Dead Finks Don’t Talk

oh no

oh no

oh no

konsstruktVOUSaime / le 23 février 2006 en live

Asphyxie

Les volutes empoisonnées
de Babylone
auront raison de ses adorateurs

Ultime sacrifice
librement consenti

Ils brulent
et toussent dignement
alors que la cité les tue lentement

Au revoir

Old par M. Fox le 14 Juin 2006

je danse donc je sue.

Old par To le 25 Sep 2006

Crépuscule en Avalon. Fumerolles et lumières mortes sur les étendues d’eau vaseuse. Des bulles de mucus épais et chaud explosent sur le dos des rares crapauds hallucinogènes épargnés par les prêtresses en maraude. Les coassantes bestioles ont quasiment été décimées pour permettre la tenue des sessions chamaniques divinatoires hebdomadaires des Mystiques Radasses, enfin bon, tant que Dame Birgit de Bardeaux nous épargne son baratin habituel sur le sujet…

Une délégation des soeurs de l’Ordre du Bene Gesserit est attendue dans quelques jours. Une première. On dit que pour leur être agréable, Morgane a tenté de se procurer l’Epice, mais qu’après avoir arpenté tous les marchés occultes de la contrée et même surfé sur Ebay, folle de rage, elle a dû se résoudre à ne pas pouvoir en proposer à ses invitées. Humiliée, elle s’est enfermée dans son laboratoire où elle tente, en vain bien sûr, de transformer de la tourbe en Epice, en y intégrant des vers écrasés et en hurlant du Ministry, ce ménestrel qu’elle aime tant. Comme le dit toujours Viviane, « putain, mais que cette petite conne est têtue ».

Dans la grande salle d’eau de la demeure de Viviane, où se réunissent les Vénérables Morues pour leur libations vespérales, l’atmosphère est irrespirable. Cette habitude détestable de faire brûler sarments et ronces pour purifier la carne graisseuse de ces dames… Ca daube sa mère. Dame Frénégonde, de plus en plus à la rue, raconte en beuglant à qui veut bien l’entendre ses visions apocalyptiques, y sont évoqués, en vrac, un mystérieux Saint Karcher, la grippe bréviaire et autres étrangetés. Saloperies de chrétiens… Depuis qu’elle a niqué un converti, un troubadour nommé Rodrigue, Frénégonde part grave en sucette. Fin’Amor mon cul.

Dans le bassin principal, sous l’eau, une session d’érotisme lesbien est organisée, histoire de se détendre avant que de recevoir la visiteofficielle des Guedins aux Yeux Azur. Honnêtement, ce grand raoût « sisterhood » à venir, ça fait chier tout le monde, mais les deux bigboss veulent mettre au point un réseau interdimensionnel de Pouffiasses à Super Pouvoirs, alors tout le monde s’aligne, et puis protester, bof, en réu interne personne ne moufte jamais, on sait bien comment ça se passe. Une fois le flattage de clito achevé, tout le monde flotte dans le grand bassin. On en profite un peu, parce qu’il paraît que les Bene Gesserit ont un rapport un peu spécial à l’eau. Tout le monde flotte. Les Dames du Lac sont en stand by.

Old par Kelaru le 13 Jan 2006

Je pionce et puis j’oublie

Old par ... le 08 Mar 2006

"I seee dead bubble everywhere…"

Old par ... le 09 Fév 2006

La nuit dernière j’ai rencontré
l’homme invisible. Son problême
principal est qu’il perd la tête
pour un oui pour un non; il m’a
confié à l’oreille que ce qu’il aime
par dessus tout c’est partir à la
conquête d’une donzelle armé
de ses incertitudes et en fait
mieux préparé que pour
l’Everest…

Qui m’appelle?

(insérer ici l’image d’un assortiment de canettes de bière bien fraiches)

EPIC 2015 – l’autre pays du fromage.

Aujourd’hui je viens terminer l’écriture du troisième tome de l’Universelle Tourgueniste, on peut chercher en ligne dans les données qui la composent en tapant un mot clef ici : Universelle Tourgueniste.

Old par igor le 03 Juil 2006

Do you dance?

Old par JLB le 10 Mai 2006

piluïïïïïïïïïïtt

Joe-Baskets-Tranquilles et puis la vie, Joe-Baskets-Tranquilles et puis rien le vasistas déchaussé en bas de chez lui et le chien qui crie et tout pour oublier l’accent, Joe-Baskets-Tranquilles est un eux dans l’eau, Joe-Baskets-Tranquilles n’aime pourtant pas les jeux de mots, bon pour les ramassis d’estropiés, Joe-Baskets-Tranquilles l’a croisé ce soir et il a dit bonsoir pour la deuxième fois, gêné. Joe-Baskets-Tranquilles chemine cheminée Gitanes dans les rues tout s’aplatit les prospectus ta mère et ma sœur les gargouillis des passants énucléés, l’église l’arc dans le ciel le Kippour la Seine les bassins de chauves les toilettes publics Joe-Baskets-Tranquilles ne sait pas si c’est masculin, et puis la fièvre, et puis le chemin très long jusqu’à autre chose que Joe-Baskets-Tranquilles. On l’a toujours appelé comme ça, il s’en est sorti en approuvant, en étant ailleurs, en n’étant pas là. Joe-Baskets-Tranquilles, son métier c’est de ramasser les papillons sur les chemins c’est à peu près tout. C’est un peu compliqué alors c’est pour ça qu’il s’habille en blanc, ça les attire et des fois il a plein d’amis. On dit amis, mais en vérité c’est un peu naïf. Ce ne sont que des papillons. Mais Joe-Baskets-Tranquilles il fait partie de ces gens-là. Moi-aussi.

