Sommeil où es tu ?
J’ai compté, ça fait un nombre à un chiffre.
« on rase gratis ce soir »
Dans les rues qui se donnent ?
Non mais sérieux, là, tous, on ne devrait pas être plutôt en train de sauver le monde ? (please RT) *tousse*
Ça tremble de partout.
Encore une minute et 3 ans.
Je croque dans une pomme un peu trop verte et c’est le drame.
Devant, derrière.
Igor, une côte cassée, trouvait le matin bien long, les gestes du quotidien relativement pénibles à effectuer, le soleil bien trop rond.
Ne pas passer sa vie à la gagner.
« on ne peut se protéger de la tristesse sans se protéger du bonheur » me rappelait souvent Mina.
Quelqu’un a mangé la soupe. Quelqu’un a dormi dans mon lit. Boucle d’Or ?!
Bon ok, je danse dans le train.
Un univers, un docteur, un hamster.
Pondichery : séance photo avec les tigres.
Igor aimerait vous conseiller sur les gens à suivre le vendredi mais Mina lui signale qu’ils sont en mode privé ou super célèbres, donc.
Dans mon abri j’entends les souris.
Le mardi c’est tellement… Vendredi.
Bon ok, je pleure dans le train.
Mina : « J’aime mon bo loulou pour ses hanches gracieuses, pour son doctorat en neuroscience appliquée aux armes de guerre innovantes ».
Igor : « Quitter la ville, enfin. » Mina : « Ne rêve pas : c’est terminé. » Carver : « LOL ! » Igor : « Mais..! » Mina rigole et ouvre le feu.
Oui c’est TOI l’inconnue qui vient hanter mes nuits. T’occupant des serveurs d’une boutique de manga et bossant ensuite pour l’armée.
Ce soir, je change d’île pour dormir.
Ne pas boire avant le festival.
Et nous restons sous les mortels rayons du soleil. Au bord de la piscine. Nos corps cancéreux et maladifs tremblants et nus. Rumba.
Le loup qui gratte à la porte m’empêche de dormir.
Les chats peuvent aider à passer les frontières. Les pieds dans l’eau. 38. Donc. Je passe le seuil. Aveugle et hilare.
Je veux recevoir des morceaux de ton corps. t.co/3toWtXf
La vie est finalement dans l’ensemble plutôt intéressante. Et en particulier. La vie.
Sur les flancs du dirigeable des terroristes, une maxime : « Jubilation matriarcale contre castration patriarcale ! »
Les miliciens étaient les amis de l’ensemble de la population. Personne ne se cachait, les messages dissidents. t.co/EdLkFwM
Je veux ta sieste.
Le train des rebelles en route vers la Sibérie. Mina ajuste ses cartouchières. Igor, rêveur, observe les champignons, les bombes, lumière.
Carnivores, les plantes.
ᶘ ᵒᴥᵒᶅ <—- it’s not an ordinary bear.
Encore une séance photo : le vaisseau fait d’ongles d’hommes morts. Mon assistante veut une augmentation. Une prime, au moins.
Et quitter Bombay.
BALAFRE… elles ne peuvent l’oublier ! C’était un homme qui portait BALAFRE. Tout simplement. Un homme à l’élégance d’homme.
Et on arrive à Toulouse.
C’est carrément pas autorisé l’intrusion onirique sans permis. Surtout à répétition. Oui c’est à TOI que je parle. Passagère clandestine.
Wesh gros.
« Ca y est, Harisson «au revoir» Ford à enfin largué ce petit cul serré de Calista «Hard Core» Flockhart. » dit le Sage.
Trois garçons imaginaires m’entrainent au fond du bassin, leurs mains comme les mâchoires d’un grand requin blanc, seul. Trop de sang, salé.
Si vous voyez (encore) ce que je veux dire. Pour vous désinscrire du monde. t.co/4AGoIR4
Je veux que tu m’obéisses bien gentiment. t.co/DGZDTOg
Autant être à l’aise.
Si vous jouez avec les animaux non apprivoisés, petits lapins, vous risquez de vous faire pincer très fort. Portez un fez, un nœud papillon.
Rêver toutes les nuits d’une personne virtuelle jamais croisée ni vue, sysadmin. Chelou.
L’Homme à la tête de chat dans le panier n’attendait qu’un signe de sa maitresse pour éventrer le petit monstre hurleur du train vers Paris.
Reboot.
