poisson pané poisson pané poisson pané
poison, trépannée…
– tu te laisses absorber par le travail, il ne reste plus rien pour moi, en plus, t’es même pas payée…
– arrête avec ça tout de suite, maman.
petit chaperon rouge, go home:
acte 1 : wouééééééé vive la libertééééééééé !
acte 2 : oulala, oulala, ça chatouiiiiiiiiille !
acte 3 : ben alors, ben quoi ?
réponse : c’est pour mieux te … , mon enfant .
résout tous tes problêmes
t’en crée de nouveaux (si tu veux)
te rend l’affection d’un frêre
(même si c’est une âme soeur)
allez, bouge ton cul, vas voir
le Mage YCIEN !!!
*$*¨c’est cher, mais c’est bon¨*$*
oublie moi, si tu peux.
Je te lêche des pieds à la tête, tu es ma sucrerie favorite, laisse moi te prendre encore, s’il te plais, petit bout de reglisse …
Vous vous pensiez entourée de camarades compréhensifs et sincèrement concernés par votre sort, tout comme vous l’êtes lorsqu’il leur arrive une tuile … grossière erreur… mais rassurez-vous, vous aurez droit au
« lot de consolation »
(dormez seule , mangez seule, vivez seule, mourrez de solitude, quoi, au mieux, essayez d’apprendre à votre poisson rouge à communiquer avec vous en morse, ça occupe les longues soirées d’hiver…)
Un lecteur m’interpelle ainsi: Au fait, qu’est ce que le Tourguenisme?
Cher Lecteur, puisque tu poses la question, il faut que je t’avoues que je n’en sait rien. Mais comme tu m’interpelles quand même quelque part, je peux te confier ceci:
(c’est un texte trés ancien que Ivan vassilievtch Tourgueniev lui même a écrit l’autre jour par l’intermédiaire d’un médium qui se trouve être également un ami proche, en l’occurence ma soeur jumelle)
« J’ai des impulsions atroces comme ça; pendant cinq minutes tu me manques tellement que j’ai envie que tu me fasses un bébé pour faire exister un morceau de toi et moi réunis et puis après c’est tellement épouvantable comme idée (plus de futur pour moi / toute ma vie est abolie / un être en plus au monde qui ne fut désiré réellement par personne) que je veux me jeter par la fenêtre et puis j’en peux plus, pasque cinq minutes après je suis en train de faire un autre truc et je réalise que je t’ai totalement oubliée, comme si tu n’avais jamais éxisté. alors je tire à pile ou face pour savoir laquelle de ces trois options de toi est la bonne et alors c’est encore plus terrible de penser qu’après tout pour moi rien n’a vraiment d’importance, que je suis totalement hystérique et malade, tragicomiquement, définitivement malade et que je suis simplement térrifié à l’idée que jamais je ne saurais me sortir de ce bourbier.«
qui l’eu cru ?
« Tu peux bien m’écrire des textos de folie
et m’offrir des cadeaux en faux cool,
je t’ai démasqué, petit Casa de chez Nova. »
« aujourd’hui, c’est une journée spéciale: si tu fait bien attention, tu remarqueras que tout le monde ressemble à Jean Gabin. Dans les cafés, tout le monde parle avec un drole d’accent parigot, même les filles se mettent à porter des casquettes un peu de coté, et les gens ont un petit regard bleu mouillé, comme Jean Gabin. Si tu allumes la télé, tu verras sans doute un des enfant de Jean Gabin, sa fille ou son petit fils qui trainent sur le plateau de Drucker; ou bien un acteur diras avec un regard pénétré et une voix rocailleuse: « t’as de beau yeux, tu sais », ou bien ça pourrais être la rediffusion de « la bête humaine »… c’est Gabin day… »
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itinéraire bis : console, art process, 3015, come in, eof, immanence, public>…
anywhere anytime anyone
je voudrais être ton esclave sexuelle
et te promener au bout de la laisse que tu attacheras à mon collier.
please, love me …
in « deux heures de lucidité » de noam chomsky, les arènes éditeur.
(héé non, ça n’est pas une réplique du captain Kirk
en même temps, 2 heures de lucidité, c’est, mmm…
comment dire…euhhh…hein…?)
Je suis sur la branche, je l’observe.
