brother

j’ai plongé dans ton bassin.
je m’y suis noyé.
me suis raccroché à ton os.
massage cardiaque.
même pas mort.
encore loupé…
chercher le creux.
suivre la ligne.
jusqu’à genoux.

un seul être prend le train et tout s’égare.
je m’égare… gare à moi.

à Marcos, à la joie…
à la beauté des rêves…
à la mélancolie, à l’espoir qui nous tient…
à la santé du feu… et de la flamme!
à ton étoile…

Bout au revoir ceci être notre dernier au revoir je détester pour sentir amour entre nous matrice mais être excédent juste entendre ceci et alors je aller vous donner davantage pour vivre pour plus que vous jamais connaître ceci être notre bout embrasser devoir I rêve et toujours voir votre visage pourquoi pouvoir non surmonter ce mur bien, peut-être être juste parce que je non connaître vous tout baiser, svp embrasser mais embrasser hors désir, bébé, et non consolation vous connaître faire ainsi fâché ’cause je connaître que dans temps je seulement faire vous cri, ceci être notre dernier au revoir vous dire ‘non, ceci pouvoir non arriver, ‘et vous précipiter téléphone pour appeler être là un voix unkind dans dos votre esprit dire peut-être vous non connaître lui tout vous non connaître lui tout, OH, vous non connaître bien, cloche dehors dans église tour carillon brûlant indice dans ce coeur le penser ainsi dur sur son doux oeil et mémoire offrir signe que être excédent… être fini.

– happy birthday klute!
– ta gueule connard!

Question :

en ces temps de fin du monde, le Ukulélé serait-il l’ultime manifestation de ce que les scientifiques appellent le « tourguénisme hormonal »?

Une épaisse brume s’abat sur Paris
décapitant la tour Eiffel dans un fondu au blanc.
Tu as bien fait de partir…
Fuir le brouillard.Surtout.

ne vous emballez pas!
au moins il y aura quelqu’un pour me déballer…
ou pour déballer mes conneries à ma place.

Avec le temps, va , tout s’en va…
Mais par contre y a un truc qui s’approche : la mort!
(Babysoda, 8 ans)

ERRATUM:

Le Cargo culte ne s’est pas écrasé dans la jungle de Nouvelle Guinée.
J’ai retrouvé Melody lundi soir à dans une île enchantée.
– Tu t’appelles comment?
– Melody.
– Melody comment?
-…

( à suivre…)



Le temps est trop précieux pour ne pas le perdre…

l’important, c’est le presque…

je t’ai en plein dans la face.
que puis-je y faire?

Il pleut … t’as raté le soleil.
Il va falloir en fabriquer.
Ou puiser dans les réserves.
Je me mets au boulot tout de suite.
De toutes façons les trains ne sont jamais à l’heure.
Pas à celle qu’on espère.

f u c k .

Dans son regard absent
Et son iris absinthe
Tandis que Marilou s’amuse à faire des vol
Utes de sèches au menthol
Entre deux bulles de comic-strip
Tout en jouant avec le zip
De ses Levi’s
Je lis le vice
Et je pense à Caroll Lewis.

Dans son regard absent
Et son iris absinthe
Tandis que Marilou s’évertue à faire des vol
Utes de sèches au menthol
Entre deux bulles de comic-strip
Tout en jouant avec son zip
A entrebailler ses Levi’s
Dans son regard absent et son iris
Absinthe dis-je je lis le vice
De baby doll
Et je pense à Lewis
Caroll.

Dans son regard absent
Et son iris absinthe
Quand crachent les enceintes
De la sono lançant
Accord de quartes et de quintes
Tandis que Marilou s’esquinte
La santé s’éreinte
A s’envoyer en l’air…

Lorsqu’en un songe absurde
Marilou se résorbe
Que son coma l’absorbe
En pratiques obscures
Sa pupille est absente
Mais son iris absinthe
Sous ses gestes se teinte
D’extases sous-jacentes
A son regard le vice
Donne un côté salace
Un peu du bleu lavasse
De sa paire de Levi’s
Et tandis qu’elle exhale
Un soupir au menthol
Ma débile mentale
Perdue en son exil
Physique et cérébral
Joue avec le métal
De son zip et l’atoll
De corail apparaît
Elle s’y coca-colle
Un doigt qui en arrêt
Au bord de la corolle
Est pris près du calice
Du vertige d’Alice
De Lewis Caroll.

