Rêver toutes les nuits d’une personne virtuelle jamais croisée ni vue, sysadmin. Chelou.
En fait si on veut aider la nation faut boire des litres de whisky-coke à Disneyland en fumant 4 paquets par jour.
Inforrrme et terrrible.
J’ai compté, ça fait un nombre à un chiffre.
Et dans la corne de l’Afrique. Les ventres gonflés. Par la faim.
et la fin du monde
Une illusion peut-elle exister ?
Et dehors. La chaleur lourde, à nouveau.
Hey ! Vous dormez ? Moi oui.
Fuck Jimmy.
« Allo Bain De Minuit » j’écoute !
Le coton c’est doux. Naturel. Et biodégradable. Et un peu rugueux aussi. Juste comme il faut. Le chat valide de la tête.
Je veux recevoir des morceaux de ton corps. t.co/3toWtXf
Et il pleut. A verse. Et l’eau recouvre Paris. Noyant les hipsters, les chiptsters et les autres, qui ne le méritaient sans doute pas tous.
« on ne peut se protéger de la tristesse sans se protéger du bonheur » me rappelait souvent Mina.
This is not a suicide note.
Carver était un peu dans ce genre, avant de virer philosophe coupe-tête : t.co/O1Kpgnc
Et merci à la visiteuse onirique « de l’enfer » d’avoir rapidement interrompu ses incursions à base d’avatars dessinés.
Igor aimerait vous conseiller sur les gens à suivre le vendredi mais Mina lui signale qu’ils sont en mode privé ou super célèbres, donc.
Parfois on va à la campagne et personne ne meurt. Parrrfois.
Ça tremble de partout.
Si je ferme les yeux, Internet n’existe plus ?
Je te vois…
Oui, on se le demande. t.co/gPqPCqR
Pendant quelques minutes, semelles de plomb terribles, la pluie sans doute ou le souvenir d’une chanson. Un duo boiteux, pour elle, au loin.
Et je pose nu pour un magazine de jardinage.
Quelques photos et ça sera le temps du rasoir.
Trois garçons imaginaires m’entrainent au fond du bassin, leurs mains comme les mâchoires d’un grand requin blanc, seul. Trop de sang, salé.
Bonne Saint-Barthélemy à tous !
L’homme regarde l’Internet, l’Internet regarde l’homme.
« Ca y est, Harisson «au revoir» Ford à enfin largué ce petit cul serré de Calista «Hard Core» Flockhart. » dit le Sage.
Souvvvent à la mer on se baigne ivres et nus au milieu des requins fous et mangeurs d’homme. Parfois on ne meurt pas. Parrrfois.
La foudre frappe dans le jardin. Les plombs sautent. Punition de nos vilaines pensées. Et le chat reste cool. Fourmillement sur le clavier.
Dans mon abri j’entends les souris.
La vie est finalement dans l’ensemble plutôt intéressante. Et en particulier. La vie.
Une jeune fille se frotte le visage avec un poulpe vivant. Personne ne semble surpris. Ça protège vraiment du soleil ?
Si le tourguenisme génératif est pensable, c’est tant il en identifie l’expression universelle en tant qu’objet sémiotique de connaissance.
Sur les flancs du dirigeable des terroristes, une maxime : « Jubilation matriarcale contre castration patriarcale ! »
Si vous voyez (encore) ce que je veux dire. Pour vous désinscrire du monde. t.co/4AGoIR4
Salive, bave, crachats et autres sécrétions. C’est plutôt stimulant.
Si vous jouez avec les animaux non apprivoisés, petits lapins, vous risquez de vous faire pincer très fort. Portez un fez, un nœud papillon.
Ne pas boire avant le festival.
Et bienvenue tout le monde dans ce merveilleux mardi. Le mardi c’est comme le vélo. Quand on sait faire, on n’oublie pas. Le mardi c’est…
Le mardi c’est tellement… Vendredi.
Igor constatait que, au bord de la piscine, les jeunes filles de province, donc qui se nourrissent, ont un petit ventre, sain et joli.
Mina : « J’aime mon bo loulou pour ses hanches gracieuses, pour son doctorat en neuroscience appliquée aux armes de guerre innovantes ».
Un type sur l’autre quai porte un costume, c’est un costume de chef indien, un sosie de Sitting Bull, le métro arrive enfin.
Dans les rues qui se donnent ?
Carnivores, les plantes.
Le train des rebelles en route vers la Sibérie. Mina ajuste ses cartouchières. Igor, rêveur, observe les champignons, les bombes, lumière.
