Les habitants de la réalité synthétique n°1137227106 commençaient à batir leur monde, les modes s’amplifiaient, flamboyaient et mourraient en quelques semaines. On eu ainsi successivement un usage abusif de mondes sous-marins, de stations spatiales, de tunnels souterrains aux minéraux brillants et translucides, de bio-habitats écologiquement stables et durables… On ne s’inquiétait de rien et à chaque assemblée générale, l’enthousiasme était quasi-palpable tant chacun pouvait exprimer sa créativité librement, sans contrainte matérielle ou légale. Il y eu des débats enflammés pour la gestion et l’apparence des espaces communs et ainsi fut créée la première commission des habitats collectifs, dont les délégués, choisis parmi des artistes de chaque grande tendance des habitants, durent plancher sur l’apparence globale de ce monde en devenir.
Loin des feux familiers, je m’en vais.
Je quitte ce territoire auquel j’appartiens.
Sans me retourner, j’abandonne mon destin.
Un jour, qui sait, je reviendrais.
Déçu par le Passé, angoissé par le Futur.
Tu m’as dit que tu m’aimais malgré mon corps défaillant
tu sais que je n’ai pas d’avenir
mais tu dis que tu m’aimeras encore quand j’aurai perdu mes dents
que tu m’aimeras toujours quand mes cheveux seront tous tombés
et même lorsque je commencerai à devenir fou et à oublier ton prénom,
tu m’aimeras encore
Merci, je t’aime aussi
V. écrit : « Le secret des secrets, c’est qu’il n’est de misérable que ton image de toi-même. Je ne voudrais pas t’emprunter ton miroir, offre-toi sept ans de malheur. »
L’origine
Je suis né le 13 avril d’un père écrivain et
d’une mère inconnue. Les journaux ne manquèrent pas de relever ce phénomène :
“ Dans la nuit de jeudi à vendredi, le même nourrisson est sorti de l’utérus de
76 femmes différentes. Le père, furieux, décida qu’il ne resterait qu’un
enfant et il congédia les mères. ”
Comprenez alors l’ampleur de ma tourmente
– Allo mimi ? – Ouuuais. – Je suis super désolé. Mais je vais pas pouvoir vous assassiner sauvagement à coups de hache demain soir. – Ha bon ???? – Ouais, j’ai une grosse surchage de boulot, je vais devoir bosser comme un malade tout le week-end. – Zut, c’est dommage. – Donc on fera ça la semaine prochaine, mais je sais pas encore quel jour. Je vous appellerai pour vous dire. Ok ? – Ok. – Alors à plus et encore désolé, vraiment. – C’est pas grave. Bon courage, travaille bien. Salut. |
Zen,
Prendre du recul à chaque instant
savoir faire la part des choses
ne pas s’emporter pour des broutilles,
s’énerver au moindre couac
cool toujours!
Open, tolérant. Ne pas avoir d’avis tranchés, être à l’écoute.
Voter pour le centre gauche. A Bas les extrêmes de tous bords.
Participer à des repas de quartier, contribuer à des oeuvres de charité.
Signer des pétitions pour les réformateurs iraniens contre la peine de mort, contre la faim dans le monde, pour la liberté de la presse…
Zen,
Trouver sa voie, la sérénité.
Comme le blondinet pull près du corps, cuisine équipée intérieur froid gris blanc de la pub IKEA nous présentant ses étagères.
Flanqué de sa femme et ses deux gamins, il a l’air épanoui des gens heureux qui vivent à crédit.
PERPETUITE DE LA CONSOMMATION.
A suivre….
Doux, exigeant, impliqué, simple et un peu barré
Je l’imagine, forcément je le sublime
A ma façon nous sommes intimes
Je ne l’ai jamais vu même si je l’ai plus ou moins rencontré
je vais devoir
faire un grand feu
et y précipiter quelques ennemis
rien de tel
qu’un petit sacrifice
pour restaurer la magie
comme au bon vieux temps
je crois que je suis allergique à l’héroïne : à chaque fois que j’en prends, je me sens tout bizarre.
