les dessous de l’affaire:

pourquoi ?

je sais pas…

frOm the sky (…)

luVer's umbrella    
  cycloneye  
    zondS maziKs
Old par Gu. le 30 Jan 2004

fletch grapheme implosion baffin bridle bradbury icicle galatea
tradesman astonish booze carlo
krypton propeller proximal dreg teen bookshelves
henequen pericles demountable setscrew bathe elbow lindstrom astute afflict fest vanguard magic downey wander brassy exploration screwdriver oakley convex judson sulphur glassine
excitation doctrinal committeewoman kingsbury omnipotent
bartlett sweaty lubricate ajax bakery genealogy steuben mantel heartfelt grain fredholm western jilt incoherent heterogeneous julia draftsman chanson whither

Old par igor le 13 Jan 2004

LA PEAU DU VENTRE BIEN TENDUE

Assis autour d’une table sous les spots qui dégageaient une chaleur bien

moins artificielle que les sourires qui s’échangeaient entre eux, ils discutaient

en prenant des inspirations biens profondes ou des expirations concernées. Chacun

y allait de son petit commentaire : qui baise avec qui, l’un sur le Palace,

l’autre sur la növo, l’une sur le punk, l’autre sur Warhol… et tous se délectaient

de l’excellence de la soirée, name-droppant, private-jokant,

donnant un air vicié et suffisant à leurs propos périmés, anagrammes de Prosper Merimée, deux litres de Sancerre et un camembert bien fait.

Old par To le 21 Nov 2004

beahhh

sploch

Anarchisme

L’anarchisme est un mouvement d’idées et d’action qui, en rejetant toute contrainte extérieure à l’homme, se propose de reconstruire la vie en commun sur la base de la volonté individuelle autonome.

Bien que l’anarchisme militant ne se manifeste que vers la fin du XIXe siècle avec Kropotkine , Élisée Reclus et Malatesta, les lignes essentielles de la doctrine anarchiste se précisent dès la première moitié du siècle. La Révolution française institue un divorce radical entre l’État, qui repose sur les principes éternels de la liberté, de l’égalité et de la fraternité, et la société qui est dominée par l’esclavage économique, l’inégalité sociale et la lutte des classes. Cette contradiction semble d’autant plus insupportable que la Révolution française proclame en même temps que l’individu est une fin en soi et que toutes les institutions politiques et sociales doivent servir à son plein et entier épanouissement. La liberté politique paraît illusoire, voire néfaste, à ceux qui, en vertu même de ces principes, subissent une servitude sociale et économique. La première réaction « antiétatiste » est sans doute la « conspiration des Égaux » dirigée par Gracchus Babeuf et visant à substituer à l’égalité politique l’« égalité réelle ». « Disparaissez, lit-on dans son Manifeste, révoltantes distinctions de riches et de pauvres, de grands et de petits, de maîtres et de valets, de gouvernement et de gouvernés. »

L’anarchisme en tant que doctrine philosophique appartient essentiellement à l’histoire de l’hégélianisme. La réalité objective étant pour Hegel issue de l’esprit, l’objet qui semble séparé du sujet finit par y retourner afin de constituer cette unité foncière que Hegel appelle l’Idée absolue. Or cet Esprit hégélien qui se réalise grâce à la prise de conscience des esprits finis, de transcendant qu’il était sans doute chez Hegel lui-même, devient pour une importante fraction de ses disciples l’esprit humain parvenu à la pleine conscience de soi-même. Une fois engagés sur la voie de l’immanence, ces jeunes hégéliens s’efforcent d’interpréter le monisme de Hegel dans un sens de plus en plus révolutionnaire. L’Esprit est arraché au clair-obscur prudent où son créateur avait voulu le maintenir ; il s’« humanise » progressivement. Devenu homme, c’est-à-dire être humain au sens général du mot dans le maître livre de L. Feuerbach, L’Essence du christianisme (1841), il se transforme en esprit humain dans la Critique pure de Bruno Bauer – doctrine contre laquelle Karl Marx se déchaîne dans La Sainte Famille – et finit par apparaître sous les traits surprenants du Moi original, du Moi « unique » dans l’ouvrage de Max Stirner, L’Unique et sa propriété (1845).

Cet effort d’interprétation s’accompagne de la ferme volonté de renforcer le monisme hégélien. Les jeunes hégéliens pourchassent tous les dualismes ou, pour parler en termes d’école, toutes les aliénations ; ils luttent contre l’aliénation religieuse, c’est-à-dire contre l’Église ; contre l’aliénation politique, c’est-à-dire contre l’État ; contre l’aliénation humaine enfin, c’est-à-dire contre l’humanisme qui, par les contraintes d’un collectivisme abstrait, menace d’étouffer l’originalité de l’individu. Le marxisme insiste sur la filiation qui relie Hegel, Feuerbach et Marx, c’est-à-dire sur une évolution philosophique qui, en partant de l’idéalisme absolu, passe par le matérialisme mécaniste pour aboutir au matérialisme historique et dialectique. Mais l’anarchisme, qui, en prêtant l’immanence à l’Esprit absolu de Hegel, aboutit à la souveraineté du Moi « unique » et part en guerre contre toutes les aliénations dont celui-ci est victime, dérive également de la philosophie hégélienne. La lignée qui va de Hegel à Stirner et à Bakounine n’est pas moins légitime que celle qui rattache Hegel à Marx.

L’exigence de justice totale étant le « principe affectif central de la sensibilité anarchiste » (E. Mounier), l’anarchisme, en dépit de ses outrances verbales d’inspiration athée, garde des résonances proprement religieuses, voire chrétiennes. Tout en se dressant contre le « mythe de la Providence », Proudhon maintient la transcendance sous la forme de la justice. En rappelant la célèbre recommandation de Jésus, « Rends à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu », il insiste sur le caractère apolitique du christianisme. « L’enseignement de Jésus, affirme-t-il, est tout social, ni politique, ni théologique. » Max Stirner prétend de son côté qu’il conforme son attitude à celle de Jésus qui dépasse l’État en l’ignorant. Tolstoï enfin, le plus chrétien des anarchistes, constate que « la doctrine de Jésus donne la seule chance de salut possible pour échapper à l’anéantissement inévitable qui menace la vie personnelle ».

Ayant puisé à des sources fort diverses, l’anarchisme semble à première vue tissé de contradictions et déchiré en tendances et sous-tendances. Dans ce « chaos d’idées » (Sébastien Faure), le départ avait été fait vers 1900 entre l’anarchisme individualiste, dont les défenseurs se réclamaient de Stirner et de Proudhon, et l’anarchisme communiste, qui s’inspirait avant tout de l’enseignement de Bakounine et de son disciple Kropotkine.

1. Les différents aspects

La première tendance consistait à garantir la liberté individuelle par le maintien de la propriété privée ; la seconde, en revanche, soutenait que seule l’institution de la propriété collective permettait de réaliser la justice sociale, condition indispensable à l’épanouissement individuel. L’anarchisme subit ainsi une double tentation à laquelle il ne sait pas toujours résister, celle de l’individualisme libéral des économistes classiques et celle d’un collectivisme dépersonnalisant. L’évolution ultérieure, il est vrai, rend à l’anarchisme une certaine unité doctrinale. Alors que l’anarchisme individualiste, professé souvent par des déclassés, des « en-dehors », se replie de plus en plus sur lui-même et qu’il ne semble plus s’intéresser qu’à la liberté sexuelle, qu’un de ses chefs, Émile Armand, conçoit sous la forme de « pluralité amoureuse », l’anarchisme communiste, animé par Élisée Reclus, Jean Grave, Émile Pouget, Sébastien Faure et Enrico Malatesta, finit par représenter l’anarchisme authentique.

Ce dernier, après avoir inspiré le syndicalisme révolutionnaire d’avant 1914, le mouvement makhnoviste en Ukraine au lendemain de la révolution d’Octobre et l’action de la Fédération anarchiste ibérique pendant la guerre d’Espagne, fait encore partie ou, tout au moins, tente de continuer de faire partie du tableau idéologique de la fin du XXe siècle. Peut-être faudrait-il mentionner également la survivance d’un certain anarchisme chrétien dont l’idée-force est constituée par la « non-violence ». Quant à l’anarchisme littéraire tel qu’il se manifestait dans certaines revues de la fin du XIXe siècle, il appartient à la Belle Époque, dont il reflète l’individualisme exacerbé.

