Elle voulai l’inviter :
Pour une polenta sauce tomate avec en dessert la voie lactée
avant ils auraient fait
un tour sur la promenade plantée
et du patin d’été le nez au vent par les remblais protégés.
La nuit est arrivée
elle n’a pas osé
c’est raté…

dommage.

(c’est un poême-dommage)

– Twist & I, my ladybird
we were in love, not so long ago
he kissed me under a special tree
we were on extasy … mdma, I mean.

-Twist was riding a green unicorn
I used to fly on a magic carpet
we stopped on the side of the world
there was no light but candle light
and we died several times…

– Twist & I, my ladybird…
we are drug addicts now
no more magic tricks and spells
but I remember how intense & good this things can be
and sometimes I miss it too…

rape me
rape me my friend
rape me
do it again

ARRRRêTE!!!
(de pois(s)on)

parce que quand les poches du cerveau elles sont pleines, y faut bien mettre son fouillis quêque part…

« aujourd’hui, c’est une journée spéciale: si tu fait bien attention, tu remarqueras que tout le monde ressemble à Jean Gabin. Dans les cafés, tout le monde parle avec un drole d’accent parigot, même les filles se mettent à porter des casquettes un peu de coté, et les gens ont un petit regard bleu mouillé, comme Jean Gabin. Si tu allumes la télé, tu verras sans doute un des enfant de Jean Gabin, sa fille ou son petit fils qui trainent sur le plateau de Drucker; ou bien un acteur diras avec un regard pénétré et une voix rocailleuse: « t’as de beau yeux, tu sais », ou bien ça pourrais être la rediffusion de « la bête humaine »… c’est Gabin day… »

Je t’enverrais des mots, et ils seront si éloquents, que je n’aurais pas besoin d’en dire davantage.

TU MENt’à l’eau ?

je voudrais être ton esclave sexuelle
et te promener au bout de la laisse que tu attacheras à mon collier.
please, love me …

(…) c’est comme dans tes poêmes d’amour plat-tonique
qui tombent à plat – gin tonic
je t’ouvre mes bras, je tombe encore plus bas
je suis en veine, je suis à toi
et tu n’est déjà plus là.
tu es au bar-tabac en bas
tu récite tes poêmes pathétiques
à des putes al-c(o)oliques
c’est pas trés chic de faire ça.

oublie moi, si tu peux.

L’assassin anglais, déguisé en ninja(‘rdin), tourne son regard acéré vers moi et me chuchotte, dans un demi sourire: « pas besoin d’arme blanche pour faire ça; quand je tue, c’est à mains nues..  » Puis, sans émettre un seul son supplémentaire, sans cesser de me fixer des yeux, trés délicatement, il retira ses gants… héhéhé…

– tu vois cette petite meuf, là-bas, qu’a l’air de rien ? et ben, c’est une Femme Fatale… c’est fou, non?
moi, si j’étais un garçon, j’irais bien lui dire « now I wanna be your dog ».


again :
« hé, tu m’donneras l’adresse de ton coiffeur, mpffhuhu… »

Allez hop, un nectar de poire pour qui s’en soucie trop:
un petit verre d’espoir …

« I’m Nessie da huge black snake from da lock; are you in a mess? »

« Notre systême est extremmement instable, personne ne sait ce qu’il va devenir. »
in « deux heures de lucidité » de noam chomsky, les arènes éditeur.
(héé non, ça n’est pas une réplique du captain Kirk
en même temps, 2 heures de lucidité, c’est, mmm…
comment dire…euhhh…hein…?)

 » Il se faisait passer pour une bombe sexuelle
alors qu’il n’était qu’un vieux pétard mouillé.
Le bouquet final du feu d’artifice tant espéré
ne pouvait avoir lieu, faute de munitions. »

be light or be the light !

« Alors … heureuse ? »

je voudrais me coucher avec toi
et me réveiller avec un autre.
please, don’t go…

quelqu’un a des nouvelles fraiches de Shakira (alias « petit poney ») ?

hey, monkey, do the strip tease please
the one you used to do
tout doux tout doux…

chaque jour, chaque nuit, shake your body…

just the ordinary
heavy metal chunky junky

ho, britney, arrête avec tes dérapages vocaux et tes déhanchements de metaputa effarouchée… tu sait trés bien que christina aguilera est meilleure que toi, plus jolie, plus espagnole aussi; et que son « dirty » t’as mise KO… et puis , c’est une vraie fille, ELLE…

wooooooooooooooooooooooooooooo! BOUYAKAAAAAAAAAAAAAAA!

Au « Tchat Lab », nous étions une trentaine environ, et seulement quelques uns d’entre nous étaient chercheurs à plein temps et demi. La plupart des ouvriers étaient en CDD, CDI trois quart temps ou « éphémère autoreverse », mais nous parvenions à nous compléter ainsi puissament dans la douce torpeur du ventre de la baleine.

