une journée à la mer

« Lorsque Ivan Tourgueniev publie Pères et fils en 1862, il campe un homme révolté d’un type nouveau en qui la force de l’illusion le dispute à la nonchalence et à la morgue. Il est aussi, dans cette vieille Russie provinciale, un étranger, un homme de trop qui côtoie d’autres hommes sans les rencontrer vraiment.

L’écrivain russe avait déjà peaufiné des personnages d’hommes inutiles, dominés par l’ennui et par la certitude de la vanité de tout. Le nihiliste Bazarov a pour vocation de servir le peuple, en niant les principes en vigueur, l’autorité dominante, l’ensemble des traditions. (…)

Il ramène, dès que l’occasion lui est offerte, tous les idéaux à leur principe, organique ou physiologique. S’agit-il de l’amour ? La simple évocation du sentiment provoque une réplique cinglante : « Nous autres physiologistes nous savons bien ce qu’il en est… Tout ça, c’est du romantisme, du vent, du pourri, de l’art. (p 67). D’ailleurs, selon Bazarov, l’art surpreme consiste à fabriquer des bottes et à soigner les hémoroïdes ! »

in « Le nihilisme », textes choisis par Vladimir Biaggi, Ed. Corpus, Flammarion.

mïchå£L dit : mon amant secret est l’ange aux pattes de velours.



2Lazy

Et soudain, la tornade, les éléments se déchaînent contre La Maison. La tentation de tout laisser broyer dans l’orage est sans doute grande. La pluie, enfin…
Old par igor le 07 Août 2003

REWARD !

à tOuteS

de pasSage

On tOurgueniev

there’S a mesSage

fOr you…

yeS, yOu (…)

Old par Gu. le 06 Août 2003

The Barber

Passiflore

m’a fait

parvenir

cette image.

Elle avait

un grand

sourire.

le récitant : indice.

Old par igor le 06 Août 2003

Les pommes d'or du soleil


« Il fait trooop chaaaaud pour travailler »

mais on peut en discuter avec les meufs ?

Old par igor le 21 Août 2003

« Dis maman, la dame de George Bush elle s’appelle

Hussein ? »

Ben 6 ans et demi, analyste economico-politique en herbe

du conflit americano-irakien.


Ceci n’est pas un Haïku
J’irai interrompre mes projets
J’imaginerai me croiser enfant
Je me moquerai de mes faiblesses
Je ne te raconterai que la vérité
Mes idées seront les tiennes
Mes enfants seront les tiens
Mes mains sur ton corps
Et sans doute tu te lasseras
Jalouse de nos idéaux si purs
De ta bouche être l’élu
Et ne jamais m’en plaindre
Comme une licence de droit entartée ?
Chhhhh

Old par igor le 06 Août 2003

tu arrives dans trois heures…

Old par igor le 12 Août 2003

OUI, PARFAITEMENT


« Pour vous, nous avons

Le couteau sans lame

Auquel il manque le manche »

Amour, Dépakine et Magnésium...
Les images hallucinatoires se prolongent bien au-delà de mes espérances les plus folles. Mes dosages semblent propices aux plus étranges voyages et associations d’idées. Je hante les longs couloirs grisâtres de La Maison dans cet état de déficience presque rassurant.
Old par igor le 08 Août 2003

:: De l’air ! ::

Voir aussi –> par ici !

ce

sOir

Félix

est

rentré

avec

un

mamOulex

des

tableaux

et

des

marquise

(…)

Old par Gu. le 22 Août 2003

Cheminement philosophique

Réflexion philosophique entendue

Nous passons notre vie à osciller entre des moments durant lesquels nous vivons intensément les choses et d’autres durant lesquels nous comprenons les choses.

Réflexion philosophique personnelle

Seul les souvenirs nous permettent à la fois de revivrent les choses et de les comprendre.

Application pratique personnelle

Voilà pourquoi je n’aime pas mes souvenirs.

Je comprends que j’étais heureux ; qu’à l’époque je vivais ce bonheur sans m’en rendre compte et que maintenant ce bonheur est révolu.

si tu sais de quoi je parle

il faut que ça cesse.

mes ongles dans ton dos et nos conversations secrètes.

tes jupes retroussées et ton sourire mutin.

nos doigts qui se cherchent et se déchirent.

lundi, il ne restait plus qu’une dose

et je me suis mise à te hair, baby.

je suis ta pire ennemie et je suis à tes trousses.