2. Conceptions politiques

Le contrat anarchiste

L’anarchisme répudiant toute idée d’autorité comme étant contraire à la notion de la liberté individuelle, il lui apparaît que l’ordre et la justice, dont il ne nie aucunement la nécessité pour la cité, doivent reposer sur un contrat librement conclu entre les intéressés. Les clauses d’un tel contrat, profitables à tous les contractants, sont observées tout aussi librement. Ce contrat anarchiste se situe à l’opposé du contrat social de Rousseau. Proudhon démontre, en effet, dans son Idée générale de la révolution au XIXe siècle, que le contrat de Rousseau, loin d’être social, est responsable de la tyrannie étatiste à laquelle aboutissent toutes les démocraties. Le contrat social de Rousseau ne concerne que le pouvoir politique ; il le renforce en lui donnant pour appui la souveraineté d’une volonté générale qui n’est d’ailleurs que celle d’une majorité opposée le plus souvent à la volonté particulière. Le contrat social, du fait qu’il néglige la vie sociale et économique, est un contrat sans contenu, un contrat qui autorise tout arbitraire et qui équivaut à une aliénation consciente et organisée. « C’est, en un mot, à l’aide d’une supercherie savante, la législation du chaos social, la consécration, basée sur la souveraineté du peuple, de la misère. Du reste, pas un mot du travail, ni de la propriété, ni des forces industrielles que l’objet du contrat social est d’organiser. Rousseau ne sait ce que c’est que l’économie. Son programme parle exclusivement de droits politiques, il ne reconnaît pas de droits économiques. » Le contrat tel que Proudhon l’envisage, loin d’être le résultat d’une abstraction politique, est issu de libres débats où les intéressés engagés ont fini par se mettre d’accord ; il est modifiable au cas où les intérêts subiraient des changements. Ce n’est pas un contrat unique, contraire par définition à la complexité et à l’hétérogénéité de la vie sociale, mais un ensemble illimité d’accords contractuels qui correspondent le plus possible aux mille nécessités de l’individu. Enfin, l’abandon de la liberté individuelle au profit du contrat n’est pas seulement provisoire, il est aussi partiel. Alors que Rousseau exige au nom du contrat social « l’aliénation totale de chaque associé avec tous ses droits à toute la communauté », Proudhon précise qu’en concluant un contrat chaque contractant doit recevoir au moins autant qu’il donne et qu’en dehors des obligations rigoureusement délimitées qui découlent des clauses du contrat il continue à jouir de sa pleine liberté et de sa souveraineté.

Le fédéralisme

La multiplicité des contrats se traduit par le fédéralisme, appelé à remplacer l’organisation étatique. Une infinité de contrats s’engendrant les uns les autres et s’équilibrant d’autant plus facilement qu’ils ne sont point immuables ni définitifs, soit sur le plan professionnel, soit sur le plan régional, soit encore sur le plan national et même international, voilà un édifice d’apparence chaotique et incohérente.

Mais, grâce au maintien à tous les échelons du principe de l’autonomie de la volonté individuelle, on doit aboutir à une union librement consentie dont la solidité est certainement supérieure à celle d’une union obtenue par la force. « Le principe appelé, selon moi, à régir la politique moderne, écrit Proudhon dans Fédération et Unité en Italie, n’est autre que le principe de fédération, corollaire de celui de la séparation des pouvoirs, lequel à son tour est la base universellement reconnue de tout gouvernement libre et régulier, à plus forte raison de toute institution républicaine, et a pour opposé le principe de l’agglomération des peuples et de la centralisation administrative. » Et Bakounine de prophétiser : « Quand les États auront disparu, l’unité vivante, féconde, bienfaisante, tant des régions que des nations, et de l’internationalité de tout le monde civilisé d’abord, puis de tous les peuples de la terre, par la voie de la libre fédération et de l’organisation de bas en haut, se développera dans toute sa majesté. »

L’antidémocratisme

Le fédéralisme anarchiste, c’est-à-dire la recherche perpétuellement renouvelée d’un équilibre entre des groupements distincts, implique le rejet absolu de toute forme de gouvernement à tendance synthétique et unitariste. D’où une hostilité déclarée à l’égard de la démocratie issue des principes de la Révolution française et, en particulier, à l’égard de tout jacobinisme. Stirner insiste sur l’aggravation de la servitude provoquée par le passage de l’Ancien Régime à la nation souveraine, fille de la Révolution française. Sous l’Ancien Régime, le pouvoir monarchique ne s’exerçait pas directement sur les sujets. C’est la corporation qui s’intercalait comme élément médiateur entre le roi et le peuple. L’homme dépendait d’abord d’un groupe social, en sorte que le prétendu « absolutisme » était en fait limité par d’innombrables pouvoirs secondaires. Mais du jour où la nation s’institua souveraine, le sujet entra en dépendance directe vis-à-vis du pouvoir. Le règne des privilèges de l’Ancien Régime se transforma en un règne du droit, contre lequel nul ne pouvait désormais s’insurger. Ainsi, l’esclavage extérieur de l’Ancien Régime est devenu un esclavage intérieur, c’est-à-dire un esclavage dont nous reconnaissons nous-mêmes la légitimité. Proudhon, de son côté, accuse la Révolution française d’avoir engendré la lutte des classes. Après l’abolition des castes, les anciens ordres hiérarchiques, qui avaient assuré l’organisation du travail, se sont dissous sans que de nouvelles structures soient venues les remplacer. Il en est résulté l’exploitation capitaliste qui ne semble laisser aux pauvres d’autre issue que la révolte. Dans le domaine politique, l’esprit monarchique combattu par la Révolution française a d’ailleurs été ressuscité par Robespierre, disciple de Rousseau. La journée du 31 mai 1793, date à laquelle Robespierre écrasa les Girondins, a mis fin à l’inspiration communaliste et fédéraliste de la Révolution. C’est à partir de ce moment que triomphent à nouveau les traditions autoritaires et étatistes de l’Ancien Régime. L’optique historique de Proudhon amène Bakounine à mettre en parallèle la lutte de Robespierre contre la Commune de 1793 et celle des autoritaires, des étatistes, contre ses propres conceptions fédératives à l’intérieur de la Ire Internationale.

L’abstentionnisme

Antidémocratique par essence, l’anarchisme se dresse avec vigueur contre l’illusion néfaste du suffrage universel. « Religion pour religion, écrit Proudhon dans La Justice, l’urne populaire est encore au-dessous de la sainte ampoule mérovingienne. Tout ce qu’elle a produit a été de changer la science en dégoût et le scepticisme en haine. » Le bulletin de vote souffre, en effet, aux yeux des doctrinaires anarchistes, d’un double vice. D’une part, il met les électeurs à un niveau qui est établi le plus souvent par le mensonge et la fourberie des politiciens ; d’autre part, il dépouille les électeurs de leur pouvoir, le système parlementaire reposant sur la délégation des pouvoirs consentie entre les mains des députés, et non pas sur la simple représentation d’une volonté dont les députés seraient chargés. Ainsi Émile Pouget, anarchiste et syndicaliste révolutionnaire, fait bien ressortir la différence entre le syndiqué, qui préserve son droit de contestation et l’électeur, qui y renonce. « L’individu, précise-t-il, est la cellule constitutive du syndicat. Seulement, il ne se produit pas pour le syndiqué le phénomène dépressif qui se manifeste dans les milieux démocratiques où, le suffrage universel étant en honneur, la tendance est à la compression et à la diminution de la personnalité humaine. Dans un milieu démocratique, l’électeur ne peut user de sa volonté que par un acte d’abdication : il est appelé à « donner » sa « voix » au candidat qu’il souhaite avoir pour « représentant ». L’adhésion au syndicat n’implique rien de semblable et le plus pointilleux n’y pourrait découvrir la moindre atteinte à la personnalité humaine ; après comme avant, autonome il était, autonome il reste. »

