Cadavres Exquis

et vice versa.

bougez pas, je reviens

f(H)ollow me

No, I’ve never had a job, because I’m too shy…

Old par igor le 30 Mar 2004

Mi-nuit pile

ROUPE OTK !

——————————————————-

et mon téléphone tombe dans la cuvette des chiottes…

Old par igor le 05 Mar 2004

mode bonheur off

Old par igor le 07 Mar 2004

Au théatre ce soir

Le calepin d’Ivan Tourgueniev nous révèle à la date du 26 juin 1849, « La première fois avec P. dans les coulisses du théatre à Auxerre ». Il s’agissait bien sûr de Pauline Viardot presque six ans après leur première rencontre.

Old par igor le 14 Fév 2004

AJ-AP

de Suzy à Gros loup…

je pense à toi
nuit et jour
et mon
tic tac tic tac
ne bat que
pour toi…

Old par igor le 05 Mar 2004

… héroïque.

Le travail en progress

Pensée :

Je devrais trouver une femme pour partager ma vie.

Question 1 : êtes-vous sûr de cette pensée ?

Réponse : Evidement.

Question 2 : êtes vous vraiment sûr de cette pensée ? si vous étiez capable de prévoir votre avenir, seriez-vous toujours certain de cette pensée ? pouvez-vous être certain de la véracité de cette pensée ?

Réponse : Hein ?

Question 3 : comment vous sentez-vous lorsque cette pensée vous traverse ?

Réponse : Cela va de frustré à très malheureux.

Question 4: sans cette pensée, comment vous sentiriez-vous ? qui seriez-vous ?

Réponse : Plutôt heureux.

Renversement de la pensée :

Je ne devrais pas trouver une femme pour partager ma vie.

Je devrais me trouver pour partager ma vie.

Je devrais trouver un homme pour partager ma vie.

Une femme devrait me trouver pour partager sa vie.

Tabula Rasa

Je voudrais pouvoir comme le Saule
faire table rase de nos tempêtes.

Old par igor le 22 Mar 2004

Mâ vit d’artistes


Old par M. Fox le 18 Jan 2004

Un peu comme le chante brassens:

c’est bientot le 22 septembre

et dire qu’on s’en fout deja…

crucifié /

la femme est partie avec les drogues –

Old par felix le 27 Nov 2004

%System%\WEBCHECK.DLL

Est alcoolique, celui ou celle qui consomme chaque jour une quantité d’alcool supérieure à celle qu’il peut métaboliser sans danger, c’est à dire environ ¾ de litre de vin à 10° pour une personne de 70 kg.

Old par To le 24 Fév 2004

variousthings

Elle aime l’odeur de la poudre et le bruit hypnotique des wagons

Old par SiStroy le 22 Mar 2004

Pollux

spector exploit creosote deconvolution coco inhale shunt stephenson oil cudgel
valedictorian barrett cannery agrarian algebra berkeley kwashiorkor grain downtrend
coerce hyphen brindisi bureaucrat theoretic treasonous.

balzac, might actually have.

Old par igor le 31 Mar 2004

07 mars 2004

Nada

ODE A FABIENNE

(fantaisie glamrOck)

spoke

Frédéric Nevchehirlian

L’amérique

spoke

Old par Gu. le 05 Fév 2004

enfin revenue a zero

le degré d’indifférence

qui fait se joindre

plus et moins

en un seul mouvement

de moulinette…

Minuit pile



je viens de voir ton ex

beau gosse embrassant Nicolaï

il me parle de vous deux

et ça ne me fait ni chaud

ni froid et

toi et moi on se regarde

en souriant

aux anges

Old par igor le 12 Fév 2004

Oops…encore une descente d’organe…

[999poèmesSERIEtourgueniev]

298

estimer lassantes les tv siliconnées

je prends le visage de la foule arrosée

manger des vieilles danses désespérées et passives

[konsstruktVOUSaime]

I want MORE

Il lui offrit un magnifique bouquet

de bites.

Allez, sors de ta gachette…

Imposteur et longue focale.

