When the machine breaks down,
WE break down.
on t’a recon-nu duckie
Duckie, le canard coquin < disponible sur www.chambre69.com
Comme dans un film de Q
Exterieur jour / Une rue de quartier, une boulangerie
Un jeune bourgeois musculeux entre dans la boulangerie
(bruit de sonette)
La boulangère un peu salope, aux gros seins et au menton carré
se tient derrière la caisse enregistreuse.
Lui : Olah, bonnejoureu madameu la boulanegèreu…
Elle : Bonnejoureu monsieur le client.
Lui : Mmmhh commeu vous avez de belleux miches…
Elle : (petit rire) Oh merci monsieur le client. Il faut dire qu’elles
sont bien fraicheu de ce mataing.
Lui pense : Mmhhhh comme elle est bonneu.
Elle : que désirez vous ?
Lui : hé bieng jeu prendré bi-ien … mhhh
Elle : Uneu grosseu baguetteu peut-êtreu ?
Lui : Mmmh, merci non, je vous prendrais bieng… (il
pense : sur la caisse enregisteuseu)… quelquechose de bieng fourré !
Elle : Ah désolée monsieur le client, mééé… il me reste peut-être
quelques bouleux de campagneux prês du fourreu à paing.
Lui : Parfait ca me va bieng. (elle se tourne pour aller dans l’arrière boutique)
Elle : Oups ! J’ai fait tomber une quiche lorraineu (elle se penche pour la
ramasser)
Lui pense à mi-voix : Mmmh quelleu cul !
Elle feint de ne pas entendre et se dirige vers l’arrière boutique.
Elle cherche les boules, mais sous la chaleur elle est prise de vertiges.
Elle : Mmhhh j’ai chaud. Venez me donner un coup de… (elle s’évanouit)
Lui : Ne vous inquitez pas madameu, je suis secouriste de bouche à bouche.
Il saute par dessus le comptoir en se déshabillant et arrive en slip
dans l’arrière boutique. Il la Krskrkskrsz Krskrkskrsz Krskrkskrsz Krskrkskrsz
Krskrkskrsz Schlika Schlika Schlika Krskrkskrsz Krskrkskrsz Krskrkskrsz
Krskrkskrsz Krskrkskrsz Krskrkskrsz Krskrkskrsz Krskrkskrsz Krskrkskrsz
Schlika Schlika Schlika Krskrkskrsz Krskrkskrsz Krskrkskrsz Krskrkskrsz
Krskrkskrsz Krskrkskrsz Krskrkskrsz Krskrkskrsz Krskrkskrsz Krskrkskrsz
Schlika Schlika Schlika Krskrkskrsz Krskrkskrsz Krskrkskrsz Krskrkskrsz
…

Morts ! Tous morts ! Vous ne viendrez plus obéissant à ma voix,
quand, assise sur le bord du lac, je vous jetais dans la gueule
des pépins de pastèques ! Le mystère de Tanit roulait au fond
de vos yeux, plus limpides que les globules des fleuves.
7 mai 2005
Que sont mes amis devenus
Que j’avais de si près tenus
Et tant aimés
ls ont été trop clairsemés
Je crois le vent les a ôtés
L’amour est morte
Ce sont amis que vent me porte
Et il ventait devant ma porte
Les emporta
Avec le temps qu’arbre défeuille
Quand il ne reste en branche feuille
Qui n’aille à terre
Avec pauvreté qui m’atterre
Qui de partout me fait la guerre
Au temps d’hiver
Ne convient pas que vous raconte
Comment je me suis mis à honte
En quelle manière
Que sont mes amis devenus
Que j’avais de si près tenus
Et tant aimés
Ils ont été trop clairsemés
Je crois le vent les a ôtés
L’amour est morte
Le mal ne sait pas seul venir
Tout ce qui m’était à venir
M’est avenu
Pauvre sens et pauvre mémoire
M’a Dieu donné, le roi de gloire
Et pauvre rente
Et droit au cul quand bise vente
Le vent me vient, le vent m’évente
L’amour est morte
Ce sont amis que vent emporte
Et il ventait devant ma porte
Les emporta
Après Le Grand Détournement…
Découvrez
C’est ce genre de type,
toujours incapable de bien faire,
attiré par les mauvais choix et fasciné par le chaos
Elle sent bien comment il est,
à quoi il peut servir
Babylone n’est autre chose qu’un infini jeu de hasards
Considérons un monde ordonné (c’est-à-dire où le hasard n’a pas sa place)
dans lequel évolue un homme indéterminé. Chez les Tourgueniens, cet individu que
l’on désignera par le borborygme onomatopesque « To » est l’équivalent du consul
ivrogne du roman d’Osmath Templar. Le « To » est le seul homme indéterminé
car « aucun intervalle de lucidité ne vient troubler son hébétude ».
Il erre, ivre, et son chemin n’est dirigé que par le hasard. Son
errance est sans ordre ni sens. Paradoxalement, ses divagations le conduisent à
la mort, comme si le destin et le hasard s’unissaient selon le postulat :
« le « n’importe comment » coïncide exactement avec le « pas du tout n’importe
comment » mais bien de cette façon-ci c’est-à-dire « n’importe quoi » ».
L’indétermination poussée à son paroxysme conduit à une détermination absolue de
l’intercalation d’un petit nombre de chances adverses dans la liste des nombres
favorables. Désormais, les acheteurs de rectangles numérotés ont la double
chance de gagner une certaine somme ou de payer une amende parfois considérable.
Mot compte triple.
le récitant : je ne suis pas mort.
Instants II

