Lu Sur NoblOg (…)
La vie est un collier de peurs
(mon amour)
Les larmes que tu as retenues
y sont enfilées
Notre amour les détachera – viens
(mon amour)
M’aimer est un jeu d’enfant
En quittant cette Cité qui l’avait couvert de langues empâtées et de nuits sans sommeil, il ne pensait jamais y revenir, du moins pour y vivre… cet aimant l’attira cependant de nouveau… qui est à blamer ?
Le boulanger !
au détour d’une botte de foin je croise Bill, ouvrier agricole.
tout ce qu’il porte sur lui : une salopette en jean élimée au genoux.
il me lance un regard politiquement incorrect. ça commence bien…
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– To juz slyszalem w ?Hamlecie” Szekspira. Caly ten proces to jeden wielki spektakl odbywajacy sie w grafomanskiej, pelnej potkniec jezykowych wyobrazni uczniaka ze szkoly sredniej. Uczniaka z aspiracjami, który wzbija sie wychodzac poza skostniala forme rozprawki, tworzac rzeczywistosc, w której zanurza surowe tezy i antytezy, latwe do wyluskania przy odpowiednim wysilku. Stroi je w piekne piórka. Na dodatek ma odwage, wkladajac te slowa w moje usta, sprzeciwic sie umieszczeniu go w ciasnej formie wypracowania. Wie, ze pisze o sprawie oczywistej, z góry skazujac podsadnego. Na bialych kartach papieru jawi sie napis: winny! Z przekory móglby bronic Raskolnikowa, lecz kazdy normalny czlowiek od razu potepi morderce. Nie mozna kogos zabic, poprawic sie – nawet na skutek glebokiej przemiany wewnetrznej i dostac jeszcze nagrode w postaci ulaskawienia. Powiecie, ze zachodzi koincydencja wplywu wewnetrznego i zewnetrznego, tych dwóch scierajacych sie ze soba sil.
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je n’ai pas cherché à t’éprouver
je me balance au bout de la liane
je n’ai pas cherché à t’éprouver
juste te sentir
tes épaules sont justes assez fines
pour y deposer un croc
j’y tisserai un fil d’emeraude
jusqu’à ta gorge lumineuse
et puis je frotterai tes doigts
d’une gomme noire
Hier quelque part à Saint-Germain, j’ai croisé H.S.
Ou plutôt c’est elle qui m’a croisé.
Elle m’a demandé du feu, je l’ai reconnue en sortant mon briquet de ma poche.
– Ah c’est vous…
– Euh… oui.
– Donc vous existez vraiment.
– Ben oui… (sourire timide)
– C’est pas grave. Je n’aime pas ce que vous faites mais vous avez l’air gentille comme tout.
– Merci.
– Tenez, je vais même vous signer un autographe.
– C’est gentil. Hi hi ! (petit rire espiègle)
– Voilà…
– Merci.
– Vous… vous avez quelques minutes ? on va boire un café ?
– Je… hum… euh…
[deux minutes plus tard devant un déca]
– Vous faites plus petite qu’à la télé, mais vous êtes plus jolie.
– Vous aussi ! Alors, euh, vous vous sentez comment deux ans après le Loft ?
– Le Loft ??? Ah… Ah oui le Loft… Oui, je… eh bien en fait j’ai tourné la page. Vous savez, il faut aller de l’avant, tout ça…
– C’est complètement vrai. Moi quand je suis devenue célèbre je me suis dit : « Eh ben tant mieux ».
– Mmm… oui, je comprends.
[après ça la conversation est vraiment devenue chiante, et puis on a fini nos décas et on s’est quitté en échangeant nos numéros ;
je lui ai dit « on s’appelle et on fait l’amour », elle a eu un rire un peu crétin, du genre « ah ah il sont vraiment trop cons ces lofteurs »,
et puis j’ai pris le bus]
En tout Goth sommeille Le Plagiste
Note : extraire la sandale (1) du complexe oedipo-freudophile
(1) Cf Tatie Dudulle
Impossible de lire les informations d’abonnement. Il vous faut peut-être des privilèges d’administrateur.
La maladie reprenait progressivement le dessus
ses geoliers lui ayant formellement interdit de chanter
ici pas de canal,
par contre je peux me tromper
mais cette jolie rousse doit aimer
les filles plus que les garçons
vu sa façon de matter
mon cul (du poulet)
et mes seins (aériens).
nb : en angleterre cabal
c’est nightbreed.
Dans les boites d’interim
il n’y a que 4% d’interim !
le reste c’est : « jobs et autres sous-produits d’emploi » !
Pierre Kropotkine est issu de l’une des plus vieilles familles de la noblesse russe. Sa mère est une femme douce et aimée de tous pour sa grande bonté. Elle est très estimée des serviteurs et fut un modèle pour ses fils en ce qui concerne la tolérance, le respect d’autrui et l’intérêt pour les choses intellectuelles.
