Igor aimerait vous conseiller sur les gens à suivre le vendredi mais Mina lui signale qu’ils sont en mode privés ou super célèbres, donc.

 

je prédis un grand retour de « c’est ce qu’elles me disent toutes »

 

Bon ok, je danse dans le train.

 

« Le cyberespace. Une hallucination consensuelle vécue quotidiennement en toute légalité par des dizaines de millions d’opérateurs… » W. G.

 

Bonne Saint-Barthélemy à tous !

 

Et bienvenue tout le monde dans ce merveilleux mardi. Le mardi c’est comme le vélo. Quand on sait faire, on n’oublie pas. Le mardi c’est…

 

Si le tourguenisme génératif est pensable, c’est tant il en identifie l’expression universelle en tant qu’objet sémiotique de connaissance.

 

Vertiges de l’acide.

 

Dans les rues qui se donnent ?

 

Quand Mina & Igor jouaient aux Snipers, ils coordonnaient leurs gestes en écoutant « Miami » par Will Smith. Ils étaient vraiment bons.

 

Et une pensée pour les personnes isolées loin de l’administration système, des surgelés en bon état et de la lumière artificielle. Linge !

 

Pelez et émincer les oignons, les faire blondir à feu doux dans 30 g de margarine. Mélanger les oeufs, la margarine fondue, sel, poivre.

 

Touche mes saints.

 

Si vous jouez avec les animaux non apprivoisés, petits lapins, vous risquez de vous faire pincer très fort. Portez un fez, un nœud papillon.

 

Evidemment nous étions à table.

 

Sommeil où es tu ?

 

Plus tard. A voir.

 

On levait le camp. Mina montait la garde. Carver et Igor pliaient la tente, lavaient la vaisselle, les chevaux.

 

Nous réservons tout le 3ème étage. Certaines cloisons sont abattues. On fait de la place autour des chaudrons et des planches à découper.

 

Ne pas boire avant le festival.

 

Souvvvent à la mer on se baigne ivres et nus au milieu des requins fous et mangeurs d’homme. Parfois on ne meurt pas. Parrrfois.

 

Je me sens comme James Bond sans son permis de tuer.

 

Oui, on se le demande. t.co/gPqPCqR

 

Ne pas passer sa vie à la gagner.

 

Si je ferme les yeux, Internet n’existe plus ?

 

On vient de me livrer un tatoueur ivre de taille inhabituelle. Un T.I.T.I. Je vais l’installer dans le bureau. Il a juste un sac à main.

 

Oui c’est TOI l’inconnue qui vient hanter mes nuits. T’occupant des serveurs d’une boutique de manga et bossant ensuite pour l’armée.

 

Question de thon au cœur de la nuit.

 

ᶘ ᵒᴥᵒᶅ <—- it’s not an ordinary bear.

 

Je suis à 38 années Google de la plénitude. De la terre. De la mort. De toi. De tes yeux. Du spin de cette carte à jouer. De la fin et nu.

 

Un univers, un docteur, un hamster.

 

Cette fille ressemble tellement à Kaneda que ça me donne l’envie irrépressible de lui offrir ma moto rouge trop bien. Hotel new rose.

 

Troubler, tripoter, tâter, substituer, sonder, révolutionner, retoucher, remuer, relâcher, rectifier, recevoir, porter, pétrir, percevoir…

 

Salive, bave, crachats et autres sécrétions. C’est plutôt stimulant.

 

Les pompiers en ont marre c’est la grève aujourd’hui Il y a le feu partout c’est la fête des fous Il y a le feu partout et vive le feu…

 

Encore une séance photo : le vaisseau fait d’ongles d’hommes morts. Mon assistante veut une augmentation. Une prime, au moins.

 

Je veux ta sieste.

 

Ok, je craque.

 

*tousse*

 

Mina mangeait abondamment et souvent mais les arts martiaux pratiqués depuis l’enfance ne laissaient rien dépasser sous ses abdos d’ado.

 

Carver en entamant la descente finale : « Dans le Lac les Annéciens ! ».

 

« on rase gratis ce soir »

 

Igor : « Quitter la ville, enfin. » Mina : « Ne rêve pas : c’est terminé. » Carver : « LOL !  » Igor : « Mais..!  » Mina rigole et ouvre le feu.

 

L’homme regarde l’Internet, l’Internet regarde l’homme.

 

Ce soir, je change d’île pour dormir.

 

J’ai compté, ça fait un nombre à un chiffre.

 

Le tigre, allongé sur le sol, léchait ses grosses pattes du bout de sa longue langue rose.

 

Mina : « J’aime mon bo loulou pour ses hanches gracieuses, pour son doctorat en neuroscience appliquée aux armes de guerre innovantes ».

