Vous retrouverez votre photo sur le trottoir à l’angle de la rue de Patay et de la rue du Dessous des Berges (paris 13e).

Old par Rodia le 07 Mai 2003

11:57:38 : je prends mon petit déjeuner au soleil

14:18:15 : je renonce à prendre mon vélo pour cause de temps de merde

Le temps, non plus, ne sait pas ce qu’il veut en ce moment.

Old par Rodia le 13 Mai 2003


Old par -- Zan le 25 Mai 2003

ANTONIO – Que la faveur de tous les dieux aille avec toi! (Sort Sébastien.) J’ai de nombreux ennemis à la cour d’Orsino; sans quoi je t’y rejoindrais bien vite… Mais advienne que voudra; je t’adore tellement que le danger me semblera un jeu, et j’irai…

Old par M. Fox le 22 Mai 2003

je sais pas pourquoi

mais à chaque fois

le matin en me levant

je me dis :

IGOr jE Vais Te BroYer la GueUle

Il me fait peur
Il me fait rire
Il ne me fait plus pleurer
Il ne le fera plus jamais
Il me / se cherche
Il se / me justifie
Il m’écrit
Il m’ennuit
Il dort et il mange
Il réalise parfois
Il me touche (bien)
Il a disparu…

Old par Gu. le 12 Mai 2003

Old par Gu. le 21 Mai 2003

PROSE YO-YO.

Old par Gu. le 25 Mai 2003

Demain, vérifier l’absence de corps étranger maléfique
Ce soir, redescendre un peu sur terre
J’ai horreur des descentes…

Dare-Dare Motus :  » Jeunesse : « Qualités d’un être
ou d’une chose qui n’a pas encore perdu toutes les qualités
dont il (ou elle) est susceptible. »

La musique comme seule sensation

J’écoute de la musique :
quand je travaille,
quand je prends le métro,
quand je cours,
quand je suis seul chez moi,
quand je lis,
quand je m’endors.

Bientôt, j’écouterai de la musique :
quand je serai au téléphone,
quand ils me parleront,
quand je disparaîtrai.

le 10 mars 1780,
un jeune homme de 23 ans, en mission secrète, s’embarquait pour l’Amérique afin d’annoncer à George Washington l’arrivée de renforts français.
Avec l’Hermione, frégate de « 12 » construite à Rochefort, Gilbert Motier, marquis de La Fayette, apportait aux insurgés du nouveau continent un vent de liberté

Old par M. Fox le 05 Mai 2003

J’augmente les doses,
au fur et à mesure

Un jour,
tu ne me feras plus rien

Old par M. Fox le 16 Mai 2003

Old par Gu. le 21 Mai 2003

Récemment les types louches qui traînent ne me font plus peur.



SpOke

vous

parle !

Old par Gu. le 28 Mai 2003

Old par M. Fox le 02 Mai 2003

In memory to F. from J.M. Memorial

Old par Gu. le 11 Mai 2003

C’est une page du cœur intime. Les méchants
peuvent m’attaquer. Les méchants, quant à
eux, n’en n’ont jamais fini. Ils peuvent dire que la
parole à soi, c’est insuffisant. Mais si tel
est le verdict, je meurs. Bizarre comme
la voix vient caresser ma pensée. Souvent,
je me bats pour faire une phrase. J’essaye d’être
direct pour me saisir.

T

Old par Gu. le 28 Mai 2003

« Si on s’accrochait à des ballons  ? On s’envolerait ! Comme des oiseaux !! »
Rex, dinosaure dans Toy Story .

F

Old par Gu. le 28 Mai 2003

« SOUMETS TOI TOUT ENTIER A TON MEILLEUR MOMENT. » P.V.

Comment poursuivre ? Voilà la question
qui m’avait occupé jusqu’au moment crucial
(dimanche matin) où je décidais
sans consulter mes femmes, mes docteurs, de changer
du tout au tout en reprenant sur un autre mode le travail : fini
le temps de l’éparpillement aux quatre coins du désir,
temps perdu d’errance sans consolation, vite, une autre voie plus
lumineuse (même si le soleil faisait encore défaut) avec
un face à face émouvant comme une image fixe
découpée sur un film de Bergman en silence,
bouche ouverte qui ne dit rien, sentence revenue d’une très
vieille lecture (Blanchot Au Moment Voulu, 1996, Limousin)

« FAIS EN SORTE QUE JE PUISSE TE PARLER. »

Elle est partie.

