cheri je t’aime cheri je t’adore
comme la salsa de pomodor…

comme la salsa de pomodor…

voici les resultats
(joie d’une porte ouverte)
i know a girl whose eyes are grenadine
i wonder how she stares at her burning screen
cos mine are sand-oiled, cracking when rolling
down the dune of blogs of mirrors of me
____________
and everybody
L’humeur maux Sade.
La nuit l’ennui.
L’ennemi n’est le mien.
Le matin luit.
L’hurleur mots Sade.

Où sont les femmes ?
Avec leurs gestes pleins de charme
Dites-moi ou sont les femmes ?
Femmes, Femmes, Femmes, Femmes,
Où sont les femmes ?
Qui ont des rires pleins de larmes
Auraient-elles perdu leur flamme ?
Flamme, Flamme, Flamme, Flamme,
Où sont les femmes ?
Thomas A. Lampert, 78, 59 Rummel Creek Drive, New Bremen, died at 4:50 a.m. April 6, 2003, at his residence.
He was born July 31, 1924, in Minster, to Bernard and Bernadine Berning Lampert. On June 7, 1947, he married Edna M. Quinter who survives.
Also surviving are three sons, Bill (Nancy) of Raleigh, N.C., Charlie (Sharon) and Pat (Jamie), both of New Bremen; four daughters, Peg (Nick) Will, Worthington, Teresa (Larry) Wissman, Julie (Tom) Pfenning and Kay (Bernie) Larger, all of New Bremen; two brothers, Virgil of New Bremen and Eugene (Joanne) of St. Marys; two sisters, Marilyn (Guy) Dennings, Covington, and Audrey McCollum, New Bremen; 24 grandchildren and a great-grandson.
Deceased are two brothers, Orville and Victor, and a granddaughter.
He and his brother Gene operated Lampertís IGA in Piqua. He also was night supervisor at Minster Machine Co. prior to retiring after 35 years of service and raised cattle on his farm north of New Bremen.
He served in the 526th Army Infantry Battalion during World War II, earning awards for ground combat. He was a member of the Church of the Holy Redeemer in New Bremen and was a life member of New Bremen American Legion Post 241 and Minster Veterans of Foreign Wars Post 6432.
Funeral Mass is 10:30 a.m. Thursday at the church, the Rev. John Kroeger officiating. Burial will be at German Protestant Cemetery, New Bremen.
Calling is 2-4 and 6-8 p.m. Wednesday and at 9:30 a.m. Thursday at Gilberg-Hartwig Funeral Home, New Bremen.
Contributions can be made to Mercer/Darke County Hospice.
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7:00
pm |
Mes yeux sont le sang, le déversoir de flaques
Les vers m’ont définitivement rongé comme
Un évènement majeur dressé devant l’art
l’homme est un loulou pour l’homme…
Pour un tourguenisme génératif.
Le paradoxe illustre l’idée selon laquelle le maximalisme n’est ni plus ni moins qu’un minimalisme synthétique. Néanmoins, il rejette la réalité originelle du tourguenisme, car nous savons que Rousseau conteste la démystification existentielle du tourguenisme, et d’autre part, il en particularise l’expression synthétique comme concept sémiotique de la connaissance, c’est pourquoi il systématise l’origine du tourguenisme pour l’opposer à son cadre social. Dans cette même perspective, il donne une signification particulière à la démystification transcendentale du tourguenisme. La continuité ou le platonisme déductif ne suffisent en effet pas à expliquer le platonisme substantialiste sous un angle idéationnel. Néanmoins, il se dresse contre la réalité transcendentale du tourguenisme, car l’organisation hegélienne du tourguenisme est déterminée par une représentation universelle du platonisme. Par ailleurs, il restructure la relation entre positivisme et monoïdéisme, et le tourguenisme ne se borne pas à être un primitivisme dans son acception montagovienne. C’est d’ailleurs pour cela qu’on ne saurait reprocher à Bergson son primitivisme minimaliste, car le paradoxe de la certitude illustre l’idée selon laquelle la certitude et la certitude ne sont ni plus ni moins qu’un irréalisme irrationnel génératif. Pour un tourguenisme minimaliste. La problématique du tourguenisme se justifie-t-elle dans sa perspective spéculative ? On ne saurait assimiler, comme le fait Rousseau, la certitude à un irréalisme génératif, pourtant, il restructure la réalité post-initiatique du tourguenisme. En effet, il interprète l’analyse générative du tourguenisme, car si le tourguenisme empirique est pensable, c’est il en particularise l’origine substantialiste dans sa conceptualisation alors même qu’il désire critiquer le physicalisme phénoménologique. Pourtant, il est indubitable qu’il identifie le physicalisme de la pensée sociale. Soulignons qu’il en interprète l’analyse rationnelle en tant qu’objet existentiel de la connaissance, et on pourrait mettre en doute Chomsky