Old par -- Zan le 18 Nov 2006

Soucoupes violentes

Old par M. Fox le 15 Avr 2006

:: Election de miss et mister moquette vendredi soir ::


Ca serait tellement facile.

ou ou ou mais ici ?

Old par igor le 21 Fév 2006

Parce que…

Saison encrée…

Oui toi, tendre aventuriere
viens dessiner l’étérnité qui nous sépare
sur le blackbook des illusions,
je brulerai la page encens
mille fois plutot qu’une,
au nom de l’impossible aquarelle
de nos vies en nuances
et de l’esquisse naissante
ta présence, ton etre, ton sourire
dont je ne peux _____
desormais _______
______ me passer

Old par -- Zan le 25 Sep 2006

Bloody valentine…

emballons nous!

moitié langues
moitié cadeaux…

Statue ce héros


A la bonne heure

clique moi
chhhhhhhht ce mot
_______ elle ment taire
tabou qui ne s’ecrit en L _______
quoique…

konsstrukt numéro trois paraît le vingt-neuf janvier deux mille six

ce qu’ils pensent de konsstrukt :
(merci à nihil pour sa collecte)

comment peut on avoir envie de faire lire ce genre de choses ? c’est à chiér il n’y a pas d’autre mot. je ne pensais pas lire ce genre de truc sur un forum littéraire.

Gros pb avec le caca, encore au stade anal ?

Ton travail,ton job, pauvre imbécile, est nul, sans idée et sans mot, c’est comique de vacuité, c’est du neurone figé. Tu ferais mieux de charcher une place comme assistant du chef de rayon dans une grande surface spécialisée dans les couvercles de chiottes.

cliquer ici pour accéder au sommaire et télécharger votre exemplaire : www.konsstrukt.blogspot.com

Ce que j’aime chez toi c’est ce coté puissament inutile…

Il ne se passe rien.

Il ne se passe rien, jamais rien. On pense que ça va venir alors on guette, on guette le changement, la modulation, mais rien ne se produit, rien ne se produit jamais. Quelque chose, quelqu’un devrait arriver, on guette la porte, on guette les médias, on guette par la fenêtre et du haut de la tour, et l’on ne voit rien venir. Il ne se passe rien, sur l’écran, une image figée depuis, une petite fille, robe bleue, un arbre, dégarni, et une balle multicolorée au premier plan, obstruant presque totalement l’image ; second plan la petite fille et l’arbre qu’on devine à ses branches, herbe drue que l’on devine aussi, autour de la balle, de la fillette et du caméraman hors-champ. La fille semble sourire au caméraman, à la vie, à toute cette verdure autour d’elle, un sourire tout simple, éclatantes dents brillantes cassantes sous le soleil de janvier, ses yeux, que l’on devine bleus cornichon brillent de la joie simple de l’enfance insouciance. Il ne se passe rien, jamais rien. Alors on reste là à fixer l’écran, à détailler fillette, à attendre un message officiel ou une publicité pour reprendre une activité normale, mais rien ne change, les yeux qui brûlent, pleurent à force de regarder les electrons, l’écran, répétition.
Old par igor le 08 Fév 2006

Mustang,

Il appelle son membre Mustang…

Last night the Scrabble saved my life…

Les Chansons tristes.

Moi c’est summertime.
C’est une mélodie et une chanson que j’aime. C’est même banal peut-être.
Mais à chaque fois que je l’écoute, de Stan Getz à Janis, je plane.
C’est idiot c’est une chanson dont je m’abreuvais avant.
Maintenant, c’est surtout que ça me fait penser
à tout plein de choses désagréables (enfin un truc ainsi-dieu-se-ment obsédant). Ca me file un joli petit cafard
à carapace indigo. J’y pense et puis j’oublie. Même si ça me laisse toujours un petit éclat bleuté dans la tête.
Pourtant, c’est là, c’est la vie.
Ou pas.

Old par To le 22 Juin 2006

Le Centre Institutionnel Tectonique V.2009 prépare actuellement un plan de prévention du tourguenisme, en particulier de ses déclinaisons pshychostiles et/ou hélicoïdales, plan qui prône notamment une détection très précoce des « troubles spiraux, hyperactifs ou asociaux » chez l’enfant, censés annoncer un parcours vers le tourguenisme. Dans ce contexte la récente expertise de la division « Hochets, Programmes et Prévention du Chaos » de l’Institut Neuro-Spinéal Exhaustif Rétro-Matriciel, qui préconise le dépistage du « trouble des conduites » chez l’enfant dès le plus jeune âge, prend un relief tout particulier.

Les professionnels sont invités à repérer des facteurs de risque prénataux et périnataux, génétiques, environnementaux et liés au tempérament et à la personnalité. Pour exemple sont évoqués à propos de jeunes enfants « des traits de caractère tels que le rodéo synaptique, la tendance à la molletonisation, le bégaiement bariolé », voire la notion controversée « d’héritabilité [génétique] du trouble des conduites ». Le rapport insiste sur le dépistage à 36 mois des signes suivants : « indocilité, faible contrôle émotionnel, impulsivité, indice de moralité à géométrie variable, délirium psychostile, babil informé, stade anal, saturations tintinnabulantes, gabuzomeu… », etc. Faudra-t-il aller dénicher à la crèche les voleurs de cubes ou les babilleurs mythomanes ?