Partie sans explications.

Ils ont coutume de dire: une de perdue dix de retrouvées.

Grand bien leur fasse. Non elle, ELLE me plaisait vraiment.

Le jeu de séduction a pris le pas sur la spontanéité.

J’étais mal. Mal dans ma peau. J’ai joué mon numéro: alterner

les faces sérieux/farfelu.

Impair et passe, mauvaise pioche.

Elle est partie sans explications.

Tu m’as dit que tu m’aimais malgré mon corps défaillant

tu sais que je n’ai pas d’avenir

mais tu dis que tu m’aimeras encore quand j’aurai perdu mes dents

que tu m’aimeras toujours quand mes cheveux seront tous tombés

et même lorsque je commencerai à devenir fou et à oublier ton prénom,

tu m’aimeras encore

Merci, je t’aime aussi

Old par M. Fox le 31 Mai 2003

VISIT GENIUS!

Lorsque la simple désignation de l’objet
le fait advenir comme tel à la réalité…

Old par Gu. le 07 Mai 2003

Doux, exigeant, impliqué, simple et un peu barré
Je l’imagine, forcément je le sublime
A ma façon nous sommes intimes
Je ne l’ai jamais vu même si je l’ai plus ou moins rencontré

Old par Gu. le 02 Mai 2003

La condition de la réussite :
patience, bienveillance, diableries.

Ping Pong citadin, passer entre les villes, leurs mailles, s’y perdre et s’y retrouver, sentir leur amour, leur désir et leur répulsion. Suivre ses sens, ne plus se sentir ?

Crier inutilement dans un énieme train, dormir plutôt que de faire le mauvais geste… bienvenue en gare de X ; une de plus, encore ?

Elles se ressemblent toutes et pourtant qu’elles sont particulières… ce sandwich est-il unique ou une représentation supplémentaire de l’éternel jambon dans du pain ?

Bienvenue à toi, brave Sans Domicile Fixe… Ta Gueule, pas besoin de ta concupiscence, je me débrouille avec la mienne ; elle peut déjà remplir bien des wagons à elle seule.

Ô joie, un banc solitaire, mouillé jusqu’à la couenne (à ne pas bouger, on fait du gras), dormir sans oublier, sinon ça ne serait pas drôle, et fermer la porte.

Old par Rodia le 26 Mai 2003

Paris (9)

Assis sur une table de café je regarde
aimablement une jeune femme, j’attends A. ce qui
me laisse le temps de révasser face à elle ;
mon amie arrive (A.), et obstrue la vue ; beaucoup bu de
bières,je me dirige vers les toilettes, en évitant la table
de la jeune femme car je suis timide, j’en sors, je me lave
les mains et trouve que mon visage est fatigué
la porte s’ouvre, je reconnais l’inconnue qui s’excuse et me demande
du tac au tac si on peut se revoir, je suis timide, je bafouille, dis oui
pourquoi pas, mais comme elle semble plus âgée que moi,
et plus grande surtout, je tremblote, et finalement la voilà
qui me tend un papier où est écrit son téléphone,
elle s’appelle (non je ne dirai pas son nom) on s’appelle ?
Oui darling mais je pars dans le Limousin, ciao, ciao,
pourquoi ce retour de l’audace
dans un paysage de vie si aride ?

Old par igor le 18 Mai 2003

Old par Gu. le 06 Mai 2003

MAKE A NOISE LIKE A DYING GIRAFFE!!!!!

Dans un café de la gare de Lyon, à mes pieds, un moineau
très loin du ciel, sautille sur le revêtement caoutchouteux et bullé.

Trop de bonheur n’existe pas…

Old par Gu. le 19 Mai 2003

It was our secret…

Old par Gu. le 20 Mai 2003

EXHIBITIONNISTE, CE HEROS

Reward
LEILA

Old par felix le 16 Mai 2003

Temps de merde.



