Mina mangeait abondamment et souvent mais les arts martiaux pratiqués depuis l’enfance ne laissaient rien dépasser sous ses abdos d’ado.
Quelques photos et ça sera le temps du rasoir.
Je veux ta sieste.
Wesh gros.
I am now in love with french girls.. well you.. you get the picture.
Si le tourguenisme génératif est pensable, c’est tant il en identifie l’expression universelle en tant qu’objet sémiotique de connaissance.
Et dehors. La chaleur lourde, à nouveau.
Une illusion peut-elle exister ?
Un type sur l’autre quai porte un costume, c’est un costume de chef indien, un sosie de Sitting Bull, le métro arrive enfin.
Sommeil où es tu ?
Autant être à l’aise.
Je croque dans une pomme un peu trop verte et c’est le drame.
Question de thon au cœur de la nuit.
Le tigre, allongé sur le sol, léchait ses grosses pattes du bout de sa longue langue rose.
Et on laisse des messages sur Internet parce que le téléphone fait un peu de lumière. Artificielle. Et un peu de réseau ça rrrassure. Poc.
Quelqu’un a mangé la soupe. Quelqu’un a dormi dans mon lit. Boucle d’Or ?!
L’Homme à la tête de chat dans le panier n’attendait qu’un signe de sa maitresse pour éventrer le petit monstre hurleur du train vers Paris.
Carver cultivait ses rondeurs avec affection. Une robe de soirée ou son costume de geek sous les bombardements et les faire exploser. Joie.
Evidemment nous étions à table.
On vient de me livrer un tatoueur ivre de taille inhabituelle. Un T.I.T.I. Je vais l’installer dans le bureau. Il a juste un sac à main.
Inforrrme et terrrible.
Forcément je vais me renseigner. #haunting #sysadmin
On levait le camp. Mina montait la garde. Carver et Igor pliaient la tente, lavaient la vaisselle, les chevaux.
Le train des rebelles en route vers la Sibérie. Mina ajuste ses cartouchières. Igor, rêveur, observe les champignons, les bombes, lumière.
J’ai compté, ça fait un nombre à un chiffre.
et la fin du monde
Troubler, tripoter, tâter, substituer, sonder, révolutionner, retoucher, remuer, relâcher, rectifier, recevoir, porter, pétrir, percevoir…
Mes yeux se voilent. Enfance. Glisser sur une rampe d’escalier bien longue, bien cirée. La rampe est soudainement changée en lame de rasoir.
This is not a suicide note.
Mère nature semble mécontente des suites de l’affaire #DSK.
Igor aimerait vous conseiller sur les gens à suivre le vendredi mais Mina lui signale qu’ils sont en mode privés ou super célèbres, donc.
Encore une minute et 3 ans.
Dans mon abri j’entends les souris.
Lieu ou construction sommaire servant de protection contre les intempéries, de refuge contre un danger. Contre pluie, bombes, rats, dindes.
Avec un cutter à deux lames on retire facilement un ongle. Ou un œil. Le deuxième est forcément plus problématique vu qu’on perd le relief.
Nous réservons tout le 3ème étage. Certaines cloisons sont abattues. On fait de la place autour des chaudrons et des planches à découper.
Et l’eau. t.co/xoF4W2u
Non mais sérieux, là, tous, on ne devrait pas être plutôt en train de sauver le monde ? (please RT) *tousse*
Notons par ailleurs que Sartre particularise l’analyse idéationnelle du tourguenisme.
Je suis à 38 années Google de la plénitude. De la terre. De la mort. De toi. De tes yeux. Du spin de cette carte à jouer. De la fin et nu.
« Ca y est, Harisson «au revoir» Ford à enfin largué ce petit cul serré de Calista «Hard Core» Flockhart. » dit le Sage.
Carnivores, les plantes.
Touche mes saints.
Saké !? t.co/ouNIeVN
Oui, on se le demande. t.co/gPqPCqR
C’est carrément pas autorisé l’intrusion onirique sans permis. Surtout à répétition. Oui c’est à TOI que je parle. Passagère clandestine.
Encore une séance photo : le vaisseau fait d’ongles d’hommes morts. Mon assistante veut une augmentation. Une prime, au moins.
La foudre frappe dans le jardin. Les plombs sautent. Punition de nos vilaines pensées. Et le chat reste cool. Fourmillement sur le clavier.
