Inforrrme et terrrible.

 

Si vous jouez avec les animaux non apprivoisés, petits lapins, vous risquez de vous faire pincer très fort. Portez un fez, un nœud papillon.

 

Bon ok, je danse dans le train.

 

Et on arrive à Toulouse.

 

Wesh gros.

 

« Le cyberespace. Une hallucination consensuelle vécue quotidiennement en toute légalité par des dizaines de millions d’opérateurs… » W. G.

 

Et quitter Bombay.

 

Tout bèl followers mw yo ki poko domi yo mw ta renmen nou ekrim yon bel ti sms pou n bonne nuit ?

 

Pondichery : séance photo avec les tigres.

 

Et dehors. La chaleur lourde, à nouveau.

 

Et on va dans la forêt la nuit, on a juste la pleine lune comme lampe de poche et on peut imaginer facilement des choses effrayantes. Peurrr

 

Le mardi c’est tellement… Vendredi.

 

Touche mes saints.

 

Déjà vu.

 

je prédis un grand retour de « c’est ce qu’elles me disent toutes »

 

La vie est finalement dans l’ensemble plutôt intéressante. Et en particulier. La vie.

 

Ok, je craque.

 

Igor : « Quitter la ville, enfin. » Mina : « Ne rêve pas : c’est terminé. » Carver : « LOL !  » Igor : « Mais..!  » Mina rigole et ouvre le feu.

 

Nous réservons tout le 3ème étage. Certaines cloisons sont abattues. On fait de la place autour des chaudrons et des planches à découper.

 

Et une pensée pour les personnes isolées loin de l’administration système, des surgelés en bon état et de la lumière artificielle. Linge !

 

Et je pose nu pour un magazine de jardinage.

 

Si vous voyez (encore) ce que je veux dire. Pour vous désinscrire du monde. t.co/4AGoIR4

 

Hem.

 

Souvvvent à la mer on se baigne ivres et nus au milieu des requins fous et mangeurs d’homme. Parfois on ne meurt pas. Parrrfois.

 

Quelques photos et ça sera le temps du rasoir.

 

Carnivores, les plantes.

 

L’homme regarde l’Internet, l’Internet regarde l’homme.

 

Igor aimerait vous conseiller sur les gens à suivre le vendredi mais Mina lui signale qu’ils sont en mode privés ou super célèbres, donc.

 

Les chats peuvent aider à passer les frontières. Les pieds dans l’eau. 38. Donc. Je passe le seuil. Aveugle et hilare.

 

Oui, on se le demande. t.co/gPqPCqR

 

Je veux ta sieste.

 

BALAFRE… elles ne peuvent l’oublier ! C’était un homme qui portait BALAFRE. Tout simplement. Un homme à l’élégance d’homme.

 

Et merci à la visiteuse onirique « de l’enfer » d’avoir rapidement interrompu ses incursions à base d’avatars dessinés.

 

En vieillissant, le cœur grossit ? Si on se marie, le compteur se bloque pour toujours ? Ceci > Cela.

 

Parfois on va à la campagne et personne ne meurt. Parrrfois.

 

C’est carrément pas autorisé l’intrusion onirique sans permis. Surtout à répétition. Oui c’est à TOI que je parle. Passagère clandestine.

 

Mes yeux se voilent. Enfance. Glisser sur une rampe d’escalier bien longue, bien cirée. La rampe est soudainement changée en lame de rasoir.

 

On vient de me livrer un tatoueur ivre de taille inhabituelle. Un T.I.T.I. Je vais l’installer dans le bureau. Il a juste un sac à main.

 

Je me sens comme James Bond sans son permis de tuer.

 

Igor, une côte cassée, trouvait le matin bien long, les gestes du quotidien relativement pénibles à effectuer, le soleil bien trop rond.

 

Ne pas passer sa vie à la gagner.

 

Et il pleut. A verse. Et l’eau recouvre Paris. Noyant les hipsters, les chiptsters et les autres, qui ne le méritaient sans doute pas tous.

 

Ce soir, je change d’île pour dormir.

 

Je veux que tu m’obéisses bien gentiment. t.co/DGZDTOg

 

Devant, derrière.

 

Carver était un peu dans ce genre, avant de virer philosophe coupe-tête : t.co/O1Kpgnc

 

Je suis à 38 années Google de la plénitude. De la terre. De la mort. De toi. De tes yeux. Du spin de cette carte à jouer. De la fin et nu.

 

Le train des rebelles en route vers la Sibérie. Mina ajuste ses cartouchières. Igor, rêveur, observe les champignons, les bombes, lumière.

