Dans mon abri j’entends les souris.
Fracture. t.co/N7eAU7k
Le mardi c’est tellement… Vendredi.
They’d hurt to make you cry but you’d never cry to them just to your soul
No you’d never cry to them just to your soul.
Devant, derrière.
Les pompiers en ont marre c’est la grève aujourd’hui Il y a le feu partout c’est la fête des fous Il y a le feu partout et vive le feu…
En vieillissant, le cœur grossit ? Si on se marie, le compteur se bloque pour toujours ? Ceci > Cela.
Carver en entamant la descente finale : « Dans le Lac les Annéciens ! ».
Le coton c’est doux. Naturel. Et biodégradable. Et un peu rugueux aussi. Juste comme il faut. Le chat valide de la tête.
« Allo Bain De Minuit » j’écoute !
Carnivores, les plantes.
Et une pensée pour les personnes isolées loin de l’administration système, des surgelés en bon état et de la lumière artificielle. Linge !
Touche mes saints.
Un univers, un docteur, un hamster.
Et nous restons sous les mortels rayons du soleil. Au bord de la piscine. Nos corps cancéreux et maladifs tremblants et nus. Rumba.
Mina : « J’aime mon bo loulou pour ses hanches gracieuses, pour son doctorat en neuroscience appliquée aux armes de guerre innovantes ».
Les miliciens étaient les amis de l’ensemble de la population. Personne ne se cachait, les messages dissidents. t.co/EdLkFwM
Troubler, tripoter, tâter, substituer, sonder, révolutionner, retoucher, remuer, relâcher, rectifier, recevoir, porter, pétrir, percevoir…
La foudre frappe dans le jardin. Les plombs sautent. Punition de nos vilaines pensées. Et le chat reste cool. Fourmillement sur le clavier.
Mes yeux se voilent. Enfance. Glisser sur une rampe d’escalier bien longue, bien cirée. La rampe est soudainement changée en lame de rasoir.
Je suis à 38 années Google de la plénitude. De la terre. De la mort. De toi. De tes yeux. Du spin de cette carte à jouer. De la fin et nu.
Igor : « Quitter la ville, enfin. » Mina : « Ne rêve pas : c’est terminé. » Carver : « LOL ! » Igor : « Mais..! » Mina rigole et ouvre le feu.
Notons par ailleurs que Sartre particularise l’analyse idéationnelle du tourguenisme.
L’homme regarde l’Internet, l’Internet regarde l’homme.
I am now in love with french girls.. well you.. you get the picture.
Et dans la corne de l’Afrique. Les ventres gonflés. Par la faim.
Autant être à l’aise.
Le mardi c’est pour la vie.
Fuck Jimmy.
Et on laisse des messages sur Internet parce que le téléphone fait un peu de lumière. Artificielle. Et un peu de réseau ça rrrassure. Poc.
Lieu ou construction sommaire servant de protection contre les intempéries, de refuge contre un danger. Contre pluie, bombes, rats, dindes.
Trois garçons imaginaires m’entrainent au fond du bassin, leurs mains comme les mâchoires d’un grand requin blanc, seul. Trop de sang, salé.
« Le cyberespace. Une hallucination consensuelle vécue quotidiennement en toute légalité par des dizaines de millions d’opérateurs… » W. G.
Je te vois…
Ce soir, je change d’île pour dormir.
Si vous jouez avec les animaux non apprivoisés, petits lapins, vous risquez de vous faire pincer très fort. Portez un fez, un nœud papillon.
Hem.
Wesh gros.
Rêves d’examens non révisés, de compagnonnage sexuel et finalement de catastrophe aérienne.
Le train des rebelles en route vers la Sibérie. Mina ajuste ses cartouchières. Igor, rêveur, observe les champignons, les bombes, lumière.
La vie est finalement dans l’ensemble plutôt intéressante. Et en particulier. La vie.
C’est carrément pas autorisé l’intrusion onirique sans permis. Surtout à répétition. Oui c’est à TOI que je parle. Passagère clandestine.
Sans ma barbe. t.co/hTJ0Ts7
Le tigre, allongé sur le sol, léchait ses grosses pattes du bout de sa longue langue rose.
Carver cultivait ses rondeurs avec affection. Une robe de soirée ou son costume de geek sous les bombardements et les faire exploser. Joie.
Parfois on va à la campagne et personne ne meurt. Parrrfois.
Une illusion peut-elle exister ?
