oui-oui et la belle petite voiture rouge
j’ai une nouvelle voiture avec laquelle je me sens bien, vraiment un homme, elle ne roule pas si vite que ça mais elle est rouge et ça ça compte pour moi le rouge c’est une jolie couleur et quand j’écrase un gamin ça fais moins de frais. Pas bète, non ?
Judaïsme n.m : Religion des Juifs, fondée sur la croyance en un Dieu
unique, ce qui la distingue de la religion chrétienne, qui s’appuie sur la foi
en un seul Dieu, et plus encore de la religion musulmane, résolument
monothéiste.
j’ai dansé dans paris la nuit
fait l’équilibriste sur des toboggans
évité de m’émouvoir
dormi dans des bras improbables
étreintes éthyliques
effacé de ma mémoire
les détails
évité de m’émouvoir
passé un dimanche
sur des toboggans
très très hauts
Tom, get your plane right on time.
I know your part’ll go fine.
Fly down to Mexico.
Da-n-da-da-n-da-n-da-da and here I am,
The only living boy in New York.
I get the news I need on the weather report.
I can gather all the news I need on the weather report.
Hey, I’ve got nothing to do today but smile.
Da-n-da-da-n-da-da-n-da-da here I am
The only living boy in New York
Half of the time we’re gone but we don’t know where,
And we don’t know where.
Tom, get your plane right on time.
I know you’ve been eager to fly now.
Hey let your honesty shine, shine, shine
Da-n-da-da-n-da-da-n-da-da
Like it shines on me
The only living boy in New York,
The only living boy in New York.
tu étais toujours sur mon abdomen
lorsque je t’ai dévoré la tete
oui ! j’ai eu l’extase ultime
et je t’aimais
comme nul autre
que toi et moi
ne peuvent imaginer.
La faute de goût du jour d’avant :
l’Espace Ricard.
Un endroit Tourgueniste s’il en est pour peu qu’on accorde quelque importance à
l’Architecture Allemande et qui pourtant se fourvoie dans des impasses aux allures
de baisse de forme.
On se serait contenté de ce diaporama sans images s’il y avait eu moins de mots inutiles.
Seulement voilà :
Huit heures moins le quart, c’est l’heure du Ricard…. du moins c’est ce que dit la maxime.
En fait non! et idem pour huit heures et quart et neuf heures moins le quart.
Neuf heures moins le quart devient donc l’heure du pétard.
Seulement voilà :
En essayant d’aller aux toilettes pour pisser le pastis qu’on à toujours pas bu, histoire de
donner un coup de pouce au destin, on est directement choqué par les effluves du parfum
d’ambiance : de l’anis? non, de la mangue!
Des astres!
Buvons pour oublier…
Le Diable est plus terrifiant que tout ce qu’on peut imaginer.
Oui, je crois à l’enfer, à la souffrance.
Je vais te raconter l’histoire de la fete des morts.[…]
…Un jour, un navire vint secourir le pélerin et le liberer de cette ile effroyable.
De retour à Venise, il alla voir Saint Odilio, un très grand homme, très pieux, de cette époque lointaine.
Le pélerin lui expliqua qu’il suffisait d’une prière pour liberer une ame des tourments du purgatoire.
Le Saint ordonna que, désormais, un jour par an soit réservé à de telles prières.
Voilà pourquoi les catholiques sont à San Michele cette nuit.

j’ai prié les esprits
mais ils ne veulent plus me proteger.
ils disent que je n’ai plus de magie,
que mon ame est transparente,
ils disent que sans amour on est rien
et
que je ne suis rien.
je n’ai plus de plaisirs, plus de sensations réelles,
mon existence est parfois remise en question
par mes pairs…
alors j’attendrai la pluie
qui lave les plaies
j’attendrai l’orage
et quand sortent les loups
j’irai trouver les mirages
et courir comme un fou.
1 Foiradeje n’aime pas ce texte
longtemps cru que l’écriture n’avait rien a voir avec eux
alors je tu nous ils
remplacent
le mot
par l’image
Je regarde ton image
Je ne la décris pas
Je ne l’écris pas
Je désamorce la bombe
et n’aime pas ce texte.
2 Autrement dit je l’aime un peu plus
Trouver mes amis un vrai problème et vite, si possible
sans aucune solution pas de miracle, surtout pas, au-dessus de nous
rien ne compte, pas encore le poids des autres lettres intimidantes, je
jouis parfois d’une liberté quasi musicale qui se gausse du sens
dont je connais jamais la progression, si, en relisant, oui mais plus tard,
quand enfin je suis passé a autre chose, au piano par exemple
sur lequel je dessine des majuscules sur chaque touche et je suis heureux
good night. (Joué aria des variations goldberg devant un chat et le portrait
de l’océan, muet comme une CARPE & comme BACH).
