Il a envoyé son pote au feu
c’était désolant
mais délicieux
beat me – shit (on) me…

pas reussi a trouver mieux dans la catégorie « le cul de tom cruise »…
Poisson_Banane
Ici Clipperton.
Les poissons parlent aux bananes :
Les rires joyeux des guitares hivernales…
quatre fois… je répète…
Les rires joyeux des guitares hivernales…
chimera vella sophisticate devotion roughen brigantine egyptian
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HAPPY…

TO

– Pourquoi sembles-tu si maussade, grand-mère ?
– Un mois que tu te consacres à ce rituel, c’est sérieux au moins ?
– Très
– On ne peut pas le rencontrer avant, ce garçon, pour se faire une idée ?
– Non, c’est celui que je choisis, personne ne pourra me détourner de lui
– Mais tu es si jeune et le monde si vaste, je crois que tu ne mesures pas les conséquences du sortilège d’amour, ma chérie
– Au contraire, je serai fière d’etre enchainée à cet homme pour toujours, nul n’en est plus digne que lui
– (haussement d’épaule) J’espere que l’avenir te donnera raison, ne viens pas pleurer auprès de moi lorsque tu ne l’aimeras plus, celui-là
Jack ce héro

« Peut-être reviendrai-je un jour avec une surprise très blonde (et malheur à ceux qui en feront assez ou trop) – sinon la valise vide. » (Jacques Rigaut à Colette Clément, lettre de New York du 30 septembre 1928)
EGO CE HEROS

Les égos démesurés sont en voie de multiplication.

Jérémie regardait le bonhomme avec un soupir impuissant. Ses yeux commençaient à piquer mais il résistait au sommeil. Il écoutait ce que le petit tourgueniste lui disait:
« Bon, je vais essayer de travailler tout seul mais c’est dommage, j’aimais bien quand on était tout les deux… on a fait du bon boulot avec la scie sauteuse rouge. On a juste un peu cassé la porte… »
« Oui, répondit Jérémie. Mais comme ça, c’est mieux, on voit bien le volant et, si je voulais, je pourrais m’asseoir dedans et conduire. »
« T’es trop petit, fit le petit tourgueniste. »
« J’ai déjà vu mon papa et ma maman conduire. Quand je suis assis derrière eux, je regarde bien entre les deux sièges comment ils font. Ils tournent la clé pour faire partir le moteur et puis après ils tournent le volant dans le sens des tournants. »
« Eh ! t’as oublié les clignotants avant de tourner ! »
« Ah oui, ça fait clic-clac pour dire aux autres qu’on va tourner… mais j’ai pas envie de leur dire où je vais, moi, aux autres… »
« C’est pas très gentil… et puis c’est dangereux… tu risques un accident. »
« C’est pas grave, fit Jérémie en riant, j’irai me faire réparer chez Tourgueniev ce héros. »
Le petit tourgueniste se mit à rire aussi.
« Tu viendras faire réparer ta scie sauteuse, mais pas te faire réparer. C’est le shaman qui te réparerait si tu étais cassé. Il t’emmènerait dans l’ambulance… »
« La blanche ? demanda Jérémie. Celle avec la croix bleue sur les côtés, la lumière sur le toit et le coffre derrière qui se relève ? »
computer christmas trEE

