Minuit pile

Old par igor le 23 Jan 2004

Oui, en même temps,

l’important, c’est d’être cru , surtout pour un sushi…

In The Mouth Of Madness

Old par igor le 22 Mar 2004

[DEDANS/DEHORS] poésie brute

il est plus de dix heures

les voisins m’entendent crier

et puis je ne crie plus

je finis par m’endormir

papa s’endort aussi

maman dort depuis longtemps déjà

je ne dors pas assez longtemps

je me lève à six heures quarante cinq

j’ai douze ans

et je vais à l’école à pieds

je ne mange rien le matin

le matin papa et maman dorment

et moi je n’ai pas faim

de toute façon c’est pas souvent que j’ai faim

je sors de la maison à sept heures trente

je crois monsieur lopez

il habite juste en face de chez nous

il est divorcé

il ne se plaint jamais du bruit qu’on fait le soir

là il me dit bonjour

et il me fait son petit sourire

je descend les escaliers

au rez de chaussée je croise madame reigner

elle est retraitée

elle est vieille

elle a des cheveux blancs

elle me dit bonjour

dès fois elle me donne un bonbon

elle ne se plaint jamais

quand maman vient téléphoner en cachette

au docteur quand papa est au travail

et puis je vais à l’école

le maître il est gentil

quand je viens pas en cours parce que je peux pas bouger

il fait comme si j’étais pas absent

alors qu’il pourrait me punir

à dix heures je m’asseois dans mon coin

les autres ils se moquent de moi

ils disent des trucs sur moi c’est vraiment pas gentil

à midi je mange à la cantine

je ne parle à personne

quand je rentre à la maison

je croise monsieur poulet

monsieur poulet c’est le concierge

c’est lui qui sort les poubelles et qui rentre les poubelles

il habite juste en dessous de chez nous

lui non plus ne se plaint pas

alors qu’on fait plein de bruit au dessus de sa chambre

ils sont tous très gentils

nos voisins

un jour il y aura la police

qui viendra chercher mon papa

et me chercher moi aussi

ma maman pleurera

et les voisins parleront entre eux

[konsstruktVOUSaime]

Mi-nuit sur l’Italia

Le rock satanique peut-il conduire à la violence ? C’est à cette question que Carlo Climati, auteur de livres sur la relation entre le satanisme et le rock a tenté de répondre, dans une interview accordée à « Radio Vatican ». « Le message négatif qui est transmis par un disque ne peut pas en soi inciter à la violence ou à tuer mais il peut parfois être comme une graine semée dans le terrain fertile d’un sentiment général de malaise chez les jeunes. Un cocktail dangereux de rock nihiliste et de problèmes humains peut produire des effets dévastateurs dans l’esprit de jeunes en crise ou fragiles sur le plan psychologique ».

« Par ailleurs, a précisé Carlo Climati, n’importe quelle fille de quinze ou dix-sept ans peut entrer en contact avec le monde de l’ésotérisme en écoutant un disque. Les maisons de disque ont découvert que le diable peut permettre de faire de bonnes affaires et elles continuent à lancer des produits sans se soucier des conséquences. L’une des revues de musique les plus connues en Italie, ‘Flash’, a publié la direction de l’Église de Satan, aux États-Unis, décrivant cette dernière comme ‘l’association la plus sérieuse et la plus fiable pour ceux qui s’intéressent aux théories occultes’. L’article se termine par une invitation aux lecteurs : ‘si vous pensez que la connaissance du satanisme peut vous aider, et si vous voulez entrer dans le grand gymnase de la pensée qu’est la philosophie satanique, l’Église de Satan vous attend' ».


John says…

Dear Antoine,

Two presidential debates and two clear wins. John Kerry is going to be the next president of the United States, and more people know it now than just two short hours ago.

Tonight, George Bush had another chance to make his case to the American people. Again he failed.

* Again, he showed that he is out of touch with reality on Iraq.

* Again, he offered no plan for jobs and no plan for cutting the cost of health care.

* Again, he pretended that our problems don’t exist.

* Again, he refused to level with the American people.

Old par M. Fox le 10 Oct 2004

relax…

le dernier jour

assis dans le salon
tu es là, j’écoute ça
et je lis ça et je suis
bien et la nuit m’est
douce si douce que
je voudrais de façon
vraiment simplette
que ça ne soit jamais
la fin de cette nuit ni
la fin de nous deux.

Old par igor le 31 Déc 2004

Minuit pile

Old par igor le 15 Jan 2004

yes…

or NO?

Old par JLB le 04 Déc 2004

Beware of the nazi bisounours.

Old par igor le 01 Avr 2004

Tu l’as dit Bouffi!

la nuit on est tous des…

et des fois le jour aussi!

Mon amour

—-

tes désirs sont désordre

Old par -- Zan le 22 Sep 2004

beahhh

sploch

Erratumtumtum…

mmm…j’ai comme une petite faim moi…

je vais aller me faire cuire une bonne raclette, hein…

et pis après, une camomille et au lit.

non mais…

Je suis sa poupée(-stroy) d’amouuuuuuuuur !

Ambition : me marier, avoir des gosses et regarder les feuilletons toute la journée !

C’est ennuyeux, hein ?

Désolée, je n’ai pas grand-chose d’autre.

Envie de vivre : L’essentiel, c’est le saut dans l’inconnue.

Je ne baisse jamais les yeux !

Dix ans après, certaines images me hantent toujours.

Tu te coupes un peu du monde, personne ne te comprend vraiment, prendre une arme à feu et sauter par la fenêtre du neuvième étage : aujourd’hui, on peut choisir de s’échapper.

Une fille disparaît chaque semaine.

Old par SiStroy le 03 Mar 2004

CaisseTukroi

Aujourd’hui je me vide. Aujourd’hui est vide. Aujourd’hui je me vide. Aujourd’hui est vide. Aujourd’hui je me vide. Aujourd’hui est vide. Aujourd’hui je me vide. Aujourd’hui est vide. Aujourd’hui je me vide.

Aujourd’hui je me vide. Aujourd’hui est vide. Aujourd’hui est vide.

Que celles qui peuvent les ouvrent, et que celles qui peuvent pas fassent autre chose !

