aujourd’hui, je triche (copier/coller/chloé/coloré) :

  “Le souffle du merveilleux l’anime tout entier (…). J’entends que ce livre n’exalte du commencement à la fin, et le plus purement du monde, que ce qui de l’esprit arrive à quitter le sol et que, dépouillé d’une partie insignifiante de son affabulation romanesque, à la mode du temps, il constitue un modèle de justesse et d’innocente grandeur”.
     A. Breton
cet enfoiré d’andré est encore en train de parler du Moine de Lewis…

Syndicalistes, Tourgenistes et autres trucs en -istes de tous les pays, unissez vous!

Old par igor le 15 Jan 2003

Qui se dévoue pour être heureux ?

les guerriers s’avancent masqués,

ils chevauchent dans les ombres
vers l’ouest et la mer,

les hommes de mon clan
sont reunis au vieux cercle,

on ne sait comment échapper au péril
de la mort qui galope

aucun allié d’au delà la mer de l’Ouest
ne viendra avant l’été,

nos clans sont désunis
et nos chefs opposés,

la résignation et le gout du sang
gagnent progressivement les regards,

nous saurons mourir dignement,

emportant avec nous bien des ennemis
de la tribu du renard

payant de leurs nombreuses ames
notre passage sur les terres éthérées.

Old par M. Fox le 13 Jan 2003

« alors, je ne sait pas ce qui m’a pris, j’ai dit tout bas, mais assez fort pour qu’elle l’entende : « les femmes à poil, à poil les femmes. » LK


Pour ce que tu m’as fait
Je vais te tuer Igor

Si tu peux rester digne en étant populaire,
Si tu peux rester peuple en conseillant les rois
Et si tu peux aimer tous tes amis en frère
Sans qu’aucun d’eux soit tout pour toi;

Un ami m’a dit : Je souffre de ne pas connaitre la finitude des choses
Alors je lui ai envoyé de l’amour


Et dans le ciel, une ville

Old par igor le 27 Jan 2003

tout est entre tes mains, désormais

Old par M. Fox le 28 Jan 2003

Hier saucisse pour tout le monde
Ma mère m’avoue
Je t’ai pas allaité, p’tit con!

comme un rocher abandonné en foret
je me couvre de mousse
sur ma face sud,

humant dans le vent,
guettant sans faillir
le moindre signe d’espoir

Old par M. Fox le 29 Jan 2003

f r o l e u r…..d ‘ e a u x …..t r o u b l e s

Old par -- Zan le 29 Jan 2003

–Parfois j’ai l’impression d’être une casserole avec des chiens accrochés à la queue–

Old par -- Zan le 07 Jan 2003

Meeting a huge black snake across the sky…

entre les lignes, l’impair.

elle dit :

on dit de moi :

je suis « cool » et je fréquente des gens « in ». Je suis également « très jeune ».

réalité :

Je suis une femme nunuche, grincheuse et barbante, qui sort environ deux fois par ans. J’ai trente ans, ce qui est jeune pour un écrivain (j’espère) mais doit apparaitre comme antique à la majorité de mes fans.

Old par M. Fox le 27 Jan 2003

Ce matin
je ne me suis pas
cassé le bras
ni brisé une côte
ni enfoncé une vertèbre.
Aucun petit bout d’os
n’est venu me perforer un poumon.
Mon foie n’a pas éclaté comme
un bubon plein de pus.
Mes testicules ne se sont pas flétris
sous ma queue gangrenée.
Mes intestins ne se sont pas relâchés
d’un coup et ma rate n’a pas explosé
comme un fruit trop mûr.
Non.
Ce matin, tout est bien et
c’est une belle journée.

Old par igor le 14 Jan 2003

Old par M. Fox le 09 Jan 2003

au fond de moi, j’étais sûr que ce qu’il ressentait pour moi, quelle que soit la manière dont il l’exprimait, sa violence, son mépris apparent, était également de l’amour ; la suite m’a prouvé que je me trompais..