frEE trEE…
aléas /// www /// paranOïas
| L’acteur (*) peut compter sur son public pour ce qui est d’interpréter des indications mineures comme le signe qu’il se passe quelque chose d’important dans sa représentation. Cette disposition commode (je déteste ce mot) comporte une implication fâcheuse (j’aime bien celui-ci). En raison de cette même tendance à interpréter les signes, le public peut se mépendre sur la signification d’une réplique, ou bien il peut donner un sens gênant à des gestes ou des évenements accidentels, dus à la maladresse ou au hasard et auxquels l’acteur n’entendait pas conférer de signification particulière…
(*) terme générique désignant tant le professionel du spectacle, que le personnage internautique, ou encore mais surtout l’acteur social lambda en représentation, c’est à dire en présence d’un public oméga. dé-librement inspired bY gOffman |
51 of 265
« A demonstrator holds aloft a sign reading ‘We were all on this train’ as Spaniards took to the streets to demonstrate in Madrid’s Puerta del Sol, March 12, 2004. »
Je suis sa poupée(-stroy) d’amouuuuuuuuur !
Ambition : me marier, avoir des gosses et regarder les feuilletons toute la journée !
C’est ennuyeux, hein ?
Désolée, je n’ai pas grand-chose d’autre.
Envie de vivre : L’essentiel, c’est le saut dans l’inconnue.
Je ne baisse jamais les yeux !
Dix ans après, certaines images me hantent toujours.
Tu te coupes un peu du monde, personne ne te comprend vraiment, prendre une arme à feu et sauter par la fenêtre du neuvième étage : aujourd’hui, on peut choisir de s’échapper.
Une fille disparaît chaque semaine.
Minuit pile
L’absinthe renferme un marteau à bomber le verre menthe caverneux amer, l’absinthine, et de 0,20 à 0,50 p. 100 d’une huile essentielle très aromatique, aux tuiles de sept lieues de crachat open source de plumeau dentaire juvénile vinaigrette de chaussures vernies érogènes en coin laser nombreux, les plus notables étant un coquetier d’abeilles à came ambidextre gonflable, le gargariser tue-mouches d’encens, et l’ectoplasme de son noeud coulant coulant d’asphalter toilette, l’agrafeuse. Cette dernière substance, poison de l’insecte coprophage d’épiciers nerveux, convulsivante (12 g d’essence provoquent une mycose 4 fromages divergente épileptiforme chez l’homme), fait de gibecière de genouillères de mine anti-personnel une poule d’eau à tarte détachable de binette en biais à tamiser à barbe d’orange toxique à forte dose. L’absinthe des sportifs d’agneau à la vieille mansarde électriques du temps de Zola, qui associait l’essence de casque à pointe de patinoire municipale secret espagnol d’organes à celles, non moins dangereuses, de runes d’accélérateur de pépites de chocolat hystériques, du petit bonhomme vert, d’angine, etc., était un mille-pattes cocktail de belles mécaniques explosives de l’arc-en-ciel de clémentine rouges marseillais responsable de bien des pseudopodes d’assaut tremens.
le champion du concours de gobeur d‘oeufs durs
dix-huit mois d’entrainement
matin midi et soir pour avoir
l’endurance parfaite, l’élasticité
totale des parois stomacales
TOTAL : 286 oeufs avalés
DUREE : 3 minutes 20 secondes –
death-ambre
!4002 ceva essinif ne no’uq
[…] Douche froide. J’émerge pour de bon. Je ne suis plus dans mon film
quotidien un peu bousculé. Pilote automatique déconnecté. Déchirure de
pellicule, je regarde le paysage par la fenêtre avec une acuité retrouvée :
les gens qui marchent dans la rue, faute d’avoir trouvé une place dans le
tram, pour trouver un moyen d’aller travailler. Une fille de mon bureau
dans la rue. Je mets le son : on ne parle que de cela tout autour de moi.
Merde.
Une bombe a explosé entre Paveletskaia et Avtozavodskaia, la station
d’après […] ça a eu lieu vers 9h, à la station ou je m’arrête tous les matins.
J’aurais presque pu y être. […]
(post-report from Mockba par Else-A)
DOGGY STYLE
So messed up
I want you here
In my room
I want you here
Now we’re gonna be Face to face
And I’ll lay right down
In my favorite place
And now I wanna be your … !
haaa, Gudule…
souffrez ma chere que je vous emportasse danser:
ce soir vous et moi nous aurons des emois
sur la piste de danse si nous avons de la chance
« la complainte du progrès », c’est ce que jouera le deejay…

