encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore…
J’aimais les femmes, les roses, la musique et la vie
J’aimais les femmes, les roses
Aujourd’hui je me sens vraiment trop mal
Je ne sers vraiment plus à rien
Dis-moi la vérité, je ne suis plus un enfant
Dis-moi la vérité car sans toi je me sens
Comme un ange qui pleure tout
Seul dans ma tour d’ivoire
Comme un ange qui pleure tout
Seul dans sa tour d’ivoire
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DW in simple et tendre.
les boulettes en mie de pain de ma mémoire:
« Elle a pris une boule de gomme. C’est tombé sur rouge. Il en a pris une aussi, par jeu…
chewing gum rouge > c’était la couleur des émotions qui troublent, … etc… ».
le monde est vaste
et l’aller,
semble
si rarement
offert sans
un retour
de percolateur.
le café est toxique à seize heure.
Je peux te faire l’amour de toutes les manières,
à la façon du nouvel amour,
de l’amour pervers,…
je connais toutes les manières de faire l’amour
sauf à la manière de l’amour vrai.
Prendre un cou pour une serviette
Consciencieusement le tordre, le serrer, le tirebouchonner
Et subitement le lâcher : il se remet droit, comme par magie !
Le propriétaire est un peu mort, certes
Mais après tout lui aussi aura bien rigolé
Le skyblog c’est quoi ? C’est un journal perso (ou intime) sur Internet que tu peux remplir au jour le jour sans te prendre la tête ! T’as des coups de gueule ? Des idées ? Des kifs à faire partager mais personne t’écoute à part ton chien ! Alors crée ton skyblog ! Au jour le jour, donne tes impressions sur tes potes, la zique, la société, les marques, l’actualité, le sport, bref tout ce qui te touche et tout ce qui te révolte. ! Au jour le jour, dis ce qui te fait kiffer : tes sites préférés. Bref ! Crée ton skyblog !
Fais-toi connaître sur le net et deviens une vedette !
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Mala vida – Soleil
La Mano avait tout compris au traumatisme hivernal…
Nuit productive ? Trop froid pour dormir… -4 au compteur
on a du mal à imaginer que les dominants de Sol III puissent faire tant de mal à tout ce qui les entoure : certains s’adonnent à la poésie, à l’art et à la philosophie. Cela n’est qu’hypocrisie : l’espece dominante tient la planète entière sous sa coupe et asservit et exploite systèmatiquement les autres especes, aliénant la liberté de nombreux individus dans le seul but de les exploiter, de les assassiner et enfin de les manger et cela alors que ces meurtres systèmatiques ne semblent pas obligatoires : une analyse biochimique approfondie des végétaux découverts sur Sol III montre que ceux-ci conviennent parfaitement à l’alimentation des humains et que l’abbatage des especes dominées n’est donc pas une nécessité.
en conséquence, en vertu de l’article 76.32 et de l’amendement 33 de l’article 4 des status de la fédération sur le droit des especes, je demande que le tribunal intergalactique de Neo IV condamne les dominants de Sol III à la mort par maladie neuro-dégénérative à progression lente.
brève histoire de la terre, discours du procureur fédéral Xssi au tribunal de Neo IV
Règle n°1 : ça se caline, ça se bichonne, ça s’entretient
ça ne se dérobe pas, ça ne se prete pas, ça ne s’apprivoise pas
voilà madame, monsieur, comment on se comporte avec ce genre de plante
des indications intuitives
tu prends à gauche tant que ça descend
puis à droite quand tu es sur du plat
simple, joli(e) et efficace,
merci !
Si tu peux être amant sans être fou d’amour,
Si tu peux être fort sans cesser d’être tendre
Et, te sentant haï, sans haïr à ton tour,
Pourtant lutter et te défendre;
Elle voulai l’inviter :
Pour une polenta sauce tomate avec en dessert la voie lactée
avant ils auraient fait
un tour sur la promenade plantée
et du patin d’été le nez au vent par les remblais protégés.
