Elle n’est pas Caroline Hazard.

« Les fragments ne sont pas des aphorismes, chaque
fragment est ouvert à la multitude des autres fragments. » Blanchot
J’en ai marre d’aller bien.

J’en ai marre d’aller bien.

J’en ai marre d’aller bien.

Je veux du vert pâle.
#28
Ne faire son portrait qu’à partir de ce que les autres ont dit
(récemment) de lui : faussement humble, minet, play-boy, impatient, petit,
tourmenté, ambitieux, cynique, coureur, superficiel, satisfait, à l’aise etc.
Et s’ils avaient raison ?
Bigre ! Ce sont les yeux et les mots des autres qui me font ? Salauds ! Cela ne se passera pas comme ainsi ! ».
« L’homme est un animal, il est né comme ça. Il est pourri dès la naissance. C’est un animal condamné et très subtil à la fois. C’est un vice de naissance. Qu’est ce que l’histoire ? La démonstration de l’inhumanité de l’homme. Quelque chose d’impur, de méprisable. Je crois que c’est sans remède. »
le récitant : ce matin je me suis demandé s’il fallait que je lui pose la question avant de me décider à lui pardonner d’être un chat.
Règle n°1 : Ne parlez pas de reservoir blogs.

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Dans le canard local de Montargis aujourd’hui, section « faîtes paraître vos annonces légales et officielles »:
S.C.P.A. MARTY-SAULINIER-NARDEUX
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182, rue grande – 77304 Fontainebleau
Tel.01.64.22.29.61 – 01.64.22.20.23 – 01.60.72.72.85
VENTE AUX ENCHERES PUBLIQUES
mercredi 21 mai 2003 à 14h30
au Palais de Justice de Fontainebleau (77)
159, rue Grande
D’UN ANCIEN CORPS DE FEMME
(…)
Faire semblant de jouer du Jean-Sebastien Bach au piano en récitant la bible et écrire des posts débiles sur Tourgueniev.

Comme tout le monde, y a des jours ou j’aimerais bien revenir en arrière… genre d’un peu plus d’un an environ.


