Titre du film

J’aurai aimé …

ou

Nous aurions aimé …

ou

Loin devant nous

missing for my friend

Old par Gu. le 03 Déc 2003

IGOR LA PETITE BITE ?

La transformation a commencé

Je suis celui qui n'a pas de casquette

Si on a honte de notre bien-être

Et si on est bien dans notre honte

Et puis si tout doit disparaître

Peut-être que c’est mieux en fin de compte

‘j’ai violé violaine’ ferait un bon titre mais son principal défaut serait qu’il n’a évidemment rien à voir avec l’histoire. ce serait un titre tautologique comme ‘le cri du cormoran le soir au-dessus des jonques’ ou ‘l’automne à pékin’. ‘le vent des steppes’ ferait aussi un bon titre mais il y a déjà un film au titre similaire au québec, ‘le vent du wyoming’ de marc-andré forcier. ‘la mer sait décliner les bleus’ serait pas mal si seulement le film ne se passait pas dans la pluie et la neige de novembre au québec…

aaaaaaaaaaaaaaah aidez-moi à titrer ce putain de film !!!

This is normal

Nastassia Philippovna s’avança ; son visage était pâle comme un linge, mais ses grands yeux noirs jetaient sur les curieux des regard brûlants comme des charbons ardents. Ces regards, la foule ne put les supporter ; l’indignation fit place à des clameurs d’enthousiasme. La portière de la voiture était ouverte et déjà Keller tendait la main à la mariée, lorsque celle-ci poussa un cri et, quittant le perron, piqua droit sur la foule. Les gens du cortège restèrent paralysés de stupeur ; le public s’écarta devant elle et à cinq ou six pas du perron apparut soudain Igor Tourgueniev. Elle avait aperçu son regard parmi tout ce monde. Elle courut vers lui comme une folle et lui saisit les deux mains :

– Sauve-moi ! Emmène-moi ! Où tu voudras, à l’instant même !

peau de chagrin d’âne?

Sous ce magnifique soleil, je…


spjiralii invocaatç

for bloodTalk conversations spirituelles

couleur

lotus, ctgr - sunbarking me tender

J’ai trouvé mon grand oeuvre dans cette vie, ma tâche à accomplir sur cette terre : c’est toi.

Je veux t’aimer et te rendre heureux comme tu me rends heureux,

chaque heure,

chaque jour,

chaque nuit,

de la naissance de l’univers à la fin des temps,

nous sommes les fils d’une même trame, les anneaux de la même planète,

indissociables et lumineux.

Et si un jour tu disparais, mon âme rejoindra la tienne bien avant que mon corps se désagrège,

nous sommes un et pour toujours,

ne l’oublie jamais

Old par M. Fox le 15 Déc 2003

Minuit pile

Je suis avec mon bro' et ma douce beauté

Old par igor le 20 Déc 2003

On va manger un horrible oiseau demain. Les lumières (les fleurs) sont belles, clignotent et les tables sino-nippones sourient, drôles. Au bout du monde tu passes pour moi des disques d’Amour. Dehors, il fait tout blanc, enfin. Tes mots me gardent à l’abri du vent. J’écoute Daho.

Old par igor le 23 Déc 2003

couleur

lotus, ctgr - rouge rouge

The overarching themes of the conference focus on contemporary

and past theory as species of risk-taking.

Tentative sessions include:

The ends of gaming

Taking practical risks in doing theory

The break-up of established interpretive systems

The moment of crisis tackled head-on

What redemption is there in risk taking?

The dubious synchronicity of theory and its objects

Chance by chance

Balancing the waste-book

Morality at the edge

What kinds of urgency?

Gamblers and Idiots

Getting badlucky

Theory gambled away

When to stop the game?

What prosthetic futures for such bright pasts?

Speculation and hazard

Theory junkies

The theory of gambling and the gambling of theory

J-2 au château

douce beauté

douce beauté

– bon, thomas , tu t’occupes du reveillon tourgueniste et on en parle plus, ok?!

un truc sans chichis a base de popopo, hein…

– c’est ce qu’elles disent toutes…

– …

le récitant : close the world, open the next ?

Old par igor le 29 Déc 2003

ELEKTRON-KANIVEAU LIBRE!

Old par igor le 24 Déc 2003

Pourquoi fuir vers Toronto ???