La nuit est arrivée
elle n’a pas osé
c’est raté…
dommage.
(c’est un poême-dommage)
La scène n’a presque pas changé, sauf que Druansdt est maintenant affublé d’une queue rouge en plastique et d’ailes de chauve souris trois tailles en dessous, le boudinant un peu. Nadine a les yeux fermés, la matronne pleure toutes les larmes de son corps, qui retombent sur sa barbe poivre et sel.
Le mari, jusque là veule et servile semble se réveiller et s’interpose entre la hache et le cou de son épouse.
– Arrière, triste sire, retourne dans ta série Z d’origine !
– C’est trop tard, mon heure est venue, nul ne pourra maintenant m’empêcher d’exploser les scores du box office
– Jamais ! Je ne te laisserais pas pourrir ce bel art qu’est le cinéma avec tes répliques catastrophiques !
– C’est ce que l’on va voir, petit homme !
S’ensuit une scène de combat mémorable impliquant entre autres la hache, une cuillère en argent véritable, un chat pelé, une collection de timbres ouzbéques et un plat à tajine. Quand les 2 corps se démélent enfin de leur puissante étreinte l’être maléfique est au sol, salement amoché, encordé dans ses ailes.
– Ils m’ont bousillé mon appart’ les sagouins !!!
– Mais je viens de sauver….
– Dehors, allez hop, tout le monde à la porte, et ne remettez jamais les pieds ici !
Et la vieille dame masculine de jeter tout le monde sur le palier, armée de son ancestral balai à poil ras, Druan- filant sans demander son reste, à quatre pattes, remerciant sa juvénile passion pour la prestidigitation et les noeuds
– Bon… tu acceptes de revenir à la maison Nadine ?
– Oui mon amour mais… d’ou est sortie cette cuillère en argent ?
– De la commode imitation Louis XVI si je ne me trompe pas, bien que je ne sois plus très sûr.
– Regarde, il y a un nom écrit dessus
– Philipette…
Effrayés nos deux héros fuirent cet immeuble et plus jamais n’y revinrent
ce soir je dois…
aller à un vernissage de purée de pois cassés marins,
passer voir mes surfeurs au ventilateur,
travailler pendant une marée minimum,
aller en boite avec des dockers marseillais déjantés.
maman, serre moi fort contre toi,
j’ai trop peur
et j’ai trop froid !
marketing viral : peut être.
Il marchait déjà depuis une tétine dans ce strapontin de bol de soupe à l’oignon jaune et les oeufs de lump de drag-queens qui l’avaient lâché ici ne perdaient rien pour lubrifier. Il avançait vers le nord, vers cette illusion d’optique de langues de chat qui semblait pouvoir lui procurer un pesticide contre le ver solitaire et éventuellement dissimuler une entrecôte aux cèpes. Il repensait sans cesse à la barre de fer d’or abandonnée à l’herbier de la 66, à ces bâtards ignorants en route vers le Mexique et à Charlie et à ses petits saints têtant de la poire qui l’avait si bien mené en bateau. Il pestait contre le moteur à explosion entier et avant tout contre sa pétasse. Le pet-de-nonne tapait dur sur la blonde squameuse des rabots…
Bon alors il faudrait que tu penses à faire cela, et puis aussi contacter Mr K, oui, le client, pas le prestataire, et enfin organiser le cocktail.
Mais je n’aurais pas assez de temps pour le faire !
Hé bien étend le…
j’ai plongé dans ton bassin.
je m’y suis noyé.
me suis raccroché à ton os.
massage cardiaque.
même pas mort.
encore loupé…
chercher le creux.
suivre la ligne.
jusqu’à genoux.