Cendrillon et la signification m’échappent.

je suis à ton service. passe moi les Curly.

j’aime ce gout d’arachide sur ta queue.

Old par igor le 25 Août 2003

Ornithorynque, noble amphibien

Je ne supporte plus les moqueries à ton sujet.

Tout ça parce que tu es ovipare et mammifère quand même.

Tout ça parce que tu as un bec de canard et des dents quand même.

Tout ça parce que tu as un corps de loutre et une queue de castor quand même.

Tout ça parce que tu as des pattes palmées et des éperons venimeux au bout quand même.

Impossible de te coller une étiquette.

Tu es libre et subversif.

C’est pour ça qu’on se moque de toi, tu comprends ?

Et bien tout ça, ça ne m’empêche pas de t’aimer quand même.

Tout ça parce que, dans le fond, tu es un peu comme moi,

Tu ressembles à tout et à rien quand même.

sur l’alpage abandonné …

pollution, moi je dis NON

Il ne savait pas trop vraiment à quoi s’attacher

Cet air qui m’obsède jour et nuit

Cet air n`est pas né d`aujourd`hui

Il vient d`aussi loin que je viens

Traîné par cent mille musiciens

Un jour cet air me rendra folle

Cent fois j`ai voulu dire pourquoi

Mais il m’a coupé la parole

Il parle toujours avant moi

Et sa voix couvre ma voix

Padam…padam…padam…

Il arrive en courant derrière moi

Padam…padam…padam…

Il me fait le coup du souviens-toi

Padam…padam…padam…

C`est un air qui me montre du doigt

Et je traîne après moi comme une drôle d’erreur

Cet air qui sait tout par coeur

Il dit: « Rappelle-toi tes amours

Rappelle-toi puisque c`est ton tour

y’a pas de raison pour que tu ne pleures pas

Avec tes souvenirs sur les bras… »

Et moi je revois ceux qui restent

Mes vingt ans font battre tambour

Je vois s’entrebattre des gestes

Toute la comédie des amours

Sur un air qui va toujours

Padam…padam…padam…

Des « je t’aime » de quatorze-juillet

Padam…padam…padam…

Des « toujours » qu’on achète au rabais

Padam…padam…padam…

Des « veux-tu » en voilà par paquets

Et tout ça pour tomber juste au coin d’la rue

Sur l’air qui m`a reconnue



Ecoutez le chahut qu`il me fait



Comme si tout mon passé défilait



Faut garder du chagrin pour après

J`en ai tout un solfège sur cet air qui bat…

Qui bat comme un coeur de bois…

H.CONTET

Old par Gu. le 16 Août 2003

AujOurd’hui

Je m’apprète à quitter la salle des prOfesseurs

Hier

J’ai bien failli y passer la nuit d’ailleurs

La cOnnexiOn ici est bOnne

La cOnjOncture pas vraiment

J’ai finalement regagné mes appartements

De fOnctiOnnaire

Il devait être 23h00

J’avais Oublié cette dOuche 5*- luxe

Paramétrage température et pressiOn SVP!

J’ai rencontré le patrOnyme

De mes nOuveaux élèves

Certains m’ont faite sOurire

Tels « Pompom » et « Colladent »

Leurs visages attendrOnt encOre quelques jOurs

pOur l’heure 14h09

Je m’égare dans un piège fantasmatique

Mes obsessiOns restent fantOmatiques

Je vais plier bagages

Quitter Jeanette Verdier

cOmpOster mOn billet

Rentrer

(…)

Old par Gu. le 29 Août 2003

le romantisme suinte par tous les pores de ma peau et je pisse de l’eau de rose.

PLUS DE TEXTE !!

Heureusement, ce matin j’ai pensé à acheter mon coupon

sensuel pour le mois d’août !


NO COMMENT

J’ai réussi à le localiser.

Mais maintenant que faire ?

Monter et sonner ?

Et puis que lui dire ?

in Liberation : 6 août 1873. A Flaubert qui lui adresse force compliments d’Eaux printanières (en un mot, il trouve le récit « charmant« ), Ivan Tourgueniev ravi répond que, venant de lui, cela fait vraiment plaisir, « les vieux latin avaient raison, quand ils parlaient de laudari a laudato viro ». A part ça, à Bougival (seine-et-Oise), « il fait une chaleur abominable – et, malgré les volets fermés, je suis à peu près ruisselant« .

in Immature : je dois être stupide (malré ma maitrise de philo), parce que je ne comprends pas l’intérêt de ce blog que tout le monde semble admirer : www.tourgueniev.com

Old par igor le 08 Août 2003

INCROYABLE ! La preuve par l’image :

La nouvelle vient juste de tomber, et elle va en choquer plus d’un !

