« Année Google » : proposez une définition.
Bon ok, je danse dans le train.
Un univers, un docteur, un hamster.
Pelez et émincer les oignons, les faire blondir à feu doux dans 30 g de margarine. Mélanger les oeufs, la margarine fondue, sel, poivre.
Question de thon au cœur de la nuit.
Les chats peuvent aider à passer les frontières. Les pieds dans l’eau. 38. Donc. Je passe le seuil. Aveugle et hilare.
Rêves d’examens non révisés, de compagnonnage sexuel et finalement de catastrophe aérienne.
Et on laisse des messages sur Internet parce que le téléphone fait un peu de lumière. Artificielle. Et un peu de réseau ça rrrassure. Poc.
Igor aimerait vous conseiller sur les gens à suivre le vendredi mais Mina lui signale qu’ils sont en mode privé ou super célèbres, donc.
Saké !? t.co/ouNIeVN
Tu me vois…
Je veux ta sieste.
Avec un cutter à deux lames on retire facilement un ongle. Ou un œil. Le deuxième est forcément plus problématique vu qu’on perd le relief.
Si vous jouez avec les animaux non apprivoisés, petits lapins, vous risquez de vous faire pincer très fort. Portez un fez, un nœud papillon.
BALAFRE… elles ne peuvent l’oublier ! C’était un homme qui portait BALAFRE. Tout simplement. Un homme à l’élégance d’homme.
Fracture. t.co/N7eAU7k
Igor : « Quitter la ville, enfin. » Mina : « Ne rêve pas : c’est terminé. » Carver : « LOL ! » Igor : « Mais..! » Mina rigole et ouvre le feu.
Pondichery : séance photo avec les tigres.
Et merci à la visiteuse onirique « de l’enfer » d’avoir rapidement interrompu ses incursions à base d’avatars dessinés.
Ok, je craque.
Je suis à 38 années Google de la plénitude. De la terre. De la mort. De toi. De tes yeux. Du spin de cette carte à jouer. De la fin et nu.
En fait si on veut aider la nation faut boire des litres de whisky-coke à Disneyland en fumant 4 paquets par jour.
Lieu ou construction sommaire servant de protection contre les intempéries, de refuge contre un danger. Contre pluie, bombes, rats, dindes.
Sans ma barbe. t.co/hTJ0Ts7
Vertiges de l’acide.
Et l’eau. t.co/xoF4W2u
Hem.
Déjà vu.
Une illusion peut-elle exister ?
Sur les flancs du dirigeable des terroristes, une maxime : « Jubilation matriarcale contre castration patriarcale ! »
Autant être à l’aise.
Reboot.
Si je ferme les yeux, Internet n’existe plus ?
Encore une minute et 3 ans.
Trois garçons imaginaires m’entrainent au fond du bassin, leurs mains comme les mâchoires d’un grand requin blanc, seul. Trop de sang, salé.
Mina : « J’aime mon bo loulou pour ses hanches gracieuses, pour son doctorat en neuroscience appliquée aux armes de guerre innovantes ».
Hey ! Vous dormez ? Moi oui.
« Ca y est, Harisson «au revoir» Ford à enfin largué ce petit cul serré de Calista «Hard Core» Flockhart. » dit le Sage.
Rough nuit à toutes.
Carver et Mina venaient de retrouver un artefact d’avant l’Irréparable Incident. Recueillement. t.co/Qo5oo1a
Carnivores, les plantes.
On vient de me livrer un tatoueur ivre de taille inhabituelle. Un T.I.T.I. Je vais l’installer dans le bureau. Il a juste un sac à main.
Oui, on se le demande. t.co/gPqPCqR
Je pense que je m’embrouille.
ᶘ ᵒᴥᵒᶅ <—- it’s not an ordinary bear.
*tousse*
Mère nature semble mécontente des suites de l’affaire #DSK.
This is not a suicide note.
Et dans la corne de l’Afrique. Les ventres gonflés. Par la faim.
Cette fille ressemble tellement à Kaneda que ça me donne l’envie irrépressible de lui offrir ma moto rouge trop bien. Hotel new rose.
Evidemment nous étions à table.
« Le cyberespace. Une hallucination consensuelle vécue quotidiennement en toute légalité par des dizaines de millions d’opérateurs… » W. G.
Carver cultivait ses rondeurs avec affection. Une robe de soirée ou son costume de geek sous les bombardements et les faire exploser. Joie.
