Igor aimerait vous conseiller sur les gens à suivre le vendredi mais Mina lui signale qu’ils sont en mode privé ou super célèbres, donc.
Avec un cutter à deux lames on retire facilement un ongle. Ou un œil. Le deuxième est forcément plus problématique vu qu’on perd le relief.
Inforrrme et terrrible.
*tousse*
La foudre frappe dans le jardin. Les plombs sautent. Punition de nos vilaines pensées. Et le chat reste cool. Fourmillement sur le clavier.
Ça tremble de partout.
Tu me vois…
Evidemment nous étions à table.
Igor : « on va tellement crever Sexy Sushi vendredi soir que vous aurez plus rien samedi ». Mina : « oué oué, on verra ». Carver : « policière ? »
Mina mangeait abondamment et souvent mais les arts martiaux pratiqués depuis l’enfance ne laissaient rien dépasser sous ses abdos d’ado.
Si je ferme les yeux, Internet n’existe plus ?
Touche mes saints.
J’ai compté, ça fait un nombre à un chiffre.
je prédis un grand retour de « je connaissais la même avec un rabbin »
Sans ma barbe. t.co/hTJ0Ts7
Le loup qui gratte à la porte m’empêche de dormir.
En vieillissant, le cœur grossit ? Si on se marie, le compteur se bloque pour toujours ? Ceci > Cela.
On levait le camp. Mina montait la garde. Carver et Igor pliaient la tente, lavaient la vaisselle, les chevaux.
Et on arrive à Toulouse.
Cette fille ressemble tellement à Kaneda que ça me donne l’envie irrépressible de lui offrir ma moto rouge trop bien. Hotel new rose.
L’homme regarde l’Internet, l’Internet regarde l’homme.
Je pense que je m’embrouille.
Quand Mina & Igor jouaient aux Snipers, ils coordonnaient leurs gestes en écoutant « Miami » par Will Smith. Ils étaient vraiment bons.
Igor, une côte cassée, trouvait le matin bien long, les gestes du quotidien relativement pénibles à effectuer, le soleil bien trop rond.
Mina : « J’aime mon bo loulou pour ses hanches gracieuses, pour son doctorat en neuroscience appliquée aux armes de guerre innovantes ».
Carver en entamant la descente finale : « Dans le Lac les Annéciens ! ».
Igor : « Quitter la ville, enfin. » Mina : « Ne rêve pas : c’est terminé. » Carver : « LOL ! » Igor : « Mais..! » Mina rigole et ouvre le feu.
« on ne peut se protéger de la tristesse sans se protéger du bonheur » me rappelait souvent Mina.
« Seules les personnes vraiment célèbres passent en privé sur Twitter » théorise Carver en finissant sa 1664 grenadine. Le décor explose.
Question de thon au cœur de la nuit.
Rough nuit à toutes.
Un univers, un docteur, un hamster.
Ce soir, je change d’île pour dormir.
Un type sur l’autre quai porte un costume, c’est un costume de chef indien, un sosie de Sitting Bull, le métro arrive enfin.
« Année Google » : proposez une définition.
ᶘ ᵒᴥᵒᶅ <—- it’s not an ordinary bear.
C’est carrément pas autorisé l’intrusion onirique sans permis. Surtout à répétition. Oui c’est à TOI que je parle. Passagère clandestine.
Sommeil où es tu ?
Carver était un peu dans ce genre, avant de virer philosophe coupe-tête : t.co/O1Kpgnc
Igor aimerait vous conseiller sur les gens à suivre le vendredi mais Mina lui signale qu’ils sont en mode privés ou super célèbres, donc.
Dans mon abri j’entends les souris.
Ça vous semble fou, mais c’est arrivé.
Autant être à l’aise.
Bon ok, je pleure dans le train.
Si vous jouez avec les animaux non apprivoisés, petits lapins, vous risquez de vous faire pincer très fort. Portez un fez, un nœud papillon.
Notons par ailleurs que Sartre particularise l’analyse idéationnelle du tourguenisme.
Oui c’est TOI l’inconnue qui vient hanter mes nuits. T’occupant des serveurs d’une boutique de manga et bossant ensuite pour l’armée.
« on rase gratis ce soir »
They’d hurt to make you cry but you’d never cry to them just to your soul
No you’d never cry to them just to your soul.
*insérer ici une terrible gueule de bois à base de Jägermeister*
Reboot.
