Et dehors. La chaleur lourde, à nouveau.

 

Un type sur l’autre quai porte un costume, c’est un costume de chef indien, un sosie de Sitting Bull, le métro arrive enfin.

 

Si vous voyez (encore) ce que je veux dire. Pour vous désinscrire du monde. t.co/4AGoIR4

 

Non mais sérieux, là, tous, on ne devrait pas être plutôt en train de sauver le monde ? (please RT) *tousse*

 

je prédis un grand retour de « c’est ce qu’elles me disent toutes »

 

Pendant quelques minutes, semelles de plomb terribles, la pluie sans doute ou le souvenir d’une chanson. Un duo boiteux, pour elle, au loin.

 

Touche mes saints.

 

Ok, je craque.

 

Un mec de la ville, de passage : « Tuer avec des gants, ce serait comme baiser avec une capote ! ».

 

Je veux que tu m’obéisses bien gentiment. t.co/DGZDTOg

 

Igor constatait que, au bord de la piscine, les jeunes filles de province, donc qui se nourrissent, ont un petit ventre, sain et joli.

 

Ne pas boire avant le festival.

 

They’d hurt to make you cry but you’d never cry to them just to your soul
No you’d never cry to them just to your soul.

 

Quand Mina & Igor jouaient aux Snipers, ils coordonnaient leurs gestes en écoutant « Miami » par Will Smith. Ils étaient vraiment bons.

 

L’homme regarde l’Internet, l’Internet regarde l’homme.

 

Le train des rebelles en route vers la Sibérie. Mina ajuste ses cartouchières. Igor, rêveur, observe les champignons, les bombes, lumière.

 

Et il pleut. A verse. Et l’eau recouvre Paris. Noyant les hipsters, les chiptsters et les autres, qui ne le méritaient sans doute pas tous.

 

Les miliciens étaient les amis de l’ensemble de la population. Personne ne se cachait, les messages dissidents. t.co/EdLkFwM

 

« Ca y est, Harisson «au revoir» Ford à enfin largué ce petit cul serré de Calista «Hard Core» Flockhart. » dit le Sage.

 

La vie est finalement dans l’ensemble plutôt intéressante. Et en particulier. La vie.

 

Déjà vu.

 

Et on laisse des messages sur Internet parce que le téléphone fait un peu de lumière. Artificielle. Et un peu de réseau ça rrrassure. Poc.

 

Je veux recevoir des morceaux de ton corps. t.co/3toWtXf

 

« Allo Bain De Minuit » j’écoute !

 

Fuck Jimmy.

 

Si vous jouez avec les animaux non apprivoisés, petits lapins, vous risquez de vous faire pincer très fort. Portez un fez, un nœud papillon.

 

Ce soir, je change d’île pour dormir.

 

Carver et Mina venaient de retrouver un artefact d’avant l’Irréparable Incident. Recueillement. t.co/Qo5oo1a

 

L’Internet existe au-dessus et en dessous de son nœud ?

 

Salive, bave, crachats et autres sécrétions. C’est plutôt stimulant.

 

On levait le camp. Mina montait la garde. Carver et Igor pliaient la tente, lavaient la vaisselle, les chevaux.

 

« on rase gratis ce soir »

 

Hem.

 

Et l’eau. t.co/xoF4W2u

 

Autant être à l’aise.

 

Lieu ou construction sommaire servant de protection contre les intempéries, de refuge contre un danger. Contre pluie, bombes, rats, dindes.

 

Et dans la corne de l’Afrique. Les ventres gonflés. Par la faim.

 

Evidemment nous étions à table.

 

Je croque dans une pomme un peu trop verte et c’est le drame.

 

« on ne peut se protéger de la tristesse sans se protéger du bonheur » me rappelait souvent Mina.

 

ᶘ ᵒᴥᵒᶅ <—- it’s not an ordinary bear.

 

Oui, on se le demande. t.co/gPqPCqR

 

Pour la nouvelle année, ses amis offrent, à Igor, tendres baisers, caresses interdites et affection spontanée. Ça le chavire. Merci.

 

Et on arrive à Toulouse.

 

Bonne Saint-Barthélemy à tous !

 

« Année Google » : proposez une définition.

 

This is not a suicide note.

 

Je pense que je m’embrouille.

 

Question de thon au cœur de la nuit.

 

Carver était un peu dans ce genre, avant de virer philosophe coupe-tête : t.co/O1Kpgnc

 

Je te vois…

 

Notons par ailleurs que Sartre particularise l’analyse idéationnelle du tourguenisme.

 

je prédis un grand retour de « je connaissais la même avec un rabbin »

 

Trois garçons imaginaires m’entrainent au fond du bassin, leurs mains comme les mâchoires d’un grand requin blanc, seul. Trop de sang, salé.

