Ne nous fâchons pas

Des p’tits trous, des p’tits trous, encore des des p’tits trous …

C’est l’horrible bye bye !

Souris-moi !

on s’est assis dans l’herbe et tu as levé la tête vers la grande ceinture d’astéroïde, l’air triste
tu m’as dit
– je crois qu’on va avoir un bébé
– j’ai dit hein ? quoi ? tu plaisantes ?
tu as eu un peu peur mais j’étais fou de joie
je t’ai invitée a dîner dans le Grand Restaurant antigravité et on a fini la soirée en faisant l’amour comme des fous
épuisés on a regardé partir les grands destroyers pour la Zone E, où les combats faisaient rage
un jour notre fils commandera un de ces vaisseaux t’ai je dit d’un air prophétique

un nounours pour toi

Igor réfléchit à l’avenir du tourguenisme ….

Et prend des décisions

Quoi Quoi Quoi ???

PsychoMiX
Farfadet mongol sans gravité, bonheur, pour vivre un mot l’image manque. Couillonne ! 1917 : foirade.
Où es-tu ? En souvenir de toi tu vas voir le soleil. Tu m’avais promis tes ailes, ton cul, Bianca ! Trust la souris Klingon. On va nous ranger le désir du temps et partager le butin. Les fleurs en lettres rouges, les pieds nus, tes lèvres … la paix.
C’est fini. Je frappe.
J’aime.
?
Le cœur des enfants chasseurs !
Ils auraient aimé un toucan, Igor. Don’t care. Amour, fictions, continent ? La mer, contre toi, was crying. I won’t forget ma vie. La torpeur nauséeuse de la réalité au bord des lèvres filantes : quelques chattes. Dans Elle, le secret assez triste sonne amour.
Réveillez-vous ! Chrétien.
(Merci à Igor Tourgueniev, Nicolaï Tourgueniev, M. Fox, — Zan, n letresor, Don Marmitto, Amaury da Cunha, orad v, Gwendoline Klingon et jeanba 3000 pour leur participation hasardeuse)

J’aime tant que tu te glisses dans mes rêves ! Tu y glisses une jambe autour de moi, tu y poses la main sur mon torse. Je sens ton parfum.
Alors je peux me lever le cœur léger.

Spéciale dédicace to M. Fox

Insère toi bien mon petit sinon gare à toi. Je t’enverrai crever loin des tiens, dans un trou boueux dont tu ne pourras t’extirper, avec pour seul bagage quelques souvenirs affolés.
Sois bien sage.

First shots

REPORTAGE

A 105 CM

je vais te percer le coeur à travers la brume des âges ; je vais regarder en bas ; je n’aurai pas le vertige ; suspendu à la corde du temps je n’aurai pas peur de regarder de toute mon âme le trou béant de mon passé ; et je continuerai de grimper

Le ciel bas et lourd patati patata

Partir …

« … Si, de tes lèvres avancées
Tu prépares pour l’apaiser,
À l’habitant de mes pensées
La nourriture d’un baiser,
Ne hâte pas cet acte tendre … »
Paul Valéry

Mais qu’est-ce qui va nous arriver ?

Un jour
Igor
Mon père
Igor
Mon frère
M’a pris la main et
M’a dit
Viens !
Tracer avec nous les voies du Tourguenisme
Viens sur ces chemins nouveaux qui naîtront sous nos plumes
Au hasard de nos rêves etc …

J’ai dit « Ah ? heu oué ben oué enfin tu crois ? »
Il a dit « Oui »
J’ai dit « Bon »
(je prends des libertés avec la vérité historique, c’est la licence poétique, hein)

Merci Igor.

coucher de soleil vertical

Vous souvenez vous du temps où les voitures de polices étaient marquées de « police secours », relisez vous vos pièces de monnaie « liberté, égalité, fraternité »

Coment vous dire ?
J’ai vu ce mur et tout de suite il m’a plu … alors avec ma tête j’ai commencé à taper dessus. D’abord très doucement pour chauffer un peu les muscles et les tissus, puis de plus en plus fort. Mais très progressivement. Au bout d’un quart d’heure il y avait à 175 cm sol une belle tache sanguinolente je ne sentais plus du tout les morceaux de ciment et de parpaing qui s’incrustaient dans mon front. J’avais juste un peu mal au cœur, mais ça, j’avais l’habitude.

