Bon anniversaire Tourgueniev


Jérémie regardait le bonhomme avec un soupir impuissant. Ses yeux commençaient à piquer mais il résistait au sommeil. Il écoutait ce que le petit tourgueniste lui disait:
« Bon, je vais essayer de travailler tout seul mais c’est dommage, j’aimais bien quand on était tout les deux… on a fait du bon boulot avec la scie sauteuse rouge. On a juste un peu cassé la porte… »
« Oui, répondit Jérémie. Mais comme ça, c’est mieux, on voit bien le volant et, si je voulais, je pourrais m’asseoir dedans et conduire. »
« T’es trop petit, fit le petit tourgueniste. »
« J’ai déjà vu mon papa et ma maman conduire. Quand je suis assis derrière eux, je regarde bien entre les deux sièges comment ils font. Ils tournent la clé pour faire partir le moteur et puis après ils tournent le volant dans le sens des tournants. »
« Eh ! t’as oublié les clignotants avant de tourner ! »
« Ah oui, ça fait clic-clac pour dire aux autres qu’on va tourner… mais j’ai pas envie de leur dire où je vais, moi, aux autres… »
« C’est pas très gentil… et puis c’est dangereux… tu risques un accident. »
« C’est pas grave, fit Jérémie en riant, j’irai me faire réparer chez Tourgueniev ce héros. »
Le petit tourgueniste se mit à rire aussi.
« Tu viendras faire réparer ta scie sauteuse, mais pas te faire réparer. C’est le shaman qui te réparerait si tu étais cassé. Il t’emmènerait dans l’ambulance… »
« La blanche ? demanda Jérémie. Celle avec la croix bleue sur les côtés, la lumière sur le toit et le coffre derrière qui se relève ? »
BALADE ORANGE |
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QUAND LES PROGRAMMES DE DIVERTISSEMENT TELEVISES SONT TERMINES - LA VILLE NE SE CONTENTE PAS D'ETRE VIDE - ELLE EST SILENCIEUSE - ET LES LUMIERES S'ETEIGNENT - COMME DANS LE COULOIR DE LA MORT - QUAND LA CHAISE ELECTRIQUE EST EN MARCHE - |
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A
An
Bon
Boom
Comme
Bonne
Bonne m
Bonne ou
Bonne oui
Bonne nuit
Bonne nuit m
Bonne nuit on
Bonne nuit non
Bonne nuit mon
Bonne nuit mon à
Bonne nuit mon an
Bonne nuit mon ami
Bonne nuit mon amie
Bonne nuit mon ange
deus does not exist. but if he does, he lives in the sky above me, in the fattest largest cloud up there. he is whiter than white and cleaner than clean. he wants to reach me. deus does not exist. but if he does i always notice him. getting ready in his airy room. he is picking his gloves so gently off. he wants to touch me. i’m walking humbly down a tiny street. pulling my collar it gets bigger. i once met him. it really surprised me. he put me in a bath tub. made me squeeky clean. really clean. to create a universe you must taste the forbidden fruit. he said hi. i said hi. i was still clean. deus does not exist. but if he does he’d want to get down from that cloud. first marzipan fingers than marble hands. more silent than silence and slower than slow. diving towards me. my collar is huge room for two hands, they start at the chest and move slowly down. i thought i had seen everything. he wasn’t white and fluffy. he just had sideburns. he just had sideburns. and a quiff. he said hi. i said hi. i was still clean. i was squeeky clean. i was surprised. just as you would be. deus deus. he does not exist. deus deus.
Ambition : me marier, avoir des gosses et regarder les feuilletons toute la journée !
C’est ennuyeux, hein ?
Désolée, je n’ai pas grand-chose d’autre.
Envie de vivre : L’essentiel, c’est le saut dans l’inconnue.
Je ne baisse jamais les yeux !
Dix ans après, certaines images me hantent toujours.
Tu te coupes un peu du monde, personne ne te comprend vraiment, prendre une arme à feu et sauter par la fenêtre du neuvième étage : aujourd’hui, on peut choisir de s’échapper.
Une fille disparaît chaque semaine.
may use such information for its business purposes, including for technical information in a form that personally identifies you.
My name is Yana. I live in Ukraine. I am easy-going and sociable, I like meeting new people and learning new things in my life. I like to go out with my friends, to go to picnics, to dance and to listen to music. I love sport games, especially beach volleyball. And I have my own homepage, so if you are interested, you can have a look at it
My page
Best wishes,
Bye-bye
Yana

Je voudrais pouvoir comme le Saule
faire table rase de nos tempêtes.
Après « Vous n’aurez pas l’alsace et la lorraine »
voilà
« Allez vous carrez une quiche lorraine en als4$$ »
alleeeeeeeeeez on rigole ;-)
Manque passager d’inspiration, manque de temps, coup de flemme, absence momentanée, vacances… vous voulez malgré tout garder votre blog vivant.
Nous pouvons vous aider.
