ou

prête moi ta vertu

je deviendrai ton tourgueniste

Weird pleased and Rainglasses (please don’t wear sunglasses)

Dès lors, plus rien n’est anodin. Et encore une fois, au risque d’être présomptueux, je me veux solennel.

because you do ?


HÉ BEN !

déjà-vous ?

comme sur un blog (reprise)

TODAY IS RINO DAY

HAVE A HAPPY ZERO

Have You Ever Seen The Rain

egg space remix party (waitin’ for fun)

Orange juice, dishwashing mess and non-falling bombs

NEVER SAY AGAIN : j’abdique.

{encore}

fucker

Puis finalement constater que la métempsychose du mouton s’achève en son sein

Arrêter le flux pour mieux le poursuivre dorénavant

Vivre des paradoxes édictés comme des commandements

En survivant tout en mourant un peu plus à chaque fois que le soleil }me{ fuit _

My legendary girlfriend

un jour à cette heure il fera nuit depuis quelques minutes

le tourguenisme victime du froid ?

Avalanche

ils sauront me trouver avec leur coordination acoquinée depuis peu

Ink Tank





don’t stay under

intense tourguenism
spin spin chocolate
stop it fill with sugar
macadam brightness
melting-in-progress
wrapped in fever
the fleece-lined state
reached

at least

Le tourguenisme ça va, mais est-ce que seulement ça vient ?

Almost Parisian Psycho

_ Hier soir, il y avait un trognon de pomme sur mon lit

_ Et j’ai failli l’écrire

_ Les soirées ne sont pas autres que celles de leurs jours à cela près que ceux-ci ne sont plus les mêmes

(négatif)

We’ll sail home by moonlight…another honeymoon.

the place where the black stars onions hang

AkaSpringSeed

so sweet


tuez moi
oui, si je me
noie muet
dans le monde, là, autour.

demain j’arrête ?

une autre idée de l'infini

Le nénu-phare sur tes mers placides

Que ma transparence supersonique

Caressera bientôt

La trouble tourbe passagère

Evase une fleur

Au rêve accolée

Puis le souffle cesse

En un lascif enlisement

Bienvenue dans ton cul

[destruxxion eggs rules my zootropic world, howls the preacherman]

le persistant : elle avait ce goût de marécage…

En effet, méfions-nous…

Report d’audience

Entre toi et moi

Il n’y a qu’un miroir

Mais derrière tes photos

Il n’y a pas ce à quoi tu tournais le dos

depths of memory

Spleenapse

Mais, alors, le tourguenisme ?

Trashing days

reconstituer ne serait-ce que pour ne pas comprendre

Pas de climat

tell me how to live

desserre les fesses

Battery in your leg

alors trouver pour la dernière fois un ersatz au faire



—- ma vie est un marécage —- vivre en deçà du réel —

— les surgissements du flux ne sauraient masquer son existence –

— il n’y a pas de vérité à atteindre si seulement le sens ///

où l’échochor n’indente seulement la répétition
l’épilepsie étêtée
la descqente

charogne d’été, printemps d’hiver ?

she said : hug
i said : smoke signals
she said : why smoke signals
i said : because hug

Paradigme artificiel

Every time i think of you

I feel shot right through with a bolt of blue

It’s no problem of mine but it’s a problem I find

Living a life that I can’t leave behind

There’s no sense in telling me

The wisdom of a fool won’t set you free

But that’s the way that it goes

And it’s what nobody knows

While every day my confusion grows

Every time I see you falling

I get down on my knees and pray

I’m waiting for that final moment

You’ll say the words that I can’t say

New Order – Brotherhood

j’ai vu des rues mourir pour moins que cela
toutes les nuits

en bas

on dirait la plage

Those things happen…

Murray Ostril

et mourir comme voir venir Venise que l’on n’a jamais vue

Comme chaque semaine, j’attendais, seul, ma pizza, ronde. Le restaurant aux charmes italiens était rempli d’une musique qui remplissait aussi mes oreilles, alors que mes yeux suivaient en diagonale un livre de martiens bradburyens.

Elle arriva.

J’écartai les couverts et enlevai la serviette afin que le restaurateur pose le plat.

Puis je réalisai. La lourdeur.

La fourchette était lourde. La sensation fut étrange. Ephémère car elle disparut au bout de quelques secondes, rondes.