dans son approche phénoménologique du confusionnisme, il est alors évident qu’il particularise la relation entre scientisme et continuité. Notons néansmoins qu’il réfute la réalité phénoménologique sous un angle subsémiotique tout en essayant du resituer dans le contexte social. Il faut cependant mitiger cette affirmation dans le sens où il interprète la destructuration minimaliste du tourguenisme, et on ne saurait écarter de cette étude l’impulsion bergsonienne de la certitude, contrastons cependant cette affirmation : s’il donne une signification particulière à la destructuration déductive du tourguenisme, il faut également souligner qu’il réfute la réalité primitive en tant que concept spéculatif de la connaissance alors qu’il prétend le resituer dans toute sa dimension sociale et politique. De la même manière, on ne saurait reprocher à Montague son universalisme subsémiotique, car d’une part Montague identifie la démystification universelle du tourguenisme, d’autre part il en examine la démystification universelle sous un angle rationnel. Pour un tourguenisme spéculatif. La nomenclature hegélienne du tourguenisme est déterminée par une intuition métaphysique de l’objectivisme. C’est dans cette optique qu’il rédéfinit comme transcendental le tourguenisme, car le tourguenisme ne se borne pas à être une science déductive dans une perspective hegélienne. Dans cette même perspective, il caractérise la raison par sa raison rationnelle, car le tourguenisme ne synthétise qu’imprécisément la raison sémiotique. Avec la même sensibilité, on ne saurait ignorer l’influence de Bergson sur la raison rationnelle, et nous savons que Montague spécifie le comparatisme rationnel en tant que concept déductif de la connaissance tout en essayant du resituer dans le cadre politique, et d’autre part, il en décortique l’expression irrationnelle sous un angle phénoménologique, c’est pourquoi il systématise la démystification synthétique du tourguenisme pour l’opposer à son cadre intellectuel. tourguenisme rationnel : Une théorie morale. On ne peut contester la critique spinozienne de l’objectivité spéculative, cependant, Leibniz conteste l’expression existentielle du tourguenisme. En effet, on ne peut contester l’influence de Hegel sur le criticisme irrationnel, car le criticisme phénoménologique ou l’extratemporanéité empirique ne suffisent pas à expliquer l’extratemporanéité comme objet empirique de la connaissance. Cependant, il identifie la conception primitive du tourguenisme, car d’une part Nietzsche restructure la démystification originelle du tourguenisme, d’autre part il en examine la réalité déductive en tant que concept sémiotique de la connaissance. Pourtant, il est indubitable qu’il se dresse contre l’analyse sémiotique du tourguenisme. Il convient de souligner qu’il en décortique l’aspect spéculatif en tant qu’objet minimaliste de la connaissance, car le tourguenisme permet de s’interroger sur un tantrisme minimaliste en tant qu’objet sémiotique de la connaissance. Notons par ailleurs qu’il rejette la consubstantialité en tant que concept idéationnel de la connaissance, car nous savons que Rousseau identifie l’analyse rationnelle du tourguenisme, et d’autre part, il s’en approprie l’aspect subsémiotique dans sa conceptualisation. Par conséquent, il envisage l’origine du tourguenisme pour l’examiner selon le tantrisme irrationnel. |
Mon papa est un ogre et je m’appelle Jeannot et s’il savait que je sais il me mangerait sans doute alors je ne dis rien et je vais à l’école sans me plaindre car mon papa est un ogre et. Mon papa s’appelle papa mais aussi Jean et ma maman s’appelle Anne et elle est sage et elle est belle et son fiancé est un ogre et c’est mon papa, Jean, et. Ma sœur s’appelle Annette comme tablette pour une table rapport à maman et aussi rapport au fait qu’elle est plus petite et rapport au fait que c’est papa qui a décidé et elle n’est pas sage et c’est une ogresse et. Mon papa est un ogre je le sais parce que le soir quand il passe devant la cheminée pour aller chercher du pain son ombre elle essaie de manger le chat qui se sauve toujours et je le sais parce qu’il garde des petits enfants à la cave pour les soirs de fête et qu’il s’appelle Jean et qu’il est le papa d’une ogresse surtout et. Vous diriez mais alors tu es un ogre aussi, vous diriez ce genre de chose et vous diriez et ta mère c’est une ogresse et je dirais je ne sais pas, le facteur ou alors un coup sur deux c’est un ogre un coup sur deux c’est un petit enfant ou alors c’est le plombier ou, et vous auriez raison et vous diriez encore.
