
le récitant (philosophe) : qui a tagué www.coquecigrue.net dans les chiottes de la mercerie !?
…
Fais chier merde.
Une histoire de Ouf (la vache):
Ils avaient de beaux nez.
Elle l’avait creux 
Il l’avait fin ![]()
ils echangèrent…
et tout finit bien
car à la fin
il ne passa rien…
OUF (la vache)…

…
Tu es l’émetteur, je suis le transmetteur. L’art c’est pas moi, c’est toi, et ta vie qui me saute aux yeux, et ta façon de te percher dans mon crâne à cracher tes déroutes. Tu es l’art, je suis l’outil, tu es « ce qu’il y a de plus beau au monde ». En buvant du schnaps, je passerais des heures à basculer dans ton éternité. Rajoute-moi de la vodka. On reparlera de ta perennité, de l’onde minuscule que produisent tes pieds et les remous qui nous frappent chaque soir quand on ne se retrouve plus et qu’on s’achète nos visages.
Si j’avais bu sur Tourgueniev – N°6
Je me trouvais vaguement incapable de rien faire, ce soir-là j’avais prévu de dessiner mais la blessure m’étranglait, la blessure qui prenait appui sur mes chevilles et remontait jusqu’à mon cou pour l’étrangler. Je l’imaginais âcre dans ma bouche, ce ruisseau noir qui me défonçait tous les tuyaux depuis deux ans, presque deux ans. Deux ans de malheurs, de paroles comme le vent.
Incipit : N’en pouvant plus ce matin-là il décida de découper son chien et de le faire figurer en bonne place sur le meuble du salon (épais, bois de bretagne, vernis sombre).
Dans tes pentes douces je m’imagine une histoire hors du commun mais c’est pourtant de celles-là qu’il faut se défier, il faut privilégier la simplicité.
Elle muscle son vide intérieur et soudain de ses dents jaillissent des mises-en-scène.
On vit à l’orée des charnières quand la pensée est un fil et que le synapse est sanglant. Tu couds et recouds sans cesse mon cul dans tes inventions, le radotage des petites vieilles te court sur la peau quand tu te penches dans le siphon, quelques gouttes froides pour t’aérer la brume et les cervicales blanchies. Let’s get this straight from the jump, I ain’t playing with your ass. Je penche dans le lavabo qu’est ce que tu crois que la vie est blanche et cicatrisée, les plaies scintillent je les abreuve de mascara dans mes plus grands instants de gloire quand je sais que les faux-amis sont là. La passé est saoudien dans des déserts sans armistices et les os blanchissent dans des plaines de sarcasmes, j’ai pas de parents, j’ai pas d’amitiés fidèles I’m the man with single and double and triple and four five six time them bitches mais je suis pas à plaindre, j’ai un évier dans lequel me troncher les rives et tous les lampadaires et tous les pare-feux et toute ta gueule qui va avec quand tu me mentais la gueule dans mes billets, aplati par le ciel froid, sale merde. Much bone and I don’t fail a test. I can’t be fucked with, you can’t touch this better grab hold. Bitch I’m so cold I’m like a 24 year-old north pole ! Quand les putains de chiens à six pattes et la truffe qui renifle le vide commencent à me serrer les chevilles j’ai envie de tuer leurs grand-mères, je me demande si je suis adapté à ce putain de monde, qui n’est pas plus sale qu’avant, pas plus merdeux, bien le même, pardessus les époques, glaciaires imperméables et changements d’avis. Tu vois, on sait pas trop pourquoi on bouffe des pâtes et qu’on répercute les mêmes souffrances. Bitch I’m doing bad and saying rhymes at the same time (I ain’t lying). Talking behind my back don’t make me no nevermind, cause all you can say is I’m smarter than Einstein. Tu vois, on s’imagine, on s’imagine souvent, ce qui reste à la fin de tout, c’est peut-être une simple perpétuation. C’est peut-être tout ce qui reste, au fond. Le corps d’un autre qu’on a poussé là. Matter fact I’m a tell you mother fuckers three things I’m a never do One : never gonna change my style Two: never gonna bounce, three: never gonna bow. I’m gettin tired of being sick and tired. Dieu merci y’a ta soeur que j’peux encore baiser. Sale Merde en été nous a trouvé un café sur une place ensoleillée – je vais me défoncer la gueule. Sale Merde a dit mon ange assieds-toi, sale merde. Le pire n’est pas que ça meurt le pire c’est quand on s’aperçoit que rien n’a existé, le mensonge jusqu’au fond du trouffion. Je ne serai plus là, je pense maintenant, mais pour quoi, puisqu’il n’y a plus personne. Se faire manipuler Suck big dick and die est si aisé quand on n’est pas affuté. Je suis une terre glaise, I can click just like the boot camp but I’m conscious like daughter Bitch I’m insane but um, you still be want in to claim that I’m your partner on me pétrit, j’ai plein de gentillesse en moi Picture I got more bitches on my dick than bitches at FREAKNIK
…
Putain ben voilà.
Le Tourguenisme en trois questions
Question 1
Question 2
Question 3
Edit 2 :
La Question 2 ayant été supprimée pour cause de non conformité, je me vois dans l’obligation de la changer. Ci-joint le mail de l’équipe Yahoo expliquant la raison de la non conformité de la question sus-citée :
« Bonjour Nicolaï
Vous avez publié sur Yahoo! Questions/Réponses du contenu qui enfreint la charte d’utilisation du service. Par conséquent, ce contenu a été supprimé.
Question : Un mur autour de Paris pour régler le problème de la banlieue ?
Pensez-vous que comme Israël avec la Cisjordanie, les Etats-Unis avec le Mexique, François Léotard avec son jardin, il faille construire un mur autour de Paris pour régler une bonne fois pour toutes le problèmes des banlieues ?
Question subsidiaire : Est-ce que les Pink Floyd n’étaient pas finalement les nouveaux messies, ignorés, bafoués, et traïnés dans la boue (tout parrallèle avec François Léotard est proscrit) ?
Motif de non-conformité :Injures et insultes :
Si vous considérez que vous n’avez pas enfreint la charte d’utilisation, merci de contacter l’équipe Yahoo! Questions/Réponses et expliquer votre point de vue.
L’équipe Yahoo! Questions/Réponses »
Deuxième censure, sur une nouvelle Question 2 :
« Question : Et mes fesses, tu les aimes mes fesses ?
