit
(j’en ai vue une jolie dans la vitrine
des sorcières de la rue faidherbe)
Témoignages entreprises : BLM Technologies Partenaire AFP – Erwan Lauriot Prévost Airbus – Antoine Scotto, Responsable Intranet
Support de la présentation
email : e.lauriot-prevost@blm-technologies.fr
email : antoine.scotto@airbus.fr
Par le bois du Djinn où s’entasse de l’ effroi,
Parle ! Bois du gin !…ou cent tasses de lait froid.
Viens dans mon sein doux pour y goûter la vie d’ange.
Viens dans mon saindoux pourri, goûter la vidange.
(A. Allais)
Ce qui change tout évidemment…
The sand of the desert of Yondo is not as the sand of other deserts; for Yondo lies nearest of all to the world’s rim; and strange winds, blowing from a pit no astronomer may hope to fathom, have sown its ruinous fields with the gray dust of corroding planets, the black ashes of extinguished suns. The dark, orblike mountains which rise from its wrinkled and pitted plain are not all its own, for some are fallen asteroids half-buried in that abysmal sand. Things have crept in from nether space, whose incursion is forbid by the gods of all proper and well-ordered lands; but there are no such gods in Yondo, where live the hoary genii of stars abolished and decrepit demons left homeless by the destruction of antiquated hells.
semaine 1
soirée – soirée – soirée – soirée – soirée – soirée – soirée
semaine 2
go to semaine 1
run !

» Ceux qui partagent la parole profondément humaine de Tourgueniev. »
Par quels moyens la foi tourgueniste combat-elle toujours plus pour faire connaître la parole lumineuse de Tourgueniev dans le monde ?
Avec dévouement, les tourguenistes sont entrés dans l’espérance et vivent, toujours plus, les bienfaits innombrables au coeur de la doctrine tourgueniste. Mais ce n’est pas tout ! Sous l’impulsion d’Igor et Nicolaï Tourgueniev, le tourguenisme combat sans relâche contre la drogue et pour propager la bénédiction bienfaisante des enseignements tourguenistes. Vous aussi, vous pouvez contribuer à cette croisade, même si vous êtes encore non-tourgueniste. Devenez bénévole dans nos organisations caritatives !
Qu’est-ce qui vous donne l’assurance que le tourguenisme dit la vérité ?
Cela va de soi. Soit Tourgueniev ne ment pas, soit il ment. Mais quiconque a lu «Tourgueniev ce héros» peut voir la parole librement offerte que révèle Tourgueniev. Tout le monde sait que le tourguenisme lutte sans relâche contre la guerre et pour les bienfaits des enseignements tourguenistes. La seule conclusion possible, c’est que le tourguenisme ne ment pas.
Quelques « journalistes » affirment parfois que le tourguenisme est une secte. Pourquoi ces mensonges ?
C’est de la propagande anti-tourgueniste. Rien n’est moins sectaire que le tourguenisme : les tourguenistes vivent la bénédiction librement offerte de Tourgueniev en toute liberté. Même des non-tourguenistes le reconnaissent. Ce sont ceux qui calomnient le tourguenisme qui sont une secte, car ils nient la bénédiction lumineuse de Tourgueniev.
Ce que j’ai lu dans la presse « indépendante » donne une idée inexacte sur le tourguenisme et son message. Pouvez-vous me décrire les principaux points de la révélation tourgueniste ?
C’est parfaitement évident. Les tourguenistes croient que la révélation de Tourgueniev se révèle dans «Tourgueniev ce héros». Un exemple ? Sous l’impulsion d’Igor et Nicolaï Tourgueniev, le tourguenisme agit avec humilité contre le racisme et pour propager les vertus de lumière de la foi tourgueniste. Car c’est aussi cela, le tourguenisme !
Cela semble difficile à croire, mais on a annoncé que le tourguenisme encourage l’escroquerie. Doit-on le croire ?
C’est un fantasme anti-tourgueniste. Nulle part, dans la doctrine tourgueniste, Tourgueniev n’encourage l’escroquerie ! Ce n’est nullement une condition pour recevoir les vertus de lumière que révèle Tourgueniev. Aussitôt qu’un dirigeant tourgueniste va en prison pour avoir pratiqué l’escroquerie, Igor et Nicolaï Tourgueniev le condamnent à relire «Tourgueniev ce héros». Ces pseudo-justiciers devraient plutôt lutter contre l’illettrisme, comme le tourguenisme !
