Elle vit encore dans ma tête, dans mon âme et dans mon coeur. Le sexe, ce n’est pas la fête, j’en ai bien peur. Je suis immensément stressé mais je fais bonne figure. Je passe mon temps à bosser (et à boire, c’est moins sûr).
J’ai recommencé à fumer
Toi qui que tu sois, qui que tu seras, es-tu prête à m’aimer ?
———————————————- ce matin, une rencontre inatendue avec un vieil ami. j’ouvre les yeux doucement et il est là, au pied de mon lit. il me regarde de ses yeux verts. « Papa ! » je dis mais pas trop fort car je ne dors pas seul. Il me sourit mais ne dit rien, il se contente de regarder la forme sous la couette à ma gauche. puis il jette un coup d’oeil alentour au désordre qui règne dans la chambre. sur le sol, quelqu’un dort sur un matelas et par terre la bouteille de gel est renversée. le chat dort au bout du lit et on peut entendre dans le bureau les ronflements sonores de qui vous savez. « Papa ? » je dis. Il sourit de plus belle et commençant par son sourire, il disparait. ———————————————-
Erratum. (Compris l’impossibilité de parler en mon nom. Plutôt se demander ce qu’il y a derrière le nom. Avant le nom. Une créature épouvantable ? Un sauvage que je me propose d’apprivoiser. La création du héros comme un ego d’expériences, momentané, textuel. Un être abstrait. Un moule dans lequel tout peut se fondre. Même si le héros est une force vide, je suis responsable de lui puisque je l’ai crée. )
dans mon frigo, deux tomates et un bout de space cake le chat vient sur mes genous quand c’est triste à la fin de buffy ma copine n’est pas là mais je pense à elle souvent j’ai du mal à écrire même assis sur mon lit et ctgr/lotus sont beaux le loup mâche régulièrement des plantes pour avoir de belles dents je viens de me mettre au go et je vais finir le cri du sablier j’ai acheté à londres d’énormes pompes que je ne porte jamais il ne faut pas brûler des livres car les lire c’est mieux, souvent thierry ardisson me donne la nausée le samedi soir et l’instant T : c’est l’instant Tourgueniev ? ——————————————————— ——————————————————— les histoires vraies c’est pas facile parce qu’elles sont vraies
Plus que quelques affaires à régler ici. Demain j’embarque et surtout j’en prends pour au moins vingt ans. La prochaine étape de ce cargo c’est dans quinze mois lumière, ensuite c’est le grand saut quantique et à l’escale suivante je ne connaîtrai probablement plus personne de ce monde. C’est l’occasion de recommencer à zéro, non ? Je vais ranger ma cabine.
Minuit et des poussières, je suis un peu crevé. Mais je crois que si je dors, ça devrait s’arranger. Donc, il faut que je le fasse. Aller me coucher ? Oui sûrement. ——————— Bon,ok… Je l’ai revue hier…
Alors nous tombons. Les cheveux dansent dans le noir entre nous la fuite s’exagère et se disperse, nous tombons se rattraper dans la pluie d’entre tes cils monte en inversant le sens. Toi en bas glisse le long des bras tendus mes jambes passent et longues immenses proches s’écartent. Ne me touche pas. Encore éloigne-toi, cet insensible que la séparation forme comme un plein rempli des atomes de l’air qui file noir, noir noir tes cheveux bougent dans l’oreille ça file les gouttes ça file tu ne sais plus ouvrir les yeux je ne sais plus les fermer j’étends le bras ça file vers le bas tu vois mes jambes qui s’écartent dans le vide suspendues. Parle-moi je t’attends, ne me touche pas, j’avance sur toi.
#9 Il soupçonne ses réactions dites instinctives de n’être pas spontanées. « Est-ce que je ne simule pas l’enthousiasme quand C. par exemple me téléphone ? » Mais il ne s’en rend pas compte. Peut-on retrouver l’âme véritable ? Il ne veut pas s’y essayer car il a peur de la découvrir noire, pleine de haine et d’indifférence. « Si ça se trouve, la voix de C. impromptue dans une journée consacrée à la méditation solitaire me pèse atrocement ; l’entendre ne provoque aucun amour, pire encore : aucune reconnaissance. Mais je n’accepte cette part de méchanceté. Je dois faire des efforts de bonté». Le héros, comme on le voit, est clivé. Sa tâche : éteindre une à une les fausses paroles, les gestes empruntés. Une bataille au cœur du langage, face aux corps. N’être plus qu’un.