Pizza machin, je déteste les livreurs, ils sont trop violents, j’ai des mauvais souvenirs.

Mais j’ai rien à faire dehors non plus !

Compris ?!


fig. 2.3 – il y aura toujours des commodes de toute façon

Mascarpone sister.

Il ne faut pas manger de bonbons, car ce n'est pas nourissant !

Murray Ostril

et mourir comme voir venir Venise que l’on n’a jamais vue

Encore trop de champignons

je tombe sans arrêt

en courant parmi les arbres

comme un possedé

c’est tellement humide

on devrait tout bruler


Old par M. Fox le 10 Juil 2004

Old par Gu. le 20 Jan 2004

Bang

       Bang

Old par Gu. le 09 Fév 2004

[FREAKSHOW] / 3

lire l’épisode précédent

(LES PORTES DE LA MORT)

le morts s’y rendent en bus. dans l’ancien temps, il y avait une charette, cette charette était tirée par une chèvre géante unicorne, et conduite par un cyclope débile, lui-même dirigé par un nain méchant qui le cornaquait avec des piques extrèmement pointues et lui hurlait des ordres directement à l’oreille ; mais les temps changent.

maintenant, un vieux bus pourri a remplacé la charette grinçante. l’étrange couple de conducteur est toujours là, lui, mais il y a un petit changement. maintenant, la cyclope est relié à la console du bus au moyens de cables électriques : un qui part du centre de son oeil, un autre de la base de sa nuque, un troisième de son plexus, un dernier de son coeur ; le nain, lui, est également relié par des fils au cyclope débile. il porte un casque qui recouvre ses oreilles massives et poilues, du casque partent deux fils, un de chaque écouteur, et ses fils vont se planter dans les tempes. là où ils traversent les poils raides et la peau, il y a une petite croute de sang séché.

l’intérieur de bus pue. il pue le vieux, la crasse, le pet, le vestiaire, le parfum de vieille, un mélange de tout ça. les vitres sont opaques de poussière. le nain n’a pas que ça à foutre, de le nettoyer, et de toute façon ceux qui l’empruntent ne l’empruntent qu’une fois, même si le voyage est un peu long.

le bus stoppe devant la placette devant l’église. lentement, les gens se mettent en branle, trop fatigués et trop angoissés pour être surpris. ils jettent à peine un regard éteint au cyclope inexpressif. le nain les toise, affiche un air lubrique quand passent les filles qu’il juge baisables, pour le reste il n’a que mépris.

il hésite à se palucher, finalement ça sera pour plus tard.

le bus est rempli. les presque soixante dix personnes ont trouvé une place. le bus se met en route, à l’intérieur personne ne parle. il n’y a pas de musique. quelques-uns regardent défiler le paysage.

(LE PAYSAGE)

pas grand monde ne regarde à travers les vitres sales du bus. tous les passagers sont moroses, livrés à leurs pensées. ils ressassent, avec hargne et tristesse, ce qui les a conduit là ; souvent, d’ailleurs, ils ne sont pas responsables de grand chose, et c’est aussi cette impuissance qui les ronge, tous.

dehors, un paysage de plus en plus monotone défile à vitesse régulière. à quatre vingt kilomètres heure.

d’abord la ville, de plus en plus grise. des immeubles de plus en plus vétustes, des banlieues de plus en plus tristes, pendant des kilomètres. et puis des maisons isolées, séparées les unes des autres par des landes sèches. les maisons semblent inhabitées, ou alors squattées. personne. il n’y avait personne dans les rues de la ville, il n’y a personne dans l’obscurité des maisons, personne dans l’obscurité de la lande.

et le bus roule un moment, un long moment. d’autres paysages, plus bizarres, se succèdent.

konsstrukt vous aime

[999poèmesSERIEtourgueniev]

290

la mutante moletonnée a haussé la gestation

je suis une artillerie morale

je me suis certainement motorisé les épaules rotatives

[konsstruktVOUSaime]

Presque minuit pile

Je suis un fou de Dieu

BALADE VERTE
ON ESSAIE SOUVENT DE RETENIR LE TEMPS - ET TOUS LES ELEMENTS QUI LE COMPOSE - CAR IL NOUS EST IMPOSSIBLE D'ADMETTRE QUE CE QUI ETAIT NE SERA PLUS - ET QUE DOUCEMENT - JAMAIS BRUSQUEMENT - TOUT S'ENFUIRA DANS LE FLOU -

j’ai mouru

J’ai triste,

j’ai seule,

j’ai paumée,

j’ai nulle,

j’ai con quand j’ai tombé,

j’ai blues,

j’ai glauque,

j’ai cafard,

j’ai marre,

j’ai froid quand j’ai pleuré…

J’ai pas savoir toutes les nuits,

j’ai mouru tous les jours,

et j’ai plus croire à dans l’amour,

j’ai mouru tous les jours.

J’ai saoule,

j’ai sourde,

j’ai jolie,

j’ai triste,

j’ai folle,

j’ai compliquée,

j’écoute,

j’émerge,

j’ai souffrir,

j’ai triste,

j’ai seule,

j’ai mal…

J’ai pas savoir toutes les nuits,

j’ai mouru tous les jours,

et j’ai plus croire à dans l’amour,

j’ai mouru tous les jours.

Old par igor le 07 Mar 2004

Minuit pile

Old par igor le 19 Jan 2004

a story of lanterns

two lanterns peonies

Déclinaison -II

Je dis & Je redis donc ?

street art, app’art, art-nak ?

Old par -- Zan le 28 Sep 2004

Un point c’est tout

.