 

Le mardi c’est pour la vie.

 

Un univers, un docteur, un hamster.

 

Carver en entamant la descente finale : « Dans le Lac les Annéciens ! ».

 

Fracture. t.co/N7eAU7k

 

Rough nuit à toutes.

 

Une jeune fille se frotte le visage avec un poulpe vivant. Personne ne semble surpris. Ça protège vraiment du soleil ?

 

Je veux recevoir des morceaux de ton corps. t.co/3toWtXf

 

Encore une minute et 3 ans.

 

Tu me vois…

 

Vertiges de l’acide.

 

Encore une séance photo : le vaisseau fait d’ongles d’hommes morts. Mon assistante veut une augmentation. Une prime, au moins.

 

Fuck Jimmy.

 

Suivre le chat dans la forêt. Rencontrer son amante secrète. Tous les trois on écoute les chiens hurler. Un peu inquiets on plisse les yeux.

 

Ne pas boire avant le festival.

 

La foudre frappe dans le jardin. Les plombs sautent. Punition de nos vilaines pensées. Et le chat reste cool. Fourmillement sur le clavier.

 

Oui c’est TOI l’inconnue qui vient hanter mes nuits. T’occupant des serveurs d’une boutique de manga et bossant ensuite pour l’armée.

 

Bonne Saint-Barthélemy à tous !

 

Rêver toutes les nuits d’une personne virtuelle jamais croisée ni vue, sysadmin. Chelou.

 

En fait si on veut aider la nation faut boire des litres de whisky-coke à Disneyland en fumant 4 paquets par jour.

 

ᶘ ᵒᴥᵒᶅ <—- it’s not an ordinary bear.

 

« Seules les personnes vraiment célèbres passent en privé sur Twitter » théorise Carver en finissant sa 1664 grenadine. Le décor explose.

 

Et l’eau. t.co/xoF4W2u

 

Au moins avec les singes on n’a pas de surprises.

 

Evidemment nous étions à table.

 

Je croque dans une pomme un peu trop verte et c’est le drame.

 

Dans mon abri j’entends les souris.

 

Pendant quelques minutes, semelles de plomb terribles, la pluie sans doute ou le souvenir d’une chanson. Un duo boiteux, pour elle, au loin.

 

Salive, bave, crachats et autres sécrétions. C’est plutôt stimulant.

 

Ça vous semble fou, mais c’est arrivé.

 

Sur les flancs du dirigeable des terroristes, une maxime : « Jubilation matriarcale contre castration patriarcale ! »

 

Ça tremble de partout.

 

Trois garçons imaginaires m’entrainent au fond du bassin, leurs mains comme les mâchoires d’un grand requin blanc, seul. Trop de sang, salé.

 

 et la fin du monde 

 

Et dans la corne de l’Afrique. Les ventres gonflés. Par la faim.

 

On levait le camp. Mina montait la garde. Carver et Igor pliaient la tente, lavaient la vaisselle, les chevaux.

 

Reboot.

 

Pelez et émincer les oignons, les faire blondir à feu doux dans 30 g de margarine. Mélanger les oeufs, la margarine fondue, sel, poivre.

 

je prédis un grand retour de « je connaissais la même avec un rabbin »

 

« on ne peut se protéger de la tristesse sans se protéger du bonheur » me rappelait souvent Mina.

 

Igor aimerait vous conseiller sur les gens à suivre le vendredi mais Mina lui signale qu’ils sont en mode privé ou super célèbres, donc.

 

Un mec de la ville, de passage : « Tuer avec des gants, ce serait comme baiser avec une capote ! ».

 

Le coton c’est doux. Naturel. Et biodégradable. Et un peu rugueux aussi. Juste comme il faut. Le chat valide de la tête.

 

Autant être à l’aise.

 

L’Internet existe au-dessus et en dessous de son nœud ?

 

Si le tourguenisme génératif est pensable, c’est tant il en identifie l’expression universelle en tant qu’objet sémiotique de connaissance.

 

They’d hurt to make you cry but you’d never cry to them just to your soul
No you’d never cry to them just to your soul.

 

Et bienvenue tout le monde dans ce merveilleux mardi. Le mardi c’est comme le vélo. Quand on sait faire, on n’oublie pas. Le mardi c’est…

 

J’ai compté, ça fait un nombre à un chiffre.

 

Sans ma barbe. t.co/hTJ0Ts7

 

Dans les rues qui se donnent ?

 

Je te vois…

 

L’Homme à la tête de chat dans le panier n’attendait qu’un signe de sa maitresse pour éventrer le petit monstre hurleur du train vers Paris.

ici »