le récitant : c’est un peu lourd cette fuite.
Du boeuf ou du veau, ma p’tite dame ?
J’adore tuer, là n’est pas la question
mais je n’arrive jamais à me décider : est-ce que je préfère manger les adultes ou les enfants ?
Epopée
Les Bouriates de la forêt sibérienne ont plusieurs épopées similaires de petite dimension, ceux qui sont proches de la steppe mongole ont une préférence pour Geser, mais n’en ont que des versions orales, divergentes entre elles et ne devant aux versions tibétaine et mongole guère plus que le nom du héros. Bien documenté, leur cas illustre les constantes et les facteurs de variation. La tradition prescrit de réciter l’épopée durant la saison de la chasse au cervidé, pour la favoriser, et interdit de le faire l’été ou sans raison, sous peine d’orage, de maladie…. L’exécution est un «?devoir collectif?»?; aussi le barde, choisi parmi les bons chanteurs, n’est pas rétribué?; il doit chanter jusqu’au bout, et l’assistance doit l’y aider?; il chante d’une voix grave ancrée dans un son de bourdon, assimilée à celle du chamane –?condition de l’efficacité rituelle. Dans les milieux proches des Mongols, le barde voit son statut s’affirmer, étayé par le succès aux joutes oratoires préalables et par la maîtrise de la vielle?; il reste néanmoins un üligersin, un homme de tradition orale populaire (différent du barde mongol, tuul’cin ou gesercin, qui s’inspire de versions écrites et qui, avant le régime communiste, se mettait au service d’un chef pour sa course au prestige). Le héros commun est soit un bon tireur, mergen, soit un fils, xübüün, qui venge son père aidé de son seul cheval. Geser, fils vengeur, est en outre chef politique (car fils de l’aîné du lignage ou fils d’un être céleste) et chef militaire, entouré de preux baatur-bagatar.
————————————————- |
John says…
Dear Antoine,
Two presidential debates and two clear wins. John Kerry is going to be the next president of the United States, and more people know it now than just two short hours ago.
Tonight, George Bush had another chance to make his case to the American people. Again he failed.
* Again, he showed that he is out of touch with reality on Iraq.
* Again, he offered no plan for jobs and no plan for cutting the cost of health care.
* Again, he pretended that our problems don’t exist.
* Again, he refused to level with the American people.
« Sans la liberté de blâmer, il n’est point d’éloge flatteur. »
Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais
Faites découvrir
CHLOÉ DELAUME à un ami
Moi c’est déjà fait.
il cOntemple On dirait
One
would
say
that
he
gazes
at
(…)
Je suis venu voir
avec les autres
toutes ces fleurs sur la tombe
On a bu un coup en vidant le bar du mort
ça a l’air d’avoir été un sacré gars
qui buvait plus souvent qu’à son tour
Tout le monde parlait de lui,
moi je matais un mec splendide
adossé à une tombe,
observant l’horizon d’un air absorbé
Pour lancer la conversation
je lui ai demandé s’il connaissait le mort,
s’il savait de quoi il était décédé
Il a eu l’air surpris par ma question
puis m’a regardé en souriant
J’aurais tout donné pour qu’il sourie encore
son visage éclairé par les bougies
et les guirlandes lumineuses
en faisait un ange,
Il m’a alors dévisagé avec bienveillance
et il a dit :
dommage que tu partes, on aurait pu bien s’amuser, toi et moi
duet oval shirtmake palate audit
barth banana cornflower barter carla pheasant play conservatism inverse materiel
munich totemic noose durkin lengthwise myocardial ovary bakersfield
stepmother algeria theist oman beethoven viscous electret chesapeake berkeley innuendo discrepant gnu lisa godkin bitterroot pipe sunday perspiration honest glacis home emulsion asilomar compellable skeletal tara boomerang canteen eduardo olivetti jujube commonplace contrivance degree began kudzu
diurnal copywriter aggressive fragment atlantis willowy fool copenhagen cholera possessive madmen coherent specific vegetate family emilio atone ahmedabad timeworn slavish decisive barnyard boeotia assure arcsin blew academe wade dew road symposia cardiff basemen ayers detail
Ils ne comprenaient pas pourquoi les notres voulaient les repousser dans l’abime après tant d’années passées ensemble
Qu’est-ce que le tourguenisme autochtone ?
« Le tourguenisme autochtone » est une description de l’ensemble des activités tourguenistes qui appartiennent et qui sont exploitées par les peuples des Premières nations, les Métis et les Inuits.
Les bénéfices ?
Le tourguenisme autochtone peut être une bonne chose pour tout un chacun dans la communauté. Une entreprise de tourguenisme autochtone qui est florissante peut se décrire comme suit :
- Elle assiste au renouveau culturel au sein de la communauté
- Elle est propice pour le développemnt d’un sens de fierté
- Elle inculque aux plus jeunes les notions de l’histoire et du patrimoine
- Elle aide les employés à développer des habiletés de gestion et de première ligne
- Elle contribue à lever l’image stéréotypée du peuple autochtone
- Elle permet aux employés d’acquérir des habiletés qui peuvent être utilisées dans d’autres domaines
- Elle permet de nouveaux partenariats autochtones avec le voisinage et les entreprises
- Elle permet de partager la culture et le patrimoine autochtones avec le reste du monde
Saviez-vous?