Nous écoutons des vinyles en accéléré, je la regarde.
Elle se hisse sur la pointe des pieds, esquisse un pas de danse, et tente de s’envoler.
Je l’admire.
« Haaa…, trés cher, je suis ravie de voir que vous avez pu vous libérer pour vous joindre à nous… effectivement, c’est charmant; oui, l’ambassadrice du Gabon est présente, elle aussi… son jeune frêre l’accompagne avec un singe sur l’épaule… étonnant, tout à fait…mais au fait, vous souvenez vous de la conversation que nous avons eu l’autre jour à propos d’alpinisme…oui, et bien laissez moi donc vous présenter quelqu’un qui pourra répondre à vos questions de façon pertinente :
La voici, elle s’appelle Anna Tommy… »
(baisser de rideau, la foule en délire réclame le tableau suivant par une standing ovation…)
hermétique, vous avez dit hermétique…?
mais non, ça n’est pas une boite de conserve, puisque c’est un tournevis, on vous dit.
allez, arrétez avec vos questions, ça sert à rien de toute façon …
– tu refuses de me voir un jour sur deux, tu réponds pas au téléphone la nuit, tu fait des manip’ pour pas que je voies les sites sur lesquels tu surfes, tu trouves les prétextes les plus absurdes pour me faire des procès d’intention… Franchement, tu sais de quoi tu as l’air ?
– d’un type normal ?
– t’as surtout l’air d’un mec qui sort avec plusieurs filles en même temps.
L’assassin anglais, déguisé en ninja(‘rdin), tourne son regard acéré vers moi et me chuchotte, dans un demi sourire: « pas besoin d’arme blanche pour faire ça; quand je tue, c’est à mains nues.. » Puis, sans émettre un seul son supplémentaire, sans cesser de me fixer des yeux, trés délicatement, il retira ses gants… héhéhé…
Le mauvais oeil, c’est celui qui n’est pas le bon…?
(le bon oeil, c’est celui qui va avec le bon pied)
“Le souffle du merveilleux l’anime tout entier (…). J’entends que ce livre n’exalte du commencement à la fin, et le plus purement du monde, que ce qui de l’esprit arrive à quitter le sol et que, dépouillé d’une partie insignifiante de son affabulation romanesque, à la mode du temps, il constitue un modèle de justesse et d’innocente grandeur”.
A. Breton
cet enfoiré d’andré est encore en train de parler du Moine de Lewis…
dernières nouvelles du front:
Un sous marin russe
perdu dans les eaux territoriales ennemies
aurait semble-t-il
cherché à s’élever au dessus des flots
afin d’échapper à la pesanteur…
(celui ci était en effet équipé d’un système anti-gravitationnel ultra sophistiqué)
IGOR > TON FUTUR…

– il ne pose jamais de questions, je ne sait pas ce qu’il en pense.
– tu ne sais pas s’il éprouve de la jalousie ?
– son attitude signifie clairement que non…
– tu vois cette petite meuf, là-bas, qu’a l’air de rien ? et ben, c’est une Femme Fatale… c’est fou, non?
moi, si j’étais un garçon, j’irais bien lui dire « now I wanna be your dog ».
(tu me reconnais plus, hein, maintenant que tu es célêbre, espèce de renarde en salopette, va !)
« Oubliez immédiatement toutes les portes qui se ferment sous votre nez et à votre barbe ma petite amie, devenez ce que vous êtes, et, en toute circonstance, ne vous séparez jamais de cet ustensile jovial qui fit votre renommée dans les raout mondains : la louche ! Car c’est à la louche que l’on apprécie le mieux tout ce qui s’avale (le caviard aussi, n’est ce pas?!). »
Au « Tchat Lab », nous étions une trentaine environ, et seulement quelques uns d’entre nous étaient chercheurs à plein temps et demi. La plupart des ouvriers étaient en CDD, CDI trois quart temps ou « éphémère autoreverse », mais nous parvenions à nous compléter ainsi puissament dans la douce torpeur du ventre de la baleine.
Ce soir je vais à la plage.
On jouera au ballon prisonnier
et aux chaises musicales.
Comme dans un show TV
de samuel beckett
ou de gertrude stein…
0001010100000111010011000010…ad lib.
G enfin trouvé un petit nom sympa pour mon chat.