Old par Rodia le 06 Mai 2003

S

Old par Gu. le 28 Mai 2003

Méta = Vérone, été, crépuscule, amours impossibles

Old par M. Fox le 31 Mai 2003

caféUne certaine idée du bonheur...thé

Je me suis faite découpée en rondelle et ça sent l’oignon…

Enfin! Pleurer…

Old par Gu. le 01 Mai 2003

Merci aux jeunes hommes qui corrigent mon orthographe

Old par M. Fox le 03 Mai 2003

Old par DrT le 13 Mai 2003

Il semblerait que « Laputa » soit un mot indigène (des habitants de l’île volante) dont Swift interprète la sémantique de façon suivante : le mot que je traduis par « île volante » ou « flattante » se dit en cette langue Laputa ; mot dont je ne distingue pas la vraie étymologie. « Lap » est un archaïsme et signifie « haut » en vieux laputien.
Old par D.b le 21 Mai 2003

— Quel était l’origine de toute cela ?
— Qu’entendez-vous par cela ?
— La lutte, je ne sais pas, votre présence ici.
— Problématique.
—C’est pourquoi je vous demande de m’expliquer.

Avoir le don de faire un bon dans le temps.

Pas comme une machine avec laquelle on voyage, non.

Avoir le don de ne plus sentir la vie.

Pendant un mois un seul.

Comme si l’on m’avait endormie…

Avoir le don de me sortir de ma létargie.

Seule reste à ma conscience la connaissance.

De tous les évenements.

Sans une seule trace d’émotion.

Un être pensant, froid, distant et imperturbable.

Une machine à ne plus vivre…

Old par Gu. le 28 Mai 2003

Oui mais le zèbre vit à Belleville

Old par Gu. le 28 Mai 2003

Chère amie,

J’ai aimé ta série bleue,

fait du vélo sur ta falaise
attrappé un coup de soleil
et visité ton jardin des plantes

attrappe moi si tu peux

merci pour tout

Old par M. Fox le 11 Mai 2003

Lu tard dans la nuit un livre terrible

Produire des phrases comme on ferme des portes, pour dormir enfin.
(Ecrire pour atténuer le bruit du dehors.)

ATTENTION AUX CLOWNS

Old par -- Zan le 14 Mai 2003



Ce matin je me suis mal réveillé

avec ce rêve étrange

on chassait des peluches

à la chasse à courre

le docteur Glück sonnait son cor

et tes côtes rousses

disparaissaient de taillis en taillis



une fois rentrés au club

devises aimables

vieux célibataires

je regarde danser les flammes

au travers des ailes translucides

d’un papillon

mort sur ma manche

pendant qu’on m’ote mes bottes

Old par -- Zan le 30 Mai 2003

Old par Gu. le 21 Mai 2003

Dialogues (Extraits)

– Je crois que l’image ne peut pas oblitérer la réalité.
– Tu as raison, c’est la réalité qui oblitère l’Image.

Didier Feldman
PUNCTUM

Old par Gu. le 09 Mai 2003

en chantant:

« we wil we will rock you »

Ici, le site pour les admirateurs de belles femmes qui fument des cigarettes et dévoilent leurs charmes.

Old par felix le 24 Mai 2003

Old par igor le 19 Mai 2003

Il dit que chacun d’entre nous
doit planter son Arbre-aux-contes
vert, magique et brillant
qui saura le guider et l’accompagner
tout au long de sa vie

Old par M. Fox le 14 Mai 2003


– Allo mimi ?
– Ouuuais.
– Je suis super désolé. Mais je vais pas pouvoir vous assassiner sauvagement à coups de hache demain soir.
– Ha bon ????
– Ouais, j’ai une grosse surchage de boulot, je vais devoir bosser comme un malade tout le week-end.
– Zut, c’est dommage.
– Donc on fera ça la semaine prochaine, mais je sais pas encore quel jour. Je vous appellerai pour vous dire. Ok ?
– Ok.
– Alors à plus et encore désolé, vraiment.
– C’est pas grave. Bon courage, travaille bien. Salut.
Old par Rodia le 10 Mai 2003

le récitant : celui qui kérave, il sait.

Old par igor le 23 Mai 2003

Ce qu’il faut faire

Dans ton texte, laisse apparaître les ratures, repentirs, contre l’idée

dégoûtante de la réussite, et du prêt à admirer.

ETC.