3. Conceptions sociales

L’associationnisme

Parmi les nombreuses utopies sociales qui s’inspirent de la ferme volonté de préserver la souveraineté absolue de l’individu, relevons d’abord l’associationnisme de Stirner. L’auteur de L’Unique et sa propriété établit une différence fondamentale entre la société telle qu’elle existe et l’« association » dont il prône l’avènement. La société se dresse face aux individus ; elle est située en dehors et au-dessus d’eux. Elle apparaît comme quelque chose de définitivement établi, de stable, voire de sclérosé. Abusant de sa souveraineté, fictive il est vrai, mais non moins réelle tant que les hommes ne se rendront pas compte qu’elle est pétrie de leurs mains, la société entrave, déforme et anéantit la volonté individuelle. L’association, en revanche, est la rencontre passagère, l’union instable et perpétuellement modifiée des individus, qui n’en perdent jamais le contrôle. L’association demeure soumise à la souveraineté des « Moi » ; sa durée est fonction des services qu’elle leur rend. Elle se dissout dès qu’elle devient inutile. Les rapports interpersonnels retrouvent ainsi un cadre qui leur est approprié. Dans la société, qui est une abstraction, les hommes éprouvent l’un pour l’autre un amour « humain », c’est-à-dire un amour qui n’a pas pour objet l’individu particulier, mais l’homme abstrait et normatif. Or cet amour, qui participe du caractère transcendant de la société, se transforme facilement en haine et justifie toutes les persécutions contre l’individu particulier qui ne consent pas à se confondre avec l’image qu’on se fait de l’homme en général. L’association, en revanche, repose sur l’amour « égoïste », c’est-à-dire sur un amour qui considère l’autre comme un objet de satisfaction égoïste, comme « une nourriture offerte aux passions du Moi ». La différence entre la société et l’association réside donc essentiellement dans un changement d’optique : la société telle que nous la connaissons est maintenue, mais interprétée d’une manière individualiste. L’associationnisme stirnérien, pure construction de l’esprit aux données exclusivement morales, a trouvé un écho complaisant auprès de certains anarchistes individualistes de la Belle Époque.

Le « mutuellisme »

Proudhon s’efforce d’inscrire la défense de l’autonomie individuelle dans le cadre de la réalité sociale elle-même. Or, pour ce faire, il lui faut lutter contre le pouvoir oppresseur et démoralisant du capital. Afin de l’évincer de la vie sociale et économique, il envisage la suppression du numéraire et la gratuité du crédit et de l’escompte. L’argent sera remplacé par des billets de crédit gagés sur des produits dont la valeur est fonction du travail qu’ils représentent, le crédit et l’escompte ne seront plus du ressort des banques capitalistes qui, par des intérêts élevés, prélèvent la part léonine du travail, mais confiés à une société mutuelle, c’est-à-dire réciproque, des producteurs. La Banque du peuple, fondée par Proudhon en 1848, repose ainsi sur un double principe : d’une part, la banque constitue son capital en émettant des actions qui seront souscrites par ses clients ; d’autre part, l’intérêt des sommes prêtées par la banque est réduit au taux strictement nécessaire pour couvrir les frais d’administration, c’est-à-dire 0,50 ou même 0,25 p. 100. Grâce à ce système, que Proudhon qualifie de mutuellisme, on pourra procéder à une sorte de « liquidation sociale », à savoir au rachat des terres par les fermiers et à la substitution de compagnies ouvrières aux industriels, sans qu’il faille recourir à une expropriation violente. Mais deux mois après avoir déposé les statuts constitutifs de cette institution appelée à fonder la liberté politique et industrielle, Proudhon est frappé d’une condamnation et contraint à l’abandon de son projet. Pourtant le mutuellisme proudhonien, sous son double aspect de l’échange et du crédit, aboutit par la suite, non seulement en France mais aussi en Angleterre et surtout aux États-Unis, à la création de coopératives et de sociétés de secours mutuel.

Le communisme

Alors que Proudhon, loin de condamner la propriété privée, soutient que la possession constitue la base même de la liberté individuelle, les anarchistes communistes suppriment la propriété en affirmant que, née de l’injustice, elle l’engendre à son tour. Or, le rétablissement de l’égalité économique et sociale sera obtenu non pas à la suite d’une intervention étatique quelconque, mais grâce à la spontanéité révolutionnaire. Surenchérissant sur les socialistes qui promettent « à chacun le produit intégral de son travail », les anarchistes communistes réclament « le droit à la vie, le droit à l’aisance, l’aisance pour tous ». Kropotkine, dans La Conquête du pain, appelle les non-possédants à l’expropriation violente. « Les paysans chasseront les grands propriétaires et déclareront leurs biens propriété commune, ils démoliront les usuriers, aboliront les hypothèques et proclameront leur indépendance absolue. » À l’opposé de Malthus, pour qui la population s’accroît bien plus vite que la production agricole, Kropotkine fait confiance à la science capable d’augmenter les ressources à l’infini. Le problème social se ramène donc en fin de compte à un simple problème de répartition Eu égard à l’abondance des biens, cette répartition se fera, non selon les capacités, mais selon les besoins de chacun. L’ère anarchiste aura pour devise : « Prenez ce qu’il vous faut. » Le travail, dont la durée quotidienne sera réduite à quatre ou cinq heures effectuées par tous les adultes de vingt à quarante-cinq ou cinquante ans, suffira pour assurer largement la vie matérielle de tous, étant donné qu’il sera « infiniment supérieur et autrement considérable que la production obtenue jusqu’à l’époque actuelle, sous l’aiguillon de l’esclavage, du servage et du salariat ».

4. Conceptions morales

La culture de soi-même

L’anarchisme ne cesse de provoquer des résonances irritées, l’exaltation frénétique de l’individu semblant, en effet, justifier la licence la plus effrénée. Or, tout au contraire, l’éthique anarchiste développe le sens de la responsabilité individuelle bien plus qu’elle ne prédispose à un relâchement moral où l’individu au lieu de s’affirmer finit par sombrer et disparaître. C’est parce qu’il est convaincu que l’émancipation personnelle ne pourra résulter que d’un travail de perfectionnement intérieur continuel que l’anarcho-syndicaliste d’avant 1914 attache un tel prix à la « culture de soi-même ».

La liberté

L’anarchisme s’efforce en outre d’inscrire l’autonomie personnelle dans un cadre social ; il est ainsi amené à rejeter toute liberté purement individuelle. Chacune des libertés individuelles se suffisant à elle-même et tirant son origine d’elle-même, la liberté de chacun ne peut, en effet, se manifester qu’en niant celle de tous les autres ; elle constitue la base de cette morale aristocratique du mépris qui ne laisse à l’homme d’autre issue qu’un individualisme forcené. Pour l’anarchisme, en revanche, la liberté de chacun se confond avec la liberté de tous. « Tout ce qui est humain dans l’homme, précise Bakounine, et, plus que toute autre chose, la liberté, est le produit d’un travail social, collectif. Être libre dans l’isolement absolu est une absurdité inventée par les théologiens et les métaphysiciens. » C’est pourquoi la solidarité est le chemin le plus sûr qui mène vers la liberté. La révolte anarchiste, loin d’opposer les hommes, les rapproche, puisque, d’un commun accord, ils luttent contre l’abstraction étatique qui les opprime tous en empêchant le fonctionnement normal de la société. « La loi de la solidarité sociale est la première loi humaine, précise encore Bakounine, la liberté est la seconde loi. Ces deux lois s’interpénètrent et, étant inséparables, elles constituent l’essence de l’humanité. Ainsi, la liberté n’est pas la négation de la solidarité ; au contraire, elle en est le développement et, pour ainsi dire, l’humanisation. »

Socialisme et anarchisme

Le socialisme et l’anarchisme se rencontrent dans une hostilité commune à l’égard de l’État ; tous deux en réclament la disparition. La différence ne porte que sur la manière de l’envisager. Engels, dans un passage de L’Anti-Dühring cité par Lénine dans L’État et la Révolution, la situe dans une perspective historique : « Le prolétariat s’empare du pouvoir d’État et transforme les moyens de production d’abord en propriété d’État. Mais, par là, il se supprime lui-même en tant que prolétariat, il supprime toutes les différences de classe et oppositions de classe, et également l’État en tant qu’État […]. Le gouvernement des personnes fait place à l’administration des choses et à la direction des opérations de production, l’État n’est pas « aboli », il « s’éteint ».