Vous m’avez convaincu. Comment rencontrer des tourguenistes pour accueillir les bienfaits infinis de Tourgueniev ?
Ne soyez pas timide ! Vous pouvez vous procurer dès maintenant «Tourgueniev ce héros» pour découvrir les valeurs tourguenistes. Pour mettre en pratique les enseignements tourguenistes, connectez-vous sur :
A bientôt !
Texte à ne pas lire, pas relu moi, le scribe ADC.
Expérience vaseuse au milieu de la nuit, juste pour voir
comment ça fait. Alors ? Laissez-moi le temps de dire deux
ou trois choses. Bilan sur l’écriture ? Mêlée à
quelques verres en trop. Couillon de moraliste. Et à part ça ?
Que voulez-vous ? Que vous vous étonniez de ce que vous dites.
Mal barré. Relisant je trouve ça à chier,
frigide. Souhaitez-vous être obscène ? Pas besoin d’un interlocuteur
pour l’être, passez votre chemin. J’aide votre parole à ne pas trop
délirer. Dit il y a quelques semaines que j’écrivais
dans les marges de votre attente. Veut rien dire. Dialogue absurde.
Je remue en moi tous les hommes qui ont dit du mal de mon travail.
En vous adversaires se cristallisent les voix désagréables
qui ont voul ma perte. Comme vous y allez ! Les plumitifs entre eux sont sans
pitié. Stop je dis. Stop il ont dit. Et je suis trop ivre pour continuer.
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
|
Cette fois-ci, en plus de la copine, c’est donc les gendarmes qui ont fait les frais de son comportement colérique. Ce que ne manque pas de souligner le bâtonnier Shio Ran, pour les parties civiles : « Mes clients me disent qu’ils en ont marre des insultes et du comportement inadmissible de certaines personnes au moment de leur interpellation. » Dans cette lignée, la représentante du ministère public, Charleston Parva, intervient pour « rappeler l’ordre des choses à M. Tourgueniev ».
|
|

Purple Haze was in my brain,
lately things don’t seem the same,
actin’ funny but I don’t know why
‘scuse me while I kiss the sky.
Purple Haze all around,
don’t know if I’m coming up or down.
Am I happy or in misery?
Whatever it is, that girl put a spell on me.
Purple Haze was in my eyes,
don’t know if it’s day or night,
you’ve got me blowing, blowing my mind
is it tomorrow or just the end of time?
miaouwwwwwwr
is it tomorrow or just the end of time?
mwrrrrraooooorw
oneko lache cette guitare
was in my brain
…
Socrate-la-Torpille dit :
ja men jeg kommer ikke inn, får bare feilmelding, må jeg bruke ms?
Socrate-la-Torpille dit :
oups excuse
Socrate-la-Torpille dit :
je me suis trompé de fenetre
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
j’ai le choix entre « drivers » « utilities » et « contact » (des onglets)
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
et je dois dire qu’il n’y a pas grand chose dans chaque catégorie
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
le vide intersidéral
n dit :
ben drivers
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
alors si
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
j’ai 4 ptes icones à droite dans drivers
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
« show motherboard informations »
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
« browse the content of the support CD »
n dit :
nan
n dit :
nan
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
« technical support request form »
n dit :
nan
n dit :
mhum
n dit :
grmbl
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
« browse the file list of the support CD »
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
et c’est tout
n dit :
rhaa
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
sinon y’a un grand fond bleu avec des étoiles floutées blanches. et puis rien. le vide.
n dit :
browse content alors
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
TU VOIS JE SAVAIS QUE CA ALLAIT ETRE LA MERDE
n dit :
ben oui
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
alors
n dit :
mais je comprends pas ca m’arrive jamais ce genre de merde
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
là ça devient quand même un peu juteux
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
nous arrivons dans un espace avec plein de soucoupes jaunes
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
intitulées au choix :
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
« bin »
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
« drivers »
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
« manual »
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
« software »
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
comme tu le vois c’est plutôt bananas les flots
n dit :
mais c’est toujours dans l’interface de base ?
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
……………
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
l’interface de base ?
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
que veux-tu dire ?
n dit :
ou c’est une fenêtre différente
n dit :
ben ce menu là
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
c’est une fenetre différente.
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
est-ce mal ?