« (…)J’attrappe ta sale petite gueule de tétard albinos et je la fracasse d’une pitchenette de cyclope sur le rebord de la baignoire en or massif. Tu suffoques, tu n’as plus assez d’air dans les poumons pour râler à l’aide, tu voudrais bien que ça s’arrête d’un coup, mais… Je te prend la tête à deux mains, comme m’approchant pour te donner un baiser d’une tendresse infinie, et je t’arrache le nez d’un coup de dents sec, vif, et recrache la bidoche pitoyable sur la faïence noire et luisante de l’evier… alors tu te réveilles.(…) »

nous n’irons plus au bord du canal ?

Ils me prennent par la main, me chuchotent à l’oreille:
« Allez, dis moi quelque chose, je veux entendre le son de ta voix, j’aimerais mieux te connaitre… »
Aucun son ne sort de ma bouche, aucune grimace n’est esquissée sur mon faciès de singe; je reste neutre et glacée, indifférente.
Mauvaise pioche: je suis le SNIPER.

les flammes les plus fraiches sont toujours les meilleures…

j’ai beaucoup de mal avec le lait…

contemporain & temporaire
(sculpture d’ambiance devant le Negresco)

le comble pour deux chats:
être félin pour l’autre et ne pas … miaow …

Si tu ne peux plus être aimé, accepte-tu d’être haï ?

c’est 20,
et tu le sais…
alors, …
pourquoi ?

i’m swimming in the Lock Ness…

aussitôt dit = aussitôt fait
aussitôt PUBLIé = aussitôt OUblié

on s’est bien enlacés
tu es déjà lassé
c’est presque du passé
je suis dépassée.

Regarde mes yeux … j’en ai au moins deux .

Numéro 2 ?

WORDS
they don’t come
(easy)

– mais qu’aviez vous donc à l’esprit à ce moment, pour faire une chose pareille?
– hé ben… rien…
– ha ! c’était donc ça

Let the paranoïa begin

Si tu as faim, mange donc tes mains!

non, je n’appelle pas
je ne renvoie pas de mail
ne répond rien de précis.
pourquoi une photographie
plutot qu’une autre
avec ou sans intérêt
les images se suivent
et se ressemblent
un peu.
rien n’empêche
d’espérer la bonne
surprise.

Ce soir je vais à la plage.

On jouera au ballon prisonnier
et aux chaises musicales.

Comme dans un show TV
de samuel beckett
ou de gertrude stein…

0001010100000111010011000010…ad lib.

« Tu peux bien m’écrire des textos de folie
et m’offrir des cadeaux en faux cool,
je t’ai démasqué, petit Casa de chez Nova. »

j’aurais voulu être une actriiiice…
et puis manger des michokooooooo.

la starac c’est comme capri, c’est fini.

comme disent toutes les poupées russes:

imagine…


Tout le monde souffre

Je m’en fout

?

I am in a mess.

« I ‘ll buy you flowers
like no other girl did before »

invasion du grand espace bleu
par les soucoupes volantes en tissu :
glurps.

La putain-reveil-matin vous baise…mes enfants.

aujourd’hui, je triche (copier/coller/chloé/coloré) :

  “Le souffle du merveilleux l’anime tout entier (…). J’entends que ce livre n’exalte du commencement à la fin, et le plus purement du monde, que ce qui de l’esprit arrive à quitter le sol et que, dépouillé d’une partie insignifiante de son affabulation romanesque, à la mode du temps, il constitue un modèle de justesse et d’innocente grandeur”.
     A. Breton
cet enfoiré d’andré est encore en train de parler du Moine de Lewis…

RIDERS ON THE STORM:
accueuillez mes amis les cavaliers de l’infernale chevauchée apocalyptique,
et soyez sans crainte, car les serpents et les phénixs, tels des dragons enfants
ne muent ou ne meurent, qu’encore et encore,
jusqu’a la fin des temps…

Avis a la population : Oyez, oyez !
Hier, de la ménagerie du jardin des plantes, s’est échappé un renard…
Et toujours pas de nouvelles de Abc Def…?

Les trains passent, et les vaches ruminent.

« Haaa…, trés cher, je suis ravie de voir que vous avez pu vous libérer pour vous joindre à nous… effectivement, c’est charmant; oui, l’ambassadrice du Gabon est présente, elle aussi… son jeune frêre l’accompagne avec un singe sur l’épaule… étonnant, tout à fait…mais au fait, vous souvenez vous de la conversation que nous avons eu l’autre jour à propos d’alpinisme…oui, et bien laissez moi donc vous présenter quelqu’un qui pourra répondre à vos questions de façon pertinente :
La voici, elle s’appelle Anna Tommy… »
(baisser de rideau, la foule en délire réclame le tableau suivant par une standing ovation…)

« Jeudi : Jour du Jeu, Jour du fantasme abouti, du doux frémissement des membres crispés dans la buée, Jour des objets emboutis, de la toile de Jouy, Jour de la Joie… Je te suis. »
Et elle à enfilé son joli petit costume rouge…

« (…) le public apprécie la technique de l’homme élastique (…) »
pas moi.