Motif de non-conformité :Infraction à la Charte d’utilisation«
Je me permets de joindre ma réponse :
« Bonjour,
Je suis une nouvelle fois victime de votre censure aujourd’hui, sur la question, dans la rubrique CINEMA :
« Et mes fesses, tu les aimes mes fesses ? »
Dans la rubrique CINEMA… cette phrase est issue d’un des plus célèbres films français (après les Gendarmes à St Tropez) : Le mépris, de Jean Luc Godard. Qui s’ouvre sur cette scène magnifique entre Brigitte Bardot et Michel Piccoli, Bardot demandant tour à tour à un Piccoli désinterressé si, à défaut de l’aimer intégralement, il aime les différentes parties de son corps : ses pieds, ses hanches… et ses fesses. Désintégration du désir. Il me semble qu’il s’agit de l’une des plus célèbres scènes du cinéma français.
Expliquez-moi donc ce qui me vaut une telle censure ?
Toujours bien à vous »
Suite au prochain épisode
Definition du Shintourguenien
Les tourgueniens représentent des flux d’énergie cosmique qui animent l’Univers (cf. l’élan vital de Bergson) et qui s’incarnent dans les éléments terrestres (minéraux, végetaux, animaux) pour y insuffler la vie. L’origine de l’Homme dans ce contexte cosmogonique n’est pas clairement établie.
Tole de nuit


C’est pourtant facile de ne pas se tromper
Novöpération Post-Traumatique
S’évader facilement d’un doux rêve c’est en substance
aisément défier une cauchemardesque et luxueuse réalité.
Vision sans illusion de l’éphémère frontière entre conscience,
inconscience et subconscience.
Au fond, la fin de l’ivresse n’est que l’ultime réveil
d’une perfide lucidité.
Où la cynique insouciance cède scientifiquement sa place
à un simple silence.
J’étais pourtant si fissible. Viscérale viscissitude…
Dieu, pourquoi m’as tu au ban donné ?
Le parti-pris
Ce matin comme les autres Quentin Malabru percussionne.
Se trouer la tête pour se sauver, être ridicule.
Prendre le seul briquet qui reste, laisser l’autre dans la merde,
puis un berger allemand aboit. Pour résumer.
Prendre le sobriquet qui reste.
Mais que s’était-il passé là, tant d’années, être le zéro.
Le zéro pur des gens sous Coltrane.
Quentin Malabru ne pouvait même écouter la musique dans ses oreilles.
Voilà.
Les gens. Il aimait les gens tristes, là les gens comme des poussins,
des dépravés hybrides argentés, coussinnés, des pleureurs.
Voilà Quentin voulait sauver. Quentin ne pouvait supporter que la faiblesse.
Lorsqu’il attendait trop, il forçait la chose. Il les étrennait dans son poing
et slach le jus lâchait. Ce qui l’intéressait c’est quand ils pleuraient.
Ça commençait tôt chez Quentin, d’ailleurs la dernière fois il se souvient,
il se soufflait dessus lors de son dernier anniversaire.
Ça commençait à se ternir les mots.
Les souvenirs.
La vie n’est pas une tartine de merde.
Ce sont les bourgeois qui disent ça.
Voilà Quentin était en camp nazi nucléaire.
Synthèse globale > la cuillère en argent fait qu’ils se plaignent plus
(là, de leurs taches sur le mur de leur cuisine, du mur de la vie, de).
> L’homme a besoin de se faire seul
> Tu lui coupes cette rage, ça devient un petit poussin agressif éclopé
chez psy.
Bon voilà, Quentin résumait grossièrement. Ça l’intéressait.
Le pouvoir des pleurs.
On n’avait jamais plus constaté le mépris que chez ceux qui ne faisaient rien.
Ça aussi c’était continuel. Comme si l’ennui donnait envie de mâcher les autres
c’est-à-dire l’air. L’ennui c’est incontrôlable. Ça vous pousse à grandir,
mais faussement. Vous vous trouvez propulsé à trois mètres de hauteur.
L’ennui ça laisse du temps pour regarder les autres et retourner ses pensées.
Là, des cuillerées de pensées. Faut vraiment avoir le temps.
L’ennui c’est avoir le temps de se dire que c’est une pensée,
puis de ce fait la mesurer à celle des autres,
qui n’atteint pas les cinquante centimètres,
puis la siliconer afin qu’elle atteigne facticement trois mètres.
Quentin avait rencontré un melon imbuvable
qui écrivait des textes imbuvables sur sa condition de poète
mais ce qui était étonnant,
c’est que le melon n’écrivait aucun texte.
C’était épouvantable. On atteignait le spaghetti.
Personne n’aimait Quentin.
Quentin aimait les faibles.
Les faibles finissaient toujours dans le Nouveau Détective.
Marivonne là pendant tant d’années s’était recroquevillé
l’habit pour revendiquer qu’elle ne ressemblait à personne,
elle avait fini par en développer un horrible rictus,
une sorte de dédain qui lui clouait la bouche,
comme une lame qui partait aux commissures.
Là enfermée, Marivonne avec son bon dieu de dieu qui déclaquait,
Marivonne était si imparfaitement assoiffée que le premier
qui lui avait fait miroiter une technique elle l’avait mis dans son lit.
Marivonne avait cru bon souligner son choix en grisant,
en creusant un peu plus les jointures de ses pourritures de vêtements.
Je ne suis comme personne.
Je méprise tout le monde.
De mépriser le monde, tu n’es qu’un fake de plus.
Et la vie, Marivonne.
Quentin Malabru avait rencontré Marivonne dans un vernissage.
Il avait failli lui cracher dessus.
Pas assez faible. Rien à en tirer. Ne lui boufferait pas assez la vie.
Marivonne avait croisé le Quentin. Pas assez clinquant. Marivonne était si idiote.
Dans toute cette affaire, le gibier vivait dans des appartements sordides et sombres.
Dans des gadgets de cuisses.
On les visualisait disloqués, rentrer chez eux.
Séquence trois : je travaille sur les points de rupture.
On ne parle pas du…
Hé, vous l’avez trop vu votre film,
trop de branlettes chemises brunes devant
idoles icones iconoclastes merchandizées,
revenez sur terre.
