Carver était un peu dans ce genre, avant de virer philosophe coupe-tête : t.co/O1Kpgnc
Question de thon au cœur de la nuit.
Si vous voyez (encore) ce que je veux dire. Pour vous désinscrire du monde. t.co/4AGoIR4
Je croque dans une pomme un peu trop verte et c’est le drame.
Vertiges de l’acide.
Le tigre, allongé sur le sol, léchait ses grosses pattes du bout de sa longue langue rose.
Suivre le chat dans la forêt. Rencontrer son amante secrète. Tous les trois on écoute les chiens hurler. Un peu inquiets on plisse les yeux.
et la fin du monde
Et l’eau. t.co/xoF4W2u
Si je ferme les yeux, Internet n’existe plus ?
Rough nuit à toutes.
Igor aimerait vous conseiller sur les gens à suivre le vendredi mais Mina lui signale qu’ils sont en mode privé ou super célèbres, donc.
Cette fille ressemble tellement à Kaneda que ça me donne l’envie irrépressible de lui offrir ma moto rouge trop bien. Hotel new rose.
Sur les flancs du dirigeable des terroristes, une maxime : « Jubilation matriarcale contre castration patriarcale ! »
Salive, bave, crachats et autres sécrétions. C’est plutôt stimulant.
Tout bèl followers mw yo ki poko domi yo mw ta renmen nou ekrim yon bel ti sms pou n bonne nuit ?
Je veux ta sieste.
En fait si on veut aider la nation faut boire des litres de whisky-coke à Disneyland en fumant 4 paquets par jour.
Dans mon abri j’entends les souris.
Le coton c’est doux. Naturel. Et biodégradable. Et un peu rugueux aussi. Juste comme il faut. Le chat valide de la tête.
Igor, une côte cassée, trouvait le matin bien long, les gestes du quotidien relativement pénibles à effectuer, le soleil bien trop rond.
Reboot.
Un type sur l’autre quai porte un costume, c’est un costume de chef indien, un sosie de Sitting Bull, le métro arrive enfin.
*insérer ici une terrible gueule de bois à base de Jägermeister*
La vie est finalement dans l’ensemble plutôt intéressante. Et en particulier. La vie.
Pondichery : séance photo avec les tigres.
On vient de me livrer un tatoueur ivre de taille inhabituelle. Un T.I.T.I. Je vais l’installer dans le bureau. Il a juste un sac à main.
Une illusion peut-elle exister ?
Ça tremble de partout.
Mina mangeait abondamment et souvent mais les arts martiaux pratiqués depuis l’enfance ne laissaient rien dépasser sous ses abdos d’ado.
La foudre frappe dans le jardin. Les plombs sautent. Punition de nos vilaines pensées. Et le chat reste cool. Fourmillement sur le clavier.
Et il pleut. A verse. Et l’eau recouvre Paris. Noyant les hipsters, les chiptsters et les autres, qui ne le méritaient sans doute pas tous.
Ça vous semble fou, mais c’est arrivé.
Je veux que tu m’obéisses bien gentiment. t.co/DGZDTOg
Non mais sérieux, là, tous, on ne devrait pas être plutôt en train de sauver le monde ? (please RT) *tousse*
Carver cultivait ses rondeurs avec affection. Une robe de soirée ou son costume de geek sous les bombardements et les faire exploser. Joie.
Et merci à la visiteuse onirique « de l’enfer » d’avoir rapidement interrompu ses incursions à base d’avatars dessinés.
Si le tourguenisme génératif est pensable, c’est tant il en identifie l’expression universelle en tant qu’objet sémiotique de connaissance.
Inforrrme et terrrible.
Au moins avec les singes on n’a pas de surprises.
Pelez et émincer les oignons, les faire blondir à feu doux dans 30 g de margarine. Mélanger les oeufs, la margarine fondue, sel, poivre.
Igor aimerait vous conseiller sur les gens à suivre le vendredi mais Mina lui signale qu’ils sont en mode privés ou super célèbres, donc.
Souvvvent à la mer on se baigne ivres et nus au milieu des requins fous et mangeurs d’homme. Parfois on ne meurt pas. Parrrfois.
je prédis un grand retour de « c’est ce qu’elles me disent toutes »
Carnivores, les plantes.
On levait le camp. Mina montait la garde. Carver et Igor pliaient la tente, lavaient la vaisselle, les chevaux.
Une jeune fille se frotte le visage avec un poulpe vivant. Personne ne semble surpris. Ça protège vraiment du soleil ?
