il m’a dit :

rien de tel qu’un peu de rangement pour se décrasser l’esprit

je lui ai tiré une balle dans la tete et j’ai mangé sa rate.

Old par M. Fox le 13 Jan 2003

Prendre un cou pour une serviette
Consciencieusement le tordre, le serrer, le tirebouchonner
Et subitement le lâcher : il se remet droit, comme par magie !
Le propriétaire est un peu mort, certes
Mais après tout lui aussi aura bien rigolé

Old par Rodia le 20 Jan 2003

qu’il est bon d’avoir ton coeur qui bat
si près du mien
alors que l’univers explose
et s’effondre
tout autour.

Old par M. Fox le 10 Jan 2003

She was a heavy, strong, blunt-bowed affair, awakening the ideas of primitive solidity, like the wooden plough of our forefathers. And there were, about her, other suggestions of a rustic and homely nature. The extraordinary timber projections which I have seen in no other vessel made her square stern resemble the tail end of a miller’s waggon. But the four stern ports of her cabin, glazed with six little greenish panes each, and framed in wooden sashes painted brown, might have been the windows of a cottage in the country. The tiny white curtains and the greenery of flower pots behind the glass completed the resemblance. On one or two occasions when passing under stern I had detected from my boat a round arm in the act of tilting a watering pot, and the bowed sleek head of a maiden whom I shall always call niece, because as a matter of fact I’ve never heard her name, for all my intimacy with the family.

Old par fbwn le 08 Jan 2003

Saa kana daba niho!

— Eating red soup I wonder why
I could have loved you sometimes
I’m not a dreamer anymore
I’m just a pisstank of your blood

Old par -- Zan le 16 Jan 2003


Bon anniversaire de la part d’Igor et Oneko

Old par igor le 27 Jan 2003

Chemical Twins
Extremely cool – Haunted Woods

Old par Nicolai le 06 Jan 2003

Encore un clochard
qui voulais juste
un abri pour la nuit.
On l’a pris par le col
et l’a balancé hors du train.
Y avais une autre loco
qui arrivais en sens inverse.
L’a foutu du rouge partout,
dégueulasse
du sang de clodo.
on peut même pas faire du boudin avec
et pis l’étais trop maigre
pour qu’on ramasse les bouts.
Avec les os maybe nous ferons
du SAVON


Et dans le ciel, une ville

Old par igor le 27 Jan 2003

j’aime tes cuisses d’albatros zan et ton pubis chevelu d’ange
ce qui est à être n’est pas trop
Sammy est le meilleur ami de Scoobidoo
sylvain part, tout s’effrite (maison)
musée du quai Branly on s’embrasse sous la bouche
sous la douche aussi…

essayer de faire de ton mieux, ce n’est pas assez.

Old par M. Fox le 13 Jan 2003

Alice m’embrasse,

je crois que le chapelier fou est jaloux
mais il n’en montre rien

je crois que le lièvre de Mars
voudrait encore un thé

qu’il est doux de te connaitre,

Alice

Old par M. Fox le 10 Jan 2003

j’ai aimé regarder cette fenêtre là.

Old par M. Fox le 23 Jan 2003

no bye

no aloha

Old par M. Fox le 09 Jan 2003

hoooooooooooooooooooooo !

Old par -- Zan le 17 Jan 2003

Entendu : ‘Spéce de satrape du Dimanche !

Que les profs osent dire que les élèves n’écoutent rien après ça…

Old par Rodia le 17 Jan 2003

Je déteste le téléphone.

Old par M. Fox le 27 Jan 2003

IVAN:
Je vous aime. Je vous ai aimé dès le premier jour, mais je ne l’ai compris qu’hier. Vous ne me répondez pas? Je comprends. C’est pénible d’entendre une déclaration quand on n’aime pas. Je vous remercie de votre silence. Maintenant tout est fini entre nous. Je ne vous retiens plus. Vous pouvez partir d’ici sans me dire un mot. Il faut croire que nous ne devions jamais nous connaître. Adieu, adieu, pour toujours. Vous ne partez pas? Je voulais seulement dissiper tous les malentendus, je voulais me punir… Vous partez demain… Restez. Restez, et que Dieu nous juge!