Ce soir, je sors, cela vaut mieux pour vous, femmes inconnues.
PsychoMiX
Farfadet mongol sans gravité, bonheur, pour vivre un attentat : l’image manque. Couillonne ! 1917 : foirade.
Où es-tu ? En souvenir de toi tu vas voir le poulpe 45. Tu m’avais promis tes vergetures, ton contremaître médical, Bianca ! Trust l’hépatite c Klingon. On va nous mastiquer, emplafonner du temps et partager le croque-mitaine. Les sans-culottes en lettres rouges, les hospices téléphoniques nus, tes grenouilles vertes … la couille périodique.
C’est fini. Je frappe.
J’aime.
aimer ?
Le mètre ruban des biceps chasseurs !
Ils auraient aimé un grillage, Igor.
Don’t care, tu t’en fiches. Amour, fictions, continent ? La grille de mots croisés, contre toi, was crying. I won’t forget ma selle de vélo de vieux machin pourri,

never
On va dépénaliser ce soir
J’ ai un bistouri, il m’raconte des belles mécaniques,
des burettes d’huile lui disent : “ Tu viens,
on va… Revêtir ce soir.”
j’ai perdu beaucoup de sang
lors de l’attaque
des cavaliers de l’Est,
j’espere que vous pourrez continuer sans moi.
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Une petite pensée émue pour Nicolaï qui arpente en ce moment la rue Saint Denis afin de recueillir les témoignages des tenanciers de Sex-Shop à propos de la crise irakienne et de la grogne des enseignants. Carlos Castaneda serait fier de toi mon frère. Que le dieu à tête d’éléphant te garde des dangers qui te menacent.
on a trouvé une petite fioriture typographique, on
est content, on l’utilise un peu, sans gravité ni brouillage
Surprenant d’être sur un pont au-dessus de l’eau. Le courant est si fort qu’on se croirait emporté; vers le trou (la gorge du diable)/. En rentrant à l’hôtel on s’aperçoit que plein de petits bouts de plantes se sont collés à nos chaussures. On pleure; d’émotion. Regarde-moi dans les yeux, c’est la dernière fois que je te vois.
Demain on recommencera la litanie; tu te souviens? On est sur le pont au-dessus de l’eau, c’est aussi nul que de regarder les étoiles allongés dans l’herbe. J’ai envie, de me tourner sur le côté pour t’enlacer. Mais c’est plus difficile qu’en images (toi, à enlacer, comment faire, comment passer mon bras sous ton dos, entre l’herbe et toi). Sur le côté, l’air se remplit de vibrations violentes, que je ne sens même plus. Je ne peux pas me touner.
regarde moi bien —je suis new yorkaise /// tes yeux océans /// mes ongles d’or
L’effroi de ma journée
Comment G.E., fonctionnaire nidoreux, peut-il sentir aussi fort la sueur de bon matin en automne?
Parfois sa nauséabonderie est recouverte par l’odeur écoeurante de son cigarillo.
Alors j’attends avec une impatience nauséeuse le moment où sa transpiration reprendra le dessus.
Il y a ceux qui sont sincères et c’est pour ça qu’il vont draguer votre moitié dans les soirées sans vous dire qu’elle mérite mieux que vous
Il y a ceux qui sont tolérants sauf avec ceux qui ne sont pas d’accord avec eux
Il y a ceux qui prétendent aimer les filles mais ils les trouvent idiotes
Il y a ceux qui sont fragiles mais ils font semblant d’être forts, alors quand vous les aidez vous tombez
Il y a ceux qui adorent critiquer chez les autres ce qu’ils aiment chez eux
Il y a ceux qui se transforment sans le voir (ça crée des dissidences dans la communication)
Mon préféré c’est W. quand il a compris en mettant une chaussette sur sa tête que sa philosophie à l’envers fonctionnait mieux
Ou C. qui n’a jamais fait savoir si oui ou non il avait pris ce putain de transsibérien
Ou C. détesté par tous parce qu’il écrivait ce que des milliers de rats pensaient en secret (le dégoût humain)
Ou R. qui s’est tiré pour vendre des armes et crever bouffé par une gangrène qu’il avait tout fait pour mériter
Ou M. qui donnait sa fortune (43 francs 50) à des grues démaquillées
Mais pour me tuer moi pauvre cafard il suffit de me mentir
Je sais maintenant pourquoi K. se transforme un beau matin
Je ne sais pas bien si tout ça a du sens
Mais je rêve la nuit, transportée dans les mondes merveilleux de R. et C.
Dans les contes de fée nous sommes tous punis !
Mais il y a ceux qu’on ne connait pas bien encore et qui ne vous connaissent pas bien encore, et nous sommes tous beaux
en 1930 Heitor Villa -Lobos rentre au Brésil après avoir passé sept ans à Paris. Il écrit la première Bachiana Brasileira, dont le troisième mouvement est une fugue et s’appelle Conversa.
