Tout le monde rentre au bercail en octobre.
Et Igor de décider de mettre l’accent sur ces moments forts, ratés. Genre Woodstock, j’y étais pas. La naissance de ma mère, non plus. Etc.
Dehors. Tous. Dehors.
Godiche que moi.
Message très important pour Samuel : L’octogénaire ne se déride pas. Attendez deux voitures et des amis sur le bonbon.
Enfin, tu vois, quoi.
Deux petites douches alternées ? #dpda
Chernogorsk. Passage à l’église, puis je trouve une petite Winchester au supermarché, tranquille, et là, fatalement, une balle dans la tète.
Et Mina de s’éveiller tardivement. t.co/tiBZTvOn
Hum.
Mina, Carver et moi aimions particulièrement les après midi « Biches Volées » au Club des Aventuriers Dénudés du Capitaine Cisco Bayashi Maru.
Je peux encaisser. Mina peut encaisser. Carver itou. L’homme à la tête de chat compte les devises étrangères. C’est la nuit. Les murs, fins.
Mina, Igor, roucoulent. Carver dort mal. L’homme à la tête de chat inspecte la ligne de front, monté sur son buggy, chromé, hilare. Il peut.
Carver s’occupait de l’intendance, de la gestion des petits objets explosifs, des débardeurs blancs de la bande, des repas. Des chats aussi.
Et soudain un terrible spam, mes excuses à tous, je ne le… Argh.
Old Long Johnson.
Salut, je suis un russe amazone !
Mais sourire aux lèvres.
Un bon site web ça ne remplace pas la bonne vieille campagne de pub à base de néons géants sur un terrible dirigeable atomique supersonique.
Igor’s blowin’ in the wind.
Il pleut sur Barcelone. Nos amis nous déposent en banlieue. On mange de vieux tapas. Les bombardiers nous harcèlent. On danse, pourtant.
Verdi le grand incendie de Chicago les Klaxons les Breeders Cannonball les pains au chocolat Harrison Ford.
Mina passe les nuits avec sa tendre amie, skateuse, insulaire. Elles causent philosophie, féminisme, révolution et post colonialisme. Nues.
Carver, lessivé, n’ignore rien des techniques de camouflage belges. Ses petites cellules grises, itou. Pinkie pou ! t.co/At4i4CYp
Une porte.
Égarement. t.co/LqeYd2r9
Le cœur sur la main. t.co/OTP5XoXx
Igor, la tête dans la gueule, du lion.
Igor : « ronpich »
Danser dans la forêt, pieds nus couverts de boue glissante, sourires qui se répondent, yeux émerveillés ne clignant pas. Hiver nucléaire.
La galatrace galarienne est plutôt vénère.
Oh mon dieu, le gamin avait raison, l’assassin est un pneu !
Convenez que c’est étrange : t.co/xIO5FBBd
Se blottir sous la couette et gratter le ventre de son petit Kobo tout noir. En contrebas, les hauts plateaux martiens, les canaux, rouges.
Dans la petite sacoche grise, Igor transportait une petite dose d’entropie. Et une mini chaussure. Bleue. t.co/FLJCMxo2
Et le bunker de Mina, si rouge, de ne plus retenir en son sein aucun débordement poétique. Igor, invalide, bourré. t.co/A6DP43BY
Vibre au dessus de ses moyens. Écheveau et curry pour tous. Mina, Igor se cultivent, préparent d’importantes expériences polysexuelles. Nus.
On prépare le petit soir, doucement, masqués, modestes. Nos émissaires sont tels les carpes. t.co/BfRM1NUm
Aujourd’hui nous est venu un enfant, et son nom est bacon.
Mina, en larmes, sur la jetée.
Et Igor, hurlant, de balancer la bouteille enflammée au travers de la fenêtre entrouverte : « tamanoir ! »
Suis vivant, dans une ferme près de la centrale électrique, avec winchester, pistolet, hachette, carte, montre, munitions et de la bouffe.
Et Igor, sur ce rocher humide lancé à 30000 km/s dans l’espace, rentre chez lui. En bus.
Absorbé conformément au mode d’emploi, Ubik procure un sommeil ininterrompu garanti sans torpeur matinale.
Toi même tu sais.
C’est pas ma faute à moi !
Et le sourire de Rose, au Docteur.
Igor, soudain, s’endort.
Et le arroser la terrasse au lance-flamme, sourire à la vie, le cœur explosant. Sens propre. Je ne manque de rien. Ah si, de roquettes.
