il joue dans les rapides,

et je n’ose pas lui parler.

Old par M. Fox le 22 Jan 2003

Sécuritaire

Il ne couchait qu’avec celles qu’il n’aimait pas, pour ne jamais être déçu

Old par Rodia le 13 Jan 2003

aujourd’hui, je triche (copier/coller/chloé/coloré) :

  “Le souffle du merveilleux l’anime tout entier (…). J’entends que ce livre n’exalte du commencement à la fin, et le plus purement du monde, que ce qui de l’esprit arrive à quitter le sol et que, dépouillé d’une partie insignifiante de son affabulation romanesque, à la mode du temps, il constitue un modèle de justesse et d’innocente grandeur”.
     A. Breton
cet enfoiré d’andré est encore en train de parler du Moine de Lewis…

une blague facile :
tu prends une bouteille en verre
genre valstar
tu la mets dans un sac de toile
sale si possible (graisse et/ou essence)
tu poses le sac par terre fermé
tu le frappes plusieurs fois avec un marteau
la bouteille se brise
il faut frapper jusqu’à faire de petits bouts
ensuite tu ouvres le sac
et tu récupères les morceaux de verre
dans un grand bol
sur le bol tu verses un mélanges terre-poussière-sable
tu touilles et tu laisses reposer
tu prend un gros savon cubique (de marseille) de couleur ambre
tu le coupes en deux avec une lame
tu fais ta coupe de manière à avoir un gros bout et un petit
le petit est « le couvercle »
tu évides l’intérieur en gardant une épaisseur assez grande
afin de garder le savon assez solide
tu ajoutes à ton mélange de verre des morceaux de lames de rasoirs
et une lame de cutter (ou deux)
tu re-mélanges
tu verses dessus du savon noir
tu re-touilles
tu fais couler ton mélange à l’interieur du gros bout de savon évidé
tu en fais entrer un maximum
mais sans abimer le savon lui même
tu remets « le couvercle »
tu humidifies l’exterieur du savon afin de ressouder les deux moitiés
tu poses à coté de ta baignoire
tu retires tout les autres savons
tu invites des amis à venir dormir à la maison
le rire est assuré

Old par igor le 13 Jan 2003

elle dit :

on dit de moi :

je suis « cool » et je fréquente des gens « in ». Je suis également « très jeune ».

réalité :

Je suis une femme nunuche, grincheuse et barbante, qui sort environ deux fois par ans. J’ai trente ans, ce qui est jeune pour un écrivain (j’espère) mais doit apparaitre comme antique à la majorité de mes fans.

Old par M. Fox le 27 Jan 2003

I am in a mess.

Nous serons les primitifs, païens de tous poils, animaux mythologiques et êtres électriques immobiles…
(dis donc, la Same, t’as pas l’impression que t’en fait des tonnes…? y’a comme qui dirais besoin de vacances dans la steppe, là, hein, ma petite… en attendant, file te dormir, et plus vite que ça! (demain y’a B.C.A. (again)))

je ne veut pas que tu lise ce que j’ecris
le jeux a bien trop duré
arretons la, je ne veut pas manger

Old par fbwn le 24 Jan 2003

–Parfois j’ai l’impression d’être une chienne avec des beignets aux pommes accrochés à la descente d’organes–

Old par -- Zan le 07 Jan 2003

Chemical Twins
Extremely cool – Haunted Woods

Old par Nicolai le 06 Jan 2003

encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore…

Old par Gu. le 21 Jan 2003

Old par igor le 24 Jan 2003

Ils me prennent par la main, me chuchotent à l’oreille:
« Allez, dis moi quelque chose, je veux entendre le son de ta voix, j’aimerais mieux te connaitre… »
Aucun son ne sort de ma bouche, aucune grimace n’est esquissée sur mon faciès de singe; je reste neutre et glacée, indifférente.
Mauvaise pioche: je suis le SNIPER.