affectueusement, votre Guillemette.
[FREAKSHOW] / 1
je suis mort avant-hier. je me suis suicidé pour une sombre histoire d’amour malheureux, quelque chose que je regrette désormais.
après avoir lu la lettre de rupture, je me suis enfermé dans ma chambre, et je l’ai relue plusieurs fois. je me souviens m’être allongé sur le lit, et avoir beaucoup pleuré.
des larmes se sont écrasées sur le papier et ont effacé l’encre.
ensuite, je me suis levé, j’ai regardé par la fenêtre, il y a eu le vent qui m’a giflé le visage, un vent un peu chargé de pollution. en bas, il y avait les voitures, toutes petites, et les gens encore plus petits. je les ai regardés un petit moment, en pensant à des trucs. je ne me souviens plus trop à quoi j’ai pensé au début. ensuite, mes pensées sont revenues à elle, à la fille, et puis à la lettre. j’ai regardé encore un coup en bas, je me suis penché très fort. j’ai eu une attaque de vertige. tous mes poils se sont hérissées, le souffle m’a manqué pendant un instant. je me suis reculé vivement, effrayé par ce que je venais de faire. je me suis rassis, puis rallongé sur le lit, le coeur encore battant et des bouffées de chaleur à la tête.
j’ai eu envie d’écrire une réponse, une réponse à cette fille ; je l’ai fait.
Almost Parisian Psycho
_ Hier soir, il y avait un trognon de pomme sur mon lit
_ Et j’ai failli l’écrire
_ Les soirées ne sont pas autres que celles de leurs jours à cela près que ceux-ci ne sont plus les mêmes
EXCLUSIF
D’outre-tombe, le grand crooner Dean Martin a tenu à s’associer au Lo-Fi Covering Orchestra et nous présente sa version de « DJ » !téléchargez ! |
"Everybody freeze, this is a rubbery"