Old par To le 30 Sep 2004

Et pendant ce temps là

y’ en a qui s’amusent

les gardes veillent…

Old par -- Zan le 22 Mar 2004

pOéZi à la trOnçOnneuZ’

07/03/2004 – 19h – L’EntrepÔt

Old par Gu. le 05 Mar 2004

top0l0gie m0n0c0nnexe

la solution de l’espace courbe apaise notre frayeur devant l’infini comme notre répugnance à concevoir le néant
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miaou…ou…ou.

the lovE.shoW

ctgr live performance at Troudair’s ! feb.14-2004

Taste it karaokE

-/ gimmie the mike ! I call the bishop ! /-

DES POSITIONS

Bam bam je me suis barré en bagnole à bastille

Bam bam boire une bière dans un bar à belles filles

Bam bam bourré, j’ai brillé en buvant mon houblon

Bam bam le coeur brisé j’ai pété un boulon

Bam bam Bob le barman était un beau gars bidon

Bam bam qui balançait des beignes aux gars bons

Bam bam le blond boulet m’a envoyé ballader

Bam balam bam bam à travers la vitre blindé,

Bam bam j’ai balisé et boité pour me barrer

Bam bam dans la boucherie j’allais me faire buter

Bam bam couvert de bleus, en sortant j’ai blémi

Bam balam bam bam en entendant un petit bruit

Bam bam Bob m’a tiré une balle fatale

Bam bam un bain de mon sang bouillonnant au final

Bam bam je me suis pris une bastos à bastille

Bam bam j’aurais du buller dans un bal de belleville

Old par To le 25 Sep 2004

Daily Standard Obituaries – April 2003

Thomas A. Lampert, 78, 59 Rummel Creek Drive, New Bremen, died at 4:50 a.m. April 6, 2003, at his residence.

He was born July 31, 1924, in Minster, to Bernard and Bernadine Berning Lampert. On June 7, 1947, he married Edna M. Quinter who survives.

Also surviving are three sons, Bill (Nancy) of Raleigh, N.C., Charlie (Sharon) and Pat (Jamie), both of New Bremen; four daughters, Peg (Nick) Will, Worthington, Teresa (Larry) Wissman, Julie (Tom) Pfenning and Kay (Bernie) Larger, all of New Bremen; two brothers, Virgil of New Bremen and Eugene (Joanne) of St. Marys; two sisters, Marilyn (Guy) Dennings, Covington, and Audrey McCollum, New Bremen; 24 grandchildren and a great-grandson.

Deceased are two brothers, Orville and Victor, and a granddaughter.

He and his brother Gene operated Lampertís IGA in Piqua. He also was night supervisor at Minster Machine Co. prior to retiring after 35 years of service and raised cattle on his farm north of New Bremen.

He served in the 526th Army Infantry Battalion during World War II, earning awards for ground combat. He was a member of the Church of the Holy Redeemer in New Bremen and was a life member of New Bremen American Legion Post 241 and Minster Veterans of Foreign Wars Post 6432.

Funeral Mass is 10:30 a.m. Thursday at the church, the Rev. John Kroeger officiating. Burial will be at German Protestant Cemetery, New Bremen.

Calling is 2-4 and 6-8 p.m. Wednesday and at 9:30 a.m. Thursday at Gilberg-Hartwig Funeral Home, New Bremen.

Contributions can be made to Mercer/Darke County Hospice.

Old par To le 16 Nov 2004

« Plastic Tourguy » – Poupée en résine thermoplastique


KOBAYASHI Porcelain

Mi-nuit : Quelle pertinence pour le tourguenisme minimaliste ?

Pour un tourguenisme génératif.

Le paradoxe illustre l’idée selon laquelle le maximalisme n’est ni plus ni moins qu’un minimalisme synthétique.
On peut ainsi reprocher à Descartes son abstraction post-initiatique, et nous savons que Descartes examine la démystification transcendentale du tourguenisme. Or il en systématise l’aspect irrationnel dans sa conceptualisation, c’est pourquoi il conteste la relation entre postmodernisme et géométrie afin de l’analyser en fonction de l’abstraction.
Le minimalisme ou l’abstraction ne suffisent, de ce fait, pas à expliquer le minimalisme post-initiatique dans une perspective montagovienne contrastée.
Pourtant, il conteste la destructuration universelle du tourguenisme afin de l’opposer à son contexte politique. Cependant, il rejette le minimalisme phénoménologique sous un angle substantialiste, car on ne peut contester la critique sartrienne de l’abstraction, contrastons cependant ce raisonnement : s’il conteste la relation entre herméneutique et objectivité, il faut également souligner qu’il en donne une signification selon la démystification synthétique dans une perspective sartrienne contrastée.
Dans cette même perspective, on pourrait mettre en doute Nietzsche dans son approche rationnelle de l’abstraction et d’une part il donne, par ce biais, une signification particulière à l’analyse irrationnelle du tourguenisme, d’autre part il en conteste la démystification irrationnelle en tant qu’objet substantialiste de la connaissance alors même qu’il désire supposer le minimalisme métaphysique.
On ne saurait, par déduction, assimiler, comme le fait Descartes, l’abstraction idéationnelle à un minimalisme spéculatif.

Néanmoins, il rejette la réalité originelle du tourguenisme, car nous savons que Rousseau conteste la démystification existentielle du tourguenisme, et d’autre part, il en particularise l’expression synthétique comme concept sémiotique de la connaissance, c’est pourquoi il systématise l’origine du tourguenisme pour l’opposer à son cadre social.
Si le tourguenisme génératif est pensable, c’est tant il en identifie l’expression universelle en tant qu’objet sémiotique de la connaissance.
Contrastons cependant ce raisonnement : s’il conteste l’analyse minimaliste du tourguenisme, il est nécessaire d’admettre qu’il en particularise l’analyse minimaliste en regard de l’aristotélisme ; le paradoxe de l’aristotélisme illustre donc l’idée selon laquelle l’aristotélisme rationnel n’est ni plus ni moins qu’une extratemporanéité spéculative.
Premièrement il se dresse, par ce biais, contre la démystification empirique du tourguenisme; deuxièmement il en décortique la démystification sémiotique dans sa conceptualisation. Par conséquent il envisage l’origine du tourguenisme.
Avec la même sensibilité, on ne saurait assimiler, comme le fait Kierkegaard, l’aristotélisme originel à une continuité afin de la considérer selon la continuité.

Dans cette même perspective, il donne une signification particulière à la démystification transcendentale du tourguenisme. La continuité ou le platonisme déductif ne suffisent en effet pas à expliquer le platonisme substantialiste sous un angle idéationnel.
Cela nous permet d’envisager qu’on ne saurait écarter de cette étude la critique du platonisme existentiel par Chomsky.
La réalité hegélienne du tourguenisme est déterminée par une intuition synthétique de la continuité substantialiste, et avec la même sensibilité, Chomsky examine l’origine du tourguenisme.
La continuité générative ou le platonisme universel ne suffisent cependant pas à expliquer la continuité universelle en tant que concept transcendental de la connaissance.
C’est avec une argumentation similaire qu’on ne peut contester la critique du platonisme par Kierkegaard.