Starbucks Coffee (3min57sec)
Krispy Kreme (4min17sec)
Mountain Dew (4min18sec)
White Castle (4min19sec)
IKEA (4min50sec)
IKEA (5min22sec)
Pepsi (6min16sec)
Budweiser (29min18sec)
Pepsi (33min29sec)
Pepsi (41min47sec)
Budweiser (42min01sec)
Croton (44min50sec)
Gucci (45min05sec)
Cadillac (1h14min57sec)
Good Year (1h15min03sec)
AT&T (1h18min25sec)
Environmental Protection Agency (1h20min05sec)
Gucci (1h20min39sec)
Volks Wagen (1h20min40sec)
Apple (1h21min20sec)
Molson Dry, Moutain Dew et Pepsi (1h21min50sec)
Westinghouse (1h31min01sec)
Busch (1h31min28sec)
Pepsi (1h31min44sec)
Pressman Hotel (1h35min10sec)
Budweiser (1h48min38sec)
Pepsi (1h55min12sec)
Hotel Lindy (1h56min59sec)
Hotel Bristol (1h57min06sec)
Clifton’s Cafeteria (1h59min32sec)
MCI (1h59min47sec)
Sony (2h09min17sec)
Busch (2h14min01sec)
Space Monkeys…
Politik Koncept en Gestalt Nano
Igor : gnagnagna
Nicolaï : parce qu’en plus j’ai mes traites à payer et puis mon assurance qui m’est tombée sur le dos en plein été ils m’ont envoyé une lettre recommandée mais comm je suis à Lille je l’ai pas reçue et en plus je suis revenu pour 10 jours alors qu’il y apersonne pour nourrir mon chat et j’ai même pas pu filer mes clés à Anne comme elle part dimanche pour une semaine de toutes façons et alors que je lui lais
Igor : gnagnagngagna
Igor : tu roumègues toi
Igor : fais toi voler ta voiture ça te calmera
Nicolaï : j’ai un concept
Nicolaï : une chronique sur Info
Nicolaï : où l’on ne comprend qu’un mot sur 8
Nicolaï : pendant 2′
Igor : france raleur c’est toujours l’heure des raleurs ?
Igor : gnagnagnagnagna
Nicolaï : avec en petit intro vocale : « Parce que l’été, ce n’est pas le moment où tout se passe toujours bien… La Chronique de la Roumègue, Nicolaï Tourgueniev »
Nicolaï : « Oué parce que chier au camping… gnagangangangna le barbecue fait chier ma chemise … gnagangang et en plus ils m’ont demandé de faire la vaisselle alors qu’ils gngengnanganengengen à la plage et j’ai même pas eu droit à ma glace gengngnangnang »
Igor : gnagnagnagnagna police gnagnagnagnagna chat gnagnagnagnagna tampax gnagnagnagnagna puteborgne gnagnagnagnagna gnomes gnagnagnagnagna VH gnagnagnagnagna sarkozy gnagnagnagnagna arabes gnagnagnagnagna blondes !
Nicolaï : voilà !!
Igor : pas mal
Igor : gnagnagnagnagna
Nicolaï : on va faire fortune !
Igor : on est riches !!
Igor : comme avec le tomato show
Nicolaï : La Chronique de la Roumègue, par les frères Tourgueniev
Igor : la gnagnagnagnagna de la roumègue par les gnagnagnagnagna Tourguegnagnagna
Igor : on pourrait faire une serie en 7 saisons de 24 épisodes de 48h
Nicolaï : mwahahahaha
Igor : avec ce concept
Nicolaï : Previously, on Tomatoe
Igor : les héros c’est un ane et un plombier raleurs…
Igor : ils vivent en haut de l’evrest avec juste une chaise et un écran plat à piles solaires
Igor : et il leur arrive pleins d’aventures très longues avec des sherpas roumégueurs
Igor : les sherpas (qui sont aussi moines shaolins) ils roumèguent en népalais pour un oui pour un non
Igor : et l’ane il fait hihan
Nicolaï : le tout en plan fixe
Nicolaï : avec de la musique révolutionnaire cubaine
Université d’été tourgueniste
Igor : les tourguenistes sont aimés sur le blackblog
Igor : Les Tourguenistes sont de grosses blattes lacaniennes
Troudair : yeah
Igor : les tourguenistes font joujou, euh… dans la boue du web
Troudair : puté, c’est super violent
Igor : ça dénonce
Troudair : grave
Igor : alors que nous on essaie de parler des liens entre l’ex-urss et cthulhu
Igor : on est vraiment des zincompris
Troudair : enfin bon, personne n’est tourgueniste après tout, alors c’est pas si grave
Igor : ben moi si
Igor : alors je suis blessé dans mon ame
Igor : de lutteur mexicain
Igor : luther mexicain, aussi
Troudair : je croyais que dans les statuts, y’avait marqué « celui qui dira qu’il est tourgueniste ne sera plus tourgueniste à cette seconde précise »
Igor : ben non
Troudair : ah… je dois confondre avec « c’est celui qui le dit qui y est »
Igor : y’a : et les tourguenistes construirons un empire de milles ans
Igor : et aussi : les premiers seront les premiers
Igor : et encore : c’est celui qui dit qui y’est
Troudair : et : les derniers seront pas bien loin derrière
Troudair : tiens, faudrait peut etre songer à les écrire ces statuts
Troudair : si l’article IV, c’est « c’est celui qui le dit qui y est », il suffit de le faire péter sur le black blog et le tour est joué
Igor : érigeons plutot des statues
Troudair : comme tu es plein de poésie
Igor : aux tourguenistes inconnus qui s’ignorent
Troudair : la tombe du tourgueniste inconnue
Troudair : personne sait où elle est
Igor : il est meme peut etre pas mort
Troudair : on en sait rien
Troudair : mais on l’honore en tout cas
Troudair : c’est la moindre des choses
Igor : oué…
Si on pose : chaque image est une trahison

On peut se poser la question de l’abstraction
(ceci n’est pas un Oignon)
Ne vous inquiétez pas
je monte la garde
(et les sœurs Flipson aussi)

Je suis une quatrième personne du singulier, je trouve les jours trop courts
Je suis le Je fêlé, l’instauration d’une méthode sérielle en art déglingué.
Je suis l’effectuation temporelle de la blessure, la place variable,
Je suis la respiration interne accélérée
Je suis la montre à huit aiguilles
A force de bonne volonté et d’arbitraire
Je ne suis pas nécessairement fondé, ni formé
Je suis des prémisses, je suis chaque chose dans la boutique.
Géronimo géronimo ?
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![]() |
Speeding motorcycle, won’t you change me?
Speeding motorcycle, won’t you change me?
In a world of funny changes
Speeding motorcycle, won’t you change me?
