Si le tourguenisme génératif est pensable, c’est tant il en identifie l’expression universelle en tant qu’objet sémiotique de connaissance.
Avec un cutter à deux lames on retire facilement un ongle. Ou un œil. Le deuxième est forcément plus problématique vu qu’on perd le relief.
Si je ferme les yeux, Internet n’existe plus ?
Mina mangeait abondamment et souvent mais les arts martiaux pratiqués depuis l’enfance ne laissaient rien dépasser sous ses abdos d’ado.
Je veux que tu m’obéisses bien gentiment. t.co/DGZDTOg
Et dehors. La chaleur lourde, à nouveau.
Forcément je vais me renseigner. #haunting #sysadmin
La foudre frappe dans le jardin. Les plombs sautent. Punition de nos vilaines pensées. Et le chat reste cool. Fourmillement sur le clavier.
Pendant quelques minutes, semelles de plomb terribles, la pluie sans doute ou le souvenir d’une chanson. Un duo boiteux, pour elle, au loin.
Sommeil où es tu ?
Question de thon au cœur de la nuit.
Notons par ailleurs que Sartre particularise l’analyse idéationnelle du tourguenisme.
Un univers, un docteur, un hamster.
Dans les rues qui se donnent ?
Non mais sérieux, là, tous, on ne devrait pas être plutôt en train de sauver le monde ? (please RT) *tousse*
La vie est finalement dans l’ensemble plutôt intéressante. Et en particulier. La vie.
Mina fait son premier Twitpic de seins ? t.co/yfrzFYm
Pour la nouvelle année, ses amis offrent, à Igor, tendres baisers, caresses interdites et affection spontanée. Ça le chavire. Merci.
Igor constatait que, au bord de la piscine, les jeunes filles de province, donc qui se nourrissent, ont un petit ventre, sain et joli.
Je veux recevoir des morceaux de ton corps. t.co/3toWtXf
« Le cyberespace. Une hallucination consensuelle vécue quotidiennement en toute légalité par des dizaines de millions d’opérateurs… » W. G.
Reboot.
Le coton c’est doux. Naturel. Et biodégradable. Et un peu rugueux aussi. Juste comme il faut. Le chat valide de la tête.
Dans mon abri j’entends les souris.
Et il pleut. A verse. Et l’eau recouvre Paris. Noyant les hipsters, les chiptsters et les autres, qui ne le méritaient sans doute pas tous.
Mes yeux se voilent. Enfance. Glisser sur une rampe d’escalier bien longue, bien cirée. La rampe est soudainement changée en lame de rasoir.
Une illusion peut-elle exister ?
J’ai compté, ça fait un nombre à un chiffre.
je prédis un grand retour de « je connaissais la même avec un rabbin »
En vieillissant, le cœur grossit ? Si on se marie, le compteur se bloque pour toujours ? Ceci > Cela.
Je me sens comme James Bond sans son permis de tuer.
Et nous restons sous les mortels rayons du soleil. Au bord de la piscine. Nos corps cancéreux et maladifs tremblants et nus. Rumba.
Je suis à 38 années Google de la plénitude. De la terre. De la mort. De toi. De tes yeux. Du spin de cette carte à jouer. De la fin et nu.
Lieu ou construction sommaire servant de protection contre les intempéries, de refuge contre un danger. Contre pluie, bombes, rats, dindes.
Et on arrive à Toulouse.
Encore une séance photo : le vaisseau fait d’ongles d’hommes morts. Mon assistante veut une augmentation. Une prime, au moins.
Trois garçons imaginaires m’entrainent au fond du bassin, leurs mains comme les mâchoires d’un grand requin blanc, seul. Trop de sang, salé.
Et bienvenue tout le monde dans ce merveilleux mardi. Le mardi c’est comme le vélo. Quand on sait faire, on n’oublie pas. Le mardi c’est…
ᶘ ᵒᴥᵒᶅ <—- it’s not an ordinary bear.
Souvvvent à la mer on se baigne ivres et nus au milieu des requins fous et mangeurs d’homme. Parfois on ne meurt pas. Parrrfois.
« Ca y est, Harisson «au revoir» Ford à enfin largué ce petit cul serré de Calista «Hard Core» Flockhart. » dit le Sage.
Tout bèl followers mw yo ki poko domi yo mw ta renmen nou ekrim yon bel ti sms pou n bonne nuit ?
Et quitter Bombay.
Suivre le chat dans la forêt. Rencontrer son amante secrète. Tous les trois on écoute les chiens hurler. Un peu inquiets on plisse les yeux.