L’Internet existe au-dessus et en dessous de son nœud ?
Fracture. t.co/N7eAU7k
je prédis un grand retour de « c’est ce qu’elles me disent toutes »
Quelques photos et ça sera le temps du rasoir.
Je veux ta sieste.
Devant, derrière.
Pendant quelques minutes, semelles de plomb terribles, la pluie sans doute ou le souvenir d’une chanson. Un duo boiteux, pour elle, au loin.
Salive, bave, crachats et autres sécrétions. C’est plutôt stimulant.
Rêves d’examens non révisés, de compagnonnage sexuel et finalement de catastrophe aérienne.
Et merci à la visiteuse onirique « de l’enfer » d’avoir rapidement interrompu ses incursions à base d’avatars dessinés.
Et je pose nu pour un magazine de jardinage.
Et l’eau. t.co/xoF4W2u
Hem.
Et on va dans la forêt la nuit, on a juste la pleine lune comme lampe de poche et on peut imaginer facilement des choses effrayantes. Peurrr
« Le cyberespace. Une hallucination consensuelle vécue quotidiennement en toute légalité par des dizaines de millions d’opérateurs… » W. G.
et la fin du monde
Et il pleut. A verse. Et l’eau recouvre Paris. Noyant les hipsters, les chiptsters et les autres, qui ne le méritaient sans doute pas tous.
Et on laisse des messages sur Internet parce que le téléphone fait un peu de lumière. Artificielle. Et un peu de réseau ça rrrassure. Poc.
Plus tard. A voir.
Déjà vu.
Parfois on va à la campagne et personne ne meurt. Parrrfois.
Et une pensée pour les personnes isolées loin de l’administration système, des surgelés en bon état et de la lumière artificielle. Linge !
Dans les rues qui se donnent ?
Le coton c’est doux. Naturel. Et biodégradable. Et un peu rugueux aussi. Juste comme il faut. Le chat valide de la tête.
Et quitter Bombay.
On vient de me livrer un tatoueur ivre de taille inhabituelle. Un T.I.T.I. Je vais l’installer dans le bureau. Il a juste un sac à main.
Une illusion peut-elle exister ?
Ok, je craque.
Tout bèl followers mw yo ki poko domi yo mw ta renmen nou ekrim yon bel ti sms pou n bonne nuit ?
Souvvvent à la mer on se baigne ivres et nus au milieu des requins fous et mangeurs d’homme. Parfois on ne meurt pas. Parrrfois.
Carver cultivait ses rondeurs avec affection. Une robe de soirée ou son costume de geek sous les bombardements et les faire exploser. Joie.
Je veux recevoir des morceaux de ton corps. t.co/3toWtXf
Je croque dans une pomme un peu trop verte et c’est le drame.
I am now in love with french girls.. well you.. you get the picture.
Saké !? t.co/ouNIeVN
Une jeune fille se frotte le visage avec un poulpe vivant. Personne ne semble surpris. Ça protège vraiment du soleil ?
« Ca y est, Harisson «au revoir» Ford à enfin largué ce petit cul serré de Calista «Hard Core» Flockhart. » dit le Sage.
Je suis à 38 années Google de la plénitude. De la terre. De la mort. De toi. De tes yeux. Du spin de cette carte à jouer. De la fin et nu.
Ne pas passer sa vie à la gagner.
Si le tourguenisme génératif est pensable, c’est tant il en identifie l’expression universelle en tant qu’objet sémiotique de connaissance.
Et dehors. La chaleur lourde, à nouveau.
Encore une minute et 3 ans.
Forcément je vais me renseigner. #haunting #sysadmin
Le mardi c’est tellement… Vendredi.
Sur les flancs du dirigeable des terroristes, une maxime : « Jubilation matriarcale contre castration patriarcale ! »
Rêver toutes les nuits d’une personne virtuelle jamais croisée ni vue, sysadmin. Chelou.
Non mais sérieux, là, tous, on ne devrait pas être plutôt en train de sauver le monde ? (please RT) *tousse*
Les chats peuvent aider à passer les frontières. Les pieds dans l’eau. 38. Donc. Je passe le seuil. Aveugle et hilare.
Troubler, tripoter, tâter, substituer, sonder, révolutionner, retoucher, remuer, relâcher, rectifier, recevoir, porter, pétrir, percevoir…