Je vais l’appeler « Phillipe »…
C’est extra, comme nom, pour un chat, non?
Phillippe le chat, tout ça…pis ça change de félix, hein?
Je pourrais dire aux copines de ma mêre: « non, phillipe n’est pas tatoué, il aime bien pas faire comme tout le monde,…, oui, cet été, en vacances sur la côte avec phillipe…, oui, phillipe et moi on est inséparables…on dors tout le temps chez moi…et pas une dispute, c’est un ange…mais il est trés indépendant, hein… »
mmm
Bon, c’est peut être pas une si bonne idée finalement…

non, je n’appelle pas
je ne renvoie pas de mail
ne répond rien de précis.
pourquoi une photographie
plutot qu’une autre
avec ou sans intérêt
les images se suivent
et se ressemblent
un peu.
rien n’empêche
d’espérer la bonne
surprise.
Elle voulai l’inviter :
Pour une polenta sauce tomate avec en dessert la voie lactée
avant ils auraient fait
un tour sur la promenade plantée
et du patin d’été le nez au vent par les remblais protégés.
La nuit est arrivée
elle n’a pas osé
c’est raté…
dommage.
(c’est un poême-dommage)
« alors, je ne sait pas ce qui m’a pris, j’ai dit tout bas, mais assez fort pour qu’elle l’entende : « les femmes à poil, à poil les femmes. » LK
un cadavre dans le placard?
Viens ici que je te spamme un peu ma biche… (sourire à grandes dents de vampire qui luit dans l’obscurité é é é…).
Je parcours le champ après l’ultime bataille:
A perte de vue, s’étalent tripes et boyaux, têtes humaines arrachées par le feu des canons et la vindicte populaire… quel gachis (parmentier)
haaaaaaaaaaaaaaa, ça ira… peut être…
marketing viral : peut être.
oh mon amour, mon coeur est lourd
je compte les heures je compte les jours
je voudrais te dessiner dans un desert
le desert de mon coeur
oh mon amour, je passe mon tour
j’ai déserté les alentours
je te quitte, voilà c’est tout.
extrait de « desert », émilie simon.
Elle est exquise
c’est pour ça que je la tue
plusieurs fois par jour…
je l’assassine
au poignard (un kriss)
à double tranchant
un coté pile, un coté face,
je la découpe
des pieds à la tête,
et elle, l’insensible
continue de papoter avec ses copines
comme si je n’éxistais pas…
ce matin tôt je rencontre « la juliette de pascal » rue du faubourg saint antoine : elle me dit :
– tu vas au boulot ?
– moui … (j’ai la tête dans le pâté, je porte un bonnet bleu atroce et je me rend chez mes potes de Console ou je fait en ce moment un dessin sur le mur de la cuisine…)
– ha oué, et ben, moi, chuis la galérienne du lundi matin !
décidémment, c’est grace à des moments comme celui ci que je suis forcée d’admettre cette réalité première en ce qui concerne « les échanges verbaux et moi » :
j’ai pas le sens de la formule…
– j’ai pas dit que c’est ce que tu faisais, j’ai dit que tu en avais l’air…
– d’un pouêt ?
le citron, c’est un peu : aciiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiid !
* septième ciel * ?
Et bien non, pas de nirvana en vue, surtout quand je pense que tu n’as répondu a aucun des mails que j’ai pu t’envoyer. Que ce soit des lettres d’amour, des mails sans prétention ou bien des images, rien, semble-t-il, n’est assez bien pour toi. Je ne dois sans doute pas être assez « stimulante ». Mes jupes pas assez courtes, mes yeux pas assez bleus, ou bien, c’est beaucoup plus simple: je suis trop disponible, tu crois sans doute que je suis à ta disposition, que tu n’as aucun effort à faire pour me séduire. Tu dois penser que ce que tu connais de moi est bien suffisant, qu’on est un déjà vieux couple, qu’il ne faut pas trop en demander, mais tu n’as rien épuisé en moi, et c’est bien dommage car tu ne le sauras jamais puisque je te quitte…
Allez hop, un nectar de poire pour qui s’en soucie trop:
un petit verre d’espoir …
j’aurais voulu être une actriiiice…
et puis manger des michokooooooo.
la starac c’est comme capri, c’est fini.