1 Dans un bus, assise, une femme et sa jupe, bavarde et cocasse comme une toile de Miro.
Images, je n’assume pas la gêne que vous me causez ! Que faire de vous ?
2 Une jeune fille, après être photographiée, fonce vers le photographe pour l’embrasser.
3 Un clochard explique trop longuement ses circonstances, sur trois stations, c’est beaucoup de donneurs potentiels qui descendent.
Restaurer la magie n’est pas aisé,
du bout de mes pieds
à la pointe de mes cheveux
je cherche en vain cette étincelle,
ces p’tits morceaux de reves
savamment bricolés,
un peu d’amour,
de musique
et les couleurs qui dansent tout autour,
l’assemblage habituel
qui me fait tenir et avancer
je ne les trouve nulle part,
peut-etre que les temps changent, finalement
Terroriste 1
camarade révolutionnaire, URANIUM comment allez vous ?
Terroriste 1
(MOLLAH OMAR)
Terroriste 2
je vais ARME BACTERIOLOGIQUE plutot pas mal ma foi
Terroriste 1
Vous êtes déjà PNOHM PENH arrivé NUCLEAIRE à Paris ?
Terroriste 2
oooh non ! ATTENTAT PREVENTIF je viens seulement BACILE DU CHARBON ce soir
Terroriste 1
boooooooooKILLTHEPRESIDENToooooooon
Terroriste 2
oué ASSASSINAT ça devrait OTAGE aller
Terroriste 1
Mais ALLAH AKBAR tu vas faire FIDEL CASTRO quoi à Paris JAMAH ISLAMIYAH ?
Terroriste 2
j’ai un rendez-vous GROUPUSCULE pour choper des photos MISSILE AL SAMOUD pour une expo au théâtre
Terroriste 2
(2)
Terroriste 1
Tu restes ALI TOUCHENT tout le week-RACHID RAMDHA-end ?
Terroriste 2
nan SYRIAN nan, juste l’aller ISLAMIC DICTATURE retour
Terroriste 1
Ah bon, même pas KHADAFI une soirée pour JE SAIS OU SE CACHE SADDAM HUSSEIN une soirée ?
Terroriste 2
si si, BOMB LA HAGUE une soirée. je rentre AEROPORT ROISSY CHARLES DE GAULLE demain matin
Terroriste 1
Bien bien… ben moi je vais aller PERVEZ MUSHARAF IS GAY faire ma sieste quotidienne
Terroriste 2
tu fais TOTO CUCUGNO bien
Terroriste 1
(45T – y -76H)
Terroriste 2
(JH 25A CH JF 18A PR RDV Q)
Terroriste 2
moi je file à l’usine (DE TRAITEMENTS DES DECHETS NUCLEAIRES)
Terroriste 2
a+ camarade MOUJAHIDINE
Terroriste 1
bon… je te souhaite CONTAMINATION une bonne SRAS DANS TON CUL journée
mes dents sont petites et acérées
mais je suis bien trop timide
pour te mordre
où se rejoignent ton torse et ta tete,
veux tu me présenter ton cou
s’il te plait ?
Produire des phrases comme on ferme des portes, pour dormir enfin.
(Ecrire pour atténuer le bruit du dehors.)
-Allo?
-Oui c’est Gu.
-Bien dormi?
-Très bof…
-Tu fais quoi là?
-Je me lamente sur tout ce que j’ai à faire et ça me prend vachement de temps…
-Ah…
-Et toi?
-Pareil…
-Bon on raccroche alors…
-OK!
Petits conseils d’amies Paris le 17/5/03
-S’acheter des chemises blanches ou flashies
-S’acheter des tee shirts moulants (« arrête de porter ces pulls à carreaux tout flocos »)
– Ne pas être TROP gentil avec les filles.
– Etudier le personnage de Superman.
Superman: force et détermination
Clark Kent: Sérieux, calme, posé, dévoué.
– Avec les princes charmants elles s’ennuient.
– De toute façon des Cendrillons il n’y en a plus qu’au Bled.
– Ne pas harceler X. Laisser venir un petit peu.
– Ranger sa chambre. S’acheter des meubles, des vrais.