Quand Igor boit de la vodka, ses yeux se mettent à clignoter !

(notamment le droit, en plus !)

Des scientifiques du monde entier se seraient penchés sur la question,

mais tous auraient renoncé faute d’explication rationnelle !

Ils auraient déclaré à la presse : »Franchement, on n’y comprend rien ! »

c’est pour dire…

un an
de vie
en moins

freshmaker

Laissez-moi tranquille

Je suis invisible

Rien qu’un rêve electrique

lancé à toute vitesse dans les airs

Laissez-moi tranquille

Je suis invisible

J’ai renoncé à mon corps

à son image

et à ses satisfactions

chaque jour je fais le nécessaire pour sentir « rien »

être un courant d’air bien comme il faut

Laissez-moi tranquille

Je suis invisible

On dit que c’est malsain

si je vous observe

dans la douche ou dans le train

je dis que ce n’est rien

qu’on ne peut pas juger ce qui n’existe pas

Laissez-moi tranquille

Je suis invisible

Comme chaque jour

je te regarde,

tu m’émerveilles et tu me froles sans déceler ma présence

sans te douter un seul instant

des tempêtes que tu déclenches dans mon âme nécrosée

Laissez-moi tranquille

Je suis invisible

J’ai oublié progressivement le langage

personne ne s’adresse jamais à moi

je pleure en silence

la gorge trop serrée pour liberer un son

Laissez-moi tranquille

Je suis invisible

Je voudrais mourir

dans un de ces supermarchés

où je me laisse enfermer

me gaver de gel wc et de croquettes pour chat

à en crever

pour enfin pouvoir t’oublier

We rose up slowly

Roy Lichtenstein

Oil and magna on canvas

2 panels

173 x 234 cm

1964


Old par Gu. le 14 Août 2003

Old par Gu. le 05 Août 2003

autOmne 2000

l’autObus café

première

pellicule

pOlarOid 500

distribuée

9 dOnnés

1 gardé

here

it

is

(…)
Old par Gu. le 22 Août 2003

JUST A PERFECT DAY

Just a perfect day

drink Sangria in the park

And then later

when it gets dark, we go home

Just a perfect day

feed animals in the zoo

Then later

a movie, too, and then home

Oh, it’s such a perfect day

I’m glad I spend it with you

Oh, such a perfect day

You just keep me hanging on

You just keep me hanging on

Just a perfect day

problems all left alone

Weekenders on our own

it’s such fun

Just a perfect day

you made me forget myself

I thought I was

someone else, someone good

Oh, it’s such a perfect day

I’m glad I spent it with you

Oh, such a perfect day

You just keep me hanging on

You just keep me hanging on

You’re going to reap just what you sow

You’re going to reap just what you sow

You’re going to reap just what you sow

You’re going to reap just what you sow…

LOU REED, 1972

I wOuld like,

if I may,

tO take yOu,

On a perfect day

(…)

Old par Gu. le 19 Août 2003

"Ce serait tellement beau; Dans un monde nouveau; Sans ces barrières qui nous freinent; Sans retenue et sans haine; On serait tous unis; Tous ensemble pour la vie; On serait plus fort demain; Si on pouvait se donner

la main"

JOyeuniev

annIgOrsaire

(…)

Old par Gu. le 02 Août 2003

Le Fou prend la Tour en C4

Je dirais n’importe quoi pour placer mon roucoulement de pigeon dans un texte

Ce soir j’ai causé longuement avec mon ange gardien.

Nous avons évoqué son désengagement, son manque de motivation ces temps-ci.

Je pense qu’il traverse une mauvaise passe, il semble au bord de la dépression


La vie recèle pleins de miracles, mais certains jours,

l’avez-vous remarqué, les citrouilles restent des citrouilles

Jacques Salomé

in Je croyais qu’il suffisait de t’aimer

Old par Gu. le 19 Août 2003

Comment gesticuler

Avec sa carte bleue

Dans l’espa$$

VIP

« – Vous avez toujours les yeux exorbités, comme ça ?
– Heu … »

le petit corp flotte dans la piscine

Old par igor le 23 Août 2003

encorunpola pO

la

Gü.

iS

gO-

ing

tO

be

late

(…)

Old par Gu. le 18 Août 2003

L’île de Ré

Elle voulait partir en voyage

A l’île de Ré

Voir de nouveaux paysages

Et ramasser

De jolis petits coquillages

Après la marée.

