a b s o l u t e m o d e r n a r t

Servez-vous !

ce fut une orgie

Yeah !

dors, mon pépère

“…v’là qu’elle nous fait « coucou les gens ! » …”

Casseur d’ambiancE !

« … Si, de tes lèvres avancées
Tu prépares pour l’apaiser,
À l’habitant de mes pensées
La nourriture d’un baiser,
Ne hâte pas cet acte tendre … »
Paul Valéry

Le piment |ultime médicament| ?

Envie de rêver ?

le récalcitrant : sans commmentaire.
Fuck

Gasp !

[Post par procuration]

 ou 

Miss Jones

[/Post par procuration]

Mais non, je ne profite pas de mes privilèges de Tourgueniste pour faire le malin avec nos jeunes lectrices. Non, non.

bon, vos paupières sont lourdes alors ou quoi ?

Espagnolette.

Le meilleur des mondes

Raymond et Raymond sont dans un bateau …

Follow me home little girl

cinq sens

Quelque chose à ajouter ?
Quelque chose à ajouter ?

Avant, j’ouvrais grand les yeux.
Maintenant, moins.

culte de la personnalité - menton volontaire - oeil vif - regard intelligent - un battant

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Ca me prend à la gorge, j’ai envie, j’ai besoin de hurler mais bon sang ! rien ne sort, ça m’étouffe quelques secondes puis ça redescend très violemment dans mon ventre, ça me serre les intestins, je me tors puis ça remonte encore, encore et encore jusqu’à en avoir la nausée. Je dois fermer les yeux pour oublier. J’arrête de respirer pour ne plus penser. Illusion. Je sais que c’est encore là. Ca reviendra. Ca somnole au fond de moi mais c’est prêt à bondir, à rugir, à déchirer mes entrailles pour gagner la surface. J’inspire profondément, yeux clos, muscles relâchés. Effort inhumain. Des larmes me montent au yeux, je déglutis péniblement.
Respire. Respire.
Respire.

Je suis très calme et derrière mes paupières douloureusement sèches je ne vois plus que des phosphènes muticolores, manège kaléïdoscopique. J’apprécie ces instants de régression. Video. Je ne vois plus qu’un espace imaginaire et mouvant. Quelques mots … Quelques notes … Déjà les souvenirs affluent. Les images se superposent. Peu à peu tout reprend forme et ternit.
J’ouvre les yeux..
Tu ne m’as pas encore eu.

allez les filles !

« I’ll be wrapped around your fiiiiinger »

Manipulation

Communication breakdown
Communication breakdown, it’s always the same …

Remontez le temps depuis le futur …

idiosyncrasie – scarification – régression

mais quand vous marchez dans la rue vous regardez les gens ?
je veux dire dans les yeux, ceux que vous croisez vous les voyez ? cherchez-vous leur regard ?
quand j’avance certains jours
– surtout si j’ai rêvé de toi, si tu m’as ignoré, si j’ai eu mal aux tripes d’être anéanti –
j’ai peur de voir dans leur yeux la difformité
mon âme
je crains que mes jambes ne s’emmêlent, j’ai le vertige
je ne croise que leurs yeux
aimantés
globuleux
curieux
ça me porte au cœur, j’ai un peu peur
vous voyez mon cœur, n’est-ce pas ? oui c’est ce qui déforme ma poitrine, je ne sais pas comment ça se fait
non ils ne me voient pas, chacun est son propre centre du monde
et je ne sens que ton absence et ton indifférence et rien n’importe plus que ma belle douleur
je la chéris comme une trace de toi, je veux des cicatrices
parfois j’ai mal à la tête
très mal
à ramper sur le carrelage pour chercher la faîcheur
à frapper le sol de mon cerveau nu,
avez-vous remarqué comme ma boîte cranienne a rétréci ? ça ne peut-être que cela
ces maux de tête
non ?
parle-moi
je veux encore sentir ta peau
je veux encore sentir ta peux
je veux encore sentir ta peau

« Que cette chanson je l’ai écrite pour mon pote Rachid, qu’est mort, dans un troquet pourri à Bastille, ébouillanté par son chocolat … »

Le temps ne fait rien à l’affaire …

Alors vous dormez finalement ?

Quoi Quoi Quoi ???

Mea culpa
C’est ma faute
C’est ma faute
C’est ma très grande faute d’orthographe
Voilà comment j’écris
Giraffe.
Jacques Prévert. Histoires

Rejoignez la dissidence !
NON à l'automatisation du héros qui fait perdre son identité à Tourgueniev, OUI au héros à la main !

J'vous avais prévenus, bande de p'tits branleurs

Non

J’ai pas envie de m’appeler Ton string, Mon gode et encore moins Épisiotomie, c’est tout. Même par hasard.

