Et bienvenue tout le monde dans ce merveilleux mardi. Le mardi c’est comme le vélo. Quand on sait faire, on n’oublie pas. Le mardi c’est…
« Seules les personnes vraiment célèbres passent en privé sur Twitter » théorise Carver en finissant sa 1664 grenadine. Le décor explose.
« Année Google » : proposez une définition.
Et on arrive à Toulouse.
Encore une séance photo : le vaisseau fait d’ongles d’hommes morts. Mon assistante veut une augmentation. Une prime, au moins.
Mère nature semble mécontente des suites de l’affaire #DSK.
L’Homme à la tête de chat dans le panier n’attendait qu’un signe de sa maitresse pour éventrer le petit monstre hurleur du train vers Paris.
Evidemment nous étions à table.
Vertiges de l’acide.
This is not a suicide note.
« on rase gratis ce soir »
« Le cyberespace. Une hallucination consensuelle vécue quotidiennement en toute légalité par des dizaines de millions d’opérateurs… » W. G.
C’est carrément pas autorisé l’intrusion onirique sans permis. Surtout à répétition. Oui c’est à TOI que je parle. Passagère clandestine.
They’d hurt to make you cry but you’d never cry to them just to your soul
No you’d never cry to them just to your soul.
Forcément je vais me renseigner. #haunting #sysadmin
Dans mon abri j’entends les souris.
Le loup qui gratte à la porte m’empêche de dormir.
Oui c’est TOI l’inconnue qui vient hanter mes nuits. T’occupant des serveurs d’une boutique de manga et bossant ensuite pour l’armée.
Troubler, tripoter, tâter, substituer, sonder, révolutionner, retoucher, remuer, relâcher, rectifier, recevoir, porter, pétrir, percevoir…
Mina fait son premier Twitpic de seins ? t.co/yfrzFYm
Oui, on se le demande. t.co/gPqPCqR
Cette fille ressemble tellement à Kaneda que ça me donne l’envie irrépressible de lui offrir ma moto rouge trop bien. Hotel new rose.
Rough nuit à toutes.
Dans les rues qui se donnent ?
Et merci à la visiteuse onirique « de l’enfer » d’avoir rapidement interrompu ses incursions à base d’avatars dessinés.
Rêver toutes les nuits d’une personne virtuelle jamais croisée ni vue, sysadmin. Chelou.
Parfois on va à la campagne et personne ne meurt. Parrrfois.
Les chats peuvent aider à passer les frontières. Les pieds dans l’eau. 38. Donc. Je passe le seuil. Aveugle et hilare.
Avec un cutter à deux lames on retire facilement un ongle. Ou un œil. Le deuxième est forcément plus problématique vu qu’on perd le relief.
Carver en entamant la descente finale : « Dans le Lac les Annéciens ! ».
Sur les flancs du dirigeable des terroristes, une maxime : « Jubilation matriarcale contre castration patriarcale ! »
Mes yeux se voilent. Enfance. Glisser sur une rampe d’escalier bien longue, bien cirée. La rampe est soudainement changée en lame de rasoir.
Carver et Mina venaient de retrouver un artefact d’avant l’Irréparable Incident. Recueillement. t.co/Qo5oo1a
Hem.
Si je ferme les yeux, Internet n’existe plus ?
L’Internet existe au-dessus et en dessous de son nœud ?
Et quitter Bombay.
Si vous voyez (encore) ce que je veux dire. Pour vous désinscrire du monde. t.co/4AGoIR4
Je veux que tu m’obéisses bien gentiment. t.co/DGZDTOg
Hey ! Vous dormez ? Moi oui.
Inforrrme et terrrible.
Quelqu’un a mangé la soupe. Quelqu’un a dormi dans mon lit. Boucle d’Or ?!
Je pense que je m’embrouille.
Ok, je craque.
Igor, une côte cassée, trouvait le matin bien long, les gestes du quotidien relativement pénibles à effectuer, le soleil bien trop rond.
Et dehors. La chaleur lourde, à nouveau.
Et l’eau. t.co/xoF4W2u
Lieu ou construction sommaire servant de protection contre les intempéries, de refuge contre un danger. Contre pluie, bombes, rats, dindes.
I am now in love with french girls.. well you.. you get the picture.
Et il pleut. A verse. Et l’eau recouvre Paris. Noyant les hipsters, les chiptsters et les autres, qui ne le méritaient sans doute pas tous.
Devant, derrière.