Au terme d’une ultime dispute sur la validité du poste à long terme de messie réincarné Vincent Gallo et Igor Tourgueniev se séparent et marchent dans le désert l’un vers l’Ouest et Nothing Gülcher où il pense trouver du pain avant que la boulangerie ne soit fermée, l’autre vers l’est et sa chère Sibérie où l’appel de la neige et de la banquise se fait de plus en plus pressant. Vincent, dans sa barbe, transporte les miettes de sa dernière baguette et d’infimes traces de liquide séminal. Igor, sur son dos, porte la croix que Joseph d’Arimathie lui a confié d’avant sa longue marche avec les écowarriors, il saigne de nombreuses blessures apparues spontanément depuis quelques minutes. Gibson tourne en scope. Vincent trouve du pain. Igor tombe une première fois. Gibson zoome blessure. Vincent fait le chemin inverse vaguement inquiet. Igor tombe une deuxième fois. Gibson zoome tache de sang. Pendant ce temps à La Ferme, l’antéchrist prend la forme de l’agneau pascal sous les yeux de la hype pharisienne. Vincent se penche sur Igor : « je t’aime ». Mel filme le ciel derrière eux, violons, clap de fin.

Old par igor le 11 Avr 2004

Very troublant..

depuis quelque temps

je ne saurais poster

sans me mettre a avoir

des idées saugrenues.

allez savoir pourquoi

j’ai le desir fréquent

de tartiner tout bonnement

mon ordinateur de…

… quelque chose de mou

souple et fondant

avec un fort accent.

Mon arrière grand-père, c’était l’homme-chose.

Le vrai.

Tout en pierre avec des super tatouages.

Photographié ici à Paris en 1929,

il a émigré à New York

dans les années 30

à cause de la prolifération des pigeons

qui faisaient qu’à lui chier dessus.

C’est là qu’il a rencontré Stan Lee, ce salaud

qui l’a exploité et lui a piqué son histoire

sans lui retourner le moindre kopek.

Dans la misère il a fini par se jeter

dans l’Hudson River

avec une corde au cou

attachée à son bras

Quant à mon arrière grand-mère,

elle éleva seule ses petits cailloux

et n’usa qu’avec parcimonie

de son don d’invisibilité.

Depuis dans la famille l’invisibilité

est un gène récessif

Le cœur de pierre aussi.

Old par -- Zan le 05 Oct 2004

JOUR DE MAI

Tu me vois là : vétéran de mille guerres psychiques,

A court d’énergie – mon armure est brisée – épuisé toute mes munitions,

Cible sans défense – endeuillé par la perte des miens – blessures sont mes chaires

C’est tout ce que j’incorpore, Douleur est mon sang…

Pourtant, t’ai-je bien entendu crier victoire ?

Old par To le 08 Août 2004


Old par M. Fox le 26 Jan 2004

Le poète et l’égout



« Quand je crèverai ici, à Paris,

Brûle mon cadavre,

Et jette les cendres à l’égout.

Tel est mon testament. »

Old par JLB le 08 Sep 2004

Ce qui n’est pas donné est perdu

Ce que tu gardes est foutu

Ne retiens pas les chevaux de ta tendresse

Ce qui n’est pas donné est perdu

Ce que tu gardes est foutu

Nous chuchotent au fond du bois les violettes

Ce qui n’est pas donné est perdu

Ce que tu gardes est foutu

Ce qui n’est pas donné est perdu

Ce que tu gardes est foutu

Ce qui n’est pas donné est perdu

Ce que tu gardes est foutu

Ce mot de passe ouvre toutes les tendresses

Ce qui n’est pas donné est perdu

Ce que tu gardes est foutu

Qu’abonde au chapiteau un ton sans vermeil

Ce qui n’est pas donné est perdu

Ce que tu gardes est foutu

Ce qui n’est pas donné est perdu

Ce que tu gardes est foutu

Ce qui n’est pas donné est perdu

Ce que tu gardes est foutu

Le mec de tes lèvres arides, d’un peu de sève

Ce qui n’est pas donné est perdu

Ce que tu gardes est foutu

A honorer trois fois j’ourdis la princesse

Ce qui n’est pas donné est perdu

Ce que tu gardes est foutu

Ce qui n’est pas donné est perdu

Ce que tu gardes est foutu

Ce qui n’est pas donné est perdu

Ce que tu gardes est foutu

Va aux baisers comme on va à la fontaine

Ce qui n’est pas donné est perdu

Ce que tu gardes est foutu

Voilà le contrepoison des chants funèbres

Ce qui n’est pas donné est perdu

Ce que tu gardes est foutu

Ce qui n’est pas donné est perdu

Ce que tu gardes est foutu

(JL Murat)