Je l’ai demandée en mariage

Elle m’a quitté.
Je suis resté seul sur la plage

Assis à pleurer

Cherchant le mauvais présage

Qui aurait pu m’aiguiller

De sorte que je prenne le large

Et me faire embarquer

Sur un navire un peu plus large

Que mes idées.
Elle avait un joli corps sage

Et un short serré

Sans chaussures comme une sauvage

Qu’on pourrait attacher

Les cheveux mouillés par l’orage

Qui n’a fait que passer

Fallait-il y voir un message

De ma destinée.
C’est ainsi que l’échafaudage

De ma vie s’est cassé

La gueule d’au moins plusieurs étages

Un vrai raz-de marée.

Il en faudra bien du courage

Pour pouvoir oublier

Un si joli visage

Et l’île de Ré.
Elle voulait partir en voyage

A l’île de Ré

Je l’ai demandée en mariage

Elle m’a quitté.

Ad lib

Tétard

Old par Gu. le 27 Août 2003

Santé – Sécurité

J’me suis fait retirer les yeux

J’veux pas me voir devenir vieux

J’me suis fait retirer les poumons

Je fumais plus de toutes façons

J’me suis fait retirer le sang

Toutes les saloperies qu’y a là-dedans

J’me suis fait retirer le sourire

A cause des autres que ça attire

Tiens j’me ferais bien retirer les autres

Tout c’qui fait mal ça vient des autres

J’me suis fait retirer les mains

Comme ça j’touche plus à mon destin

J’me suis fait retirer les crocs

J’mange tout mixé dilué dans l’eau

J’me suis fait retirer les pieds

Y’a tellement de risques d’être estropié

J’veux pas mourir

J’fais des efforts

J’veux pas mourir

J’suis déjà mort

J’me suis fait enlever le sexe

C’est pas propre et c’est trop complexe

J’me suis fait enlever le corps

J’peux pas mourir j’suis déjà mort

J’me suis fait retirer le courage

Le cœur l’envie l’espoir la rage

Ca sert à rien et c’est dangereux

C’est comme d’essayer d’être heureux

Essayer d’être heureux

J’vais me faire retirer le monde

Puisqu’y a partout la guerre qui gronde

J’vais me faire enlever le ciel

C’est bien trop grand j’ai même pas d’ailes

Y en a qui s’font rajouter des morceaux

Du gras de fesses des seins plus gros

Moi j’aurais tendance à me réduire

Ca c’est tendance ça c’est l’avenir

J’veux pas mourir

J’fais des efforts

J’veux pas mourir

J’suis déjà mort

C’est l’avenir

L’avenir J’peux plus mouir

J’suis déjà mort

Santé – Sécurité (Daran / Pécheur de pierres)

In the first bar, things were stop-and-stare

but in this bar, things were laissez-faire

I was dancing in the lesbian bar, uh-oop ! Uh-oop !

et

le

Gü.’s

glOckenspill

carillonna

kling-ding-dOng
Old par Gu. le 18 Août 2003

Ce matin, le marais autour de La Maison, je suis allongé dans l’herbe humide avec toi. Tu me souris. La vieille demeure semble pour une fois accueillante. Des bruits d’eau, je me sens renaître, enfin. Les rues en pente nous mènent à de charmants jardins où la fraicheur nous accueille et nous entoure de toute son attention et de toute son affection. Ta main dans ma main, je suis là, de nouveau vivant, mes folies et mes égarements se dissipent ne me laissant plus qu’une évidence : toi. Merci.

Old par igor le 18 Août 2003

Il a dit: Je suis d’une génération élevée par des femmes, j’ai pris l’habitude de leur autorité.

Moi j’ai dis: Je suis d’une génération qui s’élève seule.

C’était un instant fort.

mes vacances en france

(Formalité)

Le tourgueniste est un être philanthrope, il avance des réponses aux questions que personne n’a encore posé… et que sans doute on ne nous posera jamais.

(Poster & Publier)

Catch me if U want !

Nicolaï est à la chasse alors je poste pour lui cette intéressante idée-sortie-vacance.