L’Avant P.A.R.I.S d’Igor…

« Assis à la table du fond depuis 18h avec quelques amis, Igor picole, morose et achève les dernières réserves de bière amassées pendant les happy hours.
A ses côtés ses compagnons se laissent aller mollement sur la table et rient distraitement aux blagues de chacun. Igor laisse son regard errer parmi les clients agglutinés autour de la table…
L’habituelle faune: suédois, américains, anglais des deux sexes, se pressant les uns contres les autres, quelques parisiens comme égarés.
Assis par terre, presque piétiné par la foule, un petit homme à manteau vert, en train de se faire une ligne de poudre rose avec une paille dorée. Un peu de temps passe…
Igor est de plus en plus embrouillé, ses amis sont partis, des gens assis autour de lui, les cafards de plus en plus près, de plus en plus gros.
Un ange passe, un homme immense à l’accent slave s’assoit à la droite de Igor, il sort une flûte de champagne de sa cape et la propose à la jeune fille rousse (Charlie ?) à sa droite.
Elle retrousse un peu sa jupe (on aperçoit le haut de ses bas), sourit à l’homme et accepte la flûte.
L’homme extrait à présent de sa cape une bouteille de champagne, un singe et d’autres coupes qu’il distribue alentours.
Igor en reçoit une et le petit gars en vert aussi, il est maintenant assis sur le genou gauche de Igor qui s’en aperçoit à peine.
Un ange passe, un coup de feu au bout du pub, une bousculade, le mort est vite déchiré par le public affamé.
Le petit homme vert continue à sniffer, une poudre jaune…
La table est pleine maintenant d’objets surgis de la cape du comte.
Sous la table un couple de nanas s’agite, la plus grande essayant de ligoter la plus petite (une finlandaise aux cheveux aile de corbeau… Charlie ?) avec la bretelle de son soutien-gorge à fleur…
L’absinthe coule à flot dans le pub, tout le monde a les pieds mouillés…
La fumée devient de plus en plus épaisse et bleue.
De sombres oiseaux et quelques cafards (plus de deux mètres d’envergure) volettent çà et là en heurtant le public aveuglé.
Igor dodeline de la tète, sa flûte est vide, il se penche et la remplit d’absinthe…
Deux grands allemands blonds en short debout sur le pub se fracassent la tète à coup de hache; voluptueusement les spectateurs trempent les tranches de l’énorme gâteau flottant, qui s’avance doucement vers la table de Igor, dans le sang qui gicle partout…
Igor, qui, justement, fouillant ses poches pour trouver des thunes à claquer tombe sur le petit pistolet noir à silencieux.
Une patte de cafard le heurte à l’oeil, il sort le flingue…
Charlie vient d’apparaître dans la fumée, elle a l’air un peu perdue et lasse, elle porte son habituelle robe blanche immaculé qui la rend si belle.

Bang ! Dans l’oeil du nain vert…
Bang et rebang ! Dans le front du comte et dans sa cape…
Bang pour un cafard !

Igor se lève et marche vers Charlie… Il explose la tète du barman d’un tir courbe en croissant de lune le long du plafond, vise un des allemands et le manque: plus de tète déjà.
Elle semble le reconnaître et lui fait un demi-sourire.
Un allemand (Grishka ?) tente de fendre le crâne à Igor qui esquive péniblement la hache qui le frappe. Le cadavre du nain sniffeur, accroché à sa jambe droite tente de le retenir…
Igor dégaine sa Gattling et mitraille à gauche, à droite, faisant exploser tètes, bras et idées noires.
Plus de munitions, il se débarasse de son arme sur le pied du gros allemand qui part en hurlant les chants de Maldoror.
Charlie dans les bras de Igor… Un ange passe, Igor le vise et l’abat avec son petit pistolet.
Igor entraîne sa compagne vers l’extérieur, en évitant table qui volent, cafards et lévriers ainsi que le public surexcité et les larmes aux yeux.

Dehors Nicolaï attend patiemment au volant de la Tourguy-mobile le retour de son frêre.
Déjà il arrose la façade du bâtiment de torpilles au napalm.

A l’intérieur la foule est en transe, hurlements, chants, danses, viols et meurtres gratuits se succèdent à un rythme frénétique, un seuil sur l’enfer est ouvert et les démons envahissent le pub; Bizarrement ils paraissent bien tristes et moroses dans l’ambiance pyrotechnique qui règne dans le pub.
A l’aide d’un grand fouet, Igor finit de se dégager un passage et atteint la sortie, là résolvant rapidement l’épreuve du sphinx, il surgit à l’extérieur avec Charlie à son bras.
Nicolaï achève de détruire le bâtiment à coup de missiles sol-sol pendant que nous entrons précipitamment dans la grosse voiture.

Je serre Charlie, elle essuie une larme et se pelotonne contre moi. La voiture prend de la vitesse et s’envole vers la base lunaire.
« 

Old par igor le 14 Jan 2003

un si vil incivil ainsi vil

Viens ici que je te spamme un peu ma biche… (sourire à grandes dents de vampire qui luit dans l’obscurité é é é…).

No sir, they aren’t sexy, they’re just drunk, can’t you see?

Regardez-moi et dites ce que je suis devenu
« Pourquoi perdre son temps quand on n’a plus rien à dire, quand on a cessé de croire et que les renoncements se prennent pour seul objet d’étude ? »

Old par igor le 13 Jan 2003

ho, britney, arrête avec tes dérapages vocaux et tes déhanchements de metaputa effarouchée… tu sait trés bien que christina aguilera est meilleure que toi, plus jolie, plus espagnole aussi; et que son « dirty » t’as mise KO… et puis , c’est une vraie fille, ELLE…

Old par igor le 21 Jan 2003

ceci n’est pas le bonheur.