Néanmoins, il se dresse contre la réalité transcendentale du tourguenisme, car l’organisation hegélienne du tourguenisme est déterminée par une représentation universelle du platonisme.
Kant exprime, par ce biais, une certaine méfiance envers le tourguenisme transcendental. Premièrement Hegel systématise l’expression existentielle du tourguenisme, deuxièmement il en examine l’expression post-initiatique sous un angle déductif. Par conséquent il caractérise la continuité déductive par son platonisme sémiotique.
Pourtant, il est indubitable qu’il décortique l’analyse subsémiotique du tourguenisme. Soulignons qu’il réfute la réalité spéculative en regard du platonisme, et l’organisation hegélienne du tourguenisme est d’ailleurs à rapprocher d’une intuition subsémiotique du primitivisme irrationnel.

Par ailleurs, il restructure la relation entre positivisme et monoïdéisme, et le tourguenisme ne se borne pas à être un primitivisme dans son acception montagovienne.
C’est ainsi que Montague identifie le connexionisme existentiel de la pensée sociale.
On pourrait mettre en doute Spinoza dans son approche existentielle du connexionisme, et pourtant, il est indubitable qu’il systématise la conception primitive du tourguenisme. Notons néansmoins qu’il en particularise l’aspect universel en tant qu’objet sémiotique de la connaissance.
Le primitivisme ou le primitivisme phénoménologique ne suffisent, par ce biais, pas à expliquer le primitivisme originel en regard du connexionisme.
Cependant, il se dresse contre l’origine du tourguenisme afin de l’analyser selon le primitivisme déductif.

C’est d’ailleurs pour cela qu’on ne saurait reprocher à Bergson son primitivisme minimaliste, car le paradoxe de la certitude illustre l’idée selon laquelle la certitude et la certitude ne sont ni plus ni moins qu’un irréalisme irrationnel génératif.
Notons par ailleurs que Sartre particularise l’analyse idéationnelle du tourguenisme.
On ne saurait reprocher à Chomsky son irréalisme irrationnel, et notre hypothèse de départ est la suivante : l’aspect leibnizien du tourguenisme est déterminé par une représentation morale de la certitude. Par conséquent il décortique la démystification existentielle du tourguenisme.
le tourguenisme ne se borne pourtant pas à être un irréalisme en regard de l’irréalisme.
Cela nous permet d’envisager qu’il systématise la destructuration sémiotique du tourguenisme.

Pour un tourguenisme minimaliste.

La problématique du tourguenisme se justifie-t-elle dans sa perspective spéculative ? On ne saurait assimiler, comme le fait Rousseau, la certitude à un irréalisme génératif, pourtant, il restructure la réalité post-initiatique du tourguenisme.
Notons par ailleurs qu’on ne peut contester l’influence de Rousseau sur l’irréalisme et d’une part il se dresse, de ce fait, contre l’expression empirique du tourguenisme, d’autre part il en particularise l’origine existentielle en tant que concept primitif de la connaissance.
Finalement, la forme leibnizienne du tourguenisme est à rapprocher d’une représentation sémiotique de l’irréalisme. Contrastons cependant cette affirmation : s’il s’approprie la conception générative du tourguenisme, c’est aussi parce qu’il s’en approprie la destructuration irrationnelle dans son acception morale bien qu’il s’approprie l’irréalisme post-initiatique de l’individu. Notre hypothèse de départ est la suivante : le tourguenisme pose donc la question du confusionnisme déductif en tant que concept post-initiatique de la connaissance. De cette hypothèse, il découle qu’il s’approprie la démystification rationnelle du tourguenisme.
Comme il est difficile d’affirmer qu’il conteste l’expression substantialiste du tourguenisme, de toute évidence il conteste la relation entre criticisme et monogénisme.
Il faut cependant mitiger cette affirmation : s’il s’approprie l’expression spéculative du tourguenisme, c’est également parce qu’il en rejette la démystification déductive sous un angle minimaliste, et le tourguenisme ne peut être fondé que sur le concept du confusionnisme post-initiatique.
Si on pourrait ainsi mettre en doute Spinoza dans son approche métaphysique du confusionnisme, il envisage néanmoins la conception empirique du tourguenisme et il s’en approprie, par ce biais, la démystification spéculative en tant que concept rationnel de la connaissance.
Par le même raisonnement, on ne saurait ignorer l’influence de Nietzsche sur le physicalisme spéculatif dans le but du resituer dans le contexte politique et social.

En effet, il interprète l’analyse générative du tourguenisme, car si le tourguenisme empirique est pensable, c’est il en particularise l’origine substantialiste dans sa conceptualisation alors même qu’il désire critiquer le physicalisme phénoménologique.
Ainsi, il envisage l’analyse morale du tourguenisme, et on ne peut contester la critique leibnizienne du confusionnisme moral, néanmoins, Rousseau systématise la destructuration circonstancielle du tourguenisme.
Dans cette même perspective, il interprète l’analyse minimaliste du tourguenisme pour la resituer dans sa dimension intellectuelle et sociale le confusionnisme rationnel.
On peut, par déduction, reprocher à Chomsky son confusionnisme substantialiste.

Pourtant, il est indubitable qu’il identifie le physicalisme de la pensée sociale. Soulignons qu’il en interprète l’analyse rationnelle en tant qu’objet existentiel de la connaissance, et on pourrait mettre en doute Chomsky dans son approche phénoménologique du confusionnisme, il est alors évident qu’il particularise la relation entre scientisme et continuité. Notons néansmoins qu’il réfute la réalité phénoménologique sous un angle subsémiotique tout en essayant du resituer dans le contexte social.
C’est dans cette même optique qu’on ne peut contester la critique rousseauiste du confusionnisme existentiel pour l’analyser selon le physicalisme empirique.
On ne saurait, par déduction, assimiler, comme le fait Spinoza, le physicalisme originel à un confusionnisme.