Devant ces symptômes, les enfants dépistés seraient soumis à une batterie de tests élaborés sur la base des théories de neuropsychologie comportementaliste qui permettent de repérer toute déviance à une norme établie selon les critères du Dogme Tecto-comportemental Massifié. Avec une telle approche, bienheureuse et déterministe, et suivant le trés sain principe de linéarité, le moindre geste, les premières bêtises d’enfant pourront être interprétés comme l’expression d’une personnalité pathologique à prédispositions tourguenistes, qu’il convient de neutraliser au plus vite par une série de mesures associant rééducation, programmation dérivée, contrôle synaptique et psychothérapie. A partir de six ans, l’administration de médicaments, psychostimulants et thymorégulateurs, devrait en outre permettre de venir à bout des plus récalcitrants. L’application de ces recommandations engendrera un formatage des comportements des enfants, seul à même de tarir à la source toute forme de sociopathie. L’expertise de l’Institut, en médicalisant à l’extrême des phénomènes d’ordre éducatif, psychologique et social, entretient de façon avantageuse la confusion entre malaise social et souffrance psychique, voire maladie héréditaire.

Communiqué n°210-8005, C.I.T., département HPPC.

Old par ... le 28 Fév 2006

Mais qui tire les faciles ?

Old par To le 06 Mar 2006

No one can dance

Oh la V…

Au fait, est ce quelqu’un aurait vu mon paillasson?
Et ma pompe à vélo sinon?
Aux dernieres nouvelles, ils déambulaient désorientés…
Perdus dans l’abime de ses yeux fruités,
comme d’hab quoi…

Youpi !

Old par To le 24 Juin 2006

ainsi cela n’achève
pas que les chevaux…

et la lumière fut…

From: Sterling Napoleon

To: Stern Nathan
Date: Mar 18, 2006 11:38 PM
Subject: Re[4]:

courtyard, under the arcade and up to the balcony, where they placed him before the Procurator’s chair. The man was dressed in a shabby, torn blue chiton. His head was covered with a white bandage fastened round his forehead, his hands tied behind his back. There was a large bruise under the man’s left eye and a scab of dried blood in one corner of his mouth. The prisoner stared at the Procurator with anxious curiosity. The Procurator was silent at first, then asked quietly in Aramaic: ‘So you have been inciting the people to destroy the temple of Jerusalem? ‘ The Procurator sat as though carved in stone, his lips barely moving as he pronounced the words. The Procurator was like stone from fear of shaking his fiendishly aching head. The man with bound hands made a slight move forwards and began speaking: ‘Good man! Believe me . . . ‘ But the Procurator, immobile as before and without raising his voice, at once interrupted him : ‘You call me good man? You are making a mistake. The rumour about me in Jerusalem is that I am a raving monster and that is absolutely hqmhmjm km fjrjf j ojpj njfkikjlnk fjqji jijhf fj ojh sdjksdfsdfsdlgkj sdflkjsdf lksdjfsdfsdf

En attendant, il se passe des choses…

Old par ... le 02 Fév 2006

Firefox : Les onglets débarquent

Old par M. Fox le 18 Juin 2006

"APE SHALL NOT KILL APE !!!!"

Old par ... le 30 Mai 2006

Insensible insensé.

Old par To le 05 Sep 2006

Tourgueniev (ce héros)

… en prison ?

Tôt ou tard, il faut être réalarmiste.
« Tout va bien ».

Saké, flop. Gnn.

Old par ... le 22 Oct 2006

Faut-il avoir peur des huîtres ?

backline

Cue Manuel
Les points Cue peuvent être créés et ajustés à n’importe quel endroit sur le morceau en utilisant le Jog Dial ou les boutons de recherche manuelle. Le point Cue est enregistré dans la mémoire temporaire du CDJ-200 et sera effacé lors d’une nouvelle mémorisation.
AutoCue
Cette fonction permet de trouver la première note échantillonnée d’un titre.
Variation du Pitch
Cette fonction est utilisée pour accélérer ou ralentir le tempo d’un morceau pour obtenir un mix parfait en déplaçant le Jog Dial vers l’avant ou vers l’arrière.


Il est dans l’essence des symboles d’être symboliques comme dirait l’autre

Carnaval de Rio 1996

A Rio, le carnaval dure trois jours : du dimanche au Mardi gras. Il attire une foule considérable et bénéficie d’une réputation exceptionnelle dans le monde entier. Prendre un foie de n’importe quelle taille. D’origine portugaise et hérité de l’entrudo, célébration qui s’ouvrait le samedi gras pour se terminer le mercredi des Cendres, le carnaval de Rio naquit au XIXème siècle : il fallut cependant attendre l’abolition de l’esclavage en 1888, et surtout les années 1930, pour qu’il devienne un divertissement populaire. Il est aujourd’hui un véritable symbole de l’identité brésilienne. Le dénerver (pour cela il faut que le foie soit à température ambiante, on peut même le tremper dans de l’eau chaude). Pendant trois jours et trois nuits, on fait la fête, les écoles de samba défilent dans les rues et on oublie tout… même de manger et de dormir ! Saler, poivrer comme un rôti. Les pauvres gens des bidonvilles aussi s’habillent de somptueux costumes multicolores. Sucrer et surtout arroser l’ensemble d’un mélange armagnac-porto. Le carnaval, c’est un peu la revanche des habitants des favelas car ce jour-là, tout le monde peut être le roi de la fête. Bourrer le tout dans un pot, fermer le pot et stériliser : 35 minutes à 100°C. Je conseille de le laisser vieillir quelques mois il aura meilleur goût.

Old par igor le 03 Mar 2006

Lost in Translation

Prague – 7 Septembre 2006 – ANP

Mirek Topolánek, le premier ministre Tchèque, s’est déclaré outré lors de sa visite à Paris du 4 Septembre 2006. En effet M. Topolánek a remarqué tout au long de son voyage officiel en France de petites affichettes sur de nombreux établissements commerciaux sur lesquelles figurait la mention « Les chèques ne sont pas acceptés », « les chèques ne sont plus acceptés », « la maison n’accepte plus les chèques »… Il s’est en conséquence déclaré déçu et très peiné par une telle attitude des commerçants français. Le syndicat d’initiative de Prague étudie à l’heure actuelle des mesures de retorsion, de plus M. Topolánek a déposé une plainte contre la France auprès de la cour européenne de justice pour « discrimination ».