j’ai sauvé hier la vie d’une petite ouvrière
en lui donnant la main,
elle qui venait m’admirer me baignant
et qui était tombée dans la rivière
![]() |
<-- je ne suis pas lui j’existe sans lui je suis Igor Tourgueniev je suis un héros <-- |
Autologue.
# -1
Je ne pourrais le percevoir qu’à distance, comme si je me souvenais
de la vie d’un mort.
Et pourtant les bruits, les paroles des autres sont si près de lui,
que je le vois maintenant, presque sous mes yeux.
Tout est prêt.
« Il ne me reste plus qu’à m’en emparer. »
Là. Rien au-delà. Présent.
Tentation de ne voir plus que les choses minuscules.
Tentation de n’aimer que l’ombre dévorante
de l’amour que je ne mérite pas.
C. m’a confié :
« peur dans un grand restaurant de mettre à hurler, à
danser nue sur une chaise. »
Mais toute allusion à la vie est un déchirement,
comme si je bafouais son silence,
son secret.
Viol du réel par le langage, c’est très sérieux et
vraiment ressenti comme tel.
Fermeture des yeux du héros, main saisissant le front
stressé de notre homme, extinction de la lumière, fermeture du lieu.
Elle me pourchassera, indéfiniment, jusqu’à la fin de ma vie. Pulsion destructrice d’une pureté cristalline. Virus de dernière génération – en cela elle réunit en un même corps toutes les caractéristiques des virus précédents, tout en les surpassant allègrement. Incarnation parfaite, froide, lisse, sans faille, et souriante de surcroît. Aucune technologie, si avancée soit-elle, n’y pourra rien changer. « Lui » peut crever – ou simplement la renier, l’humilier une fois de plus ; ça n’y changera rien non plus (d’ailleurs, existe-t-il réellement ? peut-on être transparent à ce point ?).
« Suit un soupir, un léger haussement d’épaules, un autre soupir. Et au-dessus d’une des portes, masquées par des tentures de velours rouge, il y a un panneau, et sur ce panneau, en lettres assorties à la couleur des tentures, est écrit : SANS ISSUE. »
Débat : le corps est-il un instrument?
Instrument de désir, instrument de plaisir…
Le corps et ses musiques…
Le langage du héros vaste problème.
Comment puis-je en meme temps exprimer une émotion,
communiquer une pensée ; qu’on me reconnaisse sans
me caricaturer, parler d’autre chose que de ce que je suis en
train de dire, laisser le sens plurivalent mais précis quand meme ;
moins allusif que Mozart, aussi pointu que Webern, drole, sincère,
grave, catastrophique, touchant, aimable ?
Tout à la fois ? Plutot se perdre.
Le héros fonctionnera pas à pas.
« Quelle immensité et quelle misère dans le langage ! »
Le héros ne devra pas comparer le langage à un monde
car il n’est pas poète.
Il bravera les tentations lyriques, et revera comme il se doit, à de grands récits.
(Langage monstrueux, imaginé, volé, inventé, combiné, mélangé.)
– Quelle coïncidence!
– Ce n’est pas une coïncidence.
– Si, c’en est une. Autrement ça ne serait pas si troublant…
C’est quelque chose de minuscule pour toi,
mais pour moi c’est énorme,
ce caillou dans ma poche
sera ta perte
j’vais t’faire voir !
voix off –> … silence …
