Ma VALDA est
Règle n°1 : Ne parlez pas de reservoir blogs.
– tu prends de la poudre, toi ?
– bah oui, ça va de soi. mais je la paie pas, on me la file
– wahooo
– c’est parce que je connais tous les bons plans de paris, je suis invité partout. Je tutoie Ardisson et sa femme.
– wahooo
– et puis je te parle pas des meufs que je me tape, que des bombes, et puis 2 ou 3 en même temps, c’est la moindre des choses.
– t’es fort dis donc.
– ouais, je suis heureux, quoi. Je suis au sommet.
– t’as de la chance
– c’est pas de la chance, c’est du boulot. Faut travailler son réseau, s’incruster là ou il faut, coller aux basques de qui il faut etc.
– heu… faire le gentil toutou quoi ?
– c’est plus compliqué que ça, petit. Bon, laisse moi bosser maintenant, j’ai un article à terminer pour Génération Séries.
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burn down the disco
hang the blessed DJ IT SAYS NOTHING TO ME ABOUT MY LIFE hang the blessed DJ IT SAYS NOTHING TO ME ABOUT MY LIFE |
le récitant : l’un des hommes que j’aime le plus au monde est mon frêre.
Leica
C’est une automobile fort cylindre sur les extérieurs
Le personnage principal de l’action
Plusieurs billets en poche
Son ventre frôle le volant
Faible allure de l’automobile et du personnage
Principal : c’est lui qui se détermine comme tel
Et répétitif : soirée en tous points fidèle
Malgré l’allure générale des filles
Qui change, c’est le personnage principal qui parle
Seul dans son fort cylindre de marque allemande
C’est un aspect essentiel qu’il se répète
Qu’il se répète que la nationalité allemande captive les filles
Que leur allure générale demeure secondaire, c’est à dire,
Du détail à l’ensemble :
Les différentes nylons qui les habillent
Et le taux de malaise et d’hypnose qu’elles recèlent
En présence : taux extrême.
C’est pour cette raison qu’il roule par répétition sur les extérieurs
En éclairant les filles avec ses phares
Une lampe torche en secours
Une lampe torche en secours pour éclairer les filles
Lorsque l’automobile fort cylindre passe à leur hauteur.
Détailler sommairement, ralentir, puis lampe torche
Un temps, le temps de : pas ce soir, désolé
Il ne sait pas s’il est plus ou moins
Plutôt moins de façon générale
Désolé qu’elle
Désolé qu’elle reste et que l’automobile passe en gommant les détails aussi vite.
Le personnage principal des cylindres avoue
Une préférence pour les détails observés chez les filles
Observées sur les extérieurs quand il y roule de nuit
Roues et pneus larges.
Baisser la vitre de son automobile de marque allemande
Et parcourir des détails en espérant
Baisser la vitre, baisser la vitre maintenant,
Baisser son slip et imprimer les détails
En espérant qu’ils s’impriment assez profondément pour tenir une semaine.
Semaine de 1 à 7 jours
Ce n’est pas indifférent
A la différence des filles
Indifférence : à l’automobile, sa nationalité d’origine et son propriétaire
Automobile allemande
Filles de l’Est
Que le personnage principal détaille
A la lumière et par ordre de préférence inverse :
Des phares de l’automobile
De la lampe torche
De l’éclairage public lorsque les filles s’avancent
De l’hypnose sexuelle consécutive.
Ventre au volant le propriétaire constate
Que depuis quelques temps son ventre gène sa conduite
Et qu’il est plus que possible
Que l’hypnose accentue le détail
Et non l’inverse.
On constate que l’action atteint un grade supérieur
Secondaire dirait le personnage principal
A hauteur de la porte d’Asnières
On devine
Que l’action cesse d’être répétitive et en tous points fidèle
C’est la fille la première
Le conducteur se le répète pour ne pas repartir
Les mains pleines et les couilles vides
Qui approchent
La première approche et les autres reculent
A la première approche il s’agit,
En fonction des positions respectives, de :
Zoomer sa cible, allumer la lampe torche,
Se choisir un prénom pour la nuit se terminant
Par un A ou un I.
Dégrafer sa ceinture
De sécurité passer en conditionnel.
Paris est une ville à solide rotation
Où l’action n’est plus répétitive à l’instant
Où les automobiles s’arrêtent pour rentrer
Dans le vif du détail
En présence : accents indistincts
Et indistinction de couleur naturelle sous perruque
Prénom pour la nuit : kelly
[ Kelly n’est qu’un leurre mais le propriétaire de l’automobile ne le sait pas encore ]
Il y a un moment de flottement correspondant
A l’espace compris entre l’automobile à l’arrêt et Kelly.