1ère voix:
répétitions, reprises, éther.
Des milliers d’oiseaux volent
Qui tirent vers le haut les gorges profondes
Qui installent la tension
Musique de chauve souris
De l’espoir d’un jour peut-être
2ème voix :
plus jeune, noyée entre l’aîné (à la fois le premier et le dernier) et la cantatrice, accompagnement semi-obscur. chute d’une larme, course pour rattraper la première et lui met ses pieds dans les pieds.
Ornement (sévérité de l’enfant)
Voix adolescente
Age nécessaire
Apporte ses tourments (prémisse des tourments de l’âge mûr) – je m’y reconnais
(je suis les pas de danse des plus savants que moi
les transforme parce que moi je ne les sais pas
les rajeunit et les aggrave à la fois.)
se joint aux vols pour tisser le drame entre les graves. Ajoute la folie à la noblesse de la douleur
se joint aux graves pour la mort
3ème voix :
jeune grave, inflexion de la connaissance qui n’écrase pas. Voix entourée de velours et de soie. Crème et amour. Elle sait qu’elle va mourir. Elle chante discrètement mais on l’entend toujours parce qu’elle émeut (mon punctum). Elle peut se joindre à n’importe laquelle des autres elle a l’indifférence du regard
elle avance elle est la première à désespérer
dans son désespoir il y a encore la vie
4ème voix :
noblesse on l’entend on l’attend elle fascine on en veut plus on n’en veut plus c’est elle qui tire vers le bas c’est elle qui installe les idées noires c’est elle qui fait désirer la mort d’un des personnages parce qu’elle arrive à nous faire croire que la mort c’est beau elle trouble les plus jeunes elle monte même parfois vers elles pour les tenter diable.
C’est elle qui résonne le plus longtemps et le plus profond et elle sait s’en servir
Elle rend la jeune fille amoureuse de la mort –envoûtante magicienne masculine
Elle se cache pour mieux empoisonner
Mais c’est elle qui signe la fin
il était fier d’affirmer qu’il pouvait faire du vrai avec du faux,
on n’a jamais vraiment trop su ce que ça pouvait bien signifier
mais je crois qu’on peut le voir comme ça,
un homme de formules,
difficile à saisir
et attachant à la fois.
Ode à la différence

Personne dans le monde
Ne marche du même pas
Et même si la Terre est ronde
On ne se rencontre pas
[Chorus]
Les apparences et les préférences
Ont trop d’importance
Acceptons les différences
C’est vrai, faut de tout tu sais
Faut de tout c’est vrai
Faut de tout pour faire un monde
Personne dans la vie ne choisit sa couleur
L’important c’est d’écouter son coeur
Si celui qui te paraît différent
Très bien, c’est le sien
Tu as le tien et j’ai le mien !
Alors donnons-nous la main
Personne dans le monde
Ne marche du même pas
Et même si la Terre est ronde
On ne se rencontre pas
[Chorus]
Ce qui compte dans la vie c’est le bonheur
Chacun de nous le trouve à son heure
Tu veux le partager
Alors c’est gagné
N’attends pas demain
Ici tout va pour le mieux
On pourra tous être heureux
*** Break musical ***
Personne dans le monde
Ne marche du même pas
Et même si la Terre est ronde
On ne se rencontre pas
[Chorus]
Faut de tout tu sais
Faut de tout c’est vrai
Oui c’est vrai tu sais
Faut de tout pour faire un monde
…
on était deux
puis trois
puis ils étaient deux
et moi un
…
perdus mes chaussettes avec des chats, une culotte blanche à triangle et un boxer short
la vie c’est qu’une série de pertes.
Kisses.
…
je voudrais avoir des nouvelles
comprendre
je ne sais pas quoi
aller me coucher
vite
oublier
…
Vous nourrissiez les chats
sur le plus petit des campo,
on ne voyait de vous que votre pardessus
aux motifs domino,
on devinait votre grace
et votre bienveillance,
meme de dos
et meme dans la pénombre.
je veux vous revoir
et c’est pourquoi j’arpente sans but
les ruelles de Venise
suivant discretement
des chats élégants et indociles,
esperant en vain,
qu’ils me conduisent
à votre domicile.