Le premier amant de la lune, sélénite amateur en mode manuel, casse sa pipe. Igor, Mina et Carver de trinquer à sa santé.
Igor, indisposé, à Mina, integratrice web : « les onglets ont débarqué. »
Mina, et Igor, fatigué. t.co/HGSaZjOq
Etc…
Et la nuit de fondre sur nous, affamée.
et c’est le matin, et alors on aime ses voisins et la fille avec les fleurs.
Ton aura est violette.
Mina, au cœur de l’assaut, tourne sept fois sa langue sa bouche avant de parler, et ne dit rien. La mitraille, comme un rideau de douche nu.
L’homme à la tête de chat utilisait ses facilités psychopompes pour le bien de la communauté. Igor n’aimait pas ça. Point d’Enfer, alors.
Et on danse.
Si notre danse est satisfaisante. Si et seulement si.
Un moyen de savoir si une femme est une sorcière consiste à la jeter nue à l’eau, mains et pieds attachés ensemble pour l’empêcher de nager.
« You are troubled, my Lord, » said Morkin. The boy looked up at Luxor, his face a mirror of the man’s sadness.
Cut the cake.
Entropie bitch !
Carver vient de mourir, en Suède.
Vous entendrez parler de guerre, de rumeurs de guerre. Mais ne soyez pas troublés, il faut que cela arrive, et ce n’est pas encore la fin.
Et Igor de se déguiser souvent en homme à la tête de chat. Sans succès.
Hey Jim ! Ici c’est très bon ce soir.
Raclure : Petite parcelle que l’on enlève d’un corps en le raclant. Fig : déchet.
Bien rentrée ? Juste un petit mail pour te sourire, te tenir la main, effleurer tes pieds avec les miens.
Les yeux dans les paumes. N’y voir goutte. Je ne reste pas. Bonsoir.
Le ciel comme un grand cirque avarié. On marche sur le feu. Cap au sud.
Brochette d’œil de renard.
À minuit, tous les agents…
Grise.
Igor se sentait d’un autre temps, parfois, en s’éveillant toujours vivant. Et le soleil. t.co/cusMD8Oh
Un jeu du type pelote basque qui se pratique avec un équipement composé d’une balle en caoutchouc attachée à un socle par un élastique.
Une pensée pour Jo Chattemite, rebelle, vivant, et debout. Et pour sa mère.
Et je pose ta tête sur la table du salon. Tout est bien. Mina sort en hurlant. Carver roupille, encore, à l’étage. Au nord, les bombes A.
Il a 30 ans !
On propose un nouveau job au héros. Il hésite quant à la manière de refuser. Il y a une roquette dans le salon. Ça sent mauvais. Ouais.
Poison.
Il faisait si froid. t.co/CaIQQNDw
Et on danse, et c’est la Nuit. Encore.
Couverts de peinture blanche, épuisés, aimants. La pièce à vivre retrouve sa jeunesse. Pas de magot mais de l’eau fraîche. Et le reste, si ?
Mina, Igor, Carver, se laissent séduire par les paradis artificiels. On imagine sans peine que cela va ralentir l’avance des troupes alliés.
Kaboul de pétanque ?
Et la brigade de répression des anges, uniformes oranges, de se précipiter par la fenêtre, on n’en mène pas large, innocents rêveurs nus.
Et Igor, de visiter le rayon charcuterie, hipster de base. t.co/xKkVkI7R
La pythie vient en mangeant. t.co/zcYQihrP
Du coup je.
Et mes amis. De joyeux lurons. Et les jeunes filles, invincibles. Alors on collabore. On va prendre cher, sans doute. Nus. Vive le feu.
Entropie, sérendipité et chaos.
Doucement. L’aube.
Carver va à la salle de sport au petit matin. Il fait froid. Ses seins sont bandés. Les gars sont, particuliers. t.co/iLZcUQJA
Max, les maximonstres, orphelins.
D’accord. Je t’aime. Aussi.
L’homme à la tête de chat lave sa gamelle dans la salle de bain du 3ème étage. Du coin de l’oeil, son Kobo, le Trône de Fer : hécatombe.
Mina, Carver et l’homme à la tête de chat célèbrent, sobrement, l’anniversaire du renégat, Igor. Le jeune funèbre sera rompu à l’aube.
Et dans les décombres. Nos restes. Épars, nus. t.co/JhIrnG39