Baisser la vitre, baisser la vitre maintenant
L’action est quasiment réelle sous une perruque brune
Où plus exactement :
De fabrication sombre
Qui s’encadre dans la fenêtre droite de l’automobile
De sorte que le personnage principal de l’action
Perd le sens du détail au moment
Où Kelly dévisage celui du personnage principal, à savoir :
Son visage à travers le téléobjectif de l’appareil
Et ça n’est pas un détail
Que Kelly utilise un appareil photo d’Ex-Allemagne de l’Est
Que Kelly soit une pute ou un leurre
Qu’une pute photographe de nuit tire le portrait au conducteur de l’auto
Flash pleine face
Pour ensuite le coller en milliers d’exemplaires
Sur les murs de la ville
Qui travaille.
J-3 à Cosne
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la perfection du caractère consiste à passer chaque journée comme si c’était la dernière
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salut félix j.
je sais pas si tu te rappelles de moi, parce qu’à vrai dire la seule fois où je t’ai vu t’étais foutument beurré… Mais j’avais envie de t’écrire, ou de te rencontrer pour de vrai, c’est sans doute ça la vérité. Donc voilà. Est-ce que tu te souviens? Chez Juliette, en août, j’étais avec xxx…
Par pitié souviens-toi…
julia-lo qui t’embrasse
Un copain faisait des bulles avec son pot de colle liquide. On a parlé de bulles…
Et voilà qu’on s’est mis à se poser des questions: Est-ce que c’est vide, dans la bulle?
Et d’où vient l’oxygène qu’on respire, puisqu’on le brûle et qu’on rejette du gaz carbonique?
Mort amoureuse, passage du coit au cercueil,
vieillissement prématuré de ton sein droit que
j’aime encore, échange de salive et d’instants
momifiés dans ma mémoire, existences.
PLUSIEURS VIES VECUES ENTRE DEUX PHRASES !
le récitant : imposteur !
c’est toi chéri ?

jump’in baby
let’s cruise aux Hebrides
hold on’ hold on’
swim X the moquette
and jump’in baby
higher there is no paoning
you know
there is no paoning baby
so hold on
baby
hold on
I want to be straight, I want to be straight
I’m sick and tired of taking drugs and staying up late.
I wanna confirm, I wanna conform
I wanna be safe and I wanna be snug and I wanna be warm
I want to be straight, I want to be straight
I wanna create a place of my own in the welfare state
Brr, gonna be good, brr, gonna be kind
It might be a wrench but think of the stench I’m leaving behind
I want to be straight, I want to be straight
Come out of the cold and do what I’m told and don’t deviate
I wanna give, I wanna give, I wanna give my consent
I’m learning to hate all the things that were great when I used to be… bent!
I want to be straight, I want to be straight
I’m sick and tired of taking drugs and staying up late
I know that you’re right, I know I was wrong
So thanks very much, please keep in touch, I’ll be rhyming along
Mes poivrons grillés à l’huile d’olive…
Sourire aux têtes connues dans le quartier…
Retrouver un polaroïd à soi affiché dans un bistrot…
La langue, l’oralité, la bouche, le palais…
Les feuilles pourpres et safrans à l’automne venu…
La coriandre, l’aneth, le poivre vert et le basilic…
Tomber dans les bras de Morphée en pensant à un inconnu…
La vie est un collier de peurs
(mon amour)
Les larmes que tu as retenues
y sont enfilées
Notre amour les détachera – viens
(mon amour)
M’aimer est un jeu d’enfant
le récitant : le coréen sans papier contre-attaque !
Que ladite personne qui m’a mailé ceci ne s’offusque point de retrouver ses mots (extraits) ci-après:
J’ai cru un instant (faute d’indication de date) que vous aviez craché
« Je préfère coucher avec une carotte » en pensant à moi.
Après réflexion, je me dis que s’il m’était possible de cracher quelque chose sur
tourgueniev.com ce serait la chose suivante : « Je veux bien être une carotte ».
Pardonnez-moi cette pensée botanique du matin, et passez une belle journée.
Le potager, ce héros…
Parole vaine du héros.
Je n’accepte pas ma faiblesse ; celle de mon corps,
et j’éprouve plus que personne mes limites, et
je devine qu’il peut se passer quelque chose,
mais l’effort qui doit m’y mener me navre ;
la lacheté, ce n’est pas la mienne ; c’est la
fatigue du monde — son usure —qui est responsable ;
quelque chose du dehors me menace, et perturbe
le sens d’un devoir naturel : celui d’etre l`,
davantage que les autres.
Fais voir ta bite
Elle est belle dis donc.