Old par M. Fox le 15 Jan 2003

télépathie?
si t’es pathie, t’es plus là alors…

un seul orage
pour se perdre
et sourire

Old par M. Fox le 25 Jan 2003

encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore, encore…

Old par Gu. le 21 Jan 2003

contemporain & temporaire
(sculpture d’ambiance devant le Negresco)

Gris…

…Comme un après midi ensoleillé rue Watt

Gris…

…Comme un cancéreux découvrant sa rate

Gris…

…Comme le vieux torchon écrasant la blatte

Happy Days ?

Old par Rodia le 24 Jan 2003

Old par -- Zan le 21 Jan 2003


Lol, frappée d’immobilité, avait regardé

s’avancer, comme lui, cette grâce abandonné,

ployante, d’oiseau mort… Qui était-elle ?

On le sut plus tard : Anne-Marie Stretter.

Etait-elle belle ?… Par quelle voie mystérieuse

était-elle parvenue à ce qui se présentait

comme un pessimisme gai, éclatant, une

souriante indolence de la légèreté d’une

nuance, d’une cendre ?

Old par -- Zan le 30 Jan 2003

comme disent toutes les poupées russes:

imagine…

Cikori (mon clavier aime pas les accents tchéques… il me fait une guerre culturelle ce saloupiaud)

Old par Rodia le 24 Jan 2003

il dit :

la culture est un poison pour le peuple et les dieux.

Old par M. Fox le 27 Jan 2003

Mala vida – Soleil

La Mano avait tout compris au traumatisme hivernal…

Nuit productive ? Trop froid pour dormir… -4 au compteur

Old par Rodia le 11 Jan 2003

Regardez-moi, et dites ce que je suis devenu
… misère de l’homme sans Dieu …

Old par igor le 10 Jan 2003

Nous annulerons donc ce rendez-vous,
les loups sont sur nos traces
et nos pistes sont fraiches,

je te prie de faire preuve de prudence,
je suis proche d’une grande découverte
et ne peux pas quitter ma couverture pour l’instant

bénie soit la sagesse de la base de donnée

à bientot,

Fox

Old par M. Fox le 24 Jan 2003

il n’avait plus réalisé d’actes magiques depuis qu’il s’était installé avec le vendeur de cerf-volants,

leur amour les emmenait si haut et si loin qu’il se prenait à rever

de s’installer définitivement dans le monde réél.

Old par M. Fox le 22 Jan 2003

je t’aime,
jolie souveraine des montagnes,
ta vie durant
tu donnes sans compter
toujours plus,

tu aimes les voyages
et tu reves en regardant passer les trains

ta retraite à la mer
dont ils te parlent
et leurs sourires bienveillants
lorsqu’ils t’emporteront

ce sont les appats des tueurs
qui désirent te dépouiller
de ton dernier trésor :

ta viande.

Old par M. Fox le 05 Jan 2003

tu dis que dans mes bras
tu es plus forte,

je ne sais pas pourquoi
mon ame chavire
de t’entendre parler ainsi

je pleure de ne plus t’aimer
comme j’aurais du

mon ame est naufragée,
je veux me noyer.

Old par M. Fox le 09 Jan 2003

Faut-il vraiment vivre-horreur pour se sentir grandir?

