Autologie, un retour.
Et vint à lui cette idée désarmante
Laquelle ?
Avalée.
« Si écrire ce n’est ni dire, ni nommer, on est mal barré »
Rire (doucement.)
Digérée
Restituée
Sauvée
Michaux : « Je n’écris pas pour construire, juste pour préserver. »
Le silence entre les mauvaises pensées du héros me fatigue.
Indigestion.
Se relire à la gueule de bois.
Et puis exposer tout cela : obscène !
Se réfugier dans les livres des autres ;
dormir dedans, faire l’amour
dans les marges.
Il faudrait qu’à partir de ces notes, on puisse déduire
un certain nombre de choses sur lui.
Ecrire à blanc comme tirer à blanc off course !

elle avait deux anges gardiens envahissants
ça la rendait contemplative
de peur de provoquer des conflits entre eux
Enter three Witches.
FIRST WITCH: When shall we three meet again? In thunder, lightning, or in rain?
SECOND WITCH: When the hurlyburly’s done, When the battle’s lost and won.
THIRD WITCH: That will be ere the set of sun.
FIRST WITCH: Where the place?
SECOND WITCH: Upon the heath.
THIRD WITCH: There to meet with Macbeth.
FIRST WITCH: I come, Graymalkin.
ALL: Paddock calls. Anon! Fair is foul, and foul is fair.
Morning Sex Robot
I miss You a lot
L’île de Ré
| Elle voulait partir en voyage A l’île de Ré Voir de nouveaux paysages Et ramasser De jolis petits coquillages Après la marée. Je l’ai demandée en mariage Elle m’a quitté. |
Je suis resté seul sur la plage Assis à pleurer Cherchant le mauvais présage Qui aurait pu m’aiguiller De sorte que je prenne le large Et me faire embarquer Sur un navire un peu plus large Que mes idées. |
Elle avait un joli corps sage Et un short serré Sans chaussures comme une sauvage Qu’on pourrait attacher Les cheveux mouillés par l’orage Qui n’a fait que passer Fallait-il y voir un message De ma destinée. |
C’est ainsi que l’échafaudage De ma vie s’est cassé La gueule d’au moins plusieurs étages Un vrai raz-de marée. Il en faudra bien du courage Pour pouvoir oublier Un si joli visage Et l’île de Ré. |
Elle voulait partir en voyage A l’île de Ré Je l’ai demandée en mariage Elle m’a quitté. Ad lib Tétard |
Je la croise chaque jour
entre la Place d’Italie et les Gobelins,
l’air affairée
le visage à demi-dissimulé dans ses longs cheveux bruns
elle marche d’un air décidé
sans jamais se retourner
« Je suis un homme malade… Je suis un homme méchant. Un homme repoussoir. Voilà ce que je suis. » F.D.

Epreuves (Extraits)
A peine réveillé, j’ouvrais le placard ;
d’abord, un sentiment de joie vécu : comme si j’atteignais
une zone claire en moi, lieu que je ne connaissais pas ; comme un rêve furtif ;
puis la grâce s’étiolait, tu n’émettais plus de lumière,
et je baissais les yeux, pour pleurer, je n’avais rien vu, rien conservé
de cette sensation à travers laquelle j’avais perçu une
vérité silencieuse, si apaisante. Alors je descendais,
furieux contre moi (je n’avais pas approfondi cette vérité
silencieuse ) furieux contre toi (tu n’étais pas ouvert complètement).
Mais comment fallait-il se comporter? Te transformer ?
Te détruire ? Hélas, aucun énoncé ne soutenait le projet.
Pas de mode d’emploi. L’impuissance me faisait pleurer, des pleurs
qui me brûlaient puisque je ne savais pas pourquoi j’étais si triste.
Souvent, recherchant des objets à aimer, j’ai subi le drame
de l’illusion, l’illusion percée après coup, pensant que
ces objets étaient des dieux alors qu’ils n’étaient qu’images.
Etait-ce une ruse de ta part lorsque la photographie dans le placard (la femme qui courait en me souriant) suintait un moment, pour ensuite redevenir neutre, brutalement ?
Comme si tu me mettais à l’épreuve pour mesurer le danger
de l’image et sa formidable attraction vers le vide.
Femme oubliée, disparue. Une cendre que ma complaisance conservait,
parce que elle était la seule trace de mon passé.
La mettre de côté, la retourner eut été douloureux,
mais je connaissais l’importance de ce sacrifice que je finirais par faire pour toi. Car que pouvais-je risquer à présent dans cette aventure ? Me couper du monde ?
