« Plastic Tourguy » – Poupée en résine thermoplastique

From: TOURGUENIEV, Régis
Sent: Fri 08/10/2004 11:49
To: URGUENIEV, To
Subject:nouveau PC
Salut,
Je voudrais savoir quelle est la taille du chassis de ton UC ???
Est-ce un chassis petit, ou grand ???
Pour les écrans plats, je suis désolé, mais il n’y en a plus pour l’instant.
A bientôt.
Cordialement,
Regis Tourgueniev
Hotline Informatique
291
le très gentil monsieur poulet pleurera longtemps
je mange du bruit en face des poubelles
la police cherchera un bonbon en cachette

it’s just dancing anyway…
Start. Tout est rouge sang et l’eau charrie les bactéries complices alors autant rester à la maison pour bouffer des Granolas en regardant un vieux Russ Meyer avec des motards psychotiques. Excusez-les docteurs c’est à cause de la guerre du Vietnam et pas de la moto qui ne rend pas psychotique c’est bien connu. A la fin, ils font exploser le chef des motards mais la fille cajun n’épouse pas le gentil docteur à la femme violée car, de fait, il est marié et gentil. Je me demande si ça vaut le coup de continuer sur ce terrain glissant. A la réflexion, mieux vaut cesser. Stop.
comme la salsa de pomodor…

le hik du plébiscite est de s’étiqueter référendum (…)
m’en fOu, mOi je t’aime encOre, malgré mes effOrts!
a star
is painting
on my screen
and #ff6600
is drawing also

