Salive, bave, crachats et autres sécrétions. C’est plutôt stimulant.

 

Bon ok, je pleure dans le train.

 

« Année Google » : proposez une définition.

 

Et nous restons sous les mortels rayons du soleil. Au bord de la piscine. Nos corps cancéreux et maladifs tremblants et nus. Rumba.

 

Evidemment nous étions à table.

 

Pondichery : séance photo avec les tigres.

 

L’Internet existe au-dessus et en dessous de son nœud ?

 

Si je ferme les yeux, Internet n’existe plus ?

 

En vieillissant, le cœur grossit ? Si on se marie, le compteur se bloque pour toujours ? Ceci > Cela.

 

Un type sur l’autre quai porte un costume, c’est un costume de chef indien, un sosie de Sitting Bull, le métro arrive enfin.

 

 et la fin du monde 

 

Pelez et émincer les oignons, les faire blondir à feu doux dans 30 g de margarine. Mélanger les oeufs, la margarine fondue, sel, poivre.

 

Rough nuit à toutes.

 

Pendant quelques minutes, semelles de plomb terribles, la pluie sans doute ou le souvenir d’une chanson. Un duo boiteux, pour elle, au loin.

 

Vertiges de l’acide.

 

Je veux ta sieste.

 

Autant être à l’aise.

 

La foudre frappe dans le jardin. Les plombs sautent. Punition de nos vilaines pensées. Et le chat reste cool. Fourmillement sur le clavier.

 

Sommeil où es tu ?

 

« Le cyberespace. Une hallucination consensuelle vécue quotidiennement en toute légalité par des dizaines de millions d’opérateurs… » W. G.

 

Devant, derrière.

 

Je pense que je m’embrouille.

 

« on rase gratis ce soir »

 

Si vous voyez (encore) ce que je veux dire. Pour vous désinscrire du monde. t.co/4AGoIR4

 

Et une pensée pour les personnes isolées loin de l’administration système, des surgelés en bon état et de la lumière artificielle. Linge !

 

On vient de me livrer un tatoueur ivre de taille inhabituelle. Un T.I.T.I. Je vais l’installer dans le bureau. Il a juste un sac à main.

 

Igor : « on va tellement crever Sexy Sushi vendredi soir que vous aurez plus rien samedi ». Mina : « oué oué, on verra ». Carver : « policière ? »

 

Hey ! Vous dormez ? Moi oui.

 

Dans mon abri j’entends les souris.

 

« Allo Bain De Minuit » j’écoute !

 

Mes yeux se voilent. Enfance. Glisser sur une rampe d’escalier bien longue, bien cirée. La rampe est soudainement changée en lame de rasoir.

 

Les pompiers en ont marre c’est la grève aujourd’hui Il y a le feu partout c’est la fête des fous Il y a le feu partout et vive le feu…

 

Quand Mina & Igor jouaient aux Snipers, ils coordonnaient leurs gestes en écoutant « Miami » par Will Smith. Ils étaient vraiment bons.

 

Igor : « Quitter la ville, enfin. » Mina : « Ne rêve pas : c’est terminé. » Carver : « LOL !  » Igor : « Mais..!  » Mina rigole et ouvre le feu.

 

Carver en entamant la descente finale : « Dans le Lac les Annéciens ! ».

 

Mina fait son premier Twitpic de seins ? t.co/yfrzFYm

 

Wesh gros.

 

Et merci à la visiteuse onirique « de l’enfer » d’avoir rapidement interrompu ses incursions à base d’avatars dessinés.

 

Fracture. t.co/N7eAU7k

 

This is not a suicide note.

 

I am now in love with french girls.. well you.. you get the picture.

 

Une illusion peut-elle exister ?

 

Igor constatait que, au bord de la piscine, les jeunes filles de province, donc qui se nourrissent, ont un petit ventre, sain et joli.

 

Cette fille ressemble tellement à Kaneda que ça me donne l’envie irrépressible de lui offrir ma moto rouge trop bien. Hotel new rose.

 

*insérer ici une terrible gueule de bois à base de Jägermeister*

 

Et quitter Bombay.

 

Le train des rebelles en route vers la Sibérie. Mina ajuste ses cartouchières. Igor, rêveur, observe les champignons, les bombes, lumière.

 

Igor, une côte cassée, trouvait le matin bien long, les gestes du quotidien relativement pénibles à effectuer, le soleil bien trop rond.

 

Je veux que tu m’obéisses bien gentiment. t.co/DGZDTOg

 

L’homme regarde l’Internet, l’Internet regarde l’homme.

 

Mina : « J’aime mon bo loulou pour ses hanches gracieuses, pour son doctorat en neuroscience appliquée aux armes de guerre innovantes ».

