Comment se termine l’histoire ?
Comment se termine l’histoire ?
Comment se termine l’histoire ?
ParanOïd
ParanOïd
ParanOïd
ParanOïd
ParanOïd
ParanOïd
ParanOïd
ParanOïd
ParanOïd
ParanOïd
ParanOïd
ParanOïd
ParanOïd
ParanOïd
ParanOïd
(…)
Avertissement.
Ecrire, se provoquer, se dresser — en se donnant
des règles. Passage du sauvage à l’enfant
scrupuleux qui chaque jour fait ses lignes d’écriture.
Nota Bene
Les affaires de l’âme ne nous concernent pas ;
Le compte-rendu de votre intimité, non plus.
La fiction nous fatigue.
Le vendredi soir il lui arrivait de passer à l’Est, sous les lampadaires grisonnants, en direction de l’Echangeur
Elle n’en a pas envie.
C’est sûr.
Elle se force,
ça se voit.
Il suffisait de le dire.
C’est tout.
Pourquoi toujours mentir, mentir, mentir?
Mentir pour ne pas blesser comme si j’étais un carton avec une étiquette mention « fragile ».
C’est encore pire.
helene par MSN : ça serait drole des films pornos clamant « les chattes les plus profondes d’europe »
Being blOg
Thinking blOg
Waking up blOg
Playing game blOg
Artistic working blOg
Et puis quoi encore ! (…)
Reviens gitane.
Faisons de nouveau le tour que je parcours en un éclair la lune hospitalière.
Que je comprenne que sous les cratères, caos apparent il y a la vie, il y a le temps.
Ce cycle qui nous bouscule éternellement.
Repète moi une fois à voix basse la formule qui ouvre le coeur.
Confirme moi qu’il n’y a pas une route que ce n’est pas un labyrinthe mais un dédale (une entrée et plusieurs sorties).
Regarde moi enfin dans les yeux pour le signal « vas-y ».
Et tout recommencera….
Tu n’es encore pour moi qu’un petit garçon tout semblable à cent mille petits garçons.
Et je n’ai pas besoin de toi.
Et tu n’as pas besoin de moi non plus.
Je ne suis pour toi qu’un renard semblable à cent mille renards.
Mais, si tu m’apprivoises, nous aurons besoin l’un de l’autre. Tu seras pour moi unique au monde. Je serai pour toi unique au monde.
La vie est un collier de peurs
(mon amour)
Les larmes que tu as retenues
y sont enfilées
Notre amour les détachera – viens
(mon amour)
M’aimer est un jeu d’enfant
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Encore une nuit passée
dans l’étreinte du manque
sueurs froides, panique et cauchemars
étaient au rendez-vous
Merci d’etre tous venus,
mes amis
(tu me manques,
j’aurais aimé pleurer et frissonner entre tes bras)
pau 1884
la ville est recouverte de brouillard,
les horpailleurs traînent sous les voutes.
je n’ose sortir, la pluie est de plomb,
la formule est sur le point de fonctionner.
je t’aime
je crois que j’aime tes traces de pas
dans la neige
je crois que j’aime les traces de sang
sur la moquette
je t’aime
——————
ici Paris
demain Pau
retrouver Nicolaï
couper les ponts une semaine
aller à la montagne
ou à la mer
ou juste à la campagne
compter les moutons
et les pissenlits
par la racine
le récitant : papy Ivan en danger !