 

Le mardi c’est tellement… Vendredi.

 

Igor : « Quitter la ville, enfin. » Mina : « Ne rêve pas : c’est terminé. » Carver : « LOL !  » Igor : « Mais..!  » Mina rigole et ouvre le feu.

 

Le loup qui gratte à la porte m’empêche de dormir.

 

BALAFRE… elles ne peuvent l’oublier ! C’était un homme qui portait BALAFRE. Tout simplement. Un homme à l’élégance d’homme.

 

Les chats peuvent aider à passer les frontières. Les pieds dans l’eau. 38. Donc. Je passe le seuil. Aveugle et hilare.

 

Oui c’est TOI l’inconnue qui vient hanter mes nuits. T’occupant des serveurs d’une boutique de manga et bossant ensuite pour l’armée.

 

Dans les rues qui se donnent ?

 

Nous réservons tout le 3ème étage. Certaines cloisons sont abattues. On fait de la place autour des chaudrons et des planches à découper.

 

Au moins avec les singes on n’a pas de surprises.

 

Sur les flancs du dirigeable des terroristes, une maxime : « Jubilation matriarcale contre castration patriarcale ! »

 

Une jeune fille se frotte le visage avec un poulpe vivant. Personne ne semble surpris. Ça protège vraiment du soleil ?

 

En fait si on veut aider la nation faut boire des litres de whisky-coke à Disneyland en fumant 4 paquets par jour.

 

*insérer ici une terrible gueule de bois à base de Jägermeister*

 

En vieillissant, le cœur grossit ? Si on se marie, le compteur se bloque pour toujours ? Ceci > Cela.

 

On vient de me livrer un tatoueur ivre de taille inhabituelle. Un T.I.T.I. Je vais l’installer dans le bureau. Il a juste un sac à main.

 

Encore une séance photo : le vaisseau fait d’ongles d’hommes morts. Mon assistante veut une augmentation. Une prime, au moins.

 

Et quitter Bombay.

 

Cette fille ressemble tellement à Kaneda que ça me donne l’envie irrépressible de lui offrir ma moto rouge trop bien. Hotel new rose.

 

Je me sens comme James Bond sans son permis de tuer.

 

Dans mon abri j’entends les souris.

 

« Le cyberespace. Une hallucination consensuelle vécue quotidiennement en toute légalité par des dizaines de millions d’opérateurs… » W. G.

 

Le tigre, allongé sur le sol, léchait ses grosses pattes du bout de sa longue langue rose.

 

Sans ma barbe. t.co/hTJ0Ts7

 

Si le tourguenisme génératif est pensable, c’est tant il en identifie l’expression universelle en tant qu’objet sémiotique de connaissance.

 

Mina : « J’aime mon bo loulou pour ses hanches gracieuses, pour son doctorat en neuroscience appliquée aux armes de guerre innovantes ».

 

Plus tard. A voir.

 

Si je ferme les yeux, Internet n’existe plus ?

 

Rough nuit à toutes.

 

Parfois on va à la campagne et personne ne meurt. Parrrfois.

 

Quelqu’un a mangé la soupe. Quelqu’un a dormi dans mon lit. Boucle d’Or ?!

 

Bon ok, je danse dans le train.

 

L’Homme à la tête de chat dans le panier n’attendait qu’un signe de sa maitresse pour éventrer le petit monstre hurleur du train vers Paris.

 

Suivre le chat dans la forêt. Rencontrer son amante secrète. Tous les trois on écoute les chiens hurler. Un peu inquiets on plisse les yeux.

 

I am now in love with french girls.. well you.. you get the picture.

 

Troubler, tripoter, tâter, substituer, sonder, révolutionner, retoucher, remuer, relâcher, rectifier, recevoir, porter, pétrir, percevoir…

 

Et on va dans la forêt la nuit, on a juste la pleine lune comme lampe de poche et on peut imaginer facilement des choses effrayantes. Peurrr

 

Ça vous semble fou, mais c’est arrivé.

 

Pondichery : séance photo avec les tigres.

 

Et une pensée pour les personnes isolées loin de l’administration système, des surgelés en bon état et de la lumière artificielle. Linge !

 

Le mardi c’est pour la vie.

 

Et je pose nu pour un magazine de jardinage.

 

Mina fait son premier Twitpic de seins ? t.co/yfrzFYm

 

Ça tremble de partout.

 

Sommeil où es tu ?

 

Souvvvent à la mer on se baigne ivres et nus au milieu des requins fous et mangeurs d’homme. Parfois on ne meurt pas. Parrrfois.

 

Vertiges de l’acide.

« là