L’homme regarde l’Internet, l’Internet regarde l’homme.
Sommeil où es tu ?
Je pense que je m’embrouille.
Evidemment nous étions à table.
Et bienvenue tout le monde dans ce merveilleux mardi. Le mardi c’est comme le vélo. Quand on sait faire, on n’oublie pas. Le mardi c’est…
En vieillissant, le cœur grossit ? Si on se marie, le compteur se bloque pour toujours ? Ceci > Cela.
Plus tard. A voir.
Et une pensée pour les personnes isolées loin de l’administration système, des surgelés en bon état et de la lumière artificielle. Linge !
Rêves d’examens non révisés, de compagnonnage sexuel et finalement de catastrophe aérienne.
Tu me vois…
Hey ! Vous dormez ? Moi oui.
Encore une séance photo : le vaisseau fait d’ongles d’hommes morts. Mon assistante veut une augmentation. Une prime, au moins.
Quand Mina & Igor jouaient aux Snipers, ils coordonnaient leurs gestes en écoutant « Miami » par Will Smith. Ils étaient vraiment bons.
I am now in love with french girls.. well you.. you get the picture.
Un mec de la ville, de passage : « Tuer avec des gants, ce serait comme baiser avec une capote ! ».
Dans les rues qui se donnent ?
« Le cyberespace. Une hallucination consensuelle vécue quotidiennement en toute légalité par des dizaines de millions d’opérateurs… » W. G.
La Reine Mère des Terres Maudites communiquait. Son messager, muet et sourd, nous apportait un message, difficile à saisir, mais lisible.
Ne pas boire avant le festival.
Oui c’est TOI l’inconnue qui vient hanter mes nuits. T’occupant des serveurs d’une boutique de manga et bossant ensuite pour l’armée.
« on ne peut se protéger de la tristesse sans se protéger du bonheur » me rappelait souvent Mina.
Et dehors. La chaleur lourde, à nouveau.
Encore une minute et 3 ans.
Je veux recevoir des morceaux de ton corps. t.co/3toWtXf
Fuck Jimmy.
BALAFRE… elles ne peuvent l’oublier ! C’était un homme qui portait BALAFRE. Tout simplement. Un homme à l’élégance d’homme.
Devant, derrière.
Troubler, tripoter, tâter, substituer, sonder, révolutionner, retoucher, remuer, relâcher, rectifier, recevoir, porter, pétrir, percevoir…
« on rase gratis ce soir »
This is not a suicide note.
Bon ok, je pleure dans le train.
Igor : « on va tellement crever Sexy Sushi vendredi soir que vous aurez plus rien samedi ». Mina : « oué oué, on verra ». Carver : « policière ? »
Et dans la corne de l’Afrique. Les ventres gonflés. Par la faim.
Wesh gros.
Mère nature semble mécontente des suites de l’affaire #DSK.
Oui, on se le demande. t.co/gPqPCqR
ᶘ ᵒᴥᵒᶅ <—- it’s not an ordinary bear.
Un univers, un docteur, un hamster.
Igor : « Quitter la ville, enfin. » Mina : « Ne rêve pas : c’est terminé. » Carver : « LOL ! » Igor : « Mais..! » Mina rigole et ouvre le feu.
Ok, je craque.
« Seules les personnes vraiment célèbres passent en privé sur Twitter » théorise Carver en finissant sa 1664 grenadine. Le décor explose.
Pendant quelques minutes, semelles de plomb terribles, la pluie sans doute ou le souvenir d’une chanson. Un duo boiteux, pour elle, au loin.
Fracture. t.co/N7eAU7k
Ce soir, je change d’île pour dormir.
Trois garçons imaginaires m’entrainent au fond du bassin, leurs mains comme les mâchoires d’un grand requin blanc, seul. Trop de sang, salé.
Ne pas passer sa vie à la gagner.
Autant être à l’aise.
Notons par ailleurs que Sartre particularise l’analyse idéationnelle du tourguenisme.
Carver et Mina venaient de retrouver un artefact d’avant l’Irréparable Incident. Recueillement. t.co/Qo5oo1a
« Allo Bain De Minuit » j’écoute !
Saké !? t.co/ouNIeVN
Mes yeux se voilent. Enfance. Glisser sur une rampe d’escalier bien longue, bien cirée. La rampe est soudainement changée en lame de rasoir.
Mina : « J’aime mon bo loulou pour ses hanches gracieuses, pour son doctorat en neuroscience appliquée aux armes de guerre innovantes ».