Selon la doctrine marxiste, le dépérissement de l’État ne se produit donc pas du jour au lendemain. Lorsque le prolétariat aura pris le pouvoir, lorsqu’il se sera emparé de l’appareil étatique, il lui faudra d’abord s’en servir afin de briser définitivement la puissance de ses ennemis. L’État continuera à exercer un pouvoir d’oppression, mais ce sera au bénéfice exclusif du prolétariat. Le chemin vers la société communiste sans État passe par la dictature du prolétariat. L’anarchisme, en revanche, ne cherche pas à surmonter l’antinomie entre l’État et la société. À la conquête de l’État il préfère le rejet total d’un pouvoir qu’il estime étranger à l’essence véritable de l’homme, au dépérissement progressif de l’État sa disparition brutale et immédiate. Inférieur au socialisme scientifique en ce qui concerne l’efficacité politique, l’anarchisme, en vertu même de ce sens de l’homme qui l’anime, peut se prévaloir à son égard d’un certain droit de contestation. Max Stirner s’élève contre tout collectivisme : l’État libéral a laissé à l’individu un dernier domaine où se réfugier, la propriété privée ; or voici que le communisme le réclame pour la société ; désormais la sacro-sainte société possède tout, l’individu ne possède plus rien ; le communisme est le règne de la « gueuserie universelle ». Proudhon accuse le système communiste de provoquer « la déchéance de la personnalité au nom de la société », de ressembler au « despotisme oriental », à « l’autocratie des Césars », et de réaliser pour son compte, étant une sorte de « religion nouvelle », « l’absolutisme de droit divin ». Dès 1866, Bakounine prévoit que l’État despotique mis en place par le communisme d’État fera naître « une classe exploitante de privilégiés : la bureaucratie ».

Si l’anarchisme en tant que mouvement social s’est quasi éteint après la Seconde Guerre mondiale, ce sont surtout ces avertissements lancés au XIXe siècle, matérialisés par les errements des démocraties populaires et du communisme, qui ont permis aux idées anarchistes de conserver une certaine pérennité. Le fédéralisme, l’ordre pluraliste, l’organisation de bas en haut pourraient s’inscrire dans la recherche de cadres sociaux et économiques favorables à la dynamique du groupe et la non-directivité.

Old par igor le 07 Jan 2004

Chloé Delaume : Les personnages de fiction ne sont pas des créatures de l’esprit humain. Là-dessus tout le monde ment. Ou tente de se voiler le minois tellurique ce qui revient au même. Nous sommes la voix primale. Nous avons toujours été… Au commencement était le Verbe. De toujours la fiction précéda la réalité.

Old par igor le 28 Jan 2004

I am innocent !


Jack ce héro


« Peut-être reviendrai-je un jour avec une surprise très blonde (et malheur à ceux qui en feront assez ou trop) – sinon la valise vide. » (Jacques Rigaut à Colette Clément, lettre de New York du 30 septembre 1928)

Old par JLB le 23 Sep 2004

J’ai pris le chemin le plus long pour rentrer de chez toi

Le chemin magique qu’empruntent les fées

et les musiciens

Je voulais marcher un peu,

profiter de la fraicheur

écouter un peu de guitare

me faire demander où était la maison du Brésil par un improbable plan drague

regarder cet homme pas encore fini que pourtant je désire

l’air est mou et la chaleur palpable

je souris en esperant demain

demain

LISAO

QWAQWA, bantoustan d’Afrique du Sud, territoire autonome de 482 km2; 200.000h, chef lieu : Phuthatdijhaba.

Old par To le 12 Nov 2004

red merlan

red mullets

variante


Tu l’as dit Bouffi!

la nuit on est tous des…

et des fois le jour aussi!

Mi-nuit sans le jardin et du bien et du mal

bulge anxious circumscribe quartermaster tipple

syllogism estimate dizzy bodice dolce chinaman amend mexican

synod trickster substrate maniacal darpa aural grudge

satellite deduce tall dr aarhus closet buzzy cox zion expurgate

lawrence insoluble convoke smithsonian chub aborning cunard

cambridge fallen ebb employ necessity surf adulterate

cecil consume psychoanalysis bison bethesda neal amanita

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signora seltzer treachery mba conley audio agamemnon equity

candy texas chrome convalesce thieves locale showpiece

centerpiece heal centrist chaste endothermic bridgeport soul

Old par igor le 24 Fév 2004

Anti-Capitalist Operating System

Anti-Capitalist Operating System

PLP ce héros

Cet instant dual

en fait si j’ai peur (…)

Old par Gu. le 10 Mar 2004

BRUXISME

Old par To le 03 Déc 2004

Un peu de douceur dans le googlefight

égalité

satanisme

apocalypse

tendresse`

Old par -- Zan le 01 Nov 2004

ULTIME

Demain, la fin

La fin demain

A demain la fin

La fin à demain

Demain, à la fin.

Fin, c’est le mot sur lequel se terminent avec une

unanimité inégalée les auteurs.

JACQUES RIGAUT

Old par JLB le 11 Avr 2004

Trust www…

and follow its original spirit!

follow its original spirit!

its original spirit!

original spirit!

spirit!

!

Old par LiLi le 01 Déc 2004

Tu as croisé mon regard

A un feu vert

Une voiture t’as renversée

Tu as vu rouge

Envie d’un alcotest a partager?

06 61 63 58 84

Happy World

happy world

(part 2 : the Igor post-report)

Old par igor le 17 Fév 2004

la dernière fille avant la guerre

En règle générale, c’est celui qui dit qui y est.

Bang

       Bang

Old par Gu. le 09 Fév 2004

notre mère la terre

Old par Gu. le 31 Mar 2004

A propos de paternalisme…

et de lolitas

et d’ecrivains maudits

et de …

Fourrure…?

Tourgueniev ce héros – deux ans plus tard

mi-nuit : en ce moment, on boit au sommet de l’arche de la d. et on se frotte les cuisses etc… rapport à la première journée de célébration de l’anniversaire de Tourguy remarquablement organisée par Agnes b. et Charleston Parva (welcome back). Demain, sans doute palais de tok et pop’in si l’organisation des artistes séminaristes peut se faire comme prévue. pour en savoir plus : contact@palaisdetokyo.com. Mot de passe si nécessaire : « Tourgueniev.com c’était mieux avant ! ». A ce soir.

Old par igor le 02 Mar 2004

cinq heures pile

5 heures du mat’ j’ai des frissons / Je claque des dents et je monte le son / Seul dans mon lit Dans mes draps bleus froissés / C’est l’insomnie / Sommeil cassé / Je perd la tête / Mes cigarettes sont toutes fumées / dans le cendrier / C’est plein de Kleenex et de bouteilles vides / J’suis tout seul, tout seul, tout seul / Pendant qu’Boulogne se désespère / J’ai d’quoi m’remplir un dernier verre.Clac !fait le verre en tombant sur le lino / J’m’coupe la main en ramassant les morceaux / Je stérilise, les murs qui dansent / L’alcool ça grise et ça commence.. …sur les moutons, sur le parquet…





Old par Gu. le 23 Fév 2004

o | | | o *** o | | | o *** o | | | o *** o | | | o —||—[ o | | | o conditions modernes[ o | | | o production[ o | | | o propre unité générale[ o | | | o contemplation[ o | | | o images du monde[ o | | | o contemplation[ o | | | o images du monde[ o | | | o contemplation[ o | | | o inversion concrète[ o | | | o fausse conscience[ o | | | o —||—[ o | | | o *** o | | | o *** o | | | o ***
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Samedi 05 Juin 2004

A la Saint Igor, fera meilleur dehors.

TELEVISED

Old par To le 24 Déc 2004

Presque minuit pile

Je suis un fou de Dieu

le récitant : pause.

Old par igor le 12 Avr 2004

Terrorisme

dans ta face !

Old par M. Fox le 28 Jan 2004

projection µ

[#régions#interventions#intervale-temps]
_________________________________[*]_____________N1(EtT),E1
____—__–_-_______-_-__–__-___________0+4 (processus X) / (processus Y)

le récitant : ne pas écrire post-biture.