14:13

Debout ! cours cours cours cours cours !
STOP.
Regarde.
Écoute.
Fronce les sourcils.
Inspire.
Repars !
cours cours cours cours !!!
Sauuuuuuuute ! tends les bras ! penche-toi …
Tu t’ENVOLES !
Ne crains rien. Laisse faire.
Plane un peu
………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………..
Bien. Redescends sur ce courant.
Vire à gauche. Ferme les yeux tu vas sentir l’air qui te porte.
Allez. Pose-toi là.
Fin de la première leçon.
(C’est vrai, c’était surtout une prise de contact.)

Après quelques gorgées, la culpabilité qui lui avait timidement noué la gorge à son arrivée le quitta pour de bon et ce fut le soulagement, le début de l’abandon. Ses doigts jaunis étreignaient fébrilement un mégot informe. Sa langue pâteuse l’embarrassait, il voulait être ailleurs …

Midnight Ocloque

Supercherie.

oradmirateur

L’édition originale du présent sité a été tirée à cent soixante-neuf exemplaires, à savoir : deux exemplaires sur papier Whatman, spécialement imprimés pour les frères Tourgueniev, neuf exemplaires sur papier de Chine, dont sept exemplaires numérotés de I à VIII et deux exemplaires hors commerce marqués A et B, vingt-trois exemplaires sur vélin de Hollande, dont vingt exemplaires numérotés de VIII à XXVII et trois exemplaires hors commerce marqués C à E ; et cent trente-six exemplaires sur vélin pur fil des papeteries Lafuma Navarre, dont cent numérotés de 1 à 100 et trente six exemplaires hors commerce numérotés de 101 à 136.

Coment vous dire ?
J’ai vu ce mur et tout de suite il m’a plu … alors avec ma tête j’ai commencé à taper dessus. D’abord très doucement pour chauffer un peu les muscles et les tissus, puis de plus en plus fort. Mais très progressivement. Au bout d’un quart d’heure il y avait à 175 cm sol une belle tache sanguinolente je ne sentais plus du tout les morceaux de ciment et de parpaing qui s’incrustaient dans mon front. J’avais juste un peu mal au cœur, mais ça, j’avais l’habitude.

abymé

On se connaît ?

Un Tourgueniste dit : « Tous les Tourguenistes sont des menteurs. » …

La Belle deeeeeeeee Cadix a les seins tout pointus
La Belle deeeee Cadix elle est drolement dodue.
(tchikitchikitchik aye aye aye)

Yahoo! Mail
Problème de récupération de vos données personnelles. Please réessayez later.

Les pommes d'or du soleil

Lost in translation

Ils étaient, ceci deviennent, de celui-là avec moi a commencé, mais la mémoire les nuits oublie, si la veine de l’intérieur de l’intérieur de la vie le transformait du travail en enregistrements d’appositive des lumières.

« La mort est toujours un pays où l’on va en perdant la mémoire. »
< Arte – 00:40 >

J’aime bien offrir des fleurs.

C’est un vieux monsieur pas très honorable. Dans son oeil inquiet brille l’assurance de celui qui sait qu’ils parleront. Creusé de respectables rides il inspire la confiance en ceux que l’âge, paraît-il, assagit, mais les deux points noirs au fond de leurs orbites démentent et s’embusquent.
Il parviendra à ses fins car le prix ne lui importe pas. Il y parviendra car nos vies ne comptent pas. Nous tomberons. Sans échappatoire. Et nul besoin de se souiller de notre sang. Ils se bousculent pour le servir. Je tomberai demain. Demain il te demandera de nous trahir. Tu trahiras aussi. Et tous les autres jusqu’à ce qu’il n’y ait plus personne à trahir.
Alors il sera repu et pourra s’étendre quelques heures sous le soleil, apaisée sa soif de sang. Il s’étendra sur le tapis puant de nos corps déchirés, nettoiera ses crocs acérés en rêvant à son prochain repas.

Le visage dans les nuages

on s’est assis dans l’herbe et tu as levé la tête vers la grande ceinture d’astéroïde, l’air triste
tu m’as dit
– je crois qu’on va avoir un bébé
– j’ai dit hein ? quoi ? tu plaisantes ?
tu as eu un peu peur mais j’étais fou de joie
je t’ai invitée a dîner dans le Grand Restaurant antigravité et on a fini la soirée en faisant l’amour comme des fous
épuisés on a regardé partir les grands destroyers pour la Zone E, où les combats faisaient rage
un jour notre fils commandera un de ces vaisseaux t’ai je dit d’un air prophétique

À la Saint Sylvestre, nique le webmestre !

