link

Old par Gu. le 02 Déc 2003

bonnuit…

Old par Gu. le 27 Mar 2003

Mazie !

Trahison

La solidification de l’épiderme m’a soudé les mâchoires.

Juste au mauvais moment. Pulsar mental derrière amical laconisme, bref une averse de banalité.

Old par ... le 03 Fév 2005

Cela impliquait toutefois qu’il se rase maintenant.

whO’s baD

Old par Gu. le 26 Fév 2004

je vais devoir
faire un grand feu
et y précipiter quelques ennemis

rien de tel
qu’un petit sacrifice
pour restaurer la magie

comme au bon vieux temps

Old par M. Fox le 07 Mai 2003

Old par igor le 10 Jan 2004

nous sommes tous des intermittents (de la société) du spectacle
Tourgueniev en grève !

nous, intermittents, sommes fermement décidés à perturber toute activité culturelle (festival, concert, blogs, etc.) tant que les accords signés le 26 juin dernier par les syndicats gredins et le MEDEF n’auront pas été renégociés.
TOURGUENIEV EN GREVE !

Old par igor le 23 Juil 2003

Dans ton anus je vois la lune

Demain, vérifier l’absence de corps étranger maléfique
Ce soir, redescendre un peu sur terre
J’ai horreur des descentes…