Le monde n’était plus que trois ou quatre choses : le supermarché,
le bar, le ciel parfois. Autant l’avouer : le monde était rétréci ;
je ne ressentais plus aucune joie pour ce monde.
De la pure matière indifférente à mes sens !
Callypige … moué … ce que je pige, surtout, c’est qu’y en à qui vont devoir arrêter les chips avec la crême chantilly, hein…
Qu’est ce que je fous là ?

Qu’est ce que je fous là ?

Qu’est ce que je fous là ?

Qu’est ce que je fous là ?

Pourquoi ne suis-je pas avec toi ?
L’Avant P.A.R.I.S d’Igor…
« Assis à la table du fond depuis 18h avec quelques amis, Igor picole, morose et achève les dernières réserves de bière amassées pendant les happy hours.
A ses côtés ses compagnons se laissent aller mollement sur la table et rient distraitement aux blagues de chacun. Igor laisse son regard errer parmi les clients agglutinés autour de la table…
L’habituelle faune: suédois, américains, anglais des deux sexes, se pressant les uns contres les autres, quelques parisiens comme égarés.
Assis par terre, presque piétiné par la foule, un petit homme à manteau vert, en train de se faire une ligne de poudre rose avec une paille dorée. Un peu de temps passe…
Igor est de plus en plus embrouillé, ses amis sont partis, des gens assis autour de lui, les cafards de plus en plus près, de plus en plus gros.
Un ange passe, un homme immense à l’accent slave s’assoit à la droite de Igor, il sort une flûte de champagne de sa cape et la propose à la jeune fille rousse (Charlie ?) à sa droite.
Elle retrousse un peu sa jupe (on aperçoit le haut de ses bas), sourit à l’homme et accepte la flûte.
L’homme extrait à présent de sa cape une bouteille de champagne, un singe et d’autres coupes qu’il distribue alentours.
Igor en reçoit une et le petit gars en vert aussi, il est maintenant assis sur le genou gauche de Igor qui s’en aperçoit à peine.
Un ange passe, un coup de feu au bout du pub, une bousculade, le mort est vite déchiré par le public affamé.
Le petit homme vert continue à sniffer, une poudre jaune…
La table est pleine maintenant d’objets surgis de la cape du comte.
Sous la table un couple de nanas s’agite, la plus grande essayant de ligoter la plus petite (une finlandaise aux cheveux aile de corbeau… Charlie ?) avec la bretelle de son soutien-gorge à fleur…
L’absinthe coule à flot dans le pub, tout le monde a les pieds mouillés…
La fumée devient de plus en plus épaisse et bleue.
De sombres oiseaux et quelques cafards (plus de deux mètres d’envergure) volettent çà et là en heurtant le public aveuglé.
Igor dodeline de la tète, sa flûte est vide, il se penche et la remplit d’absinthe…
Deux grands allemands blonds en short debout sur le pub se fracassent la tète à coup de hache; voluptueusement les spectateurs trempent les tranches de l’énorme gâteau flottant, qui s’avance doucement vers la table de Igor, dans le sang qui gicle partout…
Igor, qui, justement, fouillant ses poches pour trouver des thunes à claquer tombe sur le petit pistolet noir à silencieux.
Une patte de cafard le heurte à l’oeil, il sort le flingue…
Charlie vient d’apparaître dans la fumée, elle a l’air un peu perdue et lasse, elle porte son habituelle robe blanche immaculé qui la rend si belle.
…
Bang ! Dans l’oeil du nain vert…
Bang et rebang ! Dans le front du comte et dans sa cape…
Bang pour un cafard !
…
Igor se lève et marche vers Charlie… Il explose la tète du barman d’un tir courbe en croissant de lune le long du plafond, vise un des allemands et le manque: plus de tète déjà.
Elle semble le reconnaître et lui fait un demi-sourire.
Un allemand (Grishka ?) tente de fendre le crâne à Igor qui esquive péniblement la hache qui le frappe. Le cadavre du nain sniffeur, accroché à sa jambe droite tente de le retenir…
Igor dégaine sa Gattling et mitraille à gauche, à droite, faisant exploser tètes, bras et idées noires.
Plus de munitions, il se débarasse de son arme sur le pied du gros allemand qui part en hurlant les chants de Maldoror.
Charlie dans les bras de Igor… Un ange passe, Igor le vise et l’abat avec son petit pistolet.
