Carnivores, les plantes.
Une jeune fille se frotte le visage avec un poulpe vivant. Personne ne semble surpris. Ça protège vraiment du soleil ?
Quelqu’un a mangé la soupe. Quelqu’un a dormi dans mon lit. Boucle d’Or ?!
Tu me vois…
L’homme regarde l’Internet, l’Internet regarde l’homme.
Si vous jouez avec les animaux non apprivoisés, petits lapins, vous risquez de vous faire pincer très fort. Portez un fez, un nœud papillon.
et la fin du monde
Souvvvent à la mer on se baigne ivres et nus au milieu des requins fous et mangeurs d’homme. Parfois on ne meurt pas. Parrrfois.
Pelez et émincer les oignons, les faire blondir à feu doux dans 30 g de margarine. Mélanger les oeufs, la margarine fondue, sel, poivre.
Troubler, tripoter, tâter, substituer, sonder, révolutionner, retoucher, remuer, relâcher, rectifier, recevoir, porter, pétrir, percevoir…
Je me sens comme James Bond sans son permis de tuer.
On vient de me livrer un tatoueur ivre de taille inhabituelle. Un T.I.T.I. Je vais l’installer dans le bureau. Il a juste un sac à main.
C’est carrément pas autorisé l’intrusion onirique sans permis. Surtout à répétition. Oui c’est à TOI que je parle. Passagère clandestine.
Si le tourguenisme génératif est pensable, c’est tant il en identifie l’expression universelle en tant qu’objet sémiotique de connaissance.
Dans mon abri j’entends les souris.
Le tigre, allongé sur le sol, léchait ses grosses pattes du bout de sa longue langue rose.
Je croque dans une pomme un peu trop verte et c’est le drame.
Carver en entamant la descente finale : « Dans le Lac les Annéciens ! ».
L’Internet existe au-dessus et en dessous de son nœud ?
Notons par ailleurs que Sartre particularise l’analyse idéationnelle du tourguenisme.
Rêves d’examens non révisés, de compagnonnage sexuel et finalement de catastrophe aérienne.
Je veux recevoir des morceaux de ton corps. t.co/3toWtXf
Le loup qui gratte à la porte m’empêche de dormir.
Ok, je craque.
Les chats peuvent aider à passer les frontières. Les pieds dans l’eau. 38. Donc. Je passe le seuil. Aveugle et hilare.
On levait le camp. Mina montait la garde. Carver et Igor pliaient la tente, lavaient la vaisselle, les chevaux.
Lieu ou construction sommaire servant de protection contre les intempéries, de refuge contre un danger. Contre pluie, bombes, rats, dindes.
Un mec de la ville, de passage : « Tuer avec des gants, ce serait comme baiser avec une capote ! ».
« Allo Bain De Minuit » j’écoute !
Je pense que je m’embrouille.
I am now in love with french girls.. well you.. you get the picture.
Quand Mina & Igor jouaient aux Snipers, ils coordonnaient leurs gestes en écoutant « Miami » par Will Smith. Ils étaient vraiment bons.
Je veux que tu m’obéisses bien gentiment. t.co/DGZDTOg
J’ai compté, ça fait un nombre à un chiffre.
Ça tremble de partout.
Ce soir, je change d’île pour dormir.
Le mardi c’est pour la vie.
La foudre frappe dans le jardin. Les plombs sautent. Punition de nos vilaines pensées. Et le chat reste cool. Fourmillement sur le clavier.
« Seules les personnes vraiment célèbres passent en privé sur Twitter » théorise Carver en finissant sa 1664 grenadine. Le décor explose.
Fracture. t.co/N7eAU7k
Et on laisse des messages sur Internet parce que le téléphone fait un peu de lumière. Artificielle. Et un peu de réseau ça rrrassure. Poc.
Et je pose nu pour un magazine de jardinage.
Et dehors. La chaleur lourde, à nouveau.
Oui c’est TOI l’inconnue qui vient hanter mes nuits. T’occupant des serveurs d’une boutique de manga et bossant ensuite pour l’armée.
Suivre le chat dans la forêt. Rencontrer son amante secrète. Tous les trois on écoute les chiens hurler. Un peu inquiets on plisse les yeux.
Sur les flancs du dirigeable des terroristes, une maxime : « Jubilation matriarcale contre castration patriarcale ! »
Wesh gros.
En fait si on veut aider la nation faut boire des litres de whisky-coke à Disneyland en fumant 4 paquets par jour.
Trois garçons imaginaires m’entrainent au fond du bassin, leurs mains comme les mâchoires d’un grand requin blanc, seul. Trop de sang, salé.