Atmosphère colorée, relents électroniques, tout le monde se connaît déjà et ceux qu’on ne connaît pas on sait déjà comment ils sont. Virevoltage savant et repérage de la personne la plus enduite du désir de tous. Je suis l’image la plus enduite de désirs. Tu viens vers moi. J’apparais déjà sur les écrans placés derrière mon dos et tu regardes fasciné, tu ne sais déjà plus laquelle choisir. Moi non plus je ne sais plus laquelle choisir. Je souris, j’ai les joues roses je bois je fume je fais des clins d’oeil au loin on vient me saluer tout le monde me connaît ou tout le monde croit me connaître. Notre singularité s’étale en flaques de couleurs, je suis enrobée dans la tienne et la mienne te touche. Je fume ma dernière cigarette je grimace un peu tu t’éloignes vers les télévisions derrière moi. Revient la chimère de cet univers pixélisé elle est projetée elle est multipliée en images. Elle correspond au format de ton écran. Tu me parles soudain comme à un produit type qui serait la moyenne de toutes ces poupées en 3D. Superficiel (toi). Artificielle (moi). Tu me passes au-dessus!
— Eating red soup I wonder why
I could have loved you sometimes
I’m not a dreamer anymore
I’m just a pisstank of your blood
Entendu : ‘Spéce de satrape du Dimanche !
Que les profs osent dire que les élèves n’écoutent rien après ça…
qu’il est bon d’avoir ton coeur qui bat
si près du mien
alors que l’univers explose
et s’effondre
tout autour.
Viens ici que je te spamme un peu ma biche… (sourire à grandes dents de vampire qui luit dans l’obscurité é é é…).
on avait, disait on, repéré des simulacres dans l’école,
la discipline se fit donc naturellement plus dure
et la délation fut chaudement recommandée
par le directeur par voie d’affichage.
nous autres de la section biologie
n’étions que peu touchés,
notre ADN était déjà controlé régulièrement
et notre batiment sur le campus bénéficiait déjà
de mesures de protection exceptionnelles
pour éviter la propagation d’agents biologiques indésirables (ABI)
ou d’animaux de laboratoire hors des limites des zones d’expérimentation.
par contre, Clémentine fut durement touchée par ces mesures,
elle et ses camarades des sections d’art officiels
virent leurs mouvements réduits au maximum
et on installa auprès de leurs logements et ateliers
des mesures de sécurité pratiquement identiques aux notres,
ce n’est qu’en faisant du rentre dedans
à un garde de la police militaire que je pus lui faire passer un message
Clémentine, que deviens tu ?
Je dois te voir dès que possible,
j’espere que tu pourras venir à l’endroit habituel,
le 26 janvier, de 14:00 à 16:00
je t’attendrai,
Fox
La femme au pantin :
Dis, tu veux bien etre le dindon de ma farce?
Je te mettrai dans mon petit théatre de marionnettes…
« I Think »
I Think blood are really a huge problem
I Think birds are too much on my mind
I Think angels have got a lot to do with why the world sucks
But what can you do?
Like a fucking rain, beating down on me
Like a Pierre Bourdieu line, which won’t let go of my brain
Like Nicolaï’s ass, it is in my head
Blame it on Igor
Blame it on Igor
Blame it on Igor
I Think children are gonna drive us all crazy
And killers make me feel like a child
I Think cows will eventually be the downfall of civilization
But what can you do? I said what can you do?
Like a fucking rain, beating down on me
Like a Pierre Bourdieu line, which won’t let go of my brain
Like Nicolaï’s ass, it is in my head
Blame it on Igor
Blame it on Igor
Blame it on Igor
Like a fucking rain, beating down on me
Like Nicolaï’s smile, cruel and cold
Like Pierre Bourdieu’s ass, it is in my head
Blame it on Igor
Blame it on Igor
Blame it on Igor
I.G.O.R.
je ne suis pas un avatar
je suis vrai
j’existe
je vais le prouver
et sur tes intestins
fumants
j’écrirai mon nom
G.R.I.S.H.K.A.