Igor entraîne sa compagne vers l’extérieur, en évitant table qui volent, cafards et lévriers ainsi que le public surexcité et les larmes aux yeux.
…
Dehors Nicolaï attend patiemment au volant de la Tourguy-mobile le retour de son frêre.
Déjà il arrose la façade du bâtiment de torpilles au napalm.
…
A l’intérieur la foule est en transe, hurlements, chants, danses, viols et meurtres gratuits se succèdent à un rythme frénétique, un seuil sur l’enfer est ouvert et les démons envahissent le pub; Bizarrement ils paraissent bien tristes et moroses dans l’ambiance pyrotechnique qui règne dans le pub.
A l’aide d’un grand fouet, Igor finit de se dégager un passage et atteint la sortie, là résolvant rapidement l’épreuve du sphinx, il surgit à l’extérieur avec Charlie à son bras.
Nicolaï achève de détruire le bâtiment à coup de missiles sol-sol pendant que nous entrons précipitamment dans la grosse voiture.
…
Je serre Charlie, elle essuie une larme et se pelotonne contre moi. La voiture prend de la vitesse et s’envole vers la base lunaire.«
AUTOLOGIE
(Le héros accumule des notes dont il
ne sait que faire ; fourre-tout encombrant.
Il a décidé maintenant de s’en délester.
L’exercice — qu’il appelle pompeusement AUTOLOGIE
ressemble donc à cela :)
Bravo.
J’ai envoyé ce soir, par texto à
des femmes nombreuses éparpillées au bord
de la méditerranée :
« nuit sans air à Paris ».
Triste
(C’est tout, trop court, pense-t-elle.)
Weil
« La grandeur, de nos jours, doit prendre d’autres voies.
Elle ne peut d’ailleurs être que solitaire, obscure et sans écho…
(or, pas d’art sans écho). »
Titres
Compléments d’objets.(Ne pas me voler merci.)
Diatribes contre une femme ailée.(Me la retrouver, merci.)
Mots de passe.
L’identité pleure.
Atroce.
Quand je dis je, j’ai l’impression de recevoir une claque dans la gueule.
10 rue, de Rome.
Belle serveuse, belle comme une gravure d’intérieur, sage et décorative.
Vérifier plus tard
Inanité de ceux qui écrivent, de tout ce qui s’écrit.
Difficulté
Comment écrire un cri ?
Handke.
« Il ne percevait rien, cela lui tombait sous les yeux. »
Projets.
Ecris comme tu penses comme tu vis comme tu veux.
Téléphone
Une femme parle : » Je ne comprends rien. »
Le jeune homme dit : » Je ne t’entends pas. »
Bis
Si je pouvais parler d’un autre point de vue
que le mien, croyez-le, je le ferais.
Oui.
Tu vois une chose et tu penses à une autre.
?
Il n’y a que des défauts.
Radio
La misère ne te secoue pas assez.
Souvenir.
« Si tu continues à jouir en moi, tu seras père avant la fin du mois. »
Roman
Dans le cafouillis d’un carrefour, j’arrivai pour me faire plaquer,
jeté du haut d’une histoire, devant une femme plus âgée
que moi dont j’avais tout espéré, y compris la mort.
Duo.
Le suce-suce panique
(expression trouvée en buvant un verre d’eau.)
Naufrage du non-sens
(expression trouvée en pissant.)
Drame
Toute pensée se produit sous l’autorité absente
(ce qui est la pure preuve du pouvoir) de L.
Scandale
Le séduction et ses immondes banderolles.
Drame II
Plus j’écrirai, moins j’aurais l’impression d’avoir dit quelque chose.
Trio
Un homme, une femme, le monde.
Après l’inventaire, il ne subsiste que ça
Fable
Tout est bien qui finit enfin
Image.
Le string de la maman baissée via Giosue Carducci.
Triste.
Besoins d’échanges réguliers avec des spirituels estimables.
Baudelaire
« Et le printemps adorable a perdu son odeur ! »
– tu vois cette petite meuf, là-bas, qu’a l’air de rien ? et ben, c’est une Femme Fatale… c’est fou, non?
moi, si j’étais un garçon, j’irais bien lui dire « now I wanna be your dog ».
Une petite voix dans ma tête (épisode 1)
Je reconnais bien cet endroit
plusieurs fois la même sensation.
L’immeuble se jette à mes pieds
et je me roule en boule
il m’a fait paniqué.
Code griffoné sur papier
sais plus dans quelle poche il est.
ah! 237B
escaliers dévalés
j’y vais
aucune idée
d’où j’vais.