Old par Gu. le 28 Jan 2003

L’Avant P.A.R.I.S d’Igor…

« Assis à la table du fond depuis 18h avec quelques amis, Igor picole, morose et achève les dernières réserves de bière amassées pendant les happy hours.
A ses côtés ses compagnons se laissent aller mollement sur la table et rient distraitement aux blagues de chacun. Igor laisse son regard errer parmi les clients agglutinés autour de la table…
L’habituelle faune: suédois, américains, anglais des deux sexes, se pressant les uns contres les autres, quelques parisiens comme égarés.
Assis par terre, presque piétiné par la foule, un petit homme à manteau vert, en train de se faire une ligne de poudre rose avec une paille dorée. Un peu de temps passe…
Igor est de plus en plus embrouillé, ses amis sont partis, des gens assis autour de lui, les cafards de plus en plus près, de plus en plus gros.
Un ange passe, un homme immense à l’accent slave s’assoit à la droite de Igor, il sort une flûte de champagne de sa cape et la propose à la jeune fille rousse (Charlie ?) à sa droite.
Elle retrousse un peu sa jupe (on aperçoit le haut de ses bas), sourit à l’homme et accepte la flûte.
L’homme extrait à présent de sa cape une bouteille de champagne, un singe et d’autres coupes qu’il distribue alentours.
Igor en reçoit une et le petit gars en vert aussi, il est maintenant assis sur le genou gauche de Igor qui s’en aperçoit à peine.
Un ange passe, un coup de feu au bout du pub, une bousculade, le mort est vite déchiré par le public affamé.
Le petit homme vert continue à sniffer, une poudre jaune…
La table est pleine maintenant d’objets surgis de la cape du comte.
Sous la table un couple de nanas s’agite, la plus grande essayant de ligoter la plus petite (une finlandaise aux cheveux aile de corbeau… Charlie ?) avec la bretelle de son soutien-gorge à fleur…
L’absinthe coule à flot dans le pub, tout le monde a les pieds mouillés…
La fumée devient de plus en plus épaisse et bleue.
De sombres oiseaux et quelques cafards (plus de deux mètres d’envergure) volettent çà et là en heurtant le public aveuglé.
Igor dodeline de la tète, sa flûte est vide, il se penche et la remplit d’absinthe…
Deux grands allemands blonds en short debout sur le pub se fracassent la tète à coup de hache; voluptueusement les spectateurs trempent les tranches de l’énorme gâteau flottant, qui s’avance doucement vers la table de Igor, dans le sang qui gicle partout…
Igor, qui, justement, fouillant ses poches pour trouver des thunes à claquer tombe sur le petit pistolet noir à silencieux.
Une patte de cafard le heurte à l’oeil, il sort le flingue…
Charlie vient d’apparaître dans la fumée, elle a l’air un peu perdue et lasse, elle porte son habituelle robe blanche immaculé qui la rend si belle.

Bang ! Dans l’oeil du nain vert…
Bang et rebang ! Dans le front du comte et dans sa cape…
Bang pour un cafard !

Igor se lève et marche vers Charlie… Il explose la tète du barman d’un tir courbe en croissant de lune le long du plafond, vise un des allemands et le manque: plus de tète déjà.
Elle semble le reconnaître et lui fait un demi-sourire.
Un allemand (Grishka ?) tente de fendre le crâne à Igor qui esquive péniblement la hache qui le frappe. Le cadavre du nain sniffeur, accroché à sa jambe droite tente de le retenir…
Igor dégaine sa Gattling et mitraille à gauche, à droite, faisant exploser tètes, bras et idées noires.
Plus de munitions, il se débarasse de son arme sur le pied du gros allemand qui part en hurlant les chants de Maldoror.
Charlie dans les bras de Igor… Un ange passe, Igor le vise et l’abat avec son petit pistolet.
Igor entraîne sa compagne vers l’extérieur, en évitant table qui volent, cafards et lévriers ainsi que le public surexcité et les larmes aux yeux.

Dehors Nicolaï attend patiemment au volant de la Tourguy-mobile le retour de son frêre.
Déjà il arrose la façade du bâtiment de torpilles au napalm.

A l’intérieur la foule est en transe, hurlements, chants, danses, viols et meurtres gratuits se succèdent à un rythme frénétique, un seuil sur l’enfer est ouvert et les démons envahissent le pub; Bizarrement ils paraissent bien tristes et moroses dans l’ambiance pyrotechnique qui règne dans le pub.
A l’aide d’un grand fouet, Igor finit de se dégager un passage et atteint la sortie, là résolvant rapidement l’épreuve du sphinx, il surgit à l’extérieur avec Charlie à son bras.
Nicolaï achève de détruire le bâtiment à coup de missiles sol-sol pendant que nous entrons précipitamment dans la grosse voiture.