petite promenade dans Paris
je me souviens des jours heureux
et insouciants,
lorsque l’amour
était lointain,
on faisait le plus de bétises possibles
pour énerver tes parents,
on draguait ta soeur,
mais pour rire,
les heures n’étaient pas des prisons
mais des étangs où baignent
cygnes et nénuphars,
la lune veillait sur nous,
je me souviens…
les écorcheurs de lady O. sont sur les pas du Hollandais,
j’espère pouvoir le découvrir avant eux pour pouvoir lui infliger une juste punition.
ho, britney, arrête avec tes dérapages vocaux et tes déhanchements de metaputa effarouchée… tu sait trés bien que christina aguilera est meilleure que toi, plus jolie, plus espagnole aussi; et que son « dirty » t’as mise KO… et puis , c’est une vraie fille, ELLE…
aujourd’hui je confonds allégrement un humain et une souris de laboratoire,
mes amis s’inquiètent pour moi et je ne comprends pas pourquoi…
She was a heavy, strong, blunt-bowed affair, awakening the ideas of primitive solidity, like the wooden plough of our forefathers. And there were, about her, other suggestions of a rustic and homely nature. The extraordinary timber projections which I have seen in no other vessel made her square stern resemble the tail end of a miller’s waggon. But the four stern ports of her cabin, glazed with six little greenish panes each, and framed in wooden sashes painted brown, might have been the windows of a cottage in the country. The tiny white curtains and the greenery of flower pots behind the glass completed the resemblance. On one or two occasions when passing under stern I had detected from my boat a round arm in the act of tilting a watering pot, and the bowed sleek head of a maiden whom I shall always call niece, because as a matter of fact I’ve never heard her name, for all my intimacy with the family.
« Pourquoi perdre son temps quand on n’a plus rien à dire, quand on a cessé de croire et que les renoncements se prennent pour seul objet d’étude ? »
à la lueur des étoiles,
on s’est embrassés,
on s’est promis d’etre tout l’un pour l’autre,
de s’aimer,
de se rendre heureux,
de rester ensemble pour toujours,
ce soir là tu quittais ton père
pour venir sur ma petite colline,
je t’ai présentée à la mer,
elle a béni notre union,
à chaque instant
ces moments sont dans mon coeur
et quand souffle le vent
et survient l’adversité
c’est ce souvenir qui me fait
combattre pour survivre
et me réchauffe le coeur
lorsque survient l’hiver
je t’aime
c’est l’aube : je me lève et rien n’a changé.
des petites particules de reves
qui tombent doucement, tout autour de moi
tu es froide et ensorceleuse
je veux gouter à nouveau
au sel de tes baisers,
demain, seras tu là ?
si tu me quittes je verserai toutes mes larmes
j’attendrai l’hiver prochain
me remémorant les tendres baisers
de mon amante givrée.
Acceleration and Density Testing of Standard PC Keyboards
Les larmes du pompier Fernand
Pièce en une scène à deux personnages au minimum
———————-
Fernand : un pompier, naif
Marie : la petite amie de Fernand
Ferdinand : le frêre de Fernand, riche
Freddy : le prof de yoga de Ferdinand, baba
Falbala : la copine d’Obélix
Idefix : un chien
———————-
Acte I – Scène 1
F. traverse la scène
F : Je cherche un feu..
Entrent F. et M.
M : Oh, F. comme je t’aime !
Entrent I. et F.
I : waf waf !
F : Oooooooom…
F : M. tu aimes ma nouvelle voiture rouge ?
M : Oh, F. comme je t’aime !
F : Et mon gros camion, tu l’aimes ?
M : Oh !
F : Je cherche un feu…
F : Et ma grande échelle, tu l’aimes ?
I : waf waf !
I. sort
un coup de feu et des jappements
F. entre avec un fusil et le cadavre de F.
F : J’aime pas qu’on touche aux arbres
F : Là je te rejoins complètement
M : Mais elle est morte
F et F en choeurs : NON, NON, ELLE N’EST PAS MORTE !!
M : Ah.
F : Que voilà une belle voiture rouge !