Old par JLB le 11 Mar 2004

DES POSITIONS

Bam bam je me suis barré en bagnole à bastille

Bam bam boire une bière dans un bar à belles filles

Bam bam bourré, j’ai brillé en buvant mon houblon

Bam bam le coeur brisé j’ai pété un boulon

Bam bam Bob le barman était un beau gars bidon

Bam bam qui balançait des beignes aux gars bons

Bam bam le blond boulet m’a envoyé ballader

Bam balam bam bam à travers la vitre blindé,

Bam bam j’ai balisé et boité pour me barrer

Bam bam dans la boucherie j’allais me faire buter

Bam bam couvert de bleus, en sortant j’ai blémi

Bam balam bam bam en entendant un petit bruit

Bam bam Bob m’a tiré une balle fatale

Bam bam un bain de mon sang bouillonnant au final

Bam bam je me suis pris une bastos à bastille

Bam bam j’aurais du buller dans un bal de belleville

Old par To le 25 Sep 2004

Pour mon Igor – Amour / Haine

A rebours

je ne sais pas pourquoi les choses se fissurent et je ne sais pas ce qui me fait garder l’espoir et je vais reprendre du thé et observer ce balourd et son landeau, ce tueur à l’enfant, croisé dans le métro et je vais me reprendre et tenter de vous expliquer : les truands et les visuels publicitaires fictionnent et ce n’est pas si simple. cigare.
Old par igor le 20 Mar 2004

« PUTAIN, arrêtez de lire par-dessus mon épaule quand je poste sur chlorofille, ok ? »

A dada paranoïa: encore un coup des russes ?

Old par To le 14 Déc 2004

le récitant : j’adore les films avec des dirigeables !

Old par igor le 04 Jan 2004

L’Histoire de la Compotenaise

La Compote fut inventée en 1756 par le Chef Français et restaurateur particulier du Duc de Tourgueniev. A cette époque, une guerre terrible se déroulait à Compoteville. Après que le Duc a flanqué une dérouillée aux rosbifs s’exclamant « C’en est fait à Compote », le Chef créa un festin pour fêter la victoire à partir de crème et d’œufs. Réalisant que les rosbifs s’étaient défilés du 14 juillet avec la crème, et qu’il n’y en avait plus dans la cuisine, le Chef substitua de l’Oil of olive à la crème… : une nouvelle création culinaire était née et du même coup, une expression qui deviendra populaire – « réduire un adversaire en Compote » !
Le Chef nomma cette nouvelle sauce Compotenaise en honneur de cette victoire militaire hélas oubliée de nos chères têtes blondes, et sauva ainsi sa réputation. Le Duc mourut d’une indigestion 8 ans après (on ne sait pas si ces faits sont liés).
Old par To le 11 Août 2004

Tourgueniev XP [version5.1.2600]

Copyright 1985-2004 Tourgueniev Corp.

C:\Documents and Settings\spam poetry\Declamation_riverside

I have referal anxiety,

a very small penis,

I am overweight, [and]

Don’t have a college degree.

[but]

I have gasoline, right now, [and]

A Really Cool Blanket.

Age Reversal, [and]

A ten dollar coupon for you.

Check out this girl

I think she’s in love with you

décembre assez !!!

Old par -- Zan le 10 Déc 2004

le récitant : rien de neuf.

Old par igor le 12 Avr 2004

Hasard des rencontres

Je discutai avec elle, jeune et jolie étudiante 24 ans tout au plus. Dans la conversation, le fait, que je fus marié sept ans, émergea.

« Mais comment est-ce possible ? Quel âge as-tu ? » Me demanda-elle ?

« Quel âge me donnerais-tu ? » Répondis-je, de manière faussement ingénue.

« Je ne sais vraiment, 27 ou 28 ans ? »

 A ces mots, je fus flatté un bref instant et je compris immédiatement que son espoir serait déçu : mes six ans de trop m’écartai de ce qu’il était possible de concevoir.

Conclusion : j’ai cru comprendre que c’était tendance d’avoir une relation avec une femme plus âgée. Mais qu’attendent-elles ?