– Oh non Martine, je ne vais pas me livrer à nouveau à tes expérimentations libidino-sentimentales, et tu le sais très bien.
Martine roula d’un cran vers l’arrière
– Pourquoi ? Pourquoi continues-tu à placer cette fusion-projection pour ton père adoptif au dessus de ton corps, ce corps qui n’en finit plus de crier son désir ?
G. tenta maladroitement de se relever en réajustant sa braguette.
remember level 1 : autodelete please
je suis né dans le trouble
il y a peu un peu plus
j’arrive à la fin après
le reste comprend rien
croise les écritures moi
je les délie après tout
invidation à l’intérieur
de moi-même puis presque
résurgence du côté virtuel
sinon toi tu m’enfer-mes
puis tu n’ouvres qu’à guise
alors ne sais si reparaître
dans l’éventail des uns
possibles des autres est
à ma disposition à celle
de tes paradoxes-miroirs
Procédez comme suit :
1- Posez un morceau de moquette plus grand que la surface à remplacer sur la partie abîmée.
2- Assurez-vous que les brins sont dans le même sens.
3- Avec un cutter et en appuyant très fort, découpez simultanément la nouvelle pièce et l’ancienne moquette (vous pouvez aussi utiliser un emporte-pièce si votre moquette n’est abîmée que sur une très petite surface).
4- Retirez le morceau de moquette endommagé et nettoyez le sol. Arrachez les restes de colle ou d’adhésif double face et dégraissez au trichloréthylène.
5- Vérifiez que la nouvelle pièce s’intègre parfaitement.
6- Si votre moquette est collée, appliquez une couche de colle pour revêtement ou encollez les deux parties avec de la colle contact. Si votre moquette était fixée avec de l’adhésif double face, fixez-en simplement une ou deux bandes à même le sol (selon la taille de votre pièce).
7- Posez maintenant votre « rustine » avec précaution. Il ne sera plus possible de l’enlever sans tout arracher…
8- Appuyez sur la surface réparée avec un objet lourd pour optimiser votre collage.
9- Laissez sécher plusieurs heures.
10- Brossez enfin la moquette pour faire disparaître les raccords.
Catadioptre

Il ne sera pas dit que je raconte systématiquement n’importe quoi.
Wallpaper



FINI LE CAFARD!
extermination rapide et propre
de toutes vos émotions
embarassantes !
(sur rendez vous)
Le sondage de l’été
Le Tourguénisme, c’est quoi pour vous ?
Si oui, soyez brefs merci.
intoxicated lady
boire, fumer
me laisser pousser des poils dans le dos
tout
un homme qui me sort de la peau
un tricot d’homme
trouver ça bon
et rester là:
un homme qui me sort par la peau
intoxicated lazy
Dix solutions
Un soir à se retrouver dans une cave authentique du 17e siècle que je vous dis.
L’impression d’avoir avalé une armoire normande entière de calva (avec sa vaisselle).
C’est plus exactement ce que je me suis dit lorsque je voyais passer des
petits morceaux de glace et de vodka sous mon nez à 6h du matin plié en deux
au dessus de la céramique blanche. Avec un peu de chance la dame du Lac des chiottes
m’aurait apporté excalibur. Mais elle était occupée ailleurs (l’évéché était fermé
de l’intérieur comme dirait l’autre) comme plongée dans ses réflections à la surface
des eaux. L’oeil essuie la ligne de flottaison tandis que le jus de citron asperge
le très saint lieu nocturne de mon insomnie. Enfin bref, un dizaine de ligne pour
dire que j’étais malade ce matin, c’est pousser le bouchon de la bouteille de calva
un peu trop loin.
Jetage de meubles. Nettoyage par le vide.
Aucun poil rouge et rêche en vue. Mine de rien, ça rassure.

RIP
24/08/1972 > 31/08/2005
haïku serré
une main télé star
dans l’autre
papier comme neige
la constipation
ça fait chier
Quand je m’endors contre ton corps
Alors je n’ai plus de doute
L’amour existe encore
Toutes mes années de déroute
Toutes, je les donnerais toutes
Pour m’ancrer à ton port
La solitude que je redoute
Qui me guette au bout de ma route
Je la mettrai dehors
Pour t’aimer une fois pour toutes
Pour t’aimer coûte que coûte
Malgré ce mal qui court
Et met l’amour à mort
Quand je m’endors contre ton corps
Alors je n’ai plus de doute
L’amour existe encore

Does this song hold a special place in your heart? Does it bring back memories? Is this « your » song? Share what it means to you with Celinedion.com.
The owls are not what they seem