Quoique ç’a y est
j’viens d’comprendre
j’peux zoomer
dans la cam’ je fais
partie de la scène visée.
J’ouvre un oeil
seul le réveil peut dicerner
le rêve de la réalité.
Le mien il
dit qu’il
ne se fait plus assez
tôt pour faire des
pleins et déliés
sur un songe
tout froissé
à repasser
mis au rencart
dans un panier
nié
déjà oublié
songe parti dans les
lymbes du passé.
Mes yeux-aiguilles
transcendent la réalité
mise en marche en
direction assistée
pilote automatique
je courbe l’échine
totale sous le
contrôle de la machine
emprise schizophrénique
robotique précision
cission neurologique
la voie dans
la tête veut
que j’accomplisse
une mission…
(A suivre…)
je suis celui que vous avez laissé dans la neige
je suis celui construit sur la haine
je suis le double maudit
Papy Ivan : quel que soit le but de la prière d’un homme, il demande un miracle.
chaque prière se résume en ceci : «Grand Dieu, faites que deux fois deux ne fassent pas quatre.»
« Quand j’étais jeune, tu vois, j’ai jamais eu besoin de personne. Et je faisais l’amour pour rien…
Maintenant que j’vis seul, j’repense aux vieux amis. Alors, des fois, j’décroche le téléphone. Mais ça sonne vide chez eux.
Je n’ai plus envie de tout faire tout seul. Je ne veux plus vivre seul.
C’est difficile maintenant, d’avoir confiance en moi. L’amour est loin, et ça m’aide pas. Ca me rappelle sans cesse que chuis seul et que j’vaux rien. »
Ben alors, Johnny, bois un coup, ça ira mieux!
Je maintiens Toccata que le Mordicus en ré mineur servait
de générique à une émission de notre enfance. De la mienne,
en tous les cas.
J’ai rencontré mon tourment.
Le diable peut-il prendre l’apparence d’une (trop) jeune fille brune les cheveux courts, aux grands yeux noirs, au joli visage sur le quel flotte un sourire inexplicable ?
Peut-il apparaître seul, lors d’un concert et se trouver derrière moi, inaccessible mais évidemment visible ?
Peut-il me tenter juste suffisamment pour que ma timidité et mon inaction me soient insupportables ?
Le diable peut-il me tourmenter à ce point ?
lu ce matin dans la presse spécialisée:
« connasses diplomées
cherchent bites d’amarage
pour ancrer divers bateaux… »
Bombe Latine
NASSIRIYA, Irak (Reuters) – L’Italie, l’un des plus proche alliés européens des Américains, a été prise pour cible mercredi dans le sud de l’Irak, où un attentat à la bombe a tué 18 de ses ressortissants, dont 16 militaires, à Nassiriya. Au total, on dénombre 27 morts.
L’explosion de Nassiriya a dévasté le poste de carabiniers (gendarmes) gardant le QG du contingent italien sur les bords de l’Euphrate. Seize militaires — 12 carabiniers et quatre soldats — et deux civils italiens ont trouvé la mort, a déclaré Antonio Martino, ministre de la Défense, ajoutant que l’Italie n’avait pas connu pareil bilan depuis la Seconde guerre mondiale. On déplore aussi plus de 80 blessés, parmi lesquels 20 Italiens, et le bilan risque de s’alourdir.
« Un camion s’est écrasé sur l’entrée du poste des carabiniers et une voiture a presque immédiatement explosé », a précisé une porte-parole militaire britannique.
A Rome, les drapeaux ont été mis en berne et Silvio Berlusconi a rejeté les appels de l’opposition au retrait du contingent italien de 2.300 hommes et lancé un appel à la cohésion nationale.
« Aucun acte d’intimidation n’ébranlera notre volonté d’aider ce pays à renaître, à reconstruire son gouvernement et à recouvrer sa sécurité et sa liberté », a déclaré le président du Conseil.
Sous un ciel rouge sang
Lorsqu’il a enfin compris
que tout cela était prémédité
il a essayé de s’enfuir
les proies sont comme ça
entretien d’em-bouche
avec individu mal em-bouché
Marché de dupes, duperie, supercherie
Dialogue, de sourds, surdité
Sérénité
Matin.
Se laver les cheveux avec Mixa bébé et sentir
à nouveau sur son crâne les doigts de sa maman, voilà
une sensation qui ne prête pas beaucoup à rire.
Fallait-il le dire ?