« Amour. Ce soir je préfère prier que sortir dans l’agitation. Je préfère chanter que manger. Tout ce temps où tu m’as tellement manqué, tout cela est passé, tout s’est dissous dans mon futur trop vaste pour te perdre. Me reviennent maintenant les années de douleur que nous avons traversées ensemble, que nous avons tissées ensemble. Je ne sais de toi ce qui me manque le plus, quand tu me montrais les dents ou quand je ne savais te dire combien je t’aimais. Maintenant je suis seule à pleurer, est-ce que ça en vaut bien la peine? Et pourtant ce soir, je vais prier. Je ne crois en rien, mais je me souviens: je t’aimais. Tous les autres maintenant je les choisis pour toi, ils ne m’aimeront pas, ils ne me quitteront pas. Pas de peine et pas d’autre amour. J’espère que tu ne viendras jamais visiter mes rêves. Tu es cautérisé dans ma plaie, tu ne partiras pas je le sais. Tu es la moitié de ma vie. Je n’ai jamais réussi à te recracher. Maintenant, tant pis, tous les souvenirs reviennent, ai-je assez dormi pour avoir la force de les revoir? Tu me manques, mais je voudrais ne jamais t’avoir vécu, ne pas avoir déjà tant de poids et d’amertume. Ce que tu as ravagé te dépasse.
Toi, tu ne penses plus, tu ne penses plus à moi, moi, tu es gravé dans mon cerveau, dans mon imaginaire, tu en es une pièce maîtresse. Injuste.
Amour. Ce soir, je vais prier. Je ne crois en rien, mais je me souviens, et tout cela vaut le coup de la communion, au moins avec moi-même. Je me pénétrerai au lieu de regarder vers le ciel, je sais où tu te trouves. Mon vampire, ma vie. Encore maintenant haine-amour. Je crois de temps en temps te reconnaître dans les yeux des clochards qui écrivent je t’aime sur les trottoirs ou des mecs bourrés ou de ceux qui sans raison me parlent dans la rue pour me dire que je suis belle qu’ils m’aiment et que ma vie m’attend. J’aimerais que ce soit ça mais tu es mon passé et tu ne peux espérer mon futur.
Je t’aime encore mais c’est si inutile. J’aimerais que ce soir le christ vienne s’allonger dans mon lit, m’ouvre ses bras blancs, qu’il m’accueille sur son cœur brûlant, qu’il reconnaisse ma peine, et qu’il ait pitié de moi. Je voudrais ce soir que le christ vienne me réconforter et me dise que ma vie a été si dure. Mais il n’existe pas et ce soir je vais prier. Je chanterai ma peine pour qu’aucun ange ne descende du ciel et j’écrirai des mots incompréhensibles dans le noir. Tous ce mots que jamais je n’ai pu prononcer.
Amour. Ce soir je vais prier. Et je dormirai en paix. Sans christ sans père sans dieu, sans amour. Draps blancs et avenir lumineux. Est-ce ma mort? Est-ce ma vie? Je prie déjà. »
Cette femme est devenue la plus heureuse des femmes que la terre ait jamais portée. Elle est encore vivante et elle a mille ans.
…
lundi
les gendarmes sont presque plus désagréables que les voleurs
eux au moins sont à ce qu’ils font
je garde le sourire
indubitablement
j’aime écouter shannon wright
je rêvasse
je tournicotte
Sylvain se marre
indubitablement
samedi
j’essaie d’expliquer le mot « émulation«
dimanche
on regarde le japonais fou manger de la bouffe pour chien
vendredi
on voit effectivement jaune
les gens vomissent dans les escaliers
on sourit
la tente nous tombe dessus
la semaine est sans dessous dessus
jeudi
vite
…
Recherché pour pré-tentatives de meurtre sur individu hispanophone
Individu potentiellement dangereux, en phase de pré-passage à l’acte
Prédilection pour les pré-crimes sanglants, pour les pré-armes blanches
Merci de communiquer au pre-politburo toute information concernant ce pré-suspect
Article 5 : Nul ne sera soumis à la torture, ni à des peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants.
www.fidh.imaginet.fr/communiq/fr28799.htm
Article 10 : Toute personne a droit, en pleine égalité, à ce que sa cause soit entendue équitablement et publiquement par un tribunal indépendant et impartial, qui décidera, soit de ses droits et obligations, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle.
libertyboy.free.fr/law/humanrights/france/2000/indexf.htm#ft
Article 19 : Tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit.
www.rsf.fr/article.php3?id_article=2690
www.lsijolie.net/
Article 9 : Nul ne peut être arbitrairement arrêté, détenu ou exilé.
hns.samizdat.net/article.php3?id_article=1592
www.rsf.org/article.php3?id_article=3234
Article 12 : Nul ne sera l’objet d’immixtions arbitraires dans sa vie privée, sa famille, son domicile ou sa correspondance, ni d’atteintes à son honneur et à sa réputation. Toute personne a droit à la protection de la loi contre de telles immixtions ou de telles atteintes.
www.enduring-freedoms.org/article.php3?id_article=333
Article 13 : Toute personne a le droit de circuler librement et de choisir sa résidence à l’intérieur d’un Etat. Toute personne a le droit de quitter tout pays, y compris le sien, et de revenir dans son pays.
