Et les yeux si ouverts. La nuit si lumineuse.
Et mes amis. De joyeux lurons. Et les jeunes filles, invincibles. Alors on collabore. On va prendre cher, sans doute. Nus. Vive le feu.
Et soudain, le train.
Saisir le code invisible, algorithmique de la réalité.
Cut the cake.
Et Carver, se soustraire à la foule. Soudain.
Convenez que c’est étrange : t.co/xIO5FBBd
Igor et Carver décident ensemble. Ils vont en Italie. Médicalement parlant, c’est jouable. Les routes sont infestées de loyalistes furieux.
Un jeu du type pelote basque qui se pratique avec un équipement composé d’une balle en caoutchouc attachée à un socle par un élastique.
Enfin tu vois, quoi.
Hodor !
Carver termine son discours. Le bombardement commence. On rase gratis.
Igor se sentait d’un autre temps, parfois, en s’éveillant toujours vivant. Et le soleil. t.co/cusMD8Oh
On prépare le petit soir, doucement, masqués, modestes. Nos émissaires sont tels les carpes. t.co/BfRM1NUm
Et on raconte que dans Ulthar, de l’autre côté de la rivière Skaï, aucun homme n’a le droit de tuer un chat.
Je croque la tête du pigeon. C’est dégueu et chaud. Je crache les plumes et les petits os. Protéine quand tu nous tiens.
Message très important pour Samuel : L’octogénaire ne se déride pas. Attendez deux voitures et des amis sur le bonbon.
Les réseaux sociaux sont la télé-réalité de l’Internet.
Ouroboros et vieilles dentelles.
Poser des bombes.
Chère maman, ici tout se passe bien. Les chats sont plutôt fiers de leurs nouvelles amitiés. T’embrasse. t.co/CvFaPK3c
Verdi le grand incendie de Chicago les Klaxons les Breeders Cannonball les pains au chocolat Harrison Ford.
Sérieusement, cette soirée estivale a un sérieux parfum d’apocalypse. On rase gratis, pour fêter ça.
Hipsters everywhere.
We lied. We are not at war. There is no enemy. This is a rescue operation.
Et Ganesh.
Et l’homme à la tête de chat se demandait comment ne pas succomber à la tentation nocturne. t.co/4Bvw7hEa
Un type de plus de deux mètres. Un soldat borgne. Il installe un néon au plafond. Il a posé son arme dans le cendrier en inox.
Et, la nuit.
Avant de se rendre en Azeroth, il absorbait toujours une surdose léthale de D-Liss, histoire de laisser une trace, une odeur sous la porte.
Doctor. t.co/Uet0nwtp
Qui est là ?
Couverts de peinture blanche, épuisés, aimants. La pièce à vivre retrouve sa jeunesse. Pas de magot mais de l’eau fraîche. Et le reste, si ?
Et soudain (encore), la nuit.
Et les milices turquo-chinoises apportaient aux réfugiés lyonnais, vivres, médicaments, passeports. Dirigeable en flamme. Radium sec. #dpda
Mina : « et tu mérites la mort, la mort par la Tounga ».
L’homme-félin s’est donné la mort à 54 ans t.co/PkbuuImd
Mina, Igor, ne se lassaient pas de compromettre la sécurité du pays en promulguant lois et décrets stupides. t.co/zFvOUVEN
Un cocktail Molotov est une arme incendiaire artisanale composée d’une bouteille en verre en partie remplie de liquide inflammable et d’u…
Igor, indisposé, à Mina, integratrice web : « les onglets ont débarqué. »
Et l’homme à la tête de chat, nu, énumère mentalement les possibles arrangements de son intérieur anthropo-félin. t.co/fPHD1KhB
Et on danse.
Sept d’un coup !? Gravide un jour, gravide un moment.
Mais sourire aux lèvres.
Tes amis sont réels.
Un rayon de soleil en terrasse, un thé à la menthe, un vétérinaire amical, un Kobo récitant Hyperion, que demander de plus ? (toi !)
Mina ne pouvait se passer de ses publications humoristiques décalées et ironiques. Pourtant. t.co/USQy4WWR
Et Igor, sur ce rocher humide lancé à 30000 km/s dans l’espace, rentre chez lui. En bus.