Envie ce soir de t’écrire naisement « je t’aime ».

Je t’aime car tu es belle.

Je t’aime car tu sens bon.

Je t’aime quand tu es colère.

Je t’aime quand tu m’en veux.

Je t’aime quand tu allumes ta cigarette.

Je t’aime quand tu dis des bêtises.

Je t’aime quand tu fais la révolution.

Je t’aime quand tu dances.

Je t’aime quand tu as peur.

Je t’aime quand tu es triste.

Je t’aime quand tu souris.

Je t’aime dans la lumière du ponant.

Je t’aime surexposée.

Je t’aime.



Tu sais tout cela.

Depuis longtemps déjà.

Comment peux-tu encore me supporter ?

Soyez callypiges !

« Cliquez avec le bouton droit pour voir comment vous pouvez interagir avec cette personne. »

Ça, ça me fait vraiment flipper :

bouton

PsychoMiX
Farfadet mongol sans gravité, bonheur, pour vivre un mot l’image manque. Couillonne ! 1917 : foirade.
Où es-tu ? En souvenir de toi tu vas voir le soleil. Tu m’avais promis tes ailes, ton cul, Bianca ! Trust la souris Klingon. On va nous ranger le désir du temps et partager le butin. Les fleurs en lettres rouges, les pieds nus, tes lèvres … la paix.
C’est fini. Je frappe.
J’aime.
?
Le cœur des enfants chasseurs !
Ils auraient aimé un toucan, Igor. Don’t care. Amour, fictions, continent ? La mer, contre toi, was crying. I won’t forget ma vie. La torpeur nauséeuse de la réalité au bord des lèvres filantes : quelques chattes. Dans Elle, le secret assez triste sonne amour.
Réveillez-vous ! Chrétien.
(Merci à Igor Tourgueniev, Nicolaï Tourgueniev, M. Fox, — Zan, n letresor, Don Marmitto, Amaury da Cunha, orad v, Gwendoline Klingon et jeanba 3000 pour leur participation hasardeuse)

Est-ce bien raisonnable ???

« Tout l’amour du monde

Tu as besoin d’être refroidie, bébé, je ne suis pas idiot.

Je vais te renvoyer aux études.

Enfoncée bien profond, bébé tu en as besoin.

Je vais te donner mon amour… »

La fin des haricots

Parfois du haut de mes yeux j’aperçois mes mains et il me semble qu’elles ne sont pas miennes. Un doute alors s’immisce et du coin de l’oeil j’observe le bras puis le torse, les jambes : suis-je bien moi là-dedans ? Ce corps chétif, obscène, est-ce bien le mien ? Il me faut bouger le pouce, remuer le pied pour comprendre que décidément oui, c’est bien moi qui ai pensé ces mouvements.

Vient la déception, la triste prise de conscience : ce corps est bien le mien.

Après un combat titanesque avec ma conscience, je reviens sur ce dernier post et annule honteusement cette proposition spéculatrice/tive/nte.
Veuillez donc ne pas tenir compte de ce précédent message. IL N’Y A PAS D’EMPLACEMENT À VENDRE !

« Le long du dos de la girafe je glisse »

Impériale, elle l’ignore superbement. Ce petit jeu l’amuse et lui aussi peut-être. Parfois, il jette un œil mélancolique à ses sandales dorées, il admire son pied dénudé. Elle croise et décroise les jambes, l’air absent et son parfum vole autour d’elle comme un piège narcotique. Sa poitrine se serre. C’est un peu de cette douleur qu’il voudrait garder d’elle …

PLUS DE SEXE !!

« – Vous avez toujours les yeux exorbités, comme ça ?
– Heu … »

un nounours pour toi

Connaissez-vous ces nuages ?

Je veux aller où l’air est plus doux

Change your life. Start smiling.

Dans l’église.
Vous vous êtes agenouillée. Vous étiez charmante dans la lumière du ponant.
Je vous aimerai toujours.

besoin d'un ravalement ?

arbremain

Souris-moi !

Je cite : « Les branleurs vont enfin pouvoir se la couler douce. »

Speziell Widmet Igor und Inconnue, das im Nebel gekreuzt wurde
Toujours ce canal, ce cher canal. Nos reflets dans ses eaux troubles, nos silhouettes tremblantes, verdâtres,
Les cris du métro, son fatras métallique, grisâtre,
Toujours ce canal, ce cher vieux canal
S’y promener le long, y marcher sans but, les yeux dans les reflets du ciel,
Le défilé des façades, cheminées, antennes,
Ce cher vieux canal
Clapotis, clapotas
Il fait gris
Il fait froid
Les mots se condensent devant ta bouche, tu fais des nuages en parlant
Clapotis
Je jette un caillou dans l’eau, pour faire bonne mesure
Clapotas
Je suis ton sillage en t’écoutant
Tu me dis que ça suffit comme ça
Tu me dis que je ne te prends plus dans mes bras
Et caetera
Tu me dis que tu as froid
Qu’il vaut mieux qu’on arrête là
Et puis tu t’en vas
Alors PLOUF !
Puisque c’est comme ça.