www.liberation.com/page.php?Article=44715
www.ldh-france.org/actu_derniereheure.cfm?idactu=553
Article 23 : Toute personne a droit au travail, au libre choix de son travail, à des conditions équitables et satisfaisantes de travail et à la protection contre le chômage.
hns.samizdat.net/article.php3?id_article=1768
Quiconque travaille a droit à une rémunération équitable et satisfaisante lui assurant ainsi qu’à sa famille une existence conforme à la dignité humaine et complétée, s’il y a lieu, par tous autres moyens de protection sociale.
hns.samizdat.net/article.php3?id_article=1766
Article 30 : Aucune disposition de la présente Déclaration ne peut être interprétée comme impliquant pour un Etat, un groupement ou un individu un droit quelconque de se livrer à une activité ou d’accomplir un acte visant à la destruction des Droits et Libertés qui y sont énoncés.
www.vertsderoubaix.org/article.php3?id_article=77
…
Elvis chante
Bruce Lee me sourit
Sylvain ne dit rien
J’ai le trac
Je suis crevé
Je veux dormir
Trois jours
Au moins
Mais je suis motivé
Je crois
Et je vais prendre sur moi
Quitte à devenir incohérent
(plus que d’habitude)
Essayer de voir
La vie en jaune
Ce soir
Et laisser
Place à l’Imprévu
Demain
On verra
…
Titre d’un livre jamais écrit :
La Bataille d’une seule oreille contre mille bouches.
Silencio & vrac/armes
0/2002
de venise à paris,
les bras se croisent,
comme des tentacules froids et humides.
J’ai peur des fois de vos accès fous. Suivez
moi
du doigt
et vous ferez éternellement le tour de mon corps.
Je n’existe que si vous le voulez bien.
Veuillez-le, j’ai peur ,vous savez,
de me perdre dans la forêt des autres.
cerveau vrillé
au son
de l’acier
qui vibre
ultime avatar
des monstres
d’Irlande,
fuir l’Ile verte n’a servi à rien
et jusqu’en cette plaine
je sens leur emprise
grandissante
je regrette ma colline,
l’enclos de mon petit cheval,
le rire de ma fille
et le souffle de cette femme,
pour qui j’étais tout
et que toujours je porte en moi
comme la blessure profonde
d’un passé
égaré.
la splendeur
et la simplicité
de ces temps anciens
m’échappent à présent
et je sais
que la vie me quittera
à jamais
lorsque je t’aurais
oubliée.
hop je saute sur le trampoline et oooh je vole mais aaaaaaaaaaaaah je tombe (comme quand il faisait l’insecte sur le lit) j’agite les bras et les jambes, je rêve: tout bascule, le soleil remplace les étoiles et le ciel la mer, tout est scintillant autour de moi et ça n’a jamais été aussi clair. maintenant je marche j’escalade je hampe la lune montagne est belle ruisseau d’argent ,nonon ce sont les poissons qui sont d’or. cheveux échevelés moi très calme, même même si perdue dans tous les éléments, beaucoup beaucoup d’eau autour de moi mais je ne sais pas voler splaaaaash une énorme tortue sort de l’eau et je me pends à un cocottier arrgh.
mon amour, je voudrais courir encore, mon amour
mon amour, chht, mon amour, chht, mon amour, ne m’emmène pas tout de suite au bout du monde, ne crie-t-elle pas dans l’orgasme
et je retombe dans la furie du monde, hall de gares, hall de théâtres, queue du cinéma et de la sécu, bataille avec les draps, mon regard et tu ne me le rends pas, fatigue et ce foutu écran que j’ai marre!, et je retrouve mon état civil, que font vos parents, que fait votre père, et je redessine mes peines sur mes murs, des silhouettes vides sur un miroir, et des femmes sans corps sur la peinture banche
mais j’ai sorti un tapis blanc, et le matin je danse dessus…………;blanc éclaté de rouge comme si je voyais trop de lumière
>vous avez des têtes bizarres ce matin
A la télé g vu des gens qui faisait chanter les arbres.
c t mieux que le « retour de rosetta bis » des frers des ardennes.
Arthur E. Ferdinand: An Analysis of the Machine Interference Model. IBM Systems Journal 10(2): 129-142 (1971)
Cherie
____ – ____
Father: unknown
Mother: Lillian GLADDING
——————————————————————————-
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_unknown ____________|
| |
| |__
|
|
|–Cherie
|
| __
| |
|_Lillian GLADDING ___|
(1921 – ….) |
|__
______________________________
|
_Floyd Lee « Bud » JONES _|
| (1928 – ….) m 1953 |
| |______________________________
|
|
|–Anni JONES
| (1953 – ….)
| _Lowell William « Todd » SLOAN _+
| | (1906 – ….) m 1927
|_Marillyn Louise SLOAN _|
(1932 – ….) m 1953 |
|_Dorothy Fern RATHBUN ________+
(1909 – ….) m 1927
Une soirée avec Orad
» Hey Gwendo, je vais au Tai Chi Chuan avec toi tout à l’heure?