RWD >> Saint-Jean de Cherbourg

in Les Monts Chics-Chocs

Non ?

Je reviens de Florence—————-

he bien John Travolta n’a rien inventé…

Old par -- Zan le 04 Déc 2003

iguana nuights



il a ouvert la bouche

et prononcé quelques mots

que je n’ai pas compris

bien que mes oreilles

fuss fussent fussssssss

enfin

de grandes oreilles.

We wish U



Elite Force Aviator: George W. Bush – U.S. President and Naval Aviator – 12″ Action Figure

Blue-Box

Price: $39.99

Age: 14+ years




BBI proudly introduces the latest issue in its Elite Force series of authentic military 12- inch figures, President George W. Bush in naval aviator flight suit. Exacting in detail and fully equipped with authentic gear, this limited-edition action figure is a meticulous 1:6 scale recreation of the Commander-in-Chief’s appearance during his historic Aircraft Carrier landing. On May 1, 2003, President Bush landed on the USS Abraham Lincoln (CVN-72) in the Pacific Ocean. While at the controls of an S-3B Viking aircraft from the « Blue Sea Wolves » of Sea Control Squadron Three Five (VS-35), designated « Navy 1, » he overflew the carrier before handing it over to the pilot for landing. Attired in full naval aviator flight equipment, the President then took the salute on the deck of the carrier.

This fully poseable figure features a realistic head sculpt, fully detailed cloth flight suit, helmet with oxygen mask, survival vest, g-pants, parachute harness and much more. The realism and exacting attention to detail demanded by today’s 12-inch action figure enthusiast are met and exceeded with this action figure. This incredibly detailed figure is a fitting addition to the collection of those interested in U.S. history, military memorabilia and toy action figures. Actual figure may vary slightly from item shown. Note: some plastic accessory trays inside the commemorative display box may have extra spaces.

Igor MC prend le microphone, genre love story raggamuffin
Pour te parler d’une amie qu’on appelle Caroline.
Elle est ma dame, elle est ma came, elle est ma vitamine,
Elle est ma drogue, ma dope, ma coke, mon crack, mon amphétamine,
Caroline…

Old par igor le 04 Déc 2003

salut félix j.

je sais pas si tu te rappelles de moi, parce qu’à vrai dire la seule fois où je t’ai vu t’étais foutument beurré… Mais j’avais envie de t’écrire, ou de te rencontrer pour de vrai, c’est sans doute ça la vérité. Donc voilà. Est-ce que tu te souviens? Chez Juliette, en août, j’étais avec xxx…

Par pitié souviens-toi…

julia-lo qui t’embrasse

Old par felix le 03 Déc 2003

Message à caractère informatif

– c’est ce qu’elles me disent toutes en fait…
– …
– sinon pour le 31, j’encourage les tourguenistes à se pinter la ruche et à rester au taquet jusqu’à l’aube.
moi je risque d’être dispo à partir de 2/3 heures du mat’ et déjà bien grave donc si vous avez des plans…

Old par igor le 24 Déc 2003

Moi j’ai besoin d’amour

Des bisous, des câlins

J’en veux tous les jours

J’suis comme ça

Mon coeur est à la fête

Lorsque tu me prends dans tes bras

Ca me suffit, je suis heureuse comme ça

Un p’tit signe de la tête

Des p’tits clins d’oeil par ci par là

Ca prouve que tu penses à moi

Old par igor le 07 Déc 2003

we got her

walkin’bOtanik

soup4feet

Old par Gu. le 04 Déc 2003

Comédie

Tatiana Repina est une courte pièce, si courte, qu’elle fut ignorée dans l’oeuvre de Tchekhov et n’a jamais encore été présentée sur scène. Elle est forte et vive cependant, comme le fait divers qui l’a vraisemblablement inspirée. C’est jour de noces : Pierre Sobinine se marie, selon le rite orthodoxe. Nous sommes, vous êtes conviés à ce mariage. Mais, au cours de la cérémonie, surgit le fantôme de Tatiana Repina. La maîtresse délaissée du marié s’est suicidée, quelques jours auparavant, par jalousie, »par désespoir ». Pierre voit son ancienne amante : actrice de province, elle jouait Tchekhov, Dumas, Labiche les auteurs en vogue dans la société moscovite de l’époque. La « dame en noir », par son acte insensé de dépit, devient l’exemple ; une épidémie s’en suit : les femmes de la ville se suicident par amour, et par déception. Valeri Fokine est un des chefs de file du renouveau théâtral russe. Il a présenté, en 1997,à Avignon, une savoureuse version des Ames mortes de Gogol, où le grand acteur, Igor Tourgueniev, affrontait vaillamment les avatars de ses délires. Cette année d’autres fantômes surgissent, issus d’un Tchekhov méconnu, où cohabitent, comme toujours, la farce et la tragédie. En insérant au spectacle des textes français des contemporains de l’auteur, Labiche et Dumas fils, Fokine confirme cet univers : l’inquiétante étrangeté de la vie quotidienne.