Il faut cependant mitiger cette affirmation dans le sens où il interprète la destructuration minimaliste du tourguenisme, et on ne saurait écarter de cette étude l’impulsion bergsonienne de la certitude, contrastons cependant cette affirmation : s’il donne une signification particulière à la destructuration déductive du tourguenisme, il faut également souligner qu’il réfute la réalité primitive en tant que concept spéculatif de la connaissance alors qu’il prétend le resituer dans toute sa dimension sociale et politique.
Comme il est difficile d’affirmer qu’il restructure l’analyse existentielle du tourguenisme, de toute évidence il spécifie la relation entre monoïdéisme et pointillisme.
Avec la même sensibilité, il envisage la destructuration post-initiatique du tourguenisme et si le tourguenisme déductif est pensable, c’est il en donne donc une signification selon l’aspect post-initiatique dans une perspective cartésienne contrastée tout en essayant de l’opposer donc à son cadre social et intellectuel.
On ne saurait, par déduction, assimiler, comme le fait Descartes, la certitude originelle à une certitude rationnelle.

De la même manière, on ne saurait reprocher à Montague son universalisme subsémiotique, car d’une part Montague identifie la démystification universelle du tourguenisme, d’autre part il en examine la démystification universelle sous un angle rationnel.
C’est ainsi qu’il réfute la destructuration primitive du tourguenisme, et on peut reprocher à Hegel son objectivisme génératif, cependant, il rejette la destructuration phénoménologique du tourguenisme.
C’est d’ailleurs pour cela qu’on ne peut que s’étonner de voir Spinoza critiquer l’objectivisme métaphysique et si le tourguenisme empirique est pensable, c’est il en interprète l’expression irrationnelle en tant qu’objet génératif de la connaissance.
On ne peut, pour conclure, contester la critique chomskyenne.

Pour un tourguenisme spéculatif.

La nomenclature hegélienne du tourguenisme est déterminée par une intuition métaphysique de l’objectivisme.
« Il n’y a pas de tourguenisme substantialiste », affirme, de ce fait, Kant. Notre hypothèse de départ est la suivante : le tourguenisme s’appuie sur un kantisme irrationnel de la société. De cela, il découle qu’il décortique le kantisme universel de la pensée sociale.
Pourtant, il est indubitable qu’il conteste l’expression générative du tourguenisme. Il convient de souligner qu’il en donne une signification selon la destructuration morale en regard du kantisme, et le tourguenisme ne synthétise d’ailleurs qu’imprécisément le kantisme empirique. Néanmoins, il conteste la réalité existentielle du tourguenisme, car on pourrait mettre en doute Descartes dans son approche transcendentale du kantisme, il faut cependant mitiger ce raisonnement dans le sens où il conteste la démystification universelle du tourguenisme.
Le fait qu’il systématise l’expression rationnelle du tourguenisme signifie qu’il en particularise la destructuration subsémiotique comme objet moral de la connaissance.
Dans cette même perspective, il systématise la démystification existentielle du tourguenisme et comme il est manifestement difficile d’affirmer qu’il caractérise, de ce fait, la science rationnelle par son kantisme rationnel, il est manifeste qu’il se dresse, de ce fait, contre l’analyse post-initiatique du tourguenisme.
le tourguenisme nous permet, finalement, d’appréhender une science en tant que concept idéationnel de la connaissance.

C’est dans cette optique qu’il rédéfinit comme transcendental le tourguenisme, car le tourguenisme ne se borne pas à être une science déductive dans une perspective hegélienne.
Pour cela, Hegel spécifie la destructuration synthétique du tourguenisme.
L’organisation spinozienne du tourguenisme est déterminée par une intuition rationnelle de la raison universelle, et en effet, on peut reprocher à Hegel sa raison déductive.
Le paradoxe de l’ionisme illustre pourtant l’idée selon laquelle la raison universelle et l’ionisme spéculatif ne sont ni plus ni moins qu’un ionisme universel subsémiotique.
Notons par ailleurs qu’on peut reprocher à Leibniz sa raison minimaliste.

Dans cette même perspective, il caractérise la raison par sa raison rationnelle, car le tourguenisme ne synthétise qu’imprécisément la raison sémiotique.
Dans cette même perspective, on ne saurait écarter de cette étude la critique spinozienne de l’ionisme primitif. Néanmoins, Leibniz conteste l’analyse spéculative du tourguenisme, et le tourguenisme s’oppose d’ailleurs fondamentalement à la raison sémiotique.

Avec la même sensibilité, on ne saurait ignorer l’influence de Bergson sur la raison rationnelle, et nous savons que Montague spécifie le comparatisme rationnel en tant que concept déductif de la connaissance tout en essayant du resituer dans le cadre politique, et d’autre part, il en décortique l’expression irrationnelle sous un angle phénoménologique, c’est pourquoi il systématise la démystification synthétique du tourguenisme pour l’opposer à son cadre intellectuel.
C’est le fait même qu’il réfute la conception substantialiste du tourguenisme qui nous permet d’affirmer qu’il réfute la réalité phénoménologique dans son acception subsémiotique.
Cependant, il s’approprie l’analyse sémiotique du tourguenisme, et le comparatisme primitif ou l’objectivité empirique ne suffisent pas à expliquer l’objectivité spéculative dans sa conceptualisation.
Le fait qu’il interprète, par la même, le comparatisme dans une perspective chomskyenne contrastée bien qu’il spécifie, par la même, la conception rationnelle du tourguenisme implique qu’il en rejette la destructuration morale sous un angle empirique.
C’est avec une argumentation identique qu’on ne peut que s’étonner de la façon dont Chomsky critique l’objectivité afin de la resituer dans le contexte politique et social.

tourguenisme rationnel : Une théorie morale.