Regarde la mienne.
Tu veux la sucer ?
Tu t’es déja fait enculer ?
Tu veux voir comment ça fait ?
C’est marrant tu vas voir.
Et l’école ? tu as des bonnes notes ?
Maintenant c’est certain, nous sommes un site PORNO !!
Ils font plaisir à voir ces deux là…
Dans la rue je ne vois qu’eux,
les amoureux…
Mon ami j’aime te voir comme ça…
lacamerasurlatêteduchat

il doit pourtant bien rester quelqu’un ici à la fin.
ah non.
non ?
Comme_a_la_maison me spamme :
Je me tortille
Comme je me suis rarement tortillé
Dans tous les sens
C’est l’appel des décibels ?
Bizarre, je cours nu dans une forêt …
Pas l’ombre d’un son
J’entends bien un tamanoir
Mais c’est tout …
Ah …
Chut …
Une verrière …
De la lumière …
Du son …
Des filles … un bar … des garçons …
De la vie !
Et pas de tamanoirs !

votre commande est déjà cours et votre compte débité monsieur, désolé
mais ce contrat ne peut être rompu unilatéralement…

Le skyblog c’est quoi ? C’est un journal perso (ou intime) sur Internet que tu peux remplir au jour le jour sans te prendre la tête ! T’as des coups de gueule ? Des idées ? Des kifs à faire partager mais personne t’écoute à part ton chien ! Alors crée ton skyblog ! Au jour le jour, donne tes impressions sur tes potes, la zique, la société, les marques, l’actualité, le sport, bref tout ce qui te touche et tout ce qui te révolte. ! Au jour le jour, dis ce qui te fait kiffer : tes sites préférés. Bref ! Crée ton skyblog !
Fais-toi connaître sur le net et deviens une vedette !
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She was a heavy, strong, blunt-bowed affair, awakening the ideas of primitive solidity, like the wooden plough of our forefathers. And there were, about her, other suggestions of a rustic and homely nature. The extraordinary timber projections which I have seen in no other vessel made her square stern resemble the tail end of a miller’s waggon. But the four stern ports of her cabin, glazed with six little greenish panes each, and framed in wooden sashes painted brown, might have been the windows of a cottage in the country. The tiny white curtains and the greenery of flower pots behind the glass completed the resemblance. On one or two occasions when passing under stern I had detected from my boat a round arm in the act of tilting a watering pot, and the bowed sleek head of a maiden whom I shall always call niece, because as a matter of fact I’ve never heard her name, for all my intimacy with the family.
Verbalisation libératoire à trois balles.
Hier, j’ai fait un rêve.
J’étais allongé avec une jeune femme brune et aux yeux bleus ; je pouvais parfaitement l’identifier. Nous nous sommes embrassés. Ce baiser, je l’attendais depuis une éternité ; il m’a profondément enflammé. Je buvais ces lèvres et je voulais prolonger cet échange.
Mais, ses caresses sont devenues plus précises et j’ai senti en moi le désir croître.
« Non, ce n’est pas ce que je veux ; je veux juste t’embrasser et te serrer dans mes bras ! ». Mais elle continuait à me caresser. J’ai décidé alors de me réveiller.
Aujourd’hui, je hais tout le monde.
« Once upon a time you dressed so fine
You threw the bums a dime in your prime, didn’t you?
People’d call, say, « Beware doll, you’re bound to fall »
You thought they were all kiddin’ you
You used to laugh about
Everybody that was hangin’ out
Now you don’t talk so loud
Now you don’t seem so proud
About having to be scrounging for your next meal.
How does it feel
How does it feel
To be without a home
Like a complete unknown
Like a rolling stone?
You’ve gone to the finest school all right, Miss Lonely
But you know you only used to get juiced in it
And nobody has ever taught you how to live on the street
And now you find out you’re gonna have to get used to it
You said you’d never compromise
With the mystery tramp, but now you realize
He’s not selling any alibis
As you stare into the vacuum of his eyes
And ask him do you want to make a deal?
How does it feel
How does it feel
To be on your own
With no direction home
Like a complete unknown
Like a rolling stone?
You never turned around to see the frowns on the jugglers and the clowns
When they all come down and did tricks for you
You never understood that it ain’t no good
You shouldn’t let other people get your kicks for you
You used to ride on the chrome horse with your diplomat
Who carried on his shoulder a Siamese cat
Ain’t it hard when you discover that
He really wasn’t where it’s at
After he took from you everything he could steal.
How does it feel
How does it feel
To be on your own
With no direction home…
Like a complete unknown
Like a rolling stone?