—————————————-
Ivan Tourgueniev connaîtra très tôt l’injustice et l’absence de liberté qui règne dans son pays. Sa mère possédait 10 villages, soit cinq mille âmes (hommes -les femmes et les filles n’avaient pas d’âmes !) qu’elle mène, tout comme ses fils, sous le knout. Pour exemple, le serf qui apprit la poésie russe à Ivan sera envoyé par sa despotique maîtresse en exil pour cette conduite indépendante et subversive.
Casimodo a trouvé une seconde famille (…)
A tous un grand merci d’avoir adopté son image sur le réseau (…)
LOVE
—————–
je suis « LOVE » la petite coquine avec la motocyclette rouge.
je suis « LOVE » et je loge dans le jardin de mes parents.
je suis « LOVE » et les taupes sont mes amies.
je suis « LOVE ».
go ?
—
— On peut définir la marche comme l’action de se
déplacer vers un but, dans le plan antéro-postérieur,
par l’intermédiaire d’une succession d’appuis sur un
et deux pieds.
Au cours de la marche, le sujet est en position
permanente de déséquilibre, au sens mécanique
du terme, déséquilibre maximum à la fin de la
période d’appui sur un pied. —
C’est vrai que dit comme ça c’est rassurant
ça a pas l’air d’être si compliqué,
non ?
I’ve seen things you people wouldn’t believe.
Attack ships on fire off the shoulder of Orion.
I watched C-Beams glitter in the dark near the Tannhäuser gate.
All those moments will be lost… in time… like tears… in the rain.
Je n’écrirai pas la suite maintenant.
Tourgueniev.com vous explique la vie :
Comment avoir des relations intertextuelles plus sécuritaires cet été?
Vous pouvez vous amuser et avoir des relations intertextuelles érotiques en ne prenant aucun risque de contracter le VIH.
Vous n’avez qu’à opter pour des relations qui évitent que du sperme, des fluides vaginaux ou du sang n’entrent en contact avec votre circulation sanguine.
Les relations intertextuelles sécuritaires incluent notamment :
– les baisers (y compris les baisers prolongés);
– les étreintes;
– les massages;
– les caresses, le toucher et la friction;
– la masturbation (seul ou avec votre partenaire).
Sans risque
Toucher le pénis, le vagin ou l’anus ne comporte généralement pas de risque.
Les seuls facteurs de risque sont si vous avez des lésions ou des plaies ouvertes qui peuvent laisser du sperme, des fluides vaginaux ou du sang infecté au VIH pénétrer dans votre circulation sanguine.
Risque modéré
Le sexe oral comporte certains risques, mais ces risques sont faibles car la salive ne transmet pas le VIH.
Si vous avez des lésions ou des plaies ouvertes dans la bouche, cependant, du sperme ou des fluides vaginaux infectés pourraient s’infiltrer dans votre circulation sanguine lorsque vous léchez ou sucez le pénis d’un homme ou le vagin d’une femme.
Risque élevé
Les tissus protecteurs du vagin et de l’anus sont minces et délicats et peuvent se briser facilement, sans que la brisure ne soit détectable.
C’est pourquoi les formes de relations intertextuelles les plus risquées comprennent :
– relations intertextuelles vaginales ou anales sans condom;
– partage et l’insertion de jouets érotiques sans condom et sans les nettoyer.
– Pour avoir des relations intertextuelles plus sécuritaires
Parlez de pratiques intertextuelles sécuritaires avec votre partenaire avant de faire l’amour.
Utilisez un condom en latex pour :
– la pénétration anale ou vaginale;
– le sexe oral pratiqué sur un homme;
– le sexe oral pratiqué sur une femme (placez un condom coupé dans le sens de la longueur ou un protecteur buccal sur le vagin en guise de barrière);
– les relations à l’aide de jouets érotiques qui sont partagés.
Utilisez du lubrifiant à base d’eau en grande quantité.
N’utilisez pas de Vaseline ni de produits à base d’huile qui réduisent la durabilité des condoms.
Utilisez un condom pour femme qui est fabriqué en polyuréthane (pas en latex); inséré avant la relation intertextuelle.
Ne réutilisez jamais un condom.
AUR_EXEC=rech AUR_IF($C1 == C1)
AUR_EXEC=rech2 AUR_IF($C2 == C2)
AUR_EXEC=rech3 AUR_IF($C3 == C3)
Le vendredi soir il lui arrivait de passer à l’Est, sous les lampadaires grisonnants, en direction de l’Echangeur
Encore une nuit passée
dans l’étreinte du manque
sueurs froides, panique et cauchemars
étaient au rendez-vous
Merci d’etre tous venus,
mes amis
(tu me manques,
j’aurais aimé pleurer et frissonner entre tes bras)
le récitant : vous avez échappé à ça.