– Arrêter d’attendre trouver un autre job.
Le prophète ne se déplaçait jamais sans un livre rempli de pages blanches : un rappel que nos vies ne sont pas écrites à l’avance, un symbole d’espoir.
Intensité
Pourquoi un livre écrit sans style (sans revendiquer
un style) me fascine, plutôt qu’untel qui use du langage
comme d’un pétard ?
Des noms !
Vieux mythe de l’écriture blanche, blanchotienne.
« Degré zéro » etc.
Ecriture réduite à un pure outil ;
oublier d’urgence le rêve de se fondre
dans ce qu’on dit. Instrumentalisation avant toute
chose. Le récit, vite ! Fadaises psychologiques
laissées aux autres.
Degré Zorro de l’écriture !.(Justice, violence etc.)
Efficacité. Vite !
Oedipe au placard.
Roger Laporte au cachot.
Proust attaché à la robe de môman.
Rêve d’une écriture dont la sensibilité ne
serait pas trop pantelante.
Auteur disparu ?
Pulvérisé ?
» Que mon effacement soit ma façon de resplendir ! « (Jaccottet)
ETC
Bonnefoy : « Le mensonge du discours est qu’il
supprime l’excès. Il est lié au concept,
qui cherche dans l’essence des choses qu’elles
soient stables et sûres […]. L’excès, lui, est
le craquement de l’essence, oubli de soi et de tout,
joie autant que souffrance par néant. »
Zen attention c’est souvent un faux calme.
Doux à l’extérieur irascible à l’intérieur.
Sûr il pète pas souvent les plombs mais quand il explose tu peux dire bye bye au disjoncteur.
Zen comme l’ex toxico qui te bassine avec sa rencontre avec Dieu.
Il fait les gros yeux quand tu fumes un joint.
Moraliste il donne des leçons, hausse la voix alors que ses bras
ressemblent à une autouroute à quatre voies.
Zen, avec ce mec là il faut être fort pour ne pas se faire chier.
La fatigue m’envahie
Je ne sais plus bien…
Je t’aimerai toujours
Comme un ange qui pleure
Dans l’aquarium tactile
Les vieux allemands
J’aime bien manger des marrons chauds
Le vieux Général De Gaulle
C’est bien trop précieux
Personne ne peux le rattraper
I love you
Tout ça je le saurais toujours en lisant
Que ça sera comme ça la réalité
Je voudrais passer ma vie avec toi
Certaines chansons restent et le Wampas…
T1 + S1.
T2 + C1.
T2 != C1.
S2 != O.
S1 != T1.
S1 + O.
S1 != S2.
T2 + C2.
S1 != T2 + C2.
T1 + C1.
S1 != C1.
S1 != T2.
T1 != C1.
T2 != T1.
T1 -> S2.
Les admirateurs de belles femmes.
Les dingues d’images.
De voitures fuyantes.
De cranes lisses.
De femmes volubiles.
(Peut-on se dévoiler dans l’image ? Helas non, Felix. )
ETC
Fable.
Le photographe connut crise si forte qu’il se débarrassa
des image prises depuis 20 ans. Il avait tout photographié.
Et ces choses l’avaient dépassé.
II se sentit trahi ; comme si les images parlaient à voix haute :
“ Nous n’avons aucun intérêt. Nous sommes des copies.
Tu ne sais pas quoi faire de nous. Nous sommes devenus gênantes, sans signification. ”
Le photographe avait passé sa vie à ordonner
des éléments monde ( ce qu’il appelait le monde se limitait uniquement à
ce qu’il connaissait — illusion dont il prit conscience vingt années après
dans la solitude et la tristesse.
“ Je me suis trompé, dit-il. A quoi bon photographier une femme ou un abat-jour que j’aime ?
Primo, je ne les connaîtrai pas davantage.
Secundo, ce qui est visible me répugne.
Tertio, j’ai banalisé ma vie en la doublant. ”
Alors il descendit ces images à la poubelle, détruisit son appareil.