Chez elle il y a des étoiles
par terre
en guise de poussière
ce qui est assez élégant

par contre il y a aussi
des moutons phosphorescents
au plafond
(c’est bien pratique pour les insomnies mais c’est quand même de moins bon goût…)

Old par -- Zan le 31 Jan 2003

Old par igor le 16 Jan 2003

Je sais que tes yeux jaunes ne m’ont pas quitté
Pendant que je séchais alangui dans la mousse
Tu as dû voir alors
Passer sur mes flancs nus
comme une gifle
l’ombre funeste
de deux grandes ailes
qui tournoient au ciel
et te guettent aussi

Old par -- Zan le 06 Jan 2003

les guerriers s’avancent masqués,

ils chevauchent dans les ombres
vers l’ouest et la mer,

les hommes de mon clan
sont reunis au vieux cercle,

on ne sait comment échapper au péril
de la mort qui galope

aucun allié d’au delà la mer de l’Ouest
ne viendra avant l’été,

nos clans sont désunis
et nos chefs opposés,

la résignation et le gout du sang
gagnent progressivement les regards,

nous saurons mourir dignement,

emportant avec nous bien des ennemis
de la tribu du renard

payant de leurs nombreuses ames
notre passage sur les terres éthérées.

Old par M. Fox le 13 Jan 2003

Comme_a_la_maison me spamme :
Je me tortille
Comme je me suis rarement tortillé
Dans tous les sens
C’est l’appel des décibels ?
Bizarre, je cours nu dans une forêt …
Pas l’ombre d’un son
J’entends bien un tamanoir
Mais c’est tout …
Ah …
Chut …
Une verrière …
De la lumière …
Du son …
Des filles … un bar … des garçons …
De la vie !
Et pas de tamanoirs !

Old par igor le 27 Jan 2003

le serpent est plus puissant
que le doigt du roi.

Dansez, maintenant.

Prends ça N Letrésor !

Les larmes du pompier Fernand
Pièce en une scène à deux personnages au minimum
———————-
Fernand : un pompier, naif
Marie : la petite amie de Fernand
Ferdinand : le frêre de Fernand, riche
Freddy : le prof de yoga de Ferdinand, baba
Falbala : la copine d’Obélix
Idefix : un chien
———————-
Acte I – Scène 1

F. traverse la scène
F : Je cherche un feu..
Entrent F. et M.
M : Oh, F. comme je t’aime !
Entrent I. et F.
I : waf waf !
F : Oooooooom…
F : M. tu aimes ma nouvelle voiture rouge ?
M : Oh, F. comme je t’aime !
F : Et mon gros camion, tu l’aimes ?
M : Oh !
F : Je cherche un feu…
F : Et ma grande échelle, tu l’aimes ?
I : waf waf !
I. sort
un coup de feu et des jappements
F. entre avec un fusil et le cadavre de F.
F : J’aime pas qu’on touche aux arbres
F : Là je te rejoins complètement
M : Mais elle est morte
F et F en choeurs : NON, NON, ELLE N’EST PAS MORTE !!
M : Ah.
F : Que voilà une belle voiture rouge !
F : Merci…
F : Non je parlais de F. pas de toi…
M : J’avais compris
F : Ooooooom !
F épaule le fusil et tire
F : Arrrgh
F : ça t’apprendra à toucher à mon camion rouge.
F : Oooooooom
M : Il est bizarre le prof de yoga
F : Oui.
M : Oh, F. comme je t’aime !
F : Je sais.
Le rideau tombe, plusieurs coups de fusil, F sort de sous le rideau et se met à tirer sur le public en riant.
F : Je cherche un feu !
F retourne le fusil contre lui et se fait sauter la tète.

Old par igor le 06 Jan 2003

Atmosphère colorée, relents électroniques, tout le monde se connaît déjà et ceux qu’on ne connaît pas on sait déjà comment ils sont. Virevoltage savant et repérage de la personne la plus enduite du désir de tous. Je suis l’image la plus enduite de désirs. Tu viens vers moi. J’apparais déjà sur les écrans placés derrière mon dos et tu regardes fasciné, tu ne sais déjà plus laquelle choisir. Moi non plus je ne sais plus laquelle choisir. Je souris, j’ai les joues roses je bois je fume je fais des clins d’oeil au loin on vient me saluer tout le monde me connaît ou tout le monde croit me connaître. Notre singularité s’étale en flaques de couleurs, je suis enrobée dans la tienne et la mienne te touche. Je fume ma dernière cigarette je grimace un peu tu t’éloignes vers les télévisions derrière moi. Revient la chimère de cet univers pixélisé elle est projetée elle est multipliée en images. Elle correspond au format de ton écran. Tu me parles soudain comme à un produit type qui serait la moyenne de toutes ces poupées en 3D. Superficiel (toi). Artificielle (moi). Tu me passes au-dessus!