L’intertextualité est le fait pour un texte de s’approprier un autre texte en le citant, le plagiant, le parodiant, ou plus simplement en y faisant allusion. Tout texte est un palimpseste.
«c’est précisément parce que l’intertexte peut ne pas être perçu qu’il suscite, lorsqu’il est repéré et compris, un plaisir certain : celui qui naît du clin d’oeil saisi, de l’humour partagé; plaisir également d’une compréhension à demi-mot, d’un échange avec la mémoire, le savoir, la lecture d’un auteur ; plaisir enfin de retrouver, enfouie dans sa mémoire, la trace d’un texte dont la perception est changée par son inclusion dans un autre texte. » (PiégayGros, ibid).
La connaissance de l’existence de l’intertextualité permet de remettre en cause les représentations traditionnelles de l’écriture comme travail absolument «original», c’est-à-dire inventé de toute pièce, sans modèle antérieur. L’emprunt, le pillage, le remodelage font partie de la règle du jeu littéraire.
Une aube nouvelle
J’ai survécu
une fois encore
De mes petites dents
j’ai surement tué
je ne sais plus qui
ni combien de proies
mais le goût du sang
est toujours sur ma langue
Les instincts du tueur
sont plus forts en cette saison
je ne peux m’en défaire
A la lueur de la Lune
je chasse
et mon coeur sourit
Je suis Dany Dan.
Regarde-moi bien dans les yeux.
Je vais compter jusqu’à trois et tu vas t’endormir.
UN.
Tu respires profondément …
au départ
je n’étais pas vraiment contre
l’adoption de ce petit alien
tombé de son nid céleste
et puis c’est si mignon
quand il dort dans le creu de ton cou
mais j’ai bien peur
qu’il ne soit la cause
de mes étranges et nouvelles allergies…
le récitant : et dansent les caniches…
On photographie>les objets pour les chasser de son esprit. >La véritable réalité est toujours <irréaliste
le récitant : quel dommage que nous ne sachions pas nous dire au revoir. at least… i love you…
mmm…
You are The Twins, from « The Matrix. »
Bad, but with a sexy streak- surprisingly
refreshing. You know what you want, when you
want it.
ça a le mérite d’être clair.
Les images se grimaient et se paraient de mille couleurs pour séduire les hommes, toutes possèdent la langue habile et le charme facile des créatures enjoleuses des deux sexes. Bientôt leur influence sera telle que plus rien ne sera en mesure de s’opposer à elles. Elles balaieront la philosophie d’un revers de la main, supprimeront la vérité et enverront les hommes mourir au loin pour les plus belles d’entre elles.
Où est la vie ?
Hors de la question, hors
d’atteinte, dans les chambres des autres. C’est la
nuit, je joue au fièvreux ; voyageur
d’états extrêmes bien au-dessus de
ce que je fais d’habitude. Pousse mon ami, étends
toi, mets toi à la place des dieux et regarde toi.
Pourquoi s’arrêter maintenant ? Ecrit dans la sauvagerie,
la résistance au confort du sommeil. J.P.R m’écrivait
l’an dernier : « Il n’y a pas de tragique dans le mail, nulle part, d’ailleurs
aussi. » Ecrire pour la lumière, contre la nuit. Je me
souviens des états de jeunesse, lorsque j’écrivais
dans la chambre de Levallois la première phrase
scandaleuse en regardant la lune. Je l’avais appelée
« PUTAIN ! » Où est la vie ?
Et aujourd’hui, qu’as-tu encore dans le ventre ?
Les traits traversent les périodes,
les amours, les chambres, et tu sais qu’à partir de demain,
il faudra continuer. La légende est la suivante, je
l’invente : prologue écrit dans les tranchées avant
la pluie d’obus, sur ce petit carnet noir.
Où est la vie ?
I lOve jimpUnk
You are Neo, from "The Matrix." You
display a perfect fusion of heroism and
compassion.
What Matrix Persona Are You?
brought to you by Quizilla
Envie ce soir de t’écrire naisement « je t’aime ».
Je t’aime car tu es belle.
Je t’aime car tu sens bon.
Je t’aime quand tu es colère.
Je t’aime quand tu m’en veux.
Je t’aime quand tu allumes ta cigarette.
Je t’aime quand tu dis des bêtises.
Je t’aime quand tu fais la révolution.
Je t’aime quand tu dances.
Je t’aime quand tu as peur.
Je t’aime quand tu es triste.
Je t’aime quand tu souris.
Je t’aime dans la lumière du ponant.
Je t’aime surexposée.
Je t’aime.
…
Tu sais tout cela.
Depuis longtemps déjà.
Comment peux-tu encore me supporter ?