Erratum.
(Compris l’impossibilité de parler en mon nom.
Plutôt se demander ce qu’il y a derrière le nom.
Avant le nom. Une créature épouvantable ?
Un sauvage que je me propose d’apprivoiser. La création
du héros comme un ego d’expériences, momentané, textuel.
Un être abstrait. Un moule dans lequel tout peut se fondre.
Même si le héros est une force vide, je suis responsable de lui puisque je l’ai crée. )

ceci n'est pas un chateau dans les pyrénées

Old par M. Fox le 12 Mar 2003

Je suis l’ami des enfants

je vais marcher au bord de la mer ce soir et peut-être demain si le temps est ok si je rencontre une fille je vais essayer de la faire venir chez moi et de lui faire ouvrir la bouche pour mettre ma langue dedans et si elle est ok continuer à la séduire pour ensuite me marier avec elle puis avoir des enfants pour ensuite les manger sauf si par hasard un de mes fils est lui aussi un ogre sans parler de la possibilité infime de la petite ogresse.
Old par igor le 13 Nov 2003

honeybreadwithacoconutcover

Old par Gu. le 23 Nov 2003

[…] I’m picking the moment I gotta get away from this
Monotonous call the capital ‘L’ loving every minute that I’m in it. […]

Old par Nicolai le 23 Jan 2003

Regards croisés
Jambes emmêlées
Je m’suis vautré
Place St Sulpice
J’ai vu vos cuisses
Et espéré
Que ça n’ finisse
Coordonnées
06 61 63 58 84

il buvait tellement, qu’il se reveillait en faisant des crises de manque

angoisses et sueurs froides

alors il mettait la musique à fond et concentrait son esprit sur les fêtes à venir,
histoire d’oublier la panique et la peur

Old par M. Fox le 01 Mar 2003

Minuit pile

Old par igor le 19 Oct 2003

Maurice Blanchot, cet eros


Qu’importe que ce soit léger puisque ça sent le sang et la sueur
les yeux qui chavirent
c’est un bulldozer,
c’est pas délicat
c’est pas fait pour les champs de coquelicots
les coquelicots nous on les broie
on en fait un jus sombre
qui pique la langue
on joue pas de la flûte dans les vertes prairies
au soleil
on écoute le Boum-Boum
sous nos côtes
à la lune
on regarde
nos cages thoraciques
qui volent en miettes

Old par -- Zan le 02 Avr 2003

Old par igor le 10 Mai 2003

Où est la vie ?

J’avais demandé à mes étudiants en

photographie d’enregistrer les petits événements,

dans une ville. Les mains ! Amoureux, travailleurs saisis dans

la simplicité d’une action dont le sort du monde

ne dépend pas ! Alors la vie toute entière

fut dans la main d’une jeune femme qui s’agrippe à celle

de son ami ! Photographiez le chaînon, le lien ! Et la vie

ne sera qu’une tendresse et rien d’autre (amoureux sur les bancs publics

pourquoi pas !).Quand un beau geste fait oublier les restes, la vie s’affirme

dans une mécanique factuelle, simple. Un gosse qui ramasse un

caillou, et bien je suis heureux de le voir ! Une femme qui court

sans être poursuivie dans un boulevard en contre-jour, c’est ça !

Commencement de la fiction ! La vie est dans cette minceur,

ouverte aux histoires. L’homme se lève de son banc, jette le

journal dans la poubelle, il fait bien, et il continue sa route. J’ai

vu à travers ce geste la nécessité de se

retrouver et de lâcher le poids du monde. Marche vieillard !

I.G.O.R.
je ne suis pas un avatar
je suis vrai
j’existe
je vais le prouver
et sur tes intestins
fumants
j’écrirai mon nom
G.R.I.S.H.K.A.

J’ai changé l’annonce d’accueil.

