Et je pose nu pour un magazine de jardinage.

 

Notons par ailleurs que Sartre particularise l’analyse idéationnelle du tourguenisme.

 

En fait si on veut aider la nation faut boire des litres de whisky-coke à Disneyland en fumant 4 paquets par jour.

 

Evidemment nous étions à table.

 

Et l’eau. t.co/xoF4W2u

 

Le loup qui gratte à la porte m’empêche de dormir.

 

Le coton c’est doux. Naturel. Et biodégradable. Et un peu rugueux aussi. Juste comme il faut. Le chat valide de la tête.

 

Et il pleut. A verse. Et l’eau recouvre Paris. Noyant les hipsters, les chiptsters et les autres, qui ne le méritaient sans doute pas tous.

 

Au moins avec les singes on n’a pas de surprises.

 

Et nous restons sous les mortels rayons du soleil. Au bord de la piscine. Nos corps cancéreux et maladifs tremblants et nus. Rumba.

 

*tousse*

 

L’Internet existe au-dessus et en dessous de son nœud ?

 

Et on laisse des messages sur Internet parce que le téléphone fait un peu de lumière. Artificielle. Et un peu de réseau ça rrrassure. Poc.

 

Si vous voyez (encore) ce que je veux dire. Pour vous désinscrire du monde. t.co/4AGoIR4

 

Ce soir, je change d’île pour dormir.

 

Quelques photos et ça sera le temps du rasoir.

 

This is not a suicide note.

 

J’ai compté, ça fait un nombre à un chiffre.

 

Parfois on va à la campagne et personne ne meurt. Parrrfois.

 

« Allo Bain De Minuit » j’écoute !

 

C’est carrément pas autorisé l’intrusion onirique sans permis. Surtout à répétition. Oui c’est à TOI que je parle. Passagère clandestine.

 

Carver était un peu dans ce genre, avant de virer philosophe coupe-tête : t.co/O1Kpgnc

 

Je me sens comme James Bond sans son permis de tuer.

 

Souvvvent à la mer on se baigne ivres et nus au milieu des requins fous et mangeurs d’homme. Parfois on ne meurt pas. Parrrfois.

 

Les pompiers en ont marre c’est la grève aujourd’hui Il y a le feu partout c’est la fête des fous Il y a le feu partout et vive le feu…

 

Je pense que je m’embrouille.

 

Et bienvenue tout le monde dans ce merveilleux mardi. Le mardi c’est comme le vélo. Quand on sait faire, on n’oublie pas. Le mardi c’est…

 

Mes yeux se voilent. Enfance. Glisser sur une rampe d’escalier bien longue, bien cirée. La rampe est soudainement changée en lame de rasoir.

 

La vie est finalement dans l’ensemble plutôt intéressante. Et en particulier. La vie.

 

Vertiges de l’acide.

 

Tout bèl followers mw yo ki poko domi yo mw ta renmen nou ekrim yon bel ti sms pou n bonne nuit ?

 

je prédis un grand retour de « je connaissais la même avec un rabbin »

 

Le mardi c’est pour la vie.

 

Ne pas boire avant le festival.

 

Pendant quelques minutes, semelles de plomb terribles, la pluie sans doute ou le souvenir d’une chanson. Un duo boiteux, pour elle, au loin.

 

Oui c’est TOI l’inconnue qui vient hanter mes nuits. T’occupant des serveurs d’une boutique de manga et bossant ensuite pour l’armée.

 

L’homme regarde l’Internet, l’Internet regarde l’homme.

 

Et une pensée pour les personnes isolées loin de l’administration système, des surgelés en bon état et de la lumière artificielle. Linge !

 

Non mais sérieux, là, tous, on ne devrait pas être plutôt en train de sauver le monde ? (please RT) *tousse*

 

Salive, bave, crachats et autres sécrétions. C’est plutôt stimulant.

 

Fracture. t.co/N7eAU7k

 

Cette fille ressemble tellement à Kaneda que ça me donne l’envie irrépressible de lui offrir ma moto rouge trop bien. Hotel new rose.

 

Igor aimerait vous conseiller sur les gens à suivre le vendredi mais Mina lui signale qu’ils sont en mode privé ou super célèbres, donc.

 

Plus tard. A voir.

 

Suivre le chat dans la forêt. Rencontrer son amante secrète. Tous les trois on écoute les chiens hurler. Un peu inquiets on plisse les yeux.

 

Carver cultivait ses rondeurs avec affection. Une robe de soirée ou son costume de geek sous les bombardements et les faire exploser. Joie.

 

Le train des rebelles en route vers la Sibérie. Mina ajuste ses cartouchières. Igor, rêveur, observe les champignons, les bombes, lumière.

 

Lieu ou construction sommaire servant de protection contre les intempéries, de refuge contre un danger. Contre pluie, bombes, rats, dindes.