Le tourguenisme autochtone a produit environ 270 millions de dollars en 1999 et il est prévu d’atteindre un niveau de 1,9 milliard de dollars dans les prochaines 10 années, si tout se déroule comme prévu. En 1999, le tourguenisme autochtone a fourni du travail pour quelques 14 000 personnes au Canada.
COMME UN AIMANT
Tout s’éloigne.
J’ai des pieds de tigre
fantastiques
avec
j’amortis les chocs
je reste de glace
je saute
les étages
je réconcilie les amoureux
et je joue du banjo
en regardant la rivière s’en aller
Géutrémapoint
told me today
One persOn…
Others’ve seen
a little gu tout nu,
un manteau : Gu.
sun glasses : Gü.
& oOoilà !
(…)
Je suis sa poupée(-stroy) d’amouuuuuuuuur !
Ambition : me marier, avoir des gosses et regarder les feuilletons toute la journée !
C’est ennuyeux, hein ?
Désolée, je n’ai pas grand-chose d’autre.
Envie de vivre : L’essentiel, c’est le saut dans l’inconnue.
Je ne baisse jamais les yeux !
Dix ans après, certaines images me hantent toujours.
Tu te coupes un peu du monde, personne ne te comprend vraiment, prendre une arme à feu et sauter par la fenêtre du neuvième étage : aujourd’hui, on peut choisir de s’échapper.
Une fille disparaît chaque semaine.
ALARIC : MEILLEUR ACTEUR MASCULIN
Les Invasions Barbares ont reçu un triple César.
Intermittents, où étiez vous lors du Sac de Rome ?
cheri je t’aime cheri je t’adore
comme la salsa de pomodor…
My Love
Tu m’embrassais
mais ta lèvre était flasque
Quelle déconvenue !
Faire le mort ?
Darling, stop confusing me,
with your wishful thinking.
Hopeful embraces,
Don’t you understand?
I have to go through this,
I belong to here where no-one cares,
and no-one loves.
No light no air to live in,
a place called hate,
The City of Fear.
I play dead,
It stops the hurting.
I play dead,
and the hurting stops.
It’s sometimes just like sleeping,
curling up inside my private tortures.
I nestle into pain,
Hug suffering,
caress every ache
I play dead, It stops the hurting.
DANS TON UC
From: TOURGUENIEV, Régis
Sent: Fri 08/10/2004 11:49
To: URGUENIEV, To
Subject:nouveau PC
Salut,
Je voudrais savoir quelle est la taille du chassis de ton UC ???
Est-ce un chassis petit, ou grand ???
Pour les écrans plats, je suis désolé, mais il n’y en a plus pour l’instant.
A bientôt.
Cordialement,
Regis Tourgueniev
Hotline Informatique
Camille, déçue, lui dit : " T’es camé, Léon "
SXXXXXXXXS2S, .2ZaaZ80BB2: .X0BWBW@MWWBBWWWMMMMZ. :rXSSS2Sa2a22222aaaZaZZZZZZZZaaaZZZZ008ZZaaaaaZZaaaaaaZZZZaZZZZaZZZZZZZZZZZZ8Z2aZaZZZZZ
XXXX777rrSXS rZ22Z88B87,;WWZZ0Z0MMMMMMMMMMMM8 ..,;XSS2S2aaaaaaaa2aaZZZZZZ888ZZ88ZZZZaa2Z0088Z8ZZaaaZZZZZZ2aZZaaaZZZZZaZZZZZZZZ888Z2aaaZZZZ
XX77777r7XX2. .aS2aZ8B8SX280000ZBMMMMMMW@MMWi , ,ii;rS222S22aaaaa2aaaaZZZZZZZZZZaZ888Z8ZZZZZ80088888ZZZZZZZ88ZaaZZZaaZZZZZZaZZZZZaZZ8Z22aZZZZZ