Old par M. Fox le 13 Jan 2003

Old par M. Fox le 19 Jan 2003

— Eating red soup I wonder why
it’s not yet time to cry
So alone – so tired
waiting for the snake bite

Old par -- Zan le 09 Jan 2003

Hier saucisse pour tout le monde
Ma mère m’avoue
Je t’ai pas allaité, p’tit con!

il y a une multitude d’étoiles dans le ciel
certaines sont si loin qu’on ne les voit pas
certaines sont proches, elle brillent fort
on aimerait bien les attraper parfois
mais elles sont trop éloignées pour faire attention à nous.
elles n’en ont même pas conscience
et puis il y en a une qui est vraiment près
incroyablement éblouissante
on l’appelle Soleil
même en fermant les yeux on perçoit sa lumière et sa chaleur
même la nuit elle est là, refletée par la lune
impossible de s’en débarrasser
on tourne autour en une belle éllipse
et ne s’en rapproche que pour s’en éloigner
et on a beau tendre les bras,
on voudrait brûler et se dissoudre dans le brasier
sécher définitivement
elle reste inaccessible
poursuivant sa trajectoire,
insensible.

le soleil est-il sourd ?

un

peu

zen

Old par M. Fox le 13 Jan 2003

Barbed wire tattooed
across the forehead
signifies a sentence
of life imprisonment
without possibility
of parole.

Old par -- Zan le 13 Jan 2003

Aussitôt une blondinette naïade, a peine adolescente, sort d’une trappe invisible à mes yeux et me sourit. Son tablier sanglant n’éprouve en rien son charme juvénile.

Sans un mot je lui tend le bristol que l’on m’avait remis à Florence. Elle soulève une partie du comptoir et m’invite à la suivre.

Dédale de couloirs sans queue ni tête, impossible de se repérer. Fatras de babioles d’un autre temps, toutes de mauvais gout (gondoles lumineuses, pièces en macramé, coussins de peluche orange…). Les murs et étagères en sont constellés.

Nous débouchons finalement dans une petite pièce aux murs nus, seulement habillée d’une table en formica et de ses chaises assorties. Je m’assied et, avec une courbette gracieuse – quelle beauté – elle se retire par une ouverture anonyme.

Après quelques minutes passées à chercher en vain un quelconque attrait au lieu où je me trouve la porte s’ouvre, m’offrant la vue de celle qui pourrait être la mère de l’enfant, en rousse. Aérienne elle se met face à moi, son corps touchant à peine les meubles.

– Vous êtes Eric Delot ?
– Absolument pas, jamais entendu ce nom.
– Alors vous êtes l’autre… bienvenue chez nous.
– Enchanté d’enfin vous rencontrer, mon périple a été long jusqu’ici, et parfois bien éprouvant.
– Le principal n’est il pas que vous soyez arrivé à destination ?
– Sisi, tout a fait, je n’arrive pas encore à réaliser que je suis si près du but.
– Je vous comprend… cela a du être complexe pour un homme de se faire accepter par la Matriarche.
– Oh, en réalité c’est une vieille connaissance : enfants, nous jouions…
– N’en dites pas plus, je n’ai pas à connaitre ce passé commun, savoir pervertit la pureté de la vision.
– Si vous le dites je vous crois, même si j’ai souvent du mal à comprendre vos actes et pensées.
– Bien… cessons les civilités, je m’en voudrais de vous faire languir plus longtemps, venez.

A suivre…

Old par Rodia le 07 Jan 2003


j’ai un peu les boules là
j’arrive tôt
mais
miss Car(r)o se lêve tôt
aussi
alors on cause
(et c’est cool)
et Costes me fait rigoler
donc
—————
merci Car(r)o et Costes
pour ne pas m’avoir laissé
seul ce matin

Old par igor le 17 Jan 2003

Old par igor le 21 Jan 2003

les braves morts au combat
se tranformaient
en oiseaux des mers,

ils s’élevaient progressivement
et s’envolaient vers le soleil

nombreux sont ceux qui ont pleuré
de n’etre pas morts ce jour là.

Old par M. Fox le 17 Jan 2003

d’abord, organiser la chair
l’étaler bien rouge (la prendre en photo avec un carreau de sucre comme mesure de référence)
sortir la poele et un peu de beurre, ça chauffe, ça fond, ça glisse sur la surface chauffante
l’étaler bien rouge et laisser le tout s’épouser
ça fait un murmure chaud et ça sent le beurre chaud, la graisse fondue, la viande cuite
la couper en deux avec un couteau de boucher
la faire glisser dans l’assiette (et attention, saucer la poele avec un bout de pain de campagne)

***bonheur***

saucer l’assiette, soupirer d’aise, boire un peu de vin rouge
et laisser croquer et juter la salade sous les dents
en dessert, on ne veut rien, de toutes façons là on ne veut rien, personne d’autre, aucun autre élément, on est juste plein du meilleur, et on va attendre (c’est ça aussi) de se vider avant de recommencer à poursuivre l’happiness…

Life,

quand elle écrit, on dirait moi.