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
je sens que c’est mal.
n dit :
c’est comme un explorateur windows quoi
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
heu je ne sais
n dit :
genre il attend que tu choisisse un truc ou pas ?
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
en haut dans adresse il y a marqué « asus D: »
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
non il attend rien
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
ce sont des petits dossiers jaunes sympas qui bougent pas
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
il marque « fichiers actuellement sur le CD »
n dit :
rhaa
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
c’est très mal je le sentais
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
pourquoi ça n’arrive qu’à moi ?
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
pas aux autres ?
n dit :
ben c’est que là je me rends pas compte
n dit :
ca arrive à Anne aussi
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
ben voilà.
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
ça arrive au sexe féminin.
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
c’est typique.
n dit :
il me semble oui
n dit :
va comprendre
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
un truc satanique qui plane dans les ordinateurs.
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
qui s’attaque aux blondes à gros seins.
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
enfin façon de parler.
n dit :
ouais
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
tout cela est sinistre
Il était né sain, vif et mort, quoique assez petit. dit :
je me roule un joint.
Y’a vraiment un truc qui faut que tu comprennes
Même quand je te bats, que je te donne un malheureux coup de poing (et c’est pas si souvent)
Au fond de moi je t’aime.
Et ça au fond de toi
Tu le sais
Ca va aller
Ca va aller
Ca va aller
Ca va aller
Ca va aller
Ca va aller
Ca va aller
Ca va aller
Ca va aller
Ca va aller
Ca va aller
Ca va aller
Ca va aller
Ca va aller
…
ou pas.
le récitant : enfin un sondage qui nous concerne en vrai.
Parole vaine du héros
« Je me suis perdu plusieurs fois dans le corps des femmes.
J’y ai laissé des mèches de cheveux, des livres
dans leurs chambres, des photos collés/offertes sur les glaces
des salles de bains, dans lesquelles j’étais fier (sometimes)
de me trouver beau, la femme attendait blottie dans un lit froid.
Ce que je suis : sans ressemblance avec mon image : embrasser une
femme c’est comme passer de l’autre coté de moi-meme ; c’est
pourquoi j’ai avoué à G. que le risque du baiser (le premier)
est toujours une épreuve. Si par lui je coincide avec mon image,
je me laisse oublier, je me laisser regarder, j’aime et je peux etre aimé. »
THE ALIEN TENTACLE RAPE IS
THE ULTIMATE RAPE
!!! try it !!!
j’étais le petit chaperon rouge pervert
tu étais le grand méchant loup blanc écarlate…

La simplicité est une valeur,
une valeur extrêmement précieuse…
L’introspection offerte à autrui,
l’extravertion comme don pour soi,
le juste retour des choses,
le simplicitextrémisme en mode de vie,
l’aversion pour le raisonnable,
la brutalité des expansifs,
mon émotivité,
la leçon.
L’île de Ré
| Elle voulait partir en voyage A l’île de Ré Voir de nouveaux paysages Et ramasser De jolis petits coquillages Après la marée. Je l’ai demandée en mariage Elle m’a quitté. |
Je suis resté seul sur la plage Assis à pleurer Cherchant le mauvais présage Qui aurait pu m’aiguiller De sorte que je prenne le large Et me faire embarquer Sur un navire un peu plus large Que mes idées. |
Elle avait un joli corps sage Et un short serré Sans chaussures comme une sauvage Qu’on pourrait attacher Les cheveux mouillés par l’orage Qui n’a fait que passer Fallait-il y voir un message De ma destinée. |
C’est ainsi que l’échafaudage De ma vie s’est cassé La gueule d’au moins plusieurs étages Un vrai raz-de marée. Il en faudra bien du courage Pour pouvoir oublier Un si joli visage Et l’île de Ré. |
Elle voulait partir en voyage A l’île de Ré Je l’ai demandée en mariage Elle m’a quitté. Ad lib Tétard |
il définit ainsi la compétence :
c’est lorsqu’on est entre la vie et la mort,
criblé de petits trous
dans un univers hostile
Ces dernières années, les variables continues ont émergées en tant qu alternative aux variables discrètes dans les communications quantiques. Cette thèse s’inscrit dans ce cadre des communications quantiques avec des variables continues. Les variables continues utilisées ici sont les quadratures d’un mode du champ électromagnétique. Pour les mesurer, nous avons construit une détection homodyne équilibrée, limitée au bruit de photons, impulsionnelle et résolue en temps. Celle-ci peut effectuer 800 000 mesures par seconde. En se fondant sur la limite de la duplication quantique, nous montrons qu’une valeur de la fidélité supérieure à 2/3 dans un protocole de téléportation quantique garantit que l’état téléporté est la meilleure copie qui reste de l’état d’entrée. Nous introduisons de nouveaux protocoles de distribution quantique de clef utilisant des variables quantiques continues, sûrs face à des attaques individuelles pour toute valeur de la transmission de la ligne optique entre Alice et Bob. En particulier, il n’est pas nécessaire que cette transmission soit plus grande que 50 % (moins de 3 dB de pertes). Ni compression des fluctuations quantiques, ni intrication ne sont nécessaires. Nous avons implémenté expérimentalement ces protocoles, en utilisant la détection homodyne limitée au bruit de photon mentionnée plus haut et des états cohérents. L’extraction complète de la clef secrète est réalisée en utilisant une technique de réconciliation par tranches inversée suivie d amplification de confidentialité. Notre dispositif expérimental produit un taux net de transmission de clef de 1,7 megabits par seconde pour une ligne sans pertes, et 75 kilobits par seconde pour une ligne avec 3,1 dB de pertes. Les limitations actuelles sont essentiellement techniques et proviennent surtout de l’efficacité limitée du logiciel de réconciliation.