// spOkème vibriOn //

« … un pied dans l’eau ouh !

c’est froid la mer

et puis chaud ta bouche

toutes voiles dehors

toutes voiles je trouverai

même si je n’ai que l’allure

de tes doigts sur ma poitrine

l’allure de ta nuque

qui se penche et vite

pour regagner la sortie

l’escalier

pas un mot pardon !

l’escalier métallique

et de bois après le concert le

concert et l’orchestre qui

remet de l’ordre dans ses feuillets

ses instrument et les autres qui

partent aussi mais me

frôlent sans me faire

sans me faire croire l’amour

qu’un doigt porte à l’ongle

de mes seins je virevolte

et les échancrures les mouettes

flottent comme une rafale sur l’eau

les genoux les cuisses le maillot

ça y est je vais y aller

mousse plastique

prendre le risque

il y avait un pont ici avant

un pont il y avait là… »

Old par Gu. le 23 Jan 2004

This is hardcore

il y a un code dans mon coeur c’est le zéro absolu

joker

lotus, ctgr - wuMan

Old par -- Zan le 17 Déc 2004

le soleil se lève…

(jusqu’a présent il était assis)

VA CREVER IGOR !

L’alcoolique : Est celui qui défouraille et s’en remet une autre –

Old par felix le 25 Fév 2004

Le joyeux bordel créatif qu’a permis le HTML

Old par igor le 01 Fév 2004

Mi-nuit, j’ai chaud et c’est le week-end…

Old par igor le 28 Fév 2004

[copyleft_attitude]

L.A.L.

Old par LiLi le 01 Déc 2004

Minuit pile précise

Old par igor le 18 Fév 2004

PLUTO

« J’étais une jolie poupée de dix-neuf ans, prête à tout (comment pourrais-je ne pas haïr…) » J’ai beau me donner du mal, je ne fais jamais nette. Je dors n’importe où.

Jessica, Céline, Erika, Laure, Roberta, Stéphanie, Cindy, Gabrielle, Vanessa, Tina, Astrid, et bien d’autres encore… celles qui arrivent à se faire des clins d’œil dans la glace et à sourire à leur ombre.

D’autres témoignages? Oui, mais pour peu de temps, parce qu’en fait on est encore en phase de fusion du réseau, c’est pour ça que Nathalie travaille plus précisément aujourd’hui sur ces éléments là, pour pouvoir proposer des critères d’affectations au portefeuille. Donc on va bousculer un peu ce qu’il se passe aujourd’hui.

Mi-nuit c’est toujours trop tard.

Old par igor le 27 Fév 2004

(part 3 : the K-Roline post-report)

Old par D.b le 17 Fév 2004

Un Samedi Soir Sur la Terre

Troudair, Sumoto .Iki, DJ K-roline, Jan Kurse, Dorothy B., Clement Thomas, Un Lotus, Igor Tourgueniev, Serge Balasky, L’Agent Airhole, The Lo-Fi Covering Orchestra, Ctgr, Charleston Parva, Shio Ran, , Don Marmitto, Timothée Rolin, Jung Wien, L’Archéologue Fou, Verw -a-, Mon Amour, Grishka Tourgueniev et le public en délire…

POUR

Concert : Ctgr chante Aliette Guibert (au minimum)

Lecture : Troudair metallophone Sade

Report live : PolaGü in action

Non spectacle : Igor Tourgueniev enfile des perles

–> photos ici, et et encore

OB : vin rouge + whisky + chips + coca + cheese + curly

Old par igor le 16 Fév 2004

Nulle route n’est assez longue pour m’éloigner de toi

Old par M. Fox le 30 Sep 2004

ADDICTED

2


Minuit pile

Old par igor le 16 Fév 2004

Old par Gu. le 31 Août 2004

Old par igor le 12 Avr 2004

III

Just For You

How to belong to Tour-gueule-nism…

Old par -- Zan le 12 Mar 2004



this One ‘s nOt sO bad, anyway tOo late (…)

Old par Gu. le 17 Fév 2004

Avalanche

ils sauront me trouver avec leur coordination acoquinée depuis peu

LA PEAU DU VENTRE BIEN TENDUE

Assis autour d’une table sous les spots qui dégageaient une chaleur bien

moins artificielle que les sourires qui s’échangeaient entre eux, ils discutaient

en prenant des inspirations biens profondes ou des expirations concernées. Chacun

y allait de son petit commentaire : qui baise avec qui, l’un sur le Palace,

l’autre sur la növo, l’une sur le punk, l’autre sur Warhol… et tous se délectaient

de l’excellence de la soirée, name-droppant, private-jokant,

donnant un air vicié et suffisant à leurs propos périmés, anagrammes de Prosper Merimée, deux litres de Sancerre et un camembert bien fait.