Old par Rodia le 13 Avr 2003

autOmne 2000

l’autObus café

première

pellicule

pOlarOid 500

distribuée

9 dOnnés

1 gardé

here

it

is

(…)
Old par Gu. le 22 Août 2003

jeunesse

lotus, ctgr - ride (Photos ArnO Feret, cb.)

NOURRIR LES HOMMES

INSIDE

THE

BEAST

Old par igor le 24 Déc 2003

Cet air qui m’obsède jour et nuit

Cet air n`est pas né d`aujourd`hui

Il vient d`aussi loin que je viens

Traîné par cent mille musiciens

Un jour cet air me rendra folle

Cent fois j`ai voulu dire pourquoi

Mais il m’a coupé la parole

Il parle toujours avant moi

Et sa voix couvre ma voix

Padam…padam…padam…

Il arrive en courant derrière moi

Padam…padam…padam…

Il me fait le coup du souviens-toi

Padam…padam…padam…

C`est un air qui me montre du doigt

Et je traîne après moi comme une drôle d’erreur

Cet air qui sait tout par coeur

Il dit: « Rappelle-toi tes amours

Rappelle-toi puisque c`est ton tour

y’a pas de raison pour que tu ne pleures pas

Avec tes souvenirs sur les bras… »

Et moi je revois ceux qui restent

Mes vingt ans font battre tambour

Je vois s’entrebattre des gestes

Toute la comédie des amours

Sur un air qui va toujours

Padam…padam…padam…

Des « je t’aime » de quatorze-juillet

Padam…padam…padam…

Des « toujours » qu’on achète au rabais

Padam…padam…padam…

Des « veux-tu » en voilà par paquets

Et tout ça pour tomber juste au coin d’la rue

Sur l’air qui m`a reconnue



Ecoutez le chahut qu`il me fait



Comme si tout mon passé défilait



Faut garder du chagrin pour après

J`en ai tout un solfège sur cet air qui bat…

Qui bat comme un coeur de bois…

H.CONTET

Old par Gu. le 16 Août 2003

my beautifull laundrette - rendez vous ce soir au cinema de minuit

méfiez vous des garçons formidables

Old par M. Fox le 11 Jan 2003

Minuit pile

Old par igor le 21 Oct 2003

Old par M. Fox le 09 Fév 2003

c’est toi chéri ?

fermarsi un attimo, restare um po, poi andare
va sapere…

Je vous envoie un bouquet de ma main,
Que j’ai ourdi de ces fleurs épanies.
Qui ne les eût à ce vêpre cueillies,
Flaques à terre elles cherraient demain.

Cela vous soit un exemple certain
Que vos beautés, bien qu’elles soient fleuries,
En peu de temps cherront toutes flétries
Et périront, comme ces fleurs, soudain.

Le temps s’en va, le temps s’en va, ma Dame.
Las ! Le temps non, mais nous nous en allons,
Et tôt serons étendus sous la lame.

Et des amours desquelles nous parlons,
Quand serons morts, n’en sera plus nouvelle.
Pour ce aimez-moi, cependant qu’êtes belle.

Old par -- Zan le 05 Fév 2003

Avertissement.

Ecrire, se provoquer, se dresser — en se donnant

des règles. Passage du sauvage à l’enfant

scrupuleux qui chaque jour fait ses lignes d’écriture.

Mascarade

Quand tu es près de moi,
Cette sauce béchamel n’a plus de tibias,
Mais des chips au vinaigre oui,
des chars d’assaut infinis,
Et quand tu es tellement près de moi,
C’est comme si ce pantin en bois,
Il n’existait plus,
je vois le tableau de bord penché sur nous…
qui restons ainsi,
Abandonnés tout comme si,
Il n’y avait plus rien,
non plus rien d’autre au barbecue,
J’entends l’harmonica…
mais on dirait un vol long-courrier,
Qui chante pour toi et pour moi,
Là-haut dans le calumet infini,
Et pour toi, et pour moi.

Old par igor le 19 Nov 2003

Faire semblant de jouer du Jean-Sebastien Bach au piano en récitant la bible et écrire des posts débiles sur Tourgueniev.