ETC ETC ETC ETC ETC

ETC ETC ETC ETC ETC

ETC ETC ETC ETC ETC

ETC ETC ETC ETC ETC

ETC ETC ETC ETC ETC

Parcours du musée à Amsterdam…

Les estampes japonaises de Van Gogh…

Rarement été aussi touchée devant une toile…

Old par Gu. le 07 Mai 2003

T1 + S1.
T2 + C1.
T2 != C1.
S2 != O.
S1 != T1.
S1 + O.
S1 != S2.
T2 + C2.
S1 != T2 + C2.
T1 + C1.
S1 != C1.
S1 != T2.
T1 != C1.
T2 != T1.
T1 -> S2.

Old par Rodia le 13 Mai 2003

Il y a toujours plusieurs façons d’interpréter la réalité.

Old par Rodia le 13 Mai 2003

Old par igor le 31 Mai 2003

Sproutlore

Old par Rodia le 30 Mai 2003

je m’abandonne
volontaire
tu me possèdes : je suis à toi

Old par M. Fox le 02 Mai 2003

Faire attention à trop de bonheur.

Old par Gu. le 19 Mai 2003

Tu ne dis pas ce que tu penses

Old par M. Fox le 17 Mai 2003

Old par -- Zan le 02 Mai 2003

Je n’avais pas eu l’impression de réaliser
une action décisive.Il se saisit du bonheur
uniquement pour faire battre plus
vite son cœur. Au moment voulu, tu diras à tes amis :
« N’importe où dans le monde ! « 

travaux préparatoires

– les 101 dalmatiens ne seraient rien sans Cruella –

Old par igor le 12 Mai 2003

nous n’irons plus au bord du canal ?

Perdu clone (suite)

Si vous me croisez assurez-vous bien que c’est moi

je me suis rasé la barbiche pour qu’on ne me confonde pas avec lui

Old par -- Zan le 02 Mai 2003

Textes pour rien

Who’s under this music ?… Check and See…

Old par Gu. le 19 Mai 2003

SpOke vous parle…

Old par Gu. le 26 Mai 2003

Si belle qu’elle transforme les fauves en agneaux

Old par M. Fox le 29 Mai 2003

Jo(u)lieGü.

Old par Gu. le 27 Mai 2003





ô ma Reine !

Je suis à tes pieds

comme ta robe



Old par -- Zan le 31 Mai 2003

Old par Gu. le 21 Mai 2003

Mort amoureuse, passage du coit au cercueil,

vieillissement prématuré de ton sein droit que

j’aime encore, échange de salive et d’instants

momifiés dans ma mémoire, existences.

PLUSIEURS VIES VECUES ENTRE DEUX PHRASES !

le récitant : l’Empire n’a jamais pris fin.

Old par igor le 29 Mai 2003

Moi et moi.


Old par Rodia le 06 Mai 2003

——————————

j’ai envie de faire une pause

de monter sur la montagne

et avec un Don Juan d’ocaze

prendre l’herbe du Diable.

——————————

Old par igor le 21 Mai 2003

Au marché aux fleurs, j'ai trouvé quelques chats pour toi... Au marché aux fleurs, j'ai trouvé quelques chats pour toi...
Old par D.b le 21 Mai 2003

Et si définir l’artistique était une question de balise tourgueniste…

Old par Gu. le 07 Mai 2003

Autoroute en construction…

Old par Rodia le 03 Mai 2003

 


Old par -- Zan le 18 Mai 2003

Whaooooooooh…

Old par Gu. le 19 Mai 2003

Old par Rodia le 10 Mai 2003

invasion du grand espace bleu
par les soucoupes volantes en tissu :
glurps.

Caution! One don’t have the intention of speaking modems, bauds or smoothness of tags HTML in version 4.0. If all the emergent media knew these periods of car-centered technical speeches, we want precisely to widen the debate and to center it on the concerns of the real world, while benefitting from the democratization of the media. A little the made-to-order of the lorry drivers with the CB (Citizen Band). Remember: at the beginning, the CB enthusiasts n’échangeaient between them that technical information on the operation of the CB (style « Dédé hello, passes on channel 615, y’a less crackling »). Gradually, this mode of communication s?est standardized, allowing l?ouverture of the field of the discussions (style « Dédé, one t’attend at Monique, the Relay on N15, Joinville direction. Y’a of the moulds at midday »).

L’Ile Enchantée
1er étage
65 bd Villette
75010 PARIS
( 01.42.01.67.99

Old par M. Fox le 07 Mai 2003

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