En me balladant avec Gü.
A Marseille dans la rue
On a déjà habillé
Nos futurs bébés

Tu voulais pas un garçon ?
– Si mais tant pis ! –
En fait, ce sont juste des gens de dans 6 000 ans qui croient qu’on joue un jeu de rôle, comme nous jouons sur des thèmes médiévaux.
Qu’on y est même très forts.
Alors pour eux, les sentiments, tout ça, ça n’existe pas : tout se fait par internet, et mettre la langue, ça apporte des bactéries.
C’est pour ça, ils ne comprennent pas : on ne joue pas avec les gens.
Même les cons.
Même par internet.

Ce soir j’ai causé longuement avec mon ange gardien.
Nous avons évoqué son désengagement, son manque de motivation ces temps-ci.
Je pense qu’il traverse une mauvaise passe, il semble au bord de la dépression…
Une anicroche se pose sur la parole,
mais dès qu’on dit sur le bout de la langue,
le bout du pied, ça prend trop de sens, ça fait pollen,
c’est ça qui conte…
include(salut);
include(message_peu_sympathique_mais_surement_partial);
include(demission_raisonnable_d_un_projet_pourtant_interessant);
include(formule_de_politesse);
include(signature);
J’aime sa pensée superbe
et ses yeux irisés
quand il me regarde et délire
Ses narines dilatées
qui guettent mon odeur
je frissonne et j’exulte
Tu vas m’éventrer
me retourner complétement
m’infliger douleur et plaisir
Tant que nous en aurons la force
Halloween 9
—————————————————————–
approuvez les débuts de film avec Michael dans la morgue et droite après que ses yeux s’ouvrent saisit-il le docter par le cou et le sang sort-il de ses yeux alors halloween des débuts de chanson que nous allons au sarha à la maison d’heure parlant à un ami qui sera anonyme elle ont demandé le sarha sont vous redy pour la partie? sarha indiquer non vrai vous aucun ce qui produire pour la dernière fois halloween dire ouais butthat excédent maintenant non inquiéter vous être fin alors sarha dire yah vous penser scène aller Michael dans bois sanatarem rechercher jamies corps biseauter trouvaille v lauries pièce pour trouver son SH être non là contenus pour regarder alors voir docters travailler dans son un docters dire aucun impulsion appel alors ohter docter système je biseauter être mort pour jour peut-être bouche bien voir Michael tête dans porte dedans marcher loin alors Michael promenade en bas rue hondonfield Se un insecte cela lire ‘halooween partie 9 heure ‘vouloir pour briser partie voir lui marcher dedans avec un couard alors type porte dire gentil masque sarh être non aller comme cela alors film aller massacre avec knifes knifes et plus knifes alors aller centre partie unique non que Michael lui individu être là voir un nerd en ligne alors dire ‘type venir ici ‘alors sarha dire wha être h syas écouter halloween chanson commencement sarha indiquer tour en bas type indiquer pourquoi alors dire son très rampant où vous trouver? le type de te dit sur le sarha net dit le tuera que je ne veux pas être effrayé en ce moment BIEN! ‘le type dit l’ok correct j’approuvera le nowwe voient un jamie de weno de caskat est dans lui que nous voyons John il dit je suis ainsi maman désolée il des sobbs dix nous voyons molly elle dit tate de manque je suis désolé si j’étais selfless ceci n’aurais pas l’ok de happend nous voyons John He est dangrtament wachting de maison sur les nouvelles il ont vues que un journaliste il dit était ceci sont vraiment était itdangertiment? alors John dire vous mais votre âne être vrai quelque manière nouvelles que Michael être dans maison aller sarha alors phénomène et trouvaille John voir ici porte johns loger alors porter lui son maison partie être foncé dans ther seesort un forme sorcière avérer pour être Michael avec sang partout son masque voir lui poignarder sarha alors shes complètement alors bataille microphone et John molly obtenir un feu exstingwiser dedans mettre aux yeux Michael dix dire laisser aller John maintenant alors dire aucun je devoir rester ici pour mon maman andmy famille courir outre du thn John et Michael battaling tout comme le busta et le microphone dans le ressurection alors le combat continue le microphone de la poussée de John et une fenêtre et son gos arrière dedans à un certain brokein John de verre prend un morceau de verre et les encavateurs de microphone du cou du microphone de coupes son cou en douleur alors John coupe sa tête au loin qu’il est mort pour sûr il enlève le masque de te de Michael nous voient que son visage tout brûlé et sanglant dans halloween l’extrémité de te de débuts de chanson…
—————————————————————–
Cool non ?
