le récitant: qui es-tu Igor Tourgueniev ?
« … L’affaire du Pterodactyle :PTERO.GIF confirme ce que nous disions au sujet des crapauds enchâssés dans la pierre retrouvés VIVANTS par dizaines. »
le passé m’a écrit sur du papier à spirales
« une odeur, un songe… m’ont remémoré ton existence »
il dit qu’il a réussi sa vie
et me demande comment va la mienne,
j’ai cette impression étrange
d’être à un carrefour de mon existence
et de ne plus savoir que faire
je crois que le présage de la lettre est le suivant :
« va de l’avant, travaille dur et tu réussiras »
le passé frappe à ma porte
le présent s’effrite et explose
le futur se fait exigeant
des trois temps je choisis le futur,
bannir mes vieux démons,
je le veux,
renoncer au présent,
je le veux,
j’embrasse le futur,
je le veux
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{Refrain:}
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IGOR -> TON FUTUR CADAVRE
Plus que quelques affaires à régler ici. Demain j’embarque et surtout j’en prends pour au moins vingt ans. La prochaine étape de ce cargo c’est dans quinze mois lumière, ensuite c’est le grand saut quantique et à l’escale suivante je ne connaîtrai probablement plus personne de ce monde.
C’est l’occasion de recommencer à zéro, non ?
Je vais ranger ma carabine.
Je vous envoie un bouquet de ma main,
Que j’ai ourdi de ces fleurs épanies.
Qui ne les eût à ce vêpre cueillies,
Flaques à terre elles cherraient demain.
Cela vous soit un exemple certain
Que vos beautés, bien qu’elles soient fleuries,
En peu de temps cherront toutes flétries
Et périront, comme ces fleurs, soudain.
Le temps s’en va, le temps s’en va, ma Dame.
Las ! Le temps non, mais nous nous en allons,
Et tôt serons étendus sous la lame.
Et des amours desquelles nous parlons,
Quand serons morts, n’en sera plus nouvelle.
Pour ce aimez-moi, cependant qu’êtes belle.
Ambassador
Une fausse blonde sublime agonise dans les odeurs de havanes, fauteuils club, il ne faudrait pas être ailleurs, vous savez, ailleurs les verres se servent à ras bord, ici les gants crème font glisser sur comptoirs en ébène, on prendra notre temps, pour ajuster les graisses à la forme du cuir, faux mouvement, la maison garantit l’harmonie de l’ensemble, c’est extraordinaire et tellement original, c’est une si bonne surprise, ici on sait à quoi s’en tenir, la maison garantit la surprise et les fausses blondes on toujours un mouchoir avec elles, une serviette, un masque à gaz, une Mercedes Benz, la vie au ralenti, et sans fausse modestie, je vous trouve exemplaire, mon ennui proportionnel à l’épaisseur des moquettes sur lesquelles on avance, au ralenti, à vitesse conforme, une grande porte à battants rotatifs à l’entrée fait le tri, alors pourquoi ne pas se mettre en chaussettes, dans la musique de feutre on se dit qu’on est bien dans ce mince interstice entre le bronze massif et le creux des moulures, entre le pli des ventres et la famine des dames, entre la masse visible et les semelles tout cuir, made in France, madame, vous savez, fragiles comme le cours des matières premières à la bourse, des matières précieuses, ici on vient pour sentir le silence, pour voir les petits cercles humides que le dessous des verres dépose à la surface des tables, vous voyez, le verre est absolument sec, vous le remplissez, et alors de petites gouttes apparaissent et laissent une trace en forme de cercle derrière elles, donc, sous le verre, et les fausses blondes détestent ce genre de détails et les gros bonnets adorent mesurer la taille de leur cercle en fumant un havane, sans complexes, pas de frime surtout, pas de drame, par pitié, avez-vous vu comme il sait bien y faire, ce barman est splendide, les serveuses sont parfaites, si précises à leur place, canapé réservé, au comptoir du palace, la fausse blonde s’est levée de son siège en se fondant toujours dans la mollesse des murs, profitant du protocole capiton des bourgeois en lévitation autour, la fausse blonde s’est dressée comme un vulgaire courant d’air au milieu du nappage de fumée, elle a rejoint le comptoir en ébène et s’est mise à parler :
Qui m’a posée ?
