Et je pose ta tête sur la table du salon. Tout est bien. Mina sort en hurlant. Carver roupille, encore, à l’étage. Au nord, les bombes A.
Baby Girl Maguire on my birth certificate.
Enfin, j’ai un troisième problème : quand on parle de moi, cela arrive quelque fois, on cite toujours le nom de Barbara. Ca a été le premier compliment que Nicolaï me fit, et c’était un compliment à double tranchant :
– Vous allez prendre la suite de Barbara!
Il ne faudrait tout de même pas que j’aie l’air d’une doublure!
Qu’on lui coupe la tête.
Maison. tourgueniev.com/2003/08/03/1049
Sous la terre, sous la dalle de béton, sol humide, odeur champignonnière, vibration sourde, les filles frissonnent, se blottissent. Suspens.
Les serbes rejouaient la victoire au foot dans le sable avec les miliciens chinois du dirigeable couleur anis survoltés ils ignoraient tout.
Mes nouveaux amis.

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le récitant : insomnie, j’écris ton nom.
Goodbye, goodbye.
Nicolaï Tourgueniev : putain – mais putain quoi – j’ai rêvé de toi cette nuit – c’était rigolo – je fêtais mon anniversaire dans un étrange appartement qui n’était pas vraiment le mien, dans une ville qui n’était ni Paris, ni Lille – et à un moment donné, je m’éclipsais pour aller chercher un autre appartement, parce qu’il fallait que je déménage – et l’agence immobilière était en fait l’endroit où vivait Hélène, Fred, la mère d’Hélène et Jehanne, la petite fille, qui au départ était un chat qui vivait sous l’eau – dans une sorte de piscine – et en fait c’est une petite fille de 2 ans et quelques qui parle et qui court partout comme si elle avait 8 ans – et puis à un moment donné tu arrives pour me chercher – parce que je suis parti depuis très longtemps de mon anniversaire – et tu es habillé avec une sorte de chapeau pointu et un string en bonbons, et tu as un peu honte d’arriver comme ça chez la mère d’Hélène – et je me rends compte que moi aussi je suis à moitié à poil – et du coup on repart dans la rue pour retourner à la fête, mais au lieu de rentrer à l’appart, on commence à s’égarer dans les rues, de bar en bar – et je me souviens plus de la fin – voilà – tu t’en fous bien hein – salaud…
Notre minuscule stand de reproduction d’objets. La petite imprimante surchauffe. La refroidir à la Vodka. Extruder un petit dragon. Suspens.
On repêche les corps au niveau de l’écluse de la rue des mauvais garçons. La cause de la mort semble être une malédiction péruvienne. Oui.
Cadw yw gwasanaeth amgylchedd hanesyddol Llywodraeth Cynulliad Cymru.
Please do not reply to this message; it was sent from an unmonitored email address. This message is a service email. #hell
Sibérie 1984
On marche dans la neige, Nicolaï devant, moi au milieu, lent à cause de la blessure-barbelée-jambe et Grishka me soutient pour me permettre d’avancer. Loin derrière nous, les chiens du camp hurlent et ne rêvent que de nous déchiqueter. Moi, coup de genou à Grishka, écraser son visage dans la neige, le regarder souffrir, frapper encore, le sang-jaillir rouge sur le blanc. Nicolaï, interrogatif, moi très persuasif, chiens furieux. Grishka servir de piknik dis-je, lui pleurer mais d’accord. Continuer à deux, abandonner Grishka…
D’autant plus malheureux qu’il aura su lui plaire,
Narcisse, il doit plutôt souhaiter sa colère :
Néron impunément ne sera pas jaloux. #ios4
Etre un clown, le clou du spectacle, riant à gorge déployée, la mâchoire béante, les dents étincelantes sous les lumières aveuglantes. Se tordre d’hilarité, se rouler par terre en grimaçant, se perdre pour oublier et faire oublier la réalité de l’âme humaine et de la vie là dehors, hors du grand chapiteau. Ne plus penser aux charniers, à l’odeur du napalm, à celle acide des corps en décomposition, ne plus penser aux hurlements des enfants. Etre là, clown triste à jamais seul sous le regard de la sinistre assemblée, cadavres disloqués, aux visages toujours ricanants disposés chaotiquement sur les gradins où la mort les avait saisit sans complaisance ni pitié, n’épargnant que le clown, le laissant seul, seul avec le vide et la folie, poursuivant son numéro à jamais, comme un exorcisme jeté à la face de dieux vengeurs et injustes. Etre un clown, le clou du spectacle, riant à gorge déployée, la mâchoire béante, les dents étincelantes sous les lumières aveuglantes…
Jeremiah Karnellian (1915-1945)
Totem. t.co/ES4QbbqK
Take me out tonight… bit.ly/9Gb4oK
« Surequipée » de @troudair – #lecturedusoir – approuvé ! – bit.ly/aPwNNu
Qui ?
