Et on va dans la forêt la nuit, on a juste la pleine lune comme lampe de poche et on peut imaginer facilement des choses effrayantes. Peurrr
Rough nuit à toutes.
Mina : « J’aime mon bo loulou pour ses hanches gracieuses, pour son doctorat en neuroscience appliquée aux armes de guerre innovantes ».
Autant être à l’aise.
Bonne Saint-Barthélemy à tous !
Un mec de la ville, de passage : « Tuer avec des gants, ce serait comme baiser avec une capote ! ».
Les miliciens étaient les amis de l’ensemble de la population. Personne ne se cachait, les messages dissidents. t.co/EdLkFwM
Si vous voyez (encore) ce que je veux dire. Pour vous désinscrire du monde. t.co/4AGoIR4
Plus tard. A voir.
Oui c’est TOI l’inconnue qui vient hanter mes nuits. T’occupant des serveurs d’une boutique de manga et bossant ensuite pour l’armée.
Les chats peuvent aider à passer les frontières. Les pieds dans l’eau. 38. Donc. Je passe le seuil. Aveugle et hilare.
Rêves d’examens non révisés, de compagnonnage sexuel et finalement de catastrophe aérienne.
Fuck Jimmy.
Cette fille ressemble tellement à Kaneda que ça me donne l’envie irrépressible de lui offrir ma moto rouge trop bien. Hotel new rose.
Igor : « on va tellement crever Sexy Sushi vendredi soir que vous aurez plus rien samedi ». Mina : « oué oué, on verra ». Carver : « policière ? »
Igor : « Quitter la ville, enfin. » Mina : « Ne rêve pas : c’est terminé. » Carver : « LOL ! » Igor : « Mais..! » Mina rigole et ouvre le feu.
Inforrrme et terrrible.
ᶘ ᵒᴥᵒᶅ <—- it’s not an ordinary bear.
Question de thon au cœur de la nuit.
This is not a suicide note.
Souvvvent à la mer on se baigne ivres et nus au milieu des requins fous et mangeurs d’homme. Parfois on ne meurt pas. Parrrfois.
Si je ferme les yeux, Internet n’existe plus ?
Mes yeux se voilent. Enfance. Glisser sur une rampe d’escalier bien longue, bien cirée. La rampe est soudainement changée en lame de rasoir.
Forcément je vais me renseigner. #haunting #sysadmin
Encore une séance photo : le vaisseau fait d’ongles d’hommes morts. Mon assistante veut une augmentation. Une prime, au moins.
Suivre le chat dans la forêt. Rencontrer son amante secrète. Tous les trois on écoute les chiens hurler. Un peu inquiets on plisse les yeux.
Pour la nouvelle année, ses amis offrent, à Igor, tendres baisers, caresses interdites et affection spontanée. Ça le chavire. Merci.
J’ai compté, ça fait un nombre à un chiffre.
Le train des rebelles en route vers la Sibérie. Mina ajuste ses cartouchières. Igor, rêveur, observe les champignons, les bombes, lumière.
« on ne peut se protéger de la tristesse sans se protéger du bonheur » me rappelait souvent Mina.
Carver et Mina venaient de retrouver un artefact d’avant l’Irréparable Incident. Recueillement. t.co/Qo5oo1a
Encore une minute et 3 ans.
Notons par ailleurs que Sartre particularise l’analyse idéationnelle du tourguenisme.
« Le cyberespace. Une hallucination consensuelle vécue quotidiennement en toute légalité par des dizaines de millions d’opérateurs… » W. G.
Tu me vois…
Igor aimerait vous conseiller sur les gens à suivre le vendredi mais Mina lui signale qu’ils sont en mode privé ou super célèbres, donc.
Quand Mina & Igor jouaient aux Snipers, ils coordonnaient leurs gestes en écoutant « Miami » par Will Smith. Ils étaient vraiment bons.
Déjà vu.
Ce soir, je change d’île pour dormir.
Pelez et émincer les oignons, les faire blondir à feu doux dans 30 g de margarine. Mélanger les oeufs, la margarine fondue, sel, poivre.
Avec un cutter à deux lames on retire facilement un ongle. Ou un œil. Le deuxième est forcément plus problématique vu qu’on perd le relief.
Bon ok, je pleure dans le train.
On vient de me livrer un tatoueur ivre de taille inhabituelle. Un T.I.T.I. Je vais l’installer dans le bureau. Il a juste un sac à main.
« Allo Bain De Minuit » j’écoute !
« Ca y est, Harisson «au revoir» Ford à enfin largué ce petit cul serré de Calista «Hard Core» Flockhart. » dit le Sage.