–Parfois j’ai l’impression d’être un fakir assis sur un tapis volant en pain grillé…–

Old par -- Zan le 08 Jan 2003

les braves morts au combat
se tranformaient
en oiseaux des mers,

ils s’élevaient progressivement
et s’envolaient vers le soleil

nombreux sont ceux qui ont pleuré
de n’etre pas morts ce jour là.

Old par M. Fox le 17 Jan 2003

Cikori (mon clavier aime pas les accents tchéques… il me fait une guerre culturelle ce saloupiaud)

Old par Rodia le 24 Jan 2003

où est donc passé tout ce temps,

dites le moi, Edouard !

Old par M. Fox le 27 Jan 2003

« Dans le vieux parc solitaire et glacé,
Deux formes ont tout à l’heure
passé.
Leurs yeux sont morts et leurs lèvres sont molles,
Et l’on entend
à peine leurs paroles […] » P. V.
Surdité?

Old par fbwn le 20 Jan 2003

Petite chose,
Maintenant,
Lache-toi et mets-toi à l’écoute de mon plaisir
Tu sentiras le moment…
Ici et là
Ici ou là

Mais qui est (cette petite pétasse de) Chaleston Parva ?

(tu me reconnais plus, hein, maintenant que tu es célêbre, espèce de renarde en salopette, va !)

Maldoror a encore tué ce matin

je ne crois pas qu’il soit intrinséquement méchant,
j’imagine que c’est sa manière d’exister.

Old par M. Fox le 16 Jan 2003

Bon alors il faudrait que tu penses à faire cela, et puis aussi contacter Mr K, oui, le client, pas le prestataire, et enfin organiser le cocktail.

Mais je n’aurais pas assez de temps pour le faire !

Hé bien étend le…

Old par Rodia le 26 Jan 2003

there’s a light

in the darkness

of everybody’s

life

Old par M. Fox le 15 Jan 2003

il n’avait plus réalisé d’actes magiques depuis qu’il s’était installé avec le vendeur de cerf-volants,

leur amour les emmenait si haut et si loin qu’il se prenait à rever

de s’installer définitivement dans le monde réél.

Old par M. Fox le 22 Jan 2003

Mala vida – Soleil

La Mano avait tout compris au traumatisme hivernal…

Nuit productive ? Trop froid pour dormir… -4 au compteur

Old par Rodia le 11 Jan 2003

j’aurais voulu être une actriiiice…
et puis manger des michokooooooo.

la starac c’est comme capri, c’est fini.

Je porte à mes lèvres la coupe chargée de tes vices le délice des calices le calice des délices le câlin à hélice le moulin à malice etc…

Old par -- Zan le 02 Jan 2003

Old par igor le 21 Jan 2003


Je ne suis pas très en forme et
mon moral est en devenir . Le boulot
est en petit morceaux et je dois décider
de mon avenir . Text Here Text Here Text Here Text Here
Text Here Text Here Text Here Text Here Text Here Text Here Text Here mon
ami je t’ aime Text Here Text Here Text Here Text Here
Text Here Text Here Text Here Text Here Text Here Text Here les menaces
sont vraies à chaque fois Text Here Text Here Text Here
Old par igor le 21 Jan 2003

Je vais m’ouvrir le ventre
Pour que tu trouves enfin cette satanée boussole
A l’Ouest, déboussolé, désenchanté
Qui suis-je?

Cracher, et danser sur le bateau des livrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrres , et encore

–Parfois l’impression d’être catapulté dans l’espace avec des tartines accrochées partout–

Old par -- Zan le 07 Jan 2003

des fois j’ai le hoquet:
j’ai soupiré une dernière fois et ça m’a fait un bien fou
maitenant, toute l’indifférence du monde m’indiffère parce que j’ai adhéré!
je suis indifférente à tout moi aussi
bonjour bonjour bonjour!
les murs de glace m’enrobent, je risque d’avoir froid, mais vous ne me ferez plus rougir
dents de scie, je suis dans les airs un dragon invisible entre l’amour et l’indifférence de tous et de tout
blanche neige s’est endormie dans son cercueil, je suis une princesse qui n’a pas trouvé ses nains

mieux vaudrait vomir, n’est-ce pas?