Lorsqu’en songes obscurs
Marilou se résorbe
Que son coma l’absorbe
En des rêves absurdes
Sa pupille s’absente
Et son iris absinthe
Subrepticement se teinte
De plaisirs en attente
Perdue dans son exil
Physique et cérébral
Un à un elle exhale
Des soupirs fébriles
Parfumés au menthol
Ma débile mentale
Fais tinter le métal
De son zip et Narcisse
Elle pousse le vice
Dans la nuit bleue lavasse
De sa paire de Levi’s
Arrivée au pubis
De son sexe corail
Ecartant la corolle
Prise au bord du calice
De vertigo Alice
S’enfonce jusqu’à l’os
Au pays des malices
De Lewis Caroll.

Pupille absente iris
Absinthe baby doll
Ecoute ses idoles
Jimi Hendrix Elvis
Presley T-Rex Alice
Cooper Lou Reed les Roll
Ing Stones elle en est folle
Là-dessus cette Narcisse
Se plonge avec délice
Dans la nuit bleu pétrole
De sa paire de Levi’s
Elle arrive au pubis
Et très cool au menthol
Elle se self contrôle
Son petit orifice
Enfin poussant le vice
Jusqu’au bord du calice
D’un doigt sex-symbole
S’écartant la corolle
Sur fond de rock-and-roll
S’égare mon Alice
Au pays des malices
De Lewis Caroll.


qu’y-a-t’il de plus violent que de perdre une soeur?

infirmière en grève
et pendant que ces pauvres nabots attendent leur Citrate de Bétaïne,
Mâdâme s’envoie en l’air avec le premier trader qui passe!

…comme on a pas le choix, il nous reste le coeur!
Tu peux cracher même rire, mais tu le dois
à ton étoile…

Le vertige de la baignoire grise…

– ne plonge pas, y a pas assez d’eau!
– m’en fous j’y vais quand même.
– MEFIE-TOI!
– pourquoi faire?
– parce qu’ on ne sait jamais…
– toi tu ne sais jamais… moi non plus d’ailleurs;
mais c’est tant mieux; si tu savais, t’aurais plus d’envie.
– je n’aie plus d’envie.
– arrête de vouloir savoir
– quoi encore?

à l’avenir, laisse venir… l’imprudence.

push to open...
coeur de cible… et inversement … à « 3 » je plonge!

à l’avenir, laisse venir…

sodagirl

Défaite

Je parle d’après, d’après les langueurs d’été, d’après les larges corolles offertes, je parle d’après vous.
Je parle des replis, d’une brisure tapie sur laquelle suinte ma plaie. Ce sont les épées d’Emily qui ont entaillé ma chair. Gouttes de sang sur neige. J’ai goutté cette beauté là. Stupeur.
Je vous ai menti cet été là. Je ne savais pas. On respirait les mêmes parfums. Alors. Comment savoir ?
Il y eu l’automne d’Anton, un glissement progressif, sous la cape des chaleurs nocturnes. Je me suis enfouie. J’ai vu venir l’enlisement sans frayeur aucune. J’ai vu venir l’étouffement sans me débattre. Voluptueuse dérive.
La neige s’est mise à fondre dans les mirages des brûlantes réminiscences. J’ai vu d’étranges fantômes qui me frôlaient – j’aurais pu croire qu’ils me bousculaient – sans ciller, sans un battement de cœur : vous étiez mort au cœur de l’été, là-bas, dans la fournaise. La braise faisait rougir mes yeux qui dégoulinaient dans le miroir. Vous étiez loin déjà. Sur le bûcher – sur l’autel auriez-vous dit dans votre étrange persistance à vous croire encore vivant – je n’irai pas chercher les cendres.
Maintenant, c’est l’hiver qui piétine l’agonie. Coque, carapace cruelle qui ne s’émeut pas de vos contorsions. Je ris. Indécente sous le masque. Je joue avec l’épée que vous avez lâchée. Imprudent. Innocent peut-être. Maintenant, il faut m’écouter, encore une fois et à jamais : du miroir brisé s’échappe l’alouette.