Besoin d’un coup de pouce ?

Encore te deseo

Instant magique où j’espère ton appel, téléphone à la main, doigts croisés, superstitieux comme un enfant amoureux.
Instant magique où tout me dit le contraire : tu n’appelleras pas, le moment est passé, je suis fou, qu’espérer d’un appel ?
Instant magique où dans ma main le téléphone s’illumine de ton nom, malgré la raison.
Tu sais me faire rire, j’entends tes sourires, tu es là tout entière dans mon oreille et dans ma tête.

Je vais te croquer

Communication breakdown
Communication breakdown, it’s always the same …

Gasp !

Un Tourgueniste dit : « Tous les Tourguenistes sont des menteurs. » …

Lalalalalalaaaaaa
Lalalalalalaaaaaa
Joyeux aaaaanniversaire Igor et Nicolaaaaaaï !
Joyeux aaaaanniversaaaaaaire !
clap ! clap ! clap ! clap !
(kisses)

Après tout j’en ai rien à foutre de la Langue Française.

J’aimerais avoir de l’audace. Porter un bermuda et une chemise à carreaux.
Faire du vélo et porter des lunettes noires.
Mais j’ai peur de ne pas être à la hauteur.
… dont je ne connais pas le nom scientifique.
Je rosis de confusion.

Fin de transmission

Interruption de service imminente.

Un après-midi d’octobre

« Il me manque une concordance des mots avec la minute de mes états. » A. Artaud
Éloquent, non ?

Je cite : « Les branleurs vont enfin pouvoir se la couler douce. »

C’est un vieux monsieur pas très honorable. Dans son oeil inquiet brille l’assurance de celui qui sait qu’ils parleront. Creusé de respectables rides il inspire la confiance en ceux que l’âge, paraît-il, assagit, mais les deux points noirs au fond de leurs orbites démentent et s’embusquent.
Il parviendra à ses fins car le prix ne lui importe pas. Il y parviendra car nos vies ne comptent pas. Nous tomberons. Sans échappatoire. Et nul besoin de se souiller de notre sang. Ils se bousculent pour le servir. Je tomberai demain. Demain il te demandera de nous trahir. Tu trahiras aussi. Et tous les autres jusqu’à ce qu’il n’y ait plus personne à trahir.
Alors il sera repu et pourra s’étendre quelques heures sous le soleil, apaisée sa soif de sang. Il s’étendra sur le tapis puant de nos corps déchirés, nettoiera ses crocs acérés en rêvant à son prochain repas.

Après un combat titanesque avec ma conscience, je reviens sur ce dernier post et annule honteusement cette proposition spéculatrice/tive/nte.
Veuillez donc ne pas tenir compte de ce précédent message. IL N’Y A PAS D’EMPLACEMENT À VENDRE !

Yahoo! Mail
Problème de récupération de vos données personnelles. Please réessayez later.

Remontez le temps depuis le futur …

le récalcitrant : sans commmentaire.
Fuck

Avant, j’ouvrais grand les yeux.
Maintenant, moins.

Trop de choses à régler avant de partir.
Tu vas me manquer.
Finalement je resterai.
Pas le courage de tout liquider.
Adieu.