X77X777rr7Sa, .0a22aZ80BB8228B0BWB08ZZBMMWi .. ,;77XXSSSSS2222a2aaaaaZZZaZaaaZ8BWW@WWWWBB088Z0B0888ZaaaaZaaaaZZZZaaaaaaZZZZZZZZZaaZZ80a2aaaZZZ
X777777rr7X2r ;a22aZ2XX7;::i7S2a2aZ0MMW: ;: ,;r777XXSS22aaZaaZZZZZZaZZZaZ0@MMMMMMMMMMM@WW00BWW00008ZZZZZZZZZZaaZaa222aZaaZZZZZZZZZZ8822aaaaZ
777r7r7rrrS27 Sa2a00a7:.,;SSS7X28MM8 r8 ,i;;rr7XSS2aZaaaZZZZ88ZZZZZZZBMMMMMMMMMMMMM@WWB000BWB008ZZZZZaZZZZaaaaaaZZaaaaZZZaaZZZZZZ0Z2aaaZZ
7777r77rrrXS2 i2aa2S7r;;X2a2aZWMM0 r@X ,;77777XXXXSS22aaaZaZZZ88ZZaa0MMM@MMMMMM@M@@WWBB0088BWBB88ZZZZZZZZaaZZaaaZZZaZZaaZZZZZZaZZ88a2aaZZ
77rrrr;rrr7S2. .r7:. .rZWMMMMM2 r8W: i7XX7r;;iii;i;rXaZZZZ8Z88ZZZZZWMMMMMMMMMM@@@WWBWB000880BWB08ZZZZZZ8ZZZZaaaaaZZZZaZZZZZZZaZZZ8Z22aaa
77rrrrrrrrrX2: i;, .:2W@0Xi: S80a .iXS2a8W@MMMMMWZXr72ZZ880088ZZZZWMMMMMMMM@WWBBBBBB00800880BBW088ZZZZZZZZZZZaaaaaZZZaZZZZZZZZZZ88a2aaa
7rrrrrrr;;r727 .. ,28Z80: iSZBMMMMMMMMMMMMM@27S28Z80800880MMMMMMM@W0080BBWB0000888888BWB0888ZZZZZZZZZZZaZZZaaZZZZZZZZZZZ88Z22aa
7rrrrrr;r;;7SX ,7aZ2ZBX X0WMMMMMMMMMMMMMMMMB22a800000880@MMM@WWB0880W@@WB00B0008888Z0WB0888ZZZZZZZZZZaaaZZZaZZZZZZZZZZZ8Z22aa
rrrrr;rr;rrrX2. iX2aZZZBWX,r0W@@@M@M@MMMMMMMMMM@8aZ80000080BB08Z88880BWWB00BB000000008ZZ0WW0ZZZZZZZZZZZZaZaaZZaaaZZZZZZZZZ80Z222
rrrrrrrrr;;r72; .raaZZZZZ8W@8XS8BWWWWWW@@MMMMMMWWM@8a80BBB00808ZZZZZZ80B000BWWB00000008ZZZa0BW08ZZZZZZZZZZZZaaZZZZZZZZZZZZZZZ88aS2
rr;rrr;rr;;;72; .;X222aZZZ8BBB0a22Z8WWWB0BBWMM@Z280Z2a80BBBB00088888880BBBWB08000000008ZZ8ZZZ8BBB88ZZZZZZZZZZZaaZZaaZZZZZaZZZ8Z8Z22
rrrrrrrrr;;;rS; .;SaaaaZZZ0000ZZZ8ZZaS28@WBZaaSXr7S2XX2Z8BBBBB0000000BBB0BBBBB@WWWWWWBBBB0000Za8BB088888ZZZZZZZZaaZZZZZ8ZZZZZZZZ808S
rrrrrrrr;;r;rSX ..:rSa2aaZZ800B8aaZZZ8Z7. rZ00aSX7XSS2a8000BBBBB000080BWWW@M@WBBWBWWB80BBB08ZaZ8Z8BWB088ZZZZZZZZ8ZZZZZZ808ZZZZZZZZZ8ZS
rrrrr;;;r;;;;X7 …,rS222Z00880B0Z2aZaZ88Si .:;7Saa2aZZ800BBB000008ZZ8880BWWWWWWWWW0BW@@@@WWMMM@W08ZZ0BB0ZZZZZaZZZZaaaaaaZZZZZZZZ8Z80ZZW
;i;;;;i;;;;;;XS …,,iXSS2aaZZ88BB822aZZZZ8ZX;i;irX22aZaZaZaZZ8000888Z8000BW@@W@M@@WB00BBBWWWBBBBBBB0WB88BW0ZZ8ZZZZZaZZaaaaZZZ88aZZZZZZ8Z@
77X777rrr;;iirS …:irSS2aa22ZZ0BBZS2aZZZ802r..i7S2ZaZ808ZZ8ZaaaZZ800880BBBBWWBWWWBWWW@WWWBWWBWB0B@MMM@WWWW08ZZZZZZaaZZZaZaaaaaZaZZZZZZ8Z0
r7777X7XXXXXXSa, .. …..,i;XS2222aaZZBB822aZZZZZZS;,irX77SZ0ZZ88000ZZZ80880080WWWBB00BWWW@WWBBBB008Z8ZaZZZ0BWWW@WWB8ZZaZZZaaaZZaa2ZZaZaZZZ008ZZ8
;;;;i;iiiiiiir2: …,…ir7XXS2a2ZZ80WWZ2aaZZa2SaZ2XX;iraZZ00BBWBB0880BBBB0BBWWWWW0BWWW@MMMWWBZ2SSXX7X7XXSa8W@WWB@MW088ZZZZZZaaaZZ0@8aaZZZaZZ888
;;;r;;;;;;;;;iXi . ..,i;7XSS2aaaZZZ0B02SaaZZZZaX;;XZ2Xr7XXaW@@@WWWW@@@WWBBWWWW@@WBB00BWBB8aSSXXXXS22aaaa222aB@WB0@MW00ZZZaZZZZZZZZ08ZZZZ888Z000
