Et on va dans la forêt la nuit, on a juste la pleine lune comme lampe de poche et on peut imaginer facilement des choses effrayantes. Peurrr
Ce soir, je change d’île pour dormir.
Ça vous semble fou, mais c’est arrivé.
Pendant quelques minutes, semelles de plomb terribles, la pluie sans doute ou le souvenir d’une chanson. Un duo boiteux, pour elle, au loin.
Et nous restons sous les mortels rayons du soleil. Au bord de la piscine. Nos corps cancéreux et maladifs tremblants et nus. Rumba.
Et dehors. La chaleur lourde, à nouveau.
Pondichery : séance photo avec les tigres.
« Allo Bain De Minuit » j’écoute !
Le loup qui gratte à la porte m’empêche de dormir.
*insérer ici une terrible gueule de bois à base de Jägermeister*
Salive, bave, crachats et autres sécrétions. C’est plutôt stimulant.
Vertiges de l’acide.
Ne pas boire avant le festival.
Bonne Saint-Barthélemy à tous !
Carnivores, les plantes.
Je croque dans une pomme un peu trop verte et c’est le drame.
Carver et Mina venaient de retrouver un artefact d’avant l’Irréparable Incident. Recueillement. t.co/Qo5oo1a
C’est carrément pas autorisé l’intrusion onirique sans permis. Surtout à répétition. Oui c’est à TOI que je parle. Passagère clandestine.
Quelques photos et ça sera le temps du rasoir.
This is not a suicide note.
La Reine Mère des Terres Maudites communiquait. Son messager, muet et sourd, nous apportait un message, difficile à saisir, mais lisible.
Ça tremble de partout.
La foudre frappe dans le jardin. Les plombs sautent. Punition de nos vilaines pensées. Et le chat reste cool. Fourmillement sur le clavier.
Saké !? t.co/ouNIeVN
Mina mangeait abondamment et souvent mais les arts martiaux pratiqués depuis l’enfance ne laissaient rien dépasser sous ses abdos d’ado.
« on ne peut se protéger de la tristesse sans se protéger du bonheur » me rappelait souvent Mina.
Je suis à 38 années Google de la plénitude. De la terre. De la mort. De toi. De tes yeux. Du spin de cette carte à jouer. De la fin et nu.
Si vous jouez avec les animaux non apprivoisés, petits lapins, vous risquez de vous faire pincer très fort. Portez un fez, un nœud papillon.
Une illusion peut-elle exister ?
Plus tard. A voir.
Je veux recevoir des morceaux de ton corps. t.co/3toWtXf
Quelqu’un a mangé la soupe. Quelqu’un a dormi dans mon lit. Boucle d’Or ?!
je prédis un grand retour de « c’est ce qu’elles me disent toutes »
Une jeune fille se frotte le visage avec un poulpe vivant. Personne ne semble surpris. Ça protège vraiment du soleil ?
Souvvvent à la mer on se baigne ivres et nus au milieu des requins fous et mangeurs d’homme. Parfois on ne meurt pas. Parrrfois.
Oui, on se le demande. t.co/gPqPCqR
Carver était un peu dans ce genre, avant de virer philosophe coupe-tête : t.co/O1Kpgnc
Bon ok, je danse dans le train.
Igor : « Quitter la ville, enfin. » Mina : « Ne rêve pas : c’est terminé. » Carver : « LOL ! » Igor : « Mais..! » Mina rigole et ouvre le feu.
Mina fait son premier Twitpic de seins ? t.co/yfrzFYm
Si le tourguenisme génératif est pensable, c’est tant il en identifie l’expression universelle en tant qu’objet sémiotique de connaissance.
Et dans la corne de l’Afrique. Les ventres gonflés. Par la faim.
« Seules les personnes vraiment célèbres passent en privé sur Twitter » théorise Carver en finissant sa 1664 grenadine. Le décor explose.
Et il pleut. A verse. Et l’eau recouvre Paris. Noyant les hipsters, les chiptsters et les autres, qui ne le méritaient sans doute pas tous.
On levait le camp. Mina montait la garde. Carver et Igor pliaient la tente, lavaient la vaisselle, les chevaux.
Et on arrive à Toulouse.
Carver cultivait ses rondeurs avec affection. Une robe de soirée ou son costume de geek sous les bombardements et les faire exploser. Joie.
L’Internet existe au-dessus et en dessous de son nœud ?
Et on laisse des messages sur Internet parce que le téléphone fait un peu de lumière. Artificielle. Et un peu de réseau ça rrrassure. Poc.