Old par igor le 17 Déc 2003

le récitant : ça sent le taureau.
Old par igor le 15 Déc 2003

Everybody comes to Hollywood
They wanna make it in the neighborhood
They like the smell of it in Hollywood
How could it hurt you when it looks so good

Old par igor le 26 Déc 2003

En avant la musique !

Old par igor le 03 Déc 2003

Once upon a time on the Plateau


Old par M. Fox le 13 Déc 2003

(…) et les blancs aussi

Old par Gu. le 08 Déc 2003

shOes'zoOm

dial a decade in shoes

Old par Gu. le 02 Déc 2003

Minuit pile

Old par igor le 14 Déc 2003

Conversation entre Charlie et le Voyageur, asile de Midgard (extrait)

[…]

– Ainsi, une instabilité n’est pas complètement fortuite, puisque c’est une situation donnée qui la provoque, une situation que l’on pourrait qualifier de « à risque ».

– C’est juste, même si nous ne sommes pas capables d’expliquer pourquoi elle survient. Une telle volonté est peut-être ridicule, puisque au fond l’instabilité est partie constituante du Flux. Et le Flux est. Toutefois, la récurrence de certains facteurs lors d’instabilités nous pousse à chercher des liens causaux dans tout cela. D’ailleurs, un autre facteur d’apparition d’une instabilité est la position sur la Forme dans une stabilité donnée. Plus vous vous approchez de l’Océan, plus la probabilité d’instabilité est grande. A l’inverse, plus vous montez sur les pentes du Ker, plus elle diminue. Une théorie a postulé que ceci résultait de la rotation de la Forme autour de son centre de gravité, si l’on adoptait la schématisation triangulaire. En fait, selon cette hypothèse, une stabilité serait une position de la Forme à un instant donné. Donc plus vous vous éloignez du centre de rotation plus la circonférence est grande, ce qui signifie plus de positions possible pour la Forme le long de cette circonférence, donc plus de stabilités. Qui dit plus de stabilités dit plus de passages entre elles donc plus d’instabilités. Ainsi, le Ker, plus proche du barycentre, serait plus stable. Mais cela supposerait définir la Forme dans chaque stabilité, alors que la Forme est plutôt une somme des stabilités, inscrite dans la durée.

[…]

Trêve de confiseries, j’ai les crocs.

Marseille est un sandwich à l’alouette

Old par Gu. le 08 Déc 2003

D’où viennent ces nuées de gens solitaires ?

Old par M. Fox le 24 Déc 2003

Old par igor le 31 Déc 2003

le récitant : Igor quel con.

Old par igor le 15 Déc 2003

Ink Tank

Death to the dinde

Et parmi la nuée

De Charons ailés

Tourbillonne,

Plane

Mon Augure

Qui décrit

Je ne sais quel destin…


« Je ne pense pas que la schtroumpfette puisse être un transsexuel, et bien que je me sois déjà posé beaucoup de questions sur les schtroumpfs, celle-ci ne m’a jamais traversé l’esprit…

Je pense qu’on pourrait considérer une autre question assez pointue : les schtroupmfs ont-ils un crâne normal, ou bien leur crâne a-t-il la même forme que leur bonnet ? »

Old par -- Zan le 11 Déc 2003

couleur

lotus, ctgr - dans la tete

Minuit pile

Old par igor le 17 Déc 2003

Minuit pile

Old par igor le 28 Déc 2003

Minuit pile

Old par igor le 02 Déc 2003


Minuit pile

Old par igor le 25 Déc 2003

The Lo-Fi Covering Orchestra – The Lo-Fi Tribute to Diam’s DJ

zyva ! download moi ma race !