Old par igor le 22 Fév 2004

Mi-nuit : Quelle pertinence pour le tourguenisme minimaliste ?

Pour un tourguenisme génératif.

Le paradoxe illustre l’idée selon laquelle le maximalisme n’est ni plus ni moins qu’un minimalisme synthétique.
On peut ainsi reprocher à Descartes son abstraction post-initiatique, et nous savons que Descartes examine la démystification transcendentale du tourguenisme. Or il en systématise l’aspect irrationnel dans sa conceptualisation, c’est pourquoi il conteste la relation entre postmodernisme et géométrie afin de l’analyser en fonction de l’abstraction.
Le minimalisme ou l’abstraction ne suffisent, de ce fait, pas à expliquer le minimalisme post-initiatique dans une perspective montagovienne contrastée.
Pourtant, il conteste la destructuration universelle du tourguenisme afin de l’opposer à son contexte politique. Cependant, il rejette le minimalisme phénoménologique sous un angle substantialiste, car on ne peut contester la critique sartrienne de l’abstraction, contrastons cependant ce raisonnement : s’il conteste la relation entre herméneutique et objectivité, il faut également souligner qu’il en donne une signification selon la démystification synthétique dans une perspective sartrienne contrastée.
Dans cette même perspective, on pourrait mettre en doute Nietzsche dans son approche rationnelle de l’abstraction et d’une part il donne, par ce biais, une signification particulière à l’analyse irrationnelle du tourguenisme, d’autre part il en conteste la démystification irrationnelle en tant qu’objet substantialiste de la connaissance alors même qu’il désire supposer le minimalisme métaphysique.
On ne saurait, par déduction, assimiler, comme le fait Descartes, l’abstraction idéationnelle à un minimalisme spéculatif.

Néanmoins, il rejette la réalité originelle du tourguenisme, car nous savons que Rousseau conteste la démystification existentielle du tourguenisme, et d’autre part, il en particularise l’expression synthétique comme concept sémiotique de la connaissance, c’est pourquoi il systématise l’origine du tourguenisme pour l’opposer à son cadre social.
Si le tourguenisme génératif est pensable, c’est tant il en identifie l’expression universelle en tant qu’objet sémiotique de la connaissance.
Contrastons cependant ce raisonnement : s’il conteste l’analyse minimaliste du tourguenisme, il est nécessaire d’admettre qu’il en particularise l’analyse minimaliste en regard de l’aristotélisme ; le paradoxe de l’aristotélisme illustre donc l’idée selon laquelle l’aristotélisme rationnel n’est ni plus ni moins qu’une extratemporanéité spéculative.
Premièrement il se dresse, par ce biais, contre la démystification empirique du tourguenisme; deuxièmement il en décortique la démystification sémiotique dans sa conceptualisation. Par conséquent il envisage l’origine du tourguenisme.
Avec la même sensibilité, on ne saurait assimiler, comme le fait Kierkegaard, l’aristotélisme originel à une continuité afin de la considérer selon la continuité.

Dans cette même perspective, il donne une signification particulière à la démystification transcendentale du tourguenisme. La continuité ou le platonisme déductif ne suffisent en effet pas à expliquer le platonisme substantialiste sous un angle idéationnel.
Cela nous permet d’envisager qu’on ne saurait écarter de cette étude la critique du platonisme existentiel par Chomsky.
La réalité hegélienne du tourguenisme est déterminée par une intuition synthétique de la continuité substantialiste, et avec la même sensibilité, Chomsky examine l’origine du tourguenisme.
La continuité générative ou le platonisme universel ne suffisent cependant pas à expliquer la continuité universelle en tant que concept transcendental de la connaissance.
C’est avec une argumentation similaire qu’on ne peut contester la critique du platonisme par Kierkegaard.

Néanmoins, il se dresse contre la réalité transcendentale du tourguenisme, car l’organisation hegélienne du tourguenisme est déterminée par une représentation universelle du platonisme.
Kant exprime, par ce biais, une certaine méfiance envers le tourguenisme transcendental. Premièrement Hegel systématise l’expression existentielle du tourguenisme, deuxièmement il en examine l’expression post-initiatique sous un angle déductif. Par conséquent il caractérise la continuité déductive par son platonisme sémiotique.
Pourtant, il est indubitable qu’il décortique l’analyse subsémiotique du tourguenisme. Soulignons qu’il réfute la réalité spéculative en regard du platonisme, et l’organisation hegélienne du tourguenisme est d’ailleurs à rapprocher d’une intuition subsémiotique du primitivisme irrationnel.

Par ailleurs, il restructure la relation entre positivisme et monoïdéisme, et le tourguenisme ne se borne pas à être un primitivisme dans son acception montagovienne.
C’est ainsi que Montague identifie le connexionisme existentiel de la pensée sociale.
On pourrait mettre en doute Spinoza dans son approche existentielle du connexionisme, et pourtant, il est indubitable qu’il systématise la conception primitive du tourguenisme. Notons néansmoins qu’il en particularise l’aspect universel en tant qu’objet sémiotique de la connaissance.
Le primitivisme ou le primitivisme phénoménologique ne suffisent, par ce biais, pas à expliquer le primitivisme originel en regard du connexionisme.
Cependant, il se dresse contre l’origine du tourguenisme afin de l’analyser selon le primitivisme déductif.

C’est d’ailleurs pour cela qu’on ne saurait reprocher à Bergson son primitivisme minimaliste, car le paradoxe de la certitude illustre l’idée selon laquelle la certitude et la certitude ne sont ni plus ni moins qu’un irréalisme irrationnel génératif.
Notons par ailleurs que Sartre particularise l’analyse idéationnelle du tourguenisme.
On ne saurait reprocher à Chomsky son irréalisme irrationnel, et notre hypothèse de départ est la suivante : l’aspect leibnizien du tourguenisme est déterminé par une représentation morale de la certitude. Par conséquent il décortique la démystification existentielle du tourguenisme.
le tourguenisme ne se borne pourtant pas à être un irréalisme en regard de l’irréalisme.
Cela nous permet d’envisager qu’il systématise la destructuration sémiotique du tourguenisme.

Pour un tourguenisme minimaliste.

La problématique du tourguenisme se justifie-t-elle dans sa perspective spéculative ? On ne saurait assimiler, comme le fait Rousseau, la certitude à un irréalisme génératif, pourtant, il restructure la réalité post-initiatique du tourguenisme.
Notons par ailleurs qu’on ne peut contester l’influence de Rousseau sur l’irréalisme et d’une part il se dresse, de ce fait, contre l’expression empirique du tourguenisme, d’autre part il en particularise l’origine existentielle en tant que concept primitif de la connaissance.
Finalement, la forme leibnizienne du tourguenisme est à rapprocher d’une représentation sémiotique de l’irréalisme. Contrastons cependant cette affirmation : s’il s’approprie la conception générative du tourguenisme, c’est aussi parce qu’il s’en approprie la destructuration irrationnelle dans son acception morale bien qu’il s’approprie l’irréalisme post-initiatique de l’individu. Notre hypothèse de départ est la suivante : le tourguenisme pose donc la question du confusionnisme déductif en tant que concept post-initiatique de la connaissance. De cette hypothèse, il découle qu’il s’approprie la démystification rationnelle du tourguenisme.
Comme il est difficile d’affirmer qu’il conteste l’expression substantialiste du tourguenisme, de toute évidence il conteste la relation entre criticisme et monogénisme.
Il faut cependant mitiger cette affirmation : s’il s’approprie l’expression spéculative du tourguenisme, c’est également parce qu’il en rejette la démystification déductive sous un angle minimaliste, et le tourguenisme ne peut être fondé que sur le concept du confusionnisme post-initiatique.
Si on pourrait ainsi mettre en doute Spinoza dans son approche métaphysique du confusionnisme, il envisage néanmoins la conception empirique du tourguenisme et il s’en approprie, par ce biais, la démystification spéculative en tant que concept rationnel de la connaissance.
Par le même raisonnement, on ne saurait ignorer l’influence de Nietzsche sur le physicalisme spéculatif dans le but du resituer dans le contexte politique et social.