Igor : « Quitter la ville, enfin. » Mina : « Ne rêve pas : c’est terminé. » Carver : « LOL ! » Igor : « Mais..! » Mina rigole et ouvre le feu.
Tu me vois…
Inforrrme et terrrible.
Hem.
Je croque dans une pomme un peu trop verte et c’est le drame.
Oui, on se le demande. t.co/gPqPCqR
Devant, derrière.
Si vous jouez avec les animaux non apprivoisés, petits lapins, vous risquez de vous faire pincer très fort. Portez un fez, un nœud papillon.
L’Internet existe au-dessus et en dessous de son nœud ?
Une jeune fille se frotte le visage avec un poulpe vivant. Personne ne semble surpris. Ça protège vraiment du soleil ?
Ne pas passer sa vie à la gagner.
Salive, bave, crachats et autres sécrétions. C’est plutôt stimulant.
Un mec de la ville, de passage : « Tuer avec des gants, ce serait comme baiser avec une capote ! ».
Nous réservons tout le 3ème étage. Certaines cloisons sont abattues. On fait de la place autour des chaudrons et des planches à découper.
Plus tard. A voir.
Fracture. t.co/N7eAU7k
Au moins avec les singes on n’a pas de surprises.
Le tigre, allongé sur le sol, léchait ses grosses pattes du bout de sa longue langue rose.
Et une pensée pour les personnes isolées loin de l’administration système, des surgelés en bon état et de la lumière artificielle. Linge !
Igor aimerait vous conseiller sur les gens à suivre le vendredi mais Mina lui signale qu’ils sont en mode privé ou super célèbres, donc.
Evidemment nous étions à table.
Mère nature semble mécontente des suites de l’affaire #DSK.
Carver en entamant la descente finale : « Dans le Lac les Annéciens ! ».
Bon ok, je danse dans le train.
On vient de me livrer un tatoueur ivre de taille inhabituelle. Un T.I.T.I. Je vais l’installer dans le bureau. Il a juste un sac à main.
« Allo Bain De Minuit » j’écoute !
En fait si on veut aider la nation faut boire des litres de whisky-coke à Disneyland en fumant 4 paquets par jour.
Je veux ta sieste.
Quelqu’un a mangé la soupe. Quelqu’un a dormi dans mon lit. Boucle d’Or ?!
Ne pas boire avant le festival.
Pondichery : séance photo avec les tigres.
Un type sur l’autre quai porte un costume, c’est un costume de chef indien, un sosie de Sitting Bull, le métro arrive enfin.
Rêves d’examens non révisés, de compagnonnage sexuel et finalement de catastrophe aérienne.
Autant être à l’aise.
Le train des rebelles en route vers la Sibérie. Mina ajuste ses cartouchières. Igor, rêveur, observe les champignons, les bombes, lumière.
Sans ma barbe. t.co/hTJ0Ts7
« on ne peut se protéger de la tristesse sans se protéger du bonheur » me rappelait souvent Mina.
Carver était un peu dans ce genre, avant de virer philosophe coupe-tête : t.co/O1Kpgnc
Igor : « on va tellement crever Sexy Sushi vendredi soir que vous aurez plus rien samedi ». Mina : « oué oué, on verra ». Carver : « policière ? »
Les miliciens étaient les amis de l’ensemble de la population. Personne ne se cachait, les messages dissidents. t.co/EdLkFwM
Quand Mina & Igor jouaient aux Snipers, ils coordonnaient leurs gestes en écoutant « Miami » par Will Smith. Ils étaient vraiment bons.
Encore une minute et 3 ans.
Le loup qui gratte à la porte m’empêche de dormir.
Je te vois…
*tousse*
Mina : « J’aime mon bo loulou pour ses hanches gracieuses, pour son doctorat en neuroscience appliquée aux armes de guerre innovantes ».
This is not a suicide note.
Sur les flancs du dirigeable des terroristes, une maxime : « Jubilation matriarcale contre castration patriarcale ! »
They’d hurt to make you cry but you’d never cry to them just to your soul
No you’d never cry to them just to your soul.
« Année Google » : proposez une définition.
Troubler, tripoter, tâter, substituer, sonder, révolutionner, retoucher, remuer, relâcher, rectifier, recevoir, porter, pétrir, percevoir…
Le mardi c’est tellement… Vendredi.
Déjà vu.
Et dans la corne de l’Afrique. Les ventres gonflés. Par la faim.
Touche mes saints.
Igor, une côte cassée, trouvait le matin bien long, les gestes du quotidien relativement pénibles à effectuer, le soleil bien trop rond.