Pour la nouvelle année, ses amis offrent, à Igor, tendres baisers, caresses interdites et affection spontanée. Ça le chavire. Merci.
Carver était un peu dans ce genre, avant de virer philosophe coupe-tête : t.co/O1Kpgnc
Le loup qui gratte à la porte m’empêche de dormir.
Autant être à l’aise.
Carver cultivait ses rondeurs avec affection. Une robe de soirée ou son costume de geek sous les bombardements et les faire exploser. Joie.
J’ai compté, ça fait un nombre à un chiffre.
Le tigre, allongé sur le sol, léchait ses grosses pattes du bout de sa longue langue rose.
Une illusion peut-elle exister ?
Et on laisse des messages sur Internet parce que le téléphone fait un peu de lumière. Artificielle. Et un peu de réseau ça rrrassure. Poc.
Saké !? t.co/ouNIeVN
Tu me vois…
Un type sur l’autre quai porte un costume, c’est un costume de chef indien, un sosie de Sitting Bull, le métro arrive enfin.
« on ne peut se protéger de la tristesse sans se protéger du bonheur » me rappelait souvent Mina.
Si le tourguenisme génératif est pensable, c’est tant il en identifie l’expression universelle en tant qu’objet sémiotique de connaissance.
Je me sens comme James Bond sans son permis de tuer.
Souvvvent à la mer on se baigne ivres et nus au milieu des requins fous et mangeurs d’homme. Parfois on ne meurt pas. Parrrfois.
Evidemment nous étions à table.
Et l’eau. t.co/xoF4W2u
Et nous restons sous les mortels rayons du soleil. Au bord de la piscine. Nos corps cancéreux et maladifs tremblants et nus. Rumba.
Notons par ailleurs que Sartre particularise l’analyse idéationnelle du tourguenisme.
Bon ok, je danse dans le train.
La Reine Mère des Terres Maudites communiquait. Son messager, muet et sourd, nous apportait un message, difficile à saisir, mais lisible.
Carver et Mina venaient de retrouver un artefact d’avant l’Irréparable Incident. Recueillement. t.co/Qo5oo1a
Je pense que je m’embrouille.
Ça tremble de partout.
This is not a suicide note.
Devant, derrière.
Avec un cutter à deux lames on retire facilement un ongle. Ou un œil. Le deuxième est forcément plus problématique vu qu’on perd le relief.
Carnivores, les plantes.
Et dans la corne de l’Afrique. Les ventres gonflés. Par la faim.
Le mardi c’est pour la vie.
L’homme regarde l’Internet, l’Internet regarde l’homme.
Les chats peuvent aider à passer les frontières. Les pieds dans l’eau. 38. Donc. Je passe le seuil. Aveugle et hilare.
Quelques photos et ça sera le temps du rasoir.
Le coton c’est doux. Naturel. Et biodégradable. Et un peu rugueux aussi. Juste comme il faut. Le chat valide de la tête.
Quelqu’un a mangé la soupe. Quelqu’un a dormi dans mon lit. Boucle d’Or ?!
Bonne Saint-Barthélemy à tous !
Fuck Jimmy.
Je suis à 38 années Google de la plénitude. De la terre. De la mort. De toi. De tes yeux. Du spin de cette carte à jouer. De la fin et nu.
Nous réservons tout le 3ème étage. Certaines cloisons sont abattues. On fait de la place autour des chaudrons et des planches à découper.
On levait le camp. Mina montait la garde. Carver et Igor pliaient la tente, lavaient la vaisselle, les chevaux.
Plus tard. A voir.
« Seules les personnes vraiment célèbres passent en privé sur Twitter » théorise Carver en finissant sa 1664 grenadine. Le décor explose.
Dans mon abri j’entends les souris.
Et une pensée pour les personnes isolées loin de l’administration système, des surgelés en bon état et de la lumière artificielle. Linge !
Et on va dans la forêt la nuit, on a juste la pleine lune comme lampe de poche et on peut imaginer facilement des choses effrayantes. Peurrr
L’Homme à la tête de chat dans le panier n’attendait qu’un signe de sa maitresse pour éventrer le petit monstre hurleur du train vers Paris.
Sur les flancs du dirigeable des terroristes, une maxime : « Jubilation matriarcale contre castration patriarcale ! »
Pendant quelques minutes, semelles de plomb terribles, la pluie sans doute ou le souvenir d’une chanson. Un duo boiteux, pour elle, au loin.
Suivre le chat dans la forêt. Rencontrer son amante secrète. Tous les trois on écoute les chiens hurler. Un peu inquiets on plisse les yeux.