Le tigre, allongé sur le sol, léchait ses grosses pattes du bout de sa longue langue rose.
Carver et Mina venaient de retrouver un artefact d’avant l’Irréparable Incident. Recueillement. t.co/Qo5oo1a
I am now in love with french girls.. well you.. you get the picture.
La foudre frappe dans le jardin. Les plombs sautent. Punition de nos vilaines pensées. Et le chat reste cool. Fourmillement sur le clavier.
Les pompiers en ont marre c’est la grève aujourd’hui Il y a le feu partout c’est la fête des fous Il y a le feu partout et vive le feu…
je prédis un grand retour de « c’est ce qu’elles me disent toutes »
Question de thon au cœur de la nuit.
Et merci à la visiteuse onirique « de l’enfer » d’avoir rapidement interrompu ses incursions à base d’avatars dessinés.
Le mardi c’est pour la vie.
They’d hurt to make you cry but you’d never cry to them just to your soul
No you’d never cry to them just to your soul.
Souvvvent à la mer on se baigne ivres et nus au milieu des requins fous et mangeurs d’homme. Parfois on ne meurt pas. Parrrfois.
Plus tard. A voir.
Pendant quelques minutes, semelles de plomb terribles, la pluie sans doute ou le souvenir d’une chanson. Un duo boiteux, pour elle, au loin.
Fracture. t.co/N7eAU7k
Parfois on va à la campagne et personne ne meurt. Parrrfois.
Ok, je craque.
Je pense que je m’embrouille.
*tousse*
Un mec de la ville, de passage : « Tuer avec des gants, ce serait comme baiser avec une capote ! ».
Carver était un peu dans ce genre, avant de virer philosophe coupe-tête : t.co/O1Kpgnc
Saké !? t.co/ouNIeVN
Et dehors. La chaleur lourde, à nouveau.
Je suis à 38 années Google de la plénitude. De la terre. De la mort. De toi. De tes yeux. Du spin de cette carte à jouer. De la fin et nu.
Tu me vois…
Mina fait son premier Twitpic de seins ? t.co/yfrzFYm
Si je ferme les yeux, Internet n’existe plus ?
Mes yeux se voilent. Enfance. Glisser sur une rampe d’escalier bien longue, bien cirée. La rampe est soudainement changée en lame de rasoir.
Le coton c’est doux. Naturel. Et biodégradable. Et un peu rugueux aussi. Juste comme il faut. Le chat valide de la tête.
*insérer ici une terrible gueule de bois à base de Jägermeister*
Et il pleut. A verse. Et l’eau recouvre Paris. Noyant les hipsters, les chiptsters et les autres, qui ne le méritaient sans doute pas tous.
Nous réservons tout le 3ème étage. Certaines cloisons sont abattues. On fait de la place autour des chaudrons et des planches à découper.
Evidemment nous étions à table.
Cette fille ressemble tellement à Kaneda que ça me donne l’envie irrépressible de lui offrir ma moto rouge trop bien. Hotel new rose.
Et dans la corne de l’Afrique. Les ventres gonflés. Par la faim.
Oui, on se le demande. t.co/gPqPCqR
Carver en entamant la descente finale : « Dans le Lac les Annéciens ! ».
Vertiges de l’acide.
Suivre le chat dans la forêt. Rencontrer son amante secrète. Tous les trois on écoute les chiens hurler. Un peu inquiets on plisse les yeux.
En vieillissant, le cœur grossit ? Si on se marie, le compteur se bloque pour toujours ? Ceci > Cela.
Et on laisse des messages sur Internet parce que le téléphone fait un peu de lumière. Artificielle. Et un peu de réseau ça rrrassure. Poc.
Igor : « on va tellement crever Sexy Sushi vendredi soir que vous aurez plus rien samedi ». Mina : « oué oué, on verra ». Carver : « policière ? »
Pour la nouvelle année, ses amis offrent, à Igor, tendres baisers, caresses interdites et affection spontanée. Ça le chavire. Merci.
This is not a suicide note.
Une jeune fille se frotte le visage avec un poulpe vivant. Personne ne semble surpris. Ça protège vraiment du soleil ?
On vient de me livrer un tatoueur ivre de taille inhabituelle. Un T.I.T.I. Je vais l’installer dans le bureau. Il a juste un sac à main.
Sans ma barbe. t.co/hTJ0Ts7
« Année Google » : proposez une définition.
Hem.
Salive, bave, crachats et autres sécrétions. C’est plutôt stimulant.