« (…) et ce fut la fin du grand conciliaBULL.(…) »

Je suis sur la branche, je l’observe.
Nous écoutons des vinyles en accéléré, je la regarde.
Elle se hisse sur la pointe des pieds, esquisse un pas de danse, et tente de s’envoler.
Je l’admire.

d’abord pour moi, parce que j’en fait toujours profiter autrui…

Saa kana daba niho!

je voudrais dormir avec toi.
please, call me …

ce soir je serai la poubeeelle pour aller danseeerhéhéhé-danseeer

* septième ciel * ?
Et bien non, pas de nirvana en vue, surtout quand je pense que tu n’as répondu a aucun des mails que j’ai pu t’envoyer. Que ce soit des lettres d’amour, des mails sans prétention ou bien des images, rien, semble-t-il, n’est assez bien pour toi. Je ne dois sans doute pas être assez « stimulante ». Mes jupes pas assez courtes, mes yeux pas assez bleus, ou bien, c’est beaucoup plus simple: je suis trop disponible, tu crois sans doute que je suis à ta disposition, que tu n’as aucun effort à faire pour me séduire. Tu dois penser que ce que tu connais de moi est bien suffisant, qu’on est un déjà vieux couple, qu’il ne faut pas trop en demander, mais tu n’as rien épuisé en moi, et c’est bien dommage car tu ne le sauras jamais puisque je te quitte…

j’aimerais beaucoup retrouver ma légèreté (ou l’as tu mise?).

le citron, c’est un peu : aciiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiid !

now, here is my home.
Am I real ?

NO REAL-BLOG, FICTION ONLY ?

Mais qui est (cette petite pétasse de) Chaleston Parva ?

(tu me reconnais plus, hein, maintenant que tu es célêbre, espèce de renarde en salopette, va !)

I kiss the people & make them cry… oh why…?

ce matin tôt je rencontre « la juliette de pascal » rue du faubourg saint antoine : elle me dit :
– tu vas au boulot ?
– moui … (j’ai la tête dans le pâté, je porte un bonnet bleu atroce et je me rend chez mes potes de Console ou je fait en ce moment un dessin sur le mur de la cuisine…)
– ha oué, et ben, moi, chuis la galérienne du lundi matin !

décidémment, c’est grace à des moments comme celui ci que je suis forcée d’admettre cette réalité première en ce qui concerne « les échanges verbaux et moi » :
j’ai pas le sens de la formule…

delete this post
run
itinéraire bis : console, art process, 3015, come in, eof, immanence, public>…
anywhere anytime anyone

« alors, je ne sait pas ce qui m’a pris, j’ai dit tout bas, mais assez fort pour qu’elle l’entende : « les femmes à poil, à poil les femmes. » LK

petit chaperon rouge, go home:

acte 1 : wouééééééé vive la libertééééééééé !
acte 2 : oulala, oulala, ça chatouiiiiiiiiille !
acte 3 : ben alors, ben quoi ?

réponse : c’est pour mieux te … , mon enfant .

Un lecteur m’interpelle ainsi: Au fait, qu’est ce que le Tourguenisme?

Cher Lecteur, puisque tu poses la question, il faut que je t’avoues que je n’en sait rien. Mais comme tu m’interpelles quand même quelque part, je peux te confier ceci:
(c’est un texte trés ancien que Ivan vassilievtch Tourgueniev lui même a écrit l’autre jour par l’intermédiaire d’un médium qui se trouve être également un ami proche, en l’occurence ma soeur jumelle)

« J’ai des impulsions atroces comme ça; pendant cinq minutes tu me manques tellement que j’ai envie que tu me fasses un bébé pour faire exister un morceau de toi et moi réunis et puis après c’est tellement épouvantable comme idée (plus de futur pour moi / toute ma vie est abolie / un être en plus au monde qui ne fut désiré réellement par personne) que je veux me jeter par la fenêtre et puis j’en peux plus, pasque cinq minutes après je suis en train de faire un autre truc et je réalise que je t’ai totalement oubliée, comme si tu n’avais jamais éxisté. alors je tire à pile ou face pour savoir laquelle de ces trois options de toi est la bonne et alors c’est encore plus terrible de penser qu’après tout pour moi rien n’a vraiment d’importance, que je suis totalement hystérique et malade, tragicomiquement, définitivement malade et que je suis simplement térrifié à l’idée que jamais je ne saurais me sortir de ce bourbier.« 

qui l’eu cru ?

stop dehumanising me, bug, or i’ll have to do the same !

* mentir comme une arracheuse dedans

un

peu

zen

lever la tête, et compter les mouches au plafond du palais…

j’ai pas sommeil. (heu…)

remember it, exactly…

marketing viral : peut être.

ma beauté tu me manques, et en disant ça je pense surtout à moi…

rien…ou presque.

bloody mary to e-gore : lick-entropie, soon?

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