Old par igor le 01 Août 2003

Un étrange portail, la nuit et le chat. Je me demande où sont les autres, seul l’écran me donne un peu de lumière. Je peux entendre La Maison respirer si je ferme les yeux…
Old par igor le 07 Août 2003

pas vrai, mec ?

play-list

Audio : tout un tas de choses inavouables.
Vidéo : un gros morceau de Kurosawa, Va Savoir, Pierrot le Fou, le Prisonnier,
Total Western, les Griffes de la Nuit, Le Septième Sceau, Le Roi Singe, Noir, Read Or Die.
Lecture : Korine, Moorcock, Sotos, McCullers, Vonnegut Jr, Murakami (Ryû et Haruki),
Delaume, Dantex, Ellroy.

ce genre de post n’a aucun sens et ne sert à rien
sauf à influencer par l’hypnose vos goûts d’été.

Old par igor le 07 Août 2003

De la fraicheur pour ma Princesse.

Old par igor le 07 Août 2003

Old par igor le 16 Août 2003

fOund !

thanX fOr all ! (…)

Old par Gu. le 06 Août 2003

tous les hommes sont petits

« Avec un peu de fond de teint, je vous assure madame,

vous aurez l’air toute pimpante »

Verbalisation libératoire à trois balles.

Hier, j’ai fait un rêve.

J’étais allongé avec une jeune femme brune et aux yeux bleus ; je pouvais parfaitement l’identifier. Nous nous sommes embrassés. Ce baiser, je l’attendais depuis une éternité ; il m’a profondément enflammé. Je buvais ces lèvres et je voulais prolonger cet échange.

Mais, ses caresses sont devenues plus précises et j’ai senti en moi le désir croître.

« Non, ce n’est pas ce que je veux ; je veux juste t’embrasser et te serrer dans mes bras ! ». Mais elle continuait à me caresser. J’ai décidé alors de me réveiller.

Aujourd’hui, je hais tout le monde.

de

cet

endroit

je

sors

toute

à l’envers

(…)

Old par Gu. le 28 Août 2003

mais non.

Old par igor le 21 Août 2003

Mieux vaut ton absence

Que ton indifférence


(…)

Old par Gu. le 24 Août 2003

Travailler pour oublier sa condition

Travailler pour oublier sa condition

Travailler pour oublier sa condition

Travailler pour oublier sa condition

Travailler pour oublier sa condition


Old par Gu. le 05 Août 2003

le récitant : aujourd’hui j’ai le même âge que toi.

Old par igor le 02 Août 2003

On roule depuis des heures, épuisés. Plus de rivière ni de petits canards boat people, on est dans l’ombre de la lune. On fonce vers La Maison, les créatures de la nuit nous observent et d’étranges lueurs sillonnent la campagne. Je ne suis que le souvenir de mon ombre dans l’eau de la piscine.
Old par igor le 06 Août 2003

Enlève la Pau des saucisses !

Old par igor le 21 Août 2003


La sueur coule

de ton oreille à ton cou.

Je l’attrape du bout de l’index

et l’achemine plus avant.

dites, je pensais…

Il (mon meilleur ami) m’a dit : tu dois être un peu moins irascible : atrabilaire, batailleur, brutal, colère, coléreux, colérique, difficile, emporté, intraitable, irritable, ombrageux, orageux, pointilleux, prompt, rageur, soupe au lait, tempétueux, violent.
———————————
Sally, je t’aime : admirer, adorer, affectionner, apprécier, avoir à la bonne, avoir besoin de, avoir dans la peau, avoir du goût pour, avoir envie, avoir le béguin, avoir le coup de foudre, avoir un coup de coeur, brûler pour, chérir, demander, désirer, en pincer pour, estimer, être amateur, être amoureux, être attaché à, être coiffé de, être épris, être féru de, être fou de, être porté sur, faire cas, gober, goûter, idolâtrer, mordre, pincer, porter dans son coeur, préférer, prendre plaisir, raffoler, réclamer, roucouler, s’amouracher, s’attacher, s’embéguiner, s’embraser, s’émouvoir, s’enamourer, s’enflammer, s’enticher, s’éprendre, s’intéresser, se complaire, se passionner, se plaire, se toquer, tenir à, tomber amoureux, vénérer, vouloir.

Old par igor le 11 Août 2003

« le suicide n’est pas une solution acceptable pour le tourgueniste.

celui-ci ne trouvant en effet aucune raison valable de vivre,

pourquoi en aurait-il de mourir ? »

corne de gazelle, thé à la menthe et un bouquinage

Old par igor le 10 Août 2003

happy...