Old par M. Fox le 21 Jan 2003

Plus sympa que Starac et Popstar :
COSTES-STAR
(costard ?)

Tu veux monter sur scène,
partir en tournée et être une vraie STAR !
C’est possible et vite !!

——————
PROCHAIN SHOW DE COSTES A PARIS
Le culte de la Viergeopera porno-social
avec Costes, Giulio Nesi, Marie-Claire Cordat
SAMEDI 18 JANVIER 2003 – 20H30 – Prix : 8 euros
aux INSTANTS CHAVIRES – 7 rue richard lenoir – montreuil
métro robespierre

———————————————————————
Nous cherchons une fille pour jouer dans le show.
Disponible de janvier à début juillet 2003 – 40 shows à faire en europe.
Contacter costes@costes.org

——————

Old par igor le 15 Jan 2003

cher Paul,

je sais que tu ne lis pas ces mots
que je t’écris dans le sable
mais ce n’est pas grave

tu ne me reconnaitrais plus
j’ai maintenant une barbe fournie
et mes longues marches autour de l’ile
m’ont donné une peau mate
et des muscles saillants

j’ai trouvé hier soir
un nid où j’ai pu voler quelques oeufs,
j’ai passé la matinée à dormir au soleil
le gout du jaune encore dans ma bouche,

cette vie là est splendide
et je ne regrette ni Zurich
ni la faculté de médecine

tu me manques,

Carl

Old par M. Fox le 30 Jan 2003

« (…)J’attrappe ta sale petite gueule de tétard albinos et je la fracasse d’une pitchenette de cyclope sur le rebord de la baignoire en or massif. Tu suffoques, tu n’as plus assez d’air dans les poumons pour râler à l’aide, tu voudrais bien que ça s’arrête d’un coup, mais… Je te prend la tête à deux mains, comme m’approchant pour te donner un baiser d’une tendresse infinie, et je t’arrache le nez d’un coup de dents sec, vif, et recrache la bidoche pitoyable sur la faïence noire et luisante de l’evier… alors tu te réveilles.(…) »

des petites particules de reves

qui tombent doucement, tout autour de moi

tu es froide et ensorceleuse

je veux gouter à nouveau

au sel de tes baisers,

demain, seras tu là ?

si tu me quittes je verserai toutes mes larmes

j’attendrai l’hiver prochain

me remémorant les tendres baisers

de mon amante givrée.

Old par M. Fox le 10 Jan 2003


je ramasse le sac de poudre
sur la nappe à carreaux.
percé !
ça coule sur mes doigts

Old par igor le 13 Jan 2003

La question typographique du jour :

et mon

Q

c’est du boud’1?

(hommage à Quentin Préaud, typographe gastronome)

Old par -- Zan le 15 Jan 2003

le récitant : Igor n’est pas un graphiste de talent…

Old par igor le 06 Jan 2003

j’ai deux chiens : Ego et Patate.

Old par M. Fox le 05 Jan 2003

Old par M. Fox le 21 Jan 2003

le monde est vaste
et l’aller,
semble
si rarement
offert sans
un retour
de percolateur.
le café est toxique à seize heure.

So, you take my hand ?

Old par -- Zan le 17 Jan 2003

petite promenade dans Paris

je me souviens des jours heureux
et insouciants,
lorsque l’amour
était lointain,
on faisait le plus de bétises possibles
pour énerver tes parents,
on draguait ta soeur,
mais pour rire,
les heures n’étaient pas des prisons
mais des étangs où baignent
cygnes et nénuphars,

la lune veillait sur nous,
je me souviens…

Old par M. Fox le 18 Jan 2003

essayer de faire de ton mieux, ce n’est pas assez.