Old par M. Fox le 08 Sep 2006

Activité bullaire hypercritique

Politik Koncept en Gestalt Nano

Igor : gnagnagna
Nicolaï : parce qu’en plus j’ai mes traites à payer et puis mon assurance qui m’est tombée sur le dos en plein été ils m’ont envoyé une lettre recommandée mais comm je suis à Lille je l’ai pas reçue et en plus je suis revenu pour 10 jours alors qu’il y apersonne pour nourrir mon chat et j’ai même pas pu filer mes clés à Anne comme elle part dimanche pour une semaine de toutes façons et alors que je lui lais
Igor : gnagnagngagna
Igor : tu roumègues toi
Igor : fais toi voler ta voiture ça te calmera
Nicolaï : j’ai un concept
Nicolaï : une chronique sur Info
Nicolaï : où l’on ne comprend qu’un mot sur 8
Nicolaï : pendant 2′
Igor : france raleur c’est toujours l’heure des raleurs ?
Igor : gnagnagnagnagna
Nicolaï : avec en petit intro vocale : « Parce que l’été, ce n’est pas le moment où tout se passe toujours bien… La Chronique de la Roumègue, Nicolaï Tourgueniev »
Nicolaï : « Oué parce que chier au camping… gnagangangangna le barbecue fait chier ma chemise … gnagangang et en plus ils m’ont demandé de faire la vaisselle alors qu’ils gngengnanganengengen à la plage et j’ai même pas eu droit à ma glace gengngnangnang »
Igor : gnagnagnagnagna police gnagnagnagnagna chat gnagnagnagnagna tampax gnagnagnagnagna puteborgne gnagnagnagnagna gnomes gnagnagnagnagna VH gnagnagnagnagna sarkozy gnagnagnagnagna arabes gnagnagnagnagna blondes !
Nicolaï : voilà !!
Igor : pas mal
Igor : gnagnagnagnagna
Nicolaï : on va faire fortune !
Igor : on est riches !!
Igor : comme avec le tomato show
Nicolaï : La Chronique de la Roumègue, par les frères Tourgueniev
Igor : la gnagnagnagnagna de la roumègue par les gnagnagnagnagna Tourguegnagnagna
Igor : on pourrait faire une serie en 7 saisons de 24 épisodes de 48h
Nicolaï : mwahahahaha
Igor : avec ce concept
Nicolaï : Previously, on Tomatoe
Igor : les héros c’est un ane et un plombier raleurs…
Igor : ils vivent en haut de l’evrest avec juste une chaise et un écran plat à piles solaires
Igor : et il leur arrive pleins d’aventures très longues avec des sherpas roumégueurs
Igor : les sherpas (qui sont aussi moines shaolins) ils roumèguent en népalais pour un oui pour un non
Igor : et l’ane il fait hihan
Nicolaï : le tout en plan fixe
Nicolaï : avec de la musique révolutionnaire cubaine

Old par igor le 10 Août 2006

Novöpération Post-Traumatique

S’évader facilement d’un doux rêve c’est en substance
aisément défier une cauchemardesque et luxueuse réalité.

Vision sans illusion de l’éphémère frontière entre conscience,
inconscience et subconscience.

Au fond, la fin de l’ivresse n’est que l’ultime réveil
d’une perfide lucidité.

Où la cynique insouciance cède scientifiquement sa place
à un simple silence.

J’étais pourtant si fissible. Viscérale viscissitude…
Dieu, pourquoi m’as tu au ban donné ?

Old par To le 13 Sep 2006

Si j’avais bu sur Tourgueniev – N°6

Je me trouvais vaguement incapable de rien faire, ce soir-là j’avais prévu de dessiner mais la blessure m’étranglait, la blessure qui prenait appui sur mes chevilles et remontait jusqu’à mon cou pour l’étrangler. Je l’imaginais âcre dans ma bouche, ce ruisseau noir qui me défonçait tous les tuyaux depuis deux ans, presque deux ans. Deux ans de malheurs, de paroles comme le vent.

Incipit : N’en pouvant plus ce matin-là il décida de découper son chien et de le faire figurer en bonne place sur le meuble du salon (épais, bois de bretagne, vernis sombre).

Dans tes pentes douces je m’imagine une histoire hors du commun mais c’est pourtant de celles-là qu’il faut se défier, il faut privilégier la simplicité.

Elle muscle son vide intérieur et soudain de ses dents jaillissent des mises-en-scène.

