vendredi : putain je suis
vidé lessivé
cassé
bousillé
mais
ce
soir je
danse
à nouveau…
le récitant : sous les pavés, la plage, enfin !
Les serbes rejouaient la victoire au foot dans le sable avec les miliciens chinois du dirigeable couleur anis survoltés ils ignoraient tout.
Et Igor, de visiter le rayon charcuterie, hipster de base. t.co/xKkVkI7R
Carver aimait le vélo et changer d’orientation sexuelle et / ou de genre plus souvent que de chemise. Et les écureuils, pour le tennis. Nus.
Et on arrive à Toulouse.
j’ai un pingouin télécommandé qui s’appelle Gigi.
Il (elle) est cool et il (elle) aime que les filles pingouin (pingouines ?).
Il (elle) plait à tout le monde. j’en suis content.
Parfois il (elle) se déplace seul(e).
Je l’ai posé au bord de la fenêtre et il (elle) a sauté tout(e) seul(e).
Pas de casse…
Il (elle) se sent peut-être triste pour faire des choses pareilles.
On peut-être aimé(e) et entouré(e) et ne pas être heureux(se)…
Si c’est ça la vie, ça va pas être facile.
Et encore, lui (elle) est télécommandé et en plastique.
Alors que nous…
Sinon, ben, faut voir…
Vous me plaisez bien vous là…
Oui vous…
A Rome, en reculant, un minibus percute Igor visiblement invisible pour tous. Son intangibilité le protège toutefois d’une blessure logique.
Hop.
Je n’ai pas appris l’art de la guerre avec les hommes, le maniement subtil des armes, la fronde, la sagaie. Corilen Apirana
Igor aimerait vous conseiller sur les gens à suivre le vendredi mais Mina lui signale qu’ils sont en mode privé ou super célèbres, donc.
Je vais entrer dans ta maison, dans la forêt, et, étranger, te regarder dormir, sans bruit. J’aurai un masque, un animal totem, et une scie.
Bon sang !!
Qui m’aime me suie – C’est ce qu’on appelle une interruption – Il y a un chef indien nu qui me harcèle moralement, la perte de ses frères.
Et la Nuit. t.co/yUJsxzcQ
Dimanche : je suis une asperge confite.
Le ciel comme un grand cirque avarié. On marche sur le feu. Cap au sud.
Danger Diabolik In Roma.
Enfin quoi.
Ma vraie vie.
Bon, c’est un blog alors encore une fois
raconter ma vraie vie de gars en plastique
à tous, faire profiter l’univers entier de
ma vie normale de gars normal en fer blanc
donc ce matin réveil 8h préparer le petit
déjeuner pendant que Pascal et Chloé sont
à la douche, fruits et chocolatines pour
bien commencer la journée et médocs et
Chloé qui part, les autres se lèvent peu
à peu tètes dans le cul, on parle peu ou pas
le concert d’hier soir a crevé tout le monde
et pourtant y’a cours de danse pendant que
je me douche, pas le courage de m’infliger
ça, les chats sont solidaires mais décontractés
ils matent et je zappe, la question du jour
peut-on entrer en Suisse avec un vieux passeport
après un moment de doute, ça parait plausible
s’il a moins de cinq ans, retour sur le cours
de danse, Kamel est plus souple que Pascal,
c’est clair, je mange du fromage avec un peu
de pain aux noix et une pomme, ils dansent
toujours, j’ai un peu de peine pour eux surtout
pendant les pompes, déjà midi, il serait temps
de me remettre au boulot histoire de faire avancer
la révolution numérique et prolétarienne, voilà
ma vraie vie c’est terminé pour aujourd’hui, la
fascination et un peu d’excitation de m’imaginer
là nu en train de bouffer du pain au noix avec
les danseurs devant la voisine d’en face à sa
fenêtre, et Kamel dit « hooo », faut pas pousser
quand même.
Igor ne sourcilla pas. Les bras croisés sur la poitrine, il attendait bravement que le silence se fit. #ios4
Igor et Mina, sont des. Cylons. Carver. Non. Frak. U. Et l’homme à la tête de chat…
Pitichat il aime le foot aussi
et moi j’aime Pitichat…
Le chat a mangé les clefs du garage à bateaux. La fin des temps. Apocalypse.