Je serre Charlie, elle essuie une larme et se pelotonne contre moi. La voiture prend de la vitesse et s’envole vers la base lunaire.
« 

Old par igor le 14 Jan 2003

trois mois ont passés sans que nulle voile ne couvre mon horizon,

mon ame pleure de ne pas etre auprès de toi,

chère Venise,

tu me manques tellement,

Old par M. Fox le 13 Jan 2003

oublie moi, si tu peux.

Alors les Rois, les Dieux, la Chance et la Victoire
Seront à tout jamais tes esclaves soumis
Et, ce qui vaut mieux que les Rois et la Gloire,
Tu seras un homme, mon fils.

méfiez vous des garçons formidables

Old par M. Fox le 11 Jan 2003

ceci n’est pas le bonheur.

Old par M. Fox le 13 Jan 2003


j’ai un peu les boules là
j’arrive tôt
mais
miss Car(r)o se lêve tôt
aussi
alors on cause
(et c’est cool)
et Costes me fait rigoler
donc
—————
merci Car(r)o et Costes
pour ne pas m’avoir laissé
seul ce matin

Old par igor le 17 Jan 2003

hoooooooooooooooooooooo !

Old par -- Zan le 17 Jan 2003


je ramasse le sac de poudre
sur la nappe à carreaux.
percé !
ça coule sur mes doigts

Old par igor le 13 Jan 2003

Lo que me procura el contacto de tu Piel
It is happening again…

Old par Nicolai le 03 Jan 2003

Tu dis que je ne parle presque plus
Mais retire ta langue de ma bouche

Old par -- Zan le 30 Jan 2003

les braves morts au combat
se tranformaient
en oiseaux des mers,

ils s’élevaient progressivement
et s’envolaient vers le soleil

nombreux sont ceux qui ont pleuré
de n’etre pas morts ce jour là.

Old par M. Fox le 17 Jan 2003

Entendu : ‘Spéce de satrape du Dimanche !

Que les profs osent dire que les élèves n’écoutent rien après ça…

Old par Rodia le 17 Jan 2003

Chez les Druides, le gui était considéré comme une plante sacrée.
Selon eux, cette plante avait des propriétés miraculeuses, dont celles de guérir certaines maladies, d’immuniser les humains contre les poisons, de leur assurer la fertilité et de les protéger des méfaits de la sorcellerie.

Old par -- Zan le 02 Jan 2003

Saa kana daba niho!

Nous serons les primitifs, païens de tous poils, animaux mythologiques et êtres électriques immobiles…
(dis donc, la Same, t’as pas l’impression que t’en fait des tonnes…? y’a comme qui dirais besoin de vacances dans la steppe, là, hein, ma petite… en attendant, file te dormir, et plus vite que ça! (demain y’a B.C.A. (again)))

Tant de bonheur parfois pour rien…
Comme la tristesse sans cause survient…

Qu’il est rare de s’éveiller ainsi le matin…

Old par Gu. le 13 Jan 2003

elle ne voit pas.

Old par M. Fox le 17 Jan 2003

— Eating red soup I wonder why
I could have loved you sometimes
I’m not a dreamer anymore
I’m just a pisstank of your blood

Old par -- Zan le 16 Jan 2003

Un souffle de vent m’a fait croire à une caresse
Illusion…
Je vais me faire un café
ET SURTOUT oublier

j’ai plongé dans ton bassin.
je m’y suis noyé.
me suis raccroché à ton os.
massage cardiaque.
même pas mort.
encore loupé…
chercher le creux.
suivre la ligne.
jusqu’à genoux.

Si tu peux être dur sans jamais être en rage,
Si tu peux être brave et jamais imprudent,
Si tu sais être bon, si tu sais être sage
Sans être moral ni pédant;

le lièvre poursuivait le reflet de la lune,

Inlassablement.