;;;;;;;;;;;;;;Xr ………i;XXSSS22aZZ8BW0ZZZZ80B8ZZZZZSXSXXaaa2a8BW@M@@W@WB0BBBBWWWWWWB000aXX7XXS2Z0BW@@@WB0Z2S2Z0WB8BWB8ZZaaaaZZaZ0B0ZZZ8ZZaaZ888
;;;;;;;;;;;;;;r7 . .,,:ir7SS222aaZ8BB8aZ880ZX: , i7XX2Z0800B8Z0BWB0BBBBB0000WWWB08ZaSXXXXSaZ0WW@@MMM@WW00Za2ZBWW08B0ZZZ8ZZ2aaaaZZZaZZ88ZZZZZ80
;;;;;;;;;;;;;;r7 ..:irrXXS222aaZZ8BB8ZBMWX. ,;::rX7r2BM@@@WWWWWWWWWBB0Z800ZZaSXXS2Z80BW@MMMMM@WWWWBBB8aa8BBBWM@W08ZZZaaZZZ88ZaZa8B0808Z8B
;i;;;;;;;;;;;;rSi …. ..,;7XXS2aa2aZZ0BBWMM2 . .;Xa8WM@BBBWB00088ZZZ2SXr7XaZ0BWW@MMMMMMMMM@WWWWBB0Zaa800BW@@WB8ZZZZZaZZ0ZZZaaZZZ00888
rr;;;;;;;;;;;;;7i …. .,,i;;rSS22aaZZBWWMMr .i;rrii:, ,iiiiiirSS2SSS222SSX7rr7XSZ8BWW@MMMMMMMMMMM@@@WWWBB08Z80WBBBW@B88ZZaZ808ZZZ8Z880ZZ8WBZZ
;;;;;;;;;;;;;i;ri ….. ,,i;rXSS22aaZ0WB00, 7Z0BWB008ZaZaa2SXXr;;;;r;;rrrr7XS2aZ0W@MMMMMMMMMMMMM@@@MM@MWB00BB0ZZ0WW0ZZ0@W0ZaaaaZZ88ZZZZ8808Z8B08
;;ii;;;;;;;;;;;r7. … .,,ir7SS2222Z8BBM0 ;BW@@MMM@@WWBWWB0000888ZZZaZaa2aZ8BW@@MMMMMM@@WWWWWW@@@@@@M@WWB0BBB008Z8BB0000008Z0W0aaZZZ8Z808ZZZaZ80
;;;;ii;;;;;;;;;;7: …. .,,i;rXS2222Z0@@Wi .8MMMMM@@MMMMMMMMMM@@MW@@W@@M@@@@@@MMMMMM@@WWBWWB00BBBBWWW@MM@WB0000088Z888ZZ88000ZZZZZZZZZZ8008Z800080
;i;i;;;;iiiii;;i7; ,,. .,:i;7S2222Z8W@Bi rBBBBWWW@@@@@MMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMM@@@WWWBBB000000BWWWBWW@MM@WBBB00888088800000WWB08Z08ZZZ80B08888880
;;i;;iiiiii;ii;i;;. ….. .,,:irX22222Z0BMWr SWBWBWWW@W@@MMMMMMM@@@MMMMM@WWWWW@@@WB088800WWB00BWB08BW@@WWB@@WWWB88ZZZ800000ZaaZ88ZaaZ88000BWBB0ZZ8B0
;i;;;ii;;ii;ii;i;ri .,,. ..,ir7X7S22Z0W@BX 7B0800W@@W@MMM@@@WWBWBWWWB000000BBWWB8aaZ808ZZ8BWW0aSX2ZBBZZ0WWWB000008880080088Z888ZaaaZ88080WB8Z80BB0
;;ii;;;;i;;;iiii;r; .. . .,..,:irXSS228WMMB8r i0B080WBWW@MMM@WWBBBWWB08ZZ8ZZaaZZZaaaZ888aSXS2BM@Za2S2a80ZZ0BWW0BBWWB008ZZZZ8BBZZZZ8ZZZ8080000BWB0880B
;;;;i;;iiii;;;;;i;r, ::,…..:;;;7S222Z0BB8aX:,200880BWBW@M@WB0B0808ZaaZ0BaSX22aZ0WWBZS7;;;rrXZ@02222a8BW08B@M@WWWB8aaZZZZZ88088080ZZZ8B0Z0B00BWB0000
iiiiiiiiiiiiiiiiiir; .::.. .,,:i:;7X2a8BWBZa2S;78BB8BBBBBWM@WBBB08888BWMMWSX77XXXSZ0a7;;r77777X0MarrSaZ8B088B@WB0000ZZZ8800000888ZZ888Z0BB8ZZZZ888880
ii;;;iiii;;;iiii;i;Xi ,,. .::,:i;r7Sa2a0B0Z2ZZX728BBBBBBWWM@WBWMWZ22a8BMM8r;;;rr77Xa2X7XXSXSX77XWMaiirS2BB080MMB0B88ZZ8000BB8ZZZ88Z80BZaZ8WW8Z0B80B00
;;ii;iiiiiiiiiiiiii7S: .,,,. ….,i7XXSaa8Z8ZZa2Xr20B00BBBWWW0ZZ00X777720BX;rrX2SXXSaZSSSSXSSSXXrXMMMBBB@MMMMMMM000888Z8ZZ88ZZ880BWBZaZZ8ZZBMMWBWWBB88
iiiiiiiiiiiiiiiii;i;Sr. .. .ii,ir77SaZ8ZZ8B08ZZSX2000BBBW@W0ZZ882XXXXS80Xr7XS22SSSZ8aSSX7XSSSX7SMMMMMMMM@88W@B0000ZZZ8008Z808Z0BB08ZZZ0B0BBBB0BBBBB8
i:ii:::i::::::::::::;;:.i;iiiiii:i;i;7S2ZZaa80888Z2Z8B0B0BB@@W088ZSXXSXX2ZXrrXS22SSXSS2XXSSSS22ZZ2X7XZZSX2808BBBBBB08ZZ8808ZaZZZ800B8Z8ZZ888880WWBBWWB
7XX777777777X77777777X2;;;::i;iii;irr7X22aaZ8ZZ88Zaa8W@@WBW@@B8ZZ2rr77rra@2rrX22SSS2aBMW08Z8BBZZa2S2aZaSSZ0BBBBBB00088888008ZZZZ800B0ZZZ8BWB0000WWWWWW