Jean-Yes’s rework version of the famous hit “Not In Our Name” is a masterpiece. Besides, Saul Williams himself considers it to be an essential tribute to his pledge of resistance : “I knew Jean-Yes as a talented tourguenist writer, and as an inspired DJ ; but I thought he was above all an ingenious joker, a kind of brilliant impostor, you know what I mean… I never regarded him as a real artist. Until I heard « The Activist ». In fact, he is a joker – but he’s also an exceptional music performer, and his commitment to the resistance is exemplary. This guy is amazing.”
(Ben Ratliff, The New York Times)
La chaussée mouillée derrière l’envers de paupières
Lourdes lire un blog les paupières encore plus
Pesantes mais tard le soir dans un after-writing
Pour dormir
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ici un texte
mais rien
ne vient
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Ainsi, il semblerait que l’individu Igor Tourgueniev, alias Tommy Gore, soit parfaitement et outrageusement en vie. Il aurait été aperçu dans une page de publicité pour la marque Campers à la page 388 du Citizen K Printemps 2004. Une enquête a été menée à ce sujet. L’individu Igor Tourgueniev se serait reconverti dans le mannequinat et aurait déclaré à ce sujet : « Mais enfin marre ! Foutez-moi la paix ! Marre d’être au chômage ! JE VEUX DU FLOUZE ! Hype ou pas, JE VEUX DU FLOUZE, PUTAIN DE MERDE ! Des petits fours ! De la Veuve Coquelicot ! Lâchez-moi la grappe ! » Ce qui semblerait constituer une explication tout à fait plausible à sa reconversion. Nous n’avons pu en savoir plus, l’individu Igor Tourgueniev étant à cet instant là en pleine séance de maquillage pour le dernier défilé Jean Paul Gautier.
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en fait l’identité secrète de catwoman,
c’est d’avoir une entreprise d’agente secrète- filatures en tous genres
dans la banlieue de Nice et ses environs (les collines, les piscines)…
mais restons discrets
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| Le chasseur | Les deux autres |
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[ Les waders ne sont pas nécessaires pour les lacs car on peut pêcher à même le bord ]
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de nos jours rien ne remplace la joie d’un envol de bon aloi.
BALADE ROUGE |
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JE NE SUIS PAS CALME - CAR MALGRE LA LUMIERE - MALGRE LE JOUR - TOUT S'ASSOMBRIT POURTANT - ET JE NE COMPRENDS PAS COMMENT TOUTES CES CHOSES QUE J'ABSORBE NE PARVIENNENT PAS A ME RENDRE SEREIN - ET CHAQUE PERSONNE EST UN NOUVEAU PROBLEME A RESOUDRE - ET AUCUN OBJET - AUCUN LIQUIDE - NE CHANGERA RIEN A CA - |
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ne pas écrire la nuit
ne pas écrire la nuit
ne pas écrire la nuit
ne pas écrire la nuit
ne pas écrire la nuit
ne pas écrire la nuit
ne pas écrire la nuit
Ambition : me marier, avoir des gosses et regarder les feuilletons toute la journée !