Old par M. Fox le 17 Jan 2003

Illusions d’un passé perdu
Danse, chante
Tourbillon, derviches sous acides
T’oublier, enfin
Emporté dans le flot des tissus cramoisis
Enivres toi d’elles
Senteurs, simples moments de rien, de tout
Sérénité, désillustrer la logique
Se sentir soi ; être pour jamais les autres
Etre…

Old par Rodia le 28 Jan 2003

–Parfois j’ai l’impression d’être un fakir assis sur un tapis volant en pain grillé…–

Old par -- Zan le 08 Jan 2003

Savoir informel et savoir formel : division, multiplication.

Old par M. Fox le 11 Jan 2003

ce soir je dois…

aller à un vernissage de purée de pois cassés marins,
passer voir mes surfeurs au ventilateur,
travailler pendant une marée minimum,
aller en boite avec des dockers marseillais déjantés.

maman, serre moi fort contre toi,
j’ai trop peur
et j’ai trop froid !

Old par M. Fox le 09 Jan 2003


il neige
et
le froid
me
fait douter
de tout

Old par igor le 30 Jan 2003

Au « Tchat Lab », nous étions une trentaine environ, et seulement quelques uns d’entre nous étaient chercheurs à plein temps et demi. La plupart des ouvriers étaient en CDD, CDI trois quart temps ou « éphémère autoreverse », mais nous parvenions à nous compléter ainsi puissament dans la douce torpeur du ventre de la baleine.

Si tu peux supporter d’entendre tes paroles
Travesties par des gueux pour exciter des sots,
Et d’entendre mentir sur toi leurs bouches folles
Sans mentir toi-même d’un mot;

Acceleration and Density Testing of Standard PC Keyboards

Old par -- Zan le 30 Jan 2003

une blague facile :
tu prends une bouteille en verre
genre valstar
tu la mets dans un sac de toile
sale si possible (graisse et/ou essence)
tu poses le sac par terre fermé
tu le frappes plusieurs fois avec un marteau
la bouteille se brise
il faut frapper jusqu’à faire de petits bouts
ensuite tu ouvres le sac
et tu récupères les morceaux de verre
dans un grand bol
sur le bol tu verses un mélanges terre-poussière-sable
tu touilles et tu laisses reposer
tu prend un gros savon cubique (de marseille) de couleur ambre
tu le coupes en deux avec une lame
tu fais ta coupe de manière à avoir un gros bout et un petit
le petit est « le couvercle »
tu évides l’intérieur en gardant une épaisseur assez grande
afin de garder le savon assez solide
tu ajoutes à ton mélange de verre des morceaux de lames de rasoirs
et une lame de cutter (ou deux)
tu re-mélanges
tu verses dessus du savon noir
tu re-touilles
tu fais couler ton mélange à l’interieur du gros bout de savon évidé
tu en fais entrer un maximum
mais sans abimer le savon lui même
tu remets « le couvercle »
tu humidifies l’exterieur du savon afin de ressouder les deux moitiés
tu poses à coté de ta baignoire
tu retires tout les autres savons
tu invites des amis à venir dormir à la maison
le rire est assuré

Old par igor le 13 Jan 2003

c’est l’aube : je me lève et rien n’a changé.

Old par igor le 01 Jan 2003

No sir, they aren’t sexy, they’re just drunk, can’t you see?

...
Pink Panther et Lord Garcimore
sont de subtils cambrioleurs.
Dans nos âmes confuses
ils interlopent, salopent.
Sur nos coeurs en coroles
ils lissent, glissent.
...

Old par igor le 03 Jan 2003

des petites particules de reves

qui tombent doucement, tout autour de moi

tu es froide et ensorceleuse

je veux gouter à nouveau

au sel de tes baisers,

demain, seras tu là ?

si tu me quittes je verserai toutes mes larmes

j’attendrai l’hiver prochain

me remémorant les tendres baisers

de mon amante givrée.