[…] Fondu enchaîné. Sorti de nulle part, quelqu’un me félicite le plus sérieusement du monde pour mon interview « dans Technikart ». Quelqu’un que je connais, j’en suis sûr, et pourtant je n’arrive pas à l’identifier. Pris d’un élan lyrique, j’engage une conversation éthylique avec E., une journaliste de Cosmopolitan qui croit que je travaille avec S.M. : elle trouve tout « génial », je lui parle de surfers hawaïens et de Peter Sloterdijk, « et je t’enverrai une épreuve de mon bouquin en avant-première, c’est promis ». Sur ce, J. surgit de la foule, me claque une bise, et se plaint qu’il y a trop de monde au bar ; je lui explique que « cette compression humaine est une magnifique œuvre d’art », très fier de cette réplique un peu approximative. […] Saut à suivre jusqu’en fin de soirée, je tombe sur B. de K. – ça m’arrive tous les trois mois environ. Comme d’habitude, je me précipite sur lui avec un sourire béat. Comme d’habitude, il est trop ivre pour se souvenir de moi mais il fait semblant de me reconnaître, avec un aplomb qui me laisse admiratif. Et comme d’habitude, je lui demande s’il a de l’herbe sur lui, question à laquelle j’obtiens invariablement la même réponse : « Ah non, camarade… mais j’vais demander à mon épouse, si elle a du matériel on s’fume un calumet sous la tente.». […]
[…] Hier soir des inconnus m’accostent en m’appelant « Rocco ». Ben oui, « on a vu tes photos »… Sourires légèrement ironiques mais pas malveillants, qui cachent surtout une inavouable jalousie. Décidément la magie d’Internet et le pouvoir de l’imagination sont des trucs qui me fascineront toujours. Plus tard dans la soirée je croise C. ; zoom sur cet irrésistible regard mutin, ce petit air espiègle qui brise toutes mes défenses. Sourire spontané, elle me reconnaît illico. On se resitue très vite, on a pris un apéro ensemble en mars, « ah c’est cool de se revoir comme ça par hasard »… S’en suit une conversation improbable, nous réalisons tous les deux qu’elle se souvient de moi, mais qu’en même temps elle me confond avec au moins trois autres personnes. J’essaie de la mettre à l’aise mais c’est pas gagné, elle est presque rouge de confusion. Fais-moi ça compréhension, désinvolture, autodérision : éclair du flash. […] Avance rapide, deux coupes de champagne plus tard : apparition de l’adorable A. Elle aime beaucoup ce que je fais, elle veut m’aider à placer mon manuscrit quand il sera fini ; sa sincérité est touchante, pourtant elle ne m’a jamais lu. Remarque, je fais le malin mais je suis secrètement amoureux d’elle alors que je la connais à peine, c’est pas mieux. […]

You are Trinity, from « The Matrix. »
Strong, beautiful, gnagnagna…
…
mes meilleurs amis sont des boulets.
Samedi 14 juin 2003 – 15h43
je pleure à gros sanglots silencieux, roulée en boule sur le lino de la cuisine où mes larmes tracent des sillons de propreté.
Merde. Je croyais que ça n’arrivait qu’aux autres. Merde merde MERDE.
Putain j’ai couché avec un mec qui a des magnets sur la porte de son frigo.
Il avait vu une grande maison, ancienne, aux lourdes poutres de bois
les étages inférieurs semblent inondés par une eau saumatre
des vieillards et des fous arpentent le dernier étage
certains présentent des malformations
il a aussi vu un animal dégénéré,
comme un chien avec des pattes surnuméraires
qui se déplace un peu comme un scorpion
Il a regardé par la fenetre,
un cadavre est pendu dans le soleil
des corbeaux sont perchés sur ses épaules
et lui donnent des coups de bec
pour lui dévorer les yeux
Il détourne le regard
et cherche à revoir les fous et le scorpion
mais ils ont disparus
la salle semble avoir pris de nombreuses années
et le sol est jonché de souillures et de vomi
où grouillent de très nombreux vers
l’odeur est immonde
Il plonge à présent dans l’eau glauque et malodorante
et traverse plusieurs étages sans vouloir regarder tout autour
il croise le cadavre d’un oiseau blanc
aux plumes gorgées d’eau,
lui donnant une apparence monstrueuse
Il atteint une poche d’air
en rejoignant le niveau du sol
un homme jeune à l’air avenant
tente de convaincre un auditoire invisible
de rejoindre son parti politique
il présente des brochures qui vantent
l’humanité du parti et sa grandeur d’ame
on ne sait qui l’a placé ici
pour distraire d’éventuels visiteurs,
égarer leur attention
et les détourner du macabre spectacle des étages supérieurs
Le dernier présage m’avait plongé dans une intense tristesse,
il disait quelque chose situé entre le très pragmatique un sou est un sou et un définitif on ne peut pas mépriser l’argent
il me faudrait un peu de temps pour l’incorporer, celui-ci
– Bon, tu vas quand même pas faire du gonzo-journalisme sur Tourgueniev ?
– Il a raison. C’est d’un commun.
– Oui mais c’est pas du gonzo. Je ne donne aucun nom. Juste des initiales. Les personnages réels se désincarnent et deviennent anonymes, presque imaginaires ; ça pourrait être de la fiction.
– En même temps, l’anonymat c’est très tendance en ce moment. C’est même déjà un peu surfait.
– Il a raison. C’est d’un commun.
– Oui mais de toutes façons, anonymat ou pas, je parle toujours de moi quand j’écris. C’est comme les pseudos, c’est toujours un faux anonymat.
