Les fins n’existent pas… vraiment.
Une chanson en -i et en -ois, parlant d’une rue de Paris, d’une grande fille amère et d’un petit mec bouclé.
Samedi 05 Juin 2004
A la Saint Igor, fera meilleur dehors.
cra cra cra cra cra cra cra cra cra cra cra cra cra cra cra cra cra cra cra cra cra
La sueur coule
de ton oreille à ton cou.
Je l’attrape du bout de l’index
et l’achemine plus avant.
Le principe, il va aller se coucher.
Genre avec le hasard.
Le Hasard.
Trahison!
Partout la trahison!
(Putain de trahison…)
L’absent a toujours tort.
Je ne vois plus le fond – glou glou
Au fait… mon ami… c’est quand ton anniversaire?
C’est qu’on m’a déjà fait le coup.
Il a dit: Je suis d’une génération élevée par des femmes, j’ai pris l’habitude de leur autorité.
Moi j’ai dis: Je suis d’une génération qui s’élève seule.
C’était un instant fort.
(Formalité)
Le tourgueniste est un être philanthrope, il avance des réponses aux questions que personne n’a encore posé… et que sans doute on ne nous posera jamais.
(Poster & Publier)
Combien de jours vais je encore dormir dans nos draps…
Combien de jours cette fois pour ne plus regretter les traces de ta substance sur mon duvet.
Combien cette fois ci?
Passiflore
m’a fait
parvenir
cette image.
Elle avait
un grand
sourire.
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