HA-HA, HO-HO & HEE-HEE
Mina & Igor contre tous chacals.
Oh ! Bien.
Je suis gentil toute l’année. Demain je fais quoi ?
Comment tirer cela au clair ?
Biches biches !
Ça n’aide pas beaucoup la barbe contre les insomnies. t.co/CGcieZId
J’ai envie de relire la Marque de Raspoutine.
Igor, au réveil, coincé entre Mina et Carver, souriant : « mais qui voudrait être ailleurs quand on peut être ici ? »
Et je peux apercevoir, sortant de la fumée, d’énormes gars avec leurs énormes trompettes. La section cuivre pulvérise Calais.
Traverser la Seine, chelou. t.co/jKd7Veu8
Tu es amoureux ou tu as juste besoin d’amour ?
Mais avant, brunch avec Mina, Carver dans le cratère d’un volcan en éruption. L’homme à la tête de chat mangera des sardines, du thon.
Proposition de perf : deux personnes font l’amour chacun porte un masque de la mère / du père de l’autre au même âge. Enfin tu vois quoi.
Hommage. t.co/QorhoUhX
Comme le rappelle si bien Médoc, dans les années 80 on s’habillait exclusivement avec les vêtements des ennemis vaincus au combat.
Aboulie.
Personne n’accouchera dans le boudoir aujourd’hui, merci.
Joie douce et calme. Physionomie pleine d’hilarité. Gaieté subite. Mouvement d’hilarité. Ces paroles excitèrent l’hilarité de l’assemblée.
Une idée de mon activité professionnelle d’aout 2002 à février 2006 ?
Coupez !
Hop.
Opération Raclette Garden.
Longtemps j’ai voyagé dans le temps.
Mina, Igor, goguenards, partageaient une petite Kro’, heureux dans leurs grands pantalons. Ça sentait la valse, le ska. t.co/PsB0G90n
Carver couvert(e) de cendre termine sa première pellicule 24 poses. Fujichrome Sensia 200 avec son vieux Nikon N8008s et Nikkor 50mm f/1.8.
Mina pratiquait l’espionnage industriel, sexy, comme d’autres le twist, à Saint Tropez. t.co/egSanLFD
Glitter !
Poignant. ✔
Nature morte.
Steak haché bio, haricots verts, œuf, pommes de terre et bacon. Malgré les bombardements, Mina et Igor ne se laissaient pas glisser.
Quand j’étais petite, je n’avais peur de rien, de personne. Mâcher de petits morceaux de verre, jouer avec le feu. Boxer un plus grand.
Parfois, une aura précède la crise. L’aura est une sensation qui varie d’une personne à l’autre.
When in doubt, bear.
En vadrouille avec Bonnie. Au Charbon, sans Clyde ni barreaux.
Et nous prolongerons les festivités au delà du seuil autorisé, avec gentillesse et attention, amicalement et de nuit.
Igor & Mina conte tout chacal ?
Le ninja du biriani a encore frappé.
*tousse*
Qui ?
Nos rencontres restent maladroites et cruelles.
Je commence à ramasser les morceaux.
Il y a une petite fille fantôme dans le miroir du salon. Celui en forme de cercueil. Elle regrette son enfance, sa poupée, perdus.
Où se trouve le vrai Igor Tourgueniev ?
Une maman raton-laveur vient d’accoucher sur la moquette de mon salon. Les petits sont attendrissants. Leurs yeux sont collés et gluants.
Hey !
Non, rien ici. Hum.
Enfin on fait ce qu’on peut, au mieux, avec des millénaires de patriarcat dans le dos.
Et les grands magasins, d’odeurs et de lumières, flammes et brulé, corps de mannequins carbonisés, peluches en larme, crépitantes.
Europe fille d’Agénor est une amante de Zeus ; Europe l’Océanide est une nymphe des eaux; Europe fille de Tityos est une amante de Poséidon.
Quand j’étais petite, je me souviens, trainer dans la forêt, habillée en rouge, visiter mamie, et ne pas craindre les rencontres, bath !
Expérience traumatique dans le métropolitain. Sous les fenêtres de l’ambassade, heureusement tout va bien. Couleurs. t.co/dMLNIVaL
Nous ne nous parlons pas. Nous ne nous écoutons pas. Nous ne nous comprenons pas. Nous ne nous aimons pas. Galipette surréaliste.