On vit à l’orée des charnières quand la pensée est un fil et que le synapse est sanglant. Tu couds et recouds sans cesse mon cul dans tes inventions, le radotage des petites vieilles te court sur la peau quand tu te penches dans le siphon, quelques gouttes froides pour t’aérer la brume et les cervicales blanchies. Let’s get this straight from the jump, I ain’t playing with your ass. Je penche dans le lavabo qu’est ce que tu crois que la vie est blanche et cicatrisée, les plaies scintillent je les abreuve de mascara dans mes plus grands instants de gloire quand je sais que les faux-amis sont là. La passé est saoudien dans des déserts sans armistices et les os blanchissent dans des plaines de sarcasmes, j’ai pas de parents, j’ai pas d’amitiés fidèles I’m the man with single and double and triple and four five six time them bitches mais je suis pas à plaindre, j’ai un évier dans lequel me troncher les rives et tous les lampadaires et tous les pare-feux et toute ta gueule qui va avec quand tu me mentais la gueule dans mes billets, aplati par le ciel froid, sale merde. Much bone and I don’t fail a test. I can’t be fucked with, you can’t touch this better grab hold. Bitch I’m so cold I’m like a 24 year-old north pole ! Quand les putains de chiens à six pattes et la truffe qui renifle le vide commencent à me serrer les chevilles j’ai envie de tuer leurs grand-mères, je me demande si je suis adapté à ce putain de monde, qui n’est pas plus sale qu’avant, pas plus merdeux, bien le même, pardessus les époques, glaciaires imperméables et changements d’avis. Tu vois, on sait pas trop pourquoi on bouffe des pâtes et qu’on répercute les mêmes souffrances. Bitch I’m doing bad and saying rhymes at the same time (I ain’t lying). Talking behind my back don’t make me no nevermind, cause all you can say is I’m smarter than Einstein. Tu vois, on s’imagine, on s’imagine souvent, ce qui reste à la fin de tout, c’est peut-être une simple perpétuation. C’est peut-être tout ce qui reste, au fond. Le corps d’un autre qu’on a poussé là. Matter fact I’m a tell you mother fuckers three things I’m a never do One : never gonna change my style Two: never gonna bounce, three: never gonna bow. I’m gettin tired of being sick and tired. Dieu merci y’a ta soeur que j’peux encore baiser. Sale Merde en été nous a trouvé un café sur une place ensoleillée – je vais me défoncer la gueule. Sale Merde a dit mon ange assieds-toi, sale merde. Le pire n’est pas que ça meurt le pire c’est quand on s’aperçoit que rien n’a existé, le mensonge jusqu’au fond du trouffion. Je ne serai plus là, je pense maintenant, mais pour quoi, puisqu’il n’y a plus personne. Se faire manipuler Suck big dick and die est si aisé quand on n’est pas affuté. Je suis une terre glaise, I can click just like the boot camp but I’m conscious like daughter Bitch I’m insane but um, you still be want in to claim that I’m your partner on me pétrit, j’ai plein de gentillesse en moi Picture I got more bitches on my dick than bitches at FREAKNIK

Si la consanguinité est un problème, il suffit d’utiliser des préservatifs.

Nan. C’est pas un bon titre.

Comme des vitres grasses des
ornières pour que les jours s’y perdent
la perte de la bile de la vie
l’humeur profane la sacro-sainte merde
les accrochages inutiles à retour constant

[nicqolas acqileus].


Foutage de gueule en corps ?

DON’T LOOK AT ME

—————————–I’m shy

Old par -- Zan le 11 Fév 2006

Old par -- Zan le 20 Jan 2006

Tentanive d’antibraise de l’antitiz (bien que, formellement, tout ça soit aussi nutrique que nain)


Tutévukantabu Tourgueniev ?
– Cpalamèraboire

– ici anciennement un très joli post de Nikola Akileus mais qui faisait planter tout le monde –

Old par igor le 20 Mai 2006

Si on pose : chaque image est une trahison

On peut se poser la question de l’abstraction

(ceci n’est pas un Oignon)

Old par M. Fox le 02 Sep 2006

Espabilate

retombée de sombrero
ou bien
boomerang fruitier?

Ce soir, je dîne avec William


C’est chiant, William est mort en 1880…
Demain, je dîne avec Samantha.

Old par Nicolai le 30 Nov 2006

Ne vous inquiétez pas

je monte la garde
(et les sœurs Flipson aussi)

Old par -- Zan le 01 Fév 2006

Par delà la porte se tenaient les dieux
au centre de tout
tronait le dieu musicien
dont la musique rythme la danse des corps celestes

Chacun devisait sur la cruauté
de celui qui avait créé la porte,
détruit le centre du monde,
et déporté ses habitants

Old par M. Fox le 10 Jan 2006

Bienvenue sur notre nouveau site www.viensmefairechieretjetepètelacouille.org

Les artistes-fist arrogants arrivistes affligeants atomisés de la schtroumpfette sont une association d’hommes et de femmes qui partagent entre eux leur nombril, leur morve et leur vodka-poire dans le but de décalquer des photos et tout objet inutile, et d’aider d’autres artistes-fist arrogants arrivistes affligeants atomisés de la schtroumpfette à développer leurs stases ainsi que leurs soifs angoissées de gel ultra-lacté, sans parler des ravages causés par leurs décalcomanies obsédées par le nombril et la « beauté du trait » nul et creux, mort et vénéneux,comme la gigantesque extension d’un infarctus cardiaque ou d’une tétraplégie imaginative. Le désir d’être et de briller, donc de ramper, le désir donc « de ne ressembler à aucun autre » dérive bien souvent chez les AAAAADLS en une basse et morne structuration sclérosée du trait car il faut plaire, soit une standardisation absolue de l’imaginaire et quelques messages vides, contenus dans leurs petits yeux ronds. Pour adhérer aux AAAAADLS il faut être habillé en artiste, soit avoir les moyens de foutre en l’air ses vêtements, de les déchirer, de les faire puer, bref travailler son style de putain de petite merde qu’a jamais connu la merde et toujours passé beaucoup de temps à penser à son style, brassage d’air et de vide aboutissant inévitablement à un travail de décalqué acharné sur un petit bureau bien rangé et très propre sponsorisé Epson, Clairefontaine et Ta Mère en Schtroumpfette. Pour adhérer aux AAAAADLS il suffit de prouver que tu es assez con pour décalquer le calque de toi-même que tu viens de faire. Les AAAAADLS étant arrivistes, il est essentiel de payer une cotisation, l’arrivisme des AAAAADLS nécessitant beaucoup d’habits, qu’ils commenteront, photographiront, décalqueront même parfois. Cela nécessite de l’argent. PAYE ENFLURE. PAYE MOI DES HABITS DE LUXE. QUE JE VAIS DECHIRER. Les AAAAADLS confondent souvent « état de l’être artistique » avec psychose infantile petite-bourgeoise. Ce qui ne signifie pas qu’ils sont d’un milieu aisé. Ce qui signifie qu’ils ont pu développer des soifs aseptisées d’eux-mêmes et des bouffées délirantes de connerie affamée. Ce qu’on nomme la stupidité. Ou le QI avorté avant terme. On les appelle parfois les « photocopieurs », plongés dans la surface des choses, singeant la profondeur. La particularité des AAAAADLS est qu’ils emploient souvent le mot « art », « artiste », « artistique » et toutes formules déviantes destinées à singulariser leurs photocopies. Leurs vêtements. Et leurs fondamentaux arrêts cardiaques.
Le désir de continuer absolument à être un AAAAADLS est la seconde condition pour devenir membre des AAAAADLS. Leur but premier est de proliférer.

