LIGHT FOUR CANDLES AT NIGHTFALL AND CAST THEM TO THE FOUR DIRECTIONS (North, South, East and West). THEN PLACE A GLASS OF WATER AT THE BASE OF EACH CANDLE. PLACE HUMAN BONE, HAIR OR FINGERNAILS IN A COPPER BOWL AND IGNITE. PLACE THE BOWL IN THE CENTER OF THE FOUR CANDLES, THEREBY COMPLETING THE PENTAGRAM OF NEGATIVE SPACE. LAY A SOLID LINE OF MOIST EARTH IN A COMPLETE CIRCLE AROUND THE CANDLES. ON THE OUTSIDE OF THAT CIRCLE, LAY ANOTHER CIRCLE OF COMMON SALT.
je me souviens des jours heureux et insouciants, lorsque l’amour était lointain, on faisait le plus de bétises possibles pour énerver tes parents, on draguait ta soeur, mais pour rire, les heures n’étaient pas des prisons mais des étangs où baignent cygnes et nénuphars,
« Une maison bleue… ? » « Le Dauphiné Libéré » du 12/06/97
Fuyant la banlieue parisienne à la recherche d’un autre mode de vie, installée depuis 15 ans dans les Baronnies, aux fins fonds de la vallée de l’Ouvèze, Frank et Nanou Berthou ont fait la démonstration qu’on pouvait réussir dans une agriculture de montagne alternative. « C’est une maison bleue, adossée à la colline, on ne frappe pas, ceux qui vivent là on jeté la clef… » . Sans doute sommes nous loin de San Francisco et les vieilles pierres de la bergerie sont nullement bleues, mais ceux qui vivent là ont effectivement jeté les clefs des portes qui verrouillent la plupart de nos existences citadines. Les paroles de la chanson de Maxime Leforestier viennent immanquablement à l’esprit de ceux qui rendent visite à Frank et Nanou Berthou dans leur repaire de « La Closonne », au cœur du pays Baronniard.
« aujourd’hui, c’est une journée spéciale: si tu fait bien attention, tu remarqueras que tout le monde ressemble à Jean Gabin. Dans les cafés, tout le monde parle avec un drole d’accent parigot, même les filles se mettent à porter des casquettes un peu de coté, et les gens ont un petit regard bleu mouillé, comme Jean Gabin. Si tu allumes la télé, tu verras sans doute un des enfant de Jean Gabin, sa fille ou son petit fils qui trainent sur le plateau de Drucker; ou bien un acteur diras avec un regard pénétré et une voix rocailleuse: « t’as de beau yeux, tu sais », ou bien ça pourrais être la rediffusion de « la bête humaine »… c’est Gabin day… »
AUTOLOGIE. (Il faudrait songer à rassembler et classer un jour ces notes pour ne pas être pulvérisé. Etat d’esprit du moment ? Calme, frivole, tout reste à faire.)
Rouge La lumière qui venait du dehors transperçait les rideaux rouges, et diffusait cette couleur dans la chambre d’amour, sur les draps blancs, peau mate ; je me rappelle la nuit dans le noir quand elle m’avait avoué le désir de peindre un tableau rouge ; nous avions donc trouvé à neuf heure du matin l’origine de la couleur, et celle de son désir d’image. Texto (from Perros Guirec, Bretagne) Vive les langoustines, les coquilles st Jacques et les tourteaux ! Titre (idiot.) Lit et ratures : un personnage nous confie qu’il passe de son bureau à son lit et accomplit ses besognes (coits, phrases) — qu’il manque toujours, ça va de soi. Micro. Il faudrait qu’à chaque instant de la journée nous puissions vivre l’insolite, et laisser la surprise décider de nos pas, sans commander, sans souci de régner, amoureux de faits parfois ridicules et de situations folles — juste se désorganiser. Moderato Il faut considérer ce lignes d’écriture comme des bruits ; les associer à la fulgurance d’un doigté de pianiste que je ne suis plus, — je me tue à vous dire que je ne suis pas un sémioticien, et ces murmures qui s’inscrivent par accidents, sont proches des mains de l’enfant, qui veut faire du vacarme pour se signaler. Chanson. » Je me tue à te dire, qu’on ne va pas mourir. »
Dans les hauteurs. Clémentine partie mystérieusement de Paris, m’appelle des Alpilles, et me raconte qu’elle dort chaque nuit dans un monastère différent, loge gratis & dîne gratis à condition de faire la vaisselle. Un aumonier lui a dit ça :« Cette saloperie de prochain ! On l’aime bien quand-même ! » Finalement Clémentine m’avoue n’être pas contemplative, et dimanche, elle descendra à Marseille pour retrouver la ville.
Ces Marchands Jhuvuoniens n’étaient pas du tout ce qu’il avait imaginé. Pour une raison ou pour une autre, il s’attendait à des humanoïdes trapus aux trais rudes, vêtus de peaux et de fourrures, alors qu’en fait ils ressemblaient à des amas de très grosses plumes rouges.
C’est ce demon dans son sang à elle Qui a rongé lentement ses ailes Aiii, c’est dans le ventre là Marie sait ce qui arrivera Dans cet endroit où on laisse aller…
Elle parle! Oh! parle encore, ange resplendissant! Car tu rayonnes dans cette nuit, au-dessus de ma tête, comme le messager ailé du ciel, quand, aux yeux bouleversés des mortels qui se rejettent en arrière pour le contempler, il devance les nuées paresseuses et vogue sur le sein des airs!
« Dieu est amour; celui qui demeure dans l’amour demeure uni à Dieu et Dieu demeure en lui. Si l’amour est parfait en nous, alors nous serons pleins d’assurance au jour du Jugement; nous le serons parce que notre vie dans ce monde est semblable à celle de Jésus-Christ. Il n’y a pas de crainte dans l’amour; l’amour parfait exclut la crainte. La crainte est liée à l’attente d’un châtiment et, ainsi, celui qui craint ne connaît pas l’amour dans sa perfection. »
Gnosis : Yet all of the above is just words unless one experiences Gnosis: any altered state of consciousness in which one eclipses the monkey-mind, and achieves an expanded sense of self and the universe. Chaos Magick is famed for encouraging the attainment of the state of Gnosis through extreme, exhibitionary methods (drugs, sex and rock ‘n’ roll: nothing succeeds like excess), but because of the influence of both Taoism and Tibetan Tantra on its originators, there is also a strong proclivity toward inhibitionary paths to Gnosis: sitting meditation, pranayama, etc. What is important is that you use Gnosis as more than a means of spiritual dandyism. Use the insights gained in a Gnostic state to engage in emotional engineering, or to help undermine the collective consensus in preparation for the coming of the New Aeon, or just to have more fun than you’ve had before. Strive for enlightenment if that’s what will wet your pants. Engage fully and without regret in the ongoing, initiatory process of life. Be nice and smooth.