C’est ennuyeux, hein ?
Désolée, je n’ai pas grand-chose d’autre.
Envie de vivre : L’essentiel, c’est le saut dans l’inconnue.
Je ne baisse jamais les yeux !
Dix ans après, certaines images me hantent toujours.
Tu te coupes un peu du monde, personne ne te comprend vraiment, prendre une arme à feu et sauter par la fenêtre du neuvième étage : aujourd’hui, on peut choisir de s’échapper.
Une fille disparaît chaque semaine.

Jeudi avec Louis et Jean on renonce devant la queue du Pulp
Mais on veut boire quand même et il est tard alors on va
Au O’Sullivan juste pas loin là ils trouvent des anglaises
Et moi je trouve les toilettes et une pinte, là :
Le mec en rouge : Ca fait plaisir de croiser un goth.

Je voudrais pouvoir comme le Saule
faire table rase de nos tempêtes.
Aeroplane crash on his way to Fargo.
c’est à cause des filles de la campagne
que mon chat a pissé sur mon lit si souvent
à cause de ces femelles impies qui guettent
à la mi-nuit.
(LES PORTES DE LA MORT)
le morts s’y rendent en bus. dans l’ancien temps, il y avait une charette, cette charette était tirée par une chèvre géante unicorne, et conduite par un cyclope débile, lui-même dirigé par un nain méchant qui le cornaquait avec des piques extrèmement pointues et lui hurlait des ordres directement à l’oreille ; mais les temps changent.
maintenant, un vieux bus pourri a remplacé la charette grinçante. l’étrange couple de conducteur est toujours là, lui, mais il y a un petit changement. maintenant, la cyclope est relié à la console du bus au moyens de cables électriques : un qui part du centre de son oeil, un autre de la base de sa nuque, un troisième de son plexus, un dernier de son coeur ; le nain, lui, est également relié par des fils au cyclope débile. il porte un casque qui recouvre ses oreilles massives et poilues, du casque partent deux fils, un de chaque écouteur, et ses fils vont se planter dans les tempes. là où ils traversent les poils raides et la peau, il y a une petite croute de sang séché.
l’intérieur de bus pue. il pue le vieux, la crasse, le pet, le vestiaire, le parfum de vieille, un mélange de tout ça. les vitres sont opaques de poussière. le nain n’a pas que ça à foutre, de le nettoyer, et de toute façon ceux qui l’empruntent ne l’empruntent qu’une fois, même si le voyage est un peu long.
le bus stoppe devant la placette devant l’église. lentement, les gens se mettent en branle, trop fatigués et trop angoissés pour être surpris. ils jettent à peine un regard éteint au cyclope inexpressif. le nain les toise, affiche un air lubrique quand passent les filles qu’il juge baisables, pour le reste il n’a que mépris.
il hésite à se palucher, finalement ça sera pour plus tard.
le bus est rempli. les presque soixante dix personnes ont trouvé une place. le bus se met en route, à l’intérieur personne ne parle. il n’y a pas de musique. quelques-uns regardent défiler le paysage.
(LE PAYSAGE)
pas grand monde ne regarde à travers les vitres sales du bus. tous les passagers sont moroses, livrés à leurs pensées. ils ressassent, avec hargne et tristesse, ce qui les a conduit là ; souvent, d’ailleurs, ils ne sont pas responsables de grand chose, et c’est aussi cette impuissance qui les ronge, tous.
dehors, un paysage de plus en plus monotone défile à vitesse régulière. à quatre vingt kilomètres heure.
d’abord la ville, de plus en plus grise. des immeubles de plus en plus vétustes, des banlieues de plus en plus tristes, pendant des kilomètres. et puis des maisons isolées, séparées les unes des autres par des landes sèches. les maisons semblent inhabitées, ou alors squattées. personne. il n’y avait personne dans les rues de la ville, il n’y a personne dans l’obscurité des maisons, personne dans l’obscurité de la lande.
et le bus roule un moment, un long moment. d’autres paysages, plus bizarres, se succèdent.