Equipe de blogueurs polyvalents nous pouvons vous assister sur un ou plusieurs « posts ».
Nous sommes suffisamment expérimentés pour composer sur des thématiques variées: politique, littérature, journal intime, actualité, art… en langue française ou anglaise.
Nous pouvons adapter nos contributions en respectant le fond et la forme de votre blog.
Nous intervenons régulièrement de manière parfaitement anonyme sur quelques blogs francophones dont certains sont très en vue.
Nous ne revendiquons pas la propriété des « posts »: vous apparaissez comme étant le (ou les) seul(s) auteur(s).
Dans l’esprit originel des blogs ce service est gratuit.
Notre seule motivation est de fournir à la communauté des blogueurs un service dont nous aurions aimé pouvoir disposer à certaines occasions.
N’hésitez pas à nous contacter pour plus de détails sur le service.
L’équipe « Negre_de_blog«
donc : le festival se prolonge…
ce soir ici
demain 3ème étage de la tour eiffel,
dimanche ici et
lundi là pour l’apothéose finale.
La Victoire du moment le plus jouissif revient donc aux Wampas, puisque Didier a déclaré :
« Les Wampas n’aiment pas Kyo et la variété pourrie » avant d’interpréter « Manu Chao ».
le renard fume
en rêvant
de la pluie fraîche
sur mon toit
les sushis sont pourris
mon estomac est vide
je bois du saké brûlant
Elle aime l’odeur de la poudre et le bruit hypnotique des wagons

N’ayons l’air de rien.
« L’haleine de l’amour ne laisse pas plus de buée sur
mon oeil que la bouche du mourant. » (JR)
La chaussée mouillée derrière l’envers de paupières
Lourdes lire un blog les paupières encore plus
Pesantes mais tard le soir dans un after-writing
Pour dormir
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7:00
pm |
NEW YORK (AFP) – Le clavier d’ordinateur, la souris et le combiné téléphonique
d’un employé de bureau sont des nids à microbes, bien davantage
que le siège des toilettes, révèle une étude de l’Université d’Arizona (sud-ouest),
qui recommande la désinfection régulière des surfaces de travail.
En moyenne, un poste de travail peut être porteur
d’une quantité de germes microbiens 400 fois supérieure
à ce qu’on rencontre en s’asseyant sur les toilettes,
précise l’étude menée par le Dr Charles Gerba,
chercheur en microbiologie à l’université.
Sur chaque poste, le combiné téléphonique,
avec 25.127 germes recensés en moyenne,
le clavier d’ordinateur (3.295)
et la souris (1.676) sont les objets les plus sales.
Nadia, l’analyste héroïne, est non seulement en train de dénouer un imbroglio inter étatique passionnant mais surtout en train de chercher une morale amoureuse entre son ancien fiancé guébiste, Oleg l’idéaliste, son sauvage baiseur de l’Ouralbank et le phallocrate assassin Igor
Vos mains vous révèlent, s’appliquent sur de nombreuses parties du corps.
Ouvre-toi.
Mais je reviens à cette notion de lien.
Parce que je pense que cette femme est la reine du lien.
Comme toutes les femmes, je m sens très chic en sortant de chez moi.
Jusqu’à ce que je croise une femme vraiment chic dans la rue…
Soit. Puis, lors d’une soirée dans une boîte lesbienne, je me mets à sortir avec une fille.
Depuis ce jour je suis totalement attirée par les femmes, mais j’ai toujours l’air d’avoir fait la fête la veille.
L’ornement n’est plus un crime,
la nuit est jeune, le jour se lève,
bonne nouvelle pour nous les gourmandes,
plus on jouit, plus on jouit,
je sauterais bien la baby-sitter.
(mais je n’ai pas encore réussi à TOMBER enceinte) ;
femmes fontaines, femmes humides, je m’en lave les mains.
C’est quoi une fille ? Où sont les femmes ? À quoi les reconnaît-on ?
Elles notent tout.
Dans des appartements vides, sur des fauteuils, table, cuisine, sandwich, par terre, baignoire, fenêtre, piscine, je ne sais combien de chattes j’ai léchées.
Comment le dire avec des mots ?
« Les garçons veulent juste coucher avec les filles. » (Bruno de Stabenrath dans Paris Obs du 18 au 24 mars 2004)
fpc fortuitous alligator weiss pyhrric belly chinese media dignitary carcass
infantile gubernatorial operand cushman downbeat mimicking hester loretta
conic every miscellaneous anyhow winnipesaukee.
C’était il a y a un bail, déjà. Depuis, les journaux intimes et les logs de geek imbitables, ça a fini par fatiguer tout le monde, leurs auteurs les premiers.
Comme il y en a toujours qui veulent faire les malins, on parle déjà de la ringardisation des blogs. Avoir un blog, ce n’est déjà plus assez pour animer une conversation entre deux platitudes. Connards de blogueurs.