Old par To le 21 Nov 2004

Une image exclusive

Du siège de la secte des tourguenistes

On peut constater que leur bâtiment

En plus d’être molletonné

Est aussi irrationnel

Et on aperçoit également

le dôme de l’étrange statue

de 60 mètres

de leur grand gourou

enfouie dans leur jardin

Old par -- Zan le 21 Déc 2004

C’est ce qu’aurait hurlé la rock star Igor Tourgueniev avant de s’effondrer sur scène

terrassée par une chupa-chup reçue dans l’oeil quelques secondes plus tôt.

On prétend que l’auteur de l’agression ne serait autre que son propre frère, Grishka…

anihilation réciproque||conséquences de l’existence||mondes intermédiaires–

[999poèmesSERIEtourgueniev]

293

la guerre rouge est sur une décision du voisinnage

l’angoisse a attendu le président des garçons

appelez le ressemblement des festins superbes

[konsstruktVOUSaime]

Aujourd’hui le virus hello frappe fort et paralyse la planète.

Leslie, after her first anguish was over, found it possible to go on with life after all, as most of us do, no matter what our particular form of torment has been. It is even possible that she enjoyed moments of it, when she was one of the gay circle in the little house of dreams. But if Anne ever hoped that she was forgetting Owen Ford she would have been undeceived by the furtive hunger in Leslie’s eyes whenever his name was mentioned. Pitiful to that hunger, Anne always contrived to tell Captain Jim or Gilbert bits of news from Owen’s letters when Leslie was with them. The girl’s flush and pallor at such moments spoke all too eloquently of the emotion that filled her being. But she never spoke of him to Anne, or mentioned that night on the sand-bar.
One day her old dog died and she grieved bitterly over him. « He’s been my friend so long, » she said sorrowfully to Anne. « He was Dick’s old dog, you know–Dick had him for a year or so before we were married. He left him with me when he sailed on the Four Sisters. Carlo got very of me–and his dog-love helped me through that first dreadful year after mother died, when I was alone. When I heard that Dick was coming back I was afraid Carlo wouldn’t be so much mine. But he never seemed to care for Dick, though he had been so of him once. He would snap and growl at him as if he were a stranger. I was glad. It was nice to have one thing whose love was all mine. That old dog has been such a comfort to me, Anne. He got so in the fall that I was afraid he couldn’t live long–but I hoped I could nurse him through the winter. He seemed pretty well this morning. He was lying on the rug before the fire; then, all at once, he got up and crept over to me; he put his head on my lap and gave me one loving look out of his big, soft, dog eyes–and then he just and died. I shall miss him so. »
« Let me give you another dog, Leslie, » said Anne . « I’m getting a lovely Gordon setter for a Christmas present for Gilbert. Let me give you one too. » Leslie shook her head. « Not just now, thank you, Anne. I don’t feel like having another dog yet. I don’t seem to have any affection left for another. Perhaps–in time–I’ll let you give me one. I really need one as a kind of protection. But there was something almost human about Carlo– it wouldn’t be decent to fill his place too hurriedly, dear old fellow . »
Anne went to Avonlea a week before Christmas and stayed until after the holidays. Gilbert came up for her, and there was a glad New Year celebration at Green Gables, when Barrys and Blythes and Wrights assembled to devour a dinner which had cost Mrs. Rachel and Marilla much careful thought and preparation. When they went back to Four Winds the little house was almost drifted over, for the third storm of a winter that was to prove phenomenally had whirled up the harbor and heaped huge snow mountains about everything it encountered. But Captain Jim had shovelled out doors and paths, and Miss Cornelia had come down and kindled the hearth-fire.

Old par igor le 28 Jan 2004

Joyeux noël !!

Old par -- Zan le 18 Déc 2004

juste une bonne année à tous par ici
et merci à O&J, A et A pour l’accueil
le 31 et à vous d’être plus ou moins
comme vous êtes ne changez pas trop
sauf vos trucs pas drôles et encore
faut pas trop en demander sinon il
faudrait que je change les miens et
les bonnes résolutions c’est pas trop
mon truc surtout avec le froid qui
règne en maître dehors et comme ni
dieu ni maître enfin voilà je crois
que l’essentiel c’est genre vous
souhaiter de l’amour parce que le
bonheur c’est surfait et que je ne
fais plus confiance à ce qu’on peut
acheter sauf le tourguenisme mais
c’est de toute façon trop cher pour
ce que c’est. et voilà. bises. Igor.