F : Merci…
F : Non je parlais de F. pas de toi…
M : J’avais compris
F : Ooooooom !
F épaule le fusil et tire
F : Arrrgh
F : ça t’apprendra à toucher à mon camion rouge.
F : Oooooooom
M : Il est bizarre le prof de yoga
F : Oui.
M : Oh, F. comme je t’aime !
F : Je sais.
Le rideau tombe, plusieurs coups de fusil, F sort de sous le rideau et se met à tirer sur le public en riant.
F : Je cherche un feu !
F retourne le fusil contre lui et se fait sauter la tète.
Et dans le ciel, une ville…
Elle est exquise
c’est pour ça que je la tue
plusieurs fois par jour…
je l’assassine
au poignard (un kriss)
à double tranchant
un coté pile, un coté face,
je la découpe
des pieds à la tête,
et elle, l’insensible
continue de papoter avec ses copines
comme si je n’éxistais pas…
qu’il est bon de passer ces quelques instants dans tes bras,
tes yeux bleus sont si purs,
j’aime tes instants sauvages
et tes colères irraisonnées
mais je ne peux te mentir plus longtemps,
cette petite maison derrière la colline
que je t’ai montrée
je n’y vis pas seul
et quelqu’un de cher à mon coeur
contemple la mer avec moi.
Redtschap Inc.
– 2 !!! – 2 pour ma pomme, dans ma maison !! C’est dit, je vais me réchauffer ailleurs ! Mais avant, pas le choix, vous devez subir… et voici l’objet du crime :
Ainsi font font font font les petites marionnettes ; ainsi font font font trois p’tits tours et puis s’en MERDE !!! Quel est l’enfant de catin qui a collé ce tourniquet devant chez Mère Grand ? C’est toi Loulou ?
– Ben ouais, vu que les droits de l’histoire ont expiré depuis des lustres, faut bien ramener la galette à la casbah, comme on dit.
– Tu parles… et c’est moi qui devrais raquer ?
– Ben c’est qu’avec ton usine de fringues, tu t’fais ton beurre… sauf que dans l’lot t’oublies les potes, les vieux, les vrais.
– J’te signales quand même que mon « cher ami » lupin a essayé d’me bouffer à toutes les sauces
– C’est d’bonne guerre : ton jules, l’bûcheron, il m’a tellement anesthésié que j’ressemble à un citron… fais pas ces yeux d’vache, j’te parles du citron du fond, l’oublié, le fripé, le mal aimé…
– Arrête, tu vas m’faire chialer. Non, mais sans rire, ça s’tape des plats de luxe, du Chaperon rossini, du Chaperon poêlé aux fines herbes et ensuite ça hurle à la mort… ben mon vieux cette fois-ci c’est sans moi, ras le bol des assistés. Déjà que j’dois sustenter la vieille… si tu me vires pas tout de suite ce foutu péage je te préviens que je fais transformer ta foret en piste à rollers !
– Tu ferais pas ça ?
– J’me génerais tiens, en plus je colle la grabataire en attraction touristique et les gogos la nourrissent, que du bon !
– T’es quand même une drôle d’ordure… mais bon, j’ai pas le choix, j’enlève mon manège… enfin mon porticulus…
– A la bonne heure. Dis donc, mon gros, j’aurais peut être un boulot pour toi, du genre tranquille et bien payé.
– Dans quelle branche ?
– L’immobilier.. enfin la démolition.. des porcs squattent un terrain qui m’appartient… faudrait les « convaincre » de partir…
– Vendu !
Et le loup changea à la fois d’histoire et de galère…
BALAFRE… elles ne peuvent l’oublier!
C’était un homme qui portait BALAFRE.
Tout simplement.
Un homme à l’élégance d’homme.
Un homme qui même pour sa toilette voulait des produits d’homme.
Il aimait BALAFRE : c’était un homme.
BALAFRE : une senteur fine et épicée, originale,
Eau de toilette.
After-Shave.
Savon.