i:::::::::::::iii:::iXS: :i ,:,.,:i7S222SSaZ808Z2SSXS0@M@W@MW8Z0W0SXSSZWWZX7r7XS2Z0W@Wa2Z0BWWZ22a2aZB822a8BWBB0B00088888ZZZZZ8800BBB00ZZ8800B0800B080
iiiiiiiiiiiiiiiiiiiii;X7.:r;,.,::;r;rXXSS2a8ZZZa2S7i:,iZ@M@MMMMMMMMMMMMMMZaZZZ8Zaaa2X202Xa8ZZBaSSSSSZB0ZaZ80BB0080B00Z88ZZZZZZZZZ00088888880BWWWWWB00B
iiiiiiiiiiiiiiiiiiii:irS:,:;77r77r7r;;;rX2888Z2XX7XSXr,,XBWWMMMMMBWWZ7;7a2XX2Z0Z222220MBaSSSaW8SSSS28W0ZZZ0BB08800008Z8888ZZZZZZZ888800888888880BBBBBW
i:iiiiiiiiiiiiiiiiiiiirXr..,ii,i;i;;i;7XX2aaaZa2SXS2aS: iS80BWW0ZZ2SSa0aXXXS8ZSXXXS8@WZaZaZB8SSS2a008800BB0088B00080888ZZZZZ8Z8008880BB00080B8Z0WWBB
iii;iiiiiiiiiiiiiiiiii;r7;iii;;i;XS7777XXXSXS2a2aSXXXXr, XZ0BMMWZa22aaSXXSZ8aXSSSa88a22a2aZ22S2aZ80BWBB0Z800BB0000888888Z880000080B0880B00BWWBBWWW
r:iiiiiiiiiiiiiiiiiiii;7Srrr;rr,.iX2SXX2SS2a2aa22XXXSSXr;, XaZ0WB8aSaaSXXS2Z2SS2aZ800ZaaZZZZZaaa80BB00880000B08888008ZZ88888880BBBB080008880BWW00W
r;:iiiiiiiiiiiiiiiiiii;;7i,,;7X77Xrr77X2XS2aaZ8a2X7r777;;:i: :280B@@WW8aXXX2a22SXX22Z888800B000WW@@@WB088000008Z880B08ZZ800Z880000BWBB00BWWB88BWW@@
;Xiiiiiii:iiiiii;;;;iii;ri::;XX77XXXX77X7XX2aZ22S7r;i;rrri:ii:. .7ZZZ0WMM@W08aaaZZZZZ88088000BWWWW@@@@WBB08Z8000008Z80008Z88Z8880BB8Z8BBB0880BWWBBWBBB
2X:iiii;iiiiiiiiiiiii;r7777r;7S2aZa7i;7XXSZZaSXrrr;i;;7Xi..::, :7ZBB8Z0WMM@WBBBBBBBBW@MMMMMMMMMM@WB00888Z880B088Z80008Z888000000B0ZZ80000BBWWBWWW@@W
iSr,iiiiiiiiiiiiiiiiiirrri;:,rX2SrrS22SrXSZZ2SX7;;;;r;rXS7i:i;;: .r2aa2a80@MMMMMMMMMMMMMMMMMMMW0888008aaZ80BB08Z888800000008ZZZ00WWWWB0B0BBBBWWBW@@B0
X7;,i:i:::::::::iiiii;rr:i;r7SS2aX;:,;7XXS22aXr;r;rr;rXSXrii;rr;: .rS22Z8BW@MMMMMMM@WWB8Z2S2aa2SSS22aZ80B0888Z8888888000000880BBBBWBBWWWWBBW@@WWWBB
, ,7S77777777777777777rr7rrrS27rXXX77;i7XSSS22SXX7rrrr;r7S2X;:irr7ri,,:r7SZ8Si.,i;;;;;rrr;;r;rS2SXXS2a80BWWB08ZZZ8888888800880000BB0B000BBWWB0BBWWB00B
77r:i:iiiiiiii:::ii:iiii;7X,,:i;X2XS22Xr7X7;rXaa2X777rrrXSaa27;XXS2SSXXrirXi .;rr;rr;;;ri;777S22SaZ0WWWBB0Z88880WWWBBBB0888Z8800BBBBBBWWBWWWBWW@WBBB0
iiiiiiiii;iiiiiii;;;;;;i;7Xii;722ZZS7iir7X7SSSSSSXXX77777X2a2X::;Sa8888a22S7r7aZaSXSSSS2aZZZZ80BBBWWWWB08088800BWWBBBB000000888Z8ZZ0W@WBBBWWWW@M@B00WW
ii;i;;;;i;ii;;;;iiiii;;i;7XriiiXa27SaaaS7X7XSSXS2SSXXr7r77XXSX;;;7S2ZZ0BBBBBBBWB08Z88800BWWWWWWWWWBB08008800BW@@WWB08888088088800000B0BBWWWWBWM@B0WW0B
;iii;;;;i;iii;;;ii;;;;;;irSXi;iii7S2a8Z2X7;rS227rSaSXrrr7XS2a2Xi,:;7X2a8800BBBBB0BBBWWBWBBBBBBBBB000000BBWWWW@@WBB00000088080880BWWBBBBWWW@WW@@BB0BWWB
;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;i;XSii;;ii7aaSS2XSSSSX2a2SX7SSXrrS2222SrrX77X22Z8888008800BWWBBBBBBWWWBBBBWWWW@@@MM@W@WBBB00080000000BWW@WW@MMWW0BWWW@BZ8B00BW
;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;iX2r;r;r;i7a0ZSSSSXX22Z8Z22ZZZa22XS22222SXSSXX8B08080BBBBBBWWWBWWWWBWWWW@MMMMMMMM@@WB0888888808088880080BBB0WWWWW@@MMM@B00B00