Old par M. Fox le 13 Jan 2003


« Haaa…, trés cher, je suis ravie de voir que vous avez pu vous libérer pour vous joindre à nous… effectivement, c’est charmant; oui, l’ambassadrice du Gabon est présente, elle aussi… son jeune frêre l’accompagne avec un singe sur l’épaule… étonnant, tout à fait…mais au fait, vous souvenez vous de la conversation que nous avons eu l’autre jour à propos d’alpinisme…oui, et bien laissez moi donc vous présenter quelqu’un qui pourra répondre à vos questions de façon pertinente :
La voici, elle s’appelle Anna Tommy… »
(baisser de rideau, la foule en délire réclame le tableau suivant par une standing ovation…)


Pour ce que tu m’as fait
Je vais te tuer Igor

Allez hop, un nectar de poire pour qui s’en soucie trop:
un petit verre d’espoir …

à la lueur des étoiles,

on s’est embrassés,
on s’est promis d’etre tout l’un pour l’autre,

de s’aimer,
de se rendre heureux,
de rester ensemble pour toujours,

ce soir là tu quittais ton père
pour venir sur ma petite colline,

je t’ai présentée à la mer,

elle a béni notre union,

à chaque instant
ces moments sont dans mon coeur
et quand souffle le vent
et survient l’adversité

c’est ce souvenir qui me fait
combattre pour survivre
et me réchauffe le coeur
lorsque survient l’hiver

je t’aime

Old par M. Fox le 29 Jan 2003

on avait, disait on, repéré des simulacres dans l’école,

la discipline se fit donc naturellement plus dure
et la délation fut chaudement recommandée
par le directeur par voie d’affichage.

nous autres de la section biologie
n’étions que peu touchés,
notre ADN était déjà controlé régulièrement
et notre batiment sur le campus bénéficiait déjà
de mesures de protection exceptionnelles
pour éviter la propagation d’agents biologiques indésirables (ABI)
ou d’animaux de laboratoire hors des limites des zones d’expérimentation.

par contre, Clémentine fut durement touchée par ces mesures,
elle et ses camarades des sections d’art officiels
virent leurs mouvements réduits au maximum
et on installa auprès de leurs logements et ateliers
des mesures de sécurité pratiquement identiques aux notres,
ce n’est qu’en faisant du rentre dedans
à un garde de la police militaire que je pus lui faire passer un message

Clémentine, que deviens tu ?
Je dois te voir dès que possible,
j’espere que tu pourras venir à l’endroit habituel,
le 26 janvier, de 14:00 à 16:00

je t’attendrai,

Fox

Old par M. Fox le 21 Jan 2003

Encore un clochard
qui voulais juste
un abri pour la nuit.
On l’a pris par le col
et l’a balancé hors du train.
Y avais une autre loco
qui arrivais en sens inverse.
L’a foutu du rouge partout,
dégueulasse
du sang de clodo.
on peut même pas faire du boudin avec
et pis l’étais trop maigre
pour qu’on ramasse les bouts.
Avec les os maybe nous ferons
du SAVON

Vos préoccupations actuelles : les bijoux de mariage, bagues, alliances.
Vous voulez tout savoir avant d’acquérir ces précieux symboles.

Doit-on obligatoirement avoir des alliances lorsqu’on se marie civilement ?
Sarah, Saint-Denis

Non. L’officier d’Etat civil demande au début de la cérémonie si les futurs époux vont procéder à l’échange des alliances. Si oui, celui-ci se fera après lecture des articles du code civil sur le mariage et après signature du registre par les mariés et leurs témoins.

Pourquoi porte-t-on l’alliance à la main gauche ? Peut-on choisir l’annulaire droit ?
Valérie, Nantes

En France, depuis le Moyen Age, la coutume veut que l’alliance se porte à l’annulaire gauche parce qu’on pensait alors que la veine de ce doigt était directement reliée au cœur. Toujours selon la coutume, une fois passée au doigt, l’alliance ne doit plus jamais être retirée.

Qui, des deux époux, reçoit en premier l’alliance ? L’homme ou la femme ?
Marie, Neuilly-sur-Seine

C’est le mari qui passe d’abord la bague au doigt de son épouse. On raconte que si l’anneau glisse avec difficulté sur la deuxième phalange, la femme sera dominante. Certaines informées plient leur annulaire pour entraver la progression de l’anneau…

Doit-on retirer sa bague de fiançailles pour recevoir son alliance ?
Delphine, Colmar

Oui, c’est mieux de tendre un doigt nu pour recevoir son alliance.
Ensuite, on peut remettre sa bague de fiançailles. Le saviez-vous : ce sont les Egyptiens qui, les premiers, ont adopté le port de l’alliance, anneau symbole de l’éternité des liens unissant les époux…

Pourquoi le diamant reste-t-il encore la pierre privilégiée pour les bagues de fiançailles ?
Chloé, Metz

De tout temps, le diamant a été chargé de symboles à cause de sa pureté, son éclat, sa limpidité. En Occident, on le croyait capable de chasser les mauvais esprits et de guérir les maladies. C’était aussi le reflet de la sagesse, de l’amour divin. Et, depuis le XVIIIe siècle, c’est la pierre de l’amour invincible, de l’harmonie conjugale.

Je voudrais un rubis, ma mère m’affirme que ce n’est pas une pierre de fiançailles.
Anna, Paris

Bien souvent, en effet, le rubis est considéré comme une pierre que l’on offre plus tard, pour les dix ans de mariage, par exemple. C’est dommage, car le rubis symbolise le bonheur et c’est la pierre des amoureux par excellence. Alors, suivez votre penchant pour cette pierre, couleur passion.

