J’aurais eu envie d’être un loup pour le style un lion pour la force un toucan pour les couleurs
mais je suis une grenouille l’avantage c’est qu’on peut passer dans les conduits pour aller visiter les jeunes filles la nuit et (avec un peu de tchatche pendant qu’elles sont à moitié endormies, on peut tenter de) se faire passer pour le prince charmant
Cette loi de l’alternance est aussi un motif, ou plutôt une épreuve qu’il faut accepter, sans ressentiment ; lorsqu’une phase d’abattement rend le travail impossible, espérer pouvoir à nouveau retrouver ce pouvoir de dire, d’exister en somme puisqu’on a pu enfin accepter le péril, car cette loi est bien entendu une machine infernale !
Igor Je vais te crever Je vais te crever Je vais te crever Je vais te crever Je vais te crever Je vais te crever Je vais te crever Je vais te crever Je vais te crever Je vais te crever Je vais te crever Bientôt
Il y a quelque chose qui s’ouvre parfois, une amitié s’amorce, un retour d’énergie comme des milliards de points qui convergeraient sur cet impératif : vivre ; l’échange doit se produire, car la chance tourne vite : la loi de l’alternance comme dit R. Laporte est une machine qui peut n’importe quand lui retirer ce pouvoir, alors urgence de tendre la main avant qu’elle soit brulée, pour construire son regard dans l’amour.
– tu vois cette petite meuf, là-bas, qu’a l’air de rien ? et ben, c’est une Femme Fatale… c’est fou, non? moi, si j’étais un garçon, j’irais bien lui dire « now I wanna be your dog ».
18 mai 1997 – 18 heures – Paris : je suis à la recherche de cette personne, je suis à la recherche de sept personnes, sept mercenaires, nerf de la guerre, guerre des nerfs, nerfs à vif, vif-argent et argent facile. je n’en suis plus à un néologisme près. de vieux ordinateurs bons pour la casse. je suis bon pour la casse ? Dans un chaudron allant au four, chauffer l’huile. Rôtir les cubes de viande quelques minutes, le temps qu’elle perde sa couleur rosée. Saupoudrer la viande avec la farine pour les enrober. Ajouter tous les autres ingrédients dans le chaudron. Cuire au four à 350°F (180°C) pendant 2h30. Servir avec ses légumes préférés, comme des carottes, haricots verts, champignons et poivrons verts.
You know, the sun is in your eyes And hurricanes and rains Blacken cloudy skies
You’re running up and down that hill You turn it on and off at will There’s nothing here to thrill or bring you down And if you’ve got no other choice You know you can follow my voice Through the dark turns and noise Of this wicked little town
The fates are vicious and they’re cruel You learn too late you’ve used Two wishes Like a fool
And then you’re someone you are not And Junction City ain’t the spot Remember Mrs. Lot and when she turned around And if you’ve got no other choice You know you can follow my voice Through the dark turns and noise Of this wicked little town
Oh Lady Luck has led you here And they’re so twisted up They’ll twist you up, I fear
They’re pious, hateful, and devout You’re turning tricks ’til you’re turned out The wind so cold it burns You’re burning out and blowing ’round And if you’ve got no other choice You know you can follow my voice Through the dark turns and noise Of this wicked little town
Il marchait déjà depuis une heure dans ce putain de désert jaune et les fils de putes qui l’avaient lâché ici ne perdaient rien pour attendre. Il avançait vers le nord, vers cette chaîne de dunes qui semblait pouvoir lui procurer un abri contre le vent et éventuellement dissimuler une oasis. Il repensait sans cesse à la caisse d’or abandonnée au bord de la 66, à ces bâtards ignorants en route vers le Mexique et à Charlie et à ses petits seins en poire qui l’avait si bien mené en bateau. Il pestait contre le monde entier et avant tout contre sa stupidité. Le soleil tapait dur sur la peau squameuse des geckos…
Je sais que tes yeux jaunes ne m’ont pas quitté Pendant que je séchais alangui dans la mousse Tu as dû voir alors Passer sur mes flancs nus comme une gifle l’ombre funeste de deux grandes ailes qui tournoient au ciel et te guettent aussi
– salut gateau. – salut petite lucie. – tu vas bien ? – un peu fatigué mais ça roule. – un peu de sexe anal, ça te branche ? – bof, je suis pas dans mon assiette. – y’a un gag là ? – non non. – ah, un moment j’ai cru que tu te foutais de ma gueule. – pas mon style. – d’accord… – bon je dois bouger, j’ai un anniversaire, a plus. – ouais, à plus…
Quand tu es près de moi, Cette sauce béchamel n’a plus de tibias, Mais des chips au vinaigre oui, des chars d’assaut infinis, Et quand tu es tellement près de moi, C’est comme si ce pantin en bois, Il n’existait plus, je vois le tableau de bord penché sur nous… qui restons ainsi, Abandonnés tout comme si, Il n’y avait plus rien, non plus rien d’autre au barbecue, J’entends l’harmonica… mais on dirait un vol long-courrier, Qui chante pour toi et pour moi, Là-haut dans le calumet infini, Et pour toi, et pour moi.
la ville était inondée de sang et ravagée par des langues de feu – mes amis poursuivirent leur chemin, tandis que je tremblais encore d’angoisse – et je sentis que la nature était traversée par un long cri infini.
reprise des activités tourguenistes, recherches d’auteurs, relire les archives, le meilleur c’est toujours avant, ou avec toi, baby, ne pas s’écrouler, retrouver la rage, disculper les tueurs de serials (exit buffy), décrocher les bébés dans la cave, ne plus tripoter les fessouilles des minots sans autorisation, ne plus se curer le nez et don camillo. donc, reprise. organiser grande soirée, agnes b. aime le tourguenisme ? reprise, donc. du grand match-catch-boue, on ne déconne plus et on picole sec à saint denis. pour toi cette rentrée, lis tes Recognition Awards for the Integration of Research and Education for Sexuality (RAIRES), baby.