Quand il remonta, il s’adressa à sa fenêtre et lui parla :
“ A nous deux ma coquine, je te regarderai désormais sans aucun intérêt,
seule façon de comprendre, sans vouloir, te digérer. ”
Et il la palpa en fermant les yeux
Elle est partie.
Partie sans explications.
Ils ont coutume de dire: une de perdue dix de retrouvées.
Grand bien leur fasse. Non elle, ELLE me plaisait vraiment.
Le jeu de séduction a pris le pas sur la spontanéité.
J’étais mal. Mal dans ma peau. J’ai joué mon numéro: alterner
les faces sérieux/farfelu.
Impair et passe, mauvaise pioche.
Elle est partie sans explications.
Nomme moi,
je veux l’entendre de ta bouche
ce nom que je porte
comme une plaie
ou une courronne d’orties,
partout en l’entendant
les foules chuchotent,
mon ombre partout me précéde,
les mères cachent leurs enfants si j’approche,
on dit que de croiser mon regard porte malheur
et tous m’évitent
ose,
toi qui a brulé mon ame
NOMME MOI,
tu me dois au moins ça
après tout ce que j’ai fait pour toi
et ces années d’abnégation
passées à ton service
à te chérir
et te protéger
je préfere me donner la mort
que de rester ainsi dissimulé,
mon amour pour toi ne me le permet pas,
nul recoin obscur
ne peut resister à ce brasier !
NOMME MOI !
D’une table de café
Retour du soleil, pensées lâches brûlées,
retour à la surface, la peau a très chaud.
(La vie inconnue se déroule, sans s’affoler.)
| Vous retrouverez votre photo sur le trottoir à l’angle de la rue de Patay et de la rue du Dessous des Berges (paris 13e). |

Pour rester zen, il vit sur le long terme en se posant les bonnes questions pour les choix qui s’imposent.
Ne pas se laisser submerger par la tension, le négatif stress.
Il a troqué le métro pour son vieux vélo et le week end fait le tour des quais en rollers tout en scrutant le coefficient de pollution de l’air.
D’humeur égale en tous temps. Encéphalogramme plat bip, bip, bip, bip.
Avec lui pas de surprises ou presque.
La folie, la démence de la jeunesse il a connu et en est revenu.
Il a passé l’âge de faire des conneries, on peut compter sur lui il fait toujours ce qu’il a promis.
Raisonnable, il sait qu’il faut savoir dire NON.
Pas rancunié pour un sou.Tout le monde peut s’emporter avoir ses écarts (sauf lui).
Il faut pardonner un point c’est tout, promouvoir le dialogue car la violence ne résoud rien.
Prévoyant, attentionné, rangé. Un brin maniaque: le ménage c’est tous les soirs. Sa chambre ressemble au couloir d’un hôtel.
Rien ne dépasse c’est l’équilibre en tous points.
A SUIVRE….
Stanick (via le wub)
Je veux que les belges n’aient plus rien d’autre à avaler que leurs Léonidas pourris.
(ou comme on dit chez moi : « vous moi aiment à nouveau laissent des Everyway que je boîte le dos vous mes amours et alors Everyway entiers donne, moi boîte je le crie; Des oeufs et forment à nouveau des cubes vous puits »)
IGOR A DISPARU…
Aidez-nous à retrouver Igor!
Plusieurs centaines de cas de crise de manque ont été constatées
et recensées aujourd’hui chez les lecteurs de Tourgueniev ce héros…
Si nous n’agissons pas très vite, l’épidémie risque de se propager
de façon exponentielle!
Alors faîtes vite, si vous avez des informations, nous contacter!!!
Evidement récompense!!!
Saccades
L’après midi sera consacrée
à la confection de la troisième
maquette de mon livre d’images.
(Successions de gestes, passage de corps
improbables en couleurs, dans des villes
visitées en 2000/2002 : Kiev, Damas,
Istanbul, Milan, Paris, Marseille).
Initialement le livre s’appelait DEFILEMENT.
Mais A.C. trouve que le titre annonce un fonctionnement
cinématique (séquentiel), alors
que chacune des images est à lire individuellement.
Pas dormi.
Au réveil, (solution) trouvé SACCADES, je suis heureux.