– Cool, OK. Je t’appelle vers 18H00. »
Métro Métro.
« Allo Orad, je suis désolée je ne t’ai pas appelée, je n’avais plus de batterie. J’y suis pas allée du coup.
– C’est pas grave. Bla bla bla.
– Bla bla bla. On va au ciné?
– Ouaaaais.
– RDV 21H00 au café du MK2. »
Métro Métro.
« Désolée, je me suis perdue 20 minutes sous la pluie.
– Bla bla Réalité bla bla Poils bla bla bla Antibiotiques bla bla.
– Bla bla bla L’amour bla bla Gombrowicz bla bla bla Concert de Ska.
– Pffffffffffff j’ai plus envie d’aller au ciné.
– Mouais moi non plus.
– Nicolaï dit que c’est chiant Intervention divine.
– On se prend une tarte au citron?
– Ouais.
– Ah ils ferment dans 5 minutes.
– C’est con j’avais très envie d’une tarte au citron.
– Qu’est ce qu’on fait?
– Bla bla bla?
– Bof. Bla bla bla?
– Bof.
– On va à Pigalle boire un verre au B.J., je prends mes affaires et on va dormir à Télégraphe.
– Ouais. »
Métro Un fou : Bla bla bla Délire bla bla Complètement taré. Hey les filles je descends à Pigalle. Je vais dans un bar très chouette, le B.J., je vous invite? Métro Métro « Non mais j’hallucine, il va dans le même bar que nous, qu’est-ce qu’on fait? » Métro Métro Métro « C’est pas contagieux ce que t’as hein, t’es sûre? – Non non, mais j’ai peur de vomir. » Métro Métro Métro
« Merde, il arrive dans le bar.
– Bla bla bla Sexe bla bla Thèse bla bla Mort. »
Métro Métro Métro. « J’ai envie de faire pipi. – Chuis bourrée. – On n’a rien fait de ce qu’on avait prévu. » Métro Métro Métro Métro Métro Métro.
Bla bla bla Bla bla bla Bla bla bla Bla bla bla Bla bla bla Bla bla bla Bla bla bla Bla bla bla Bla bla bla Bla bla bla Bla bla bla Bla bla bla Bla bla bla Bla bla bla Bla bla bla Bla bla bla Bla bla bla Bla bla bla Bla bla bla Bla bla bla Bla bla bla Bla bla bla Bla bla bla Bla bla bla Bla bla bla Bla bla bla Bla bla bla Bla bla bla Bla bla bla Bla bla bla Bla bla bla Bla bla bla Bla bla bla Bla bla bla Bla bla bla Bla bla bla Bla bla bla Bla bla bla Bla bla bla
Lundi matin
On dit : ré-attaquer une semaine
Mais qu’est-ce qu’elle nous a fait ?
Une petite mélancolie me prend…


Salzbourg, Autriche. Dans les années 30. Maria, une jeune femme frétillante, mène dans le couvent de Nonnberg une existence heureuse rythmée par la musique et le chant. Un jour, la Mère Supérieure décide d’envoyer la turbulente jeune femme dans la villa du Capitaine Georg Von Trapp, un veuf qui élève seul ses sept enfants et qui recherche une gouvernante. La joie de vivre et la délicatesse de Maria vont rapidement gagner le cœur des enfants et même séduire l’autoritaire Capitaine. Mais leur bonheur va être interrompu par une guerre qui gagne l’Autriche et dont le chef n’est autre que Hitler.
Rectification :
Dans le train de
New-York
Vous aviez un cul de feu.
Je suis resté de glace
06 61 63 58 84
(pitoyable je suis)
C’est stupide mais : un tiens vaut mieux que deux tu l’auras.
…
si tu te tournes
tu me verras
si tu te retournes
tu me verras
si tu avances
tu me verras
si tu reviens sur tes pas
tu me verras
si tu fermes les yeux
j’en mourrai
…
le récitant : Tourgueniev, c’est rien que de la Hype ?
Parents ! Eloignez vos enfants !
terrorisme Tourgueniste assassinats Tourgueniste massacres Tourgueniste
Au coeur de la nuit
Un acte
Tourgueniste
Lors de la nuit blanche.
Exceptionnellement présent à Paris
Elles/Ils envahiront un lieu fort connu
Afin de le brûler
Entièrement et de faire
Des photos (moches) du
Brasier
Et
Ainsi
Passer à l’Action Directe.
Ici, bientôt, les photos (floues).
terrorisme Tourgueniste assassinats Tourgueniste massacres Tourgueniste
Parents ! Eloignez vos enfants !