Pendant quelques minutes, semelles de plomb terribles, la pluie sans doute ou le souvenir d’une chanson. Un duo boiteux, pour elle, au loin.
« on ne peut se protéger de la tristesse sans se protéger du bonheur » me rappelait souvent Mina.
Rêver toutes les nuits d’une personne virtuelle jamais croisée ni vue, sysadmin. Chelou.
Hem.
*insérer ici une terrible gueule de bois à base de Jägermeister*
Parfois on va à la campagne et personne ne meurt. Parrrfois.
Devant, derrière.
Je me sens comme James Bond sans son permis de tuer.
Un mec de la ville, de passage : « Tuer avec des gants, ce serait comme baiser avec une capote ! ».
La Reine Mère des Terres Maudites communiquait. Son messager, muet et sourd, nous apportait un message, difficile à saisir, mais lisible.
Une jeune fille se frotte le visage avec un poulpe vivant. Personne ne semble surpris. Ça protège vraiment du soleil ?
Igor, une côte cassée, trouvait le matin bien long, les gestes du quotidien relativement pénibles à effectuer, le soleil bien trop rond.
Carver en entamant la descente finale : « Dans le Lac les Annéciens ! ».
BALAFRE… elles ne peuvent l’oublier ! C’était un homme qui portait BALAFRE. Tout simplement. Un homme à l’élégance d’homme.
Pour la nouvelle année, ses amis offrent, à Igor, tendres baisers, caresses interdites et affection spontanée. Ça le chavire. Merci.
Si vous jouez avec les animaux non apprivoisés, petits lapins, vous risquez de vous faire pincer très fort. Portez un fez, un nœud papillon.
Oui c’est TOI l’inconnue qui vient hanter mes nuits. T’occupant des serveurs d’une boutique de manga et bossant ensuite pour l’armée.
La vie est finalement dans l’ensemble plutôt intéressante. Et en particulier. La vie.
Et on va dans la forêt la nuit, on a juste la pleine lune comme lampe de poche et on peut imaginer facilement des choses effrayantes. Peurrr
Rêves d’examens non révisés, de compagnonnage sexuel et finalement de catastrophe aérienne.
Fracture. t.co/N7eAU7k
Et quitter Bombay.
Ça tremble de partout.
Igor : « on va tellement crever Sexy Sushi vendredi soir que vous aurez plus rien samedi ». Mina : « oué oué, on verra ». Carver : « policière ? »
Les pompiers en ont marre c’est la grève aujourd’hui Il y a le feu partout c’est la fête des fous Il y a le feu partout et vive le feu…
Hey ! Vous dormez ? Moi oui.
En vieillissant, le cœur grossit ? Si on se marie, le compteur se bloque pour toujours ? Ceci > Cela.
Mina : « J’aime mon bo loulou pour ses hanches gracieuses, pour son doctorat en neuroscience appliquée aux armes de guerre innovantes ».
Je veux recevoir des morceaux de ton corps. t.co/3toWtXf
« Année Google » : proposez une définition.
Vertiges de l’acide.
Et dans la corne de l’Afrique. Les ventres gonflés. Par la faim.
Igor : « Quitter la ville, enfin. » Mina : « Ne rêve pas : c’est terminé. » Carver : « LOL ! » Igor : « Mais..! » Mina rigole et ouvre le feu.
Je veux que tu m’obéisses bien gentiment. t.co/DGZDTOg
Carver était un peu dans ce genre, avant de virer philosophe coupe-tête : t.co/O1Kpgnc
L’Internet existe au-dessus et en dessous de son nœud ?
Ne pas passer sa vie à la gagner.
Les miliciens étaient les amis de l’ensemble de la population. Personne ne se cachait, les messages dissidents. t.co/EdLkFwM
Tu me vois…
Ne pas boire avant le festival.
Salive, bave, crachats et autres sécrétions. C’est plutôt stimulant.
Mina fait son premier Twitpic de seins ? t.co/yfrzFYm
Fuck Jimmy.
Le loup qui gratte à la porte m’empêche de dormir.
Et je pose nu pour un magazine de jardinage.
Ça vous semble fou, mais c’est arrivé.
Igor constatait que, au bord de la piscine, les jeunes filles de province, donc qui se nourrissent, ont un petit ventre, sain et joli.
Le mardi c’est pour la vie.
Rough nuit à toutes.
Ok, je craque.
Sans ma barbe. t.co/hTJ0Ts7
Pondichery : séance photo avec les tigres.