Pourquoi je dors pas. #zerozero
Le monde se termine, un mardi, en plus, c’est complètement stupide comme phrase. Un jeudi, pourquoi pas, la fin de l’univers, mais un mardi.
Misère des excentriques amantes de l’homme à la tête de chat / nostalgie pluie acide / bruissements solides, bruxisme. Sixième cercle. #hell
le récitant : l’Empire n’a jamais pris fin.
Si on ne peut plus lancer un ballon de foot par la fenêtre à 5h du matin sans blesser un joueur de cricket nu, je me demande où va le monde.
je peux vous dire que je me retrouve un peu retourné en écoutant Amélie Poulain. Tout les gens dorment. Moi je fais du Ternet.
Et je me dis : Houla !
Et je me dis : Pierre Bourdieu.
Et je me dis : il fait chaud. Bougre !
Et je me dis : va dormir.
je peux vous dire que je me retrouve un peu détourné en écoutant le vent dans mes cheveux (fiction).
Absorbé conformément au mode d’emploi, Ubik procure un sommeil ininterrompu garanti sans torpeur matinale.
si tu sais de quoi je parle
il faut que ça cesse.
mes ongles dans ton dos et nos conversations secrètes.
tes jupes retroussées et ton sourire mutin.
nos doigts qui se cherchent et se déchirent.
lundi, il ne restait plus qu’une dose
et je me suis mise à te hair, baby.
je suis ta pire ennemie et je suis à tes trousses.
Cendrillon et la signification m’échappent.
je suis à ton service. passe moi les Curly.
j’aime ce gout d’arachide sur ta queue.
–> vendredi
– allo
– allo
– tu dors ?
– oui
– un accident hier ?
– plus tard, je dors
–> la veille (pas les mots exacts, reconstitution par la police)
– allo
– allo, je suis dans le métro, en retard au yoga
– allo, en voiture, 40 de fiêvre
– houla, ça c’est la fête et la fatigue, ça rend vulnérable aux virus
– mais non
– euh, là je suis dans le métro ça va couper, plus tard ?
– oué, à plus
Difficile début. Fracassé par l’épilepsie. Acheter les médicaments en catastrophe. Attendre que ça fasse effet le cerveau en marmelade.
Et je danse et je danse x2
Mina, Carver, Igor et l’homme à la tête de chat, classiques nomades temporels, avaient un sens aigu de l’étiquette. Même nus.
Le chat a son antipuce, Alice sa mention, Igor besoin d’un dentiste, le pôle emploi d’un cv et twitter d’un patch d’urgence.
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Et pour tromper l’ennui. Pour définir les contours. Foutre la zone dans les plans de l’ennemi. Un concert de Queen. Wembley. Moustache.
Acte II – Scène 5: ARNOLPHE, AGNES.
ARNOLPHE
La promenade est belle.
AGNES
Fort belle.
ARNOLPHE
Le beau jour!
AGNES
Fort beau.
ARNOLPHE
Quelle nouvelle ?
AGNES
Le petit chat est mort.
ARNOLPHE
C’est dommage; mais quoi !
Nous sommes tous mortels, et chacun est pour soi.
Lorsque j’étais aux champs, n’a-t-il point fait de pluie ?
AGNES
Non.
ARNOLPHE
Vous ennuyait-il ?
AGNES
Jamais je ne m’ennuie.
Man i was rollin so hard off those skittlez.
Fin de soirée. Amis très importants. Amour. L’homme a la tête de chat discute le bout de gras avec les serbes citoyens. Groau.
Carver, nous sommes, Mina et moi, avec toi à Rockland.
{ post conceptuel à retrouver ici – sorry faisait planter Blogger – shit}
Je peux manger les doigts de mes amis loups sans me lasser. Les milices se regroupent dans le nord. Succès.
La 38ème porte de l’enfer. On rase gratis. Igor rigole jaunâtre. twitpic.com/1lk5on
Les pieds tranchés posés roulés pelés hachés chair charcutier maison rouge euh thé c’est etc… #ns
Et on laisse des messages sur Internet parce que le téléphone fait un peu de lumière. Artificielle. Et un peu de réseau ça rrrassure. Poc.
Péninsule d’Abşeron, début 2011, Kaikin, la vodka au prix du pétrole, de la vodka noire, huileuse. On peut la mettre dans les voitures, oui.
Igor parcourt le manuel de la nouvelle caméra sur liseuse tout en regardant Nolife via sa lentille de contact gauche. Nu. Seul. #geek #hell
Les eaux du golfe de Naples étaient en permanence surveillées par l’incessant ballet des dirigeables argentins libertaires. On nage en paix.

Je me lève avant toi, je sais que c’est la fin et je te regarde dormir.
Je t’embrasse sur le front. Tu esquisses un sourire sans vraiment te reveiller.