Toutefois, dans la devanture, une affiche ondula, se troubla à mon regard.

Je fus moi-même troublé.

J’avais eu l’impression de soupeser un minerai extraterrestre, martien, défiant notre bonne vieille gravité. Cependant un homme affamé écoute son estomac et non sa Raison qui le pousse à comprendre.

Je l’ai mangée.

Je repensais au fait qu’elle n’était plus qu’un premier quartier de lune.

Je fus de nouveau troublé.

Mais les saveurs italiennes du mets dissipèrent mes doutes intergalactiques sur l’origine de la fourchette, vulgaire objet qui semblait être d’inox.

Je payai avec un billet bleu, petit homme vert sur la planète bleue.

Une fois dans la rue, je réalisai. La lourdeur.

La fourchette avait été lourde. Et je l’avais oubliée. Car pendant un instant, j’avais aussi songé à la dérober pour pouvoir l’étudier.

Absurde. La Raison est si peu face à l’immensité. Je fermai mon manteau vert, mes yeux, clignement involontaire pendant lequel j’entr’aperçus la vérité que ma Raison n’aurait pu conceptualiser.

Ils trinquèrent avec ce liquide qui rend les mers bleues, sobres mais hilares, car les petits hommes verts ne cultivent pas la vigne et ne peuvent, sur leur planète, boire du rouge.

Déclinaison -III



WISH DO NOT HOPE

HOLD « LOVE » TIGHT

SEE YOU

KiSSES

ps :: there is no end, tourguenism is forever

password : dustsucker

fEEd me, i’m {FAMOUS, CE HÉROS}

l’immortalité, parlons-en.

Torn curtain

défragmenter un perpétuel esprit de contradiction avec lui-même

Never published successfully

15/03/05 : une variante mineure konsstruktVOUSencule (également nommée lire_la_suite, [MISE_A_MORT]_roman_à_suivre ou [999poèmesSERIEtourgueniev]) a été identifiée. Elle est fonctionnellement identique à konsstruktVOUSaime mais se propage via les blogs collectifs et peut nécessiter une nouvelle mise à jour de l’antivirus pour être détectée (l’utilitaire de désinfection FxOrgasminert2.001.6.3 ne suffit plus).

Ces cinq minutes de larmes vaudront pour toujours, mon ange

… qui vont droit dans le mur

lorsqu’on veut braquer vers

l’extérieur ou l’intérieur

de l’amour pas mal heureux

Impossible de trouver le serveur, ce héros

l’hôpital : ah enfin !

pardonnez-moi mais c’est plus fort que moi

il m’arrive d’oublier que je ne suis pas réel

il y a des lundis où je tente en vain de m’agrafer les mains

This is normal

Nastassia Philippovna s’avança ; son visage était pâle comme un linge, mais ses grands yeux noirs jetaient sur les curieux des regard brûlants comme des charbons ardents. Ces regards, la foule ne put les supporter ; l’indignation fit place à des clameurs d’enthousiasme. La portière de la voiture était ouverte et déjà Keller tendait la main à la mariée, lorsque celle-ci poussa un cri et, quittant le perron, piqua droit sur la foule. Les gens du cortège restèrent paralysés de stupeur ; le public s’écarta devant elle et à cinq ou six pas du perron apparut soudain Igor Tourgueniev. Elle avait aperçu son regard parmi tout ce monde. Elle courut vers lui comme une folle et lui saisit les deux mains :

– Sauve-moi ! Emmène-moi ! Où tu voudras, à l’instant même !

we are

but

we are

                                                                                                           

on ne bouche pas une semaine d’intourguenisme comme ça.

Su la mé

Quand je sis sus le rivage

Byin tranquille, êt’ous coum mei ?

J’pense es syins qui sount en viage,

En viage ou louan sus la mé

En viage ou louan, en viage ou louan sus la mé

La mé, ch’est vraiment superbe,

Et j’aime Byin quand i fait biâo

L’étaè sous nous cllos en herbe

La vei s’endormin un miot.

Mais quand o’s’fâche la vilaine,

Et qu’no-z-entend, dé t’cheu nous,

La gross’voué de la sirêne,

No-z-en a quasiment pouâ.

J’aim’byin, dans les jouors de fête,

Quand les batiâos sount à quai,

A l’abri de la tempête

A Chidbouorg coume au Bequet ;

Ch’est lo qu’i sount muus, sans doute,

Des treis couleus pavouésaès ;

Mais, dé nyit, dans la déroute ;

Hélos ! Qu’i sont esposaès.