l’ennui s’accumule et se chosifie

Lors de la première moitié du XXIe siècle,

la littérature européenne affiche certains traits qui relèvent de la notion de

fragmentation telle qu’entretenue par les nouvelles sciences des signes, comme

celles de la médecine et de la mode. Dans cette thèse, nous ramenons ce lien au

tourguenisme. Le tourguenisme entretient une certaine ambivalence face à la

fragmentation: il semble acquiescer à un état de choses auquel il s’oppose. Le

tourgueniste tout comme des sociologues, identifient comme symptôme principal de

l’être fragmentaire l’ennui. Cette réaction prend de l’ampleur à partir de 2004,

quand, pour des raisons en grande partie socio-politiques et économiques, le

tourgueniste se propose comme héros qui se dissocie de l’époque tout en

insistant sur sa propre modernité. Sans prétendre faire le tour de l’horizon du

tourgueniste au XXIe siècle, notre premier chapitre cherche à relever les lieux

publics où s’exprime son ennui. Le salon, le club, le bistrot, la rue sont

autant de théâtres où le nouveau héros tend son miroir au monde, se repliant sur

lui-même, prônant l’irréductibilité de sa manière d’être. Homme des foules, le

tourgueniste se définit par rapport à sa critique de la loi de l’échange. À

travers les trois figures du médecin, du collectionneur, et de la prostituée, le

tourgueniste produit un discours qui fétichise la valeur de l’individu. Chez le

médecin, l’ennui se fétichise en névrose. Chez le collectionneur, esthète du

naturel, l’ennui s’accumule et se chosifie. Chez la prostituée, l’ennui prend un

visage érotique qui résume la spécificité du tourguenisme. Le tourgueniste doit

sa spécificité à son implication dans la mode. La logique de la mode est celle

du fétichisme dont l’analyse, dans cette thèse, se déroule sur deux niveaux: le

niveau hype, impliquant le discours de la pathologie, et le niveau psycho anal

impliquant les procédés du fétichisme. Nous regardons les théories marxiste et

freudienne du fétiche sous cette double perspective, d’une part pour démontrer

leurs affinités avec le tourguenisme et d’autre part pour cerner le

fonctionnement du tourguenisme. Par ces théories, nous verrons comment le

tourguenisme révèle le caractère fétichiste de la masculinité. Si le noyau de

cette thèse se constitue d’analyses de textes littéraires, c’est que certains

artistes littéraires de la fin du XXe siècle contribuent à l’élaboration d’un

champ de réalisation de l’idéal du tourguenisme. Chacun des auteurs dont nous

analysons l’oeuvre constitue une variation sur le thème du fétichisme qui remet

en question l’identité masculine. L’oeuvre du tourgueniste est un cas limite de

la négativité de la notion de castration, le héros y assumant une névrose

féminisante. Chez le tourgueniste, le héros est imprégné de tourguenisme dans la

mesure où il s’approprie le genre féminin sans pour autant renoncer à

l’idéologie du masculin à l’époque victorienne. Enfin, tourguiguy soulève

l’héroïsme romantique au sein de la démarche tourgueniste, la dialectique

incommode entre l’aveu et le désaveu. Le tourguenisme s’avère un foyer important

d’interrogations sur l’identité masculine. Sa logique fétichiste aboutit à

l’aveu que la différence se situe à l’intérieur d’un héros dont l’ennui revêt

tous les symptômes d’un désordre féminin. Si la femme est châtrée, le héros

affiche sur son propre corps la preuve que l’homme l’est également. Son identité

masculine est fondée sur la castration de son moi.

The Aspic Mystic Mix

(**ici la retranscription phonétique d’un grand cri inhumain de terreur primordiale**)

Old par ... le 05 Sep 2006

Mardi matin, Oscar Berthelot se demande si sa journée va être aussi pénible que la précédente, il gratte son front et en retire la croûte d’un vieux comédon asséché. Il enfile ses pantoufles noires type espadrilles et se dirige vers la salle de bain. La rue est calme et Oscar Berthelot se traîne intégralement. Ses jambes sont lourdes de la soirée de la veille et ses souvenirs trop peu cohérents pour en tirer une quelconque satisfaction. Oscar Berthelot se déplace vers la machine à café et discute avec une amie, pas vraiment une collègue, qui mise tout sur une prudente victoire de la gauche et un renouvellement de la confiance des ménages. A la cantine il argumente en faveur d’un retour à mai 68, on opine, il est le chef de sa table mais il n’en reste pas moins assez troublé. A quatre heures Oscar Berthelot se permet une barre de chocomauve dans une tranche de pain, le verre de lait lui manque mais c’est déjà le soir et il se traîne à nouveau dans la rue, tête basse. Devant sa porte il s’arrête tout d’un bloc et regarde la paume de ses mains liées en manière de graal. Grondement, l’orage approche, Oscar Berthelot débarrasse la table et pose son assiette sur le rebord de la fenêtre. Il éteint la lumière et tente de trouver le sommeil, rêves de grosses femmes et de mains coupées.
Old par igor le 20 Sep 2004

parfois je frappe tellement fort cet ordinateur – le jeune homme remarque qu’on en parle jamais – que sa coque se déforme, alors je suis tout ennuyé et j’espere qu’il marchera encore, avant le prochain coup.

Old par M. Fox le 14 Oct 2002

Photo Sharing and Video Hosting at Photobucket

Le

jour viendra où le tableau ne suffira plus. Les couleurs en se

multipliant n’auront absolument pas besoin de formes pour être

perçues et comprises. Nous nous passerons de toiles et de pinceaux

; nous offrirons au monde – au lieu de tableaux – de géantes

peintures éphémères formées par des falots

brasillant, des réflecteurs électriques et des gaz polychromes,

qui, en harmonisant leurs gerbes, leurs spirales et leurs réseaux,

rempliront d’enthousiasme l’âme complexe des foules

futures.

message personnel (4)

agent zero,

note pour plus tard:
merde à l’amour
encore et toujours…
et surtout:
silencio.

A paraître…
De l’utilité sociale des extra-terrestres

Old par Gu. le 18 Mar 2003

bon à rien à cette heure, trop de fatigue, mais pas de mal.
bon à rien à sept heure, trop de fatigue, mais pas de mal.
demain on traque le maléfique et on recommence à bouquiner.
demain on reprend le rythme et on recommence à travailler.
je suis bien en ce moment, ça peut durer, on va tout faire pour.
—————————————————————————–
ne pas oublier de participer au barbecue théatral.
—————————————————————————–
peut-on rester femme et mère en prison ?
—————————————————————————–
lutter par le silence contre une petite pointe d’ironie.
—————————————————————————–
je vais à la cuisine chercher un couteau auto-aiguisé.
je vais à la cave chercher un biceps.
sortir une poêle, mettre un peu d’huile d’olive.
faire chauffer l’huile, bien bien chaude.
jeter le biceps, laisser griller,
un coup pile, un coup face.
quelques herbes
miam.