Le Géant: I will tell you three things. If I tell them to you, and they come true, then will you believe me?
Cooper: Who’s that?
Le Géant: Think of me as a friend.
Cooper: Where do you come from?
Le Géant: The question is, where have you gone? The first thing I will tell you is: there is a man in a smiling bag.
Cooper: Man in a smiling bag.
Le Géant: The second thing is: the owls are not what they seem. The third thing is: without chemicals, he points.
Cooper: What do these things mean?
Le Géant: This is all I’m permitted to say. Give me your ring. I will return it to you when you find these things to be true. We want to help you.
Cooper: Who’s « we »?
Le Géant: One last thing: Leo’s locked inside a hungry horse. There is a clue at Leo’s house. You will require medical attention.
Comme dans une cuve à électrolyse
Turbo-bulle en vue, émission sur fréquence ultrasonique, les fenêtres du quatrième s’en souviennent. Et John Earnalot-Stern a l’air d’un con, à poil dans son hummer.
Arthropode Artikler recherche autocéphée à rollers. Mode search on.
Panneau interface, trois voyants rouges, bascule.
(J’achète un V.)
Picture show

une exhumation ?
tu sors d’une crypte nicolas ?
brr…
apathie : (n. f.) Incapacité de s’émouvoir ou de réagir, par mollesse, indifférence ou état dépressif, pouvant résulter d’une perturbation molletonnée des mécanismes frontaux cortico-sous-corticaux.
Réminiscences 4
« – … et dans le jardin.
– mmh ?
– dans le jardin aussi, maintenant que j’y pense.
– maintenant que tu penses à quoi ?
– en fait, on avait une terrasse assez sympa, et derrière un petit muret s’étendait le jardin. Carrément grand, le jardin, du moins à l’époque me paraissait-il carrément grand. C’est dire si les proportions évoluent avec l’âge, parce qu’en définitive ça devait pas casser trois pattes à un canard. Je veux dire, c’était pas les Tuileries, seulement un jardin gavé de mauvaises herbes, une tannée à entretenir, avec des orties et des taupinières. Enfin, pas que : y avait toutes sortes d’arbres fruitiers, je bouffais des cerises, des mûres, des prunes, des mirabelles, des noix, à m’en faire péter la sous-ventrière.
– si tu commences une préface pour les Nouvelles Bucoliques édition 2005, je me barre.
– oui, non, le jardin, c’est pas à ça que je veux en venir. Entre la terrasse et le jardin, y avait un muret. Pas trés haut, c’était juste un alignement un peu bordélique de parpaings recouverts de mousse, mais ça délimitait la terrasse sans hurler dans le décor. Des parpaings relativement fourbes, nonobstant. Immobiles mais bien fourbes, parce qu’ils étaient à hauteur de tibia. Si tu calcules mal ton coup, l’arête du parpaing arrive exactement à mi-hauteur du tibia. A son point le plus fragile, tu vois. A l’endroit le plus douloureux. Un simple frôlement suffit, à cet endroit-là, pour te faire danser pendant une plombe. Si tu te gaufrais un de ces parpaings en pleine course (tu sais pas te déplacer autrement qu’en courant, à cet âge-là), d’abord tu prenais une pelle de belle allure, un gadin médaille d’argent, un truc d’acrobate. Et ensuite, à peine tu avais touché le sol, que tu étais submergé par une douleur bien blanche, bien globale, qui part du tibia et te fait hurler une bordée d’insanités, ou pleurer à chaudes larmes. Le genre de douleur qui obscurcit ton champ de vision et te fait claquer des dents. Le genre de souffrance qui te fait maudire la planète et sa proche banlieue. Ces parpaings, c’était un piège à con, parce qu’en plus d’être méchamment solides et carrés, ils étaient constellés de trous plus ou moins gros. Destinés à en faire du béton armé j’imagine. Et ces trous pouvaient contenir tout et n’importe quoi : une araignée, une putain de guêpe de merde qui te perfore la main si tu as le malheur de lui fermer l’issue en t’appuyant sur le muret, un morceau de verre, des mégots de clopes, un orvet, un nid de lutins, des capsules de bière, tout plein de saloperies. Sauf qu’un dimanche, ça revient trés nettement, un dimanche j’ai regardé dans l’un des trous, comme souvent l’Ennui pousse à se pencher sur les plus obscures des excavations de l’existence, hein. Et y avait aucun insecte, dedans. Pas de guêpe de merde, ni de mégot. Seulement des poils. Des poils rouges et rêches. Une petite touffe au fond du trou dans le parpaing. ça m’a glacé, parce que les poils rouges et rêches m’étaient sorti de l’esprit depuis un moment. Et ils resurgissaient au milieu de ce qu’on pouvait concevoir comme un hâvre de paix, un petit coin de nature, le trip rassurant du « week-end à la campagne », si tu veux. Tous azimuts : de l’herbe verte, des troncs d’arbres, une brouette remplie de feuilles, un barbecue mal éteint, le tuyau d’arrosage qui chauffe au soleil et pue le plastique tiède, une pompe à flotte, une nappe avec les restes d’un casse-dalle, et au milieu, horreur : une touffe de poils rouges et rêches. Encore une. Pas trés épaisse ni trés fournie. Mais. Une touffe de poils rouges et rêches, pas naturelle, une apparition malsaine, un artefact déplacé, quasi-obscène. Je crois que j’en ai gerbé le casse-dalle. Y avait quelque chose de proprement délirant à constater l’apparition de poils rouges et rêches au milieu d’un jardin broussailleux : je ne voyais pas comment quelque chose d’aussi synthétique, d’aussi artificiel, d’aussi peu vivant que ces poils rouges et rêches, avaient pu pousser dans l’un des trous morts de ces parpaings à la con. Je ne m’imaginais pas depuis quand cet organisme glauque était à l’oeuvre dans le secret de ce petit creux : hormis la mousse, rien ne pousse sur du béton. Et pourtant, ils y étaient. Apparemment bien ancrés au fond du trou, et poussant en deux touffes de mauvaise fibre. Pas naturel, contre-nature.
– parce que dans une boîte à gants, c’était naturel ?
– non connard, mais j’ambitionne rarement de passer une après-midi en fumant des spliffs allongé dans une boîte à gants. Alors que lézarder dans l’herbe, à mater le soleil entre les feuillages, n’implique pas en principe une confrontation avec des spores malsains ou des poils rouges et rêches. Trouve-moi une plante qui développe spontanément des poils rouges et rêches depuis le fond d’un petit trou dans le béton, sous nos latitudes, et on en reparle.
– la Psylophonia Aeschynanthus.
– quoi ?
– la Psylophonia Aeschynanthus, c’est une plante rampante qui sort des feuilles rougeâtres. L’été, justement.
– et ça pousse en europe ?
– non.
– alors c’était pas ça. Tu me prends pour un jambon ? »