Minuit pile

Old par igor le 15 Déc 2003

Minuit pile

Old par igor le 11 Déc 2003

couleur

lotus, ctgr - waiting for the snow

Colorions d’après Kandinsky

à fendre et refendre



loco loco file fend la nuit et nous avec

COMME DANS UN FILM DE MARC DORCEL

Old par felix le 05 Déc 2003

Les infos du monde – Hier soir…

Elodie : allo…
Igor : allo ?
Elodie : euh.
Igor : c’est qui ?
Elodie : allo, j’ai qu’une minute, Edouard ?
Igor : euh, oui…
Elodie : ben, je, tu me manques, je ben tu vois.
Igor : oué, oué si tu le dis.
Elodie : tu es un peu froid, je trouve…
Igor : mais non, je t’assure, je pense à toi mais tu vois Patxi va passer là alors tu vois…
Elodie : euh, Ed, j’ai presque plus de secondes là.
Igor : pas trop tôt.
Elodie : bip bip bip
Igor : allo ?
Elodie : bip bip bip
Igor : sympa la meuf…

Old par igor le 17 Déc 2003

ASS

ASS 1

Old par felix le 29 Déc 2003

Minuit pile

Old par igor le 06 Déc 2003

Minuit pile

Old par igor le 24 Déc 2003

PiSs

On

frOnt

Of

anOther

persOn

Only

juSt

becOz

yOu

feel

gOod

with

(…)

Old par Gu. le 10 Déc 2003

couleur

lotus, ctgr - blafardi planeta disCzka

bouton

Obsolete est aussi l’allumeuse qui

Portait des bas résilles et empestait le patchouli

Pour des services rendus elle me dit « j’te paye en nature »

Et je reste stoïque quand elle me tend des confitures…


retour à la campagne
il fait froid, tu es loin
ceci explique
sans doute cela
mais ta voix
m’a donné un peu
de braise et de
combustible tout à l’heure

Old par igor le 21 Déc 2003

Minuit pile

Old par igor le 27 Déc 2003

Scandale chez tourgueniev !!!!

Certains tourguenistes peu scrupuleux

non content de ne poster que rarement

(chose dont vous vous contrefichez, soit)

ne se serviraient de ce noble forum

que pour utiliser le traducteur automatique

et voir leur messsage tout traduit

afin d’envoyer dès ce soir

des mots doux

en italien

à leur belle

n’est ce pas honteux, franchement ?

Old par -- Zan le 09 Déc 2003

Minuit pile

Old par igor le 08 Déc 2003

NOURRIR LES ANES #7

Old par igor le 05 Déc 2003





D'abord je suis allée rejoindre Cindy et la bande à une party



C'était une soirée Open Bar au Coca, génial !



Les copines et moi, on était un peu fatigué, alors on est allé faire une sieste toutes les 3




Là, j'ose pas trop te dire ce qui s'est passé...



Voilà chéri j't'ai tout dit... ben quoi ? T'es pas jaloux ???

SpOkème vibriOn

     Large

   Dimanche, la rue,

On voulait sortir du grand cadre

   Rien d’extraordinaire sortir du grand cadre,

      Non, rien d’extraordinaire

Visiblement, les gens aimaient prendre la tangente, se pencher

   Courir en italique, se dérober, ton mot c’était oblique, tu disais,

        Plutôt rester dans les cadres,

      C’est qu’ils préfèrent, les cachettes, s’enferrer de petites fatigues.


  Rompant le doux continu des jours dichotomes

    Qui cantonnent nos rires à des moues monochromes,

     On discutait, bouches pleines d’offenses,

  Monde fait de violence, et encore du vent,

Des histoires et encore du vent,

Des griefs, des avalanches, des petites revanches

Des reliefs, ou même des identités,

          L’avenir sur ta paume, tu disais,

       Les visages flous des génomes, tu disais,

     En perdre son signalement,

   Combien les mots manquent de discernement,

  Diminuent la vigilance du sujet.

        Pendant que rouge le ciel gazolé dégaze,

      Dans l’air, tout ça qui flotte, rase et s’effiloche,,

         On a peut-être raté le coche

  Il y en avait mille fois trop
, tu disais, mille fois trop,

Aérer, aérer
, tu disais, aérer, revoir la mer, respirer,

  Evoquer la banalité des clichés,

     Le flot des images éculées, tu disais, l’âme cassée,

Fuir l’éphémère, être à tout allant, génant pour l’éternité, adulés.