Ton Image
Quand le sommeil tarde à venir
J’évoque ton souvenir
Délice précieux, tes formes familières
doucement,
je me noie dans l’éther
D’une table de café
Retour du soleil, pensées lâches brûlées,
retour à la surface, la peau a très chaud.
(La vie inconnue se déroule, sans s’affoler.)
merci Papy Ivan d’avoir enfin rétabli la moitié de dialogue manquante
entre monsieur gras et monsieur maigre.
Vous êtes définitivement mon héros et mon Dieu,
et merci à Igor, le saint esprit, d’avoir intercédé en ma faveur…
(Je ne révèlerai jamais qu’il fabrique d’obscures mises en scènes
avec la complicité de son frère Nicolaï
pour se faire une fausse auréole
à l’aide d’une casserole….)
En attendant Monsieur gras a subi une sévère cure d’amaigrissement, je ne sais pas si ça lui va bien…
aujourd’hui je confonds allégrement un humain et une souris de laboratoire,
mes amis s’inquiètent pour moi et je ne comprends pas pourquoi…
Votre Horoscope du 2 Septembre 2003
Chère Gü.,
Cette journée pourra soulever des questions de satisfaction dans votre vie affective Gü.. Vous allez peut-être devenir plus exigeante et plus pressante que jamais ! Pourquoi ne pas en profiter pour ouvrir le dialogue et partager plus profondément vos désirs ? Cela vous permettrait de les clarifier… Vous avez probablement besoin d’exprimer des émotions négatives, faites-le, avant que celles-ci ne se transforment en obsessions…
Une très bonne journée de la part des astrologues de Yahoo! Astrologie perso
merci yahoO,
je te suis infiniment recOnnaissante de tes cOnseils
cOmment ferais-je sans ta perspicacité
(…)
tu m’as menti,
ça aurait dû me faire du mal
mais ça ne me touche plus,
tu m’auras au moins donné ça,
ce froid intense qui paralyse mon coeur
les boulettes en mie de pain de ma mémoire:
« Elle a pris une boule de gomme. C’est tombé sur rouge. Il en a pris une aussi, par jeu…
chewing gum rouge > c’était la couleur des émotions qui troublent, … etc… ».
From: « Paul »
Sent: Saturday, March 08, 2003 9:48 AM
Subject: boo!!
> Testing my swanky new iBook :) Now I am a proper Mac owning « art-f*g »
> :) hehe
From: « Paul »
Sent: Saturday, March 08, 2003 10:41 AM
Subject: test
> does this work :/
From: « Paul »
Sent: Saturday, March 08, 2003 10:47 AM
Subject: test again
> now that i have a mac none of you are safe!!!! :)
From: « alex »
Sent: Saturday, March 08, 2003 6:01 PM
Subject: Re: boo!!
> There are about 600 subscribers to this list. So emailing three
> times makes about 1800 emails.
>
> That might not be the best way to test your new computer.
Depuis le début de ce siècle
Nous avons vu l’apparition
Du moteur Ford à explosion
Puis de l’avion à réaction
Mais de toutes les inventions
C’est sans doute la bombe à neutrons
Qui nous laissa le plus baba
Au cours du célèbre Hiroshima
Mais 1990 devrais nous laisser tous pantois
Devrait nous laisser tous gagas
Il y a les missiles patriotes
Dirigés par ordinateur
Sony Fuji et Macintosh
Se culbutent dans les airs le rush
La guerre technologique fait rage
C’est un super méga carnage
Attention voilà les avions
Qui tirent
C’est l’heure de l’émission
En 1990
C’est l’heure de la médiatisation
En 1990
C’est l’ère de la conscientisation
Fini les temps maudits du sport
Du jogging et de la cigarette
La preuve en est nos beaux soldats
Américains qui sont là-bas
Bronzés à la vitamine d
Nourris aux fibres équilibrées
Les mort qui seront faits là-bas
Seront en bonne santé je crois
Je pense que la rue Broca, à Paris, est l’endroit idéal pour finir ses jours. Même prématurément.
Le 5 août 198*, je m’y étais trainé en soirée, désespéré de ne pas être amoureux et avec une
pénétrante envie de glace à l’italienne. Ce n’était pas du tout comme dans les contes.
La rue Broca ? Il ne fait pas spécialement bon s’y promener, mais dans une perspective de mort,
il doit être plutôt agréable d’y vivre.
ParanOïd
ParanOïd
ParanOïd
ParanOïd
ParanOïd
ParanOïd
ParanOïd
ParanOïd
ParanOïd
ParanOïd
ParanOïd
ParanOïd
ParanOïd
ParanOïd
ParanOïd
(…)




























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