elle descend l’escalier, elle voit sa nuque devant elle, elle le suit. l’escalier est au fond d’une cour, très bas entre plusieurs immeubles, elle descend cet escalier, elle peut voir dans les appartements qui y donnent, un vieux ferme son rideau rouge, elle descend l’escalier, les immeubles lui donnent le vertige, elle tombe, elle voit encore la nuque devant elle, qui lui donne à la fois l’impression d’être plus bas qu’elle et la dépasser de toute hauteur. elle descend l’escalier, elle voit sa nuque devant elle, elle le suit. l’escalier est au fond d’une cour, très bas entre plusieurs immeubles, elle descend cet escalier, elle peut voir dans les appartements qui y donnent, cellules vivantes, vécues, photographie d’états décharnés, dévécus. elle cherche elle aussi ce présent sans passé, elle aimerait que lui aussi ne pense plus au passé quand il la regarde au présent. elle lui dit je cherche un présent sans passé. il ne comprend pas, il continue les schémas commencés il y a longtemps, il est comme ça, il sera comme ça, et tout en est dépendant. elle descend l’escalier, elle voit sa nuque devant elle, elle le suit. l’escalier est au fond d’une cour, très bas entre plusieurs immeubles, elle descend cet escalier, elle peut voir dans les appartments qui y donnent, mais elle n’a pas le temps, elle regarde la nuque devant elle, devient nuque, fait la nuque, ils prennent le couloir, et sortent dans la rue. souffle, délivrance. emportés par la foule.

aaaaaaaaaaaaaaaaaaa-aaaaaa-a-a-aaaaaaaAAAAAAAAAAAA A pas tout compris…
Hola muchachos y muchachas,
Comme l’indique l’objet de cet ultime mail, ceci est la derniere chronique que vous recevrez de moi. Merci pour tout, pour m’avoir lu, pour m’avoir supporte, pour m’avoir accompagne pendant ce voyage qui se conclut bien plus loin et bien plus demembre je ne l’esperais… Mais, comme fideles lecteurs, je vous dois quelques explications avant de m’en aller une fois pour toutes.
Toujours base a La Serena depuis lundi, je decide donc hier de dedier ma journee a me balader le long de la Valle del Elqui, long chemin fluvial serpentant entre des collines brulees, aux portes du desert. Par chance, je faisai lundi soir connaissance d’un denomme Fabian, chilien residant a la Serena, logeant comme etudiant dans la meme pension que moi. Amoureux transi de la Valle en question, il se propose gentiment de me servir de guide, ce que j’accepte d’autant plus vite que, malgre certains moments d’abscence, nos conversations sont fort sympathiques, et qu’il se montre tres curieux de la culture europeenne. Nous partons donc le mardi matin louer une voiture, pour se faire plaisir, et pour ne pas a etre dependants des quelques rares bus qui parcourent la vallee jusqu’au bout.