Speeding motorcycle of my heart
Speeding motorcycle; always changing me
Speeding motorcycle, don’t you drive recklessly
Speeding motorcycle of my heart
Pretty girls have taken you for a ride
Hurt you deep inside but you never slowed down
Speeding motorcycle in my heart
Speeding motorcycle, let’s speed smart
‘Cause we don’t want to wreck but
We can do a lot of tricks
We don’t have to break our necks
To get our kicks
Speeding motorcycle, the road is ours
Speeding motorcycle, let’s speed some more
‘Cause we don’t need reason and we don’t need logic
We’ve got feeling and we’re dang proud of it
Speeding motorcycle, there’s nothing you can’t do
Speeding motorcycle, I love you
Speeding motorcycle, let’s just go
Speeding motorcycle
Let’s go let’s go let’s go
Oo oo

| Deux jours de suite, on peut se demander si l’état des lieux, alors la Pom pom girl sera sauvée, et le monde… Ce matin dans le métro, personne. Personne dans la rue, juste toi qui frotte tes pieds contre les miens. Deux jours de suite les paroles de chansons c’est inadmissible et méprisable. Ce matin dans le métro personne, la petite-fille-porno me fait signe amicalement, le chef indien ne bouge plus, sur les quais personne, personne dans les rames, personne dans ma tête, personne dans mes poches, dans la rue, personne, et la petite-fille-porno ne parle pas, me regarde, me fixe, me sourit parfois. Sauve la petite-fille-porno et tu sauveras le monde ? |
DON’T LOOK AT ME

—————————–I’m shy
Aaaaaaaaaa-aaaaa-eeeeeeeeeeeeeeeeeee

aaaaaaaaaaaaaaaaaaa-aaaaaa-a-a-aaaaaaaAAAAAAAAAAAA A pas tout compris…
une baleine à la mer…

oui mais … ?
La face rivée vers l’asphalte, jusqu’au moment où son crâne ira se fracasser contre le bitume. Etranges étés, l’un vit fondre le macadam et s’ouvrir le flux, l’autre n’est plus que matière brute, froide et hermétique. « A la croisée des chemins, l’étau se resserre à petits coups ». Tant de routes à prendre, de voies à explorer, mais sur le bitume une seule ombre tient un jerrican vide, et n’a plus envie d’aller nulle part.

A la bonne heure

chhhhhhhht ce mot
_______ elle ment taire
tabou qui ne s’ecrit en L _______
quoique…
…
Cette jeune personne, douée d’explosions potentielles et d’un formidable gosier Jurassic-Park (en or et argent) se préparait à pétrir la concomitance de voisins délabrés. (La concomitance parfaite du spasme amoureux est extrêmement rare) (GIDE, Journal, 1931, p. 1088). Au plus fort d’un uppercut dans sa cafetière le drame a écloubassé l’essentiel de ses théorèmes Mississippi (qu’elle avait exposés sur sa baignoire après les avoir rongés). Son dentier en cuivre qui avait grandi jusqu’à mi-molaire l’eut par surprise près d’un palmier et c’est au moment où le téléphone sonnait qu’elle tendit le doigt.
Soyons réalistes.
Paris
18e.
15 heures.
Je sors de chez Mathilde.
Un escalier en cotillons.
Je remonte mes hanches.
Négligemment je sors. Les portes me lessivent, frappé.
Je crawl la boulangerie.
James jouit.
Un couple tasse. Disant « Tu arrêtes maintenant » d’une voix aiguë dégueulasse à leur bouledogue chiot.
Puis ils s’arrêtent émus en silence le regardant chier. Ils se pressent les bourrelets, se palpent les os.
Ça sent l’oignon près de l’épicier, je lui dis comme ça :
votre femme prépare de sacrés bons plats.
Il me dit : vous allez bien ?
Non je suis sur invidation.
Je croise le voisin, le sale voisin de Mathilde et soudain.
Un type.
Donc j’accélère le type est toujours derrière moi ses mâchoires bringuebalantes je sais plus je tourne je mange un mur dans la panique le clochard gueule je continue je me retourne le type m’a retrouvé je me scratche dans une porte cochère il avance dangereusement je sais plus une vieille dame avance vers moi elle traverse la rue un parapluie menaçant elle me fixe tout le long du traversage de la rue avec sa tête de luxation mal fanée, le type la vieille, le clochard le type la vieille la vieille le type c’est vraiment la merde entre leurs ongles des scléroses en plaques dont ils vont me sillonner la frousse je m’arrache de la porte gouttière je commence à voltiger par petits bonds vers la fin de la rue je tourne à droite je commence à courir très vite un type m’arrête il hurle un sale type vraiment je m’arrête ébouillanté en plein dans ses deux yeux rouillés ce qu’il sue il me tient ferme le bras je me retourne je lui dis de cesser immédiatement à cause du type et de la vieille derrière moi qui grimpent en cloportes les cloutés je me retourne la vieille et le type ont tourné au coin de la rue, le type devance la vieille d’un bon cinq minutes, la vieille avance lentement mais elle semble déterminée me fixe droit les yeux le type cavalcade bordel je m’arrache des bras du minautore suant je commence à courir comme un dératé et c’est où par chez moi bordel mais merde c’est pas vrai je croise plein de passants ils semblent vouloir m’arrêter, ils tendent les bras ils ricanent même des fois je crache sur leurs prothèses pathibulaires.
4h. Je suis près d’une poubelle. Y’en a un qui se protège dans une maison en carton. J’attends que ça passe. Je lui ai piqué son remède. Le type a disparu au coin de la rue du Départ.
J’appelle Mathilde, ça capte pas.
Soudain on s’est remis à s’embrasser manifester une espèce de chaleur moite à l’endroit l’un de l’autre, ce qui était fort étrange puisque la veille encore on était glacé. Mais tout s’oubliait. Est-ce que le visage des hommes c’est comme le soleil, dirait le générateur de phrases qui se prend pour un cordon et un mythe. Les genouillères sanglantes il a trépassé entre mes dents. Le type qui me suivait depuis toujours je lui ai fait un croche-pied, putain je lui ai saisi le menton j’ai crachoté en lui disant : MAIS TU VAS ME SUIVRE ENCORE COMBIEN DE TEMPS COMME ÇA ? COMBIEN ? TU CHERCHES QUOI LÀ ? Mes postillons s’accumulaient entre ses joues, ce qu’il semblait surpris entre mes doigts ses yeux avaient le tourniquet j’l’ai pris en sandwich entre le remède du clochard et ma haine je lui ai pressé la jugulaire, j’lui ai redit pour la dernière fois MAINTENANT TU ME VEUX QUOI ? et là très triste il a répondu je t’aime. Et j’ai eu honte. J’ai regardé le clochard, j’ai pensé à Jim Morrisson, Janis Joplin et Gil Scott Heron.
Soudain le téléphone a sonné : Mathilde a dit : réponds pas. Réponds surtout pas au type lui dis rien de toi surtout rien lui dis rien, éloigne-toi, lui dis rien, réponds-pas. J’ai commencé donc à l’endormir négligemment accoudé au clochard en fermant les yeux je lui ai raconté le napalm Hawaï le Machu Picchu et le Tibet.