Qui m’a posée là ?
Qui m’a raflée ?
Et qui paiera ?
Elle a ouvert son sac à main à double initiales dans l’assurance tranquille des salons, il était question d’une partie fine à la table d’hommes et des femmes comme elle qui était à sa droite quand le premier crâne chauve a volé en éclats, et la fausse blonde tellement sereine et à bloc que la latence entre la détonation et le moment où la panique se met à saisir les clients se dilate, main serrée sur la crosse elle écoute le murmure dans la salle, on dirait : elle cherche une cible, mais l’entre-deux ne dure pas, regardez, c’est une arme automatique qui nous menace, elle est prête à cracher, et la monnaie sort des poches, on l’aligne sur les tables, on a de quoi payer, prenez tout ce que vous voulez mais de grâce, et de fait, la blonde s’en balance, sans désordre elle arrose l’assistance, la mitraille s’enfonce dans les fauteuils qui se gorgent de poisse, et comme si tout le monde se mettait à savoir la justice, personne ne bouge, et l’intérieur du barman s’infiltre dans l’ébène du comptoir, et personne qui hurle, comme un retour à la normale, c’est la graisse des ventres qui suinte à présent par les cratères que le métal perce à mesure que les douilles frappent le sol, she makes me wanna die, mort à l’Intercontinental, on n’est plus claustrophobes, on exécute en famille, enfin, on respire, ça n’est quand même pas souvent, que la moelle retourne aux crachoirs, quand on pense aux sirènes de police un peu longues à venir pour un quartier si chic, quand on pense à l’abondance et quand on voit l’hécatombe, encore un dernier chargeur, pour quelques salves de plus, pour ajuster la tête, être sûre cette fois que mastercard ne protège plus des balles, qu’elle ne cuirasse plus les cœurs, pour le plaisir d’une pièce de viande classe affaire explosée sur moquette, et dans un cadre idyllique, une page ouverte du catalogue « atmosphère cosmopolite » des corps déchirés, que la fausse blonde enjambe pour passer derrière le bar, elle s’y sert un verre de vin de classe insolente et rejoins les fauteuils, croise les jambes et sans puis-je vous offrir un verre, mademoiselle, dos au cuir du siège, silence autour, même, piano man est en miettes et mademoiselle soupire du plaisir de sentir les odeurs de poudre remplacer celles des havanes, enfin paisible, une courtisane qui se respecte, une call-girl digne de ce nom, saura toujours avoir de temps de se refaire les ongles en attendant l’arrivée des fourgons, elle se dit à elle même.
le récitant : results are what count. Try something. If it works, try it again to verify. Continue to practice the technique until you perfect it. If the technique doesn’t work for you, drop it and try something else. Explore – and don’t accept as truth anything you haven’t experimented with yourself; you are your own laboratory. « Everything else is mysticism, » according to Pete Carroll. Phil Hine is a little more elaborate: « Rather than trying to recover and maintain a tradition that links back to the past (and former glory), Chaos Magick is an approach that enables the individual to use anything that s/he thinks is suitable as a temporary belief or symbol system.