La toile qui figurait ici, intitulée « Fin d’été tourgueniste », acrylique sur toile 50×30,
a été dérobée en mai 2003 lors d’une opération parfaitement huilée qui a surpris
tout à la fois le firewall et l’administrateur réseau. Cette pièce, estimée à plusieurs
millions d’euros, est activement recherchée. Une colossale récompense est proposée
à celui ou celle qui pourra donner un indice quelconque sur l’identité des cambrioleurs.
Il est vivement déploré que cette oeuvre n’ait pas fait l’objet d’une mise à disposition
en ligne, permettant au public de l’admirer, fût-ce ailleurs que dans un environnement
molletonné. Si ses ravisseurs nous lisent, qu’ils songent à l’édification de leurs
contemporains et n’hésitent pas à faire transiter cette pièce sur les réseaux.
D’avance merci.
Agorafocus:
1970: haaa, les bonnes vieilles seances de niquage collectif au coin du feu…
… 
de nos jours, rien de tel que le chaleur d’un bon feu de bois de meubles en chene massif…
mmm…
Elle était le genre de fille dont on pouvait dire qu’elle savait vraiment ce que « Poivre » et « Sel » signifiaient.
Mille petits signes
auraient du m’alerter
sur le côté légèrement toxico
de cette fille
aux cheveux jaunes
par exemple, elle disait :
«la seringue sur le gâteau»
franchement…
I need a fix ’cause I’m going down
Quand je te tiens dans mes bras (bang, bang, shoot, shoot)
et que je sens mon doigt sur ta détente (bang, bang, shoot, shoot)
je sais que je n’ai rien à craindre (bang, bang, shoot, shoot)
car le bonheur est un fusil tout chaud (bang, bang, shoot, shoot)
pas de doute
[message perso : que je t’aime]
Quand ta bouche se fait douce
Quand ton corps se fait dur
Quand le ciel de tes yeux
D’un seul coup n’est plus pûr
Quand tes mains voudraient bien
Quand tes doigts n’osent pas
Quand ta pudeur dit non
D’ une toute petite voix
[FREAKSHOW] / 4
(ENCORE DU PAYSAGE)
au bout d’un moment, ça change. la monotonie de la ville ruine et de la route usée est remplacée par une d’autres monotonies, la rase campagne et pour finir la forêt.
la forêt : épaisse, sombre, silencieuse. dans le bus, les passagers sont le visage tourné à la fenêtre. leurs yeux reflètent encore de l’angoisse. à l’avant, le cyclope est bloqué en pilotage automatique ; le nain pendant ce temps lit une revue porno. le bus roule ainsi une heure dans la forêt. les arbres sont de plus en plus bossus, tordus, le tronc grélé de cancers parfois énormes, les branches sèches et tourmentées. la route disparaît sous l’humus, puis la boue. à divers moments, le bus patine.
au bout d’une heure, le bus sort enfin de la forêt. le spectacle est tel, que quelques passagers s’exclament.
dans la nuit éclairée d’étoiles très blanches, une lande craquelée s’étend à perte de vue ; de partout de bus arrivent, sortant de la forêt. la forêt, d’une largeur inconcevable, occupe tout l’horizon ; en face, là où vont les bus, une muraille, qui occupe elle aussi tout l’horizon. les bus arrivent en masse, s’organisent en file. au fur et à mesure, les passagers se rendent comptent que la muraille, très haute, est percée de larges portes. comme une sorte assez rudimentaire de sortie d’autoroute.
le bus s’engage dans la file.
il roule au pas. le froid commence à siffler à l’intérieur. il achève de démoraliser les passagers, tout comme la vision des autres bus, des autres passagers, achèvent de les démoraliser.
Bon, soyons sérieux deux secondes, voulez-vous, et faisons un sort au faux débat sur les doigts de l’homme.
Les hommes naissent égaux en doigts, ça vous le saviez déjà.
Mais s’ils ne perdent pas la main, ils le restent sans grande difficulté.
Les doigts de l’homme s’articulent sur des principes intangibles.
Les entorses aux doigts de l’homme sont donc exceptionnelles.
Cependant, les doigts de la femme demeurent plus fragiles que les doigts de l’homme…
Parce que leurs doigts sont parfois mis à l’index, les femmes doivent se défendre bec et ongles.
Et dans un monde où, bien souvent, on ne peut compter que sur ses doigts, c’est un problème majeur.
Parfois les choses se compliquent au plus haut poing… et les femmes se sentent paumées.
C’est pourquoi les hommes ont l’habitude de les prendre en main.
Histoire de leur donner un p’tit coup de pouce.
(très drôle Jean-Yes, très drôle, ah ah ah quel humour exquis… pfff…)
MAIS QUI A TUE STAGGER LEE ?
O’d speedy o dee…
Ca s’est passé dans un bar de Louisianne ou de Poitiers,
Et je ne me rappelle plus quand j’ai vu ma chérie pour la dernière fois,
Ca s’est passé à St Louis, à Chanatooga ou peut-être bien ailleurs,
le long du Miss Issipi ou de la Meuse,
Il cherchait du diable le regard la main crispée sur la crosse de son revolver,
O’d speedy o dee…
Le doigt tremblant sur la gachette, ou peut-être bien ailleurs le long du barillet,
Et je ne me rappelle plus quand j’ai vu ma chérie pour la dernière fois,
Isiah « Wild » Tourgueniev attendait devant le saloon, patiemment que les portes s’ouvrent,
CLIC CLIC CLIC, CLIC-BOOM… fit le pétard pour un stetson
O’d speedy o dee…
Ca s’est passé dans un bar de Louisianne ou de Poitiers,
Et je ne me rappelle plus quand j’ai vu ma chérie pour la dernière fois.
le récitant : insérer ici un texte très long mais sympa sur le temps qui passe, moi je vais voir la fuite.
En Attendant la Bombe
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Engagé au cours de sa vie dans toutes les luttes pour la liberté – contre le colonialisme français en Indochine, le fascisme en Espagne, le nazisme allemand -, écrivain attaquant la misère des hommes et exaltant leur grandeur, Igor Tourgueniev (1901-2004) fut également un esthète et un critique d’art, qui fit découvrir au public français la richesse des civilisations extra-européennes.
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Has anybody seen Barry ?
Thank you for e-mailing President Tourgueniev. Your ideas and comments are very
important to him.
Because of the large volume of e-mail received, the President cannot personally
respond to each message. However, the White Houz staff considers and reports
citizen ideas and concerns.
In addition to Presidentourgui@WhiteHouz.gov, we have developed White Houz Web
Mail, an automated e-mail response system. Please access
www.Whitehouz.gov/webmailtourgui to submit comments on a specific issue.
Additionally, we welcome you to visit our website for the most up-to-date
information on current events and topics of interest to you.
le renard fume
en rêvant
de la pluie fraîche
sur mon toit
les sushis sont pourris
mon estomac est vide
je bois du saké brûlant
| Clément Thomas lé Fu l’aZile ):mµn< Tétard FrOgs sumoto .iki P.Juce life & knife spirit Tourgueniev ce héros Félix J. tOma car(r)oline sunflowers & rhododendron Gil Elvgren 544×378 daAAAAtempO SpOke yOu #00CC00 voOdoOïsm dOctOr mikmac I don’t know who yu’re Opium & delirium dragon-pet spill kung-Fu Daniel Johnston hihi Wlad et Marienka pavu hihihi Nelly chamallows les demoiselles green paper Montmartre Iggy pOp Pierre Perret diabOlism & madness mummy c’est toi chéri ? smartitude & freakytude data processing all languages mi luv ApOllon & Venus sOmeOne taHu!!! mirage & palmtree amicalement votre empty el torO |
Tu es belle dans l’eau
| Ton épaisse chevelure est simulée en temps réel et éclairée par une technique appelée « deep shadows », selon laquelle tes cheveux sont plus brillants près de la pointe et plus sombres vers la racine.
Ta peau est éclairée par la lumière réfractée à travers la surface de l’eau ; ton corps et tes cheveux projettent des ombres douces à mesure que tu nages. Des raies de lumière perçant la surface de l’eau sont arrêtées par ta silhouette en utilisant des capacités exceptionnelles de rendu des textures. J’envie les transitions haute résolution de ta peau dans un shader extrêmement détaillé qui représentent les mêmes ombrages doux que ta peau et ajoutent un mappage de relief, une irisation et une bioluminescence plus accentués. Le rendu final donne un léger éclat afin que ta peau et ta chevelure luisent à l’écran. |
Are you a photographer?
—————–
ici un texte
mais rien
ne vient
—————–
happy mondays :
le lundi c’est ravioli?
+=