Dans les rues qui se donnent ?
je prédis un grand retour de « je connaissais la même avec un rabbin »
Pondichery : séance photo avec les tigres.
Et quitter Bombay.
Un type sur l’autre quai porte un costume, c’est un costume de chef indien, un sosie de Sitting Bull, le métro arrive enfin.
« on rase gratis ce soir »
Igor constatait que, au bord de la piscine, les jeunes filles de province, donc qui se nourrissent, ont un petit ventre, sain et joli.
Reboot.
Rough nuit à toutes.
Carver et Mina venaient de retrouver un artefact d’avant l’Irréparable Incident. Recueillement. t.co/Qo5oo1a
Igor, une côte cassée, trouvait le matin bien long, les gestes du quotidien relativement pénibles à effectuer, le soleil bien trop rond.
Ne pas passer sa vie à la gagner.
Avec un cutter à deux lames on retire facilement un ongle. Ou un œil. Le deuxième est forcément plus problématique vu qu’on perd le relief.
Et bienvenue tout le monde dans ce merveilleux mardi. Le mardi c’est comme le vélo. Quand on sait faire, on n’oublie pas. Le mardi c’est…
Le coton c’est doux. Naturel. Et biodégradable. Et un peu rugueux aussi. Juste comme il faut. Le chat valide de la tête.
La vie est finalement dans l’ensemble plutôt intéressante. Et en particulier. La vie.
Vertiges de l’acide.
L’Homme à la tête de chat dans le panier n’attendait qu’un signe de sa maitresse pour éventrer le petit monstre hurleur du train vers Paris.
Si vous voyez (encore) ce que je veux dire. Pour vous désinscrire du monde. t.co/4AGoIR4
Fuck Jimmy.
Devant, derrière.
La Reine Mère des Terres Maudites communiquait. Son messager, muet et sourd, nous apportait un message, difficile à saisir, mais lisible.
Un univers, un docteur, un hamster.
*insérer ici une terrible gueule de bois à base de Jägermeister*
They’d hurt to make you cry but you’d never cry to them just to your soul
No you’d never cry to them just to your soul.
Autant être à l’aise.
Je veux ta sieste.
Oui, on se le demande. t.co/gPqPCqR
je prédis un grand retour de « c’est ce qu’elles me disent toutes »
Bonne Saint-Barthélemy à tous !
Et l’eau. t.co/xoF4W2u
Mère nature semble mécontente des suites de l’affaire #DSK.
Si je ferme les yeux, Internet n’existe plus ?
Rêver toutes les nuits d’une personne virtuelle jamais croisée ni vue, sysadmin. Chelou.
Mina mangeait abondamment et souvent mais les arts martiaux pratiqués depuis l’enfance ne laissaient rien dépasser sous ses abdos d’ado.
« on ne peut se protéger de la tristesse sans se protéger du bonheur » me rappelait souvent Mina.
Et on arrive à Toulouse.
Bon ok, je pleure dans le train.
Et une pensée pour les personnes isolées loin de l’administration système, des surgelés en bon état et de la lumière artificielle. Linge !
Et nous restons sous les mortels rayons du soleil. Au bord de la piscine. Nos corps cancéreux et maladifs tremblants et nus. Rumba.
Encore une séance photo : le vaisseau fait d’ongles d’hommes morts. Mon assistante veut une augmentation. Une prime, au moins.
Mina : « J’aime mon bo loulou pour ses hanches gracieuses, pour son doctorat en neuroscience appliquée aux armes de guerre innovantes ».
Igor : « on va tellement crever Sexy Sushi vendredi soir que vous aurez plus rien samedi ». Mina : « oué oué, on verra ». Carver : « policière ? »
Igor aimerait vous conseiller sur les gens à suivre le vendredi mais Mina lui signale qu’ils sont en mode privé ou super célèbres, donc.
Quelques photos et ça sera le temps du rasoir.
Et il pleut. A verse. Et l’eau recouvre Paris. Noyant les hipsters, les chiptsters et les autres, qui ne le méritaient sans doute pas tous.
Mes yeux se voilent. Enfance. Glisser sur une rampe d’escalier bien longue, bien cirée. La rampe est soudainement changée en lame de rasoir.
Les pompiers en ont marre c’est la grève aujourd’hui Il y a le feu partout c’est la fête des fous Il y a le feu partout et vive le feu…
Au moins avec les singes on n’a pas de surprises.
Igor aimerait vous conseiller sur les gens à suivre le vendredi mais Mina lui signale qu’ils sont en mode privés ou super célèbres, donc.
Mina fait son premier Twitpic de seins ? t.co/yfrzFYm