*insérer ici une terrible gueule de bois à base de Jägermeister*
La Reine Mère des Terres Maudites communiquait. Son messager, muet et sourd, nous apportait un message, difficile à saisir, mais lisible.
Ça vous semble fou, mais c’est arrivé.
Je me sens comme James Bond sans son permis de tuer.
La vie est finalement dans l’ensemble plutôt intéressante. Et en particulier. La vie.
Fuck Jimmy.
Je te vois…
Les miliciens étaient les amis de l’ensemble de la population. Personne ne se cachait, les messages dissidents. t.co/EdLkFwM
Le tigre, allongé sur le sol, léchait ses grosses pattes du bout de sa longue langue rose.
« on rase gratis ce soir »
Plus tard. A voir.
Ne pas passer sa vie à la gagner.
C’est carrément pas autorisé l’intrusion onirique sans permis. Surtout à répétition. Oui c’est à TOI que je parle. Passagère clandestine.
Ce soir, je change d’île pour dormir.
Souvvvent à la mer on se baigne ivres et nus au milieu des requins fous et mangeurs d’homme. Parfois on ne meurt pas. Parrrfois.
Tout bèl followers mw yo ki poko domi yo mw ta renmen nou ekrim yon bel ti sms pou n bonne nuit ?
Et dehors. La chaleur lourde, à nouveau.
Si le tourguenisme génératif est pensable, c’est tant il en identifie l’expression universelle en tant qu’objet sémiotique de connaissance.
Dans mon abri j’entends les souris.
Sommeil où es tu ?
Le train des rebelles en route vers la Sibérie. Mina ajuste ses cartouchières. Igor, rêveur, observe les champignons, les bombes, lumière.
Salive, bave, crachats et autres sécrétions. C’est plutôt stimulant.
Le mardi c’est tellement… Vendredi.
Quelqu’un a mangé la soupe. Quelqu’un a dormi dans mon lit. Boucle d’Or ?!
They’d hurt to make you cry but you’d never cry to them just to your soul
No you’d never cry to them just to your soul.
Quand Mina & Igor jouaient aux Snipers, ils coordonnaient leurs gestes en écoutant « Miami » par Will Smith. Ils étaient vraiment bons.
Non mais sérieux, là, tous, on ne devrait pas être plutôt en train de sauver le monde ? (please RT) *tousse*
Dans les rues qui se donnent ?
Une jeune fille se frotte le visage avec un poulpe vivant. Personne ne semble surpris. Ça protège vraiment du soleil ?
Rêver toutes les nuits d’une personne virtuelle jamais croisée ni vue, sysadmin. Chelou.
Encore une séance photo : le vaisseau fait d’ongles d’hommes morts. Mon assistante veut une augmentation. Une prime, au moins.
On levait le camp. Mina montait la garde. Carver et Igor pliaient la tente, lavaient la vaisselle, les chevaux.
Et il pleut. A verse. Et l’eau recouvre Paris. Noyant les hipsters, les chiptsters et les autres, qui ne le méritaient sans doute pas tous.
Igor constatait que, au bord de la piscine, les jeunes filles de province, donc qui se nourrissent, ont un petit ventre, sain et joli.
« Seules les personnes vraiment célèbres passent en privé sur Twitter » théorise Carver en finissant sa 1664 grenadine. Le décor explose.
Pour la nouvelle année, ses amis offrent, à Igor, tendres baisers, caresses interdites et affection spontanée. Ça le chavire. Merci.
I am now in love with french girls.. well you.. you get the picture.
Je croque dans une pomme un peu trop verte et c’est le drame.
Wesh gros.
Carver en entamant la descente finale : « Dans le Lac les Annéciens ! ».
Le loup qui gratte à la porte m’empêche de dormir.
et la fin du monde
Je veux que tu m’obéisses bien gentiment. t.co/DGZDTOg
Igor, une côte cassée, trouvait le matin bien long, les gestes du quotidien relativement pénibles à effectuer, le soleil bien trop rond.
Le coton c’est doux. Naturel. Et biodégradable. Et un peu rugueux aussi. Juste comme il faut. Le chat valide de la tête.
Oui c’est TOI l’inconnue qui vient hanter mes nuits. T’occupant des serveurs d’une boutique de manga et bossant ensuite pour l’armée.
Ça tremble de partout.