Quand o sâot’ par sus la digue,

D’qui qu’o fait trembller les bllos,

Qu’à l’auncre, l’vaisseau fatigue,

Ah ! Veir’, jé pense es mat’lots !

Réverront-i lus villages,

Et pourront-i ratterri ?

J’avouns d’si mâovais parages

De Barflleu jusqu’à Gouory !

J’ai Déeus fis dans la mareinne,

Déeus forts et hardis gaillards

L’eun révyint dé Cochincheinne,

L’aôtre dé Madagascar.

I Rentrent, lus corvaèe faite,

D’y pensaer, no n’en vit pus

Mais que j’pllains, sans les connaître,

Cheus qui sont restaès lo-bas !

Couette and sEA


Igor is back ?

bon sang, j’ai déjà vu cette moquette quelque part…

.
.
.
.
.

……
ah oui,
nom d’un phoque,
j’y suis,
– GASP ! –
nooooooon ?
ne me dites-pas que Nothing n’avait qu’à teindre en rouge son vieux tapis rose
pour le refourguer ici
?

at dusk light caught behind insect speed regulates darkness fall

Dans trois jours, se dit-il, j’aurai une barbe de trois jours.

Mes yeux sont le sang, le déversoir de flaques

Les vers m’ont définitivement rongé comme

Un évènement majeur dressé devant l’art

This ain’t Tourgueniev

This ain’t Tourgueniev either

La poésie qu’est-ce au fond

Sinon des mots dé-pesés, détoxiqués – – –

Same mistakes

ouvrir la fenêtre sous la douche où mettre son amour

Déclinaison -I

Nos yeux brûlent alors il faut arrêter.

J’inspire (jusqu’)à ce que mes pieds serrent

C’est déjà pas mal, au diantre d’ailleurs


Alors :

Joyeux dégel à peu ou prou de courbatures

Constat post :

Un verre sèche et tout est dépeuplé

ou alors j’ai loupé un épisode…

mais toujours tu sais…

A moi, à moi …

… crient-elles dehors. C’est signe de vent.

Depuis toutes les sphères

La chaussée mouillée derrière l’envers de paupières

Lourdes lire un blog les paupières encore plus

Pesantes mais tard le soir dans un after-writing

Pour dormir

Les tourguenistes de tout poêle vous souhaitent un joyeux noël





De nos jours, Nikola Akileus recule.

This is hardcore

il y a un code dans mon coeur c’est le zéro absolu

Moi aussi je peux faire mon Kontrauleçaiquontroleuvée

mercredi 15 décembre 2004, 10h05

Britney Spears pue des pieds



La jeune chanteuse, accompagnée de son mari Kevin Federline sur un vol Los Angeles-New York, a failli intoxiquer les passagers.

D’après IMdB, Britney Spears s’était délestée de ses chaussures pour se mettre à l’aise quand une odeur insupportable s’est mise à flotter dans l’air. La chanteuse ne s’apercevait de rien, mais ses voisins ont commencé à se plaindre à l’hôtesse qui a dû lui demander, gênée, de remettre ses chaussures.

Britney Spears est alors devenue rouge comme une tomate et s’est mise à rire. Elle a alors expliqué que c’était ses chaussures qui faisaient sentir ainsi ses pieds et les a vite remises. Les autres passagers ont enfin pu respirer !

(source)

Merde

Il faudrait toujours avoir quelque chose à dire

Non

{…}

even dead ?

Vampire racecourse

Picture show



une exhumation ?

tu sors d’une crypte nicolas ?


brr…

Il est arrivé !

En effet, on a le beaujolais que l’on mérite…

remember level 1 : autodelete please

je suis né dans le trouble

il y a peu un peu plus

j’arrive à la fin après

le reste comprend rien

croise les écritures moi

je les délie après tout

invidation à l’intérieur

de moi-même puis presque

résurgence du côté virtuel

sinon toi tu m’enfer-mes

puis tu n’ouvres qu’à guise

alors ne sais si reparaître

dans l’éventail des uns

possibles des autres est

à ma disposition à celle

de tes paradoxes-miroirs

/* dead nature is dying

while(1)

{


Mes yeux voient le monde

Mais ils brûlent

Alors


}

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