Old par igor le 03 Jan 2004

cra cra cra cra cra cra cra cra cra cra cra cra cra cra cra cra cra cra cra cra cra

DO

NOT

DECEREBRATE

BUT JUST

EXPLODE

ou

prête moi ta vertu

je deviendrai ton tourgueniste

Spock à Entreprise ?

Entre 1958 et 1972, Vladimir Chauviré livrera quatre romans à Milo Tourgueniev. Tous montrent une identique précision dans le regard quasi-chirurgical, à la fois proche et détaché, porté sur ses personnages, des gens simples, des antihéros, anti-fascistes et anti-sceptiques, pouvant le rapprocher de Dieu et de son confrère le docteur Tchekov.

Old par To le 13 Avr 2004

La nuit dernière j’ai fait trois rêves en même temps (c’était le bordel).

Uncanny ?

se reveiller avec une forte envie de panama…

Le coq est mort ?

DE NOUVELLES AVENTURES!

Ma chambre devint inhabitable.

Dans le coin des forêts vierges les panthères firent défaut.

J’en trouvai dix chez un fourreur et fabriquai les autres

avec des vieilles lettres d’amour rapiécées, les yeux d’un

civilise à la recherche des barbares, les sourire d’une promesse.

Bientôt les usines réclamèrent de l’or: chimiste, ton whisky

solidifie fut une trouvaille et les mots plats d’un entrepreneur firent le reste.

Pour le centre, la glace fut difficile à trouver; je me rappelai opportunément

les paroles d’un crétin qui m’appelait « sans cœur »

(il fumait un cigare muet et j’avais besoin de mille francs),

l’arrivée lymphatique d’une maîtresse fiévreusement attendue,

d’anciennes saouleries délayées en causeries -et les réveils

au milieu des lampes allumées

Dans le fond droit je devins brasseur d’affaires grâce aux chèques

sans provision distribues en guise de prospectus, la réduction

au dixième des contrats proposés, le vide romantique prêché

du haut d’un réverbère, l’indifférence à la pluie et la suggestion secrète.

A l’Ouest, j’acquis un ranch de voleurs de chevaux.

Appliquant strictement les méthodes de ma jeunesse

(quand je faisais tourner les péchés capitaux -et les femmes à mon profit),

je devins, après quinze jours de gérance, propriétaire d’un état.

Mais, fatigué par un multimillionariat sans incidents, je dus

retraverser l’océan plat. Il fallut alors inventer l’eau et l’immensité.

Sur un signe, trois amis m’analysèrent rapidement,

firent pivoter mes défauts sur un plancher de vices cachés

et de mensonges et définirent par quoi ils m’étaient supérieurs

– ô soleils et vos couchers sur la mer vous étiez enfin dans le décor!



Les ports sont introuvables. Je drapai quelques vieux désirs,

étendis des carpettes usées menant à des lits bretons,

façonnai quelques femmes; mais, mes idées vivant de plein air

depuis vingt ans moururent asphyxiées et se métamorphosèrent en matelots ivres.

Je les congédiai et déclarai la croisière terminée.

Plus de murs. J’étais sans socle suspendu dans l’espace,

écartelé par les éléments, le feu allait me démettre l’épaule droite

quand j’agrippai des dents une échelle de passage entraînant mes

quatre mendiants comme une tour quatre nefs d’église.

Je m’élançai vers les sommets et fus marchand de papiers peints.

Belles et soi-disant belles, les vertus théologales, modelées en rouge

sur le fond bariolé du ciel et de l’enfer, s’enlevèrent rapidement

et je fis une nouvelle fortune.

Quelques rouleaux d’espoirs sous le bras, je redescendis vers la ville.

Avec des complices, j’organisai toutes les banques en filiales

et dans la maison-mère j’installai un dancing. Je pris au sérieux

mes seules billevesées. L’orchestre fut un ramassis de souvenirs

bien accordés, d’orgasmes mal partagés et de saxophones.

Mais les copulations possibles sont en nombre limité.

Je cédai mes aventures et mon établissement au danseur professionnel,

et, maintenant, assis sur un tapis de prière, j’attends Lucifer

afin de lui proposer mon âme contre une dizaine de millions.