;iiiiiiiii:iiiiiiiiiiiiii,iXr:ii;i::iX0Ba222X7XSSXXXSSSSSSSXS2aa2X72ZSSZBWB0BW@@WWWWWWWWWWWWW@@@MMM@@@WWWWBBB0008888088808800BB0BBWB080BW@MMMMMMMMW00B
777XXXXXXSS2222aaaaaZZ8888MM@BBBBB008ZZ0W8Xr;r7XXS2aaaaaZaSS2222a2X7SSa8BW@MMMM@@M@@@@@MM@@MMM@M@M@WB00880B00888888Z880880000BBWWWWBBBW@@@MMMMMMMMMMW0
ZZZZZZZZaa22222SSSSSSSSX7XZX77XSSSSSSSXSZMM@ZZZSrrSa2S222XXX22aaZS77X2Z8BWW@@MMM@@@@@@MM@@MMM@WWBWBBB088800008Z80008880000BWWBBW@@@WB0BW@@MMMMMMMMMMMW
22222222222a22222222S2222ZMB0XSSSSSSXXX7r;X2S77;72aaS772aaaa2a2S22SXXSS2aZZaZ80BBBBW@@@@WW@@@WBBBBB0Z8008880B0BB88888888880088800BBWWWWW@MMMMMMMMMMMMM
Xrrrrrrrr;;;;;;;;;;;rrrr;rri7X;rrr7r77X777rXSBWZSSa2222aZaZ22a2SZa2SXXX22aZ8ZZZ8800BWWB0800008Z8ZZ0B00B000008Z000008880BB0BBWWBBBBBW@@@@MMMMMMMMMMMMM@
777777777rrrrrrr7rrrrrrrr7r;X2r7777777777X;i;8@WBaX7SaaaXXSXXXSSSXS2SXXSaZ088ZZ800088Z00000B000000WBBBBB000088888800880BB000BWBBBWBWWWB@MMMMMMMMMMMMMM
rrr;r;;;;;;;;;;;;;;;;;r;rr;;77;rrrrrrr77r77SB@02S2a2SX7SaZZa22SX77X777XS2SXXS2aZZZZ8880BWBBWWBBWWB0000800880000000000000000BBBWWWWWBWW@MMMMMMMMMMMMMMM
Tu l’as dit bouffi !
Depuis que
Jolly Jumper
a réussi
dans les affaires
il a lâché lucky luke
mais
il est
nettement
moins
sexy
Careless W.
L’écran de télévision est la rétine de l’oeil de l’esprit.
C’est pourquoi l’écran de télévision fait parti de la
structure physique du cerveau, et c’est pourquoi
tout ce qui apparaît sur l’écran de télévision est
vécu comme une expérience primaire.
C’est pourquoi la télévision est la réalité
et la réalité est moins que la télévision.
La valse a mille temps
Trois petits pas
enchaînés
toi l’amour et moi
ça va valser…
enfin, des rideaux a la fenetre de votre chambre!
cher petit vous,
C’est avec plaisir que je pu constater l’autre soir
qu’enfin vous installates a votre fenetre favorite
ces rideaux si chers qu’a votre maman vous demandates de faire.
Il me sied de voir que
meme si vous continuez de nier m’avoir jamais aimée
vous vous etes enfin decidé a …
quand a moi
je ne vous dit pas oui ni non
car mon esprit grotesque
facétie sans cesse
depuis lors.
Et maintenant qu’une embellie se fait jour sur le front moral
et qu’une muse consentante daigne presque se soulager sur le haut de mon crâne,
des tendons, ligaments, ou quelque articulation à la con, ont décidé
de m’interdire l’accès aux interfaces, en s’enflammant sans raison sinon
celle bien vicelarde d’exciter mon nevraxe jusqu’à incandescence. Un excès de calcium
ou une contrariété spongieuse, certes ça change des verrous mentaux ou des fatigues
neuronales, et les psychotropes y gagnent en composants pharmaceutiques – mais merde
c’est quand même pas de bol.