Old par Rodia le 10 Avr 2003

Troublant, non ?

Old par -- Zan le 26 Sep 2003

le récitant : do yourself a favor and become your own savior.

Old par igor le 28 Mar 2003

C’est mauvais, alors pourquoi continuer?
(d’en manger, d’en boire, d’en prendre, de le voir…)

Old par Gu. le 14 Avr 2003

Il en vient à penser que lorsque la peur s’atténue,
qu’il a bravé la folie, et avec elle cette proximité de mort
– il n’a plus rien à perdre ; il se laisse donc conduire dans
la confiance vers un espace blanc qu’il imagine etre le lieu
du repos, celui du bonheur. Quel serait l’avantage de ce lieu ?
Quel serait ce lieu ? Transparence. Rien au-delà.

Le lieu de la pure visibilité.

Ne nous fâchons pas

Des p’tits trous, des p’tits trous, encore des des p’tits trous …

J’ai mis du temps mais j’y suis arrivée
quoique.

Atmosphère colorée, relents électroniques, tout le monde se connaît déjà et ceux qu’on ne connaît pas on sait déjà comment ils sont. Virevoltage savant et repérage de la personne la plus enduite du désir de tous. Je suis l’image la plus enduite de désirs. Tu viens vers moi. J’apparais déjà sur les écrans placés derrière mon dos et tu regardes fasciné, tu ne sais déjà plus laquelle choisir. Moi non plus je ne sais plus laquelle choisir. Je souris, j’ai les joues roses je bois je fume je fais des clins d’oeil au loin on vient me saluer tout le monde me connaît ou tout le monde croit me connaître. Notre singularité s’étale en flaques de couleurs, je suis enrobée dans la tienne et la mienne te touche. Je fume ma dernière cigarette je grimace un peu tu t’éloignes vers les télévisions derrière moi. Revient la chimère de cet univers pixélisé elle est projetée elle est multipliée en images. Elle correspond au format de ton écran. Tu me parles soudain comme à un produit type qui serait la moyenne de toutes ces poupées en 3D. Superficiel (toi). Artificielle (moi). Tu me passes au-dessus!

En fait, ce sont juste des gens de dans 6 000 ans qui croient qu’on joue un jeu de rôle, comme nous jouons sur des thèmes médiévaux.

Qu’on y est même très forts.

Alors pour eux, les sentiments, tout ça, ça n’existe pas : tout se fait par internet, et mettre la langue, ça apporte des bactéries.

C’est pour ça, ils ne comprennent pas : on ne joue pas avec les gens.

Même les cons.

Même par internet.

Old par motown le 24 Mai 2003

Trois images de C. Napoli, 2002.

Minuit pile

je suis une pêche

Old par igor le 07 Nov 2003

Je ne suis pas fier de moi.

Old par Rodia le 10 Avr 2003

« Je vous ai vu vous prosterner aux portes de la ville et dans vos foyers pour adorer votre propre liberté,
Comme des esclaves qui s’humilient devant un tyran et qu’ils le louent alors qu’il les anéantit.
Oui, dans le verger du temple et à l’ombre de la citadelle, j’ai vu les plus libres d’entre vous porter leur indépendance comme un joug et une paire de menottes. »

1 par jour pendant 3 semaines.

Old par Rodia le 01 Mar 2003

(quitte) léopard (avec moi)

Old par -- Zan le 28 Jan 2003

M.D.M.A

Old par Gu. le 24 Mar 2003

Vais tenter d’avancer avec vous…

Old par Amok le 07 Juil 2003

Old par Gu. le 24 Mai 2003

quand elle écrit, on dirait moi.

Old par M. Fox le 21 Jan 2003

classique et désespérément efficace

Old par felix le 09 Déc 2003

Je suis vide quand je consulte ma boite de déception.

la fac : bien des choses et ça qui m’avait fait bander à l’époque.
(utiliser le medium comme support pour un journal intim’impartial)

Old par igor le 13 Fév 2003

Ce soir fin de l’expo "troisième niveau".