« I’ll be wrapped around your fiiiiinger »

« Que cette chanson je l’ai écrite pour mon pote Rachid, qu’est mort, dans un troquet pourri à Bastille, ébouillanté par son chocolat … »

Je ne pense plus qu’à la faim. A mon estomac. Il se dilate atrocement, il enfle, il parle sans cesse et bruyamment, il prend de plus en plus de place. Beaucoup trop.
Cet estomac a pris trop d’importance. Ce ventre prend une dimension monstrueuse. Je le vois bien dans le regard des autres. Il est impossible qu’ils l’ignorent. Ils savent. MON VENTRE ME TORTURE. Chaque jour il grignote un peu plus de moi. Ma ceinture abdominale, ma belle ceinture ! s’est envolée depuis longtemps.
Malheur.
Plus rien qui puisse contenir cette expansion hominivore. La nausée.
Je dois prendre des cachets pour réduire son volume, pour digérer ce qu’il ne digère pas. Car il ne prend plus même la peine de travailler. Il engrange. Point.
Pourtant j’ai très faim.
Je ne veux plus manger.
Je ne veux plus manger.
J’ai très mal au ventre.
Ca va passer.

Voilà j’y suis. Je pense à quoi ? Voilà j’y suis. Je voudrais remplir cet écranpage blanche. Je voudrais j’y suis j’y voilà qu’est-ce que j’y fait comment ? /Pas très abouti/ Je voudrais mes doigts s’égarent dans le fil de tes pensées cheveux tes yeux bleues J’approche. Je souris /ça me plait/ Ton souvenir, des images le souvenir de nous Ton rire s’égarer s’envoler respirer s’élever Des nuages /des clichés:dépasser/ Toi partout sur tous les murs de mes rêveries nostalgiques gris lépreux fânés libidineux définitifs. Un jour toujours ce jour mythique dans le passé ou dans l’avenir ce jour meilleur inaccesible qu’on a vécu quelques secondes quelques minutes Pas plus. J’y crois. Peut-être tu y crois aussi alors ce serait bien tous les deux d’y aller. Qu’attendons-nous ?
Retomber en soufflant quel lourdeurdésespoir sans grâce sans finesse sans magie Retomber comme une merde glisser dans l’oubli anonyme des jours énumérés machinalement mécaniquement /c’est pareil/ Toi Quelques ombres quand même Des empreintes Un parfum
C’est le tien …

kézaKO

je te connais Igor, tu ne m'échapperas pas

Mea culpa
C’est ma faute
C’est ma faute
C’est ma très grande faute d’orthographe
Voilà comment j’écris
Giraffe.
Jacques Prévert. Histoires

« TOURGUENISME, n.m. : Automatisme psychique pur par lequel on se propose d’exprimer, soit verbalement, soit par écrit, soit de toute autre manière, le fonctionnement réel de la pensée ou de son absence. Dictée de la pensée, en l’absence de tout contrôle exercé par la raison, en dehors de toute préoccupation esthétique ou morale. »

Quatre-vingt quinze fois sur cent …

bvbh,k;::!;:,nb bn;:nj,hbv n;:n,jhbvgcbg:!ùm;,b:!ùmµ b

« Hey you, out there in the cold
Getting lonely, getting old
Can you feel me … »

flebeleb !!!

«…/
J’entre dans cette nef et j’appelle : ho, ho. L’écho me gratifie aussitôt en stéréophonie de la seule réponse distincte mais décevante dont me juge digne l’Inconnu : ma propre voix, tournant dans ce fatras condamné de palans et de poutrelles. Et je songe à tant d’hommes qui n’ont même pas fini là-dessous de purger quelle peine, puisqu’il faut recommencer ailleurs. Et que peut-être on devrait sauvegarder certains de ces sanctuaires, pour faire comprendre ou pour faire peur, quand on va se croyant seul, à l’abri de la menace, un dimanche, sous le libre ciel. /…»


Jacques Réda,
Les Ruines de Paris

« …/
Rochers, bien que soyez âgés
De trois mille ans, vous ne changez
Jamais ni d’état ni de forme :
Mais toujours ma jeunesse fuit,
Et la vieillesse qui me suit
De jeune en vieillard me transforme.
…/ »

Je suis tourgueniste ! yoyoyo

On fait un concours ?

besoin d'un ravalement ?