D’autres, plus pragmatiques, essaient de rentabiliser le truc avec leur carnet d’adresse constitué grâce à la blogotruc : développement de plateformes éditoriales, site de camshots avec allopass, publicité, etc…
Mais le pire, la dégénérescence absolue de ce sympathique outil qu’est le blog provient de ceux qui se creusent ce que les hasards de la gestation a bien pu mettre dans leur boite crânienne pour trouver un nouveau « concept » attractif. Ah ça, putain, les blogueurs adorent les « concepts », ils s’en font des bains de bouche.
Le blogueur type chie mollement sur l’ordre établi, affiche un cynisme hésitant dans son ode au consumérisme, nous inflige sa mauvaise poésie dans l’espoir vain de se faire pardonner mais il parle comme un chef de pub véreux.
Il faut du concept, de l’accroche, du design chiadé et un bon relationnel avec les blogueurs les plus connus afin d’assurer un bon score en visiteur/jour. Méthode de l’industrie du divertissement employée dans un but même pas lucratif. Triste et absurde.
Les poètes du dimanche avaient leurs rimes pauvres, les blogueurs ont leur réfèrences navrantes (beigbeder, bret easton ellis, naomi klein, matrix).
Plein d’écrivaillons de merde qui désespèrent de se faire publier, des chroniqueurs hype amateurs qui, à défaut de le ressentir, espèrent donner à leurs lecteurs le grand frisson de la branchitude. Pose et arrivisme. Vulgaire et merdique.
Pour le fun, allez jeter un coup d’oeil au dernier rejeton de la fabuleuse équipe de kedlagueul, ça s’appelle Clichey (sic) et c’est beau comme un numéro de WAD dont on aurait arraché toutes les pages à l’exception des pubs
Pour être franc, je pensais pas que ce serait aussi foireux, la blogosphère.
Je voyais ça comme un truc marrant, un peu comme ces vieux fanzines photocopiés sur du papier dégueu, à une époque pas si lointaine.
Alors, plus que jamais, il faut que le tourguenisme avance !
« Il en est du véritable amour comme de l’apparition des esprits :
tout le monde en parle mais peu de gens en ont vu. »
(Maximes, La Rochefoucauld)
Ici Clipperton.
Les poissons parlent aux bananes :
Les rires joyeux des guitares hivernales…
quatre fois… je répète…
Les rires joyeux des guitares hivernales…
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Elle a infiltré la meute,
elle raconte toutes les combines pour monter direct au paradis ***
Atteindre n’importe quel point de la planète en deux heures.
Certes.
Mais avec tout ça, comment je lis l’Equipe moi maintenant ?

je pense à toi
nuit et jour
et mon
tic tac tic tac
ne bat que
pour toi…
« La plus belle fille du monde ne peut me donner que ce que j’ai. » (Jacques Rigaut)
Where do we go from here?
Why is the path unclear?
When we know home is near
Understand
We’ll go hand in hand
But we’ll walk alone in fear
BALADE BLEUE |
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J'AI LES DENTS POURRIES - JE FUME COMME UN POMPIER - JE BOIS ENVIRON 2 LITRES D'ALCOOL FORT PAR JOUR - SI J'AI DE LA CHANCE, JE PASSERAI LES 40 ANS - MAIS J'EN AI RIEN A FOUTRE - CAR JE SUIS LA CREATURE LA PLUS SEXY DANS UN RAYON DE 150 KILOMETRES - ALORS EN DEFINITIVE - J'EMMERDE CE GOUVERNEMENT QUI VEUT ME RENDRE PROPRE - CAR JE SUIS BEAU - ET CA ME SUFFIT - |
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c’est à nouveau
l’anniversaire
de
Tourgueniev ce héros
et
comme l’année passée
on va jouir
de
nombreuses orgies/bamboches
schizoïdes sans oublier de se frotter
les cuisses avec de petits boudins blancs.
be prepared !
… du 3 au 5 mars 2004
Darling, stop confusing me,
with your wishful thinking.
Hopeful embraces,
Don’t you understand?
I have to go through this,
I belong to here where no-one cares,
and no-one loves.
No light no air to live in,
a place called hate,
The City of Fear.
I play dead,
It stops the hurting.
I play dead,
and the hurting stops.
It’s sometimes just like sleeping,
curling up inside my private tortures.
I nestle into pain,
Hug suffering,
caress every ache
I play dead, It stops the hurting.
NEVER SAY AGAIN : j’abdique.
{encore}
fucker
Puis finalement constater que la métempsychose du mouton s’achève en son sein
Arrêter le flux pour mieux le poursuivre dorénavant
Vivre des paradoxes édictés comme des commandements
En survivant tout en mourant un peu plus à chaque fois que le soleil }me{ fuit _
il faut savoir :
Provenant du latin nihil, « rien », et recouvrant deux réalités,
l’une historique, l’autre philosophique,
le terme de nihilisme a été employé pour la première fois en 1862 par Tourgueniev
dans son roman Père et fils pour caractériser l’« homme nouveau »
qu’il décrivait en Bazarov, son héros.