Et Mina, c’est une rouquine, évidemment. Une sorcière, pilote de dirigeables, et bien plus encore. Et nos espoirs, dansants, vacillants.
Igor, soudain, s’endort.
Il me reste douze cartouches et, autour de l’hôtel de ville, les miliciens festoient, en bons voisins. Personne dans le no man’s land.
Raclure : Petite parcelle que l’on enlève d’un corps en le raclant. Fig : déchet.
Ce dimanche matin, Mina, habillée en magicien d’opérette, se sentait vraiment à l’étroit dans son rôle de chef de la révolution mondiale.
Mais triste pour les biches.
Ils sont pas tous fondus à la même taille. C’est assez peu pratique, pour faire du deltaplane, du jokari ou compter sur ses doigts.
Non mais, sérieusement.
Ce soir, Igor carbure à la garbure.
Network Connection Refused by the Server
Mina : « Les mangas c’est plus des discussions bergsonniennes ».
Se blottir sous la couette et gratter le ventre de son petit Kobo tout noir. En contrebas, les hauts plateaux martiens, les canaux, rouges.
La guerre est finie. On a perdu. Mina pleure.
Et la nuit de nous engloutir.
Kaboul de neige.
Lèvres bleues, mensonges.
Carver vient de mourir, en Suède.
Et en route pour la joie.
Un pas de côté.
Le saucisson de poney ça n’a pas du tout le goût de magret d’âne. t.co/L5DGeX3u
Igor, Mina, les autres, fêtent son anniversaire, un peu en retard, en posant une bombe dans le coffre d’une banque. t.co/sb2MIcvA
Et Igor, tellement tête au carré, expire une pensée émue pour le créateur du générique d’Albator 78, le gars Charden. R.I.P.
Ton aura est violette.
Carver, à vélo, traverse Westeros, sous l’averse.
Igor se fait asperger par Mina. Humidité et syndrome pour tous.
Rebondir follement. Nos doigts entrelacés. Nos regards absents, ahuris.
Oh Don Piano.
Après la croisière, on se calme et on boit frais à Zagreb. Mina sanglote sur l’épaule de Carver. Igor n’est plus là. Vélo d’appartement.
Je me sens légèrement zoomé et panoramique ce matin.
Et un double saut carpé.
Igor, seul, fouille les cadavres, trouver une solution à la faim, la soif. Du whisky et de la semelle taille 43. Ça suffira pour ce soir.
L’homme à la tête de chat lave sa gamelle dans la salle de bain du 3ème étage. Du coin de l’oeil, son Kobo, le Trône de Fer : hécatombe.
Pour un nouveau massacre.
Igor, lucide, à Mina, morte, mais souriante : « je pense que les choses ne peuvent que s’arranger ». t.co/ldTMCUlw
Mina profite de la distraction temporelle des gardes pour ajouter deux atouts à sa main déjà impressionnante. Tout se passe bien. Deux fois.
Danser dans la forêt, pieds nus couverts de boue glissante, sourires qui se répondent, yeux émerveillés ne clignant pas. Hiver nucléaire.
Clap !
Le chat a mangé les clefs du garage à bateaux. La fin des temps. Apocalypse.
Et je te coupe l’index gauche. Court.
Mes doigts dans l’acide. J’ai comme une sensation de grande douleur. Je vais acheter un poney pour Mina. Ou un dragon. Fondus les doigts.
Hum.
Boum. La Nuit.
Si Jessica Fletcher dit qu’il y avait un cadavre, alors il y’en avait un.
Le premier amant de la lune, sélénite amateur en mode manuel, casse sa pipe. Igor, Mina et Carver de trinquer à sa santé.
Les araignées martiennes fouillent les meubles de la salle de bain des invités. Je propose à tout le monde vins fins, cornichons, et romans.
Tadaaa !
Et le arroser la terrasse au lance-flamme, sourire à la vie, le cœur explosant. Sens propre. Je ne manque de rien. Ah si, de roquettes.
Nus, la nuit.
Mi fille ni raisin ?
Et la nuit comme médecine. t.co/GL3eb0np
Et Mina de poignarder un Igor hilare. Et Carver de proposer au Parlement bulgaro-normand un programme d’ouverture. Sacré tribun. Assez.
Non, tu n’as pas besoin de courir le monde après ton destin comme un cheval sauvage !