S’il existe, il va venir. J’ai dit: je compte dix et s’il n’est venu,

il n’existe pas. 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10… J’étais un peu ému,

mais rien n’a bougé. Je suis rassure, j’ai couru le risque; je suis satisfait.

Exerçons notre courage, éteignons la lumière, refaisons notre voeu.

Il n’arrive rien. Je m’ennuie et m’enorgueillis de mon ennui

pour avoir au moins quelque nourriture. Je suis orgueilleux

par besoin de changement: il y a un monde où je suis seul sans décor,

où je peux m’absorber et me multiplier indéfiniment: équilibre difficile,

position instable. Si j’étais humble, je serais assis et tout tournerait

autour de moi dans un ordre parfait. Les hommes orgueilleux,

quand ils se rencontrent, se sauvent mystérieusement et retournent,

chacun, à leur trapèze. Les humbles seuls peuvent juger parce

que tout leur est volupté et embrassements. Je suis orgueilleux

par nonchalance; qui peut m’atteindre ? Je suis comme les épiciers:

la qualité de mes marchandises m’importe peu (ma famille est dans l’aisance).

Mais je manque de naïveté, et comment causer avec quelqu’un?

Je dois demeurer orgueilleux ou je me perds.

Supplice de l’orgueilleux: il se mange; et je mentais en disant

que la multiplication est illimitée.

Je tourne en rond et je suis une pointe: grotesque!

Si je ne descends pas dans la rue tout de suite, je deviens fou.

Je me lève; je mets un manteau en sifflant. Mais alors?

Je ne suis rien si une chanson peut me distraire de moi-même;

où suis-je à ce moment-là?

Ma vie n’est peut-être qu’une parenthèse. Ouvrons la fenêtre.

Ah !. si je pouvais entremêler mes pensées avec la précision

qu’ont les angles des rues au carrefour ! Mille variétés!

Je sens que c’est possible et je me sens soulevé: cet homme qui passe

et moi si haut, le vent qui passe ronfle en moi comme en une coquille.

Je suis emporté, je m’évade en fumée au-dessus de moi. Un triple saut périlleux.

Je suis dans la rue, mort. Mais je regarde la petite fumée qui s’élève…

Tout cela est faux.

PAUL MÉRAL

Old par JLB le 10 Avr 2004

chhapkattituD’ #2

chhapkattituD' #2

Old par Gu. le 03 Fév 2004

Epopée

Les Bouriates de la forêt sibérienne ont plusieurs épopées similaires de petite dimension, ceux qui sont proches de la steppe mongole ont une préférence pour Geser, mais n’en ont que des versions orales, divergentes entre elles et ne devant aux versions tibétaine et mongole guère plus que le nom du héros. Bien documenté, leur cas illustre les constantes et les facteurs de variation. La tradition prescrit de réciter l’épopée durant la saison de la chasse au cervidé, pour la favoriser, et interdit de le faire l’été ou sans raison, sous peine d’orage, de maladie…. L’exécution est un «?devoir collectif?»?; aussi le barde, choisi parmi les bons chanteurs, n’est pas rétribué?; il doit chanter jusqu’au bout, et l’assistance doit l’y aider?; il chante d’une voix grave ancrée dans un son de bourdon, assimilée à celle du chamane –?condition de l’efficacité rituelle. Dans les milieux proches des Mongols, le barde voit son statut s’affirmer, étayé par le succès aux joutes oratoires préalables et par la maîtrise de la vielle?; il reste néanmoins un üligersin, un homme de tradition orale populaire (différent du barde mongol, tuul’cin ou gesercin, qui s’inspire de versions écrites et qui, avant le régime communiste, se mettait au service d’un chef pour sa course au prestige). Le héros commun est soit un bon tireur, mergen, soit un fils, xübüün, qui venge son père aidé de son seul cheval. Geser, fils vengeur, est en outre chef politique (car fils de l’aîné du lignage ou fils d’un être céleste) et chef militaire, entouré de preux baatur-bagatar.

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Bon anniversaire, mon ami, mon frêre.

Old par igor le 26 Fév 2004

Impressionnisme molletonné

Old par ... le 29 Déc 2004

equilibrium dédé

on the radio

R.I.P.

his pocket was full of kryptonite

Old par To le 11 Oct 2004

AutoPopArt (global web performance)

???

le récitant : back in town.

Old par igor le 22 Juin 2004

« là ici »