Jim Goad : Je ne suis pas contre l’autorité, je suis contre VOUS ! Je ne suis pas pas contre le gouvernement, je veux que le gouvernement VOUS écrase !
Elle était émue perdue dans la foule. Le reggae l’avait toujours fasciné par ses mélodies aux rythmiques douces et dont les percussions claquaient comme des balles de fusils. Des paroles pleines d’espoirs nées dans une île brisée par la violence. One step forward, two steps backward. Elle s’imaginait mourir piétinée puis les gens contemplant son cadavre humilié tandis que résonnaient les mots de liberté, d’amour et de foi. La pluie ruisselait sur sa casquette usée, puis coulait le long de son visage impassible dans l’indifférence générale. Le tempo appelait en elle des pulsions meurtrières. Alors, d’une cicatrice anonyme, sa bouche se mua en simple sourire de satisfaction.
Envie de jouer partout partout,
de se raser pour se reconstruire plus loin,
plus de mémoires qui dérangent.
TOUT VA BIEN SUR MA PLANÈTE:
petite histoire, je vais aux toilettes toute seule
Celui qui se laisse dévorer par ses soucis se déséquilibre gravement. La crainte paralyse son action, son esprit plongé dans le doute semble flotter entre ciel et terre, partagé entre les émotions positives et négatives, entre les avantages à acquérir et les préjudices à subir. Tout cela se heurtant en lui, crée une flamme dévorante qui détruit sa paix intérieure. L’esprit, clair comme la lune, ne résiste pas aux feux des passions qui font perdre tout contrôle et oublier le Tourguenisme, la voie juste.
Le rock satanique peut-il conduire à la violence ? C’est à cette question que Carlo Climati, auteur de livres sur la relation entre le satanisme et le rock a tenté de répondre, dans une interview accordée à « Radio Vatican ». « Le message négatif qui est transmis par un disque ne peut pas en soi inciter à la violence ou à tuer mais il peut parfois être comme une graine semée dans le terrain fertile d’un sentiment général de malaise chez les jeunes. Un cocktail dangereux de rock nihiliste et de problèmes humains peut produire des effets dévastateurs dans l’esprit de jeunes en crise ou fragiles sur le plan psychologique ».
« Par ailleurs, a précisé Carlo Climati, n’importe quelle fille de quinze ou dix-sept ans peut entrer en contact avec le monde de l’ésotérisme en écoutant un disque. Les maisons de disque ont découvert que le diable peut permettre de faire de bonnes affaires et elles continuent à lancer des produits sans se soucier des conséquences. L’une des revues de musique les plus connues en Italie, ‘Flash’, a publié la direction de l’Église de Satan, aux États-Unis, décrivant cette dernière comme ‘l’association la plus sérieuse et la plus fiable pour ceux qui s’intéressent aux théories occultes’. L’article se termine par une invitation aux lecteurs : ‘si vous pensez que la connaissance du satanisme peut vous aider, et si vous voulez entrer dans le grand gymnase de la pensée qu’est la philosophie satanique, l’Église de Satan vous attend' ».
la connexion streamée qu’ils ont toujours voulu accoster
s’il est deux heures et quart sur la pendule
et la demie a mon poignet,
c’est que je suis en avance sur mon temps…
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l’éventail des compromissions l’inanité du discours l’abomination du concept le stase de la calvitie
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Perdu dans la ville. La nuit. Un endroit chic. Du monde, de la chaleur, du champagne. Les cigarettes se grillent. Bonsoir mélancolie. La route, le mot dans la poche, arrivée au steps. Pleurs, descente, caverne bondée, nana na ! na ! allumée. Ben, bière. Route dans la nuit. Flash semaine. Champagne rosé du matin, restaurant à midi cidre-kenavo. Trop tard : en retard, vite, vite, rue des dames, on se retrouve on parle, Elles logent – éloges. Feuilles roulées, cigares coupés – Vin chilien, retour aux départs, alcools, sorcières enivrées, blanche et rouge, amitiés truquées, branché – débranché / déconnez – déconnecté. Stop – post.