Old par igor le 29 Jan 2003

Un ami m’a dit : Je souffre de ne pas connaitre la finitude des choses
Alors je lui ai envoyé de l’amour


debout sur le pont
je regarde les tours qui flambent
et je veux croire
que c’est la dernière fois
mais je me doute
que ça va recommencer
alors dans ma tête
je me laisse dériver

Old par igor le 03 Jan 2003

si la faim est proche
la journée est à vivre
à moins que demain élabore
nos contradictions

« Quand j’étais jeune, tu vois, j’ai jamais eu besoin de personne. Et je faisais l’amour pour rien…
Maintenant que j’vis seul, j’repense aux vieux amis. Alors, des fois, j’décroche le téléphone. Mais ça sonne vide chez eux.
Je n’ai plus envie de tout faire tout seul. Je ne veux plus vivre seul.
C’est difficile maintenant, d’avoir confiance en moi. L’amour est loin, et ça m’aide pas. Ca me rappelle sans cesse que chuis seul et que j’vaux rien. »
Ben alors, Johnny, bois un coup, ça ira mieux!

Be human
Soyons immortels

Stay human
Devenons exeptionnels

Old par Gu. le 25 Jan 2003

Je sais que tes yeux jaunes ne m’ont pas quitté
Pendant que je séchais alangui dans la mousse
Tu as dû voir alors
Passer sur mes flancs nus
comme une gifle
l’ombre funeste
de deux grandes ailes
qui tournoient au ciel
et te guettent aussi

Old par -- Zan le 06 Jan 2003

j’aurais voulu être une actriiiice…
et puis manger des michokooooooo.

la starac c’est comme capri, c’est fini.

du sel,

c’est tout ce qui me restera de toi.

Old par M. Fox le 10 Jan 2003

RIDERS ON THE STORM:
accueuillez mes amis les cavaliers de l’infernale chevauchée apocalyptique,
et soyez sans crainte, car les serpents et les phénixs, tels des dragons enfants
ne muent ou ne meurent, qu’encore et encore,
jusqu’a la fin des temps…

Si tu peux être amant sans être fou d’amour,
Si tu peux être fort sans cesser d’être tendre
Et, te sentant haï, sans haïr à ton tour,
Pourtant lutter et te défendre;

un seul orage
pour se perdre
et sourire

Old par M. Fox le 25 Jan 2003

c’est 20,
et tu le sais…
alors, …
pourquoi ?

————-
aujourd’hui j’ai eu une vision du futur
et ce futur était éteint de toutes parts
il brulait d’un feu intense jusqu’à me
broyer sous la tension de ses flammes
noires et pitoyables and i can do this text
in english but it will not be better by this
way when a text is shit nothing can make it
smell like rose nothing but maybe wizard
with this good smell of OGM roses can do
it idon’t know and i don’t care a shit
————-
Today, it is Car(r)oline’s Birthday.
Happy donc
and
thank you for being here for us,
baby.
Many kisses from my dreamy (GTA-like) New-York
————-
Si tu comprends tout ça
Balaise
ou tu es
Oneko (little lovely bastard)
————-

Old par igor le 31 Jan 2003

tout le pesticide sur l’épilation du bikini,

j’aperçois ma petite chienne
et ma petite bombe atomique blanche,

mon stylo bille chante le gourdin en mousse de décoller la bergamote
et de t’humecter dans mes cheveux longs,

peut etre.

Old par M. Fox le 10 Jan 2003

SPOKE
VOUS
PARLE

Spoke invite Tourgueniev le 09 janvier/20h à MdO/1rueCharlesGarnierSaintOuen
Bar ouvert + vidéos + performances littéraires et sonores + signatures en présence des auteurs.

SPOKE
VOUS
ATTEND

Old par Gu. le 05 Jan 2003

Old par fbwn le 20 Jan 2003

des indications intuitives

tu prends à gauche tant que ça descend
puis à droite quand tu es sur du plat

simple, joli(e) et efficace,

merci !

Old par M. Fox le 18 Jan 2003

Old par igor le 06 Jan 2003

Je vais m’ouvrir le ventre
Pour que tu trouves enfin cette satanée boussole
A l’Ouest, déboussolé, désenchanté
Qui suis-je?