 

Igor aimerait vous conseiller sur les gens à suivre le vendredi mais Mina lui signale qu’ils sont en mode privés ou super célèbres, donc.

 

Carver cultivait ses rondeurs avec affection. Une robe de soirée ou son costume de geek sous les bombardements et les faire exploser. Joie.

 

C’est carrément pas autorisé l’intrusion onirique sans permis. Surtout à répétition. Oui c’est à TOI que je parle. Passagère clandestine.

 

Je veux recevoir des morceaux de ton corps. t.co/3toWtXf

 

Un univers, un docteur, un hamster.

 

Déjà vu.

 

Et dans la corne de l’Afrique. Les ventres gonflés. Par la faim.

 

Rêves d’examens non révisés, de compagnonnage sexuel et finalement de catastrophe aérienne.

 

Je croque dans une pomme un peu trop verte et c’est le drame.

 

Souvvvent à la mer on se baigne ivres et nus au milieu des requins fous et mangeurs d’homme. Parfois on ne meurt pas. Parrrfois.

 

BALAFRE… elles ne peuvent l’oublier ! C’était un homme qui portait BALAFRE. Tout simplement. Un homme à l’élégance d’homme.

 

Hem.

 

Non mais sérieux, là, tous, on ne devrait pas être plutôt en train de sauver le monde ? (please RT) *tousse*

 

« Ca y est, Harisson «au revoir» Ford à enfin largué ce petit cul serré de Calista «Hard Core» Flockhart. » dit le Sage.

 

Si le tourguenisme génératif est pensable, c’est tant il en identifie l’expression universelle en tant qu’objet sémiotique de connaissance.

 

Quelqu’un a mangé la soupe. Quelqu’un a dormi dans mon lit. Boucle d’Or ?!

 

Nous réservons tout le 3ème étage. Certaines cloisons sont abattues. On fait de la place autour des chaudrons et des planches à découper.

 

Mina mangeait abondamment et souvent mais les arts martiaux pratiqués depuis l’enfance ne laissaient rien dépasser sous ses abdos d’ado.

 

Encore une minute et 3 ans.

 

Troubler, tripoter, tâter, substituer, sonder, révolutionner, retoucher, remuer, relâcher, rectifier, recevoir, porter, pétrir, percevoir…

 

Sans ma barbe. t.co/hTJ0Ts7

 

J’ai compté, ça fait un nombre à un chiffre.

 

Les chats peuvent aider à passer les frontières. Les pieds dans l’eau. 38. Donc. Je passe le seuil. Aveugle et hilare.

 

Sur les flancs du dirigeable des terroristes, une maxime : « Jubilation matriarcale contre castration patriarcale ! »

 

Le mardi c’est pour la vie.

 

je prédis un grand retour de « je connaissais la même avec un rabbin »

 

Ça tremble de partout.

 

Et bienvenue tout le monde dans ce merveilleux mardi. Le mardi c’est comme le vélo. Quand on sait faire, on n’oublie pas. Le mardi c’est…

 

Dans les rues qui se donnent ?

 

Fuck Jimmy.

 

Ça vous semble fou, mais c’est arrivé.

 

Encore une séance photo : le vaisseau fait d’ongles d’hommes morts. Mon assistante veut une augmentation. Une prime, au moins.

 

Au moins avec les singes on n’a pas de surprises.

 

Les miliciens étaient les amis de l’ensemble de la population. Personne ne se cachait, les messages dissidents. t.co/EdLkFwM

 

Le loup qui gratte à la porte m’empêche de dormir.

 

Quelques photos et ça sera le temps du rasoir.

 

Saké !? t.co/ouNIeVN

 

Le coton c’est doux. Naturel. Et biodégradable. Et un peu rugueux aussi. Juste comme il faut. Le chat valide de la tête.

 

Et je pose nu pour un magazine de jardinage.

 

Tout bèl followers mw yo ki poko domi yo mw ta renmen nou ekrim yon bel ti sms pou n bonne nuit ?

 

Touche mes saints.

 

Rêver toutes les nuits d’une personne virtuelle jamais croisée ni vue, sysadmin. Chelou.

 

*tousse*

 

Question de thon au cœur de la nuit.

 

Et dehors. La chaleur lourde, à nouveau.

 

Le tigre, allongé sur le sol, léchait ses grosses pattes du bout de sa longue langue rose.

 

Je suis à 38 années Google de la plénitude. De la terre. De la mort. De toi. De tes yeux. Du spin de cette carte à jouer. De la fin et nu.

 

Si vous jouez avec les animaux non apprivoisés, petits lapins, vous risquez de vous faire pincer très fort. Portez un fez, un nœud papillon.

 

Et on arrive à Toulouse.

« là