Old par igor le 27 Sep 2003

Old par -- Zan le 13 Mai 2003

« alors, je ne sait pas ce qui m’a pris, j’ai dit tout bas, mais assez fort pour qu’elle l’entende : « les femmes à poil, à poil les femmes. » LK


Fermer les yeux y retourner

sentir à nouveau le vent

Le sel au coin des lèvres

tout est blanc

entendre à nouveau

la petite comptine à trois temps



Old par -- Zan le 12 Avr 2003

Old par igor le 03 Avr 2003

cet

été

On

fait

danS

le

bain

de

piedS

(…)
Old par Gu. le 11 Août 2003

ce moment délicat entre tous,
rien qu’un souffle
entre nous,

trois fois rien
qui changent tout

Old par M. Fox le 01 Mai 2003

EBAT, CE HEROS

Mala vida – Soleil

La Mano avait tout compris au traumatisme hivernal…

Nuit productive ? Trop froid pour dormir… -4 au compteur

Old par Rodia le 11 Jan 2003

Ecrire, ou à peine le faire, comme on carresse prudemment un fauve qui roupille.

Minuit pile

Old par igor le 23 Oct 2003

Merde, j’ai oublié d’être hype ce matin.

Old par motown le 05 Mar 2003

des pleurs alors nous avons franchi un cap

tu es ouvert et sans vulv-garité

torrent oui oui ça passe ça vient

petits jets de phrases absconses

pour les demoiselles en tongs

dont les jolies robes me font penser

parfois à des nappes de pique-nique

des pleurs ? pourquoi des pleurs ?

ha oui faciliter la connection, l’accrochage

des engins dans la mécanique du

plaisir vous n’avez que ce mot rikiki

plaisir et petites bouffes pénardes

sur les quais des Seine, mon dieu c’est

pas glorieux, mon dieu vous pleurez pour

un POEME PROEME PROBLEME

mangeons mangeons mangeons-nous

…comme on a pas le choix, il nous reste le coeur!
Tu peux cracher même rire, mais tu le dois
à ton étoile…

Old par igor le 30 Juin 2003

Manipulation

je sais pas ce que j’ai foutu de Violetta…


Old par -- Zan le 18 Juin 2003

youth in the countryside

Sybil, Basil - on front of fawlty tower (Photos Manuel)

Old par Gu. le 02 Déc 2003

J’ai rencontré mon tourment.

Le diable peut-il prendre l’apparence d’une (trop) jeune fille brune les cheveux courts, aux grands yeux noirs, au joli visage sur le quel flotte un sourire inexplicable ?

Peut-il apparaître seul, lors d’un concert et se trouver derrière moi, inaccessible mais évidemment visible ?

Peut-il me tenter juste suffisamment pour que ma timidité et mon inaction me soient insupportables ?

Le diable peut-il me tourmenter à ce point ?

Glacée.

Old par Rodia le 16 Avr 2003

Je suis un salaud.
J’ai fait rire la femme d’un autre
06 61 63 58 84

Minuit pile

Old par igor le 04 Oct 2003

Je porte mon regard si loin que j’aperçois l’ Authentique.



No pain, no gain

et une paire de tongs dans la face !

Old par D.b le 13 Juil 2003

embarquement immediat pour la secretaire en porte trois

Je me force à penser un peu chaque jour : ça fait maigrir


    

Old par igor le 13 Juil 2003

 
 
Old par igor le 05 Août 2003

et moi ? je suis représenté par quelle couleur ?

Old par Gu. le 10 Juin 2003

FISHERMAN’S BLUES (WATERBOYS)

I wish I was a fisherman

tumbling On the sea

far away frOm dry land

and its bitter memOries

casting Out my sweet line

with abandOnment and lOve

nO cieling bearing dOwn On me

save the starry sky abOve

with Light in my head

and yOu in my arms

le récitant : ce jour, thème imposé, le jaune, le bleu et la rénovation de maisons en bois.