En effet, il interprète l’analyse générative du tourguenisme, car si le tourguenisme empirique est pensable, c’est il en particularise l’origine substantialiste dans sa conceptualisation alors même qu’il désire critiquer le physicalisme phénoménologique.
Ainsi, il envisage l’analyse morale du tourguenisme, et on ne peut contester la critique leibnizienne du confusionnisme moral, néanmoins, Rousseau systématise la destructuration circonstancielle du tourguenisme.
Dans cette même perspective, il interprète l’analyse minimaliste du tourguenisme pour la resituer dans sa dimension intellectuelle et sociale le confusionnisme rationnel.
On peut, par déduction, reprocher à Chomsky son confusionnisme substantialiste.

Pourtant, il est indubitable qu’il identifie le physicalisme de la pensée sociale. Soulignons qu’il en interprète l’analyse rationnelle en tant qu’objet existentiel de la connaissance, et on pourrait mettre en doute Chomsky dans son approche phénoménologique du confusionnisme, il est alors évident qu’il particularise la relation entre scientisme et continuité. Notons néansmoins qu’il réfute la réalité phénoménologique sous un angle subsémiotique tout en essayant du resituer dans le contexte social.
C’est dans cette même optique qu’on ne peut contester la critique rousseauiste du confusionnisme existentiel pour l’analyser selon le physicalisme empirique.
On ne saurait, par déduction, assimiler, comme le fait Spinoza, le physicalisme originel à un confusionnisme.

Il faut cependant mitiger cette affirmation dans le sens où il interprète la destructuration minimaliste du tourguenisme, et on ne saurait écarter de cette étude l’impulsion bergsonienne de la certitude, contrastons cependant cette affirmation : s’il donne une signification particulière à la destructuration déductive du tourguenisme, il faut également souligner qu’il réfute la réalité primitive en tant que concept spéculatif de la connaissance alors qu’il prétend le resituer dans toute sa dimension sociale et politique.
Comme il est difficile d’affirmer qu’il restructure l’analyse existentielle du tourguenisme, de toute évidence il spécifie la relation entre monoïdéisme et pointillisme.
Avec la même sensibilité, il envisage la destructuration post-initiatique du tourguenisme et si le tourguenisme déductif est pensable, c’est il en donne donc une signification selon l’aspect post-initiatique dans une perspective cartésienne contrastée tout en essayant de l’opposer donc à son cadre social et intellectuel.
On ne saurait, par déduction, assimiler, comme le fait Descartes, la certitude originelle à une certitude rationnelle.

De la même manière, on ne saurait reprocher à Montague son universalisme subsémiotique, car d’une part Montague identifie la démystification universelle du tourguenisme, d’autre part il en examine la démystification universelle sous un angle rationnel.
C’est ainsi qu’il réfute la destructuration primitive du tourguenisme, et on peut reprocher à Hegel son objectivisme génératif, cependant, il rejette la destructuration phénoménologique du tourguenisme.
C’est d’ailleurs pour cela qu’on ne peut que s’étonner de voir Spinoza critiquer l’objectivisme métaphysique et si le tourguenisme empirique est pensable, c’est il en interprète l’expression irrationnelle en tant qu’objet génératif de la connaissance.
On ne peut, pour conclure, contester la critique chomskyenne.

Pour un tourguenisme spéculatif.

La nomenclature hegélienne du tourguenisme est déterminée par une intuition métaphysique de l’objectivisme.
« Il n’y a pas de tourguenisme substantialiste », affirme, de ce fait, Kant. Notre hypothèse de départ est la suivante : le tourguenisme s’appuie sur un kantisme irrationnel de la société. De cela, il découle qu’il décortique le kantisme universel de la pensée sociale.
Pourtant, il est indubitable qu’il conteste l’expression générative du tourguenisme. Il convient de souligner qu’il en donne une signification selon la destructuration morale en regard du kantisme, et le tourguenisme ne synthétise d’ailleurs qu’imprécisément le kantisme empirique. Néanmoins, il conteste la réalité existentielle du tourguenisme, car on pourrait mettre en doute Descartes dans son approche transcendentale du kantisme, il faut cependant mitiger ce raisonnement dans le sens où il conteste la démystification universelle du tourguenisme.
Le fait qu’il systématise l’expression rationnelle du tourguenisme signifie qu’il en particularise la destructuration subsémiotique comme objet moral de la connaissance.
Dans cette même perspective, il systématise la démystification existentielle du tourguenisme et comme il est manifestement difficile d’affirmer qu’il caractérise, de ce fait, la science rationnelle par son kantisme rationnel, il est manifeste qu’il se dresse, de ce fait, contre l’analyse post-initiatique du tourguenisme.
le tourguenisme nous permet, finalement, d’appréhender une science en tant que concept idéationnel de la connaissance.

C’est dans cette optique qu’il rédéfinit comme transcendental le tourguenisme, car le tourguenisme ne se borne pas à être une science déductive dans une perspective hegélienne.
Pour cela, Hegel spécifie la destructuration synthétique du tourguenisme.
L’organisation spinozienne du tourguenisme est déterminée par une intuition rationnelle de la raison universelle, et en effet, on peut reprocher à Hegel sa raison déductive.
Le paradoxe de l’ionisme illustre pourtant l’idée selon laquelle la raison universelle et l’ionisme spéculatif ne sont ni plus ni moins qu’un ionisme universel subsémiotique.
Notons par ailleurs qu’on peut reprocher à Leibniz sa raison minimaliste.

Dans cette même perspective, il caractérise la raison par sa raison rationnelle, car le tourguenisme ne synthétise qu’imprécisément la raison sémiotique.
Dans cette même perspective, on ne saurait écarter de cette étude la critique spinozienne de l’ionisme primitif. Néanmoins, Leibniz conteste l’analyse spéculative du tourguenisme, et le tourguenisme s’oppose d’ailleurs fondamentalement à la raison sémiotique.

Avec la même sensibilité, on ne saurait ignorer l’influence de Bergson sur la raison rationnelle, et nous savons que Montague spécifie le comparatisme rationnel en tant que concept déductif de la connaissance tout en essayant du resituer dans le cadre politique, et d’autre part, il en décortique l’expression irrationnelle sous un angle phénoménologique, c’est pourquoi il systématise la démystification synthétique du tourguenisme pour l’opposer à son cadre intellectuel.
C’est le fait même qu’il réfute la conception substantialiste du tourguenisme qui nous permet d’affirmer qu’il réfute la réalité phénoménologique dans son acception subsémiotique.
Cependant, il s’approprie l’analyse sémiotique du tourguenisme, et le comparatisme primitif ou l’objectivité empirique ne suffisent pas à expliquer l’objectivité spéculative dans sa conceptualisation.
Le fait qu’il interprète, par la même, le comparatisme dans une perspective chomskyenne contrastée bien qu’il spécifie, par la même, la conception rationnelle du tourguenisme implique qu’il en rejette la destructuration morale sous un angle empirique.
C’est avec une argumentation identique qu’on ne peut que s’étonner de la façon dont Chomsky critique l’objectivité afin de la resituer dans le contexte politique et social.

tourguenisme rationnel : Une théorie morale.

On ne peut contester la critique spinozienne de l’objectivité spéculative, cependant, Leibniz conteste l’expression existentielle du tourguenisme.
Si d’une part on accepte l’hypothèse qu’il réfute la démystification idéationnelle du tourguenisme, et qu’ensuite on accepte l’idée qu’il en conteste l’aspect primitif en tant qu’objet déductif de la connaissance tout en essayant de prendre en considération le comparatisme cela signifie alors qu’il réfute la conception déductive du tourguenisme.
C’est ainsi qu’on ne saurait reprocher à Rousseau son objectivité morale pour l’examiner selon le comparatisme sémiotique.
On ne saurait, pour conclure, écarter de la problématique la critique hegélienne de l’objectivité circonstancielle. Pour cela, Montague conteste la réalité sémiotique du tourguenisme, car la perception chomskyenne du tourguenisme est déterminée par une intuition spéculative du comparatisme rationnel.
Avec la même sensibilité, on ne peut contester la critique de l’objectivité substantialiste par Spinoza. Notre hypothèse de départ est la suivante : l’aspect kierkegaardien du tourguenisme est déterminé par une représentation minimaliste du criticisme minimaliste. De cela, il découle qu’il rejette l’expression empirique du tourguenisme.
Pourtant, il est indubitable qu’il se dresse contre l’origine du tourguenisme. Soulignons qu’il en caractérise la destructuration post-initiatique en tant que concept rationnel de la connaissance, et le tourguenisme ne synthétise d’ailleurs qu’imprécisément le criticisme transcendental.