(Le projet comporte 32 images et une dizaine de pages de notes
sur la photographie.)
— Saccades : à-coup, accidents, interruptions, surprises, failles…
j’ai du maquillage plein mes chaussures,
des étincelles plein les oreilles
et dans ma tete
le sang qui bouillonne
fait un bruit
comme une chute d’eau près d’une fenetre
——————————
j’ai envie de faire une pause
de monter sur la montagne
et avec un Don Juan d’ocaze
prendre l’herbe du Diable.
——————————
Tu sais, je suis très déstabilisée de ce qu’il se passe entre mes parents, et j’attendais de toi que tu me rassures.
Au lieu de ça, je suis restée seule dans le vague pendant trois jours avec mes questions. Tu aurais pu me rassurer rapidement (de suite) en m’expliquant pourquoi les impôts avaient besoin de ma fiche de paye.
Il n’y a rien de pire que de rester dans le flou, et je n’ai pas besoin que tu m’engueules (je n’ai pas de temps à perdre avec de telles imbécilités incencées!) Mais plutôt encore une fois que tu me rassures et que tu me sécurises. C’est ce que j’attends de mon papa…
Je t’ai confié un original d’une de mes fiches de paye parce que je te fais confiance mon papa. J’espère que tu ne vas pas me décevoir…
Il dit que chacun d’entre nous
doit planter son Arbre-aux-contes
vert, magique et brillant
qui saura le guider et l’accompagner
tout au long de sa vie
J’ai dit hier soir à T. que la littérature a une autorité
si forte sur moi, qu’à chaque instant de vie heureuse, il y a
une voix qui s’attriste, comme si ce bonheur m’écartait du travail.
« Le but de l’Art ne réside pas dans une décharge d’adrénaline éphémère et limitée, mais dans la recherche paisible et durable d’un état de bonheur et de sérénité »
Glenn-Gould
Autrement dit : l’Art c’est pas joli, c’est du boulot, beaucoup de boulot.
Fact : Les mannequins sont toutes des anorexiques.
Counterfact : ou est-ce le monde qui est boulimique ?

Ce matin je me suis mal réveillé
avec ce rêve étrange
on chassait des peluches
à la chasse à courre
le docteur Glück sonnait son cor
et tes côtes rousses
disparaissaient de taillis en taillis
—
une fois rentrés au club
devises aimables
vieux célibataires
je regarde danser les flammes
au travers des ailes translucides
d’un papillon
mort sur ma manche
pendant qu’on m’ote mes bottes
—
vous aussi, vous vous emmerdez pendant que les merguez cuisent ?
vous aussi, vous aimeriez prendre part aux conversations au lieu de surveiller les côtelettes ?
rassurez-vous !
car www.tourgueniev.com lance le…

imprimez les textes que nous vous fournirons toute la semaine, apprenez les par coeur et…
étonnez vos amis !
à la première réplique déclamée, vous deviendrez le centre d’intérêt de toute l’assemblée !
pour récompenser les tourguenistes dramaturges les plus talentueux, des prix seront décernés à la fin du festival.
Catégorie Tragédie :
Prix de la meilleur pièce
Prix de la meilleur réplique
Prix de la meilleure utilisation d’accessoire de barbecue (brochette, alcool à brûler, allumettes géantes, …)
Catégorie Comédie :
Trophée Supreme du Pain sur la Rousse
Trophée d’Honneur de la Rousse à la Merguez
Trophée Magique de la Rousse qui suce
bonne chance !
Tu prends à droite puis la deuxième à gauche, là t’as un petit pont métallique bleu et rouge, tu le passes et tu contournes la place sur laquelle tu vas tomber… Ensuite, tu verras c’est facile, c’est toujours la première à gauche puis la deuxième à droite pendant trois fois. Quand tu en es là, tu verras un petit marché avec une église derrière, n’y rentres surtout pas! Fais un quart de tour sur toi même dans le sens de ta montre, et je serais à la terrasse (mais seulement s’il y a du soleil!)… A tout à l’heure…

