Et quitter Bombay.
I am now in love with french girls.. well you.. you get the picture.
Le mardi c’est pour la vie.
Si vous voyez (encore) ce que je veux dire. Pour vous désinscrire du monde. t.co/4AGoIR4
Dans mon abri j’entends les souris.
Parfois on va à la campagne et personne ne meurt. Parrrfois.
Forcément je vais me renseigner. #haunting #sysadmin
Notons par ailleurs que Sartre particularise l’analyse idéationnelle du tourguenisme.
ᶘ ᵒᴥᵒᶅ <—- it’s not an ordinary bear.
Igor : « on va tellement crever Sexy Sushi vendredi soir que vous aurez plus rien samedi ». Mina : « oué oué, on verra ». Carver : « policière ? »
Hem.
Encore une séance photo : le vaisseau fait d’ongles d’hommes morts. Mon assistante veut une augmentation. Une prime, au moins.
Carver en entamant la descente finale : « Dans le Lac les Annéciens ! ».
They’d hurt to make you cry but you’d never cry to them just to your soul
No you’d never cry to them just to your soul.
Si je ferme les yeux, Internet n’existe plus ?
Tu me vois…
Bon ok, je pleure dans le train.
Et une pensée pour les personnes isolées loin de l’administration système, des surgelés en bon état et de la lumière artificielle. Linge !
*tousse*
Dans les rues qui se donnent ?
Trois garçons imaginaires m’entrainent au fond du bassin, leurs mains comme les mâchoires d’un grand requin blanc, seul. Trop de sang, salé.
Quand Mina & Igor jouaient aux Snipers, ils coordonnaient leurs gestes en écoutant « Miami » par Will Smith. Ils étaient vraiment bons.
Je pense que je m’embrouille.
Mes yeux se voilent. Enfance. Glisser sur une rampe d’escalier bien longue, bien cirée. La rampe est soudainement changée en lame de rasoir.
Rêver toutes les nuits d’une personne virtuelle jamais croisée ni vue, sysadmin. Chelou.
« Le cyberespace. Une hallucination consensuelle vécue quotidiennement en toute légalité par des dizaines de millions d’opérateurs… » W. G.
Cette fille ressemble tellement à Kaneda que ça me donne l’envie irrépressible de lui offrir ma moto rouge trop bien. Hotel new rose.
Autant être à l’aise.
Un type sur l’autre quai porte un costume, c’est un costume de chef indien, un sosie de Sitting Bull, le métro arrive enfin.
Encore une minute et 3 ans.
Lieu ou construction sommaire servant de protection contre les intempéries, de refuge contre un danger. Contre pluie, bombes, rats, dindes.
Les miliciens étaient les amis de l’ensemble de la population. Personne ne se cachait, les messages dissidents. t.co/EdLkFwM
Et bienvenue tout le monde dans ce merveilleux mardi. Le mardi c’est comme le vélo. Quand on sait faire, on n’oublie pas. Le mardi c’est…
Mina : « J’aime mon bo loulou pour ses hanches gracieuses, pour son doctorat en neuroscience appliquée aux armes de guerre innovantes ».
Oui c’est TOI l’inconnue qui vient hanter mes nuits. T’occupant des serveurs d’une boutique de manga et bossant ensuite pour l’armée.
et la fin du monde
Je me sens comme James Bond sans son permis de tuer.
En fait si on veut aider la nation faut boire des litres de whisky-coke à Disneyland en fumant 4 paquets par jour.
Rough nuit à toutes.
Un univers, un docteur, un hamster.
Evidemment nous étions à table.
Non mais sérieux, là, tous, on ne devrait pas être plutôt en train de sauver le monde ? (please RT) *tousse*
Et je pose nu pour un magazine de jardinage.
Wesh gros.
Reboot.
Igor aimerait vous conseiller sur les gens à suivre le vendredi mais Mina lui signale qu’ils sont en mode privés ou super célèbres, donc.
Rêves d’examens non révisés, de compagnonnage sexuel et finalement de catastrophe aérienne.
Nous réservons tout le 3ème étage. Certaines cloisons sont abattues. On fait de la place autour des chaudrons et des planches à découper.
BALAFRE… elles ne peuvent l’oublier ! C’était un homme qui portait BALAFRE. Tout simplement. Un homme à l’élégance d’homme.
Inforrrme et terrrible.
Pour la nouvelle année, ses amis offrent, à Igor, tendres baisers, caresses interdites et affection spontanée. Ça le chavire. Merci.