Old par M. Fox le 10 Jan 2003

Alice m’embrasse,

je crois que le chapelier fou est jaloux
mais il n’en montre rien

je crois que le lièvre de Mars
voudrait encore un thé

qu’il est doux de te connaitre,

Alice

Old par M. Fox le 10 Jan 2003

Encore un clochard
qui voulais juste
un abri pour la nuit.
On l’a pris par le col
et l’a balancé hors du train.
Y avais une autre loco
qui arrivais en sens inverse.
L’a foutu du rouge partout,
dégueulasse
du sang de clodo.
on peut même pas faire du boudin avec
et pis l’étais trop maigre
pour qu’on ramasse les bouts.
Avec les os maybe nous ferons
du SAVON

there’s a light

in the darkness

of everybody’s

life

Old par M. Fox le 15 Jan 2003


Pendant ce temps,
A Marseille sur le vieux port,
On aiguise les couteaux,
Et les parisiens, on les surveille,
A fond.

Old par igor le 22 Jan 2003

d’abord, organiser la chair
l’étaler bien rouge (la prendre en photo avec un carreau de sucre comme mesure de référence)
sortir la poele et un peu de beurre, ça chauffe, ça fond, ça glisse sur la surface chauffante
l’étaler bien rouge et laisser le tout s’épouser
ça fait un murmure chaud et ça sent le beurre chaud, la graisse fondue, la viande cuite
la couper en deux avec un couteau de boucher
la faire glisser dans l’assiette (et attention, saucer la poele avec un bout de pain de campagne)

***bonheur***

saucer l’assiette, soupirer d’aise, boire un peu de vin rouge
et laisser croquer et juter la salade sous les dents
en dessert, on ne veut rien, de toutes façons là on ne veut rien, personne d’autre, aucun autre élément, on est juste plein du meilleur, et on va attendre (c’est ça aussi) de se vider avant de recommencer à poursuivre l’happiness…

à la lueur des étoiles,

on s’est embrassés,
on s’est promis d’etre tout l’un pour l’autre,

de s’aimer,
de se rendre heureux,
de rester ensemble pour toujours,

ce soir là tu quittais ton père
pour venir sur ma petite colline,

je t’ai présentée à la mer,

elle a béni notre union,

à chaque instant
ces moments sont dans mon coeur
et quand souffle le vent
et survient l’adversité

c’est ce souvenir qui me fait
combattre pour survivre
et me réchauffe le coeur
lorsque survient l’hiver

je t’aime

Old par M. Fox le 29 Jan 2003

une stucture cristalline géométrique de lumière blanche

qui vibre et qui chante

dans un grand espace bleuté.

Old par M. Fox le 14 Jan 2003

Sacred sonic rings
Real tonic chord
Stained glass springs
Sweet dadded shelter
— For us
Abuse of absolute
A crystal recess
— For prayer

Old par -- Zan le 14 Jan 2003


Le skyblog c’est quoi ? C’est un journal perso (ou intime) sur Internet que tu peux remplir au jour le jour sans te prendre la tête ! T’as des coups de gueule ? Des idées ? Des kifs à faire partager mais personne t’écoute à part ton chien ! Alors crée ton skyblog ! Au jour le jour, donne tes impressions sur tes potes, la zique, la société, les marques, l’actualité, le sport, bref tout ce qui te touche et tout ce qui te révolte. ! Au jour le jour, dis ce qui te fait kiffer : tes sites préférés. Bref ! Crée ton skyblog !
Fais-toi connaître sur le net et deviens une vedette !

—————

Le prof. Geradon a un avis sur tout ça.

Old par igor le 17 Jan 2003

Mais qui est (cette petite pétasse de) Chaleston Parva ?

(tu me reconnais plus, hein, maintenant que tu es célêbre, espèce de renarde en salopette, va !)

I.G.O.R.
je ne suis pas un avatar
je suis vrai
j’existe
je vais le prouver
et sur tes intestins
fumants
j’écrirai mon nom
G.R.I.S.H.K.A.

Ce soir je vais à la plage.

On jouera au ballon prisonnier
et aux chaises musicales.

Comme dans un show TV
de samuel beckett
ou de gertrude stein…

0001010100000111010011000010…ad lib.

je tenais à remercier tout particulièrement Serge Gainsbourg, qui écrit toutes mes chansons depuis 10 ans,

merci Serge !

merci !