Où Igor, après diverses zones de guerre, tente de survivre à un mauvais Ceylan (ex Sri Lanka), et du Rn’B médiocre, en attendant yoga.
Impossible de quitter la couette.
Et le Prince, juste, je le déteste.
Le bébé raton-laveur semble un peu mort-né. Je fais de mon mieux pour le ranimer. Sa mère m’ignore salement. t.co/ykjy5EFH
L’aura est une sensation qui varie d’une personne à l’autre. Elle peut se manifester par de l’irritabilité ou de l’agitation.
Mina, au réveil, couverte d’uranium et de cartouches de napalm : « mais qui voudrait être trader quand on peut être astrophysicien ? »
Tu ris parce que ça te semble ridicule.
Et le sommeil comme une vague alternative à cette interminable veille.
Je voudrais goûter le petit bout de mystique que tu as collé sur la gauche de ta lèvre supérieure. Bi-goût pêche-païen, sans aucun doute.
Dans certains cas, la personne atteinte peut reconnaître ces sensations et si elle en a le temps, s’allonger pour prévenir une chute.
Douces pensées. Aux losers. Aux amis.
Ontologie granulaire : t.co/IrKWlFu7
Et si je dormais un peu…
Quand j’étais petite fille, fraîche, futile, je n’aimais que toi, le fracas de tes explosives colères, bourrues. Et, tes mains si chaudes.
Enfin, tu vois quoi.
Je parle japonais avec une pomme de douche illettrée. Nos idéaux se rejoignent.
Non. Pas lui.
C’est une belle journée, je vais me coucher.
Passage de relais de la Nuit à ceux qui sont de Journée.
En regardant par la fenêtre d’@iwdrm, Igor pouvait apercevoir les images bouger, un petit peu, mais pas trop. Beau boulot !
Le chat veut clairement me dire quelque chose, mais quoi ? Il veut de la poésie, du thon, des séances de yoga, une teinture ?
Mina et Igor se jouaient aisément des manigances des impériaux. Carver content(e) comptait ses deniers dans la cale du petit chalutier. Fin.
Tout chacaux ?
Et la Samain, encore. Résidus. t.co/UmhuTnCw
Je vais vérifier de suite. Merci.
Je te vois. t.co/VNusqvwF
Le saucisson, la vie.
Relire Balzac. t.co/T3ZFC3S1
Donnons du merci en ce jeudi déjà nocturne.
Mina gagnait toujours à Singstar. t.co/LJnnMGQw
Maintenant je suis vieux, et j’attends juste le sommeil en nettoyant le vieux fusil de papa. Tu me manques. Les bouts de verre, aussi.
Madness, I call it gladness.
Carver tremblait de froid, de faim et d’excitation. Mina pelletait la neige sous les arbres. Igor : insomnie.
En direct du textile je rentre chez Udo désolé chez Bonnie pour son anniversaire. #keur
Le chat ronfle très très doucement. C’est extrêmement rassurant.
Mes aubes embarrassantes, mes nuits impossibles et mes journées ensablées me rappellent à quoi sert Twitter.
Il y a une autoroute subspatiale passant par ma tête où tu skates allègrement, l’envie me prend de commander un bon bouquin, numérique.
Igor sentait son cœur à nouveau prêt à être volé, brisé et piétiné. A vos marques mesdames (et autres) ! t.co/bsTS4m06
Oui ! @_omr !!
Avis aux raconteurs d’histoires, à deux : t.co/KrMMGV7M
Carver, au réveil, couvert de paillettes et de sang neuf : « mais qui voudrait être banquier quand on peut être poète ? ».
Etc.
De nuit.
Samain. Je recolle mon nez à la super glue. t.co/vfx47ECV
Je pense que si je laisse tomber ce joli bouquet de roses bleues par la fenêtre, je vais enfin savoir à quoi sert Twitter. Révélation.
Il y a une personne masquée debout dans le salon, dans le noir. Un masque de bouc, cuir et plastique. Il ne dit rien, ne bouge pas. L’oeil.
Qui n’a d’existence que dans l’idée, dans l’esprit, réunit toutes les perfections que l’esprit peut concevoir, indépendamment de la réalité.