On a commencé à danser dans la rue et des papillons se sont envolés du cul du clochard qui s’est mis à vibrer en cadence on a virevolté d’un chat de gouttière à l’autre en heurtant des putes. Le téléphone arrêtait pas de vibrer Mathilde se mettait à me harceler je répondais pas. On virevoltait avec nos gueules de caoutchouc sous la lune on se heurtait on pensait aux mecs dans les foins qui faisaient ça vite il avait encore le Tibet dans les yeux.
Soudain.
Un chat a commencé à danser vers nous, super malingre un peu méchant. On a pris la tangente toujours en dansant la gigue on s’est heurté au père Lachaise on a continué toujours les pieds en dedans à fouetter nos sens le Tibet le Machu Pichu, à jamais s’arrêter je savais rien du type, des fleurs ont commencé à nous poursuivre et à pousser à chaque pas devant les murs sales le générateur était content on avait accumulé plein de mots murs ville chat pas. On tricotait nos raisons. Le chat griffait sa queue je m’étiolais lamentablement contre un réverbère je savais qu’on allait moins vite que la petite musique qui nous trimballait depuis tout à l’heure.
Alors nos deux ombres pourries se sont mises à s’étirer sous le réverbère très loin jusqu’à Notre Dame. C’est pas arrivé, c’est pas arrivé je me dis, ça arrivera jamais je me dis, la misère ça colle à la peau, ça te détruit, tu pues pour toujours avec ton insalubrité.
On se racontait la vieillesse et comme on se servirait à boire des alcools agricoles sous le soleil du sud les pieds en crabes ne jamais s’arrêter le soleil chapiteau dans nos têtes mater les bonnes vieilles transhumances des gigolos à Accapulco le soleil ne s’arrêterait pas dans nos têtes les transats un bon vieux goût de rhum à s’embrasser dans la lueur des matins à oublier nos vieilles vies tremblantes et peut-être nos enfants en cadence contre la mer nous à contrepied des sables tu sais siroter des gin fizz faire du sport il dit peut-être que oui. J’ai la lèvre qui tremble il fait très sombre soudain, rue de la Verrerie. Je m’inocule encore un peu de vodka et je pense à des pays, j’commence à être super abruti.
Est-ce que tu penses qu’on aura une chaise à bascules je lui dis, la plage rousse qui bégayera entre nos orteils, est-ce que tu penses que la mer nous frappera est-ce qu’ils existeront toujours est-ce qu’on s’aimera déformés la mâchoire claquante de tellement de bons sentiments est-ce qu’on cuisinera des poulets au manioc est-ce que tu me feras confiance est-ce que je pourrai nager du matin au soir dans ton ventre je m’en fous de la pourriture j’aime bien tes intestins on m’a jamais donné d’intestins ni de rhumes je crache pas dessus non je m’en satisfais même, amplement, même d’un coin à vide sous tes ongles ou dans le gruyère de tes pieds quand t’as pris la mousson, même de ton coude à plumes, laisse-moi me loger et pas payer cher, s’il te plaît me fais pas payer de loyer, j’ai déjà du mal, faut que je peigne, tu sais, et que je regarde le monde putain c’est une activité à plein temps et personne te paye putain bordel regarde-moi laisse-moi un petit coin de cyanure même la strychnine à gauche au troisième couloir j’en veux bien, je veux même me loger là c’est rien à côté de la vie tu sais, je l’embourbe comme ça dans mon chemisier, je m’inocule encore un peu de fracas et je pense à des séismes, j’commence à être salement amoché rue du Temple ça a commencé détestable à crier l’oxygène ça se poursuit lamentable à Bastille une longue succession de cris et d’amants et de bêtes de luxures à vide ça se poursuit bestiaux en croix dans sexagénaires, ça a commencé méprisable en 78 depuis j’en suis pas sorti est-ce que tu penses que la mer nous flippera y’avait juste l’horizon la Tour Eiffel salivait des nuées rouges dans nos yeux de bâtards gris des flics en suspens dans nos haleines de chiotte la Seine commençait à se pointer sous nos pieds je lui serrais la main est-ce que je vais m’effondrer.
…
Today
Day of love
For ever
Everywhere

PARIS (Depeche) – La moitié des sympathisants tourguenistes considèrent Ségolska Tsar comme la meilleure candidate pour représenter le parti à la tourguentielle de 2007, selon un sondage I-Glop pour le Journal du Tourguimanche.
D’après cette enquête, 50% des sondés pensent que la présidente de la région du Tourguenistan est le meilleur choix, loin devant l’ex Premier ministre Lioneslav Jaspinov (14%). Viennent ensuite les anciens tourguinistres Jackov Langsky et Berguei Kroutchner, crédités de 8%, puis Dominov Strausskaya (7%) et Laurenitch Fabiovitch (5%).
Le premier secrétaire du PT Franzlav Pays-Bas obtient 3%, à égalité avec l’ancienne ministre du Repos Martina Navratilobry.
Ségolska Tsar est particulièrement populaire chez les tourgueniens âgées de 35 ans et plus, qui sont 53% à lui accorder leur confiance. Chez les moins de 35 ans, la députée des Deux-Datcha obtient 44%, contre 15% pour Lioneslav Jaspinov et 13% pour Jackov Langsky.
Les militants tourguenistes désigneront à l’automne leur candidat pour la tourguentielle.
Le sondage IGlop a été réalisé par téléphone du 27 avril au 4 mai auprès de 1 sympathisant du PT.
Russian President Speaks of Cthulhu’s Awakening.
NEWS
Putin Weighs In on Robots, Sex Following Internet Conference
The St. Petersburg Times
MOSCOW — Russia will use robots to defend its borders, and President Vladimir Putin does not remember the first time he had sex.
After wrapping up an online conference last Thursday, Putin took a few minutes to answer several of the most-popular questions sent in by Russian Internet users, Kommersant reported Friday. The two journalists who hosted the 130-minute webcast had largely ignored the top-rated questions submitted online from around the world, focusing instead on foreign and domestic policy issues.
“Yes, we will use the latest technical devices. Already now they are being stationed, for example, in the southern parts of our country,” Putin said when reporters asked him after the conference whether Russia planned to use “gigantic, humanoid war robots” to defend itself.
Asked to elaborate about what he meant, Putin said: “These are unmanned aerial vehicles. And maybe the time will come for gigantic robots. However, so far we have put our main hope on people — namely border guards,” Putin said, Kommersant reported.
Asked about the possible awakening of the giant mythical octopus Cthulhu, the fourth-most popular question among the more than 150,000 sent to Putin, he said that he believed something more serious was behind the question. Cthulhu was invented by novelist H.P. Lovecraft and was said to be sleeping beneath the Pacific Ocean.
Putin said he viewed mysterious forces with suspicion and advised those who took them seriously to read the Bible, Koran or other religious books.