Enlève la Pau des saucisses !
Mina, Igor, Carver, un peu orphelins. t.co/0lIJ0sKq
Boum !
Agonie en Patagonie
J’suis seul, sans amis
Et sans salami
Presque à l’agonie
En Patagonie
Une idée de mon activité professionnelle d’aout 2002 à février 2006 ?
Carver, Mina et l’homme à la tête de chat, le carré des étrangers, journée grise et lourde. On jette de la terre sur le cercueil, Igor. Fin.
Enfin je dis ça je dis rien.
Coupez !
Comme la belle au bois dormant : je ne sais pas quoi dire face à une si belle mise en scène de la piraterie. tinyurl.com/goodboring
insomnie, c’est assez nouveau pour moi.
lire en somnolant, clips en boucle sur la tévé
insomnie, même pas la force d’essayer de dormir
rallumer l’ordinateur, câliner le chat
insomnie, enfin, pour me lever tôt demain
crevé mais heureux de te retrouver
se faire un petit voyage tout les deux
enfin, en amoureux.
Le tumulte et des émeutes, c’est ça l’anarchie ? Ceci n’est pas l’anarchie, c’est le chaos. Verwirrung puis Ordung. Si tout va bien. V.
Et dans le ciel, les dirigeables noirs, la neige.
L’air est chaud, un peu humide.
le boudha est en moi
je vois l’avenir et le feu
je vois le regard bienveillant
des cadavres postés sur les murs
de la cité endormie
et je danse sur la langue de la déesse
me demandant si la bombance
durera toujours
amen
What happened to the design?
To know more about why styles are disabled on this website visit the
Annual CSS Naked Day website for more information.
twitpic.com/640k8 – But Pierre Gourou went a bit too far, Claude Lévi-Strauss sailed across the bar… At the Copa, Copa Benveniste !
L’Avant P.A.R.I.S d’Igor…
« Assis à la table du fond depuis 18h avec quelques amis, Igor picole, morose et achève les dernières réserves de bière amassées pendant les happy hours.
A ses côtés ses compagnons se laissent aller mollement sur la table et rient distraitement aux blagues de chacun. Igor laisse son regard errer parmi les clients agglutinés autour de la table…
L’habituelle faune: suédois, américains, anglais des deux sexes, se pressant les uns contres les autres, quelques parisiens comme égarés.
Assis par terre, presque piétiné par la foule, un petit homme à manteau vert, en train de se faire une ligne de poudre rose avec une paille dorée. Un peu de temps passe…
Igor est de plus en plus embrouillé, ses amis sont partis, des gens assis autour de lui, les cafards de plus en plus près, de plus en plus gros.
Un ange passe, un homme immense à l’accent slave s’assoit à la droite de Igor, il sort une flûte de champagne de sa cape et la propose à la jeune fille rousse (Charlie ?) à sa droite.
Elle retrousse un peu sa jupe (on aperçoit le haut de ses bas), sourit à l’homme et accepte la flûte.
L’homme extrait à présent de sa cape une bouteille de champagne, un singe et d’autres coupes qu’il distribue alentours.
Igor en reçoit une et le petit gars en vert aussi, il est maintenant assis sur le genou gauche de Igor qui s’en aperçoit à peine.
Un ange passe, un coup de feu au bout du pub, une bousculade, le mort est vite déchiré par le public affamé.
Le petit homme vert continue à sniffer, une poudre jaune…
La table est pleine maintenant d’objets surgis de la cape du comte.
Sous la table un couple de nanas s’agite, la plus grande essayant de ligoter la plus petite (une finlandaise aux cheveux aile de corbeau… Charlie ?) avec la bretelle de son soutien-gorge à fleur…
L’absinthe coule à flot dans le pub, tout le monde a les pieds mouillés…
La fumée devient de plus en plus épaisse et bleue.
De sombres oiseaux et quelques cafards (plus de deux mètres d’envergure) volettent çà et là en heurtant le public aveuglé.