L’écologiste avait établi que le nombre de pigeons était un facteur inversement proportionnel au nombre de rats,
les uns et les autres occupant la même niche écologique, il se demandait s’il valait mieux favoriser les pigeons pour réduire la population de rats, ou l’inverse
– Qui êtes vous ?
– Je suis triste, déboussolé, perdu, pathétique, égaré, malade.
– Vous êtes embauché.
– A quel poste ?
– Pauvre type.
Où cela avait-il commencé ? Que pouvais-je envisager ?
Revenir ? Chercher les causes premières ? Oublier ? Me briser le cou ?
Une peuplade d’images, faussées par les medias, les contes et les livres,
m’insupportaient, et contre le récit que je pouvais faire de mon enfance,
je préférais encore mettre à jour une nouvelle porte,
définitivement close, oubliée.
Si la guerre était un jeu qu’un homme ou un enfant
Pouvait penser gagner
Quelle sorte de règle
Pour renverser un fou
Et laisser la terre comme déteinte ?
Au désir de renouer avec la toile, vacance : forme ?
petits jets de petites choses. Pour préserver comme
dirait l’autre, pas pour construire.
Impératif fatras, mélange,
c’est tout ce que je peux faire, et vaille que vaille.
Oui, parfois qualité douteuse. Gommage interdit.
soyons désinvoltes, n’ayons l’air de rien!
« aujourd’hui, c’est une journée spéciale: si tu fait bien attention, tu remarqueras que tout le monde ressemble à Jean Gabin. Dans les cafés, tout le monde parle avec un drole d’accent parigot, même les filles se mettent à porter des casquettes un peu de coté, et les gens ont un petit regard bleu mouillé, comme Jean Gabin. Si tu allumes la télé, tu verras sans doute un des enfant de Jean Gabin, sa fille ou son petit fils qui trainent sur le plateau de Drucker; ou bien un acteur diras avec un regard pénétré et une voix rocailleuse: « t’as de beau yeux, tu sais », ou bien ça pourrais être la rediffusion de « la bête humaine »… c’est Gabin day… »
Pourquoi écrivez-vous ?
Beckett : « Bon qu’à cela. »
Blanchot « Ecrire, c’est se livrer à la fascination de l’absence de temps. »
Bernhard : « J’écris car beaucoup de choses me sont désagréables. »
Et vous pourquoi, écrivez-vous aussi ?
– Acheter du feutre pour les pieds de mes fauteuils qui rayent mon parquet
– Enduire mon parquet d’un mélange d’huile de lin et d’essence de thérébentine (salon + bureau)
– Lancer une machine de blanc (serviettes, torchons, draps…)
– Changer les draps (ça commence à faire longtemps)
– Trouver une hache de poche (avec un manche en bois, c’est plus rustique -> Bricorama.)
– Prendre rendez-vous avec la victime
– Te chercher à la gare
– Présenter mon travail à Avril.exe (je sais même pas ce que c’est que ce truc)
– Aller à un apéro surprise (si il est confirmé)
– Rentrer
– Te faire l’amour toute la nuit durant (pas trop quand même, parce que dimanche j’ai du boulot)
Je m’aime, je m’aime, je m’aime, je m’aime, je m’aime, je m’aime, je m’aime, je m’aime, je m’aime, je m’aime, je m’aime, je m’aime, je m’aime, je m’aime, je m’aime… « Ouf, j’avais tellement besoin de le dire.« |