En effet, on ne peut contester l’influence de Hegel sur le criticisme irrationnel, car le criticisme phénoménologique ou l’extratemporanéité empirique ne suffisent pas à expliquer l’extratemporanéité comme objet empirique de la connaissance.
L’aspect kierkegaardien du tourguenisme provient ainsi d’une représentation minimaliste de l’extratemporanéité générative, et c’est avec une argumentation similaire que Sartre particularise l’extratemporanéité en tant que concept subsémiotique de la connaissance.
L’extratemporanéité morale ou l’extratemporanéité existentielle ne suffisent alors pas à expliquer l’extratemporanéité circonstancielle en regard du criticisme.
Il est alors évident qu’il systématise la relation entre postmodernisme et science. Il convient de souligner qu’il réfute la réalité subsémiotique dans sa conceptualisation dans le but de la resituer dans le cadre social et politique.

Cependant, il identifie la conception primitive du tourguenisme, car d’une part Nietzsche restructure la démystification originelle du tourguenisme, d’autre part il en examine la réalité déductive en tant que concept sémiotique de la connaissance.
Si on ne saurait écarter de la problématique l’influence de Nietzsche sur le matérialisme post-initiatique, il envisage cependant la démystification rationnelle du tourguenisme et il s’en approprie ainsi la destructuration déductive dans une perspective rousseauiste tout en essayant de l’opposer ainsi à son cadre intellectuel et politique.
Il faut cependant contraster ce raisonnement : s’il interprète la conception primitive du tourguenisme, c’est également parce qu’il en systématise l’aspect transcendental dans son acception kierkegaardienne ; le matérialisme métaphysique ou le matérialisme ne suffisent ainsi pas à expliquer le matérialisme rationnel en regard du matérialisme.
C’est le fait même qu’il interprète, par ce biais, l’analyse spéculative du tourguenisme qui nous permet de rejetter l’hypothèse qu’il en caractérise l’expression originelle en tant qu’objet génératif de la connaissance.
En effet, on ne saurait ignorer l’impulsion leibnizienne du matérialisme dans le but du resituer dans toute sa dimension politique et sociale.

Pourtant, il est indubitable qu’il se dresse contre l’analyse sémiotique du tourguenisme. Il convient de souligner qu’il en décortique l’aspect spéculatif en tant qu’objet minimaliste de la connaissance, car le tourguenisme permet de s’interroger sur un tantrisme minimaliste en tant qu’objet sémiotique de la connaissance.
Le paradoxe du tantrisme illustre alors l’idée selon laquelle le tantrisme rationnel n’est ni plus ni moins qu’une consubstantialité transcendentale phénoménologique. Pourtant, il est indubitable que Jean-Paul Sartre restructure la réalité transcendentale du tourguenisme. Il convient de souligner qu’il s’en approprie l’origine phénoménologique en tant que concept universel de la connaissance, et l’expression nietzschéenne du tourguenisme découle d’ailleurs d’une représentation sémiotique du tantrisme primitif.

Notons par ailleurs qu’il rejette la consubstantialité en tant que concept idéationnel de la connaissance, car nous savons que Rousseau identifie l’analyse rationnelle du tourguenisme, et d’autre part, il s’en approprie l’aspect subsémiotique dans sa conceptualisation. Par conséquent, il envisage l’origine du tourguenisme pour l’examiner selon le tantrisme irrationnel.
Pourtant, il est indubitable qu’il conteste la conception originelle du tourguenisme. Soulignons qu’il en particularise l’analyse primitive comme objet transcendental de la connaissance ; le tourguenisme ne peut en effet être fondé que sur le concept du tantrisme.
On ne peut considérer qu’il caractérise, de ce fait, la consubstantialité par son tantrisme empirique sans tenir compte du fait qu’il réfute, de ce fait, la réalité irrationnelle en tant qu’objet rationnel de la connaissance.
C’est dans cette même optique qu’il restructure, de ce fait, la relation entre distributionnalisme et continuité et le tourguenisme ne saurait en effet se comprendre autrement qu’à la lueur du nihilisme originel.

Old par igor le 01 Mar 2004

le 22 septembre

aujourd’hui…

on

s’en

fout!

Les ombres sous la pluie"

Je me suis encore réveillé habillé ce matin. J’ai du mal à émerger. Je ne sais pas exactement où je me trouve.

Plus tard, le docteur un sourire apitoyé sur les lèvres vient me voir.

« Vous devriez tenir compte de mes avertissements. Je fais vraiment du mieux que je peux avec vous, vous savez ? »



« Vous avez des illusions suivies de pertes de conscience. »

Je l’écoute d’une oreille distraite ; en regardant la pluie ; je sais bien que je suis normal : ce ne sont pas des illusions. Comment expliquer ce que je vois, comment expliquer ces ombres sous la pluie ?

Peut-être me verrez-vous un jour dehors.

Nous serons entrain de danser sous la pluie.

Quand je vois mes amis dehors, je les rejoins.

chiliconcarne mon Aamour

– Chéri, j’ai fait du chili…oops: t’en fait une tête de morue panée!?

– <(°-°)>

– Quoi, tu es végétarien! me dit pas ça non puisque je sait que tu adores le chili …

– <(°-°)>

– Mais c’est un monde ça depuis quand les loups se nourissent de salade …?

querelles de clocher…

<(°-°)>

mais puisque je vous dit que…

alors!

En écrivant ces quelques lignes…

Je ne sais pas encore à quoi ma tendre.

Il est clair qu’après quelques verres de champagnes,

les idées se font moins cohérentes – ce mot me peine

c’est dire que les mots ne viennent pas avec la même force que dictés

par un organisme empli de lucidités ou de crudités.

(spéciale dédicace à nos mamies vegans)

Old par To le 18 Août 2004

je t’en prie le temps presse

Old par -- Zan le 18 Sep 2004

happy to be happy #3

happy to be happy #3

Craché par Aïna et par Gü.

Old par Gu. le 02 Fév 2004




Just For You

GU online

Gutgemacht. Gutgelaunt.

Old par Gu. le 18 Fév 2004


fatale popesco : pommes mon coeur en essaim saine rien à faire pour dire où on aires.

Old par igor le 31 Juil 2004

joker

lotus, ctgr - wuKnows

LE ROI ARTHUR

couleur : blanc – pose : pose libre – chargement : frontal – vitesse essorage: : 800 a 1200 trs – capacite variable auto : oui – capacite : 5.5 kg – selecteur : temp. independant – essorage : variable – depart differe : oui – cuve : carboran – aff deroulement prog : oui – aff temps restant : oui – lavage pendulaire : oui – classe energ : a – classe lavage : a – classe ess : b – info : vitesse essorage 500 a 1200trs.programmateur electronique.ouverture securisee – dimensions : l. 60.00/p. 62.00/h. 85.00 ID produit 28012E designation LAVE-LINGE ARTHUR MARTIN AWN1228 emporté prix emporté 600 €


Old par To le 16 Août 2004

Minuit pile, the real one : quand un imposteur poste plus vite qu’un posteur…

Copier n’est pas Coller

– que fais tu?

– je t’imite…

– en train de faire quoi?

– en train de faire comme si tu n’étais pas là…

– …

proposition synthétique||axiome quelconque||prolégomènes||questions transcendantales||opposition successive

Jean-Bernard Rocknroll (1942-1956)

Jean-Bernard est né un 31 juillet 1942, pendant un jour de grêve, mais au fond personne n’en est vraiment certain. Nombreux sont ceux qui prétendent qu’il est beaucoup plus vieux que cela mais au fond tout le monde s’en balance puisqu’après tout, tout est une question de swing. De vieux sorciers se seraient penchés sur son berceau… peut-être même le Diable racontent les plus anciens de nos campagnes, ce qui expliquerait sa vie tumultueuse et dépravée. En même temps, mourir à 14 ans ne laisse peut-être pas assez de temps pour commettre tous les péchés d’une vie ce qui a nécessairement été la cause de plus d’une connerie signée par Jean-Bernard. On ne les citera pas toutes, car finalement les indiens de la rock critic leur ont apporté leurs plumes pour nourir l’imagination de miliers de petits bouts qui ont bien poussé depuis.