Elle est exquise
c’est pour ça que je la tue
plusieurs fois par jour…
je l’assassine
au poignard (un kriss)
à double tranchant
un coté pile, un coté face,
je la découpe
des pieds à la tête,
et elle, l’insensible
continue de papoter avec ses copines
comme si je n’éxistais pas…

On peut se satisfaire de peu de chose
Moi par exemple hier soir
Je me suis retrouvé dans le métro avec un ami
Un ami vraiment impressionnant
Je le regarde toujours avec un peu d’envie
Il est si grand que parfois il se cogne au plafond
Hier c’est arrivé et ça m’a fait du bien
De le regarder saigner, là, dans la rame
Avant de descendre, je lui ai donné un petit coup de pied mesquin
J’ai visé les côtes, il n’a pas bougé
Le sol devenait de plus en plus rouge
Alors je me suis cassé pour ne pas salir mes pompes
On peut se satisfaire de peu de chose

Old par igor le 20 Jan 2003

— Eating red soup I wonder why
my love needs going so far
it’s time now to born again
and I feel your thrill in my veins

Old par -- Zan le 10 Jan 2003

marketing viral : peut être.

la 4e grande révolution de la pensée : la fin de l’anthropocentrisme.

(surdité)

Old par M. Fox le 19 Jan 2003

j’ai beaucoup de mal avec le lait…

Old par fbwn le 19 Jan 2003

dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage dommage
collatéral…

Old par -- Zan le 21 Jan 2003

Old par -- Zan le 16 Jan 2003

Sororité de l’Ange Bleu…

Je re-vérifie l’adresse sur mon calepin… c’est pourtant bien là, ce voyage me réserve décidément de nombreuses surprises.

Ne serait ce que leur nom : quelle idée d’entretenir la mémoire d’une icône de cabaret quand justement… je suis tiré de mes pensées par un détail incongru sur la façade de la boucherie, prochaine étape de mon périple : un dessin en filigrane sur la mosaïque.

Deux pas de côté et hop, disparu !

Retour à la case départ et de nouveau il s’offre à moi.

Amusé par ce petit jeu je retarde mon entrée dans la boutique et me positionne en divers points de la rue borgne, accroupi ou encore grimpé sur un container.

Une fresque se forme peu à peu devant moi, dommage que je sois si mauvais illustrateur.

A gauche une femme tenant un animal dans ses bras, héritier du faon et de l’ornithorynque (il faut dire que les bêtes et moi…)

Au centre une scène de comptoir, deux habitués discourant vivement. Si l’on se déplace selon un angle précis, de l’ouest vers l’est, les mouvements évoluent, un dessin animé avant l’heure. Hélas un bâtiment récent m’empêche de voir la fin de l’histoire, mais tout semble se diriger vers une empoignade.

A droite, enfin, une autre femme, peut être la même, les mains vides. Enfin non, pas vides… pleines de vide, comme si elle agrippait en elle le néant, ou un truc mystique dans le genre.

Une fois assuré que la devanture ne recèle aucune autre surprise, je pousse le battant de la porte et une petite clochette annonce mon arrivée.

Et pour ne pas changer les bonnes habitudes : A suivre

Old par Rodia le 05 Jan 2003

Old par igor le 24 Jan 2003

Vos préoccupations actuelles : les bijoux de mariage, bagues, alliances.
Vous voulez tout savoir avant d’acquérir ces précieux symboles.

Doit-on obligatoirement avoir des alliances lorsqu’on se marie civilement ?
Sarah, Saint-Denis

Non. L’officier d’Etat civil demande au début de la cérémonie si les futurs époux vont procéder à l’échange des alliances. Si oui, celui-ci se fera après lecture des articles du code civil sur le mariage et après signature du registre par les mariés et leurs témoins.

Pourquoi porte-t-on l’alliance à la main gauche ? Peut-on choisir l’annulaire droit ?
Valérie, Nantes

En France, depuis le Moyen Age, la coutume veut que l’alliance se porte à l’annulaire gauche parce qu’on pensait alors que la veine de ce doigt était directement reliée au cœur. Toujours selon la coutume, une fois passée au doigt, l’alliance ne doit plus jamais être retirée.