J’aurais pu décrire les phalanges de cet inconnu sans même les avoir regardées.
Je les avais déjà vues.
[999poèmesSERIEtourgueniev]
281
l’intérieur des paradoxes arrive à rien
l’éventail virtuel sait la fin
les miroirs ouvrent les possibles enfers
Un peu de poésie, bordel
L’enfer du Nord, Paris Roubaix
Tour de France, Tour de France
La Côte d’Azur et Saint Tropez
Tour de France, Tour de France
Les Alpes et les Pyrénées
Tour de France, Tour de France
Dernière étape Champs-Elysées
Tour de France, Tour de France
Galibier et Tourmalet
Tour de France, Tour de France
En danseuse jusqu’au sommet
Tour de France, Tour de France
Pédaler en grand braquet
Tour de France, Tour de France
Sprint final a l’arrivée
Tour de France, Tour de France
Crevaison sur les pavés
Tour de France, Tour de France
Le vélo vite réparé
Tour de France, Tour de France
Le peloton est regroupé
Tour de France, Tour de France
Camarades et amitié
Tour de France, Tour de France
Tadadadaaaammm
Tada-dada-dada-dadaaaaaaammmmm
Sagesse contemplative
$ »début »
« haiku-série3 » [[0 « » 2 18 151][1 » » 0 59 60][2 » » 0 69 218][3 « le merle » 0 124 11][4 « le rossignol » 0 124 79][5 « le canard » 0 125 111][6 « le corbeau » 0 130 43][7 « siffle » 0 259 21][8 « fredonne » 0 260 75][9 « s’envole » 0 265 123][10 « le chien » 0 124 210][11 « éternue » 0 265 163][12 « le chat » 0 124 181][13 « le renard » 0 124 240][14 « fume » 0 263 212][15 « baille » 0 256 253][16 « \\n\\n\\t\\t » 0 403 164][17 « en rêvant » 0 507 235][18 « en scrutant » 0 508 96][19 « en souvenir » 0 507 208][20 « ma maison » 0 702 6][21 « le poteau indicateur » 0 701 33][22 « les branches nues » 0 701 59][23 « l’ombre de la montagne » 0 701 89][24 « du riant printemps » 0 705 145][25 « de la chaleur d’hier » 0 704 178][26 « du soleil d’été » 0 705 210][27 « du bleu de la mer » 0 704 241][28 « du chemin perdu » 0 697 275][29 « de la pluie fraîche » 0 699 309][30 « du matin glacé » 0 702 347][31 « \\n\\n\\t\\t\\t » 0 606 56][32 « \\n\\n\\t\\t\\t » 0 620 235][33 « en se plaignant » 0 506 261][34 « en se riant » 0 507 298][35 « à l’ombre » 0 509 176][36 « seul, devant » 0 510 55](0 1)(0 2)(1 3)(1 4)(1 5)(1 6)(3 7)(3 8)(3 9)(4 8)(4 7)(4 9)(5 7)(5 8)(5 9)(6 8)(6 7)(6 9)(2 12)(2 10)(2 13)(12 11)(12 14)(12 15)(10 11)(10 14)(10 15)(13 11)(13 14)(13 15)(7 16)(8 16)(9 16)(11 16)(14 16)(15 16)(16 18)(16 19)(16 17)(18 31)(19 32)(17 32)(31 20)(31 21)(31 22)(31 23)(32 24)(32 25)(32 26)(32 27)(32 28)(32 29)(32 30)(33 32)(16 33)(16 34)(34 32)(16 35)(35 32)(36 31)(16 36)]
« haiku-série2 » [[0 « » 0 13 546][1 » » 2 16 75][2 « parfum de fleur de melon » 0 50 34][3 « pont suspendu entre deux rives » 0 55 73][4 « temple solitaire dans la montagne » 0 55 106][5 « herbe vacillante » 0 16 134][6 « \\n\\n\\t\\t » 0 313 98][7 « le coucou » 0 404 42][8 « la grenouille » 0 402 109][9 « les lucioles » 0 376 250][10 « \\n\\n\\t\\t\\t » 0 712 98][11 « nuit » 0 789 28][12 « lune » 0 787 99][13 « soleil » 0 781 147][14 « » 0 773 200][15 « surface trouble de l’étang » 0 62 172][16 « chute de fleurs de cerisier » 0 62 209][17 « les moustiques » 0 381 301][18 « la jeune fille » 0 403 140][19 « volètent » 0 539 225][20 « rappliquent » 0 538 255][21 « surgissent » 0 538 297][22 « s’envole » 0 510 -36][23 « crie » 0 566 11][24 « parle » 0 565 38][25 « chante » 0 570 67][26 « s’égosille » 0 570 101][27 « baille » 0 572 136][28 « le crapaud » 0 404 77][29 « de lune » 0 849 3][30 « de givre » 0 849 25][31 « calme » 0 850 49][32 « gelée » 0 852 73][33 « voilée » 0 852 99][34 « mourant » 0 850 122][35 « glacial » 0 852 144][36 « blanc » 0 853 168][37 « c’est ainsi, il pleut » 0 836 209][38 « poignante vision » 0 837 237][39 « en ce crépuscule » 0 835 262][40 « couine, couine » 0 543 167][41 « pétillent » 0 548 195][42 « pluie sur mon toit » 0 123 377][43 » » 0 36 401][44 « petits pots de crème au café » 0 112 411][45 « malheureux pélerin » 0 104 450][46 « \\n\\n\\t\\t » 0 303 419][47 « \\n\\n\\t\\t » 0 296 382][48 « \\n\\n\\t\\t » 0 305 452][49 « les sushis sont pourris » 0 369 381][50 « la laitière soupire » 0 542 412][51 « odeur de brûlé » 0 388 419][52 « mon estomac vide » 0 569 380][53 « \\n\\n\\t\\t\\t » 0 518 380][54 « qui ne goûtera pas » 0 384 455][55 « \\n\\n\\t\\t\\t » 0 491 419][56 « \\n\\n\\t\\t\\t » 0 510 457][57 « mes travers de porc sel poivre » 0 559 456](1 2)(1 3)(1 4)(1 5)(2 6)(3 6)(4 6)(5 6)(6 7)(6 8)(6 9)(10 11)(10 12)(10 13)(10 14)(1 15)(1 16)(15 6)(16 6)(6 17)(6 18)(9 19)(9 21)(17 19)(17 20)(17 21)(7 23)(18 18)(28 23)(6 28)(28 24)(18 24)(7 25)(7 26)(28 27)(8 26)(8 24)(8 27)(18 27)(18 25)(18 26)(23 10)(24 10)(25 10)(26 10)(27 10)(19 10)(20 10)(21 10)(11 29)(11 30)(11 31)(12 31)(12 32)(12 33)(13 34)(13 35)(13 36)(14 37)(14 38)(14 39)(8 40)(28 40)(9 41)(40 10)(41 10)(1 43)(43 42)(43 45)(43 44)(44 46)(42 47)(45 48)(46 51)(47 49)(49 53)(53 52)(48 54)(51 55)(55 50)(54 56)(56 57)]
« haiku-série1 » [[0 « soleil couchant » 0 70 21][1 « lueur de la chandelle » 0 68 65][2 » pluie du soir » 0 73 96][3 « les jours sont courts » 0 72 121][4 « » 2 10 71][5 « la nuit tombe » 0 289 187][6 « la neige bruisse » 0 299 46][7 « la montagne murmure » 0 280 114][8 « je suis de retour » 0 529 24][9 « je descends la montagne » 0 529 57][10 « seul, j’allume un feu » 0 529 89][11 « je sème des navets longs » 0 531 126][12 « \\n\\n\\t\\t » 0 216 116][13 « \\n\\n\\t\\t\\t » 0 423 101][14 « je bois du saké brulant » 0 458 156][15 « reflet de la libellule » 0 72 147][16 « ombre du crépuscule » 0 73 171][17 « las, je pose mes baguettes » 0 532 185][18 « \\n\\n\\t\\t » 0 215 66][19 « tapis de neige » 0 86 222][20 « \\n\\n\\t\\t » 0 211 199][21 « les graines murmurent » 0 274 223][22 « les ondes flottent » 0 298 18](4 0)(4 1)(4 2)(4 3)(1 12)(2 12)(3 12)(12 5)(12 6)(12 7)(5 13)(6 13)(7 13)(13 8)(13 9)(13 10)(13 11)(13 14)(4 15)(15 12)(4 16)(16 12)(13 17)(0 18)(18 6)(18 7)(19 20)(20 5)(20 21)(4 19)(18 22)(22 13)(21 13)]
« début » [[0 « haiku-série1 » 4 204 43][1 « haiku-série2 » 4 205 91][2 « haiku-série3 » 4 208 134][3 « \\n\\t » 2 72 88](3 0)(3 1)(3 2)]
KANDITATÜR
Au fin fond du trou du cul du 19e, dans un rade ou un charclo lanterne,
Je me suis dit que ça serait comme avant, comme dans un roman.
Pas un tire dans la rue, pas une bécane, pas une meule, pas de
comètes de Harley flambantes neuves en cette nuit trop crade
pour y voir une étoile de shérif, pas une indian, pas de cow-boys,
pas même un loup solitaire mirrorshade ou steppenwolf, pas de
raleuses ni de brouettes, même pas une petite claque dans la gueule…
Juste une bande de quadra dont quelques vieux cuirs limés.
Certes il y avait Gregor aux lettres gothiques, peintes
en blanc platreux sur un vieux perf pourri, ou encore ces New-Yorkaises
blasées et quelques clopes allumées bien sagement au bar entre une rousse
et une brune. Mais pas une pute dansant à poil sur le comptoir, pas un pétard,
pas de chaînes mais quelques guitares. On flame.
Hell’s, mais bon dieu, où êtiez vous donc tous passés ?
spéciale dédicace
« Mmm… c’est bon ça ! «
so sweet