    Et le vent léger que tu me souffles au creux des voiles,

   Soleil incliné dans tes yeux, apaise mon poux, mon oripale,

      Sans jamais froisser nos mailles, nos pulls qui

       Débraillés nous taillent des silhouettes diverses,

  Pour sûr, on n’y est pas à l’étroit, pour sûr, on aime les porter large.

Tu sentais comme la pluie, des arbres,

Comme la terre mouillée aux pieds des arbres,

  Tu disais, Quands tu me parles, tu joues, quand tu me râles, que tu me tires tes balles,

Je vois pointer comme des astres, oui des mots comme des astres fous
,

   Fumée dans l’air qui flotte pendant que rouge le ciel ébahi, envahit,

                        Rase et s’éparpille

      Comme de longues séries de phrases vides qui vascillent,

                                Mais assassinent quand même,

                                 Collent au palais, étouffent,

Assassinent quand même,


       Tu disais, Sait-on seulement que c’est à chaque fois différent,

     Sait-on seulement que nos vies n’ont rien de répétitif, rien de définitif,,

   Et s’il y a des risques, pourquoi ne pas prendre ces risques?

    On marcherait, la rue, nos écharpes, s’en aller,

Anonymes, dérisoires, périphériques, rien de différent,


              tu disais, nul besoin de se dérober,

   Sans cesse reconquérir, arrêter le temps, photographier le vent,

     Evanouir la zone et les feux qui croisent à l’horizon,

Les saisons, en mener large avec toi, s’épanouir,

            Dimanche, lundi, mardi, et les autres aussi,

Arpenter la ville la nuit, le jour,

             Déclarer son amour à qui vient, qui veut,

   Comme un vieux disque rayé, répéter, répéter, même épuisé,

              Recommencer l’amour entre ses lignes aérées
,

Tu disais, tu sais où nous allons,

                              Il n’y a pas d’horizon finissant,

  De phare,

        Où nous allons, il n’y a que des larges,

   On n’y sera pas à l’étroit, tu sais,

Des larges,

on n’y sera pas à l’étroit
,

                              La mer sait décliner les bleus

(…)

Frédéric

Nevchehirlian

Old par Gu. le 08 Déc 2003

le récitant : dans mon monde tout rose, je suis triste.

Old par igor le 28 Déc 2003

Dans la série Annonces Classées : Cinéaste cherche titre.


Voici le synopsis : Adolescents écorchés par la vie, Nicolas et Sacha fuient en direction de Toronto. Entre ces adolescents à la dérive, révélés ici dans ce qu’ils ont de plus brut et de plus énigmatique, se tissent des liens troubles et fragiles qui les mèneront au bout de ce qui leur reste de passion désespérée.

Laissez vos suggestions ici même… ou par courriel. Merci…

Wigotim ?

Aller à la rencontre des Sans Abris, pour être à l’écoute et par cette écoute rendre une dignité. Nous n’apportons rien; ni couvertures, ni café, ni repas… pourquoi? Certaines associations le font déjà très bien. Nous voulons juste les écouter, de personne à personne et non d’association à SDF. Nous laisser inviter par elles. Apporter quelque chose aide en effet à trouver une entrée en matière… Mais nous voulons apprendre à aller vers les autres naturellement, sans rien à donner.
Old par igor le 15 Déc 2003

Prendre un éléphant par la main

Pour l’emmener vers demain,

Pour lui donner la confiance en son pas,

Prendre un éléphant pour un roi.

Prendre un éléphant dans ses bras

Et pour la première fois,

Sécher ses larmes en étouffant de joie,

Prendre un éléphant dans ses bras.

Prendre un éléphant par le cœur

Pour soulager ses malheurs,

Tout doucement, sans parler, sans pudeur,

Prendre un éléphant sur son cœur.

Prendre un éléphant dans ses bras

Mais pour la première fois,

Verser des larmes en étouffant sa joie,

Prendre un éléphant contre soi.

Prendre un éléphant par la main

Et lui chanter des refrains

Pour qu’il s’endorme à la tombée du jour,

Prendre un éléphant par l’amour.