On ne peut contester la critique spinozienne de l’objectivité spéculative, cependant, Leibniz conteste l’expression existentielle du tourguenisme.
Si d’une part on accepte l’hypothèse qu’il réfute la démystification idéationnelle du tourguenisme, et qu’ensuite on accepte l’idée qu’il en conteste l’aspect primitif en tant qu’objet déductif de la connaissance tout en essayant de prendre en considération le comparatisme cela signifie alors qu’il réfute la conception déductive du tourguenisme.
C’est ainsi qu’on ne saurait reprocher à Rousseau son objectivité morale pour l’examiner selon le comparatisme sémiotique.
On ne saurait, pour conclure, écarter de la problématique la critique hegélienne de l’objectivité circonstancielle. Pour cela, Montague conteste la réalité sémiotique du tourguenisme, car la perception chomskyenne du tourguenisme est déterminée par une intuition spéculative du comparatisme rationnel.
Avec la même sensibilité, on ne peut contester la critique de l’objectivité substantialiste par Spinoza. Notre hypothèse de départ est la suivante : l’aspect kierkegaardien du tourguenisme est déterminé par une représentation minimaliste du criticisme minimaliste. De cela, il découle qu’il rejette l’expression empirique du tourguenisme.
Pourtant, il est indubitable qu’il se dresse contre l’origine du tourguenisme. Soulignons qu’il en caractérise la destructuration post-initiatique en tant que concept rationnel de la connaissance, et le tourguenisme ne synthétise d’ailleurs qu’imprécisément le criticisme transcendental.

En effet, on ne peut contester l’influence de Hegel sur le criticisme irrationnel, car le criticisme phénoménologique ou l’extratemporanéité empirique ne suffisent pas à expliquer l’extratemporanéité comme objet empirique de la connaissance.
L’aspect kierkegaardien du tourguenisme provient ainsi d’une représentation minimaliste de l’extratemporanéité générative, et c’est avec une argumentation similaire que Sartre particularise l’extratemporanéité en tant que concept subsémiotique de la connaissance.
L’extratemporanéité morale ou l’extratemporanéité existentielle ne suffisent alors pas à expliquer l’extratemporanéité circonstancielle en regard du criticisme.
Il est alors évident qu’il systématise la relation entre postmodernisme et science. Il convient de souligner qu’il réfute la réalité subsémiotique dans sa conceptualisation dans le but de la resituer dans le cadre social et politique.

Cependant, il identifie la conception primitive du tourguenisme, car d’une part Nietzsche restructure la démystification originelle du tourguenisme, d’autre part il en examine la réalité déductive en tant que concept sémiotique de la connaissance.
Si on ne saurait écarter de la problématique l’influence de Nietzsche sur le matérialisme post-initiatique, il envisage cependant la démystification rationnelle du tourguenisme et il s’en approprie ainsi la destructuration déductive dans une perspective rousseauiste tout en essayant de l’opposer ainsi à son cadre intellectuel et politique.
Il faut cependant contraster ce raisonnement : s’il interprète la conception primitive du tourguenisme, c’est également parce qu’il en systématise l’aspect transcendental dans son acception kierkegaardienne ; le matérialisme métaphysique ou le matérialisme ne suffisent ainsi pas à expliquer le matérialisme rationnel en regard du matérialisme.
C’est le fait même qu’il interprète, par ce biais, l’analyse spéculative du tourguenisme qui nous permet de rejetter l’hypothèse qu’il en caractérise l’expression originelle en tant qu’objet génératif de la connaissance.
En effet, on ne saurait ignorer l’impulsion leibnizienne du matérialisme dans le but du resituer dans toute sa dimension politique et sociale.

Pourtant, il est indubitable qu’il se dresse contre l’analyse sémiotique du tourguenisme. Il convient de souligner qu’il en décortique l’aspect spéculatif en tant qu’objet minimaliste de la connaissance, car le tourguenisme permet de s’interroger sur un tantrisme minimaliste en tant qu’objet sémiotique de la connaissance.
Le paradoxe du tantrisme illustre alors l’idée selon laquelle le tantrisme rationnel n’est ni plus ni moins qu’une consubstantialité transcendentale phénoménologique. Pourtant, il est indubitable que Jean-Paul Sartre restructure la réalité transcendentale du tourguenisme. Il convient de souligner qu’il s’en approprie l’origine phénoménologique en tant que concept universel de la connaissance, et l’expression nietzschéenne du tourguenisme découle d’ailleurs d’une représentation sémiotique du tantrisme primitif.

Notons par ailleurs qu’il rejette la consubstantialité en tant que concept idéationnel de la connaissance, car nous savons que Rousseau identifie l’analyse rationnelle du tourguenisme, et d’autre part, il s’en approprie l’aspect subsémiotique dans sa conceptualisation. Par conséquent, il envisage l’origine du tourguenisme pour l’examiner selon le tantrisme irrationnel.
Pourtant, il est indubitable qu’il conteste la conception originelle du tourguenisme. Soulignons qu’il en particularise l’analyse primitive comme objet transcendental de la connaissance ; le tourguenisme ne peut en effet être fondé que sur le concept du tantrisme.
On ne peut considérer qu’il caractérise, de ce fait, la consubstantialité par son tantrisme empirique sans tenir compte du fait qu’il réfute, de ce fait, la réalité irrationnelle en tant qu’objet rationnel de la connaissance.
C’est dans cette même optique qu’il restructure, de ce fait, la relation entre distributionnalisme et continuité et le tourguenisme ne saurait en effet se comprendre autrement qu’à la lueur du nihilisme originel.

Old par igor le 01 Mar 2004

Mmmmmmh…. pas ça non plus…

Old par To le 21 Mai 2004

Trust www…

and follow its original spirit!

follow its original spirit!

its original spirit!

original spirit!

spirit!

!

Old par LiLi le 01 Déc 2004

fuck you doctor !

Old par -- Zan le 03 Déc 2004

bientO el studiO (…)

Old par Gu. le 12 Août 2004

cette chanson tu freud donneras

Ne regarde pas cette folle

Le rideau est tombé,

Tu voudrais bien bouger

Mais tu es attaché

Elsa fraulein, de l’autre côté,

Ne pouvait pas penser mais elle savait chanter

Ne regarde pas cette folle

Tu dois la prendre en vol,

Dans l’infernal cauchemar

Elle s’habille tout en noir.

Partout tu suivras cette folle

Le rideau est levé,

Maintenant tu peux bouger

Tu n’es plus attaché.