from sodagirl to sodaboy…

La faute de goût du jour d’avant :
l’Espace Ricard.
Un endroit Tourgueniste s’il en est pour peu qu’on accorde quelque importance à
l’Architecture Allemande et qui pourtant se fourvoie dans des impasses aux allures
de baisse de forme.
On se serait contenté de ce diaporama sans images s’il y avait eu moins de mots inutiles.
Seulement voilà :
Huit heures moins le quart, c’est l’heure du Ricard…. du moins c’est ce que dit la maxime.
En fait non! et idem pour huit heures et quart et neuf heures moins le quart.
Neuf heures moins le quart devient donc l’heure du pétard.
Seulement voilà :
En essayant d’aller aux toilettes pour pisser le pastis qu’on à toujours pas bu, histoire de
donner un coup de pouce au destin, on est directement choqué par les effluves du parfum
d’ambiance : de l’anis? non, de la mangue!
Des astres!
Buvons pour oublier…

mes bras connaissent… toujours pas…

Quelqu’un a oublié ça sur les Anneaux de Saturne, c’est à vous?

je savais que je vous aimais bien le soir
je savais que je vous aimais bien le midi
maintenant, je sais que je vous aime aussi le matin
peut-être même plus…
vous n’êtes pas du matin? moi non plus… ça doit être ça.

(…suite)

Melody Nelson à les cheveux rouges et c’est leur couleur naturelle.
Le vin espagnol m’a rendu extrêmement lucide et étonnament loquace…(what happens??)
–> Red was the color of this blue monday.
Muchas gracias Rioja!
Thanks a lot Melody…
Tu t’appelles comment?

(à suivre…)

cessez le feu
rallumez la flamme

noël au Gewürstraminer
drunk!

soyons désinvoltes, n’ayons l’air de rien!

(…suite)

FIN

link from last post was a (private) joke.

IGOR IS INNOCENT!

Que mes mots soient des caresses que je te hurle dans l’oreille…

some exclusive sodasound here

sodaboy is dead…

(…suite)

Je rêve de hijacks et d’accidents d’oiseaux…

(à suivre…)

il parait que la blanche colombe à 300 tonnes de plomb dans l’aile
il paraît qu’il faut s’habituer à des printemps sans hirondelles…

Evitez d’éviter.
Faites semblant de faire semblant.
Arrêtez d’arrêter.
Fuyez la fuite.
Soyez prudents avec la prudence.
Détestez détester.
Abstenez-vous de vous abstenir
Aimez aimer.
Lachez-vous quand on vous lache.
Lachez-moi quand je me lache…

Paris est sans doute le point le plus éloigné du paradis
mais c’est le seul endroit où il fait bon desespérer.
(Cioran)

Il y a du soleil sur Paris, le brouillard ne peux plus lutter, il se cache à l’est.
Cette fois, tu n’aurais peut-être pas du partir,
peut-être est-ce ça « L’Imprudence« .
A l’est rien de nouveau, ici, une lame de fond fait le ménage, discrètement.
Plus un nuage, le temps idéal pour aller voir les galaxies sur le mont Valérien.
Les étoiles t’attendent.
Dépêche-toi, on a tout le temps…

ceci est un attentat…

On peut pas refuser éternellement les invitations (c’est ce qu’elle me disent toutes).
On peut donc logiquement s’attendre à une pluie de chiures de mouettes dans le quartier…
alors, puisque t’insistes :

et comme on dit chez mycroft:
Thanx for the add…

out of the third level…the descent keeps going.
thanx sister.