Old par igor le 12 Mai 2003

j’espère que l’enfer est climatisé

(sinon on risque de s’tenir chaud)

Old par M. Fox le 06 Juin 2003

t’aurais pas un aspro ?

Alors vous dormez finalement ?

Une nuit, le pacifique.
Deux jeunes filles sont installées au bord de la piscine vide, transats dépliés, pulls enfilés, surplombant la baie.
Une brise venue de la mer fait claquer les volets du vieil hôtel.
Attente. L’île toute entière retient son souffle.
Catherine indique une direction à Una.
– la première explosion… je crois.
– si tôt..?
Cathy prend la main de son amie, l’embrasse.
Elles observent la lumière qui grandit.
– oui… c’est la fin.
– enfin.
Une autre lueur vers le sud, puis une autre, et…
Un vent chaud, terriblement chaud frappe l’île.
– je t’aime…

I worship a god with an elephant head !
Gideon Stargrave

Old par igor le 25 Juin 2002

Bienvenue dans mon monde.

Old par Rodia le 13 Mar 2003

Par delà la porte se tenaient les dieux
au centre de tout
tronait le dieu musicien
dont la musique rythme la danse des corps celestes

Chacun devisait sur la cruauté
de celui qui avait créé la porte,
détruit le centre du monde,
et déporté ses habitants

Old par M. Fox le 10 Jan 2006


...seul...

Old par Nicolai le 16 Avr 2003

Viol de soucoupes

Carrément…

Ce qu’il faut faire

Dans ton texte, laisse apparaître les ratures, repentirs, contre l’idée

dégoûtante de la réussite, et du prêt à admirer.

ETC.

bOlO bOlO

blihhhh

bluH

Buuuuuuuuu

(…)

Old par Gu. le 15 Oct 2003

Vous ne r&eacutesistez pas &agrave vos
difficult&eacutes !

Old par A venir le 28 Sep 2002

il a dormi avec cathy

mais ce n’est rien

il a dormi avec alice

mais ce n’est rien

alors je ne dors plus avec lui

mais ce n’est rien

car je n’ai plus sommeil.

Banalement

Ordinairement

Rituellement

Normalement

Béatement

Actuellement

Docilement

&

B.a.d.i.d.e.dement

Assurément

Dorénavant

Généralement

Idéalement

Régulièrement

Lentement

.

.

.

Old par Gu. le 22 Mai 2003

SPECIAL K



Love And Destroy

I’m so free I could lacerate,

rip the robes right off my chest.

I fly high above the Muscovites’ sky,

I’m going to rip, rip, I’ll never rest.

I’m going to meet you at midnight.

I’m not used to living alone,

I have to learn how to live or I’ll die.

she’s not so special

so look what you’ve done boy

now you wish she’d never

come back here again

enjoy hemoglobine

Prendre la vie
sans fin
sans faim
pour le plaisir d’avoir ce pouvoir infini
ce pouvoir de vie et de mort
réservé aux anciens,

Tuer car il n’est point de bel amour
tuer pour emporter avec soi
ceux que mon amour laisse froids
sentir entre mes doigts
cette vie qui s’en va
et jouir de l’indifference enfuie
et de l’innocence retrouvée
des amants égorgés,

Tuer pour ne plus souffrir
tuer souvent et rire
comme un fou
d’avoir si peu de respect
pour l’acte d’occire,
d’écraser ces poux
qui, devant mes avances, reculent,

Tuer des princes et des riens
ceux-ci incapables d’amour
ceux-là indignes de moi,
sentir palpiter sous ma main
leurs coeurs que je connais enfin
et de leurs amours désormais souverain
m’extraire d’un coup de couteau
soudainement, sans un mot,