What matters is the results you get, not the ‘authenticity’ of the system used.«
le résident : Igor cherche sa douce et tu peux l’aider mais attention…
depuis que j’ai perdu mes amis dans d’affreuses souffrances, j’ai acheter un chien pour me sentir moins seul
———————————–
courir plus vite
tenter de sauver ma peau
ma vieille peau de russe blanc
courir plus vite
———————————–
se cacher au fond du fossé
tenter de sauver mes couilles
mes couilles de crétin chauve
se cacher au fond du fossé
———————————–
baisser la tête
raser les murs
ne plus boire de cocktails
truffés lames de rasoirs
ne plus manger de petits fours
farcis lames de scalpels
raser les murs
fuir la musique
des bouchers
hollandais
———————————–
vendredi soir
je ne me tourmente
pas pour si
peu et je file
à l’anglaise
———————————–
grishka n’aura jamais
l’idée de me chercher
chez moi tout
simplement
———————————–
Ce matin la journée a mal démarré avec ce Robot-Putain-Du-Matin qui était détraqué… (J’avais demandé à ce qu’il chante (« tchi-tchi », j’aime bien, le matin) et il voulait pas. J’ai toujours ma machette sous mon oreiller, quand j’ai senti qu’il s’excitait trop j’ai fait valser sa jolie petite tête à l’autre bout de la chambre. Ces trucs là quand ils commencent à être détraqués ils peuvent vous dévorer tout cru…) Il faudra qu’on s’explique ce soir avec la direction.
Ca a pas continué tellement mieux, j’avais rendez-vous à Bonneuil pour ce poste de pompier, et arrivé là-bas personne pour me réceptionner, ils étaient tous partis faire une battue…
Igor ne répond toujours pas, le mystère des tourguénistes disparus s’épaissit…
Envie de parler
Sans rien avoir à dire
Envie de rien dire
Très envie de parler
Rien envie d’écrire
Très envie de le dire
Merci de votre attention.
|
Rencontrer une belle inconnnue. La raccompagner chez elle. Se faire offrir une verveine menthe. La séduire. Lui faire la bise sur les deux joues. Se branler.
|
il dit qu’à cause d’une mauvaise combustion
mon eolienne
peut m’asphyxier avec du monoxyde de carbone
il définit ainsi la compétence :
c’est lorsqu’on est entre la vie et la mort,
criblé de petits trous
dans un univers hostile
Je suis sur la branche, je l’observe.
Nous écoutons des vinyles en accéléré, je la regarde.
Elle se hisse sur la pointe des pieds, esquisse un pas de danse, et tente de s’envoler.
Je l’admire.
Je vais prendre une lame crantée
en forme de spirale et découper en demi-cercles
des incisions le long de la gorge et sous la poitrine.
Puis je vais extraire le parasite en essayant si possible
de ne pas provoquer la mort de la patiente
Je serai sûrement obliger d’utiliser la scie à métaux
trouvée dans la cave afin de faire mon chemin dans
la poitrine.
Si le parasite est trop gros, je vais le limer, le gratter,
le frotter afin de réduire sa masse.
J’ai posé des linges au sol pour essayer d’épargner la moquette
de mon bureau mais je pense que cela sera insuffisant.
La patiente bouge beaucoup mais elle est fortement attachée.
Elle parle aussi beaucoup malgré les coups au visage portés
afin de l’assommer convenablement :
Le petit marteau repose au sol,
dans les éclats de dents et la pulpe gingivale.
La chaleur est étouffante et j’ai du retirer tout
mes vêtements afin de mieux opérer.
La patiente semble s’étouffer à cause du sang qui coule
dans sa bouche, c’est drôle, elle gargouille.
C’est mystérieux, mais à l’intérieur,
il n’y a pas de parasite, juste une longue saucisse
fumante et nauséabonde et deux ou trois organes
qui gigotent assez grotesquement.
la fac : bien des choses et ça qui m’avait fait bander à l’époque.
(utiliser le medium comme support pour un journal intim’impartial)
————–
Petites notes du 17.02.03 à la galerie Leo Scheer
en vrac dans petit carnet Moleskine noir.
——————————
Soirée lectures & performances
Lecture-performance de Bienvenus à SeXpol par Christophe Fiat
lecture voix sèche de La Vanité des Somnambules par Chloé Delaume
lecture de L’Echec par Lucette Finas
——————————
Une entité extra-réelle possède le corps réel de Chloé
Un exorcisme peut-il le sauver ?
——————————
Une brûlure au Ripolin.
Fait venir une idée.
« Dans le fond, je n’aime pas les juifs » –> la femme = Gilberte
Je ne sais pas qui a dit ça, sa femme je vois.
Il veut la faire renoncer à cette idée.
Faut-il exorciser Chloé Delaume.