SANS TEXTE SANS
Il y aurait eu tout a dire, mais les forces manquent, le temps
se perd vite dans des mouvements de fatigue inutiles. Je me
dis que cela change. Quand ? Demain, toujours remmettre
plus tard la décision d’agir, d’écouter, de réparer
peut-etre les fautes, de réconcilier les flux. On se coupe
au ciseau. La peinture n’est pas très propre. On oscille
entre la désinvolture et la précision maniaque qui
tourne au vinaigre, au maniérisme. J’ai écrit que tout est
encore vierge et sans fausse image mon amour. Tu arrives dans
un lieu pour régner ou briller, mais les bons mots manquent
au numéro. Le désir pathétique de séduire
l’emporte sur le reste, et les corps se fatiguent de ton extreme attention,
des défauts, des mauvais pantalons, des registres de langues
foireuses, et tout ce qui habille au plus mal tes poses. On espère.
Le mot revient souvent sous nous. Comme si c’était le seul foyer possible.
Les fondations. Mais ainsi, chaque journée demeure insuffisante. Et tu
cherches l’amélioration, la pofinage absurde qui regroupe a la fois
les vetements, les récits, les paroles,
tout devient lié dans un souci gigantesque de parvenir aux productions.
Quand enfin, on aura décidé de s’enterrer tout près de
l’espérance, sous elle, ne revenant plus jamais, heureux d’avoir accompli
textes et bévues, dragues & amours, en silence encore dans le calme
d’une création positive qui a juste voulu mettre en avant le monde sans
savoir le nommer.
Extrait pour Miss G.
Elle est pleine de jolies filles, elle est pleine de jolies filles
Aussitôt qu’arrive l’été, aussitôt que le soleil brille
Bikinis-Monokinis dénudent le corps des demoiselles
Sous le soleil de Marseille, elles apparaissent encore plus belles.
Les garçons tapageurs sont tous de méchants brancheurs
Rub-a-Dub, ghettos blasters, lunettes noires de rigueur
Ils font des matches de volley et puis des concours de plongée
En bonde ! en bonde ! du plus haut des rochers
Ils se font cajôleurs, ils se font enjôleurs
Et pour apaiser leurs émois, se jettent à l’eau tous les quarts d’heure.
Massilia Sound System – Qu’elle est Bleue

parfois je frappe tellement fort cet ordinateur – le jeune homme remarque qu’on en parle jamais – que sa coque se déforme, alors je suis tout ennuyé et j’espere qu’il marchera encore, avant le prochain coup.

Tu viens sur Tourgueniev, tu as deux hommes nus pour toi qui font le spectacle.
Ils se déshabillent, ils satisfont tes désirs les plus farouches, Natasha !
Da !
il est arrivé que je sois heureux,
peut etre,
peut etre pas,
est-ce que c’est l’amour
ou simplement le soleil ?
Speziell Widmet Igor und Inconnue, das im Nebel gekreuzt wurde
Toujours ce canal, ce cher canal. Nos reflets dans ses eaux troubles, nos silhouettes tremblantes, verdâtres,
Les cris du métro, son fatras métallique, grisâtre,
Toujours ce canal, ce cher vieux canal
S’y promener le long, y marcher sans but, les yeux dans les reflets du ciel,
Le défilé des façades, cheminées, antennes,
Ce cher vieux canal
Clapotis, clapotas
Il fait gris
Il fait froid
Les mots se condensent devant ta bouche, tu fais des nuages en parlant
Clapotis
Je jette un caillou dans l’eau, pour faire bonne mesure
Clapotas
Je suis ton sillage en t’écoutant
Tu me dis que ça suffit comme ça
Tu me dis que je ne te prends plus dans mes bras
Et caetera
Tu me dis que tu as froid
Qu’il vaut mieux qu’on arrête là
Et puis tu t’en vas
Alors PLOUF !
Puisque c’est comme ça.
J’ai les pieds nus dans une jeune rivière.
Elle est fraîche et limpide comme elles savent l’être quand on va les chercher assez haut.
Une chose si simple.
Entre mes chevilles fraient des centaines de petits poissons. Ils sont de toutes les couleurs.
Je m’amuse des sursauts de mon reflet sur l’onde. Des milliers d’éclairs le foudroient.
Je joue avec mes doigts.
J’offre ma nuque au soleil, qu’il croque comme un amant ardent.
Bon. Penser à traverser. L’autre rive…
A la cantine :
anyway, il suffisait de voir notre Igor universel planer en lévitation à
travers ce parterre de terriens en proie à l’hypergravité ambiante, pour
s’apercevoir que ce bas monde pouvait encore nous reserver d’agréables
surprises et finalement passer une bonne soirée.
Nevermind the hype, here’s the tourguenism!
Love’s not dead!