Qui, des deux époux, reçoit en premier l’alliance ? L’homme ou la femme ?
Marie, Neuilly-sur-Seine

C’est le mari qui passe d’abord la bague au doigt de son épouse. On raconte que si l’anneau glisse avec difficulté sur la deuxième phalange, la femme sera dominante. Certaines informées plient leur annulaire pour entraver la progression de l’anneau…

Doit-on retirer sa bague de fiançailles pour recevoir son alliance ?
Delphine, Colmar

Oui, c’est mieux de tendre un doigt nu pour recevoir son alliance.
Ensuite, on peut remettre sa bague de fiançailles. Le saviez-vous : ce sont les Egyptiens qui, les premiers, ont adopté le port de l’alliance, anneau symbole de l’éternité des liens unissant les époux…

Pourquoi le diamant reste-t-il encore la pierre privilégiée pour les bagues de fiançailles ?
Chloé, Metz

De tout temps, le diamant a été chargé de symboles à cause de sa pureté, son éclat, sa limpidité. En Occident, on le croyait capable de chasser les mauvais esprits et de guérir les maladies. C’était aussi le reflet de la sagesse, de l’amour divin. Et, depuis le XVIIIe siècle, c’est la pierre de l’amour invincible, de l’harmonie conjugale.

Je voudrais un rubis, ma mère m’affirme que ce n’est pas une pierre de fiançailles.
Anna, Paris

Bien souvent, en effet, le rubis est considéré comme une pierre que l’on offre plus tard, pour les dix ans de mariage, par exemple. C’est dommage, car le rubis symbolise le bonheur et c’est la pierre des amoureux par excellence. Alors, suivez votre penchant pour cette pierre, couleur passion.

Old par igor le 29 Jan 2003

Old par -- Zan le 28 Jan 2003

i’m swimming in the Lock Ness…

parce que quand les poches du cerveau elles sont pleines, y faut bien mettre son fouillis quêque part…

L’Avant P.A.R.I.S d’Igor…

« Assis à la table du fond depuis 18h avec quelques amis, Igor picole, morose et achève les dernières réserves de bière amassées pendant les happy hours.
A ses côtés ses compagnons se laissent aller mollement sur la table et rient distraitement aux blagues de chacun. Igor laisse son regard errer parmi les clients agglutinés autour de la table…
L’habituelle faune: suédois, américains, anglais des deux sexes, se pressant les uns contres les autres, quelques parisiens comme égarés.
Assis par terre, presque piétiné par la foule, un petit homme à manteau vert, en train de se faire une ligne de poudre rose avec une paille dorée. Un peu de temps passe…
Igor est de plus en plus embrouillé, ses amis sont partis, des gens assis autour de lui, les cafards de plus en plus près, de plus en plus gros.
Un ange passe, un homme immense à l’accent slave s’assoit à la droite de Igor, il sort une flûte de champagne de sa cape et la propose à la jeune fille rousse (Charlie ?) à sa droite.
Elle retrousse un peu sa jupe (on aperçoit le haut de ses bas), sourit à l’homme et accepte la flûte.
L’homme extrait à présent de sa cape une bouteille de champagne, un singe et d’autres coupes qu’il distribue alentours.
Igor en reçoit une et le petit gars en vert aussi, il est maintenant assis sur le genou gauche de Igor qui s’en aperçoit à peine.
Un ange passe, un coup de feu au bout du pub, une bousculade, le mort est vite déchiré par le public affamé.
Le petit homme vert continue à sniffer, une poudre jaune…
La table est pleine maintenant d’objets surgis de la cape du comte.
Sous la table un couple de nanas s’agite, la plus grande essayant de ligoter la plus petite (une finlandaise aux cheveux aile de corbeau… Charlie ?) avec la bretelle de son soutien-gorge à fleur…
L’absinthe coule à flot dans le pub, tout le monde a les pieds mouillés…
La fumée devient de plus en plus épaisse et bleue.
De sombres oiseaux et quelques cafards (plus de deux mètres d’envergure) volettent çà et là en heurtant le public aveuglé.
Igor dodeline de la tète, sa flûte est vide, il se penche et la remplit d’absinthe…
Deux grands allemands blonds en short debout sur le pub se fracassent la tète à coup de hache; voluptueusement les spectateurs trempent les tranches de l’énorme gâteau flottant, qui s’avance doucement vers la table de Igor, dans le sang qui gicle partout…
Igor, qui, justement, fouillant ses poches pour trouver des thunes à claquer tombe sur le petit pistolet noir à silencieux.
Une patte de cafard le heurte à l’oeil, il sort le flingue…
Charlie vient d’apparaître dans la fumée, elle a l’air un peu perdue et lasse, elle porte son habituelle robe blanche immaculé qui la rend si belle.