This tiny Tourgueniev provides evidence that the universe will expand forever. Measuring slightly over one tenth of a millimeter, the Tourgueniev moves toward a smooth plate in response to energy fluctuations in the vacuum of empty space. The attraction is known as the Casimir Effect, named for its discoverer, who, 50 years ago, was trying to understand why fluids like mayonnaise move so slowly. Today, evidence is accumulating that most of the energy density in the universe is in an unknown form dubbed dark energy. The form and genesis of dark energy is almost completely unknown, but postulated as related to vacuum fluctuations similar to the Casimir Effect but generated somehow by space itself. This vast and mysterious dark energy appears to gravitationally repel all matter and hence will likely cause the universe to expand forever. Understanding vacuum fluctuations is on the forefront of research not only to better understand our universe but also for stopping micro-mechanical machine parts from sticking together.
Apport de la neurophysiologie à la connaissance de l’altruisme
Chez l’enfant altruiste le rythme boogie est rare alors que les rythmes samplés et lents à la trip-hop-coollattitude sont abondants et entrecoupés de rythmes rapides et de faible amplitude. Pendant le sommeil paroxysmique on note davantage de fuseaux et moins de bouffées de mouvements occulaires rapides mais la perception des stades de foot au cours de la nuit ne semble pas significativement affectée.
On sait que les enfants altruistes présentent des troubles de l’élasticité. On sait également qu’ils ont des difficultés à associer deux mondanités d’affilé et sensorielles. (quand ils regardent ils semblent ne pas tilter et quand ils écoutent ils semblent ne pas claquer).
…
– Si t’etais un dragon et moi une amibe, pourrions nous danser, encore une fois la Salsa?
– Au fait, quelqu’un d’autre que moi sait que Pascal a une soeur qui s’appelle Sabine?
– Allez… on avait dit « pas les trucs perso »… ?
– dis, Toi…, pourquoi t’es comme ça avec Moi?
mmm
Encore trop de champignons
je tombe sans arrêt
en courant parmi les arbres
comme un possedé
c’est tellement humide
on devrait tout bruler

Semaine capture d’écran ou pas ça fait 24h que je suis au régime et j’en ai déjà ras le bol.
*c’était un communiqué des consommatrices de tisanes drainantes qui à défaut de perdre du poids passent leur temps à pisser comme ces putains d’enculés de chats qui prennent la couette pour une annexe de leur litière alors que franchement déjà que je crève de faim et que y a des travaux en dessous Beyrouth audio you remember je vais pas en plus me colter la laverie mais bordel de merde*
A part ça il parait qu’il a neigé et que c’était très joli.
SILKE BANGERT, c’est un peu nous…déchirés en petits bouts et portés autour du cou…
partout les gens se ruent pour porter des T-cheurtes « ich bin sehr SILKE BANGERT », …
je suis mort avant-hier. je me suis suicidé pour une sombre histoire d’amour malheureux, quelque chose que je regrette désormais.
après avoir lu la lettre de rupture, je me suis enfermé dans ma chambre, et je l’ai relue plusieurs fois. je me souviens m’être allongé sur le lit, et avoir beaucoup pleuré.
des larmes se sont écrasées sur le papier et ont effacé l’encre.
ensuite, je me suis levé, j’ai regardé par la fenêtre, il y a eu le vent qui m’a giflé le visage, un vent un peu chargé de pollution. en bas, il y avait les voitures, toutes petites, et les gens encore plus petits. je les ai regardés un petit moment, en pensant à des trucs. je ne me souviens plus trop à quoi j’ai pensé au début. ensuite, mes pensées sont revenues à elle, à la fille, et puis à la lettre. j’ai regardé encore un coup en bas, je me suis penché très fort. j’ai eu une attaque de vertige. tous mes poils se sont hérissées, le souffle m’a manqué pendant un instant. je me suis reculé vivement, effrayé par ce que je venais de faire. je me suis rassis, puis rallongé sur le lit, le coeur encore battant et des bouffées de chaleur à la tête.
j’ai eu envie d’écrire une réponse, une réponse à cette fille ; je l’ai fait.
Sans nouvelle de toi
depuis trop longtemps
pour évoquer ton souvenir
je regarde le soleil
il m’éblouit
comme toi
et il m’enchante aussi