Old par igor le 15 Avr 2003

Un problème ?

The band of future is…

Old par Gu. le 09 Avr 2003

QUELQUE PART …

… Un sombre complot subliminal se terrait entre le Verbe et le Nombre






Old par Gu. le 12 Juin 2003

Old par igor le 21 Fév 2003

———————————————–
je vais livrer un véritable secret en 5 lettres
je vais livrer un secret qui protègera de la FdM
je vais livrer un secret qui tel B-U-F-F-Y peut
   – nous sauver de l’Apocalypse.
je vais livrer un secret en 5 lettres véritables
je vais livrer un secret qui repoussera la FdM
je vais livrer un secret qui tel M-O-I-S-E peut
   – nous sauver des égyptiens furieux.
———————————————–

Old par igor le 19 Mai 2003

Si tu peux conserver ton courage et ta tête
Quand tous les autres les perdront;
Si tu peux rencontrer Triomphe après Défaite
Et recevoir ces deux menteurs d’un même front


Old par -- Zan le 14 Jan 2003

personne ne m’a dit que ma trique rechargée était un film de blaxploitation

This is normal

Nastassia Philippovna s’avança ; son visage était pâle comme un linge, mais ses grands yeux noirs jetaient sur les curieux des regard brûlants comme des charbons ardents. Ces regards, la foule ne put les supporter ; l’indignation fit place à des clameurs d’enthousiasme. La portière de la voiture était ouverte et déjà Keller tendait la main à la mariée, lorsque celle-ci poussa un cri et, quittant le perron, piqua droit sur la foule. Les gens du cortège restèrent paralysés de stupeur ; le public s’écarta devant elle et à cinq ou six pas du perron apparut soudain Igor Tourgueniev. Elle avait aperçu son regard parmi tout ce monde. Elle courut vers lui comme une folle et lui saisit les deux mains :

– Sauve-moi ! Emmène-moi ! Où tu voudras, à l’instant même !

Aujourd’hui en ouvrant ma boîte j’ai de la chance :
Quelqu’un se propose de s’occuper de mon découvert bancaire,
Un autre d’augmenter la taille de mon pénis
Et une certaine Angela m’invite à un premier rendez-vous gratuit…

Old par -- Zan le 17 Avr 2003

Slices

A l’extrémitude de la solitaire, elle brassait des vagues en remuant le vide…
Troplein d’humains… frénésie de corps… douleur au bas-ventre…

Old par Gu. le 18 Mar 2003

il souffrait depuis de longues années
d’une maladie étrange

chaque nuit,
le mal se concentrait
dans ses poumons
sous la forme
d’une pate visqueuse
si bien qu’au matin
il respirait avec peine
et devait chanter
pour libérer son corps

Old par M. Fox le 12 Mar 2003

Vous retrouverez votre photo sur le trottoir à l’angle de la rue de Patay et de la rue du Dessous des Berges (paris 13e).

Old par Rodia le 07 Mai 2003

« Haaa…, trés cher, je suis ravie de voir que vous avez pu vous libérer pour vous joindre à nous… effectivement, c’est charmant; oui, l’ambassadrice du Gabon est présente, elle aussi… son jeune frêre l’accompagne avec un singe sur l’épaule… étonnant, tout à fait…mais au fait, vous souvenez vous de la conversation que nous avons eu l’autre jour à propos d’alpinisme…oui, et bien laissez moi donc vous présenter quelqu’un qui pourra répondre à vos questions de façon pertinente :
La voici, elle s’appelle Anna Tommy… »
(baisser de rideau, la foule en délire réclame le tableau suivant par une standing ovation…)

et ils ont des caractères bien définis

Old par -- Zan le 28 Juil 2003

J’ai travaillé ce soir.
Il faut que je dormes pour oublier

« là ici »