C’est un canal de plus – il n’y a décidément que des canaux sur toute cette planète – au milieu du désert cette fois ; un canal interminable, assoupi entre les dunes, qui courre d’un bout à l’autre de l’horizon, irrémédiablement rectiligne, absolument sans accroc.
C’est un canal désert entre le dunes, sous le ciel vert empire de ma drôle de planète. Le ciel est marbré d’auréoles claires, orangées ou bleutées. Pas de nuage. Lumière intense. Chaleur mortelle.
Mon radeau dérisoire quitte la berge anonyme pour dériver lentement, porté par aucun courant, soufflé par aucun vent, que le temps qui s’écoule et le porte.

[Post par procuration]

 ou 

Miss Jones

[/Post par procuration]

Mais non, je ne profite pas de mes privilèges de Tourgueniste pour faire le malin avec nos jeunes lectrices. Non, non.

Demain je partirai.
Les jours se suivent et se ressemblent.
Si je ne pars pas je mourrai là.
Un mur nous cache les flots, la Terre et l’Océan.
Un mur nous cache et nous efface.
Tu m’oublieras dans ce bagne d’enfants.
Demain je partirai.
Les jours se suivent et se ressemblent.
Mon gardien a confisqué ma nourriture.
Son chien aime la viande et ses enfants le fromage.
Demain je ferai le mur.
Tant pis pour les tessons de bouteille.
J’ai trop mal au ventre.
Toujours ces murs gris et ce béton puant.
Demain je partirai.

do e mo la ma n

i y a b e c s éc il e t q i m p us e un p u p r out – le m ins di c ète t me dé or s par ois la m itié du vi age – m is j squ’ ci ce n’est pas i dol re à arr cher.
C’est tou ours des qu stions et je s is là je ne uis pa fâché, non, non pas la tête, je ne suis pas malh ur ux, je s is bien qu’on me rt partout, très viola ment, et la misère aussi, je sais tout cela, mais quoi ?
to t va bi n, je suis t ujo rs moi-même, non ?
j’ai un p u moins de cheveux po r te plaire, je l’a mets, et ce ve tre : il y a ce creux, là, dessous les côtes, cette dép ession surp enante, ma s il suffit d’un peu d’ex rcice et c’est comme une lig e qu’on veux garder
aha … cette obsee sion
mais n n! c’est ta faço de me reg rder ta façon d ne plus me voir, co me si on ne s’étai jamais con us alors que pré isé nt nous ne no s sommes jam is connus, alors po rqu i pe ses-tu le contra re ? tu s is je n’ai pas envie d’e trer dans ton lab rinthe
mais … il n’y a pas de lab rinthe, seulement toi,
parfois j’ai du mal
c’est bi n ce q e tu veux ? ce que tu ve x ? c’est bien ce q e tu ve x ?

Samedi j’étais un pote à Villejuif.

J’vous préviens vous avez intérêt à bouger vos p’tites fesses et à vous procurer le live de Led Zeppelin.

Tu m’arraches le cœur avec soin et délectation.
Je t’aime.

Beeh

« Les mots perdent leur sens. L’instinct vous guide. Vous devenez un animal … »
Docteur Moreau.

Je ferais mieux de changer de coiffure, non ?

ça me va pas cette coupe, hein ?

Casseur d’ambiancE !

Je veux aller où l’air est plus doux

Change your life. Start smiling.

D DAY

Rejoignez la dissidence !
NON à l'automatisation du héros qui fait perdre son identité à Tourgueniev, OUI au héros à la main !

abymé

On se connaît ?

Le visage dans les nuages

Et pourtant …

Adieu poulet !

Tourgueniev.com
le blog qui englobe

Stanick (via le wub)

bon, vos paupières sont lourdes alors ou quoi ?

bouton

Que dites-vous ?