J’ai sauté jusqu’au 2
J’ai zappé le 1
3 j’y crois
enfin j’essaie
Avec tout mon amour…

ma beauté tu me manques, et en disant ça je pense surtout à moi…

Old par igor le 09 Jan 2003

–> vendredi

– allo
– allo
– tu dors ?
– oui
un accident hier ?
– plus tard, je dors

–> la veille (pas les mots exacts, reconstitution par la police)

– allo
– allo, je suis dans le métro, en retard au yoga
– allo, en voiture, 40 de fiêvre
– houla, ça c’est la fête et la fatigue, ça rend vulnérable aux virus
– mais non
– euh, là je suis dans le métro ça va couper, plus tard ?
– oué, à plus

Old par igor le 24 Jan 2003


c’est l’aube : je me lève et rien n’a changé.

Old par igor le 01 Jan 2003

Il était une fois dans un pays très lointain un village cerné de bois obscurs où se terrait
une bande de garous mangeurs d’hommes. A chaque pleine lune, la communauté des
garous aménageait des tables avec des tréteaux de bois au milieu de la clairière et se
préparait à un grand festin, non sans avoir préalablement baillonné le barde qui… enfin…
Malheureusement avec le temps les villageois, pourtant bien peu vifs et la plupart du temps
abrutis par la gnole locale, avaient fini par faire le lien entre la présence la nuit de la lune
dans le ciel et la présence de morceaux de camarades villageois par terre au petit matin.
Forts de cette conclusion, ils avaient décidé de se barricader à double tour, à chaque pleine
lune, et de ne sortir sous aucun prétexte.
A partir de ce moment là, les garous connurent la famine et les crampes d’estomac.
Jusqu’au jour où un jeune garou, Loulou Garou, grimpa sur les tables désespérément vides
et s’adressa à la foule des garous dépités :
 » _ J’ai une idée pour la prochaine pleine lune afin de tromper les villageois et ainsi pouvoir
à nouveau nous repaître de leurs délicieuses entrailles. Il nous faut trouver un moyen de
grimper jusqu’à la lune, et, armés de peinture noire, nous la barbouillerons jusqu’à ce
qu’elle disparaisse dans la nuit. La lune ainsi camouflée, ces gros lourdauds de villageois
ne se méfieront pas et sortiront se promener en toute confiance. Nous pourrons alors leur
tomber dessus et les dévorer comme avant ! »
Cette idée reçut l’approbation générale, et le jour dit les garous commencèrent à
s’escalader mutuellement, chacun grimpant sur les épaules de son voisin….

Old par -- Zan le 08 Jan 2003

Chez les Druides, le gui était considéré comme une plante sacrée.
Selon eux, cette plante avait des propriétés miraculeuses, dont celles de guérir certaines maladies, d’immuniser les humains contre les poisons, de leur assurer la fertilité et de les protéger des méfaits de la sorcellerie.

Old par -- Zan le 02 Jan 2003

Old par igor le 13 Jan 2003

(quitte) léopard (avec moi)

Old par -- Zan le 28 Jan 2003

je lui demande: « puis je vous aider? »
elle me repond: « non, sans façon. »
supercallisfragilistik

J’aimais les femmes, les roses, la musique et la vie
J’aimais les femmes, les roses
Aujourd’hui je me sens vraiment trop mal
Je ne sers vraiment plus à rien

Dis-moi la vérité, je ne suis plus un enfant
Dis-moi la vérité car sans toi je me sens

Comme un ange qui pleure tout
Seul dans ma tour d’ivoire
Comme un ange qui pleure tout
Seul dans sa tour d’ivoire

——————-
DW in simple et tendre.

Old par igor le 22 Jan 2003

Alors les Rois, les Dieux, la Chance et la Victoire
Seront à tout jamais tes esclaves soumis
Et, ce qui vaut mieux que les Rois et la Gloire,
Tu seras un homme, mon fils.

… car l’atout était dans sa manche; c’était l’as de …, il lui fallait encore …, et … .

une stucture cristalline géométrique de lumière blanche

qui vibre et qui chante

dans un grand espace bleuté.

Old par M. Fox le 14 Jan 2003


il neige
et
le froid
me
fait douter
de tout

Old par igor le 30 Jan 2003

Nouveau dédale, aux objets plus anciens, cependant toujours aussi douteux. Pentes, descentes, angles improbables, je serais bien en peine de savoir où je me situe. Tout cela semble immense, ou minuscule, en tout cas chargé de l’âme de générations de soeurs kitschs.

Une pièce recouverte d’enduis écaillé, des meubles de récupération, quelques instruments ménagers, une pendule aux armes d’un apéritif anisé… je suis déçu, je m’attendais à autre chose : une cave voutée, un lac souterrain, mais en tout cas pas la réplique de la cuisine de ma grand mère.

Suivant les indications de la belle rousse je m’allonge entre un buffet et une table aux pieds de fer, sur le lino imitation parquet. Je croise mes mains sur ma poitrine glacée par l’émotion (je n’ai jamais été un sanguin), ferme les yeux et attend.