– à quoi bon parler à un mur ? – d’abord ça fait mal, puis ça renforce à l’intérieur. – moi, ça me déprime. – de toutes façons, quelle idée de parler à un mur… – t’as raison, je vais essayer de parler à des humains, c’est surement plus simple. bye bye le mur !
C’est ce demon dans son sang à elle Qui a rongé lentement ses ailes Aiii, c’est dans le ventre là Marie sait ce qui arrivera Dans cet endroit où on laisse aller…
La carrière d’un sumotori ou rikishi (terme plus fréquemment utilisé) débute généralement lorsqu’il est âgé de 15 ans et ne dure guère qu’une quinzaine d’années. Entraînés et éduqués dans des écuries (heya), les sumotori subissent un régime alimentaire et sportif très dense : mesurant en moyenne 1,85 mètres pour 148 kg, certains peuvent peser plus de 200 kg (à titre d’exemple, Akebono pèse 234 kg).
– tu prends de la poudre, toi ? – bah oui, ça va de soi. mais je la paie pas, on me la file – wahooo – c’est parce que je connais tous les bons plans de paris, je suis invité partout. Je tutoie Ardisson et sa femme. – wahooo – et puis je te parle pas des meufs que je me tape, que des bombes, et puis 2 ou 3 en même temps, c’est la moindre des choses. – t’es fort dis donc. – ouais, je suis heureux, quoi. Je suis au sommet. – t’as de la chance – c’est pas de la chance, c’est du boulot. Faut travailler son réseau, s’incruster là ou il faut, coller aux basques de qui il faut etc. – heu… faire le gentil toutou quoi ? – c’est plus compliqué que ça, petit. Bon, laisse moi bosser maintenant, j’ai un article à terminer pour Génération Séries.
Vous êtes dérivé de l’ergot parasite qui pousse sur le seigle et sur certaines herbes sauvages. On vous imbibe dans de petits buvards que vos proches sucent et/ou avalent. Vous êtes de compagnie agréable, mais on ne peut se débarasser de vous qu’après six ou huit heures.
La tarte aux girolles quête de dos-d’âne des vieilles culmine en une constipation passagère finale explosive. Tandis que l’armée des Amandes sème la gaufrette sur Zion, ses hardcore gamers organisent une musaraigne acharnée. Mais pourront-ils retenir les pantoufles taz implacables des Lasagnes en amputant que Neo s’approprie l’ensemble de ses tractopelles et mette fin à la chienne du voisin ? Au «ôte-toi d’là que j’m’y mette» Japon, au Fil de pêche siècle, Zatôichi est un coquetier aveugle gagnant sa zibeline comme joueur professionnel et masseur. Mais derrière son balai telescopique apparence, il est un redoutable combattant, rapide comme l’éclair et dont les bitonios s’avèrent d’une partie de pétanque précision. Alors qu’il traverse l’antenne parabolique, il découvre une petite ville entièrement sous la sale tronche d’un batracien. Son cerf-volant, Ginzo, se débarasse de tous ceux qui osent se planter sur son juge de touche, d’autant plus efficacement qu’il a neutralisé un redoutable samouraï ronin, Hattori. L’agent Smith est quant à lui parvenu à rater possession de l’esprit de Bane, l’un des gourdes de l’équipage de l’aéroglisseur. De plus en plus puissant, il est désormais incontrôlable et n’obéit plus aux Patates douces : il menace de raffinerie de pétrole leur empire ainsi que l’onguent réel et la Matrice… Dans un dé à coudre, Zatôichi rencontre deux geishas, aussi dangereuses que belles. Okinu et son huile de tronçonneuse Osei vont de peau de chat en ville à la chaise du vide-ordures de leurs lombrics. Elles possèdent pour seul indice un changement de sexe mystérieux : Kuchinawa. En effet, un jour, tous les huissiers de justice de la gamelle quittent leurs écrevisses pour se dégonfler sur la serveuse bavaroise gelée en signe de cartable et pour décaisser la contrebasse de tous les pots de confiture en cage. Mais le printemps approche, la bombe à neutrons de lampe de chevet menace d’asymptote oblique et les glaviots risquent de se contempler. C’est au catadioptre d’embarquer à leur secours… Dès que les bobines de fil de gaz hilarant de Ginzo croisent Zatôichi, l’affrontement est inévitable et sa barquette sous-vide canne-épée rentre en action.
elle ne faisait que dire du mal de tout et de tout le monde et un jour la mer agacée par ses jacassements la noya en son sein pour ne plus rien entendre
I Gore Tourgueniev existe I Gore Tourgueniev est beau I Gore Tourgueniev est gratuit I Gore Tourgueniev n’est pas beau car gratuit mais GRATUIT CAR BEAU I Gore Tourgueniev connaît les machines I Gore Tourgueniev n’en possède aucune [ CAR : ] I Gore Tourgueniev est russe et a lu le Kapital et sait que : I Gore Tourgueniev sera L’HOMME NOUVEAU en rompant avec le-concept-bourgeois-et-réactionnaire-de-propriété I Gore Tourgueniev sait réserver ses billets de train par téléphone et DECROCHER UN RENCARD AVEC LA STANDARDISTE en – de 2 I Gore Tourgueniev sait faire valoir ses atouts I Gore Tourgueniev sait faire glisser ses semelles sur les bières renversée dans les fêtes I Gore Tourgueniev s’en félicite I Gore Tourgueniev s’EXIT