– Ah bravo, bonjour le nombrilisme…
– Il a raison. C’est d’un commun.
– Oui mais non. Historiquement, le nombrilisme est d’essence tourguéniste.
– Exact. De nombreuses études l’ont prouvé.

LOVE
—————–
je suis « LOVE » la petite coquine avec la motocyclette rouge.
je suis « LOVE » et je loge dans le jardin de mes parents.
je suis « LOVE » et les taupes sont mes amies.
je suis « LOVE ».
La fille du gouverneur ne cesse de me faire des avances
depuis qu’elle sait que je suis intertextuel
A compter de ce jour, je ne veux plus être en attente.
Quémander les mains jointes comme le mendiant, être en demande.
Un désir, désir partagé.
Deux regards qui convergent ou rien.
A prendre ou à laisser.
Camille et mon propre désir
Bonjour,
Je vais vous décrire ce qu’il me faut :
Je souhaite une jeune femme, charmante (mignonne), intelligente ayant une sociabilité derrière la quelle je puisse m’abriter.
Je souhaite aussi qu’elle soit gentille et qu’elle ait connu quelques vicissitudes qui nous mettent sur un pied d’égalité dans notre relation amoureuse.
Il est indispensable qu’elle aime la musique.
Les cheveux courts et une forte inclinaison d’avoir des enfants seraient des avantages indéniables.
Passons Camille au crible de ces critères pointus :
Jeune femme : OK
Charmante, (mignonne) : OK
Intelligente : ?, le silence est-il une preuve d’intelligence ?
Sociable : OK (elle rencontre beaucoup de monde tous les jours)
Gentille : OK, avec moi elle me sourit toujours …
Vicissitudes : ?, je ne sais pas
Mélomane : ?, j’ai essayé de lui faire écouter de la musique, peu d’effet.
Cheveux courts : OK
Envie maternelle : très certainement.
Bon score, somme toute !
Il faut à tout prix que je récupère une affiche de Camille pour la présenter à mes parents (pour les rassurer, ils sont très inquiets pour moi en ce moment) puis l’emmener devant Monsieur le Maire.
Pour les enfants, une grande photocopieuse devrait faire l’affaire !
Celui qui cherche
PS : je crois qu’elle est partie.
Hey, if you see the most beautiful girl in the world…

non non je suis très content
de mon studio-neo-cheap-à-pilotis
seulement pas de chance
je suis au 2e tout à droite
là où ils ont monté la porte à l’envers
du mauvais côté de l’escalier
c’est surtout dangereux quand je rentre le soir
un peu gris
—
sinon c’est moderne
—
Il n’était pas Intertextuel, contrairement à ce qu’on aurait pu croire, ses seules relations sexuelles suivies étaient celles qu’il entretenait avec sa Télévision.
Impossible de lire les informations d’abonnement. Il vous faut peut-être des privilèges d’administrateur.
![]() |
– To juz slyszalem w ?Hamlecie” Szekspira. Caly ten proces to jeden wielki spektakl odbywajacy sie w grafomanskiej, pelnej potkniec jezykowych wyobrazni uczniaka ze szkoly sredniej. Uczniaka z aspiracjami, który wzbija sie wychodzac poza skostniala forme rozprawki, tworzac rzeczywistosc, w której zanurza surowe tezy i antytezy, latwe do wyluskania przy odpowiednim wysilku. Stroi je w piekne piórka. Na dodatek ma odwage, wkladajac te slowa w moje usta, sprzeciwic sie umieszczeniu go w ciasnej formie wypracowania. Wie, ze pisze o sprawie oczywistej, z góry skazujac podsadnego. Na bialych kartach papieru jawi sie napis: winny! Z przekory móglby bronic Raskolnikowa, lecz kazdy normalny czlowiek od razu potepi morderce. Nie mozna kogos zabic, poprawic sie – nawet na skutek glebokiej przemiany wewnetrznej i dostac jeszcze nagrode w postaci ulaskawienia. Powiecie, ze zachodzi koincydencja wplywu wewnetrznego i zewnetrznego, tych dwóch scierajacych sie ze soba sil.