Bang ! Dans l’oeil du nain vert…
Bang et rebang ! Dans le front du comte et dans sa cape…
Bang pour un cafard !

Igor se lève et marche vers Charlie… Il explose la tète du barman d’un tir courbe en croissant de lune le long du plafond, vise un des allemands et le manque: plus de tète déjà.
Elle semble le reconnaître et lui fait un demi-sourire.
Un allemand (Grishka ?) tente de fendre le crâne à Igor qui esquive péniblement la hache qui le frappe. Le cadavre du nain sniffeur, accroché à sa jambe droite tente de le retenir…
Igor dégaine sa Gattling et mitraille à gauche, à droite, faisant exploser tètes, bras et idées noires.
Plus de munitions, il se débarasse de son arme sur le pied du gros allemand qui part en hurlant les chants de Maldoror.
Charlie dans les bras de Igor… Un ange passe, Igor le vise et l’abat avec son petit pistolet.
Igor entraîne sa compagne vers l’extérieur, en évitant table qui volent, cafards et lévriers ainsi que le public surexcité et les larmes aux yeux.

Dehors Nicolaï attend patiemment au volant de la Tourguy-mobile le retour de son frêre.
Déjà il arrose la façade du bâtiment de torpilles au napalm.

A l’intérieur la foule est en transe, hurlements, chants, danses, viols et meurtres gratuits se succèdent à un rythme frénétique, un seuil sur l’enfer est ouvert et les démons envahissent le pub; Bizarrement ils paraissent bien tristes et moroses dans l’ambiance pyrotechnique qui règne dans le pub.
A l’aide d’un grand fouet, Igor finit de se dégager un passage et atteint la sortie, là résolvant rapidement l’épreuve du sphinx, il surgit à l’extérieur avec Charlie à son bras.
Nicolaï achève de détruire le bâtiment à coup de missiles sol-sol pendant que nous entrons précipitamment dans la grosse voiture.

Je serre Charlie, elle essuie une larme et se pelotonne contre moi. La voiture prend de la vitesse et s’envole vers la base lunaire.
« 

Old par igor le 14 Jan 2003

« I Think »

I Think blood are really a huge problem
I Think birds are too much on my mind
I Think angels have got a lot to do with why the world sucks
But what can you do?

Like a fucking rain, beating down on me
Like a Pierre Bourdieu line, which won’t let go of my brain
Like Nicolaï’s ass, it is in my head
Blame it on Igor
Blame it on Igor
Blame it on Igor

I Think children are gonna drive us all crazy
And killers make me feel like a child
I Think cows will eventually be the downfall of civilization
But what can you do? I said what can you do?

Like a fucking rain, beating down on me
Like a Pierre Bourdieu line, which won’t let go of my brain
Like Nicolaï’s ass, it is in my head
Blame it on Igor
Blame it on Igor
Blame it on Igor

Like a fucking rain, beating down on me
Like Nicolaï’s smile, cruel and cold
Like Pierre Bourdieu’s ass, it is in my head
Blame it on Igor
Blame it on Igor
Blame it on Igor

un seul orage
pour se perdre
et sourire

Old par M. Fox le 25 Jan 2003

oublie moi, si tu peux.

pardon,
je sais bien
que le plus grand crime de l’histoire
est de ré-écrire l’histoire
.

Old par M. Fox le 21 Jan 2003

méfiez vous des garçons formidables

Old par M. Fox le 11 Jan 2003

toute le journée sur la route,

j’aperçois ma petite colline
et ma petite maison blanche,

mon coeur chante le bonheur de revoir la mer
et de te serrer dans mes bras,

peut etre.

Old par M. Fox le 09 Jan 2003

les boulettes en mie de pain de ma mémoire:
« Elle a pris une boule de gomme. C’est tombé sur rouge. Il en a pris une aussi, par jeu…
chewing gum rouge > c’était la couleur des émotions qui troublent, … etc… ».

TH² is SCREAMING : AURORE JE T’aIME !! (et c’est beau).

