La vie est un jeu pratiqué par de mauvais joueurs et où tout le monde perd à la fin.
je marche dans la ville depuis des jours
le virus me ronge, charogne en sursis
le mal ne fait rien que de me bouffer
personne dans les rues, juste les chiens
…
les bûchers, l’odeur des corps
mourir enfin, me reposer
oublier ton absence, ton odeur,
la fin des hommes, demain les chiens…
il y a des garçons à montréal qui te font haïr les chansons d’amour.
le récitant : anyway, the times they are a-changin’.
Oui et la mort et bien quoi ?
LiLDeVi|6 : mes parents sont ici, je peux pas…
Je crois qu’elle a quitté
la petite maison blanche
qui abritait nos amours
Elle a pris le chemin
qui contourne notre colline
pour retrouver son clan
J’attendrai le Printemps
pour aller la trouver
Que se calme la colère
et que verdissent les prés