Tuer sans craindre les conséquences
tuer pour l’amour du geste
comme on applaudit au théatre
pour un bon mot,
tuer sans se retourner,
sans regretter,
assassiner et consommer l’amour
sur place, en instantané
et ne plus s’en soucier jamais,

Tuer et être tué
trouver celui qui mettra fin à cela
tuer pour être tué,
accepter avec joie cet ange qui me poignarde,
que j’ai aimé sans prendre garde,
saigner dans l’herbe comme un vieux roi
las de vivre encore
et qui n’attend que la mort
pour te serrer dans ses bras.

Old par M. Fox le 25 Juil 2002

« L’homme violent ne connaîtra pas la mort naturelle »

comme beaucoup d’eau qui coule
d’un endroit éloigné
c’est important
et silencieux

je me repose
et si la tempete
vient à m’emporter

mon coeur sera pur
et je mourrais ravi
jeté contre la falaise
comme m’a toujours dit mamie.

souffle le vent
emporte tout !
je veux t’offrir mon corps
et mille choses encore…

Old par M. Fox le 09 Avr 2002

je vote wintercamp…

ceci n'est pas un chateau dans les pyrénées

Old par M. Fox le 12 Mar 2003

Fondamentalement, j’aimerai retrouver mon animalité ; elle me fait défaut pour agir ; objet construit, je ne puis profiter de l’instant présent.
Mon masque social agit comme une membrane imperméable, empêchant l’aération de mes blessures émotionnelles, et favorisant la culture d’un mal être anaérobique, une ulcération intérieure qui précède une inévitable nécrose.
Je crois que c’est sans remède.

Molletonné

petite lucie

Morts ! Tous morts ! Vous ne viendrez plus obéissant à ma voix,
quand, assise sur le bord du lac, je vous jetais dans la gueule
des pépins de pastèques ! Le mystère de Tanit roulait au fond
de vos yeux, plus limpides que les globules des fleuves.

Old par igor le 24 Fév 2005

Je cherche du travail …

– Qu’avez vous fait ces 12 derniers mois ?

– Moi ? J’ai fait ça.

[999poèmesSERIEtourgueniev]

289

la fin c’est bien

j’écoute nous deux et je voudrais la nuit

tu es simplette et si douce

[konsstruktVOUSaime]

–Parfois l’impression d’être catapulté dans l’espace avec des tartines accrochées partout–

Old par -- Zan le 07 Jan 2003

… une torche à fusion que manipulera Nikolaï, quelques armes de poing, de la lumière, des cordes, quelques grenades, un peu de dynamite… voilà ce dont disposent les agents de la ligne… interrompant l’examen du matériel, Nikolaï entre dans l’abri à son tour et enserre instantanement Tourgueniev de ses bras robustes. L’accolade échangée, chacun s’équipe avec minutie. D’ici on va progresser rapidement vers la galerie nouvellement mise à jour, actuellement masquée par une mince couche de remblais déposée par de complaisants ouvriers. Les regards sont graves et les gestes precis alors que les trois agents speciaux quittent l’impasse …

Old par M. Fox le 27 Mar 2002

c’est toi chéri ?

°-°°-°
va savoir…

Cinq ans

Tu penses me priver de quelque chose

Eh bien, je ne manque de rien

C’est toi qui rate quelque chose

Mais tu ne le remarqueras pas

Avant cinq ans

Si tu vis aussi longtemps

Tu te reveilleras

Sans Amour

J’en ai tellement marre

des laches

Qui disent qu’ils veulent

Puis qui ne savent pas s’y prendre

Pas s’y prendre avec l’amour

Tu ne sais pas t’y prendre avec l’amour

Simplement tu ne sais pas

Tu ne sais pas t’y prendre avec l’amour

C’est évident

Mes poivrons grillés à l’huile d’olive…

Sourire aux têtes connues dans le quartier…

Retrouver un polaroïd à soi affiché dans un bistrot…

La langue, l’oralité, la bouche, le palais…

Les feuilles pourpres et safrans à l’automne venu…

La coriandre, l’aneth, le poivre vert et le basilic…

Tomber dans les bras de Morphée en pensant à un inconnu…

Old par Gu. le 13 Mai 2003

quelqu’un comme toi

Je me souviens déjà plus de ton nom,
dans quelques jours,
j’oublierai même,
ton visage.