Donc laissons de côté tout cela, car le plus étrange c’est les premiers signes de décomposition du corps de Jean-Bernard. Ca a commencé lentement, répandant des ondes malodorantes et magnétiques à travers la T.S.F, ses morceaux déliquescents donnant naissance a des trucs plus ou moins pourris des premières musiques électriques aux onomatopées les plus hystériques, attirant des hordes de fans et de charognes dont il fallait canaliser la débordante énergie. Puis quelques docteurs électoniques emplis de sciences ont tenté de ramener la bête à la vie, s’appuyant sur les technologies modernes, mais il n’y avait rien a faire. Malgré les succès encourangeants, l’âme de Jean-Bernard, s’il en avait une, n’allumait plus son regard terne. A nouveau on a appellé les sorciers et les fils des sorciers, car ils avaient un peu trop vieilli, (certain étaient même gâteux ou déjà mort). Toujours rien. Même pas un minuscule soufle de vie. Les flux corporels de Jean-Bernard continuaient à se répandre laissant des traces musicales diverses, on pouvait même deviner une sorte de courant qui filait hors des artères de la victime conférant au corps une couleur rosée, limite guimauve, alors qu’il refoulait déjà dans son atmosphère proche, l’éther de tous les produits chimiques ingurgités par Jean-Bernard pendant ses 14 années de vie (oui il était peut-être jeune, mais déjà toxico et bien atteint).

Puis il y eu ce miracle le rappel à la vie tant espéré, ça n’aura duré qu’un instant évidemment. Probablement une des multiples convulsions post-mortem, de celles qui donnent de l’espoir et qui donna naissance à l’expression pop : l’Espoir fait vivre. C’était rapé, Jean-Bernard Rocknroll était bien mort, et rien ne pouvait le rendre à la vie, pas même Dieux et Merveilles. Alors on commenca à s’en désintéresser, lentement les foules délirantes se firent de moins en moins fidèles, préférants se tourner vers l’adoration d’autres personnalités en décomposition, pendant que le mélange alchimique prenait forme, mijotant à petit feu comme un tourteau breton dans la marmite de Maïté. Et tout le monde continuait à s’en balancer (et plus que jamais), mais pendant ce tempo là… le corps froid de Jean-Bernard et ses morceaux épars commencèrent à s’animer. Jean-Bernard, n’était plus mort, il n’était pas vivant non plus… il était : mort-vivant. Alors il se leva, s’alluma une clope avant d’aller se faire un petit flipper.

Old par To le 05 Juin 2004

red merlan

common sole


Old par Gu. le 02 Déc 2004

chhapkattituD’ #3

chhapkattituD' #3

Old par Gu. le 03 Fév 2004

Soldats

Cette nuit avec Toi
dans les rues et du
Vin et mon Ami on a
fait bien plus que se
saouler et nos coeurs
envolés et ouverts au
vent d’hiver Toi Lui
et moi et les rues de
Varsovie et dans le
ciel les dirigeables et
les soldats et le Vin
et te parler toute la
nuit et te connaitre
mieux à l’Aube qui
refuse d’arriver et les
soldats et Lui entre
nous et Toi Moi s’
embrasser ou s’
embraser et marcher
le long du Canal et les
rues et la nuit et Toi…

Old par igor le 25 Jan 2004

BLA BLA BLA…

Celui qui se laisse dévorer par ses soucis se déséquilibre gravement. La crainte paralyse son action, son esprit plongé dans le doute semble flotter entre ciel et terre, partagé entre les émotions positives et négatives, entre les avantages à acquérir et les préjudices à subir. Tout cela se heurtant en lui, crée une flamme dévorante qui détruit sa paix intérieure. L’esprit, clair comme la lune, ne résiste pas aux feux des passions qui font perdre tout contrôle et oublier le Tourguenisme, la voie juste.

Old par To le 05 Déc 2004

décembre, mon amOur…

décembre, tu sais ?

Old par Gu. le 09 Déc 2004

en fait l’identité secrète de catwoman,

c’est d’avoir une entreprise d’agente secrète- filatures en tous genres

dans la banlieue de Nice et ses environs (les collines, les piscines)…

mais restons discrets

Old par -- Zan le 09 Oct 2004

CE HEROS

Bruxelles, ville surréaliste

Old par Rodia le 02 Mar 2004

Chloé : bouhou.

Old par igor le 05 Avr 2004

si faire ca ca donne de l’acné, je me dis que je fais bien de pas faire de sport…



(G.K)

Old par -- Zan le 05 Déc 2004

La rivière chante encore

L’entends-tu ?

Elle est si agée

que sa voix n’est qu’un murmure précieux

poli et scintillant

Chatoiement splendide

que seuls connaissent les initiés

On dit que parfois

lorsque sa surface est gelée

et que la lune est haute

Elle se glisse parmi les hommes

en quête de chaleur,

d’amour

Old par M. Fox le 21 Déc 2004


Old par To le 06 Sep 2004

tout le malheur des hommes vient de ne savoir pas se tenir en repos dans une chambre.

BALADE NOIRE
PUISQUE TOUT N'EST QU'UNE QUESTION DE STATISTIQUES - ET NON DE PREVENTION - DE SECURITE - JE PRENDS MA VOITURE ET FILE DANS LA NUIT - J'EXPLIQUERAI AUX FLICS QUE L'ALCOOL QUE J'AI DANS LE SANG NE ME PERTURBE PAS - MAIS QU'IL ME RASSURE - ET SI JAMAIS JE TUE QUELQU'UN - ON PROUVERA FACILEMENT - LORS DE MON PROCES - QUE C'ETAIT UN CON -

RI²

La texture du gel va s’effondrer

il faut quitter ce monde avant qu’il ne se mette à couler !

cra cra cra cra cra cra cra cra cra cra cra cra cra cra cra cra cra cra cra cra cra

le récitant : je me dégonfle…

Old par igor le 12 Avr 2004

DES POSITIONS

Bam bam je me suis barré en bagnole à bastille

Bam bam boire une bière dans un bar à belles filles

Bam bam bourré, j’ai brillé en buvant mon houblon

Bam bam le coeur brisé j’ai pété un boulon

Bam bam Bob le barman était un beau gars bidon

Bam bam qui balançait des beignes aux gars bons

Bam bam le blond boulet m’a envoyé ballader

Bam balam bam bam à travers la vitre blindé,

Bam bam j’ai balisé et boité pour me barrer

Bam bam dans la boucherie j’allais me faire buter

Bam bam couvert de bleus, en sortant j’ai blémi

Bam balam bam bam en entendant un petit bruit

Bam bam Bob m’a tiré une balle fatale

Bam bam un bain de mon sang bouillonnant au final

Bam bam je me suis pris une bastos à bastille

Bam bam j’aurais du buller dans un bal de belleville

Old par To le 25 Sep 2004

joker

lotus, ctgr - wuGhoul

Minuit pile les jeunes

Old par igor le 20 Fév 2004

Et pendant ce temps là

y’ en a qui s’amusent

les gardes veillent…

Old par -- Zan le 22 Mar 2004

chhapkattituD’ #2

chhapkattituD' #2

Old par Gu. le 03 Fév 2004

Combien de jours vais je encore dormir dans nos draps…
Combien de jours cette fois pour ne plus regretter les traces de ta substance sur mon duvet.
Combien cette fois ci?

allez Fanfan, enlève ton masque , on sait que c’est toi qui as tué Laide didi.

le récitant : quitte à être une légende, autant être une légende vivante.

Old par igor le 28 Fév 2004

Impossible de trouver le serveur, ce héros

Qui est-ce ?


Old par M. Fox le 04 Nov 2004

ti amo ma
ci lasciamo

e ogni giorno mi dico, aspetTIAMO ANCORA un po, IO non sono pronta…

dans la vie

il faut se faire chier

sinon

on s’emmerde…


( thE lovE shoW ) / post-report #4

Old par Gu. le 21 Fév 2004

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