Old par igor le 13 Jan 2003

il y a une multitude d’étoiles dans le ciel
certaines sont si loin qu’on ne les voit pas
certaines sont proches, elle brillent fort
on aimerait bien les attraper parfois
mais elles sont trop éloignées pour faire attention à nous.
elles n’en ont même pas conscience
et puis il y en a une qui est vraiment près
incroyablement éblouissante
on l’appelle Soleil
même en fermant les yeux on perçoit sa lumière et sa chaleur
même la nuit elle est là, refletée par la lune
impossible de s’en débarrasser
on tourne autour en une belle éllipse
et ne s’en rapproche que pour s’en éloigner
et on a beau tendre les bras,
on voudrait brûler et se dissoudre dans le brasier
sécher définitivement
elle reste inaccessible
poursuivant sa trajectoire,
insensible.

le soleil est-il sourd ?

Nous serons les primitifs, païens de tous poils, animaux mythologiques et êtres électriques immobiles…
(dis donc, la Same, t’as pas l’impression que t’en fait des tonnes…? y’a comme qui dirais besoin de vacances dans la steppe, là, hein, ma petite… en attendant, file te dormir, et plus vite que ça! (demain y’a B.C.A. (again)))

si la faim est proche
la journée est à vivre
à moins que demain élabore
nos contradictions

ho, britney, arrête avec tes dérapages vocaux et tes déhanchements de metaputa effarouchée… tu sait trés bien que christina aguilera est meilleure que toi, plus jolie, plus espagnole aussi; et que son « dirty » t’as mise KO… et puis , c’est une vraie fille, ELLE…

Old par -- Zan le 14 Jan 2003

Old par M. Fox le 27 Jan 2003

Aucun document ne correspond aux termes de recherche spécifiés (Saa kana daba niho!).

Suggestions :
– Vérifiez l’orthographe des termes de recherche.
– Essayez d’autres mots.
– Utilisez des mots plus généraux.
– Spécifiez un moins grand nombre de mots.

Old par M. Fox le 20 Jan 2003

I.G.O.R.
je ne suis pas un avatar
je suis vrai
j’existe
je vais le prouver
et sur tes intestins
fumants
j’écrirai mon nom
G.R.I.S.H.K.A.

la récitante : Igor, tu devrais tourner 7 fois ta langue dans ma bouche avant de parler.

Old par igor le 17 Jan 2003

Si tu peux être amant sans être fou d’amour,
Si tu peux être fort sans cesser d’être tendre
Et, te sentant haï, sans haïr à ton tour,
Pourtant lutter et te défendre;

Ils me prennent par la main, me chuchotent à l’oreille:
« Allez, dis moi quelque chose, je veux entendre le son de ta voix, j’aimerais mieux te connaitre… »
Aucun son ne sort de ma bouche, aucune grimace n’est esquissée sur mon faciès de singe; je reste neutre et glacée, indifférente.
Mauvaise pioche: je suis le SNIPER.

Old par -- Zan le 28 Jan 2003

Acceleration and Density Testing of Standard PC Keyboards

Old par -- Zan le 30 Jan 2003

ARRRRêTE!!!
(de pois(s)on)

Si tu peux être dur sans jamais être en rage,
Si tu peux être brave et jamais imprudent,
Si tu sais être bon, si tu sais être sage
Sans être moral ni pédant;

Old par M. Fox le 13 Jan 2003

« alors, je ne sait pas ce qui m’a pris, j’ai dit tout bas, mais assez fort pour qu’elle l’entende : « les femmes à poil, à poil les femmes. » LK

« Notre systême est extremmement instable, personne ne sait ce qu’il va devenir. »
in « deux heures de lucidité » de noam chomsky, les arènes éditeur.
(héé non, ça n’est pas une réplique du captain Kirk
en même temps, 2 heures de lucidité, c’est, mmm…
comment dire…euhhh…hein…?)

… car l’atout était dans sa manche; c’était l’as de …, il lui fallait encore …, et … .

trois mois ont passés sans que nulle voile ne couvre mon horizon,

mon ame pleure de ne pas etre auprès de toi,

chère Venise,

tu me manques tellement,

Old par M. Fox le 13 Jan 2003

Sais-tu que là-bas
on te roule
on t’emballe
on t’échange
on te coince entre les lèvres
et on te suce toute la journée
Et puis on rêve dans tes volutes
en priant Hanuman

Old par -- Zan le 24 Jan 2003

Old par igor le 13 Jan 2003

je suis heureux,

viens, prends ma main.

Old par M. Fox le 06 Jan 2003

« là ici »