Lieu ou construction sommaire servant de protection contre les intempéries, de refuge contre un danger. Contre pluie, bombes, rats, dindes.
Igor aimerait vous conseiller sur les gens à suivre le vendredi mais Mina lui signale qu’ils sont en mode privé ou super célèbres, donc.
Si je ferme les yeux, Internet n’existe plus ?
Oui, on se le demande. t.co/gPqPCqR
Sans ma barbe. t.co/hTJ0Ts7
Un univers, un docteur, un hamster.
Tout bèl followers mw yo ki poko domi yo mw ta renmen nou ekrim yon bel ti sms pou n bonne nuit ?
Mina : « J’aime mon bo loulou pour ses hanches gracieuses, pour son doctorat en neuroscience appliquée aux armes de guerre innovantes ».
Question de thon au cœur de la nuit.
Wesh gros.
Et on arrive à Toulouse.
Igor : « Quitter la ville, enfin. » Mina : « Ne rêve pas : c’est terminé. » Carver : « LOL ! » Igor : « Mais..! » Mina rigole et ouvre le feu.
« Allo Bain De Minuit » j’écoute !
Rêver toutes les nuits d’une personne virtuelle jamais croisée ni vue, sysadmin. Chelou.
Je te vois…
Au moins avec les singes on n’a pas de surprises.
« Le cyberespace. Une hallucination consensuelle vécue quotidiennement en toute légalité par des dizaines de millions d’opérateurs… » W. G.
Troubler, tripoter, tâter, substituer, sonder, révolutionner, retoucher, remuer, relâcher, rectifier, recevoir, porter, pétrir, percevoir…
Carver en entamant la descente finale : « Dans le Lac les Annéciens ! ».
La vie est finalement dans l’ensemble plutôt intéressante. Et en particulier. La vie.
Rêves d’examens non révisés, de compagnonnage sexuel et finalement de catastrophe aérienne.
They’d hurt to make you cry but you’d never cry to them just to your soul
No you’d never cry to them just to your soul.
Ok, je craque.
Oui c’est TOI l’inconnue qui vient hanter mes nuits. T’occupant des serveurs d’une boutique de manga et bossant ensuite pour l’armée.
Déjà vu.
Mes yeux se voilent. Enfance. Glisser sur une rampe d’escalier bien longue, bien cirée. La rampe est soudainement changée en lame de rasoir.
Et dehors. La chaleur lourde, à nouveau.
Igor aimerait vous conseiller sur les gens à suivre le vendredi mais Mina lui signale qu’ils sont en mode privés ou super célèbres, donc.
« Année Google » : proposez une définition.
Bon ok, je pleure dans le train.
Pelez et émincer les oignons, les faire blondir à feu doux dans 30 g de margarine. Mélanger les oeufs, la margarine fondue, sel, poivre.
Touche mes saints.
BALAFRE… elles ne peuvent l’oublier ! C’était un homme qui portait BALAFRE. Tout simplement. Un homme à l’élégance d’homme.
Je veux ta sieste.
Encore une séance photo : le vaisseau fait d’ongles d’hommes morts. Mon assistante veut une augmentation. Une prime, au moins.
Ne pas passer sa vie à la gagner.
Inforrrme et terrrible.
*insérer ici une terrible gueule de bois à base de Jägermeister*
Igor, une côte cassée, trouvait le matin bien long, les gestes du quotidien relativement pénibles à effectuer, le soleil bien trop rond.
Et bienvenue tout le monde dans ce merveilleux mardi. Le mardi c’est comme le vélo. Quand on sait faire, on n’oublie pas. Le mardi c’est…
je prédis un grand retour de « c’est ce qu’elles me disent toutes »
Le mardi c’est tellement… Vendredi.
Dans les rues qui se donnent ?
Et quitter Bombay.
Mina fait son premier Twitpic de seins ? t.co/yfrzFYm
Igor constatait que, au bord de la piscine, les jeunes filles de province, donc qui se nourrissent, ont un petit ventre, sain et joli.
Quand Mina & Igor jouaient aux Snipers, ils coordonnaient leurs gestes en écoutant « Miami » par Will Smith. Ils étaient vraiment bons.
Je veux recevoir des morceaux de ton corps. t.co/3toWtXf
L’Internet existe au-dessus et en dessous de son nœud ?
C’est carrément pas autorisé l’intrusion onirique sans permis. Surtout à répétition. Oui c’est à TOI que je parle. Passagère clandestine.