——————————
Wilhelm Reich : retrouver le court métrage : Orgone.
——————————
Faut-il libérer le corps de l’entité Chloé D. ?
Faut-il aider le corps ?
——————————
Elle aurait du marquer les pages.
En fait on aime bien la voir tâtonner.
Elle est charmante.
Elle parle de cet homme maladroit.
Le Figaro (-> ou le Figaro, qui sait ?) : gros caractères.
Le Monde : petits caractères.
Il ménage son coeur.
——————————
Un bébé brûlé vif par une bouteille de Butagaz
——————————
(ici petit dessin : cheveux, lunettes, yeux de la dame qui parle de son premier livre.)
Ca c’est le psaume
n’est ce pas…
Ne perdez pas de vue…
n’est ce pas.
C’est admirable
n’est ce pas Gilberte
Relis-moi la jument verte.
——————————
Artefacts de cette réalité : ici et là
————–
Vous vous pensiez entourée de camarades compréhensifs et sincèrement concernés par votre sort, tout comme vous l’êtes lorsqu’il leur arrive une tuile … grossière erreur… mais rassurez-vous, vous aurez droit au
« lot de consolation »
(dormez seule , mangez seule, vivez seule, mourrez de solitude, quoi, au mieux, essayez d’apprendre à votre poisson rouge à communiquer avec vous en morse, ça occupe les longues soirées d’hiver…)
L’édition originale du présent sité a été tirée à cent soixante-neuf exemplaires, à savoir : deux exemplaires sur papier Whatman, spécialement imprimés pour les frères Tourgueniev, neuf exemplaires sur papier de Chine, dont sept exemplaires numérotés de I à VIII et deux exemplaires hors commerce marqués A et B, vingt-trois exemplaires sur vélin de Hollande, dont vingt exemplaires numérotés de VIII à XXVII et trois exemplaires hors commerce marqués C à E ; et cent trente-six exemplaires sur vélin pur fil des papeteries Lafuma Navarre, dont cent numérotés de 1 à 100 et trente six exemplaires hors commerce numérotés de 101 à 136.

Le soleil transperce la maison vide
de ses poignards jaunes
sans rien rencontrer
que des poussières qui dansent
Callypige … moué … ce que je pige, surtout, c’est qu’y en à qui vont devoir arrêter les chips avec la crême chantilly, hein…

J’ai mis de l’ordre dans mon p’tit univers
Les étoiles sont de retour, à leur vraie place
Les fleurs maladives de Des Esseintes sont allées se coucher
Grand bien leur fasse
Nous sommes tranquilles maintenant!
Ma tête tourne un peu quand même
Depuis quelques années, les problèmes de santé mentale au travail ont augmenté de façon considérable et constituent, pour les personnes et les organisations, un enjeu de plus en plus important
name= »datamain »
src= »http://www.tourgueniev.com » width= »400″ height= »500″
marginwidth= »O »
marginheight= »0″ hspace= »0″ vspace= »0″
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Regard – An ESRC funded database service for social science … – [ Traduire cette page ]
Regard is an ESRC research service. Visit the ESRC Web site. … my Regard
Login to activate search history & in-tray. Welcome to Regard. …
Description: Searchable database of UK research funded by the Economic and Social Research Council. In-depth informat…
Catégorie: Science > Social Sciences > Sociology
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index.htm – [ Traduire cette page ]
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… intrusive. The idea is that dark text should show up against the background.
These backgrounds are copyright © Regard-it 2001. You …
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Regard-it: free photos, backgrounds, web tools, software, … – [ Traduire cette page ]
Free: photos, web tools, backgrounds, software, web page; comparison shop
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[ Autres résultats, domaine www.regard-it.com ]
REGARD EN COULISSE
Regard en Coulisse vous souhaite une excellente année 2003 et vous invite à
découvrir ceux qui ouvrent les festivités musicales : Savary, Landowki, d …
www.regardencoulisse.com/ – 18k – En cache – Pages similaires
Regard sur l’Est
Revue d’actualité et d’analyses sur les pays
de l’Est _ Mise à jour : 17 Février 2003.