tuez moi
oui, si je me
noie muet
dans le monde, là, autour.
Recette du gratin dauphinois
« Le gratin conçu sur les marches du ciel était comme tous les seigneurs nés, indifférent à la naissance des gens qui lui plaisaient, pourvu que ceux-ci possédassent des manières distinguées, un spirituel agrément, ou une science si vulgarisatrice qu’il put apprendre sans avoir le besoin d’ouvrir un livre, tant sa paresse était audacieuse et avouée : mais à la condition bien entendu, que ces gens n’émissent pas la folle prétention de vouloir entrer dans sa famille au titre de membre actif. Ce que la Haute Société détestait le plus était l’ennui et tout ce qui la divertissait, l’intéressait, l’égayait, se trouvait toujours le bienvenu. »
L’extase voluptueuse est le but souverain de l’existence, et ne demande aucune justification.
Mais le crime sans plaisir, c’est du mal gratuit, de la nuisance sordide.
C’est indéfendable.
Lucy ne voulait plus rien entendre.
Ni rien voir d’ailleurs
Elle voulait juste lécher ce garçon jusqu’à usure totale de sa langue

AfSud-justice-lions PREV 30/09/2005-17:31 – AFP – 3mn35
Ouvrier agricole jeté aux lions: prison à vie pour un
Sud-Africain blanc (PAPIER GENERAL)
PHALABORWA (Afrique du Sud), 30 sept 2005 (AFP) – Un fermier
blanc sud-africain a été condamné vendredi à la prison à vie pour
avoir fait dévorer par les lions un de ses ouvriers agricoles noirs,
au terme d’une affaire qui a scandalisé l’opinion en révélant les
moeurs persistant dans les campagnes une décennie après la fin de
l’apartheid.
Mark Scott-Crossley, un blanc de 37 ans responsable d’une
ferme-élevage d’animaux sauvages, et l’un de ses employés noirs,
Simon Mathebula, 43 ans, avaient été déclarés coupables en avril du
meurtre de Nelson Chisale, dont les restes ensanglantés avaient été
découverts le 31 janvier 2004 dans une réserve de lions proche du
célèbre parc Kruger.
[…]
En 2001, un fermier blanc de l’est du pays avait été condamné à
25 ans de prison pour avoir tué l’un de ses employés noirs en
l’attachant par le cou à l’arrière de son pick-up et en le tirant
sur une piste.
str-cml/fpp/aub/lpt
AFP 301531 GMT SEP 05
pardon, excuse-moi, pardon, merci, pardon, excusez-moi, pardon, j’essaye de sortir, pardon, laissez-moi sortir s’il vous plait merci, putain mais laissez-moi passer merde, pardon, pardon, je sors, excuse-moi j’essaye de passer, pardon, pardon, merci, pardon, excusez-moi, s’il vous plait… s’il vous plait je veux juste sortir… excusez-moi…
bulle éclatée vers am 5h27.
pas d’autre observation/
WE WANT (mixerase >>)
désolé le numéro que vous avez composé
n’existe plus n’appartient plus qu’à un
effacement progressif juste programmé
…