des fourmis électriques courent dans tous les sens
il brise le grand tabou ! il montre l’interface !
le petit univers de cristal
s’effondre sans se presser
alors que le cube opalescent
rayonne et flotte sur toutes les terres connues
Gémeaux
Le 3 Avril
Vos problèmes matériels et professionnels trouveront leur aboutissement ce jeudi, ne perdez pas espoir
Coté coeur, aujourd’hui est une journée interessante, une rencontre est possible si vous vous laissez guider par votre instinct
Santé : attention à l’abus d’excitants, mangez de la viande blanche
En exclusivité sur Tourgueniev : J’ai couché avec un bloggeur, c’est moi.
Quand je vous dis que je sais pas écrire, que j’ai que de la gueule et qu’en plus j’ai aucune inspiration ni imagination : 1 post nul en une semaine…
Je vais bientôt fermer, d’ailleurs, j’ai autre chose à foutre…
Fumer des Stimulants parce que le four à micro-ondes coulisse,
mais avec la noix de coco de Patrick «Le Trou» Eudeline qui fait des volutes de fumée,
sauf le dimanche,
si tu veux aller à Plougastèle,
toute cette salle de tortures là,
putain mes ces mecs là,
attends moi j’fais du neurotransmetteur hein,
on va faire liquéfier les vergetures à la prothèse mammaire,
prod’ aux Eaux stagnantes,
il monte en puissance,
Julie a tout compris de la catin contemporaine,
Garance vend car garance Dor,
Garance «non merci pas de café» Gore,
D’habitude il est trop à rapiécer des bombes anti-moustiques à tout le tintamarre,
Moi ce qui me réjouis dans cette combinette,
Vous trépanez vraiment un farfadet,
C’est une call girl t’inquiètes!
(Rires)…
Fumer des Cumulo-nimbus parce que le rabbin coulisse,
mais avec la photocopie de Patrick «Il est frais, mon poisson !» Eudeline qui fait des vieilles peaux,
sauf le dimanche,
si tu veux aller à Plougastèle,
toute cette marée noire là,
putain mes ces mecs là,
attends moi j’fais de l’archéoptéryx hein,
on va faire fouetter les noix de cajou à la moulinette,
prod’ aux Machines à laver,
il monte en puissance,
Julie a tout compris de la mandale contemporaine,
Garance vend car garance Dor,
Garance «OrlyVal» Gore,
D’habitude il est trop à exploiter des patates aux herbes à tout le steack-frites,
Moi ce qui me réjouis dans cette crise cardiaque,
Vous enfoncez vraiment un vilebrequin,
C’est une semelle t’inquiètes!
(Rires)…
Fumer des Casques bleus parce que le troquet parisien coulisse,
mais avec la mangrove de Patrick «Dans ta Face» Eudeline qui fait des troupes héliportées,
sauf le dimanche,
si tu veux aller à Plougastèle,
toute cette jardinière de légumes là,
putain mes ces mecs là,
attends moi j’fais du bras d’honneur hein,
on va faire irradier les soeurs siamoises à la viande avariée,
prod’ aux Grosses motos,
il monte en puissance,
Julie a tout compris de la flatulence contemporaine,
Garance vend car garance Dor,
Garance «Total Look» Gore,
D’habitude il est trop à laper des vahinés à tout le scooter des mers,
Moi ce qui me réjouis dans cette pigne de pin,
Vous bouillez vraiment un catafalque,
C’est une chatte t’inquiètes!
(Rires)…
quelques morceaux de toi, je les mange au fur et à mesure,
à ce train là
je t’aurais fini au début du mois de juin
tu me manqueras
LeS rATs et Les pIGEonS La mEMe niCHe ecHO_loGE_hiCCCK ???
PuTAin, j’AvAis meME paS reMARqUE que Le me_trOP etaIT bliNDE dE pigeoNS a pLUme .
Une bombe!
![]() |
|
la signification le sens la réalité de ce truc là est si pénible parfois à appréhender que l’on se demande si l’on doit ou même si l’on peut se permettre de continuer sans être de vils profiteurs ou si même il est possible de ne pas devenir un jour l’image elle-même plutôt que la réflexion maline et dénonciatrice de cette image en question en clair se retrouver sur la cible et recevoir les couteaux et quitter le rôle du beau ernesto zappa le lanceur fou pour se retrouver dans la peau de la douce mais impudique zoé gravillon qui a tant à dissimuler aux yeux du monde comme par exemple ses compromission avec jonas janus le directeur du cirque nain qu’elle voit en secret afin de lui soutirer de l’argent et des caresses buccales.
|
jour 13
l’embryon de poulet continuait d’évoluer,
le traitement opéré semblait néanmoins avoir désorganisé son système d’orientation et de diffèrenciation,
on percevait en l’amplifiant le son de deux coeurs distincts,
l’un très lent et très fort
qui semblait imperturbable
et l’autre plus petit et sujet à de brusques accélérations
#9
Il soupçonne ses réactions dites instinctives
de n’être pas spontanées.
« Est-ce que je ne simule pas l’enthousiasme quand C.
par exemple me téléphone ? »
Mais il ne s’en rend pas compte. Peut-on retrouver l’âme véritable ?
Il ne veut pas s’y essayer car il a peur de la découvrir noire,
pleine de haine et d’indifférence.
« Si ça se trouve, la voix de C. impromptue dans une journée
consacrée à la méditation solitaire me pèse atrocement ;
l’entendre ne provoque aucun amour, pire encore : aucune reconnaissance.
Mais je n’accepte cette part de méchanceté. Je dois faire des efforts de bonté».
Le héros, comme on le voit, est clivé. Sa tâche : éteindre
une à une les fausses paroles, les gestes empruntés.
Une bataille au cœur du langage, face aux corps. N’être plus qu’un.