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Le support de l’hérédité est constitué par les chromosomes, éléments du noyau cellulaire visibles à un certain stade de la mitose (division cellulaire). Chaque chromosome porte un très grand nombre de gènes, eux-mêmes formés d’ADN. Après la division d’une cellule, la répartition des chromosomes dans les cellules filles se fait au hasard. Mendel travaillait sur des hybridations: son apport essentiel a été d’abord de reconnaître l’importance du caractère isolé comme base de la mécanique héréditaire, ensuite d’admettre que l’expression de ce caractère était gouvernée non par un facteur héréditaire (gène ou ensemble de gènes), mais par deux facteurs, l’un provenant de la mère, l’autre provenant du père. Admettre cette hypothèse permettait d’expliquer un phénomène jusqu’alors incompréhensible, la réapparition d’un caractère appartenant à l’un des parents à la deuxième génération, alors que la première génération en était exempte: cela signifie que tout caractère de la deuxième génération est donc présent dans la première, même s’il ne s’y exprime pas. Les caractères se divisent, selon Mendel, en caractères «récessifs» et en caractères «dominants». Lorsque, pour un caractère donné, un gène récessif et un gène dominant sont en présence, seul le gène dominant est en mesure de «s’exprimer». Mais lorsque le réarrangement chromosomique met en présence deux gènes récessifs, c’est le caractère récessif qui s’exprime.

J’aime sa pensée superbe
et ses yeux irisés
quand il me regarde et délire
Ses narines dilatées
qui guettent mon odeur
je frissonne et j’exulte
Tu vas m’éventrer
me retourner complétement
m’infliger douleur et plaisir
Tant que nous en aurons la force
J’ai une grande nouvelle
à vous annoncer…
Je (Born Bad & Bad Girl)
viens de rencontrer
Gü. (…)
Elle va bien.
Elle mange.
Elle nourrit.
Et nous deviendrons des amies !

Cet adorable minou
(non mais c’est vrai il est gentil…)
ne trouve pas de travail
pour délit de sale gueule…
Parlons-en à une certaine boîte d’interim
et surtout acceptons-le sur Tourgueniev SVP (…)

Tourgueniev.com vous explique la vie :
Comment avoir des relations intertextuelles plus sécuritaires cet été?
Vous pouvez vous amuser et avoir des relations intertextuelles érotiques en ne prenant aucun risque de contracter le VIH.
Vous n’avez qu’à opter pour des relations qui évitent que du sperme, des fluides vaginaux ou du sang n’entrent en contact avec votre circulation sanguine.
Les relations intertextuelles sécuritaires incluent notamment :
– les baisers (y compris les baisers prolongés);
– les étreintes;
– les massages;
– les caresses, le toucher et la friction;
– la masturbation (seul ou avec votre partenaire).
Sans risque
Toucher le pénis, le vagin ou l’anus ne comporte généralement pas de risque.
Les seuls facteurs de risque sont si vous avez des lésions ou des plaies ouvertes qui peuvent laisser du sperme, des fluides vaginaux ou du sang infecté au VIH pénétrer dans votre circulation sanguine.
Risque modéré
Le sexe oral comporte certains risques, mais ces risques sont faibles car la salive ne transmet pas le VIH.
Si vous avez des lésions ou des plaies ouvertes dans la bouche, cependant, du sperme ou des fluides vaginaux infectés pourraient s’infiltrer dans votre circulation sanguine lorsque vous léchez ou sucez le pénis d’un homme ou le vagin d’une femme.
Risque élevé
Les tissus protecteurs du vagin et de l’anus sont minces et délicats et peuvent se briser facilement, sans que la brisure ne soit détectable.
C’est pourquoi les formes de relations intertextuelles les plus risquées comprennent :
– relations intertextuelles vaginales ou anales sans condom;
– partage et l’insertion de jouets érotiques sans condom et sans les nettoyer.
– Pour avoir des relations intertextuelles plus sécuritaires
Parlez de pratiques intertextuelles sécuritaires avec votre partenaire avant de faire l’amour.
Utilisez un condom en latex pour :
– la pénétration anale ou vaginale;
– le sexe oral pratiqué sur un homme;
– le sexe oral pratiqué sur une femme (placez un condom coupé dans le sens de la longueur ou un protecteur buccal sur le vagin en guise de barrière);
– les relations à l’aide de jouets érotiques qui sont partagés.
Utilisez du lubrifiant à base d’eau en grande quantité.
N’utilisez pas de Vaseline ni de produits à base d’huile qui réduisent la durabilité des condoms.
Utilisez un condom pour femme qui est fabriqué en polyuréthane (pas en latex); inséré avant la relation intertextuelle.
Ne réutilisez jamais un condom.

