Lieu ou construction sommaire servant de protection contre les intempéries, de refuge contre un danger. Contre pluie, bombes, rats, dindes.
Tout bèl followers mw yo ki poko domi yo mw ta renmen nou ekrim yon bel ti sms pou n bonne nuit ?
Dans les rues qui se donnent ?
La foudre frappe dans le jardin. Les plombs sautent. Punition de nos vilaines pensées. Et le chat reste cool. Fourmillement sur le clavier.
Pondichery : séance photo avec les tigres.
Carver en entamant la descente finale : « Dans le Lac les Annéciens ! ».
*insérer ici une terrible gueule de bois à base de Jägermeister*
je prédis un grand retour de « je connaissais la même avec un rabbin »
Je pense que je m’embrouille.
Je suis à 38 années Google de la plénitude. De la terre. De la mort. De toi. De tes yeux. Du spin de cette carte à jouer. De la fin et nu.
Et une pensée pour les personnes isolées loin de l’administration système, des surgelés en bon état et de la lumière artificielle. Linge !
L’Homme à la tête de chat dans le panier n’attendait qu’un signe de sa maitresse pour éventrer le petit monstre hurleur du train vers Paris.
Mina fait son premier Twitpic de seins ? t.co/yfrzFYm
Et il pleut. A verse. Et l’eau recouvre Paris. Noyant les hipsters, les chiptsters et les autres, qui ne le méritaient sans doute pas tous.
Le mardi c’est tellement… Vendredi.
Troubler, tripoter, tâter, substituer, sonder, révolutionner, retoucher, remuer, relâcher, rectifier, recevoir, porter, pétrir, percevoir…
Devant, derrière.
Une jeune fille se frotte le visage avec un poulpe vivant. Personne ne semble surpris. Ça protège vraiment du soleil ?
Si le tourguenisme génératif est pensable, c’est tant il en identifie l’expression universelle en tant qu’objet sémiotique de connaissance.
Je me sens comme James Bond sans son permis de tuer.
Je veux ta sieste.
They’d hurt to make you cry but you’d never cry to them just to your soul
No you’d never cry to them just to your soul.
Et on arrive à Toulouse.
Saké !? t.co/ouNIeVN
Si vous jouez avec les animaux non apprivoisés, petits lapins, vous risquez de vous faire pincer très fort. Portez un fez, un nœud papillon.
Et bienvenue tout le monde dans ce merveilleux mardi. Le mardi c’est comme le vélo. Quand on sait faire, on n’oublie pas. Le mardi c’est…
Salive, bave, crachats et autres sécrétions. C’est plutôt stimulant.
Et merci à la visiteuse onirique « de l’enfer » d’avoir rapidement interrompu ses incursions à base d’avatars dessinés.
Carver était un peu dans ce genre, avant de virer philosophe coupe-tête : t.co/O1Kpgnc
Une illusion peut-elle exister ?
Non mais sérieux, là, tous, on ne devrait pas être plutôt en train de sauver le monde ? (please RT) *tousse*
Vertiges de l’acide.
Trois garçons imaginaires m’entrainent au fond du bassin, leurs mains comme les mâchoires d’un grand requin blanc, seul. Trop de sang, salé.
Evidemment nous étions à table.
BALAFRE… elles ne peuvent l’oublier ! C’était un homme qui portait BALAFRE. Tout simplement. Un homme à l’élégance d’homme.
Je veux que tu m’obéisses bien gentiment. t.co/DGZDTOg
je prédis un grand retour de « c’est ce qu’elles me disent toutes »
Ça tremble de partout.
Au moins avec les singes on n’a pas de surprises.
Carnivores, les plantes.
Sur les flancs du dirigeable des terroristes, une maxime : « Jubilation matriarcale contre castration patriarcale ! »
Ne pas boire avant le festival.
Hem.
L’Internet existe au-dessus et en dessous de son nœud ?
Le loup qui gratte à la porte m’empêche de dormir.
La vie est finalement dans l’ensemble plutôt intéressante. Et en particulier. La vie.
*tousse*
Wesh gros.
Le tigre, allongé sur le sol, léchait ses grosses pattes du bout de sa longue langue rose.
Ok, je craque.
Et quitter Bombay.
Le mardi c’est pour la vie.
L’homme regarde l’Internet, l’Internet regarde l’homme.
Et on laisse des messages sur Internet parce que le téléphone fait un peu de lumière. Artificielle. Et un peu de réseau ça rrrassure. Poc.
Je croque dans une pomme un peu trop verte et c’est le drame.