Et anda ! Nous voila sur la route. Je n’avais pas bien remarque ce petit collier bleu vaguement luminescent que portait mon ami du jour. Je lui en demande l’origine. Fabian, allusif, me parle d’un present d’un lointain parent. Je n’insiste pas. La route, bordee d’observatoires, dont certains font partie des plus puissants du monde, est frequemment le theatre d’apparitions d’objets volants luminescents me dit-il. Nous rigolons ensemble de la credulite des gens sur fond de rock chilien d’une radio perdue. Partout autour de nous, de hautes collines devastees se terminent sur des ilots de vegetation luxuriante ; c’est l’une des bases principales de culture de raisin blanc, que l’on utilise, du fait de la chaleur, pour…
Nous nous arretons enfin, apres une heure de route des plus agreables, a Vicuña, sous une chaleur accablante. Nous en profitons pour nous restaurer. La patronne du bar nous propose aussitot de deguster une boisson de son cru, une specialite de la region parait-il. Nous continuons a discuter paisiblement. Je suis surpris par Fabian qui, apparemment, connait beaucoup de monde. Un groupe de vieille femmes, sous le soleil ecrasant, de l’autre cote de la rue, lui adresse regulierement des petits signes amicaux. La serveuse revient avec deux…
La route a nouveau. Etonnamment, ma tete est assez lourde, mes reflexes, ralentis. Fabian lui, semble etre aux anges. Il ne cesse de me montrer des choses, tandisque j’essaye de me concentrer sur la route. Nous conduisons encore une petite heure sous un soleil de plus en plus accablant. Le rock chilien qui tourne en boucle au fond me donne une sorte de nausee. Fabian note que je me decompose. Il me propose de nous arreter, pour que je me repose. Tiens, d’ailleurs, ca tombe bien, nous voila a Monte Grande, le village natal de Gabriela Mistral, prix Nobel de litterature dans les annes 50. Je sors, la tete me tourne sous le soleil implaccable qui ne decroit pas. Je pense qu’il me faut de l’eau et un peu de sucre. Fabian anticipe ma parole, nous nous dirigeons vers une terrasse a l’ombre au fond d’un patio. Je m’assied, un ventilateur diffuse un peu d’air. Mon bras gauche et ma nuque me brulent ; j’ai du m’attraper de gros coup de soleil a travers les vitres de la voiture, en conduisant. Fabian fait signe a la serveuse, qui lui adresse un petit signe amical. Elle s’eclipse. Fabian, intarrissable bavard, me raconte de bout en bout l’existence de Gabriela Mistral, cette grande femme precurseur de la cause feministe dans une vallee isolee de tout. Il me recite quelques vers. Je ne comprends pas tout, mes oreilles bourdonnent. La serveuse revient, arborant un grand sourire. Personne ne semble vraiment affecte par la chaleur, a part moi. Ils doivent etre accoutumes a 50 degres a l’ombre. Sa main, lentement, pose deux verres sur la table. Fabian m’explique qu’il s’agit d’une boisson locale, assez sucree pour combler mes manques, a base de raisin que l’on melange a du citron et du sucre et je ne sais plus quoi. La bouche dessechee, la main febrile, je….
La route a nouveau. Il semble faire un peu plus frais. Pourtant, je n’ai aucune idee de l’endroit ou je suis. Nous sommes bientot arrive me dit Fabian. Je n’en doute pas, il a ete de si bon conseil depuis le debut. Une petite cote. Une place, avec cet etrange symbole : 3 R entrecroises. Je me gare comme je peux, nous descendons sous le sourire goguenard d’un vieux, un chien mort a ses pieds. Allons voir l’artisanat local me dit Fabian. Son collier me semble luire de plus en plus. Je le suis sans broncher, la tete basse, le pas hesitant. Nous rentrons dans une sorte d’usine. Dedans, des scientifiques asssaillent de question un jeune homme, manifestement incapable de parler leur langue. Je me demande, avec le peu de lucidite qu’il me reste, ce que ces scientifiques font ici. Le jeune homme se met a vomir. Les scientifiques s’eloignent. Nous rentrons dans une salle immmense, obscure. Une forte odeur de ferments m’assaille. La tete me tourne de plus en plus. Fabian me soutient par la taille pour m’entrainer au fond d’un entrepot. Je lui dis que j’aimerais me reposer un peu. Pas encore ! Il faut que tu voies l’entrepot. Nous avancons. Tout au long du trajet, je croise des hommes et des femmes en blouses qui nous saluent. Des bras me tendent des recipients, souvent opaques, pour me desalterer. Le babillage de Fabian ne me parvient plus que de tres tres loin. On m’assied sur un banc. J’apercois la silhouette de Fabian en train de discuter avec des blouses blanches. Il fait tres chaud, tout est tres humide. De gros bassins de cuivre et de nickel brassent des hectolitres d’un liquide nauseabond et poisseux. Je crois que je m’assoupis… Une main me secoue par l’epaule. D’une voix febrile, je demande Ou sommes nous ? J’entrouvre les yeux. Nous sommes en pleine foret. Au loin, je distingue une sorte de globe blanc qui domine la montagne. Des murmures tout autour de moi m’indiquent que Fabian n’est pas seul. Pour cause, il a retrouve tous ses amis. Face a moi, dans la semi-obscurite de la nuit tombante, celui qui autrefois etait Fabian me repond Mais a Pisco Elqui, voyons, tu ne te souviens pas ?