www.regard-est.com/ – Pages similaires
REGARD – [ Traduire cette page ]
www.regard.com/ – 2k – En cache – Pages similaires
Regard – [ Traduire cette page ]
www.regard.co.il/ – 1k – En cache – Pages similaires
Incertain Regard, Poésie Contemporaine
site sur la poésie contemporaine, Le site Incertain Regard prend désormais le relais
de feue la revue papier dont on peut toujours se procurer des numéros. …
www.chez.com/incertainregard/ – 5k – En cache – Pages similaires
Éditions du regard inc.
Les Éditions du regard – Édition d’art personnalisé, cartes et reproductions /
Personalized Art Edition, cards and Reproductions (corporations) – Cartes de …
Description: Éditeur canadien de cartes d’art personnalisées, reproductions à grand tirage, cartes de souhaits,…
Catégorie: World > Français > … > Edition > Editeurs > Canada
www.georad.com/editregard/ – 6k – En cache – Pages similaires
J’ai besoin de tes mains
Pour blottir ma bouche
Là, elle ne dit plus de conneries
J’ai besoin de tes mains
A pleins d’autres endroits
Qui ne connaissent que toi
J’ai besoin de tes mains
Pour proteger mon corp
Des tentations et des sorts
J’ai besoin de tes mains
pose les sur mes épaules
C’est mon cou que tu frôles
J’ai besoin de tes mains
Pour blottir mes mains
J’ai besoin de tes mains
Pour cacher ces trésors
Jusqu’a demain matin
Cornu
Oooooooh Catharinetta Bella — tchi tchi —
écoute l’amour t’appelle — tchi tchi —
pourquoi dire non maintenant — oooooooh oooooooh —
faut profiter tant qu’il est temps — oooooooh oooooooh —
Plus tard quand tu seras vieille — tchi tchi —
Tu diras vers son oreille — tchi tchi —
« Si j’avais su en ce temps là » — aaaah aaaah —
Oh ma belle Catharinettaaaaaaaaaa —
Je vais te crever
Je vais te crever
Je vais te crever
Je vais te crever
Je vais te crever
Je vais te crever
Je vais te crever
Je vais te crever
Je vais te crever
Je vais te crever
Je vais te crever
Bientôt
Clémentine souriait,
je peinais à conserver l’oeil ouvert
tant
les substances absorbées
provoquaient
satisfaction
et apaisement,
à mon reveil,
elle avait disparu
bon anniversaire Car(r)o, bon anniversaire Bernard, bon anniversaire Claude, bon anniversaire Marion, bon anniversaire Evel, bon anniversaire Magalie, bon anniversaire Baptiste, bon anniversaire Philippe
Je peux, sans rien sacrifier de ma vie ni de ma lucidité, décider de ne pas voir le réel
[dont je reconnais par ailleurs l’existence].
Aveuglement volontaire
[comme Oedipe je me crève les yeux]
qui trouve des applications plus ordinaires dans l’usage immodéré de l’alcool et de la drogue.
![]() |
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Howard Stern ne s’est jamais résigné à se séparer de son jumeau le bel Albert. Il se rassura en portant autour de sa taille une ceinture contenant de petits morceaux de ses testicules. Sa physionomie particulière le rendait spécialement réceptif aux ondes émises par les lunes de Pluton. Sa femme Irma possédait deux photos d’Elvis en tissus.
|
je veux
écrire un truc romantique
pour parler de toi
mais ce matin ça ne vient pas
je ne sais pas ce que j’ai
il faudrait peut-être
que j’aille manger un bout
ça me ferait tellement de bien
de grignoter quelque chose
car je n’ai rien avalé depuis
toi.
« Tu peux bien m’écrire des textos de folie
et m’offrir des cadeaux en faux cool,
je t’ai démasqué, petit Casa de chez Nova. »
Un meurtre par jour est signe de bonne santé mentale.
06 61 63 58 84




















me tiens