“When did you start to have sex?” Kommersant reporter Andrei Kolesnikov then asked, verbalizing a question that was on the minds of 5,640 Internet users.
“I don’t remember when I started. But I can remember the last time,” Putin said.
Qui m’appelle?
(insérer ici l’image d’un assortiment de canettes de bière bien fraiches)
konsstrukt numéro trois paraît le vingt-neuf janvier deux mille six
ce qu’ils pensent de konsstrukt :
(merci à nihil pour sa collecte)
comment peut on avoir envie de faire lire ce genre de choses ? c’est à chiér il n’y a pas d’autre mot. je ne pensais pas lire ce genre de truc sur un forum littéraire.
Gros pb avec le caca, encore au stade anal ?
Ton travail,ton job, pauvre imbécile, est nul, sans idée et sans mot, c’est comique de vacuité, c’est du neurone figé. Tu ferais mieux de charcher une place comme assistant du chef de rayon dans une grande surface spécialisée dans les couvercles de chiottes.
cliquer ici pour accéder au sommaire et télécharger votre exemplaire : www.konsstrukt.blogspot.com
EPIC 2015 – l’autre pays du fromage.
Aujourd’hui je viens terminer l’écriture du troisième tome de l’Universelle Tourgueniste, on peut chercher en ligne dans les données qui la composent en tapant un mot clef ici : Universelle Tourgueniste.
Kaléidodrome
Encore des paroles de chansons, inadmissible laisser-aller, mixées qui plus est :
satisfaction de peu, emprunts et tiroirs, hyperliens, ad nauseam, beuarr.

One nation under God
has turned into one nation under the influence
of one drug
Television the drug of the Nation
Breeding ignorance and feeding radiation
I stand in front of you
I’ll take the force of the blow
Protection
I stand in front of you
I’ll take the force of the blow
Protection
T.V. it satellite links our United States of Unconsciousness
Apathetic therapeutic and extremely addictive
The methadone metronome pumping out
150 channels 24 hours a day
you can flip through all of them
and still there’s nothing worth watching
You’re a girl and I’m a boy
You’re a girl and I’m a boy
Yeah
You’re a girl and I’m a boy
You’re a girl and I’m a boy
T.V. is the reason why less than 10 per cent of our
Nation reads books daily
Why most people think Central Amerika
means Kansas
Socialism means unamerican
and Apartheid is a new headache remedy
absorbed in it’s world it’s so hard to find us
It shapes our mind the most
maybe the mother of our Nation
should remind us that we’re sitting too close to…
Sometimes you look so small
You need some shelter
Just running round and round, helter skelter
And I lean on you for ease
Now you can lean on me
And that’s more than love
That’s the way It should be
Now I can’t change the way you think
But I can put my arms around you
Television, the drug of the Nation
Breeding ignorance and feeding radiation
That’s just part of the deal
That’s the way I feel
I’ll put my arms around you
I stand in front of you
I’ll take the force of the blow
Protection
I stand in front of you
I’ll take the force of the blow
Protection
T.V. is the stomping ground for political candidates
Where bears in the woods
are chased by Grecian Formula’d
bald eagles
T.V. is mechanized politic’s
remote control over the masses
co-sponsored by environmentally safe gases
watch for the PBS special
It’s the perpetuation of the two party system
where image takes precedence over wisdom
Where sound bite politics are served to
the fastfood culture
Where straight teeth in your mouth
are more important than the words
that come out of it
Race baiting is the way to get selected
Willie Horton or
Will he not get elected on…
You’re a girl and I’m a boy
You’re a girl and I’m a boy
Les Chansons tristes.
Moi c’est summertime.
C’est une mélodie et une chanson que j’aime. C’est même banal peut-être.
Mais à chaque fois que je l’écoute, de Stan Getz à Janis, je plane.
C’est idiot c’est une chanson dont je m’abreuvais avant.
Maintenant, c’est surtout que ça me fait penser
à tout plein de choses désagréables (enfin un truc ainsi-dieu-se-ment obsédant). Ca me file un joli petit cafard
à carapace indigo. J’y pense et puis j’oublie. Même si ça me laisse toujours un petit éclat bleuté dans la tête.
Pourtant, c’est là, c’est la vie.
Ou pas.
(seventeen) et puis non
(Sixteen reasons)
Why I love you
(One) the way you hold my hand
(Two) your laughing eyes
(Three) the way you understand
(Four) your secret sighs
They’re all part of sixteen reasons why I love you
(Five) the way you comb your hair
(Six) your freckled nose
(Seven) the way you say you care
(Eight) your crazy clothes
That’s just half of sixteen reasons why I love you
(Nine) snuggling in the car
(Ten) your wish upon a star
(Eleven) whispering on the phone
(Twelve) your kiss when we’re alone
(Thirteen) the way you thrill my heart
(Fourteen) your voice so neat
(Fifteen) you say we’ll never part
(Sixteen) our love’s complete
Those are all of sixteen reasons why I love you
(Sixteen reasons)
Why I love you
Ma double peine.
1- La peine est une émotion.
2- La peine est la sanction contre un comportement incriminé.
Communiqué Tectonique n° 2006-0021-Soc/Spec APS dépt. contre-surveillance bullaire.
Une pandémie de tourguenisme due à la circulation d’un nouveau concept contre lequel la cellule fictive-alimentaire n’a pas appris à se défendre, pourrait rendre tourgueniste entre 15 % et 35 % de la population hexagonale. Ces estimations sont celles de l’Institut de Veille Sanitaire du Département de Contrôle Mental (InVS-C.M.), publiées mardi 17 janvier 2013 au Congrès Annuel des Nomenklaturas Tectoniques Inféodées, et détaillées par le Laboratoire des Contaminations Politiques.
En l’absence d’intervention sanitaire et/ou militaire, le bilan pour l’Occitech Hexagonal v.2 pourrait s’établir entre neuf et vingt-et-un millions de tourguenistes et quatre-vingt onze mille à deux cent douze mille bulles tourguespirales en fin d’épidémie, et de cinq cent mille à un million de personnes pourraient développer des complications les poussant à une véritable évasion depuis les blocs tectoniques, rappelle l’InVS-C.M. (rappel détaillé dans le bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH), qui reprend des projections que l’Institut a déjà présentées à l’automne 2012, lors de la présentation du premier Plan Gouvernemental Massifié contre une épidémie séditio-tourgueniste).