*tousse*
Je veux que tu m’obéisses bien gentiment. t.co/DGZDTOg
Sur les flancs du dirigeable des terroristes, une maxime : « Jubilation matriarcale contre castration patriarcale ! »
Si vous voyez (encore) ce que je veux dire. Pour vous désinscrire du monde. t.co/4AGoIR4
Je veux recevoir des morceaux de ton corps. t.co/3toWtXf
Bon ok, je danse dans le train.
L’Internet existe au-dessus et en dessous de son nœud ?
*insérer ici une terrible gueule de bois à base de Jägermeister*
Le loup qui gratte à la porte m’empêche de dormir.
Ne pas passer sa vie à la gagner.
Je me sens comme James Bond sans son permis de tuer.
Igor constatait que, au bord de la piscine, les jeunes filles de province, donc qui se nourrissent, ont un petit ventre, sain et joli.
Pour la nouvelle année, ses amis offrent, à Igor, tendres baisers, caresses interdites et affection spontanée. Ça le chavire. Merci.
Et l’eau. t.co/xoF4W2u
Pelez et émincer les oignons, les faire blondir à feu doux dans 30 g de margarine. Mélanger les oeufs, la margarine fondue, sel, poivre.
Un type sur l’autre quai porte un costume, c’est un costume de chef indien, un sosie de Sitting Bull, le métro arrive enfin.
Question de thon au cœur de la nuit.
Quelqu’un a mangé la soupe. Quelqu’un a dormi dans mon lit. Boucle d’Or ?!
Et dehors. La chaleur lourde, à nouveau.
Mina fait son premier Twitpic de seins ? t.co/yfrzFYm
Ne pas boire avant le festival.
This is not a suicide note.
« Seules les personnes vraiment célèbres passent en privé sur Twitter » théorise Carver en finissant sa 1664 grenadine. Le décor explose.
et la fin du monde
Avec un cutter à deux lames on retire facilement un ongle. Ou un œil. Le deuxième est forcément plus problématique vu qu’on perd le relief.
Encore une minute et 3 ans.
Tu me vois…
je prédis un grand retour de « je connaissais la même avec un rabbin »
Et bienvenue tout le monde dans ce merveilleux mardi. Le mardi c’est comme le vélo. Quand on sait faire, on n’oublie pas. Le mardi c’est…
Déjà vu.
Evidemment nous étions à table.
Non mais sérieux, là, tous, on ne devrait pas être plutôt en train de sauver le monde ? (please RT) *tousse*
Et on va dans la forêt la nuit, on a juste la pleine lune comme lampe de poche et on peut imaginer facilement des choses effrayantes. Peurrr
Pendant quelques minutes, semelles de plomb terribles, la pluie sans doute ou le souvenir d’une chanson. Un duo boiteux, pour elle, au loin.
Rough nuit à toutes.
BALAFRE… elles ne peuvent l’oublier ! C’était un homme qui portait BALAFRE. Tout simplement. Un homme à l’élégance d’homme.
« on ne peut se protéger de la tristesse sans se protéger du bonheur » me rappelait souvent Mina.
Igor aimerait vous conseiller sur les gens à suivre le vendredi mais Mina lui signale qu’ils sont en mode privé ou super célèbres, donc.
Igor : « on va tellement crever Sexy Sushi vendredi soir que vous aurez plus rien samedi ». Mina : « oué oué, on verra ». Carver : « policière ? »
Au moins avec les singes on n’a pas de surprises.
« on rase gratis ce soir »
Plus tard. A voir.
Quand Mina & Igor jouaient aux Snipers, ils coordonnaient leurs gestes en écoutant « Miami » par Will Smith. Ils étaient vraiment bons.
Ça vous semble fou, mais c’est arrivé.
Ça tremble de partout.
Sommeil où es tu ?
Souvvvent à la mer on se baigne ivres et nus au milieu des requins fous et mangeurs d’homme. Parfois on ne meurt pas. Parrrfois.
Et on arrive à Toulouse.
Encore une séance photo : le vaisseau fait d’ongles d’hommes morts. Mon assistante veut une augmentation. Une prime, au moins.
Un mec de la ville, de passage : « Tuer avec des gants, ce serait comme baiser avec une capote ! ».
J’ai compté, ça fait un nombre à un chiffre.
Suivre le chat dans la forêt. Rencontrer son amante secrète. Tous les trois on écoute les chiens hurler. Un peu inquiets on plisse les yeux.
Mina mangeait abondamment et souvent mais les arts martiaux pratiqués depuis l’enfance ne laissaient rien dépasser sous ses abdos d’ado.