Plus fort le clou dans mes mains! Je te dis d’enfoncer plus fort, là le sang coule à peine, allez, un peu de courage, merde! Si tu crois que ça me fais mal.
Je ne trouve plus le sommeil. Rien n’y fait.
J’ai tout essayé, même des doses massives de ketamine, le genre qui assommerait un cheval.
Ce foutu bouquin compte désormais 2834 pages.
A l’origine il en comptait 700.
Plus de 2000 pages supplémentaires en quelques jours.
Et pourtant l’épaisseur de l’ouvrage n’a pas varié d’un millimètre.
Comment vous expliquez ça, vous ?
Hier je me suis tout simplement perdu dans un labyrinthe de notes.
C’est absurde.
Quelque chose m’a échappé, je ne sais pas comment… mais bon, voilà, je me suis perdu.
Pourtant j’avais balisé mon itinéraire de marque-pages.
Ça paraît dingue mais ces marque-pages ont commencé à disparaître les uns après les autres.
Bref, il m’a fallu 7 heures pour retrouver le fil de la narration.
(Et dire que l’auteur m’avait prévenu : « vous devriez vraiment vous débarrassez de ce livre… »)
on ne le répétera jamais assez :
l’important n’est pas l’uppercut
mais le jeu de jambes.
EGu.-trip!
Il y a les pré-Gu., les Gülistes, les Güliens, les néo-Gu., les pseudo-Gu., mais la vrai Gu. c’est môa…
(merci à Fred Vargas)
La carrière d’un sumotori ou rikishi (terme plus fréquemment utilisé) débute généralement lorsqu’il est âgé de 15 ans et ne dure guère qu’une quinzaine d’années. Entraînés et éduqués dans des écuries (heya), les sumotori subissent un régime alimentaire et sportif très dense : mesurant en moyenne 1,85 mètres pour 148 kg, certains peuvent peser plus de 200 kg (à titre d’exemple, Akebono pèse 234 kg).
|
j’ai un problème
17h33 – Je lis Tourgueniev.com

– mais qu’aviez vous donc à l’esprit à ce moment, pour faire une chose pareille?
– hé ben… rien…
– ha ! c’était donc ça …
Dans la bande centrale, située dans la partie la plus large de l’évasement, on voyait un animal à la gueule ouverte qui pouvait etre un loup stylisé, ou encore un renard ou un chien; son corps blanc se tenait debout, incliné sur la gauche; il avait les pattes postérieures largement écartées et les antérieures levées et déployées. L’impression de mouvement créée par la position des membres se reflétait dans une série de formes géométriques courbes et tourbillonantes, qui formaient un motif répétitif devant probablement faire tout le tour du vase. Des éclats avaient sauté à hauteur du col, mais l’image centrale était intacte et très belle.
aujourd’hui, john à décidé de porter ce petit haut
en coton blanc qui met si bien en valeur son torse
aux proportions idéales (on appelle ce genre de
vêtement un « marcel »). il s’approche de moi et dit :
» tu viens prendre un verre chez moi? …
t’inquiètes pas, entre nous ça restera purement sexuel. »
helene par MSN : ça serait drole des films pornos clamant « les chattes les plus profondes d’europe »

je vais te percer le coeur à travers la brume des âges ; je vais regarder en bas ; je n’aurai pas le vertige ; suspendu à la corde du temps je n’aurai pas peur de regarder de toute mon âme le trou béant de mon passé ; et je continuerai de grimper
environ 6 heures de retard sur le plan
je redispose les petites briques de temps d’une autre façon pour pouvoir m’en sortir,
ça ne sera ni la première, ni la dernière fois que je procéderai ainsi
futur simple
Dans les boites d’interim
il n’y a que 4% d’interim !
le reste c’est : « jobs et autres sous-produits d’emploi » !
*** publicité onirique des temps modernes ***
pour venir à bout de tous vos problemes
buvez de l’alcool!
en effet, rien ne résiste à l’alcool,
(il dissout tout, hormis l’alcoolisme)
Chacun semble utiliser le langage comme s’il allait de soi ; personne pour faire son procès ; on a l’impression qu’il est facile d’avancer, de noircir des pages, et que votre cheminement est évident à suivre. Quelle est seulement votre exigence ? Les critères de cette exigence surtout. ANSWER SVP.



