On aura donc trouvé une utilité au bal jaune et donc, on cassera pas…!
Peace.
[]—sodaboy—[]
Speciale dédicace to Nicolaï
Dernière clope et dodo. Demain j’arrête de fumer. Est-ce la peine de terminer celle-là ? Puisque j’arrête tout à l’heure … Oui mais quand même … Elle me tend le mégot ! Cette petite fumée, je vais l’avaler, la faire descendre dans mes poumons et la sentir débouler jusqu’au bout de mes doigts … Même pas ! Rien de plus qu’une clope de plus avant d’aller dormir ! Rien de plus ? Saloperie ! J’ai une haleine de yack pour aller m’étendre près de ma dulciné, et c’est tout l’effet que tu m’as fait ? Allez. Dernière clope et dodo. Demain j’arrête de fumer.
Trois jours que j’ai le coeur au bord des lèvres
Trois jours que je me confine devant une cuve de faïence
Amoureux, malade, les deux peut être ?
Oh toi, mon doux ver solitaire…
Passer ma langue entre tes oreilles et lécher ta cervelle, oui ça me plairait;
vomir de façon démodée toutes tes tripes avalées ce serait mon plaisir;
griffer tes chairs grasses, jambes, ventre, cou, ferait mon plaisir.
Comme je t’aime, j’aime aussi ton sang et tes cris. Les parties les plus abjectes de toi me font frémir de plaisir.
Le monstre amoureux te poursuit. Ecoute ses pas étouffés par la chair de ses victimes.
Mais ma préférée c’est toi, je nettoierai mon corps dans un fleuve de sang je convoquerai le ciel des damnés et alors je serai pur pour t’emmener loin des autres loin de moi. Je ne te dévorerai pas tout de suite. Le ferai-je d’ailleurs? Je tuerai ton sang à force de te sucer. J’inverserai tes tensions à force de te voyager. Tes cheveux deviendront ma crinière et je serai la plus flamboyante des bêtes.
Mon amour est ma lumière.
(ce qui me plaît dans ma vie, c’est d’être amoureux des victimes)
En venant
Vous pensez encore aux choses comme
l’élégance, le secret, le caché ?
Il me semble oui.
Pas peur du ridicule ?
Je pense mon cher que ces mots pour les
autres sont impossibles.
Pensez, pensez, pensez
Il y a plus grand monde nulle part
quand il s’agit d’y penser.
Optimiste ?
Sur l’avenir du machin ?
De l’écran ?
Des planqués ?
Disons que moi je suis caché et qu’ils
sont planqués.
Assez idiote pensée non ?
Pensez ce que vous voulez
Dans quel ordre ?
D’abord l’élégance : un concept qui n’a pas
bonne presse il semble.
Puis le secret, mot dans la bouche comme une fleur
Le sens vient après, quand ils sont fatigués.
Ils ?
Quelqu’un a dit justement que nommer, identifier, c’est presque tuer.
Je ne leur souhaite pas ca.
Ils ?
Les précédents.
Ils ?
Ceux qui vont venir.
Avec une force de proposition ?
Des paroles lourdes je crois.
La tienne est assez brutale il me semble
Je me bats pour ne rien comuniquer, me signaler c’est tout.
Un projet sans programme je me tue a le dire.
J’oubliais aussi qu’avec l’élégance, il y a un
autre concept bien francais.
Dis moi lequel ?
Le sérieux.
Parlerons nous encore ?
Si vous venez a moi.
Quand vos notions prendront-t-elles effet ?
Quand ils dormiront.
…
Maxine et moi on vivait ensemble depuis 6 ans quand c’est arrivé
Deux fois plus de petits que ce qu’on espérait.
Catherine nous avait prévenu qu’on risquait l’invasion.
Les petits roux et les gris étaient ok.
Mais les blancs, moi ça me disait trop rien.
Tu vois le genre :
« je suis un intellectuel de droite non-spectaculaire »
Carrément ingérable, surtout pour une si petite structure.
Donc on a commencé à les éparpiller autour de nous.
Les blancs partaient bien finalement…
Les journaleux roux, on en a donné deux à Jeremiah.
On a gardé les trois petits gris pour les expériences.
Et le dernier roux, Bourdieu, a disparu un matin avec la bonne.
Maxine m’aime, je crois.
Tout à l’heure, elle m’a frappé avec la machine à écrire.
Les petits bouts blancs de ma tête sont tout partout autour de moi,
Elle savait que je voyais Catherine en secret.
Elle m’aime, je vous dis.
Oh… Bourdieu te voilà…
Tu veux manger les bouts blancs de ma tête ?
Te gêne pas
Je vais plus en avoir besoin.
Maxine.
…
Folle folle folle envie
de te pendre par les pieds
et m’enrouler dans tes ailes






