Impériale, elle l’ignore superbement. Ce petit jeu l’amuse et lui aussi peut-être. Parfois, il jette un œil mélancolique à ses sandales dorées, il admire son pied dénudé. Elle croise et décroise les jambes, l’air absent et son parfum vole autour d’elle comme un piège narcotique. Sa poitrine se serre. C’est un peu de cette douleur qu’il voudrait garder d’elle …

Speziell Widmet Igor und Inconnue, das im Nebel gekreuzt wurde
Toujours ce canal, ce cher canal. Nos reflets dans ses eaux troubles, nos silhouettes tremblantes, verdâtres,
Les cris du métro, son fatras métallique, grisâtre,
Toujours ce canal, ce cher vieux canal
S’y promener le long, y marcher sans but, les yeux dans les reflets du ciel,
Le défilé des façades, cheminées, antennes,
Ce cher vieux canal
Clapotis, clapotas
Il fait gris
Il fait froid
Les mots se condensent devant ta bouche, tu fais des nuages en parlant
Clapotis
Je jette un caillou dans l’eau, pour faire bonne mesure
Clapotas
Je suis ton sillage en t’écoutant
Tu me dis que ça suffit comme ça
Tu me dis que je ne te prends plus dans mes bras
Et caetera
Tu me dis que tu as froid
Qu’il vaut mieux qu’on arrête là
Et puis tu t’en vas
Alors PLOUF !
Puisque c’est comme ça.

J’aime bien offrir des fleurs.

PLUS DE SEXE !!

respire

Poupée alanguie langoureuse langue heureuse
Ta langue ma langue tes bottines
Sourire Mutine
Il me reste une image
Elle/Tu me reste/s en image
Résistance
Persistance rétinienne ultime
Un parfum Le tien, comme toujours, ce cher parfum
Répéter
Faire des litanies – Psalmodies
Aller voir des chamanes.
Danser autour d’un feu en chantant de drôles de trucs, dans des vêtements bizarres en peau de bêtes sauvages, couvert de petits ossements, grigris, colifichets.
Espérer ton apparition.
Tomber face contre terre, le nez dans le sable.
Mordre la poussière.
Rêver de tes orteils.
… me réveiller avec une putain de gueule de bois.
Voilà le programme !

Message personnel

Comme s’il suffisait d’une journée d’information pour se faire pardonner des millénaires d’indifférence et de domination, on ouvre les yeux une fois par an et l’on s’étonne encore que tu marches voilée -et pas qu’à l’autre bout du monde, et l’on s’étonne aussi que tu sois torturée, violée, battue, pour un regard, un sourire, un désir soupçonné, pour une idée, pour avoir voulu savoir, pour avoir voulu être libre … Mais on ne s’étonne plus que tu travailles, que tu élèves les enfants, que tu fasses le ménage, la lessive, les courses, à manger …
Je ne te souhaite pas vraiment de devenir notre égale, tu vaux mieux que ça.

La journée de la Femme est finie et je voulais te dire je t’aime.
Tous les jours.

Même si des fois tu me fatigues.

« Si on s’accrochait à des ballons  ? On s’envolerait ! Comme des oiseaux !! »
Rex, dinosaure dans Toy Story .

Clichés

Aurore

Nos cendres

Eparses dans le temps

Je les ai vues ce matin

Dans la lumière du levant

Aurore ma soeur

Aurore mon coeur

Les reflets d’or

De tes yeux

Brûlent mes regrets poussiéreux

Je ne fus pas un ange

Je fis un pacte avec la Lune

Aurore ma soeur

J’ai vendu ma carcasse

Ils m’ont troué la peau

Et bu dans le cristal

Mes derniers sanglots.

Règle n°2 : “Il est interdit de parler de Reservoir blogs.”

« Cliquez avec le bouton droit pour voir comment vous pouvez interagir avec cette personne. »

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