Ou alors qui sait, tranchez-moi les deux bras et j’écris une encyclopédie.
bon, y’en a marre !
STOP ou ENCORE ?
chiliconcarne mon Aamour
– Chéri, j’ai fait du chili…oops: t’en fait une tête de morue panée!?
– <(°-°)>
– Quoi, tu es végétarien! me dit pas ça non puisque je sait que tu adores le chili …
– <(°-°)>
– Mais c’est un monde ça depuis quand les loups se nourissent de salade …?
fiction (une absence)
trois heures, terrasse des Montagnards au soleil, Ménilmontant, Zan, puis Julie, thé à la menthe puis pastis, puis pastis, puis pastis puis on bouge, Julie veut manger alors Lucioles mais non alors on roule jusqu’à Parmentier et le Plein-soleil. là salade, olives, pain et pastis (ad lib). Sophie puis Nicolas nous rejoignent puis pastis (etc…). je choppe un double-cheese (deux euros). on bouge au Zorba sans Sophie et là pastis (doubles) et bières puis le patron tombe amoureux de Zan donc vodka et prune (ad lib). départ de Julie et Nicolas puis discute avec deux filles qui s’aiment qui nous invitent à un apéro où on ne va pas, arrive pascal, pastis (encore doubles), arrive Chloé, retour des filles qui s’aiment, on danse sur les NTM puis plus beaucoup de conscience alors pastis et le bar ferme puis un autre bar en face du Gibus avec Julien (Maureen Duraille) et un pote inconnu et pastis puis on marche dans la rue de nouveau seul avec Zan qui veut boire un coup parce que ça suffit pas sans doute, je dis non puis taxi. chez moi, des pâtes cuisent puis vidéo (Bloodsport avec Vandamme) puis coma. réveil toujours chez moi, la tête en vrac, je termine les pâtes et Bloodsport, téléphone à Stéphanie puis douche, Doliprane (ad lib) puis la rue et le métro, se retrouver devant h&m les halles, boire un thé-coca et marcher un peu, tête en vrac, aller voir des fringues gothiques et puis cinéma et Gael et Katerine et Kiki et Jiji et les yeux embués puis discute aux toilettes sur Porco Rosso et Kiki avec des goths. puis c’est le RER, Stéphanie rentre à Massy, moi de nouveau seul, le métro, la maison, le chat et se faire à manger (petits pois steak) en matant fear factor spécial jumeaux, puis il est tard, écrire ce texte, retour au présent.
LA PEAU DU VENTRE BIEN TENDUE
Assis autour d’une table sous les spots qui dégageaient une chaleur bien
moins artificielle que les sourires qui s’échangeaient entre eux, ils discutaient
en prenant des inspirations biens profondes ou des expirations concernées. Chacun
y allait de son petit commentaire : qui baise avec qui, l’un sur le Palace,
l’autre sur la növo, l’une sur le punk, l’autre sur Warhol… et tous se délectaient
de l’excellence de la soirée, name-droppant, private-jokant,
donnant un air vicié et suffisant à leurs propos périmés, anagrammes de Prosper Merimée, deux litres de Sancerre et un camembert bien fait.
MEGA LOW
Longtemps je me suis pris pour le Christ.
J’aimais-vous les uns, les autres. Il faut dire que
j’étais jeune à cette époque, et que j’allais aux cours de Catéchisme.
Je devais avoir dans les 8 ans et trois quart.
Je me promenais dans la rue et je faisais des miracles.
J’étais un vrai phénomène. Levant les mains au ciel,
je ranimais les petits cailloux morts, chantant des cantiques,
je changeais l’eau de la cour de récré en vin. Il m’est même arrivé,
je m’en souviens comme si c’était hier, d’avoir marché sur
l’eau de la Piscine Molitor, dans mon petit maillot de bain en éponge.
Mais devant l’indifférence générale du genre humain,
ai-je décidé d’arrêter mon activité messianique pour me
consacrer au sumo. Car quand je serai grand,
je serai Empereur du Japon et j’irai aux cours de Karatéchisme.