« Les libraires ne trouvent rien à redire: « Faire du marketing sur un mauvais produit, on pourrait s’en plaindre. Mais ce n’est pas le cas », selon Bertrand Picard. « Harry Potter a ouvert des millions d’enfants à la lecture », renchérit Sarah Thomas.
Parmi eux, Juliette, 13 ans, qui énumère les recettes du succès: « On ne bute sur aucun mot difficile, c’est pas comme Zola », « il se passe toujours quelque chose », « il y a des énigmes ». Et surtout, « comme c’est le seul livre que nous avons toutes lu, je peux en parler avec mes amies« .
Le diable peut-il prendre l’apparence d’une (trop) jeune fille brune les cheveux courts, aux grands yeux noirs, au joli visage sur le quel flotte un sourire inexplicable ?
Peut-il apparaître seul, lors d’un concert et se trouver derrière moi, inaccessible mais évidemment visible ?
Peut-il me tenter juste suffisamment pour que ma timidité et mon inaction me soient insupportables ?
Ricco était un clown qui vivait dans un cirque Sa tête de fripouille faisait rire les enfants Son sourire maquillé de gugusse ambulante De tournée en tournée il pleuvait les applaudissements Il jouait avec ses mains comme un petit magicien Pourquoi donc un matin il a joué un peu trop loin ?
Oui, il s’est pendu sous le grand chapiteau Un concombre dans le cul, son corps nu flottant très haut Le visage peint en rouge et les godasses au pied Ricco était un clown maintenant pour l’éternité Sous le grand chapiteau tous pleuraient en silence Et le soir les marmots rigolaient bien en cadence !
Ouais!!!!
Zeppo l’autre clown qui vivait dans le même cirque Sa tête de grand fou faisait rire les enfants Ricco était le gugusse et Zeppo le clown blanc Mais depuis qu’il n’était plus ce n’était plus comme avant Et Ricco était mort et Zeppo devint grave Bientôt son visage blanc n’amusait plus les enfants!
Et Zippo devint fou sous le grand chapiteau Il plongea dans la foule avec ses yeux en couteau Il tua son premier gosse et s’enfuit dans la forêt Il mangeait des écorces, tous les gosse le cherchaient De Ricco la fripouille à Zeppo le clown blanc Combien y-a-t’il de clowns qui sont devenus déments ?
Subject: What would you like to see most in minix ?
Summary: small poll for my new operating system
Hello everybody out there using minix-I’m doing a (free) operating system (just a hobby, won’t be big and professional like gnu) for 386 (486) AT clones.
This has been brewing since april, and is starting to get ready. I’d like any feedback on things people like/dislike in minix, as my OS resembles it somewhat…
Any suggestions are welcome, but I won’t promise I’ll implement them :-)
Delivered-To: fredinand_arthur Date: Mon, 27 Jan 2003 17:17:39 +0100 Subject: direction couloir X-Sensitivity: 5 From: « @libertysurf.fr » <@libertysurf.fr> To: ferdinand_arthur X-XaM3-API-Version: 3.2 (B33 pl6) X-type: 0 X-SenderIP: XXXXXXXXXXXX
T’es vraiment un gros malade! C’est vrai qu’il devient nécessaire de redémontrer la qualité de tes compétences en tant que webmaster, mais n’en deviens pas autiste pour autant : NON, je ne ferai pad de mal à ton portable de merde ( éviter de se salir les doigts avec XXX).
Au plaisir de te revoir très prochainement, Ducon.
Vracarme Et il en vint à penser qu’il n’y avait pas de second degré, que le secret n’avait plus de prestige, la confidence, aucune classe, gesticulations vulgaires (des bruits sans significations), pas de promesses, d’extensions, humour limité jouissance minimale, méfiance — voilà comment parfois il voyait le monde, et voià que ce sale monde pouvait à tout moment se contaminer à ses rêves il comprenait très bien les déjections des modernes, leurs cynismes, et leur manque insensé de goût.
du haut de cette colline où abondent les bruyères, on aperçevait le fleuve gris et les reflets du soleil couchant sur celui-ci jouaient dans nos ombres et nos esprits