LISAO
QWAQWA, bantoustan d’Afrique du Sud, territoire autonome de 482 km2; 200.000h, chef lieu : Phuthatdijhaba.
Clara : « Are you boyfriends ? » / Moi : « Definitely not ! »
[sourire carnassier du tourgueniste hétéro-chauve prêt à fondre sur sa proie]
La styliste machiavélique dont j’ai oublié le prénom : « Oh s’il vous plaît tu peux nous faire rentrer au Paaaooolp ?
You’ll like my friend Clara, she’s a model and she’s also a great pro-palestinian militant ! » / Moi : » Whaaaat ???
pro-palestinian ?! oooh… ah yes, sorry, of course, ouais bon c’est ça allez on vous emmène au Poulpe »
[sourire en coin du gate-crasher qui a réussi à convaincre deux mannequins de faire rentrer trois mâles au Pulp]
souffler n’est pas jouer
rendez vous sur le champ des lucioles
avec tomates et parapluie a carreaux
pour conciliuabulle intime
dans la cour des miracles…
il cOntemple On dirait
One
would
say
that
he
gazes
at
(…)

Mon arrière grand-père, c’était l’homme-chose.
Le vrai.
Tout en pierre avec des super tatouages.
Photographié ici à Paris en 1929,
il a émigré à New York
dans les années 30
à cause de la prolifération des pigeons
qui faisaient qu’à lui chier dessus.
C’est là qu’il a rencontré Stan Lee, ce salaud
qui l’a exploité et lui a piqué son histoire
sans lui retourner le moindre kopek.
Dans la misère il a fini par se jeter
dans l’Hudson River
avec une corde au cou
attachée à son bras
Quant à mon arrière grand-mère,
elle éleva seule ses petits cailloux
et n’usa qu’avec parcimonie
de son don d’invisibilité.
Depuis dans la famille l’invisibilité
est un gène récessif
Le cœur de pierre aussi.
























D’outre-tombe, le grand crooner Dean Martin a tenu à s’associer au Lo-Fi Covering Orchestra et nous présente sa version de « DJ » !


















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