Igor dodeline de la tète, sa flûte est vide, il se penche et la remplit d’absinthe…
Deux grands allemands blonds en short debout sur le pub se fracassent la tète à coup de hache; voluptueusement les spectateurs trempent les tranches de l’énorme gâteau flottant, qui s’avance doucement vers la table de Igor, dans le sang qui gicle partout…
Igor, qui, justement, fouillant ses poches pour trouver des thunes à claquer tombe sur le petit pistolet noir à silencieux.
Une patte de cafard le heurte à l’oeil, il sort le flingue…
Charlie vient d’apparaître dans la fumée, elle a l’air un peu perdue et lasse, elle porte son habituelle robe blanche immaculé qui la rend si belle.
…
Bang ! Dans l’oeil du nain vert…
Bang et rebang ! Dans le front du comte et dans sa cape…
Bang pour un cafard !
…
Igor se lève et marche vers Charlie… Il explose la tète du barman d’un tir courbe en croissant de lune le long du plafond, vise un des allemands et le manque: plus de tète déjà.
Elle semble le reconnaître et lui fait un demi-sourire.
Un allemand (Grishka ?) tente de fendre le crâne à Igor qui esquive péniblement la hache qui le frappe. Le cadavre du nain sniffeur, accroché à sa jambe droite tente de le retenir…
Igor dégaine sa Gattling et mitraille à gauche, à droite, faisant exploser tètes, bras et idées noires.
Plus de munitions, il se débarasse de son arme sur le pied du gros allemand qui part en hurlant les chants de Maldoror.
Charlie dans les bras de Igor… Un ange passe, Igor le vise et l’abat avec son petit pistolet.
Igor entraîne sa compagne vers l’extérieur, en évitant table qui volent, cafards et lévriers ainsi que le public surexcité et les larmes aux yeux.
…
Dehors Nicolaï attend patiemment au volant de la Tourguy-mobile le retour de son frêre.
Déjà il arrose la façade du bâtiment de torpilles au napalm.
…
A l’intérieur la foule est en transe, hurlements, chants, danses, viols et meurtres gratuits se succèdent à un rythme frénétique, un seuil sur l’enfer est ouvert et les démons envahissent le pub; Bizarrement ils paraissent bien tristes et moroses dans l’ambiance pyrotechnique qui règne dans le pub.
A l’aide d’un grand fouet, Igor finit de se dégager un passage et atteint la sortie, là résolvant rapidement l’épreuve du sphinx, il surgit à l’extérieur avec Charlie à son bras.
Nicolaï achève de détruire le bâtiment à coup de missiles sol-sol pendant que nous entrons précipitamment dans la grosse voiture.
…
Je serre Charlie, elle essuie une larme et se pelotonne contre moi. La voiture prend de la vitesse et s’envole vers la base lunaire.«
Dans le bureau le vieux général solennellement rédige une dernière lettre. Fredonne le thème de Motus. Se jette par la fenêtre. Nu. Splotch.
Kaboul disco.
Marc Levy : Il y a des tempêtes, il y a des situations extrêmement vertigineuses, il y a bien sûr une histoire d’amour, il y a tout ça.
N.I.G.H.T.
il est nuit
optimisation de l’alternatif
optimisation de mon temps de sommeil au minimum
pour partir vraiment
tu dois laisser une partie de toi
en arrière
et j’ai le docteur
pour ça
ferme les yeux chérie
ça fait pas si mal
si tu serres les dents
lobotomie et roule vers le paradis
oh darling, i love you so much
L.O.V.E.
order # 2612
fpc fortuitous alligator weiss pyhrric belly chinese media dignitary carcass
infantile gubernatorial operand cushman downbeat mimicking hester loretta
conic every miscellaneous anyhow winnipesaukee.
Oh, Well, you knew from your first flirt, that love was here to hurt. True love is not nice, no, no. bit.ly/bSD0z8
No v rukah zavoda Alis, my umiraem ! #dnd
Nous ne nous parlons pas. Nous ne nous écoutons pas. Nous ne nous comprenons pas. Nous ne nous aimons pas. Galipette surréaliste.