Camille

La première fois que j’ai croisée Camille, mes yeux se sont fixés sur sa silhouette entraperçue. Puis, je l’ai cherchée du regard à chaque occasion. Je l’ai dévisagée sans vergogne, rougissant de la complicité que son attitude sous-entendait.

Les cheveux courts en bataille, le regard faussement hautain, le sourire amusé, le menton résolu, elle aussi m’attendait, patiente et terriblement désirable.

Son attitude est un défi qu’elle m’adresse et qui me susurre : « Rejoins-moi ! ».

J’ai envie de me jeter sur elle, de partager un moment de tendresse, de jeux, de faire tournoyer les draps autour de nous.

Mon désir est sain et pur.

Vêtue de ses seuls dessous (C & A, soutien-gorge 15€95 et string 5€95), elle m’est fidèle sur ses six mètres carrés et restera là pour moi, en attendant d’être remplacée par une plage des Caraïbes, ventant les mérites d’une agence de voyage anonyme.

Old par M. Fox le 15 Mai 2003

zeu trousse

—– Original Message —–

From: « TROUDAIR »

To: XXXXXXXX

Sent: Wednesday, May 31, 2000 9:43 AM

Subject: Troudair is telling you the truth.

> Ok. I give you my real name wich is Grégoire Courtois (quiet difficult

> to prononce for an english-speaking person).

> Actually, I don’t give that name on the Net to let the entity Troudair

> live its own life. In fact, Grégoire Courtois is not an artist any more,

> exiled in the deep french country for a few months, bored of Paris and

> their fake and sad nights alone in a bunker/studio, fighting with demons

> to bring back to life the idea of beauty and getting no feedback from

> the audience around. I used to make movies too, studied cinema in a

> school in Paris and met smiling faces of producers that thought that my

> scripts weren’t happy enough to become films. Is it my fault if the

> world is not happy enough to become a movie?

> So I broke up with all that shit and went back in the country where I

> was born, changing Grégoire Courtois into a gentle, ordinary man,

> getting up at 7:30 every day to go to work in a little theater in

> Auxerre (I’m sure you know Auxerre, you english guy!).

> And that’s it. Grégoire Courtois was dead and the only ray of creativity

> left was Troudair, creature dedicated to the Webspace, sometimes

> creating events in the real life but only to have sounds and photos to

> show on the Net.

> So that’s why I prefer to be named Troudair (wich means airhole, or

> flight perturbation in french).

> All my friends are calling me Troudair.

> Thanks for your comment about the MP3.

> A+

POUR LA NOUVELLE ANNEE:

MARTEAU-BATEAU-CAPOTE EN PAPIER!

My legendary girlfriend

un jour à cette heure il fera nuit depuis quelques minutes

I need a fix ’cause I’m going down

Quand je te tiens dans mes bras (bang, bang, shoot, shoot)

et que je sens mon doigt sur ta détente (bang, bang, shoot, shoot)

je sais que je n’ai rien à craindre (bang, bang, shoot, shoot)

car le bonheur est un fusil tout chaud (bang, bang, shoot, shoot)

pas de doute

Itaf, le dromadaire et son ami Joan sont des amis inséparables. Ils partent à la recherche du Secret du Désert. Que trouveront ils?
Itaf the camel and Joan a young boy are inseparable friends. Being such good friends, they have strange and fabulous encounters.
Itaf, das Kamel, und ein kleiner Junge sind unzertrennliche Freunde. Durch diese Freundschaft erleben sie wunderbare und seltsame Abenteuer.
Itaf és Joan elvàlaszthatatlan baràtok. Indulnak a sivatag titkànak felkutatàsàra. Mit fognak talàni ?