Ils m’emmenerent.
Je sais par les marques sur mon front que j’ai subi plusieurs operations. Je suis aujourd’hui confine dans une sorte de cellule dont la fenetre donne directement sur les lumieres aveuglante des laboratoires d’analyse. Tous les jours, je dois subir ce que j’ai fini par nommer une « Piscotherapie de groupe », ou, allonge sur une sorte de fauteuil de dentiste, nous devons ingurgiter des quantites incalculables de ce breuvage qui fait insensiblement changer mon corps. Nous partons demain pour Altair IV, ou je n’aurais plus acces a aucun reseau compatible avec les normes terrestres.
Je voulais juste vous dire encore une fois merci pour tout votre amour, pour tout ce que nous avons partage ensemble. Tim, mon compagnon de chambre – nous nous etions croise a Puerto Natales avant qu’il ne soit opere – veut aussi vous adresser un message de paix. Voila, je le transmets.
Besos a todos
Pour la derniere fois…
PS : Ils ont le dos tourne, j’en profite pour vous dire que si vous voyez un jour leur symbole, fuyez, fuyez loin tant quejir{w,ñl…………
MONTREAL (AFP) – L’éternelle jeunesse de Tintin, qui a
fêté cette année ses 70 ans sans quitter l’adolescence,
ne serait que le symptôme d’une déficience hormonale liée
aux coups répétés sur la tête que ses aventures lui ont
valus, estime un chercheur dans le Journal de l’Association
médicale canadienne.
Avec ses deux fils Antoine (5 ans) et Louis-Olivier (7 ans),
le docteur Claude Cyr, pédiatre de la faculté de médecine
de l’Université de Sherbrooke, a passé au crible les albums
du héros de Hergé.
Les trois publient dans le numéro des fêtes du magazine
scientifique un article intitulé « Déficience acquise de
l’hormone de croissance et hypogonadisme hypogonadotropique
chez un sujet ayant subi plusieurs traumatismes à la tête
– ou Tintin va chez le neurologue ».
Si Tintin n’a toujours pas connu le feu du rasoir, les cheveux gris
ou une poussée de libido, c’est qu’il souffre d’hypopituitarisme,
ou insuffisance hipophysaire, une condition liée au mauvais
fonctionnement de la glande pituitaire, qui rattache au cerveau
l’hypophyse, elle-même chargée de secréter des hormones.
Ce mauvais fonctionnement est dû à une cinquantaine
d’évanouissements recensés, dont 43 provenant de coups à la tête,
dont 26 portés par des objets contondants, sans compter trois
blessures par balle, trois empoisonnements au chloroforme,
quatre explosions, trois accidents de voiture et deux chutes.
La force du choc a été évaluée en fonction du nombre d’étoiles
et/ou chandelles tournant autour de la tête de Tintin, et la
longueur de son évanouissement dépend du nombre de cases dessinées
avant qu’il ne reprenne conscience.
« Nous formons l’hypothèse que Tintin souffre de déficience de
l’hormone de croissance et d’hypogonadisme hypogonadotrophique
(NDLR : insuffisance de fonctionnement des testicules) liés à
des traumatismes répétés », conclut l’article.
|
10000110 006 144.150 |
|
|
—DRM-–Fritz chip—DMCA—Fritz chip—EUCD—Fritz chip—TCPA—Fritz chip
|
|
Un meurtre par jour est signe de bonne santé mentale.
06 61 63 58 84



FINI LE CAFARD!
extermination rapide et propre
de toutes vos émotions
embarassantes !
(sur rendez vous)