Et l’homme à la tête de chat de déclarer la chasse ouverte. Penser à applaudir. Mina qui baille. t.co/JMLqxdWO
Et depuis 50 minutes et pour encore 10 minutes (heure de la fuckin’ métropole) les animaux peuvent parler. Profitez-en.
Il pourrait s’agir d’un dangereux terroriste.
le récitant : It’s funny to think that decisions affecting all our lives are being made by men in crotchless panties.
Passage de relais de la Nuit à ceux qui sont de Journée.
Rêver toutes les nuits d’une personne virtuelle jamais croisée ni vue, sysadmin. Chelou.
…
si tu te tournes
tu me verras
si tu te retournes
tu me verras
si tu avances
tu me verras
si tu reviens sur tes pas
tu me verras
si tu fermes les yeux
j’en mourrai
…
On fête quelque chose. Vous les entendez, les tambours ?
Now at midnight all the agents and the superhuman crew come out and round up everyone that knows more than they do.
Je peux sentir la morsure. Nous aimons les oiseaux. t.co/TUs1CMH
Deux petites douches alternées ? #dpda
Depuis la forteresse ensevelie, Mina surveillait les miliciens ivres depuis deux jours déjà. L’aube, le village désert, la neige, un renard.
le récitant : Aux confins de l’espace guette le wub.
le récitant: qui es-tu Igor Tourgueniev ?
Igor pose le canon du P38 sur la tempe du milicien : « Tourgueniev encule Hegel, aussi ». Et de tirer, derechef. « Sang, cervelle, mazeltov ! »
Un peu de sommeil serait une bonne idée. Les bonnes idées n’étant pas mon fort, on va faire comme si, d’un coup c’était l’aube, encore. Hum.
Je vais te bouffer le coeur n’est pas la meilleure phrase d’introduction quand on cherche un boulot dans le baby-sitting non sataniste.
un an déjà(science fiction)
ce soir un diner
un petit cadeau,
un bouquet
se regarder tendrement
et se retourner sur le passé
les bons moments
et les coups durs.
ça fait sourire,
ça fait pleurer et
ça resserre les liens,
avancer, ensemble,
coute que coute.
se retrouver après,
ma chambre et
ta peau ma peau.
je m’endors épuisé
à tes cotés, tu attends
cinq minutes, tes yeux
se voilent et tu passes
en mode veille.
On flotte tous en bas. Décontractyl + Ibuprofène à haute dose et mon cerveau, ma jambe de concert deviennent flous, voire flippants. #crash
Dans la malle il y a un tigre. Les filles sont vierges et friandes de commérages. La doublure est un échalas noir en costume d’explorateur.
s.o.s…s.o.s…s.o.s…s.o.s…s.o.s….NYC: le pot de Ben & Jerrys est a 2$ et j’ai des Shaolin Kung- Fu Shoes Roses (existent en noire, bleu, mauve, vert, rouge, orange, dans toutes les tailles pour 4$, je crois que je vais me lancer dans l’import-export).
Lancons des aujourd’hui la Shaolin Kung-Fu Shoes Company!
Et je me penche au balcon pour regarder les lueurs. La comète illumine la baie. Dans le ciel, les parachutistes tournoient, décimés, nus.
Un voile obscur recouvrait Ecbatane, des corbeaux et de la fumée, noirs. Les snipers faisaient la loi. La couleur, taboue, portée par tous.
Les jours sont comptés. Les jours sont. Les jours. Les.
Enfin les larmes amères. Igor le poing levé vers le ciel maudit les dirigeables, les utopies et l’amour. Play it loud. bit.ly/two_joy
Elle va beaucoup mieux depuis qu’elle est morte.
Vérole !
Et le bacon, à la menthe, c’est particulier. t.co/gA3JOKC7
Every time we mindfuck we mindwin ?
Guerre froide, again & again ♫ blip.fm/~gusyp
Je ne suis pas un assassin, les punks sont de loyaux témoins. Je peux tenir une épicerie à base de cire chaude. #ΣΨΛΛ