J’aurais eu envie
d’être un loup
pour le style
un lion
pour la force
un toucan
pour les couleurs
mais je suis une grenouille
l’avantage c’est qu’on peut passer dans les conduits
pour aller visiter
les jeunes filles la nuit
et (avec un peu de tchatche pendant qu’elles sont à moitié endormies, on peut tenter de) se faire passer pour le prince charmant
(et puis pour les couleurs on peut s’arranger)
Les pages d’un héros (extraits)
Il y a donc le héros : créature inconnue, burlesque et tragique.
(Quoique je n’ai pu explorer que le second registre.)
Il y a le rapporteur : celui qui espionne faits gestes et pensées du
héros. Homme au niveau juste du réel : vivant.
Et l’autre, le scribe, l’homme du bureau dont je suis peut-etre le plus proche.
Il écrit.Une voix extérieure me coupe à l’instant :
» Vos complexités ne sont-t-elles pas exagérées ? »
Dois-je répondre à toutes les objections ?
Nous sommes inquiets.
Et d’ailleurs qui etes-vous ?
Les critiques.
Les hommes au niveau juste de la raison. Nous nous marrons, c’est tout.
« Avide de renouer avec le dehors, sa folie est d’attendre des réponses à
des messages qu’il n’envoie plus. » L.R. des Forêts.
L’amour n’est qu’un jeu
rien de suffisant
pas d’enjeu
juste de quoi sourire
et soupirer en serrant qui de droit
au creux de ses bras
Caché, cachotier, casque, cascadeur, casseur de hype, casse-pied, casse-dalle, cassis, caca, castagnette, calmant, couchée…
Avoir le don de converser dans les airs…
Lorsque l’esprit s’envole
Comme une bestiole
Il peut le faire
Merci, Trondheim, ce héros
Matin.
Se laver les cheveux avec Mixa bébé et sentir
à nouveau sur son crâne les doigts de sa maman, voilà
une sensation qui ne prête pas beaucoup à rire.
Fallait-il le dire ?
Le Cinquième Feu fait, une dernière fois, circuler le Sel blanc autor des Granules et le superflu, définitivement, peut être abandonné et jeté par l’artiste. |
Il y a un papillon chez moi que je n’arrive pas à déloger
Il vole partout, il papillonne quoi…
Ce qui m’embête c’est que s’il pouvait parler
Il trahirait tous mes secrets les plus honteux
Je suis un peu mal à l’aise maintenant
Un peu intimidée
Est-ce que c’est ça l’oppression?
« C’est un film en camera lenta, morcelé
et fragmentaire, qui s’est écrit à la
dérive des transmutations. » F.Y. Jeannet.
Après-midi.
Suites.
Recyclés
Quand j’étudiais à Arles,
Jacques Serena (écrivain de l’écurie Minuit,)
m’a dit qu’il copiait sans vergogne des phrases entières
d’autres livres, avec la fierté absurde d’une femme qui
se vanterait de tromper son mari.
(Quoi que Louis-René des Forêts l’aie fait aussi, mais ce ne sont
que des citations involontaires.)
Après-coup.
Ce qu’il a retenu d’une lecture à la surface de Nietzsche,
hier soir, entre 00h05 et 1h07 :
(Mots qu’il lui envie beaucoup :)
« Les amis de la vie. »
« Les êtres manqués. »
« Développe toutes tes facultés — cela signifie
développe l’anarchie ! Péris. »
Portrait.
Se comporte dans les livres comme dans la vie :
en espion, il attend son heure.
Programme.
Reprise d’un texte.
RDV avec A. (au soleil, malgrè le vent frais.)
Tri des images récemment faites.
Gênes :
Les soi disants cultivés
Les médiocres complaisants.
Lecture.
Valeria Piazza :
« Le journal est ainsi par essence le lieu dans
lequel l’appropriation de soi se rend chaque fois
potentielle et pourtant impossible. »
Mail
F.Y J. (écrivain exilé à N.Y) :
» Bon courage aussi pour vos cours de photo et vos différentes
activités liées à cela. C’est toujours difficile, en effet,
et cela a représenté l’une de mes principales épreuves,
de délaisser ou mettre entre parenthèses la
vie quotidienne, professionnelle, pour écrire, lorsque l’impératif
survient. Il y faut bien de la persévérance.
Mon livre en cours avance cahin-caha, mais sa masse de brouillons me
contraint à ne pas renoncer. Je cite souvent cette phrase de Pavel
Filonov, que je vous ai peut-être déjà recopiée :
« Lorsqu’on éprouve de la difficulté à faire quelque chose,
il faut continuer : c’est en trouvant la solution qu’on fait vraiment qq chose de nouveau. »
Samedi soir, ce Héros
deux clarinettes
et trois minutes à Bougival
tout près de la ville
des rues implicites
et des jardins obscurs