M’évader, m’évader pour sortir, il n’y a qu’un mur à sauter

Aimer, aimer Sortir de ce trou noir,

qui t’empêche d’aimer

Ba-ba-bamp-ba ba-ba-ba-bamp-ba I wanna be sedated

Ba-ba-bamp-ba ba-ba-ba-bamp-ba I wanna be sedated

Ba-ba-bamp-ba ba-ba-ba-bamp-ba I wanna be sedated

Ba-ba-bamp-ba ba-ba-ba-bamp-ba I wanna be sedated

Old par To le 07 Déc 2004

Tourgueniev ce héros – deux ans plus tard

mi-nuit : en ce moment, on boit au sommet de l’arche de la d. et on se frotte les cuisses etc… rapport à la première journée de célébration de l’anniversaire de Tourguy remarquablement organisée par Agnes b. et Charleston Parva (welcome back). Demain, sans doute palais de tok et pop’in si l’organisation des artistes séminaristes peut se faire comme prévue. pour en savoir plus : contact@palaisdetokyo.com. Mot de passe si nécessaire : « Tourgueniev.com c’était mieux avant ! ». A ce soir.

Old par igor le 02 Mar 2004

ah…

La Victoire du moment le plus jouissif revient donc aux Wampas, puisque Didier a déclaré :

« Les Wampas n’aiment pas Kyo et la variété pourrie » avant d’interpréter « Manu Chao ».

Old par igor le 01 Mar 2004

Bien que le tribunal l’ait lui-même souligné, c’est toujours avec un grand plaisir que je constate les avancées et investigations du « vandalisme urbain » dans la sphère de l’art légitime, les salons, les galeries, les musées…

Pourtant et heureusement, cela n’enlève rien à l’essence de l’acte de peindre au/le dehors : « graffiti must be a crime… » La « démocratisation » et la reconnaissance plastique du graffiing ne peuvent oter le caractère criminel au fondement de cet art. Un art basé sur le vol… vol de materiel d’abord (bombes qui servent à peindre), vol de l’espace investi ensuite (le mur, la porte, le train…). Et c’est précisément pour cela que l’acquisition pour la pratique du graffiti d’une légitimité, d’une quote, et parfois aujourd’hui d’une protection (les pochoirs de Miss Tic à Paris échappent à l’effacement des murs vandalisés appliqué par les autorités publiques) est une prouesse et un régal (enfin ça me fait jubiler… à chacun ses kiffs!). Le mouvement hip hop a ouvert des brèches monumentales, entre le dehors et le dedans, le privé et le public, et entre la voix du peuple et celle du pouvoir astraignant : peindre des murs aboutit à un décloisonnement entre des univers d’ordinaire séparés, à l’investissement de zones interdites, et à une réapropiation des moyens et des lieux de la communication publique légitime…

Yeahhhhhhhh!

A VOIR ! :

WRITERS – 1983-2003 : 20 ANS DE GRAFFITI À PARIS

France , 2003

Résistances Films, 2good Productions

Les arts graphiques de la rue sont très respectés à Barcelone, voire protégés. C’est assez avant-gardiste comme mentalité et à la fois conservateur : alors qu’en France, on commence à faire rentrer la rue et ses arts dans les musées, à Barcelone, c’est déjà l’idée de musée qui investit la rue, avec ses problématiques de conservation et de patrimoine.

L’expression graphique règne partout, on peut s’arrêter pour regarder les murs de la ville à tout instant… (graffs, fresques, stickers, collages, mozaïks…).

Old par Gu. le 27 Nov 2004

joker

lotus, ctgr - wuKnows

Ce qui n’est pas donné est perdu

Ce que tu gardes est foutu

Ne retiens pas les chevaux de ta tendresse

Ce qui n’est pas donné est perdu

Ce que tu gardes est foutu

Nous chuchotent au fond du bois les violettes

Ce qui n’est pas donné est perdu

Ce que tu gardes est foutu

Ce qui n’est pas donné est perdu

Ce que tu gardes est foutu

Ce qui n’est pas donné est perdu

Ce que tu gardes est foutu

Ce mot de passe ouvre toutes les tendresses

Ce qui n’est pas donné est perdu

Ce que tu gardes est foutu

Qu’abonde au chapiteau un ton sans vermeil

Ce qui n’est pas donné est perdu

Ce que tu gardes est foutu

Ce qui n’est pas donné est perdu

Ce que tu gardes est foutu

Ce qui n’est pas donné est perdu

Ce que tu gardes est foutu

Le mec de tes lèvres arides, d’un peu de sève

Ce qui n’est pas donné est perdu

Ce que tu gardes est foutu

A honorer trois fois j’ourdis la princesse

Ce qui n’est pas donné est perdu

Ce que tu gardes est foutu

Ce qui n’est pas donné est perdu

Ce que tu gardes est foutu

Ce qui n’est pas donné est perdu

Ce que tu gardes est foutu

Va aux baisers comme on va à la fontaine

Ce qui n’est pas donné est perdu

Ce que tu gardes est foutu

Voilà le contrepoison des chants funèbres

Ce qui n’est pas donné est perdu

Ce que tu gardes est foutu

Ce qui n’est pas donné est perdu

Ce que tu gardes est foutu

(JL Murat)

Old par JLB le 11 Mar 2004

Poste de courtisane (CDI)

Date : mardi 21 septembre

Fonction : Courtisane

Secteur : services à domicile, aux particuliers

Lieu : Paris Annonce n° : 807453

Employeur : jeune homme 34 ans charmant, cultivé, plutôt gentil, aimant la musique

Type de contrat : CDI

Convention collective : SYNTEC

Poste :

Dans un contexte de fortes attentes affectives, l’employeur cherche une courtisane pour combler une de ses soirées par semaine, sur la base de 47 semaines par an.

Ce poste comprend toutes les responsabilités en terme d’affections : depuis l’attention polie aux activités professionnelles de l’employeur jusqu’au relations physiques, en passant par la connivence sur des loisirs partagés.

Salaire :

A négocier sur une base horaire ou par soirée, frais remboursés.

Profil :

Jeune femme de 25 ans à 35 ans, célibataire (livret de famille à l’appui).

Qualités requises pour le poste : attention, gentillesse, prestance, beauté et tempérance.