© Ta Mère en String À La Baule.

Ps : les œufs sont cuits. Je répète, les œufs sont cuits. Apporte ta fourchette et un peu de vin merci.

En sept lettres mais pas mieux:

je propose « malaxée et magique »
mais j’ai peu d’espoir
que cela convienne…

La beauté roule des mécaniques…

…parce qu’elle est un tractopelle à vapeur.

Schnouirk

David est David, c’est ce que je me suis dit à la fin. Et tu juges pas ces gens-là, quoi qu’ils aient en eux, qui te permettent d’avancer. C’est tout, t’as du respect au moins, tu craches pas dans la soupe, je veux dire quoi au pire ? Ils sont aussi cinglés que toi, certes pas de la même manière. Je veux dire au bout d’un moment tu sais qu’elle est pas comme toi, t’as juste su lui parler, elle qui se sentait si seule et toi aussi, c’est après tout et ça vaurien. C’est vrai ça pue. Ça pue de milieu en milieu. Et on ne sait pas le nombre de tétrapléides.

Ça, la différence.

Changement de tonalité.

Quelqu’un d’ubuntu est ouvert et disponible pour les autres, dévoué aux autres, ne se sent pas menacé parce que les autres sont capables et bons car il ou elle possède sa propre estime de soi — qui vient de la connaissance qu’il ou elle a d’appartenir à quelque chose de plus grand — et qu’il ou elle est diminué quand les autres sont diminués ou humiliés, quand les autres sont torturés ou oppressés.

Old par igor le 08 Mai 2006

c’est ok et elle a jamais été en otage ?

Old par Gu. le 07 Mar 2006

= gueule de bois

Scoop

il est resté longtemps dans l’eau mais il va bien, il nous passe le bonjour…

The Aspic Mystic Mix

(**ici la retranscription phonétique d’un grand cri inhumain de terreur primordiale**)

Old par ... le 05 Sep 2006

miss c. : Peut-on rire de tout touyoutou ?

Old par igor le 20 Juin 2006

Mes chers compatriotes,

En vertu des pouvoirs qui me sont conférés, je tenais à vous exprimer toute ma reconnaissance, ainsi que toute ma gratitude, pour m’avoir fait de nouveau confiance, et reconduit dans mes fonctions.
C’est pour cela que j’édicte dès aujourd’hui, en vertu de ces pouvoirs suce-cités (sic), l’interdiction formelle d’émettre, de recevoir, d’entendre ou d’écouter, ni même d’ouïr ou de percevoir, la chaine dite




et ce chaque jour de la semaine, id est du lundi au vendredi, et de 20h à 23h. Et ce, bien entendu, en vertu des pouvoirs (ad lib).

Sur ce, mes chers compatriotes, il est.
C’est pourquoi je m’empres.
Compte tenu de, je vous ch.
Fuc.

Old par Nicolai le 09 Oct 2006

Pour une vie sociale riche et joyeuse

daltonien et sexy

Je suis

chaque chose

dans la boutique

Intelloplante

El problema _________
es la inadecuación
del tiempo y del espacio,
sobre todo cuando salgo
________ en busqueda
_____ del corazón escondido.

Marre putain.

À mesure de cinq clics par jour sa suffocation étirait ses filets il avoisinait le syndrome de Rett son ombre avait des infarctus. Ce n’était pas pour une cause d’amour ou autre saloperie, il était lévitant à inviter des suffocants le contempler le dressing vide ses gestes jouxtant la fêlure acide des fins du jour, où il se ramassait lamentablement en boule dans son clic à chercher les failles et les photos, se recoiffant parfois de l’index au cas où un miroir. Avec l’âge sa placidité s’écorchait, il ne devenait plus qu’un âne perclu (perclu ?) de désirs mécaniques et d’appareils narcissiques. Il restait là éventré au vent à sourire perplexe des boulons et des ferrailles s’échappaient de sa poitrine et tournaient en rictus dans les visages écarlates de la bonne bourgeoisie ambulante. On aurait pu le carrier, s’en défaire, l’anorexier, le dévitaminer, voire même le baiser, mais la jouissance la plus incertaine était de le faire s’examiner, sa maigreur haletante dans les bras plastiques, sa jugulaire sous frottis de néons lugubres, son carcan stérile dans les mouroirs à lampions. Son âme était devenue un clic, quand il parlait il faisait clic, il n’avait même pas la patience de s’attendre il se bernait dans les photos et les luxuriances, obèse de mondanités et de calculs pré-pubères.
On égorgeait non loin de là Ahmad Jamal et une forêt de péquenauds hantés de convoitise l’amygdale flottante parmi les pourceaux. On prenait des photos de bras écorchés et d’haleines survitaminées on s’extasiait on clapait on faisait tout comme, à se grandir se hisser puis écraser, puisque ce n’était plus que ça se grandir.
Avec ses lunettes en écaille il croyait voir un peu plus fort le monde que les autres mais il était perceptible à l’infini parce qu’il s’était enfermé dans des carrés, et même ce qui sortait de sa bouche et de ses doigts n’était que carrés post-opératoires, on creusait on fouillait pour y trouver des halètements mais il n’y avait que l’éternel ressassement de ses performances. Il gagnait des prix pour cela, pour le prix de sa subtile énormité.