 

Pendant quelques minutes, semelles de plomb terribles, la pluie sans doute ou le souvenir d’une chanson. Un duo boiteux, pour elle, au loin.

 

Fracture. t.co/N7eAU7k

 

Et dehors. La chaleur lourde, à nouveau.

 

Pondichery : séance photo avec les tigres.

 

Je te vois…

 

Inforrrme et terrrible.

 

Devant, derrière.

 

I am now in love with french girls.. well you.. you get the picture.

 

Non mais sérieux, là, tous, on ne devrait pas être plutôt en train de sauver le monde ? (please RT) *tousse*

 

Pour la nouvelle année, ses amis offrent, à Igor, tendres baisers, caresses interdites et affection spontanée. Ça le chavire. Merci.

 

Bon ok, je pleure dans le train.

 

Je pense que je m’embrouille.

 

Suivre le chat dans la forêt. Rencontrer son amante secrète. Tous les trois on écoute les chiens hurler. Un peu inquiets on plisse les yeux.

 

Et quitter Bombay.

 

Dans mon abri j’entends les souris.

 

Je veux que tu m’obéisses bien gentiment. t.co/DGZDTOg

 

Tout bèl followers mw yo ki poko domi yo mw ta renmen nou ekrim yon bel ti sms pou n bonne nuit ?

 

Quelques photos et ça sera le temps du rasoir.

 

En vieillissant, le cœur grossit ? Si on se marie, le compteur se bloque pour toujours ? Ceci > Cela.

 

Et on va dans la forêt la nuit, on a juste la pleine lune comme lampe de poche et on peut imaginer facilement des choses effrayantes. Peurrr

 

Le coton c’est doux. Naturel. Et biodégradable. Et un peu rugueux aussi. Juste comme il faut. Le chat valide de la tête.

 

Igor constatait que, au bord de la piscine, les jeunes filles de province, donc qui se nourrissent, ont un petit ventre, sain et joli.

 

Rêver toutes les nuits d’une personne virtuelle jamais croisée ni vue, sysadmin. Chelou.

 

Les chats peuvent aider à passer les frontières. Les pieds dans l’eau. 38. Donc. Je passe le seuil. Aveugle et hilare.

 

Au moins avec les singes on n’a pas de surprises.

 

La foudre frappe dans le jardin. Les plombs sautent. Punition de nos vilaines pensées. Et le chat reste cool. Fourmillement sur le clavier.

 

Le mardi c’est pour la vie.

 

« Année Google » : proposez une définition.

 

Le train des rebelles en route vers la Sibérie. Mina ajuste ses cartouchières. Igor, rêveur, observe les champignons, les bombes, lumière.

 

Igor : « on va tellement crever Sexy Sushi vendredi soir que vous aurez plus rien samedi ». Mina : « oué oué, on verra ». Carver : « policière ? »

 

Je croque dans une pomme un peu trop verte et c’est le drame.

 

Et dans la corne de l’Afrique. Les ventres gonflés. Par la faim.

 

En fait si on veut aider la nation faut boire des litres de whisky-coke à Disneyland en fumant 4 paquets par jour.

 

Et merci à la visiteuse onirique « de l’enfer » d’avoir rapidement interrompu ses incursions à base d’avatars dessinés.

 

Forcément je vais me renseigner. #haunting #sysadmin

 

Et on arrive à Toulouse.

 

Encore une minute et 3 ans.

 

« Seules les personnes vraiment célèbres passent en privé sur Twitter » théorise Carver en finissant sa 1664 grenadine. Le décor explose.

 

Et l’eau. t.co/xoF4W2u

 

La vie est finalement dans l’ensemble plutôt intéressante. Et en particulier. La vie.

 

Un type sur l’autre quai porte un costume, c’est un costume de chef indien, un sosie de Sitting Bull, le métro arrive enfin.

 

Carver était un peu dans ce genre, avant de virer philosophe coupe-tête : t.co/O1Kpgnc

 

Et il pleut. A verse. Et l’eau recouvre Paris. Noyant les hipsters, les chiptsters et les autres, qui ne le méritaient sans doute pas tous.

 

Avec un cutter à deux lames on retire facilement un ongle. Ou un œil. Le deuxième est forcément plus problématique vu qu’on perd le relief.

 

Déjà vu.

 

Si vous voyez (encore) ce que je veux dire. Pour vous désinscrire du monde. t.co/4AGoIR4

 

Le loup qui gratte à la porte m’empêche de dormir.

 

Rêves d’examens non révisés, de compagnonnage sexuel et finalement de catastrophe aérienne.

 

Notons par ailleurs que Sartre particularise l’analyse idéationnelle du tourguenisme.

 

Mina fait son premier Twitpic de seins ? t.co/yfrzFYm

 

Reboot.

 

Et je pose nu pour un magazine de jardinage.

« là