Je m’endors comme un nourrisson…

Réveil – tic tac – ça y est – tic tac – immortalité – tic tac – plus jamais, plus jamais la peur de la mort – tic tac – pourvu qu’elles pensent parfois à me remonter…

FIN

Old par Rodia le 10 Jan 2003

elle chante,

elle parle des vieux amis,

je t’ai serré dans mes bras hier,
très ému,
je suis heureux de t’avoir revu,

elle chante
et parle de son premier amour,

je serai ton vieil ami
tant que tu voudras de moi

la lumière est en toi.

Old par M. Fox le 09 Jan 2003

Entendu : ‘Spéce de satrape du Dimanche !

Que les profs osent dire que les élèves n’écoutent rien après ça…

Old par Rodia le 17 Jan 2003

La scène n’a presque pas changé, sauf que Druansdt est maintenant affublé d’une queue rouge en plastique et d’ailes de chauve souris trois tailles en dessous, le boudinant un peu. Nadine a les yeux fermés, la matronne pleure toutes les larmes de son corps, qui retombent sur sa barbe poivre et sel.

Le mari, jusque là veule et servile semble se réveiller et s’interpose entre la hache et le cou de son épouse.

– Arrière, triste sire, retourne dans ta série Z d’origine !
– C’est trop tard, mon heure est venue, nul ne pourra maintenant m’empêcher d’exploser les scores du box office
– Jamais ! Je ne te laisserais pas pourrir ce bel art qu’est le cinéma avec tes répliques catastrophiques !
– C’est ce que l’on va voir, petit homme !

S’ensuit une scène de combat mémorable impliquant entre autres la hache, une cuillère en argent véritable, un chat pelé, une collection de timbres ouzbéques et un plat à tajine. Quand les 2 corps se démélent enfin de leur puissante étreinte l’être maléfique est au sol, salement amoché, encordé dans ses ailes.

– Ils m’ont bousillé mon appart’ les sagouins !!!
– Mais je viens de sauver….
– Dehors, allez hop, tout le monde à la porte, et ne remettez jamais les pieds ici !

Et la vieille dame masculine de jeter tout le monde sur le palier, armée de son ancestral balai à poil ras, Druan- filant sans demander son reste, à quatre pattes, remerciant sa juvénile passion pour la prestidigitation et les noeuds

– Bon… tu acceptes de revenir à la maison Nadine ?
– Oui mon amour mais… d’ou est sortie cette cuillère en argent ?
– De la commode imitation Louis XVI si je ne me trompe pas, bien que je ne sois plus très sûr.
– Regarde, il y a un nom écrit dessus
– Philipette…

Effrayés nos deux héros fuirent cet immeuble et plus jamais n’y revinrent

FIN

Old par Rodia le 05 Jan 2003

Mala vida – Soleil

La Mano avait tout compris au traumatisme hivernal…

Nuit productive ? Trop froid pour dormir… -4 au compteur

Old par Rodia le 11 Jan 2003

j’aimerais beaucoup retrouver ma légèreté (ou l’as tu mise?).

à l’île de Ré

la nuit
sur la plage
on écoutait les Red Hot
on allumait du feu
joh nous faisait parfois un strip
nous on était jeune
et un peu con
la police nous poursuivait
parfois
on nageait en rond
on buvait
trop
on se reveillait
parfois
devant l’église
avec les cubis vides
de vin de l’île
je découvrais la vie
Dead Can Dance
et
Diamanda Galas
je tombais amoureux
pour une morsure
un bandana
et ses larmes

tracer un mandala
pour ganesha
et en parler
à Pamela
one more time

à l’île de Ré

Old par igor le 02 Jan 2003

J’ai tant rêvé de toi que tu perds ta réalité
Est-il encore temps d’atteindre ce corps vivant et de baiser sur cette bouche
la naissance de la voix qui m’est chère ?
J’ai tant rêvé de toi que mes bras habitués en étreignant ton ombre à se croiser
sur ma poitrine ne se plierais pas au contour de ton corps, peut être.
Et que, devant l’apparence réelle de ce qui me hante et me gouverne depuis
des jours et des années je deviendrais une ombre sans doute.
Ô balances sentimentales.
J’ai tant rêvé de toi qu’il n’est plus temps sans doute que je m’éveille. Je dors
debout, le corps exposé à toutes les apparences de la vie et de l’amour et toi,
la seule qui compte aujourd’hui pour moi, je pourrais moins toucher ton front
et tes lèvres que les premières lèvres et le premier front venu.
J’ai tant rêvé de toi, tant marché, parlé, couché avec ton fantôme qu’il ne me
reste plus peut-être, et pourtant, qu’à être fantôme parmi les fantômes et plus
ombre cent fois que l’ombre qui se promène et se promènera allègrement
sur le cadran solaire de ta vie.
R.D.

Old par -- Zan le 10 Jan 2003

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