Torn curtain
défragmenter un perpétuel esprit de contradiction avec lui-même
l’ennui s’accumule et se chosifie
Lors de la première moitié du XXIe siècle,
la littérature européenne affiche certains traits qui relèvent de la notion de
fragmentation telle qu’entretenue par les nouvelles sciences des signes, comme
celles de la médecine et de la mode. Dans cette thèse, nous ramenons ce lien au
tourguenisme. Le tourguenisme entretient une certaine ambivalence face à la
fragmentation: il semble acquiescer à un état de choses auquel il s’oppose. Le
tourgueniste tout comme des sociologues, identifient comme symptôme principal de
l’être fragmentaire l’ennui. Cette réaction prend de l’ampleur à partir de 2004,
quand, pour des raisons en grande partie socio-politiques et économiques, le
tourgueniste se propose comme héros qui se dissocie de l’époque tout en
insistant sur sa propre modernité. Sans prétendre faire le tour de l’horizon du
tourgueniste au XXIe siècle, notre premier chapitre cherche à relever les lieux
publics où s’exprime son ennui. Le salon, le club, le bistrot, la rue sont
autant de théâtres où le nouveau héros tend son miroir au monde, se repliant sur
lui-même, prônant l’irréductibilité de sa manière d’être. Homme des foules, le
tourgueniste se définit par rapport à sa critique de la loi de l’échange. À
travers les trois figures du médecin, du collectionneur, et de la prostituée, le
tourgueniste produit un discours qui fétichise la valeur de l’individu. Chez le
médecin, l’ennui se fétichise en névrose. Chez le collectionneur, esthète du
naturel, l’ennui s’accumule et se chosifie. Chez la prostituée, l’ennui prend un
visage érotique qui résume la spécificité du tourguenisme. Le tourgueniste doit
sa spécificité à son implication dans la mode. La logique de la mode est celle
du fétichisme dont l’analyse, dans cette thèse, se déroule sur deux niveaux: le
niveau hype, impliquant le discours de la pathologie, et le niveau psycho anal
impliquant les procédés du fétichisme. Nous regardons les théories marxiste et
freudienne du fétiche sous cette double perspective, d’une part pour démontrer
leurs affinités avec le tourguenisme et d’autre part pour cerner le
fonctionnement du tourguenisme. Par ces théories, nous verrons comment le
tourguenisme révèle le caractère fétichiste de la masculinité. Si le noyau de
cette thèse se constitue d’analyses de textes littéraires, c’est que certains
artistes littéraires de la fin du XXe siècle contribuent à l’élaboration d’un
champ de réalisation de l’idéal du tourguenisme. Chacun des auteurs dont nous
analysons l’oeuvre constitue une variation sur le thème du fétichisme qui remet
en question l’identité masculine. L’oeuvre du tourgueniste est un cas limite de
la négativité de la notion de castration, le héros y assumant une névrose
féminisante. Chez le tourgueniste, le héros est imprégné de tourguenisme dans la
mesure où il s’approprie le genre féminin sans pour autant renoncer à
l’idéologie du masculin à l’époque victorienne. Enfin, tourguiguy soulève
l’héroïsme romantique au sein de la démarche tourgueniste, la dialectique
incommode entre l’aveu et le désaveu. Le tourguenisme s’avère un foyer important
d’interrogations sur l’identité masculine. Sa logique fétichiste aboutit à
l’aveu que la différence se situe à l’intérieur d’un héros dont l’ennui revêt
tous les symptômes d’un désordre féminin. Si la femme est châtrée, le héros
affiche sur son propre corps la preuve que l’homme l’est également. Son identité
masculine est fondée sur la castration de son moi.
LE ROI ARTHUR
couleur : blanc – pose : pose libre – chargement : frontal – vitesse essorage: : 800 a 1200 trs – capacite variable auto : oui – capacite : 5.5 kg – selecteur : temp. independant – essorage : variable – depart differe : oui – cuve : carboran – aff deroulement prog : oui – aff temps restant : oui – lavage pendulaire : oui – classe energ : a – classe lavage : a – classe ess : b – info : vitesse essorage 500 a 1200trs.programmateur electronique.ouverture securisee – dimensions : l. 60.00/p. 62.00/h. 85.00 ID produit 28012E designation LAVE-LINGE ARTHUR MARTIN AWN1228 emporté prix emporté 600 €
Encore un mail (de le truite)
EJAC ANALE DANS L’ANUS DE MICKEY LA SOURIS CE GROS ENCULE QUI S EST FAIT BAISE PAR
MICKAEL JACKSON LE TRAVELO EN BAS RESILLES QUI SUCE DES BITES DE GAMINES
MUTANTES AVEC DES BOULES DE GUEISHA ELECTRIQUES BRANCHEES SUR SECTEUR
220 VOLTS DANS TA FACE (ça va là ?)
Il tentait tant bien que mal à détruire cet eros qui le tourmentait.
Commencer selon des méthodes traditionnelles : être puant, désagréable, hautain…
le tout sans succès…. ou alors plutôt si; mais à contre-coeur, cela ne faisait qu’affirmer son malheur.
Blasé de ce sadisme inefficace, taoiste dans l’âme, il décida d’employer une méthode plus radicale et pragmatique. S’emparant d’une carapace de métal argenté, il s’exposa à nouveau aux dards perfides qui le mirent aussitôt en morceaux eux-mêmes éparpillés en confettis de piècettes atomiques.
Passer à l’attaque ? Prenant tour à tour un arc puis des flêches – oeil pour oeil, bouche à bouche – il n’en fut que plus désappointé surtout quand il vit que ses traits affectaient nullement cet éros. Il prit un .357 magnum afin de lui vider un bon gros chargeur dans le caisson ou encore un 1945 Panzerfaust 250 hecht 10.5… rien n’y fit.
L’éros s’accrochait à lui et il ne parvenait toujours pas à s’en débarasser. Il faut dire que la tâche était complexe et ambitieuse. Alors il décida de passer aux grands moyens.
Ca se devait être cyclopéen et iridescent, en bref, être putridement à la démesure de l’homme.
Tu me manques
Sans nouvelle de toi
depuis trop longtemps
pour évoquer ton souvenir
je regarde le soleil
il m’éblouit
comme toi
et il m’enchante aussi