L’Occitech Hexagonal v.2 a, selon le Gouvernement Massifié, déjà constitué un stock de quelque quatorze millions de traitements (cent quarante millions de scripts) de Mind-conditionerTM et de BrainvexTM, deux antiviraux contextuels persistants édités par Pharmapolitis Inc., susceptibles d’agir contre un hantavirus tourgueniste qui pourrait apparaître si, par exemple, le virus Fractal Psychostile ou le virus Jou Exécutif (ou même un autre virus plus molletoné) s’adaptaient à l’unité fictive-alimentaire de base. Une réserve totale de trente-trois millions de traitements (trois cent trente millions de scripts) d’antiviraux est programmée pour 2015.
118 500 Tourguenistes redoutés, en l’absence de contre-mesures.
Si le concept tourgueniste frappait un quart de la population, soit près de quinze millions de cellules fictives, près de six cent mille reprogrammations et cent dix-huit mille cinq cent exécutions seraient rendues nécessaires, en l’absence de traitement en amont, ou de vaccin artistique, selon un scénario déjà détaillé cet été par l’InVS-A.I. Utiliser cent trente-deux millions de doses d’antiviraux médiatistes permettrait d’éviter un quart des reprogrammations, et un tiers des terminations, extrêmités que l’on sait toutefois inévitables s’agissant de sédition buillaire et de ses acteurs.
Traiter toute la population avec deux injections quotidiennes de Mind-conditionerTM permettrait d’éviter 73% des terminations, mais il est peu vraisemblable qu’un vaccin spécifique de la souche tourgueniste [c’est-à-dire adapté] soit synthétisé au moment où la conversion essaimerait sur le réseau de l’Occitech Hexagonal v.2, souligne l’InVS-C.M. Toutefois, toutee ouverture du flux étant proscrite si elle n’est pas préalablement programmée et instrumentalisée, le risque est particulièrement minime, voire inexistant. Nous sommes donc prêts à endiguer toute contamination, et à éradiquer toute vélléïté expansionniste ou révolutionnaire des circonbulles et nocturbulles.
Suffisant pour traiter les déviants et les pervertis, le stock actuel de programmes antiviraux reste trop limité pour envisager des traitements préventifs pour les huit millions de personnes à risques (personnes jeunes, ou souffrant d’affections bullaires variées, telles que psychédélisme, irréalisme chronique, insularisme psychostile, toxicomanie notoire, maniaquerie intersticielle, empathie électronique, sédition réseautale, radicalisme uncool, amour fou) et surtout pour combattre les centaines de Maraudeurs (arthromorphes psychostiles, dames du Lac en stand-by, dépeupleurs chimiquement contenus, sorcières sépulcro-païennes, techno-moines combattants, drones tueurs, théoriciens fluides, agrégats hurleurs, artilleurs à soixante degrés, programmeurs pirates, mentats capoeiristes, blockhaus blindés, attracteurs étranges, sérial motherfuckers, trolls à gros pieds, ewoks sous acide…) qui sont à traquer prioritairement.
Pour les populations à risque.
Sans traitement ni programmation préventifs, vingt-huit mille cinq cent spiro-conversions pourraient survenir parmi les huit millions de cellules présentant les plus grands risques de sensibilité. Les soumettre à un traitement antiviral préventif (bombardement fictionnel, propagande subliminale, électrolyse cervicale renforcée, sport, médications psychiques, aliénation socio-fonctionnelle maximisée) en cas d’exposition à un hantavirus tourguenique, impliquerait d’y consacrer plus de deux-cent quatre-vingt quinze millions de doses d’antiviral, soit autant de scripts. Cela permettrait d’éviter seize mille nouveaux tourguenistes dans les cinq ans. Les stocks de programmations multimédiatiques et les vecteurs sectoriels d’atomisation sont largement suffisants, précise l’Arsenal Central, afin de contrecarrer le vent de panique que le rapport de l’InVS-C.MI. pourrait déclencher dans les couloirs du Tectonisme Autocratique Unifié : « compte tenu de notre puissance de feu, de nos réserves et de l’ordre des collisions, nous ne saurions nous inquiéter des mouvements et trajectoires bullaires pour l’instant », ajoute le premier siridar-colonel du Ministère des Simulacres. Se limiter à un traitement curatif, (à base de terminations mentales ou physiques des fauteurs de trouble et de reconditionnement mental des cellules fictives-alimentaires déjà contaminées), nécessiterait seulement quinze millions de doses d’antiviral, mais permettrait d’éviter toute extension bullaire séditieuse spontanée. Rappelons que les législations mises en place dans les années 00 ont permis d’éradiquer tout réseau de communication des matières premières de l’industrie Kulturelle, et ont mis fin aux trafics, à la fraude, et aux gloires qui s’étaient édifiées par ce biais. L’exemple est archaïque, mais préfigurait parfaitement les mécanismes de contrôles dont nous bénéficions aujourd’hui dans l’ensemble du système.
Quant aux centaines de Maraudeurs à traquer en priorité, ces mécréants, leur appliquer des antiviraux s’est pour l’instant révélé relativement inefficace, même en s’attaquant physiologiquement aux Interprètes des organismes bullaires (sauf à profiter de la conjonction d’autres phénomènes liés à l’âge ou aux températures, bien fraîches pour la saison d’ailleurs, sans déconner).
Les antiviraux BrainvexTM et Mind-conditionerTM entravent l’action des aminés cervicaux et des hormones étheriques, afin de réduire la propagation de l’infection bullaire au sein de l’unité fictive-alimentaire. On n’a qu’à faire ça.
Rapport 2006-2006-0021-Soc/Spec APS. Mesures préconisées ?
posologie des jardins:
arro-matin et arro-soir…
konsstrukt 5
[b]ce qu’ils pensent de konsstrukt :[/b]
« Ses assedics s’arrêtent bientôt, il va trouver un travail, fonder une famille… Adopter un chien… Parfois le dimanche, il se demandera encore l’espace de quelques secondes : »Mais où est donc Ornicar ? »
Ainsi, années après années le malaise se dissipera… Et le poète maudit qu’il est, se verra bientôt confronté à des questions toutes autres ; mais qu’est-ce que je vais faire à bouffer aux gosses ? D’autant que bobonne est partie ; Vaut-il mieux partir trois fois en week end ou une fois en vacance ? Ou enfin ; Ne suis-je pas, ici, dedans, aujourd’hui, loin de ce que je fus hier, ailleurs, dehors? Non celle là faudra pas cela poser, hein !
Texte crade sur la pédophilie, franchement gerbant.
