tiloui est l’ami des petits tiloui est un grand tiloui dans sa tête il est encore petit tiloui est très gros et fort tiloui aime beaucoup la petite lucie lucie aime aussi beaucoup tiloui tiloui est si fort que quand il serre lucie craque et crie
J’aime tant que tu te glisses dans mes rêves ! Tu y glisses une jambe autour de moi, tu y poses la main sur mon torse. Je sens ton parfum. Alors je peux me lever le cur léger.
Toc! je saute de roche en roche, des fois je tombe, un pied dans l’eau, une petite flaque. J’ai l’aisance du merle, mais plouf mes cheveux sont mouillés. Tu me regardes sans me donner la main courir dans les brouissailles sèches de la garrigue. Je suis pieds nus et tu souris. Je maquillerai tes erreurs du sang égratigné. Tu m’as trompée (du sang sur les yeux) tu m’as menti (du sang sur le front) tu m’as abusée (du sang sur les lèvres). Tu me regardes, et maintenant, après ma rage et ma résignation (je succombe à mon désespoir, je succombe à ton désir de non moi), tu me regardes avec amour et tu susurres que tu me reverras. Quand je te vois j’imagine de sang barbouillé toi.
———————– first draft : 11h57 lundi, c’est comme le début de la semaine, une division subjective du temps: la semaine ça me fait un belle jambe, lundi… on ne pourrait pas être vendredi dernier toute la vie ? non ? ———————– Blank ———————– updated : 14h17 j’avais l’envie d’écrire un long texte larmoyant et romantique pour dire comment ça fait mal là dedans mais je n’en suis pas capable. je n’y arrive pas je laisse tomber vous avez de la chance ———————– Blank ———————– upgraded : 16h17 tu me manques les options se bouculent me cramer la tête toute la nuit te harceler au téléphone m’abrutir de séries américaines les trois ? ———————–
(( Ah te voilà ! J’ai mis du temps mais je t’ai enfin retrouvé. Qu’est-ce que tu fous dans le monde réél ? Tu prends des vacances ? Tu sais bien que ce monde n’est pas pour toi ! Tu n’as rien à y faire… Tu veux jouer à la vraie personne… mais tu ne ressens pas comme un décalage ? Allez, reviens vite ! ))
Et ainsi Danaé, la toute belle, Passa de la lumière heureuse du jour à des murs d’airain, Et dans cette chambre secrète et close comme une tombe, Elle vécut en captive.