Old par M. Fox le 18 Mai 2002

Message crypté :

Abstraction + Minimalisme = Où sont passés les oursons ?

< Histoire d’A >

Amitié à moitié moite

je suis jamais sur ta liste !

Old par M. Fox le 29 Sep 2002

Des bulles, du champagne et des Cocos

Ca se passe dans l’air – ca se passe. Du monde, un t-shirt moulant, des bimbos from elles, des journalistes teknos, des filles qui parlent footbanging, au 6e au dessus de la salle de pelote basque-squash-tennis : WYSIWYG, tic-tactique, talons rivés au balcon, mix mix mix, buttifulled people, blonde blonde blonde – sex sex sex – va, vient, uni-son, flashback – hardcore sessions chaotiques & musimathiques. Retour au routeur ex – ex – ex, s’extraire, se taire, rouge, rouge, rouge, le ché sur le sac, cadeau, peine, pain, bouteille cassée, fracassé.

Old par To le 25 Nov 2004

Allright now plane du zénith à l’olympia,

Regarde les muses élyséennes s’amuser des âmes usées,

Agnosticisme hardcore do the locomotion with me

Reine libre les danses macabres guitares saturées

Silence Radio killed the video star

Old par To le 05 Jan 2005

Old par Gu. le 21 Juil 2003

Tentative de synthèse 2 – Tchiklik Paw

It will never stop, it will never end, je conçois trés bien ce que ça a de casse-couilles, mais pour certains le temps diffère, les anecdotes des uns sont les vies des autres. L’univers contenu dans un grain de sable, et quelques mots suffisent au big crunch – paw. Pourtant, ça n’en a pas l’air, mais y a encore de l’air dans les alvéoles.

Pr. Drüünorst Gulkstra-Grull, sous influence (mais sa vie a mal fini, faut dire)

Old par ... le 03 Mai 2006

Old par DrT le 13 Mai 2003

Old par M. Fox le 20 Mar 2003

Passer son temps à le passer de corps en corps
(Phrase entendue dans un demi sommeil.)

serge, ce héros —

« Pour éteindre le feu au cul de Marilou
Un soir n’en pouvant plus de jalousie
J’ai couru au couloir de l’hôtel décrocher de son clou
L’extincteur d’incendie »

LE PROBLEME DE LA RECIPROCITE

« Les garçons veulent juste coucher avec les filles. » (Bruno de Stabenrath dans Paris Obs du 18 au 24 mars 2004)

Old par JLB le 19 Mar 2004

le récitant : i could scream but the silence is the best scene.

Old par igor le 05 Avr 2003

Minuit pile

je suis libre.

Old par igor le 09 Oct 2003

Daily Standard Obituaries – April 2003

Thomas A. Lampert, 78, 59 Rummel Creek Drive, New Bremen, died at 4:50 a.m. April 6, 2003, at his residence.

He was born July 31, 1924, in Minster, to Bernard and Bernadine Berning Lampert. On June 7, 1947, he married Edna M. Quinter who survives.

Also surviving are three sons, Bill (Nancy) of Raleigh, N.C., Charlie (Sharon) and Pat (Jamie), both of New Bremen; four daughters, Peg (Nick) Will, Worthington, Teresa (Larry) Wissman, Julie (Tom) Pfenning and Kay (Bernie) Larger, all of New Bremen; two brothers, Virgil of New Bremen and Eugene (Joanne) of St. Marys; two sisters, Marilyn (Guy) Dennings, Covington, and Audrey McCollum, New Bremen; 24 grandchildren and a great-grandson.

Deceased are two brothers, Orville and Victor, and a granddaughter.

He and his brother Gene operated Lampertís IGA in Piqua. He also was night supervisor at Minster Machine Co. prior to retiring after 35 years of service and raised cattle on his farm north of New Bremen.