ps : je compte bientôt réintégrer la vie sociale
mais je cherche un plan plutôt molletonné
pas trop violent /
Un parasite dans les enceintes
Caïn : – j’ai une saloperie dans l’oeil, ça me rend marteau, à force.
Kaa : – aie confiansssssssssssssse…
[konsstruktVOUSaime] / punKpoésie
c’est l’hiver
les putes ont déserté
le monument aux morts de l’avenue des vosges
As America is right as America is wrong
As America is weak so America is strong
Ain’t nobody perfect At least up until now
But now it’s the time for the one mind In this time of darkness
Vassili Tourgueniev, (avant de planter un clou) Datcha de Bougival le 6 août 1975.
Cette Datcha évoque la vie et l’œuvre de Vassili Tourguéniev,
le célèbre écrivain russe.
Le visiteur peut y découvrir du mobilier de cette époque (table, fauteuils, buffet, piano ovoïvoïde, lavabo, carré noir sur fond blanc), la chambre mortuaire reconstituée par l’École Boule de Flip, les objets volés par l’écrivain et sa grande bibliothèque rose.
Vassili Tourguéniev a recréé sa terrible Sibérie à Bougival. Ses racines littéraires étaient celles des écrivains qu’il a rencontrés : Douchka, Lorieski, Silvivartanovich, Dalidavisky, Britnispirkaya, Pariziltonasevitchskaya,… – et dont il est en France promoteur immobilier.
Puis à Saint-Pétersbourg, il entend siffler le train. Ce coup de foudre l’amènera à Paris en Fiot Uno sans prendre les péages.
Tourguéniev achètera le Domaine du Champs Buhrci (oh oui!) à Bougival. L’écrivain y a fait fait construire dans le parc, une prison qui sera son habitation. À Bougival, il écrira Ether vierges et Poèmes pas en prose (Ppep) avant d’ouvrir un PEE à la banque de la Caisse Populaire.
Grâce à la famille Zvykqylxkymokomtrypl et à l’association des alcooliques à noms commençant par Nyme de Tourguéniev, le chalet a été vouée à l’abandon dans les années 7. Cette datcha cachée au milieu des fourmilliers recèle de documents sur Tourguéniev et ses contempourris d’écrivains français et vénusiens. La restauration du 1er étage est une réussite. Le reste ne vaut pas un samovar.
Tarifs* : 4,60 roupis. Tarif et visite groupe : se renseigner.
Ouverture : le 30 février de chaque dimanche d’avril sur rendez-vous.
Accès: par RER A ou métro (ligne 1): Porte Etroite de la Défonse, puis bus 666. Par route N13.
[konsstruktVOUSaime] / punKpoésie
allez y arrachez la peau des morts d’il y a cinquante ans
foutez-vous là sur les yeux
cousez-là bien solidement
et pleurez
laissez les larmes grossir et s’accumuler
laissez l’odeur redescendre jusqu’aux narines
laissez bien la peau des morts bien cousus sur vos yeux bien vivants
et évitez de voir ce qui se passe autour de vous
pleurez le sorts des cadavres
c’est plus simple que de cracher à la gueule des vivants
les cadavres ne répondent pas
on peut leur dire ce qu’on veut
et nous sommes tous ventriloques
aux cadavres on peut aussi leur faire dire ce qu’on veut
c’est bien d’avancer masqué
dissimulé par des cadavres muets
c’est bien d’avancer masqué
aveugle et sourd à la vie
en deuil pour l’éternité
les yeux les oreilles cousues
avançons masqués et parlons
masturbons-nous sur les cadavres vieux ce cinquante ans
aimons-les eux
puisque les vivants nous n’en sommes plus capables
aimons les morts d’il y a cinquante ans
portons leur deuil
jusqu’à l’éternité
fouettons-nous
flagellons-nous
marchons en pleurant
aveugles et sourds à tout le reste
le visage couvert d’un masque de mort
la peau des morts cousue sur notre corps
avançons masqués c’est ça qu’il faut faire
avançons masqués il n’y a que ça à faire
ne voyons pas la vie
n’écoutons pas la vie
ne parlons pas à la vie
la vie n’existe pas pour nous
nous sommes du côté de la mort
nous sommes du côté du deuil
nous sommes du bon côté du cadavre
« Qu’est-ce que c’est que ce Bordel?
Qui est Monsieur Meuble ?
Qui de la Poule ou de l’Oeuf?
Où va t’On? »
< Dans la Mallette d’Aurore >
« Il est certain que de nos jours on doit renseigner sérieusement ses enfants sur le mécanisme sexuel, au lieu d’abandonner cet enseignement au hasard ou à des domestiques vicieux. »
Henri Havelock Ellis, Etudes de psychologie sexuelle (1897-1910), t VII
A travers le ciel percé : mon regard oh oh, semble avoir recommencé
à observer la vacuité des mes yeux mensongers. T’ai-je fait croire que nous étions
plus qu’amis en me rapprochant du seuil ? Oh bébé ça pourrait prendre des atours
fiévreux puisque je vis aisément sous de soleils ternes.
Cela ne signifie en rien que je suis sérieux : à quoi bon vivre dans une pièce
avec vue sur l’absence puisque la perte du sens me définit si typiquement ?
Oh bébé, bébé si j’envie librement c’est que nulle rente ne m’est tenue.
Ohoh… Oui, j’ai recommencé.
C’est synonyme de toutes choses prononcées par mes lèvres : jouer à
coeur mon errance de mise Oh bébé, bébé, énigmatique construit
de mon imagination. Oh oh ! … Tu penses que je me love venu du ciel céans,
du cercle céleste qui m’emporte au séjour, qui ne me sait pas innocent.
Fenêtre du temps m’emporte au vol du vent. Vois-tu la difficulté, c’est que mon
rêve vagabonde. Même si j’ai vu des étoiles dévorées par le soleil – souhaits
d’héroïsme à en exister réellement, et faire mouche du juste coup, je pleure
voyant ce jour : ne vois-tu pas que je suis différent ? Et quand même j’attends
Mars assis à en perdre ce sens ce qui me définit si caractéristiquement bébé, oh…
Oui Oui Oui Oui Oui Oui Oui Oui Oui Oui Oui Oui.
Vois-tu, je ne crois pas qu’un futur soit la cause de cet élan éthéré
qui m’emporte moi dans l’Eden. Mais Bretonne, avant de t’en aller, il y a quelque
chose que je souhaite te donner : une fenêtre dans le temps; celle qui m’emporte de
son vol, oui celle là même. Oh quelle magnificence, mais patiente un instant,
n’est-ce pas … un spectacle de chiens de guerre enivrés par leur festin ?
Oui c’est bien cela, un monde occidental qui s’effondre en Orient.
Mais à la fin, je sais que la Douairière l’égarera dans l’Océan,
se complaisant de l’avarice qui inonde notre époque.
Et bien mon coeur, j’y ai plongé pour te la récupérer, mais là qu’ai-je fait ?
Dois-je désormais vivre de profits et de fiertés Oh oh !… J’ai encore visé droit
au coeur. Oui oui oui oui oui oui, je me suis abîmé dans cet ébat oh mon bébé
Oui oui oui oui oui oui, oh oh penses-tu que je viens de l’eau de là ?
Et pourtant, je ne me connaissais pas d’innoncence.
Ozzy Spears (1969-1999)
MZD is spamming me :
THAT
Yes, it’s about time for something new
but before bringing their long run to a close
it makes sense first to turn to you.
Here’s what I’m after:
1—A specific moment in history, over the last 100 years, which you find personally compelling, defining or at bare minimum interesting. Necessities: exact date, a refinement of detail, along with a reference or link. An image is also welcome. (Nix on cultural events, i.e. books, music, art, movies.)
2—A personal moment in your history which you might like to see pop up somewhere. Again: exact date, precise details. Again: no cultural references. Again: an image is welcome though definitely not necessary.
3—A kind of animal you admire.
4—A kind of plant you pause for.
5—Your favorite car.
If you’re pithy, I’ll read whatever else you care to add.
But I won’t respond.
Well, not here.
dans la rubrique "eh ouiiiiiiiiiiiiii…."
le petit honoré nous parle de ses parents:

« té, peuchère, c’étaient de bons bougres, mais pas fufutes, alors, té, j’ai du me construire seul… »
en effet, cela se constate d’emblée:

c’était pas gagné d’avance…
les parents de Balzac quoique sympatiques, sont des VEAUX…

et la peau de chagrin, et ben, elle s’est pas écrite toute seule!
time is a state of mind
no one can compete kushikatsu !!!