Très loin de là Ahmad Jamal hurlait de démentielles séquences.

konsstrukt 5

[b]ce qu’ils pensent de konsstrukt :[/b]

« Ses assedics s’arrêtent bientôt, il va trouver un travail, fonder une famille… Adopter un chien… Parfois le dimanche, il se demandera encore l’espace de quelques secondes : »Mais où est donc Ornicar ? »
Ainsi, années après années le malaise se dissipera… Et le poète maudit qu’il est, se verra bientôt confronté à des questions toutes autres ; mais qu’est-ce que je vais faire à bouffer aux gosses ? D’autant que bobonne est partie ; Vaut-il mieux partir trois fois en week end ou une fois en vacance ? Ou enfin ; Ne suis-je pas, ici, dedans, aujourd’hui, loin de ce que je fus hier, ailleurs, dehors? Non celle là faudra pas cela poser, hein !

Texte crade sur la pédophilie, franchement gerbant.

Un jour, je te balancerai un grand coup de genou dans les couilles, espèce de Mathieu Amalric du ouèbe…

konskrturrkukt, ou l’autoédition à l’usure et la poésie au kilo.

alors il etait comment ton caca aujourdhu’i »

[b]KONSSTRUKT NUMERO CINQ : CENT PAGES DE LITTERATURE SALE[/b]

[b]cliquer ici pour télécharger le konsstrukt numéro 5 :[/b] www.artsolid.net/ebook.php?idgal=186&dl=yes

[b]cliquer ici pour regretter d’avoir raté la soirée de l’année :[/b] konsstrukt.blogspot.com/2006/02/le-23-fvrier-ctait-soire-ramasse_28.html

bonne année les z’amoureux, soyez luddites en diable.

Old par igor le 01 Jan 2006

Hé bien, Treize honorée !

HB Magazine

L’Amour Fou n’est pas une Démocratie Sociale, ce n’est pas le Parlement du Deux. Les minutes de ses réunions secrètes portent sur des choses éloquentes trop énormes mais également trop précises pour la prose. Pas ceci, pas cela – son Livre d’Images tremble en nos mains. Bien sûr il chie sur les maîtres d’école et sur la police, mais il se moque tout autant des libérationnistes et des idéologues – il n’est une pièce bien propre et éclairée. Un charlatan topologue a dessiné ses corridors et ses parcs abandonnés, son décor d’embuscade lumineusement noir et membraneusement rouge maniaque. Chacun d’entre nous possède la moitié de la carte – comme deux potentats de la Renaissance nous définissons une nouvelle culture avec notre enlacement anathématisé de corps, fusion de liquides – les veines imaginales de notre Cité-Etat mouillent nos vêtements. (…) L’Amour fou est mieux qu’une prière, mieux que la sinsemilla – L’Amour fou emporte son propre paradis et sa lune partout où il va. L’Amour fou admire le tropicalisme, le sabotage, la break-dance, Laylah et Majnun, l’odeur de la poudre et du sperme. (…) Ce n’est pas un dérangement des sens mais bien leurs apothéoses – il n’est pas le résultat de la liberté mais plutôt son prérequis. Lux et voluptas.

Old par ... le 04 Jan 2006

Développement du Rable : Les lapins protestent

Old par M. Fox le 29 Mai 2006

Et le Tourguenisme avance (coûte que coûte).

le récitant (philosophe) : qui a tagué www.coquecigrue.net dans les chiottes de la mercerie !?

Old par igor le 11 Mai 2006

Tentative de synthèse 2 – Tchiklik Paw

It will never stop, it will never end, je conçois trés bien ce que ça a de casse-couilles, mais pour certains le temps diffère, les anecdotes des uns sont les vies des autres. L’univers contenu dans un grain de sable, et quelques mots suffisent au big crunch – paw. Pourtant, ça n’en a pas l’air, mais y a encore de l’air dans les alvéoles.

Pr. Drüünorst Gulkstra-Grull, sous influence (mais sa vie a mal fini, faut dire)

Old par ... le 03 Mai 2006

posologie des jardins:

arro-matin et arro-soir…

abracadabra


tout est résolu… pour tout le monde… oh yeah

FENG SHUI POST MODERNE

Old par To le 10 Oct 2006

Paradoxalement, ces terroristes numériques naîtront de mouvements
collectifs hostiles aux nouvelles technologies et que l’institut
baptise les « refuznik « . Pour 58 % des sondés, ces refuznik essaieront
par tous les moyens, y compris le terrorisme, de perturber le fonctionnement
du réseau.