Pendant quelques minutes, semelles de plomb terribles, la pluie sans doute ou le souvenir d’une chanson. Un duo boiteux, pour elle, au loin.
je prédis un grand retour de « c’est ce qu’elles me disent toutes »
Les pompiers en ont marre c’est la grève aujourd’hui Il y a le feu partout c’est la fête des fous Il y a le feu partout et vive le feu…
Mina : « J’aime mon bo loulou pour ses hanches gracieuses, pour son doctorat en neuroscience appliquée aux armes de guerre innovantes ».
*insérer ici une terrible gueule de bois à base de Jägermeister*
Une jeune fille se frotte le visage avec un poulpe vivant. Personne ne semble surpris. Ça protège vraiment du soleil ?
Bon ok, je pleure dans le train.
Et on laisse des messages sur Internet parce que le téléphone fait un peu de lumière. Artificielle. Et un peu de réseau ça rrrassure. Poc.
Le mardi c’est pour la vie.
Au moins avec les singes on n’a pas de surprises.
Et nous restons sous les mortels rayons du soleil. Au bord de la piscine. Nos corps cancéreux et maladifs tremblants et nus. Rumba.
Bon ok, je danse dans le train.
La vie est finalement dans l’ensemble plutôt intéressante. Et en particulier. La vie.
Sommeil où es tu ?
Je suis à 38 années Google de la plénitude. De la terre. De la mort. De toi. De tes yeux. Du spin de cette carte à jouer. De la fin et nu.
Igor : « on va tellement crever Sexy Sushi vendredi soir que vous aurez plus rien samedi ». Mina : « oué oué, on verra ». Carver : « policière ? »
Et je pose nu pour un magazine de jardinage.
Le coton c’est doux. Naturel. Et biodégradable. Et un peu rugueux aussi. Juste comme il faut. Le chat valide de la tête.
Pondichery : séance photo avec les tigres.
L’homme regarde l’Internet, l’Internet regarde l’homme.
Je te vois…
Trois garçons imaginaires m’entrainent au fond du bassin, leurs mains comme les mâchoires d’un grand requin blanc, seul. Trop de sang, salé.
La Reine Mère des Terres Maudites communiquait. Son messager, muet et sourd, nous apportait un message, difficile à saisir, mais lisible.
Déjà vu.
Pour la nouvelle année, ses amis offrent, à Igor, tendres baisers, caresses interdites et affection spontanée. Ça le chavire. Merci.
Salive, bave, crachats et autres sécrétions. C’est plutôt stimulant.
Rêves d’examens non révisés, de compagnonnage sexuel et finalement de catastrophe aérienne.
Mina mangeait abondamment et souvent mais les arts martiaux pratiqués depuis l’enfance ne laissaient rien dépasser sous ses abdos d’ado.
*tousse*
Et on va dans la forêt la nuit, on a juste la pleine lune comme lampe de poche et on peut imaginer facilement des choses effrayantes. Peurrr
Un mec de la ville, de passage : « Tuer avec des gants, ce serait comme baiser avec une capote ! ».
Et dans la corne de l’Afrique. Les ventres gonflés. Par la faim.
Fuck Jimmy.
« Ca y est, Harisson «au revoir» Ford à enfin largué ce petit cul serré de Calista «Hard Core» Flockhart. » dit le Sage.
« on ne peut se protéger de la tristesse sans se protéger du bonheur » me rappelait souvent Mina.
Reboot.
Sans ma barbe. t.co/hTJ0Ts7
Encore une minute et 3 ans.
Igor : « Quitter la ville, enfin. » Mina : « Ne rêve pas : c’est terminé. » Carver : « LOL ! » Igor : « Mais..! » Mina rigole et ouvre le feu.
Question de thon au cœur de la nuit.
Je me sens comme James Bond sans son permis de tuer.
Igor constatait que, au bord de la piscine, les jeunes filles de province, donc qui se nourrissent, ont un petit ventre, sain et joli.
Tu me vois…
BALAFRE… elles ne peuvent l’oublier ! C’était un homme qui portait BALAFRE. Tout simplement. Un homme à l’élégance d’homme.
Ça vous semble fou, mais c’est arrivé.
Suivre le chat dans la forêt. Rencontrer son amante secrète. Tous les trois on écoute les chiens hurler. Un peu inquiets on plisse les yeux.
Igor aimerait vous conseiller sur les gens à suivre le vendredi mais Mina lui signale qu’ils sont en mode privé ou super célèbres, donc.
Autant être à l’aise.
Le mardi c’est tellement… Vendredi.