L’événement le plus ordinaire fait de nous un voyant
« Le poujadisme, ce n’est pas ma tasse de thé. »
Michel-Edouard Leclerc
normal
Semaine hardos
Mais bon
Normal
Les fictions hypercodifiées terrassent encore les sensations.
Dans l’échelle normale, codifiée, deux regards valent moins qu’une situation non stable mais posée fictionnellement.
Pourtant
Vous avez bien en tête la dernière phrase de Métropolis
Mittler zwischen Hirn und Händer mus das Herz sein !
Elle reste importante
Y croire de toute façon
Et sinon comme d’hab
J’ai laté la gueule à Starsky avec quelques feuillets d’Empire
J’ai cru bon d’avoir cette semaine quelques idées géniales
J’ai optimisé l’attente d’un dénouement de quelque chose que je ne maîtrise pas encore
Non, tu n’es pas nyctalope !
Ils t’ont institué un généreux réverbère près de la fenêtre de ta captivité.
je vote wintercamp…
Comme sur un pod : vendredi 07h31
Aujourd’hui c’est toujours la nuit parce qu’on n’a pas le même chapelier. Hémisphère droit : recherches diverses, forum un peu mais pas tellement, faut savoir si les 60 ans ne seraient pas surmédiatisés, rien que le fait que la question se pose ça vous finalise les minutes de sable mémorial et transforme en sale quartz les moindres globules blancs. Hémisphère droit toujours, consater que certaines vitrines viennent de fermer après une longue période de soldes , se dire que tous les soirs on verra plus les filles tomber, plus de basculement en direct dans le puit des Alice qui confirment le vortex du monde réelement renversé.
Aujourd’hui c’est toujours la nuit, on n’a pas le sens des aiguilles mais celui d’un tas de trucs beaucoup plus importants. Hémisphère gauche : être un peu je à défaut d’être jou, me dire que Marseille est définitivement plus une queue rance qu’une ville, penser à l’effet du bitume fondu qui englue les semelles comme du sperme avachi, même pas noter vraiment, juste dicter aux naseaux redonnez-moi le ficher automne 2001, odeur_de_poissons_morts.od, se souvenir du vieux port comme d’un cimetiere aqueux de suicidés, et encore. Hémisphère droit : même pas de chiffres convainquants, pas de cadavres dans le vieux port au t perdu au profit de la troisième lettre, même pas un drame, google en vacuité comme cette ville qu’a autant d’esprit qu’un miroir, rien à y faire, rien à y vivre et surtout rien à traverser. C’est la ville où les filles subissent, point final virer l’italique. Songer que 10 000 signes pour parler d’un tel lieu c’est trop et pas assez, mais que c’est suffisant pour perdre toute l’estime du bastion poétique qui sévit en local depuis un temps perdu que les moins de vingt ans ignorent en toute quiétude. Réaliser combien en plus de ses travers quelque peu subjectifs cette ville produit des miasmes chauvins identitaires, grumeleux régionalisme, sans compter les accents qui giclent au circonflexe.
Demain c’est dans une demi-heure. Je vais te faire un thé pour pouvoir te souhaiter un joyeux non anniversaire.
What’s up?
>> Post to list tourgueniev.com:tourguenistes
>> Subject:
Post submitted to moderator for reason: Non-member submission to closed-post
list.
—
Gestionnaire de liste Listar/0.42 – fin de traitement/job execution complete.
tout va rien
Le coup a été mauvais. Pas même direct, il est venu en écho. Pas de là où on l’attendait, d’ailleurs. La chitine aurait parfaitement résisté, le tergite est d’une épaisseur remarquable. Non, un ricochet, en fait. Mais il a frappé devant, sur le sternite, pile à la connexion, l’impact a porté directement dans la neuromère. L’onde de choc est de choix. Ça pisse de partout. Le plasma suinte du céphalo, de la chitine noircie tombe au sol en morceaux calcinés. Un liquide noirâtre qui ressemble à du pétrole s’échappe des trois segments principaux de la structure thoracique, les rapports abondent tous plus alarmants les uns que les autres, perte de cohérence explosion du niveau psychostile effondrement des architectures internes sous les segments de premier deuxième troisième niveau déflagration synaptique endorphines en chute dangereuse stabilisation compromise, transmissions compromises, incendie dans / je lance le programme de sauvegarde, j’ignore si ça suffira
Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien…
Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien…
Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien…
Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien…
Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien…
Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien…
Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien…
Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien…
Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien…
Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien…
Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien…
Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien…
Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien…
Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien…
Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien…
Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien…
Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien…
Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien…
Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien…
Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien…
Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien…
Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien…
Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien…
Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien…
Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien…
Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien…
Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien… Tout va bien…
Tout va bien… Tout va bien… Tout vaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa
aaaaaaaaaaaa-a-aaa.a.a.a.a.a.a.a.a.a.a.a-a-a-aaaaaaaaaaaaaaaaa-a-aeeeeeeee











