Old par M. Fox le 14 Jan 2003

Old par M. Fox le 21 Jan 2003

ça n’a rien a voir, et pourtant…

des fois j’ai le hoquet:
j’ai soupiré une dernière fois et ça m’a fait un bien fou
maitenant, toute l’indifférence du monde m’indiffère parce que j’ai adhéré!
je suis indifférente à tout moi aussi
bonjour bonjour bonjour!
les murs de glace m’enrobent, je risque d’avoir froid, mais vous ne me ferez plus rougir
dents de scie, je suis dans les airs un dragon invisible entre l’amour et l’indifférence de tous et de tout
blanche neige s’est endormie dans son cercueil, je suis une princesse qui n’a pas trouvé ses nains

mieux vaudrait vomir, n’est-ce pas?

Old par M. Fox le 21 Jan 2003

BALAFRE… elles ne peuvent l’oublier!
C’était un homme qui portait BALAFRE.
Tout simplement.
Un homme à l’élégance d’homme.
Un homme qui même pour sa toilette voulait des produits d’homme.
Il aimait BALAFRE : c’était un homme.
BALAFRE : une senteur fine et épicée, originale,
Eau de toilette.
After-Shave.
Savon.

Old par igor le 19 Jan 2003

Old par M. Fox le 13 Jan 2003

Ils me prennent par la main, me chuchotent à l’oreille:
« Allez, dis moi quelque chose, je veux entendre le son de ta voix, j’aimerais mieux te connaitre… »
Aucun son ne sort de ma bouche, aucune grimace n’est esquissée sur mon faciès de singe; je reste neutre et glacée, indifférente.
Mauvaise pioche: je suis le SNIPER.

Aucun document ne correspond aux termes de recherche spécifiés (Saa kana daba niho!).

Suggestions :
– Vérifiez l’orthographe des termes de recherche.
– Essayez d’autres mots.
– Utilisez des mots plus généraux.
– Spécifiez un moins grand nombre de mots.

Old par M. Fox le 20 Jan 2003

***=== le Mage YCIEN === ***

résout tous tes problêmes
t’en crée de nouveaux (si tu veux)
te rend l’affection d’un frêre
(même si c’est une âme soeur)
allez, bouge ton cul, vas voir
le Mage YCIEN !!!

*$*¨c’est cher, mais c’est bon¨*$*

elle chante,

elle parle des vieux amis,

je t’ai serré dans mes bras hier,
très ému,
je suis heureux de t’avoir revu,

elle chante
et parle de son premier amour,

je serai ton vieil ami
tant que tu voudras de moi

la lumière est en toi.

Old par M. Fox le 09 Jan 2003

Raconter une histoire, ça peut commencer par un « il était une fois » ou par un truc plus anodin genre « il marchait déjà depuis une heure dans ce putain de désert jaune ». Forcement, ça n’implique pas les mêmes choses pour la suite. Dans le premier cas on attend un truc du genre « dans un pays très lointain », dans le deuxième cas plus un truc genre « et les fils de putes qui l’avaient lâché ici ne perdaient rien pour attendre ». Raconter une histoire, c’est tout un tas de décisions plus ou moins importantes pour la suite, sur les mots à choisir, sur les personnages, les lieux, les actions, l’existence même de personnages, de lieux et d’actions, la pertinence de la notion temporelle et la force de l’entropie sur l’idée originelle. Raconter une histoire tendre, c’est aller contre la paranoïa, les griffures de la vie, les cicatrices et toujours rechercher cette petite ligne si douce qui glisse partant de la hanche vers le pubis. Raconter une histoire, c’est faire acte de foi, de contrition, se blottir contre une idée, la choyer. Raconter une histoire, ça peut se faire en se regardant dans les yeux, doucement. Raconter une histoire, ça peut ne pas réussir, ça peut ne mener à rien, ça peut être un échec. Raconter une histoire

Old par igor le 08 Jan 2003

Old par M. Fox le 19 Jan 2003

« là ici »