He served in the 526th Army Infantry Battalion during World War II, earning awards for ground combat. He was a member of the Church of the Holy Redeemer in New Bremen and was a life member of New Bremen American Legion Post 241 and Minster Veterans of Foreign Wars Post 6432.

Funeral Mass is 10:30 a.m. Thursday at the church, the Rev. John Kroeger officiating. Burial will be at German Protestant Cemetery, New Bremen.

Calling is 2-4 and 6-8 p.m. Wednesday and at 9:30 a.m. Thursday at Gilberg-Hartwig Funeral Home, New Bremen.

Contributions can be made to Mercer/Darke County Hospice.

Old par To le 16 Nov 2004

Minuit pile

Old par igor le 29 Sep 2003

et il te le rend bien

Old par M. Fox le 05 Fév 2003

elle avait perdu
tout gout pour l’étude
tant
l’épanouissement de ses sens
la comblait entièrement,

son visage portait une lueur
douce et chaude,

elle se moquait
de la gloire et de l’héroïsme
et répétait à qui voulait l’entendre
qu’elle n’avait rien à prouver
ni rien à accomplir.

j’ai aimé cette femme,

j’ai aimé cette vie,

volupté

Old par M. Fox le 16 Déc 2002

dravion

Old par Gu. le 10 Nov 2003

Nous vivons sans dieux,

n’est-ce pas, Mère ?

Old par M. Fox le 03 Sep 2003

Old par Gu. le 20 Juil 2003

Minuit pile

Old par Gu. le 20 Jan 2004

f r o l e u r…..d ‘ e a u x …..t r o u b l e s

Old par -- Zan le 29 Jan 2003

frOm the sky (…)

haaaaaaaaahahahahahahahahahahahahahahaha

Old par Gu. le 30 Jan 2004


le bord du canal
laisser couler
la masse empaquetée
dans l’eau glacée
se frotter les mains
les plonger dans l’eau
un frisson
ne pas se retenir de
pleurer
encore
se repasser la scène
en boucle et imaginer
que ça n’a pas
existé
puis regarder les bulles
et le paquet
qui se noie
sous cette putain
de lune

Old par igor le 08 Avr 2003


pas mieux…

Varsovie – Novembre 1945 – 10 minutes après
Igor observe les petits orphelins
Igor traverse le bordel pédophile
Igor cherche une porte bleue
Igor se moque de la mort
Igor saigne encore un peu du nez
Igor ne…
Igor Tourgueniev ne se rappelle pas de son vrai nom
dehors les spectres agonisent

Old par igor le 11 Juil 2003

les masques tombent !

Old par igor le 02 Avr 2007

comme sur un bloc…

tout excès sera châtré

ça ne veut rien dire…

non.

Old par -- Zan le 28 Juil 2003

Produire des phrases comme on ferme des portes, pour dormir enfin.
(Ecrire pour atténuer le bruit du dehors.)

Old par M. Fox le 02 Mai 2003

Une chatte peu en cacher une autre…

le club des chattes en Bikini manifeste: le string ne passera pas par nous!

le CPE on s’en branle, nous ce qu’on veux c’est bronzer en paix!

à mort ce putain de temps de chien
vivement que le printemps
enfin que y revient!

– « Quand je suis avec toi
je suis mieux qu’avec tous les autres ! »

– « Moi aussi Rox, moi aussi… »

Old par M. Fox le 29 Nov 2002

J’ai Lénine en numérique,

il a mis des souris dans l’eau froide,
dans une casserole,
il a mis un couvercle,

c’est une casserole en verre,
les souris se débattent,
mais le couvercle est lourd

il allume la plaque chauffante,
je crois que l’eau chauffe très vite,
impossible de tourner la tete

et les souris se tordent
et crient
oui, j’entends leurs cris

puis plus rien,
des mouvements reflexes
et la peau qui commence à partir,…

Old par M. Fox le 02 Déc 2002

… À la réalité

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