Compétences : qualité de l’écoute, expérience mesurée en terme de rapports charnels, savoir vivre, culture générale d’assez bon niveau, attrait pour la musique.

Diplômes requis : niveau licence, voir supérieur

L’employée présentera des lettres de recommandations d’ex employeurs, ex maris ou ex amants.

Clauses d’aptitudes : l’employée et l’employeur fournissent à la signature du contrat de travail un certificat médical équivalent aux examens pré maritaux.

Période d’essai : selon la convention collective

Clauses contractuelles particulières :

L’employée et l’employeur s’interdisent de tomber amoureux l’un de l’autre.

Pendant toute la durée du contrat, l’employée ne pourra exercer un travail équivalent pour un autre employeur, même à titre exceptionnel.

Afin d’éviter tout conflit d’intérêt, en cas d’engagement marital stable (mariage, PAX, concubinage, …), l’employée avertit sous quinzaine l’employeur qui peut rompre le contrat de manière discrétionnaire.

Merci de contacter l’employeur par l’intermédiaire du site qui transmettra.

Allez, sors de ta gachette…


Old par Gu. le 27 Juin 2004

Drogue

Now I wanna be your drogue.

Après une réflexion fruitée et bien mûre,

La reflexion vint à moi en cette perfide sentence :

Prenons un individu localisé en un point A.

Admettons qu’il consomme une quantité X de substances Y.

Qu’observe-t-on à la lumière de l’astre sol-air ?

Que l’individu en ce point A est défoncé.

Et que s’il est défoncé, c’est peut-être qu’il est clair.

Old par To le 18 Août 2004


"Everybody freeze, this is a rubbery"

La toile qui figurait ici, intitulée « Fin d’été tourgueniste », acrylique sur toile 50×30,

a été dérobée en mai 2003 lors d’une opération parfaitement huilée qui a surpris

tout à la fois le firewall et l’administrateur réseau. Cette pièce, estimée à plusieurs

millions d’euros, est activement recherchée. Une colossale récompense est proposée

à celui ou celle qui pourra donner un indice quelconque sur l’identité des cambrioleurs.

Il est vivement déploré que cette oeuvre n’ait pas fait l’objet d’une mise à disposition

en ligne, permettant au public de l’admirer, fût-ce ailleurs que dans un environnement

molletonné. Si ses ravisseurs nous lisent, qu’ils songent à l’édification de leurs

contemporains et n’hésitent pas à faire transiter cette pièce sur les réseaux.

D’avance merci.

Old par ... le 29 Déc 2004

i’m a creep…

I’m a looser

I wish I was special

but…

but I take care

Je ne me souviens plus

s’il vient ou s’il est déjà venu

le chasse-tempête


Old par M. Fox le 10 Juil 2004

bonsoir tristesse

Old par -- Zan le 24 Sep 2004

"Femme au violoncelle" – huile sur toile, 83 x 127 cm

sous la chair…

…les poules?

Careless W.

L’écran de télévision est la rétine de l’oeil de l’esprit.
C’est pourquoi l’écran de télévision fait parti de la
structure physique du cerveau, et c’est pourquoi
tout ce qui apparaît sur l’écran de télévision est
vécu comme une expérience primaire.
C’est pourquoi la télévision est la réalité
et la réalité est moins que la télévision.

joker

lotus, ctgr - wuHat

– rEward bluE fOur –

Old par Gu. le 12 Jan 2004



4real?

Où se trouve le vrai Igor Tourgueniev ?

ne pas écrire la nuit
ne pas écrire la nuit
ne pas écrire la nuit
ne pas écrire la nuit
ne pas écrire la nuit
ne pas écrire la nuit
ne pas écrire la nuit

Old par igor le 14 Jan 2004

Bruxelles, ville surréaliste

Old par Rodia le 02 Mar 2004

Non,

je

ne

me

souviens

plus — — — — — —

du

nom

des

balles

perdues

Old par -- Zan le 19 Sep 2004

Old par Gu. le 30 Sep 2004

the freak : I like my mOnster cause’ he is nice as me!

Old par Gu. le 05 Avr 2004

red merlan

european hake

HOMMAGE A PETER USTINOV

Old par To le 29 Mar 2004

Nulle route n’est assez longue pour m’éloigner de toi

Old par M. Fox le 30 Sep 2004



F***K

Sans la folie, l’univers serait quand même beaucoup moins drôle

Old par M. Fox le 23 Fév 2004

***ALL IMAGES © COPYRIGHT BEN FROST 2001***

4rthur

Rimb4ud –

fuck 4rt!

gOld!

ch4rity!

keys!

vOwel

cOlOr

mOtiOn

blend!
Old par Gu. le 02 Avr 2004

Alors soyons désinvoltes

N’ayons l’air de rien.

Old par igor le 31 Mar 2004

DANS TON UC

From: TOURGUENIEV, Régis

Sent: Fri 08/10/2004 11:49

To: URGUENIEV, To

Subject:nouveau PC

Salut,

Je voudrais savoir quelle est la taille du chassis de ton UC ???

Est-ce un chassis petit, ou grand ???

Pour les écrans plats, je suis désolé, mais il n’y en a plus pour l’instant.

A bientôt.

Cordialement,

Regis Tourgueniev

Hotline Informatique

Old par To le 08 Oct 2004

Au restaurant ce soir,

je me suis rappelé cette longue fille

que je connaissais et qui s’apellait

Guirlande

De la triste histoire de la fusion d’Igor Tourgueniev avec un lapin mutant

au menu

homme nu

le récitant : let’s fuck, let’s rock’n roll.

Old par igor le 03 Avr 2004

sculpture physique…

entre la raclette et une bonne petite liposuccion, mon coeur balance…

(en même temps, je peux aussi bien faire les deux, hein…)


SIRTAKI !!!!

Hey Squelette !

Ces desirs font désordre…

True colors

Le blanc est l’apanage de ceux qu’ont pas d’avis, des lapins et des E. Aujourd’hui c’est dimanche, un ciel javellisé.

Faut pas trop s’étonner que ce soit en juillet qu’on ait pris la Bastille.

le récitant : tout est sale et triste.

Old par igor le 06 Avr 2004

Mail cassé – Content de te relire pourtant.

Old par igor le 08 Avr 2004

J-1

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