« C’est toujours le cordonnier le plus mal chaussé. »

– Tourgueniev, notre héros
Montre-toi si t’es pas une grosse supercherie !!
Il paraît que tu te prononces avec un « é », parce que tu aurais des origines gnagnagna … Alors je vais te dire espèce d’emmerdeur : vu l’heure qu’il est ton « é » tu sais où tu peux te le carrer. Avec « ER » à la fin.
Et maintenant j’aimerais dormir.

– t’es énervé ou quoi ?!
– nan, nan c’est comme ça histoire de pas rester zen tout le temps quoi. Je casse mon image.
– ah oué ? ‘tain, t’as de ces idées des fois ! je t’admire, tu sais.
– oué, oué, ça va. Allez, bonne nuit.

Come on you raver, you seer of visions, come on you painter, you piper, you prisoner, and shine !

J’aime tant que tu te glisses dans mes rêves ! Tu y glisses une jambe autour de moi, tu y poses la main sur mon torse. Je sens ton parfum.
Alors je peux me lever le cœur léger.

bvbh,k;::!;:,nb bn;:nj,hbv n;:n,jhbvgcbg:!ùm;,b:!ùmµ b

First shots

REPORTAGE

A 105 CM

do e mo la ma n

i y a b e c s éc il e t q i m p us e un p u p r out – le m ins di c ète t me dé or s par ois la m itié du vi age – m is j squ’ ci ce n’est pas i dol re à arr cher.
C’est tou ours des qu stions et je s is là je ne uis pa fâché, non, non pas la tête, je ne suis pas malh ur ux, je s is bien qu’on me rt partout, très viola ment, et la misère aussi, je sais tout cela, mais quoi ?
to t va bi n, je suis t ujo rs moi-même, non ?
j’ai un p u moins de cheveux po r te plaire, je l’a mets, et ce ve tre : il y a ce creux, là, dessous les côtes, cette dép ession surp enante, ma s il suffit d’un peu d’ex rcice et c’est comme une lig e qu’on veux garder
aha … cette obsee sion
mais n n! c’est ta faço de me reg rder ta façon d ne plus me voir, co me si on ne s’étai jamais con us alors que pré isé nt nous ne no s sommes jam is connus, alors po rqu i pe ses-tu le contra re ? tu s is je n’ai pas envie d’e trer dans ton lab rinthe
mais … il n’y a pas de lab rinthe, seulement toi,
parfois j’ai du mal
c’est bi n ce q e tu veux ? ce que tu ve x ? c’est bien ce q e tu ve x ?

Belote, rebelote et dix de der !!! (j’ai eu une super donne, faut dire)

« connard !
petit pédé !
baltringue va !
tu la ramènes en plus ?!
baltringue là !
connard !
p’tit pédé !
ouais ouais c’est ça
descend de ta caisse !
(…) »
Je ne suis pas fier mais j’ai finalement laissé couler puis ruminé quelques heures ce dialogue à sens unique issu d’une mauvaise application du code de la route, qui n’était pas de mon fait, et d’une non moins mauvaise application du code de bonne conduite, que je suis cependant parvenu à respecter.
Alors, s’il vous plait !
Partageons cet instant de défoulement.

Je tourne en rond


(merci M.C. Escher)

Encore amoureux d’Orad.

Tourgueniev ce héros, c’est la preuve écrite
que des caleçons bien remplis
peuvent aussi contenir des coeur purs.
(ça vaut aussi pour les filles, mais c’est déjà écrit)

Pfff

Âne ma sœur âne.

Un homme entra : Brasserie l’Avenir. Ceux qui s’échouaient là n’avaient plus belle allure. Sur le zinc émoussé ne se réfléchissait plus qu’une vague tâche jaunâtre, l’image de leur demi siroté aux hasard des trop longues après-midi d’errances éthyliques.
L’homme qui venait d’entrer avait la face brunâtre et couperosée, le ventre ballonné d’un assidu, d’un habitué, d’un condamné. Ayant jeté un furtif mais perspicace coup d’œil à la ronde pour s’assurer de la présence de tout son petit univers, il s’accouda au comptoir et revêtit sa gangue de souvenirs …

Brave New World

« On n’est pas bien, ici ? Décontracté du gland ? »

beahhh

sploch

« là ici »