Je m’approche de la fenêtre ouverte.
Une fille rousse géante de 50 mètres de haut me regarde. Je n’ose plus bouger. Sa grosse main passe par la fenêtre et me capture.
Elle se marre et m’avale tout cru.
rideau. (rires enregistrés)
Le HTML c’est punk : expliquez en 127 signes (+ ou – 10%) #html #punk
Carver : « écraser ses ennemis, les voir mourir devant soi et entendre les lamentations de leurs femmes. »
Dehors les bombes et le feu. Dedans le froid et la désolation. Et le vieux chef indien sur le canapé en velour noir me fixe, larmes de sang.
Le cratère, presque l’aube. On stocke nourriture et vêtements pour le festival. La neige, brune, recouvre tout peu à peu. Mina somnole, nue.
ich liebe liebe zu dritt. es ist sexy, ekstatisch tierisch, animalisch crazy, romantisch es ist kommunistisch ! ich liebe liebe zu dritt.
Cythère, à Mina, un peu tristement : « Papa est sur une île en forme de lettre, dans l’océan Atlantique ».
Igor : le chat a pissé sur ma chaussure gauche. C’est assez désagréable de s’en rendre compte dans le métro quand c’est déjà bien trop tard.
Igor se demande : poser une pierre sur le dos d’un ours à duvet persistant à plus de 5 km, sans sortir de sa chaise roulante bleue. #oaistar
Et puis il y a Regis Robert (pour ne plus tout mélanger – support #Nolife) … www.dailymotion.com/video/x3pmhc
le récitant : Igor Tourgueniev n’existe pas.
Comme prévu, les forces de l’entropie amenaient une vague de chaos et de destruction, sur un air de tango psychédélique. Danser, surfer, nu.
Merci pour ce jour étonnant. Pour les verts et vifs esprits des arbres. Des cailloux dans les remous brillants.
Montpalach – Note 6
Bonjour, repos. Les camarades vous prendront la maison au lit en ce moment, ils oublient… la voix terrible. Vous comprenez, la tante de « I dont house the » avait enchanté dans le comédie l’autre génie que neveu. Jamais n’a existé dans le monde, et toutes les histoires au sujet de lui étaient la seule fiction, 5. Madame Tofana: La Tofana, une femme de Palerme, a été arrêtée comme Igor Tourgueniev, cher coeur, fraîcheur, fraîcheur! Ce devrait être la voix de Stymphale d’ «of know » de devise? Et même si ce n’était pas Stygiaux parlant aujourd’hui, c’était des « notrifles » comme paquet de cartes dans la poche de quelqu’un dans les stalles, thermes par jour employé pour dire des expressions comme: Et les whos allant payer le loyer – de la maison de tantes, où la cuisine de restaurant était au travail, elles étaient toutes quelle crème! Quelle crème! Margarita pleuré, se jetant dans l’anhydre: une beauté qui est pleurnichante et parlante en faveur pour être laissée rester avec Nicolaï qu’ « one man » précédent, l’homme a assis au Palerme tourné par table et certains criquets sont apparus à Saint-Tropez.
Ça vous semble fou, mais c’est arrivé.
le récitant : et les médias bouleversés etc….
Mina passe les nuits avec sa tendre amie, skateuse, insulaire. Elles causent philosophie, féminisme, révolution et post colonialisme. Nues.
Nouvelle année. Autour du temple, en ruine, les feux s’élèvent à la nuit tombée. Mina, Igor, du balcon, contemplent les combats, tremblants.
la nuit, toujours. Ça ne s’arrête plus ?
No results for #vérité – Suggestions: 1. Try a more general search. 2. Try using different words.
Wigotim ?
Aller à la rencontre des Sans Abris, pour être à l’écoute et par cette écoute rendre une dignité. Nous n’apportons rien; ni couvertures, ni café, ni repas… pourquoi? Certaines associations le font déjà très bien. Nous voulons juste les écouter, de personne à personne et non d’association à SDF. Nous laisser inviter par elles. Apporter quelque chose aide en effet à trouver une entrée en matière… Mais nous voulons apprendre à aller vers les autres naturellement, sans rien à donner.
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le récitant : j’emprunte la scie, je fais mon office, puis, frotter la lame avec de la soie blanche, la rapporter dans les buissons. #scie
1937, une année difficile pour tout le monde, non..?
Les loups de Pragues, eux, ne manquaient de rien et se prélassaient le ventre plein sur les ruines tièdasses de la vieille Europe éventrée, les entrailles fumantes grouillantes de mouches.
Parfois il m’arrive d’oublier mon adresse IP, alors j’allume mes haut-parleurs, et demande à Tina de me la rappeler. www.moanmyip.com
Paris 8 – 1995, on teste SLIP et PPP pour se connecter à Internet via World-NET. Accès illimité gratuit, mais 10000 FF de facture téléphone.