Prendre un éléphant comme il vient

Et consoler ses chagrins,

Vivre sa vie des années, puis soudain,

Prendre un éléphant par la main

En regardant tout au bout du chemin,

Prendre un éléphant pour le sien.

Old par -- Zan le 26 Déc 2003

La Lutte armée en slip vient de commencer…

Un habitant de la Côte-d’Or a tenté de s’immoler par le feu, hier, vers 12 h 30, dans la commune de Malay-le-Grand. Il s’est aspergé d’alcool, alors qu’il se trouvait dans l’habitacle de sa voiture et a craqué une allumette. Puis il est sorti de la voiture en trombe et s’est roulé dans l’herbe pour éteindre les flammes, le tout sous le regard éberlué d’automobilistes de passage. Certains d’entre eux lui ont porté secours. L’homme, en slip, a été très grièvement brûlé.

Il a été transporté au Centre hospitalier Gaston-Ramon de Sens par les pompiers du centre de secours principal de Sens, avant d’être transféré au service des grands brûlés de l’hôpital de Clamart (Hauts-de-Seine).

J-1 chez Patxi

En effet, méfions-nous…

zobbi / ma compagne ne pose pas en N&B je ne la possède pas en pellicule d’ailleurs elle est toujours en couleurs elle n’est ni de jeunesse ni de campagne… d’ailleurs moi non plus d’ailleurs je ne sais même pas comment on fait pour poster autre chose que des textes sur CE HEROS, alors…

Old par felix le 02 Déc 2003

J’ai violé Violaine.

Elle était pourtant vilaine

Violaine

classique et désespérément efficace

Old par felix le 09 Déc 2003

merci, quoi

couleur

lotus, ctgr - penguining

youth in the countryside

Sybil, Basil - on front of fawlty tower (Photos Manuel)

Old par Gu. le 02 Déc 2003

Bataille Royale:

Le premier à rentrer est Phoenix, suivi de AC Flyer. Ayant déjà fort à faire avec AC Flyer, Phoenix eu la mauvaise surprise de voir entrer Colby en troisième position. Après un passage difficile, Phoenix réussit à reprendre le dessus et à éliminer Colby alors meme que Mot Van Kunder, tout juste arrivé, mis dehors AC Flyer.

Alors que les deux favoris du public en venaient aux mains, l’impressionnant Bulk, des UK Pitbulls, fit son entrée sur le ring. C’est peu de dire que Phoenix et Mot Van Kunder ont eu du mal à contrer les attaques de Bulk. Alliant leurs forces, ils réussirent juste à limiter la casse. Alors qu’ils commençaient à dominer, ils ont eu la surprise de voir arriver dans le ring Big Dave, la partenaire de Bulk au sein des UK PItbulls. Une pluie de coups s’est abattue sur les favoris du public, absolument dépassés par les attaques des anglais. Sony Stone ne fit qu’un passage éclair dans le ring, ayant commis l’imprudence de s’en prendre aux UK Pitbulls : 20 secondes dans le ring où il a pu apprécier « l’amabilité » des anglais. Suivant à entrer dans le ring, Bas Van Kunder, bien décidé à ne pas laisser les choses en l’état. D’attaques aériennes en power moves, il réussit à créer une différence et à s’imposer. Le dernier à entrer dans le ring fut Greg Fury, très motivé mais visiblement amoindri par les efforts concédés pour remporter les deux premières victoires. Il fut éliminé après avoir tout tenté pour défendre ses chances. Après la sortie de Greg Fury, les hostilités se sont accélérées, résultant dans l’élimination de Bas Van Kunder par Big Dave, puis de Big Dave par Phoenix et Mot Van Kunder qui avaient décidé d’allier leurs forces. Dans une manoeuvre destiné à éliminer Bulk, Mot Fut surpris et éliminé. Profitant de l’occasion, et avec l’aide extérieure de Mot Van Kunder, Phoenix réussit l’impossible et mit Bulk dehors sous les acclamations du public à la fois surpris et ravi.

Old par felix le 15 Déc 2003

je peux penser

ce que je veux

mais pas ouvrir

cette petite porte

ogive

au fond du couloir

car

on n’y trouve

que

la maladie, l’ironie

et

la perte

mais

d’espoir point


Old par igor le 23 Déc 2003

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