La poésie aussi aliène.
On croit à son temps de cerveau disponible
aux envolées bergère de france première syllabe maille à l’endroit
deuxième syllabe maille à l’envers.
C’est sans compter le temps de travail.
Emisphère gauche en laine de verre, l’iris en oeuf de bestiole écaillée.
Le prochain qui parle de l’inspiration je lui fous ma main dans la gueule.
Lu in Libération aujourd’hui, 19 août 2004
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19 août 1854.Tourgueniev préfererait ne pas avoir reçu la traduction française de Mémoires d’un chasseur tellement il est indigné. Le titre est devenu Mémoires d’un seigneur russe ou Tableau de la situation actuelle des nobles et des paysans dans les provinces russes, ce qui donne une tonalité politique dont le livre n’a pas besoin, étant déjà dans le collimateur des censeurs. Mais c’est surtout le texte, des pages ont été supprimées, le traducteur en a aussi ajouté. « Voici un petit exemple de ses procédés : j’ai dit à un endroit « Je m’enfuis »; il traduit ces trois mots de la manière suivante : « Je m’enfuis d’une course folle, effarée, écheuvelée, comme si j’eusse eu à mes trousses toute une légion de couleuvres, commandée par des sorcières » et tout est du même tonneau. » Et celle-ci : « Un lièvre poursuivi par un chien devient sous la plume enjouée de mon traducteur « un écureuil qui monte sur le sommet d’un pin, s’y place debout et s’y gratte le nez ». »
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Derive sans fin
dans un univers inconscient
Je vais explorer
Je veux te rapporter
un petit morceau d’étoile
Pour que tu sois fier de moi
Pour que tu m’aimes
Ce sera doux
Nous allons pourtant rester vigilants et mobilisés. Vigilants car nous voudrions être convaincus que le Président de la République et le gouvernement, qui viennent de changer de cap si brutalement, sont définitivement acquis à l’importance de ce dossier pour l’avenir du pays. Mobilisés, car nous devons maintenant réussir le plus difficile : faire en sorte qu’en s’appuyant sur ce mouvement historique, la recherche française retouve les moyens d’une nouvelle ambition. Les scientifiques et l’ensemble de la société civile ont une grande responsabilité vis à vis de l’avenir, pour analyser les conditions du développement d’une société de la connaissance qui sera, n’en doutons pas, la marque des pays libres de demain. Les Etats Généraux de la Recherche et de l’Enseignement Supérieur sont une occasion exceptionnelle de refonder, dans un moment historique particulier, la place de la recherche dans le dispositif national. Il n’y faudra ni frilosité ni repli sur soi, mais beaucoup d’audace au service du plus grand nombre.
J’ai mis le dauphin
dans l’armoire
mais mets y aussi
tout ce dont
tu n’as plus envie:
ton dico décati…
tes petits draps brodés
ta mine de crayon maché
ta perruque dorée…
Et surtout, n’oublies pas de …
| Bang Bang |
– und du?
– ich trinke niemals champottka…
– blöd.
| L’acteur (*) peut compter sur son public pour ce qui est d’interpréter des indications mineures comme le signe qu’il se passe quelque chose d’important dans sa représentation. Cette disposition commode (je déteste ce mot) comporte une implication fâcheuse (j’aime bien celui-ci). En raison de cette même tendance à interpréter les signes, le public peut se mépendre sur la signification d’une réplique, ou bien il peut donner un sens gênant à des gestes ou des évenements accidentels, dus à la maladresse ou au hasard et auxquels l’acteur n’entendait pas conférer de signification particulière…
(*) terme générique désignant tant le professionel du spectacle, que le personnage internautique, ou encore mais surtout l’acteur social lambda en représentation, c’est à dire en présence d’un public oméga. dé-librement inspired bY gOffman |
Pour l’année prochaine, se souvenir de ne plus exister le 14 février.
bulge anxious circumscribe quartermaster tipple
syllogism estimate dizzy bodice dolce chinaman amend mexican
synod trickster substrate maniacal darpa aural grudge
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lawrence insoluble convoke smithsonian chub aborning cunard
cambridge fallen ebb employ necessity surf adulterate
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centerpiece heal centrist chaste endothermic bridgeport soul
le récitant à mi-nuit : continuer à critiquer, ricaner et regarder couler le bateau en se resservant du champagne ?
la douceur de l’hiver à quelques jours de sa rigueur
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la solution de l’espace courbe apaise notre frayeur devant l’infini comme notre répugnance à concevoir le néant
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Je suis venu voir On a bu un coup en vidant le bar du mort Tout le monde parlait de lui, Pour lancer la conversation J’aurais tout donné pour qu’il sourie encore dommage que tu partes, on aurait pu bien s’amuser, toi et moi
Certainement pas.La petite lucie ne peut plus dormir sans rêver. Disons, sans se souvenir de ses songes. Dans cette histoire elle dort dans son lit et dans son sommeil, ils la visitent. Elle se réveille brusquement, mais peut-être qu’elle dort encore et ils sont là, ils s’approchent un par un de son petit lit bleu, ils sont grands et émaciés, pâles aussi. Ils portent de longs manteaux de diverses couleurs pastel. Ils lui sifflent des mots en « ui » comme « cuir » ou « luire » ou « fuir » mais à l’orientale et ça donne « couire », « louire » ou encore « fouire ». Elle gémit, tout semble perdu. Pourtant. Encore trop de champignons on devrait tout bruler
MaximeJe ne sais plus à qui mentir, quand tu n’es pas là Alors il sut. Il sut dans quelle contrée il était revenu. Il sut quelle communauté il trouverait derrière ces collines, quel désespoir silencieux recelait ce paysage que l’Eqelm brûlait soudain d’une ardeur presque infernale, entre deux cumulus qui se teintaient désormais d’un gris sale. the lovE.shoWctgr live performance at Troudair’s ! feb.14-2004
Tourgueniev : année 2004, retour à la profitabilité ?
Malgré un retour à la profitabilité, les rumeurs de fermeture vont bon train. Noam Chomsky du MIT Arnaud Lagardère a exprimé sa "préférence pour une vente en bloc de l’ensemble et, :: l O s t i n t r a n s l a t i O n ::l’amour mon body after homère simpson MESSAGE A CARACTERE IMPERSONNEL« Veuillez remettre le Monde dans l’état Et Dieu créa l’homme de ménage. Et l’homme de ménage précisa : « Veuillez remettre le Monde dans l’état d’Amérique ben quoi, moi aussi je peux faire ma pouête…
« La seconde vague aurait pu m’emporter vers le large. Vers le fond. non mais! ouéééé soyons crétins vive la pub vive la tévé vive tek
saisonnier
freakshow (chaud)ceci n’est pas un mammifère (a cheval).
hum hum
hello les petits clous on m’appelle Steppen Wolf; en français, ça donne plutot un truc du style Stephane Loup. ouaf!
Deux décennies après, le secret est dévoilé : le côté obscur de la Force, c’est juste un peu de dioxine et beaucoup de mythomanie.
<<greF-moi un sms dans le coeur [FREAKSHOW] / 3(LES PORTES DE LA MORT) le morts s’y rendent en bus. dans l’ancien temps, il y avait une charette, cette charette était tirée par une chèvre géante unicorne, et conduite par un cyclope débile, lui-même dirigé par un nain méchant qui le cornaquait avec des piques extrèmement pointues et lui hurlait des ordres directement à l’oreille ; mais les temps changent. (LE PAYSAGE) [FREAKSHOW] / 2plus tard dans la nuit, j’ai eu une sorte de bouffé d’horreur, je me suis réveillé en sueur et en larmes. j’étais oppressé, je n’arrivais pas à respirer. je me suis précipité à la fenêtre, pour avaler un peu d’air frais. une impulsion m’a saisi, j’ai sauté, je suis mort, et voilà. (FIN DU PROLOGUE) en pleine nuit, des gens attendent sur le parvis d’une église, éclairés par les lampadaires d’un parking proche. ils sont massés, ils ont l’air d’avoir froid ; leurs vêtements sont froissés, leurs yeux sont cernés, leur teint maladif ; certains portent des sacs ou des valises, qu’on devine remplis à la hâte. ils ont l’air de réfugiés. ils sont une trentaine, tout au plus. les gens sont mêlés, il y a des femmes et de hommes, de tous âges, de l’enfant au vieillard, de la fillette à la vieille. il n’y a pas de famille cependant, et seulement un couple, serré, qui fait masse au milieu du désarroi. personne ne se parle, ils se lancent des regards à la dérobée, inquiets, peureux. on leur suppose des pensées angoissées, la crainte de l’avenir. l’attente se prolonge, dans l’ombre massive de l’église. certains sortent des passeports ou des permis de conduire de leur poche, les tripotent d’un air pas rassuré, les relisent, les remettent dans la poche. j’en suis toujours à me demander si ça n’est pas reculer pour mieux sauter que de cliquer ici 14/02/04serge balasky : nous venons d’assister à la fin de l’art et à la naissance du music-hall. | |||||