Le Simorgh s’installe dans son lit de myrrhe et d’encens, lance son cri avant de prendre feu, pour renaître de ses cendres. Partout les oiseaux dans La Maison et d’étranges masques qui me fixent et semblent rire de la folie qui semble devenir mon lot quotidien. Les oiseaux entreprennent un voyage, forment étrange procession sous les pins, pour aller à la recherche du Simorgh, oiseau fabuleux qu’ils veulent prendre pour roi. Presque tous meurent en cours de route, seuls trente d’entre eux arrivent au bout. Lorsqu’ils se présentent devant le Simorgh, ils se voient en lui. Ils sont le Simorgh, et le Simorgh est trente oiseaux.

Old par igor le 10 Août 2003

Encore deux semaines de secrets, de rues qui disparaissent, et de mélodies inconnues.

Old par DrT le 17 Août 2003

alarme

pas d’internet (ou presque)
pas d’e-mail
only that

Old par igor le 31 Août 2003

Caramba ! Encore raté !

Elle lui demande : « Qu’est ce que tu as attends de moi ? »

Il se recule d’un mouvement brusque au fond de sa chaise et met les mains sur la table. Il a du mal à cacher son brusque embarra et sent ses pommettes s’échauffer.

« Vas-y se, dit-il, dis lui que tu as envie d’aller plus loin avec elle. » Il est tellement gêné qu’il s’interdit même d’expliciter en pensée ce que sous-entend « aller plus loin ».

Elle le regarde. Comprend-elle son émoi ? Il ne saurait en être sure.

« Trouve une réponse, s’exhorte-t-il, pas trop précise mais qui ne ferme pas de porte ! »

Elle le fixe des yeux. Il hésite puis finalement répond :

« Je ne sais pas. »

J’espère que David Lynch a du succès avec les femmes.

Parce que là c’est un peu ma dernière chance, quand même.

Sinon il me reste mon « pseudo idiot ». C’est un peu léger.

Et mon image de « nerd solitaire ».

Assoiffé d’open-bar et fasciné par « le porno, les jeux-vidéos et la culture postpunk ».

Il paraît que ce sont mes « paradigmes »… Je savais même pas que j’en avais.

Ce qui est sûr, c’est que ça fait pas très sexy.

C’est pas non plus très véridique – mais bon, à la limite c’est pas ça le plus important.

40 000 lecteurs, ça fait quoi ? disons 20 000 meufs ? dont 5000 qui sont vraiment jolies ?

5 000 jolies filles qui m’imaginent comme un nerd boutonneux, le genre qui mange des pizzas seul devant sa play-station.

Sympa. Merci la presse branchée…

Décidément faut vraiment que je refasse mon plan-média.

Tiens, bah j’vais commencer tout de suite.

Je lance officiellement un appel d’offre.

Jeune intello-artiste-bidule très très talentueux cherche attachée de presse.

Travail non rémunéré mais socialement hyper-valorisant.

Ambiance de travail décontractée (tutoiement autorisé, casual friday, alcool à volonté, drogues autorisées).

S’adresser à la rédaction de tourgueniev.com (je n’ai pas encore d’assistante pour s’occuper de ma messagerie).

il fait soleil mais le fond de l’air est froid, et la vulve voix de kim gordon est molle et juteuse comme de la gomme balloune.

ça tire sur mes cicatristes quand je te revois,

arretons, tu veux bien ?

oué…

Old par igor le 21 Août 2003

QUELQUE PART …

… Un sombre complot subliminal se terrait entre le Verbe et le Nombre


il est tard et il se peut que ce soit mon dernier message. je ne sais pas où il est mais il me cherche sans doute son odorat va le mener jusqu’à moi et, sûrement jusqu’à ce bureau. cet ordinateur est mon lien unique avec le monde et je crois que l’orage qui gronde ne devrait pas tarder à le mettre hors d’usage. je décide de ne plus utiliser la touche « e ». j sais qu’il st là dans l noir t qu’il m gutt. j dcid d n plus utilsr la touch « i ». la nut tot ls chats sont grs. l s’appll onko.
Old par igor le 17 Août 2003

autOrOute A3

directiOn

Neuilly-Plaisance

livraisOn

cOmmande

SpOke

jamais

arrivée

destinatiOn

perte

cOmmande

véhicule

stOpdanger

dépanneuse

mOmO

est

mOrte

ce matin

(…)

Old par Gu. le 25 Août 2003

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