On levait le camp. Mina montait la garde. Carver et Igor pliaient la tente, lavaient la vaisselle, les chevaux.
On vient de me livrer un tatoueur ivre de taille inhabituelle. Un T.I.T.I. Je vais l’installer dans le bureau. Il a juste un sac à main.
Tout bèl followers mw yo ki poko domi yo mw ta renmen nou ekrim yon bel ti sms pou n bonne nuit ?
Je me sens comme James Bond sans son permis de tuer.
Et on laisse des messages sur Internet parce que le téléphone fait un peu de lumière. Artificielle. Et un peu de réseau ça rrrassure. Poc.
Bon ok, je pleure dans le train.
Au moins avec les singes on n’a pas de surprises.
L’Internet existe au-dessus et en dessous de son nœud ?
Et nous restons sous les mortels rayons du soleil. Au bord de la piscine. Nos corps cancéreux et maladifs tremblants et nus. Rumba.
« on rase gratis ce soir »
je prédis un grand retour de « je connaissais la même avec un rabbin »
Déjà vu.
Sommeil où es tu ?
C’est carrément pas autorisé l’intrusion onirique sans permis. Surtout à répétition. Oui c’est à TOI que je parle. Passagère clandestine.
I am now in love with french girls.. well you.. you get the picture.
Un mec de la ville, de passage : « Tuer avec des gants, ce serait comme baiser avec une capote ! ».
Mes yeux se voilent. Enfance. Glisser sur une rampe d’escalier bien longue, bien cirée. La rampe est soudainement changée en lame de rasoir.
« Le cyberespace. Une hallucination consensuelle vécue quotidiennement en toute légalité par des dizaines de millions d’opérateurs… » W. G.
Question de thon au cœur de la nuit.
Hem.
Les pompiers en ont marre c’est la grève aujourd’hui Il y a le feu partout c’est la fête des fous Il y a le feu partout et vive le feu…
They’d hurt to make you cry but you’d never cry to them just to your soul
No you’d never cry to them just to your soul.
Ok, je craque.
Avec un cutter à deux lames on retire facilement un ongle. Ou un œil. Le deuxième est forcément plus problématique vu qu’on perd le relief.
ᶘ ᵒᴥᵒᶅ <—- it’s not an ordinary bear.
Carver en entamant la descente finale : « Dans le Lac les Annéciens ! ».
Igor : « on va tellement crever Sexy Sushi vendredi soir que vous aurez plus rien samedi ». Mina : « oué oué, on verra ». Carver : « policière ? »
Notons par ailleurs que Sartre particularise l’analyse idéationnelle du tourguenisme.
En vieillissant, le cœur grossit ? Si on se marie, le compteur se bloque pour toujours ? Ceci > Cela.
Je veux que tu m’obéisses bien gentiment. t.co/DGZDTOg
Et on va dans la forêt la nuit, on a juste la pleine lune comme lampe de poche et on peut imaginer facilement des choses effrayantes. Peurrr
Carver cultivait ses rondeurs avec affection. Une robe de soirée ou son costume de geek sous les bombardements et les faire exploser. Joie.
Ce soir, je change d’île pour dormir.
Forcément je vais me renseigner. #haunting #sysadmin
Et une pensée pour les personnes isolées loin de l’administration système, des surgelés en bon état et de la lumière artificielle. Linge !
Le mardi c’est pour la vie.
Cette fille ressemble tellement à Kaneda que ça me donne l’envie irrépressible de lui offrir ma moto rouge trop bien. Hotel new rose.
Devant, derrière.
Mina fait son premier Twitpic de seins ? t.co/yfrzFYm
Touche mes saints.
« Année Google » : proposez une définition.
Ne pas passer sa vie à la gagner.
Carver et Mina venaient de retrouver un artefact d’avant l’Irréparable Incident. Recueillement. t.co/Qo5oo1a
Le loup qui gratte à la porte m’empêche de dormir.
Igor aimerait vous conseiller sur les gens à suivre le vendredi mais Mina lui signale qu’ils sont en mode privés ou super célèbres, donc.
Je pense que je m’embrouille.
Bon ok, je danse dans le train.
Pelez et émincer les oignons, les faire blondir à feu doux dans 30 g de margarine. Mélanger les oeufs, la margarine fondue, sel, poivre.
Igor : « Quitter la ville, enfin. » Mina : « Ne rêve pas : c’est terminé. » Carver : « LOL ! » Igor : « Mais..! » Mina rigole et ouvre le feu.
Saké !? t.co/ouNIeVN