Old par To le 02 Oct 2006

Sept trucs

– être une femme, être un homme, penser avant d’agir, agir avant de penser, atteindre l’illumination, écrire un roman vraiment vraiment bon, être un super bon coup tendre violent sensible brute macho et lesbien.
– découper un psd, les pates, le jeux de rôles, être gentil avec une fille, danser comme un fou avec ou sans X, être méchant avec une fille, lire.
– les ruptures, danser comme il faudrait, écrire un roman vraiment vraiment bon, me coucher avant 6h, ranger mon bureau, réparer un lave-vaisselle, avoir les cheveux longs.
– les fesses, les seins, les yeux, les histoires rigolotes, les grimaces de la bouche, les cheveux, les hanches.
– c’est ce qu’elles me disent toutes, ça vaut pas le palace en 84, les saladiers de coke, tamanoir, tourgueniev, je dis ça, je dis rien, le bon esprit de l’Amour, la maison du bonheur, je t’aime, graoo.
– chloé delaume, michael jackson, joann sfar, winona ryder, madonna, maggie cheung, ivan tourgueniev.
– zan, to urgueniev, agent Zero, personne ne porte le même nom, nicolaï tourgueniev, nothing, alan strang, ulf harkogansk-malatesta.

Old par igor le 10 Jan 2006

Cool summer nights…

En pensant à ton sourire
oh toi, tendre aventuriere
mes sens désirent _______
sans cesse s’enivrer
_______ tes lumieres.
Par contre, il fait de droles de sons
je trouve…

Ligne dure du tourguenisme

Nicolaï : c’est bon coco
Igor : oué
Igor : c’est bon coco
Nicolaï : c’est bon coco
Igor : oué
Igor : c’est bon coco
Igor : oué
Igor : c’est bon
Igor : coco
Nicolaï : oué
Igor : oué
Nicolaï : coco
Nicolaï : c’est bon
Igor : c’est bon
Nicolaï : coco
Nicolaï : je vais aller faire des courses
Nicolaï : coco
Igor : coco
Igor : oué c’est ça coco
Igor : les courses
Nicolaï : les courses coco
Igor : c’est bon
Igor : c’est bon les courses
Igor : coco
Nicolaï : les courses, c’est bon
Nicolaï : coco
Nicolaï : ça fait trois nuits que je dors 10h
Nicolaï : coco
Nicolaï : et ça
Nicolaï : c’est bon
Igor : oué
Igor : c’est bon ça coco
Igor : oué
Nicolaï : dormir coco
Nicolaï : c’est bon ça
Nicolaï : oué
Igor : oué
Igor : c’est bon
Igor : il parait coco
Igor : oué

Old par igor le 13 Oct 2006

C’est toujours sur les pauvres gens
Que tu t’acharnes obstinément…

Old par To le 29 Sep 2006

Tentative de synthèse 4 bis : les bons outils coûtent bonbon

« Virtualisme tectonique et fictionnement totalisant, réseaux et interstices, paresia et agonisme tetrapsychostile, bulle conjugale, dérivations délirantes et « amour fou », bref : le Texte, le Contexte, le Propos et le Sentiment… si vous voulez vous en tenir aux substantifs. Mais tout l’univers est contenu dans une petite moue boudeuse et les torrents de lave en fusion qu’elle engendre. Il est donc conseillé par ailleurs de se foutre au cul les « manuels de survie » et autres « bibliothèques de combat », qui ne sont que les appellations fumeuses et galvaudées d’une nécessaire et préalable fertilisation des sensibilités pour émancipation atrabullaire et slalom singulier. L’important est ailleurs.

Il vous faut aussi renoncer, cher monsieur, à vouloir stabiliser votre électrocardiogramme : ses embardées sont le signe d’une résistance partiellement vitaliste à l’entropie dont vous avez compris à présent qu’elle vous guettait, tapie dans l’ombre, et qu’elle vous saisira si le cycle un peu étrange dans lequel vous hélicoïdez de façon parfois douloureuse certes, mais également tellement enchanteresse, devait prendre fin. Vous savez que c’est la première fois en trois décennies que vous êtes vivant, et que l’alternative à cet embrasement perpétuel est un confinement crépusculaire terminal. Je sais pas si je suis clair. »

Pr. Drüünorst Gulkstra-Grull, en descente

Old par ... le 04 Mai 2006

Le maugréant : My god, moi aussi…

« De : Albert et soeurs,
Monaco, principauté de Monaco

Avec le plus grand respect, j’implore votre compréhension de cette proposition. Je suis Albert le fils de défunt prince Rainier III, l’ancien souverain de la principale de Monaco, qui a été blessé par la chaleur de la crise politique ici dans mon pays, la principale de Monaco. Alors, quelques jours après, avant qu’il soit mort dans l’hôpital, il nous a remis tous les documents relatifs aux douze millions cinq cent mille dollars ($12.500.000) à la banque comme entrepreneur, bénéficiaire de ladite principale. Nous savons obtenu vos coordonnées dans notre recherche et nous souhaitont vous proposer ces affaires dans une confiance stricte.

C’est pourquoi toute la confidentialité est obligatoire dans cette histoire.

En effet, je sollicite votre aide pour le transfert télégraphique de cette somme, six millions de dollars des Etats-Unis ($ 12.500.000) de l’Amérique en vue d’investissement privé à but éducatif dans votre pays. Le douze millions cinq cent mille dollars($ 12.500.000) supplémentaires ont été déposés dans un compte de dépôt fixe par notre défunt père et ont été déclarés au nom de son associé étranger outre-mer off-shore pour des raisons de sécurité.

Dans votre intérêt de m’aider dans cette transaction pour l’affaire, j’exige de vous, une réponse réussie de sorte que je vous envoie les coordonnées de la banque où cet argent est déposé. Ainsi vous pourrez les instruire sur le transfert des $12.5 millions de dollars jusque dans votre compte bancaire. Au terme de cette transaction, nous vous offrirons 20% du montant total, et le reste (80%) nous sera livré quand nous arriverons dans votre pays. Aussi dans cette transaction êtes-vous requis de la traiter avec la confiance la plus stricte.

Merci en prévision de votre reconnaissance de cette lettre.
Dieu vous bénisse.

Albert et soeurs. »

Old par ... le 20 Oct 2006

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