Un jour, je te balancerai un grand coup de genou dans les couilles, espèce de Mathieu Amalric du ouèbe…
konskrturrkukt, ou l’autoédition à l’usure et la poésie au kilo.
alors il etait comment ton caca aujourdhu’i »
[b]KONSSTRUKT NUMERO CINQ : CENT PAGES DE LITTERATURE SALE[/b]
[b]cliquer ici pour télécharger le konsstrukt numéro 5 :[/b] www.artsolid.net/ebook.php?idgal=186&dl=yes
[b]cliquer ici pour regretter d’avoir raté la soirée de l’année :[/b] konsstrukt.blogspot.com/2006/02/le-23-fvrier-ctait-soire-ramasse_28.html
c’est la semaine de la…
Fougère femelle – Athyrium filix-femina
Le genre comprend plus de 180 espèces
– Athyrium filix-femina l’espèce type
– Athyrium filix-femina groupe Cruciatum ont des frondes cristées
Toxicité : –
La fougère femelle est très commune dans nos sous-bois, mais à ne pas confondre avec la fougère-aigle qui est également très commune. L’ensemble des feuilles partent du centre de la plante dans son cas.
Le maugréant : My god, moi aussi…
« De : Albert et soeurs,
Monaco, principauté de Monaco
Avec le plus grand respect, j’implore votre compréhension de cette proposition. Je suis Albert le fils de défunt prince Rainier III, l’ancien souverain de la principale de Monaco, qui a été blessé par la chaleur de la crise politique ici dans mon pays, la principale de Monaco. Alors, quelques jours après, avant qu’il soit mort dans l’hôpital, il nous a remis tous les documents relatifs aux douze millions cinq cent mille dollars ($12.500.000) à la banque comme entrepreneur, bénéficiaire de ladite principale. Nous savons obtenu vos coordonnées dans notre recherche et nous souhaitont vous proposer ces affaires dans une confiance stricte.
C’est pourquoi toute la confidentialité est obligatoire dans cette histoire.
En effet, je sollicite votre aide pour le transfert télégraphique de cette somme, six millions de dollars des Etats-Unis ($ 12.500.000) de l’Amérique en vue d’investissement privé à but éducatif dans votre pays. Le douze millions cinq cent mille dollars($ 12.500.000) supplémentaires ont été déposés dans un compte de dépôt fixe par notre défunt père et ont été déclarés au nom de son associé étranger outre-mer off-shore pour des raisons de sécurité.
Dans votre intérêt de m’aider dans cette transaction pour l’affaire, j’exige de vous, une réponse réussie de sorte que je vous envoie les coordonnées de la banque où cet argent est déposé. Ainsi vous pourrez les instruire sur le transfert des $12.5 millions de dollars jusque dans votre compte bancaire. Au terme de cette transaction, nous vous offrirons 20% du montant total, et le reste (80%) nous sera livré quand nous arriverons dans votre pays. Aussi dans cette transaction êtes-vous requis de la traiter avec la confiance la plus stricte.
Merci en prévision de votre reconnaissance de cette lettre.
Dieu vous bénisse.
Albert et soeurs. »
Crépuscule en Avalon. Fumerolles et lumières mortes sur les étendues d’eau vaseuse. Des bulles de mucus épais et chaud explosent sur le dos des rares crapauds hallucinogènes épargnés par les prêtresses en maraude. Les coassantes bestioles ont quasiment été décimées pour permettre la tenue des sessions chamaniques divinatoires hebdomadaires des Mystiques Radasses, enfin bon, tant que Dame Birgit de Bardeaux nous épargne son baratin habituel sur le sujet…
Une délégation des soeurs de l’Ordre du Bene Gesserit est attendue dans quelques jours. Une première. On dit que pour leur être agréable, Morgane a tenté de se procurer l’Epice, mais qu’après avoir arpenté tous les marchés occultes de la contrée et même surfé sur Ebay, folle de rage, elle a dû se résoudre à ne pas pouvoir en proposer à ses invitées. Humiliée, elle s’est enfermée dans son laboratoire où elle tente, en vain bien sûr, de transformer de la tourbe en Epice, en y intégrant des vers écrasés et en hurlant du Ministry, ce ménestrel qu’elle aime tant. Comme le dit toujours Viviane, « putain, mais que cette petite conne est têtue ».
Dans la grande salle d’eau de la demeure de Viviane, où se réunissent les Vénérables Morues pour leur libations vespérales, l’atmosphère est irrespirable. Cette habitude détestable de faire brûler sarments et ronces pour purifier la carne graisseuse de ces dames… Ca daube sa mère. Dame Frénégonde, de plus en plus à la rue, raconte en beuglant à qui veut bien l’entendre ses visions apocalyptiques, y sont évoqués, en vrac, un mystérieux Saint Karcher, la grippe bréviaire et autres étrangetés. Saloperies de chrétiens… Depuis qu’elle a niqué un converti, un troubadour nommé Rodrigue, Frénégonde part grave en sucette. Fin’Amor mon cul.
Dans le bassin principal, sous l’eau, une session d’érotisme lesbien est organisée, histoire de se détendre avant que de recevoir la visiteofficielle des Guedins aux Yeux Azur. Honnêtement, ce grand raoût « sisterhood » à venir, ça fait chier tout le monde, mais les deux bigboss veulent mettre au point un réseau interdimensionnel de Pouffiasses à Super Pouvoirs, alors tout le monde s’aligne, et puis protester, bof, en réu interne personne ne moufte jamais, on sait bien comment ça se passe. Une fois le flattage de clito achevé, tout le monde flotte dans le grand bassin. On en profite un peu, parce qu’il paraît que les Bene Gesserit ont un rapport un peu spécial à l’eau. Tout le monde flotte. Les Dames du Lac sont en stand by.
Par delà la porte se tenaient les dieux
au centre de tout
tronait le dieu musicien
dont la musique rythme la danse des corps celestes
Chacun devisait sur la cruauté
de celui qui avait créé la porte,
détruit le centre du monde,
et déporté ses habitants
backline
Cue Manuel
Les points Cue peuvent être créés et ajustés à n’importe quel endroit sur le morceau en utilisant le Jog Dial ou les boutons de recherche manuelle. Le point Cue est enregistré dans la mémoire temporaire du CDJ-200 et sera effacé lors d’une nouvelle mémorisation.
AutoCue
Cette fonction permet de trouver la première note échantillonnée d’un titre.
Variation du Pitch
Cette fonction est utilisée pour accélérer ou ralentir le tempo d’un morceau pour obtenir un mix parfait en déplaçant le Jog Dial vers l’avant ou vers l’arrière.

Le blues de la poule philosophe
Se faire ou ne pas se faire…
…cuire un oeuf,
telle est ma question.
poule je suis née
poule je resterais
pour toujours
et à jamais
ainsi soit il
Amen.
DE LA PARANOIA
Ce message parle probablement de toi et tu as certainement raison de le penser.





















