 

Et on va dans la forêt la nuit, on a juste la pleine lune comme lampe de poche et on peut imaginer facilement des choses effrayantes. Peurrr

 

Je veux ta sieste.

 

Carnivores, les plantes.

 

Pelez et émincer les oignons, les faire blondir à feu doux dans 30 g de margarine. Mélanger les oeufs, la margarine fondue, sel, poivre.

 

Et dans la corne de l’Afrique. Les ventres gonflés. Par la faim.

 

Mina mangeait abondamment et souvent mais les arts martiaux pratiqués depuis l’enfance ne laissaient rien dépasser sous ses abdos d’ado.

 

Un mec de la ville, de passage : « Tuer avec des gants, ce serait comme baiser avec une capote ! ».

 

Forcément je vais me renseigner. #haunting #sysadmin

 

Je suis à 38 années Google de la plénitude. De la terre. De la mort. De toi. De tes yeux. Du spin de cette carte à jouer. De la fin et nu.

 

Je te vois…

 

Ça tremble de partout.

 

Bon ok, je pleure dans le train.

 

ᶘ ᵒᴥᵒᶅ <—- it’s not an ordinary bear.

 

I am now in love with french girls.. well you.. you get the picture.

 

L’Homme à la tête de chat dans le panier n’attendait qu’un signe de sa maitresse pour éventrer le petit monstre hurleur du train vers Paris.

 

La Reine Mère des Terres Maudites communiquait. Son messager, muet et sourd, nous apportait un message, difficile à saisir, mais lisible.

 

« Seules les personnes vraiment célèbres passent en privé sur Twitter » théorise Carver en finissant sa 1664 grenadine. Le décor explose.

 

On levait le camp. Mina montait la garde. Carver et Igor pliaient la tente, lavaient la vaisselle, les chevaux.

 

Carver en entamant la descente finale : « Dans le Lac les Annéciens ! ».

 

Igor constatait que, au bord de la piscine, les jeunes filles de province, donc qui se nourrissent, ont un petit ventre, sain et joli.

 

Tu me vois…

 

Et on arrive à Toulouse.

 

They’d hurt to make you cry but you’d never cry to them just to your soul
No you’d never cry to them just to your soul.

 

Encore une séance photo : le vaisseau fait d’ongles d’hommes morts. Mon assistante veut une augmentation. Une prime, au moins.

 

Pour la nouvelle année, ses amis offrent, à Igor, tendres baisers, caresses interdites et affection spontanée. Ça le chavire. Merci.

 

Dans mon abri j’entends les souris.

 

Je croque dans une pomme un peu trop verte et c’est le drame.

 

Les miliciens étaient les amis de l’ensemble de la population. Personne ne se cachait, les messages dissidents. t.co/EdLkFwM

 

Pondichery : séance photo avec les tigres.

 

Wesh gros.

 

Le mardi c’est tellement… Vendredi.

 

Igor : « on va tellement crever Sexy Sushi vendredi soir que vous aurez plus rien samedi ». Mina : « oué oué, on verra ». Carver : « policière ? »

 

Devant, derrière.

 

Inforrrme et terrrible.

 

Igor, une côte cassée, trouvait le matin bien long, les gestes du quotidien relativement pénibles à effectuer, le soleil bien trop rond.

 

Oui, on se le demande. t.co/gPqPCqR

 

« Année Google » : proposez une définition.

 

Rêver toutes les nuits d’une personne virtuelle jamais croisée ni vue, sysadmin. Chelou.

 

Quand Mina & Igor jouaient aux Snipers, ils coordonnaient leurs gestes en écoutant « Miami » par Will Smith. Ils étaient vraiment bons.

 

« Le cyberespace. Une hallucination consensuelle vécue quotidiennement en toute légalité par des dizaines de millions d’opérateurs… » W. G.

 

Igor aimerait vous conseiller sur les gens à suivre le vendredi mais Mina lui signale qu’ils sont en mode privés ou super célèbres, donc.

 

Je veux que tu m’obéisses bien gentiment. t.co/DGZDTOg

 

Carver et Mina venaient de retrouver un artefact d’avant l’Irréparable Incident. Recueillement. t.co/Qo5oo1a

 

Rough nuit à toutes.

 

Trois garçons imaginaires m’entrainent au fond du bassin, leurs mains comme les mâchoires d’un grand requin blanc, seul. Trop de sang, salé.

 

Si je ferme les yeux, Internet n’existe plus ?

 

Déjà vu.

 

Hem.

 

Fuck Jimmy.

 

Nous réservons tout le 3ème étage. Certaines cloisons sont abattues. On fait de la place autour des chaudrons et des planches à découper.

 

Sans ma barbe. t.co/hTJ0Ts7

 

Igor : « Quitter la ville, enfin. » Mina : « Ne rêve pas : c’est terminé. » Carver : « LOL !  » Igor : « Mais..!  » Mina rigole et ouvre le feu.

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