Il me reste douze cartouches et, autour de l’hôtel de ville, les miliciens festoient, en bons voisins. Personne dans le no man’s land.
Et la basse. Et nos yeux empathiques. Entropie et tango.
Et la nuit comme médecine. t.co/GL3eb0np
Old Long Johnson.
Et mes amis. De joyeux lurons. Et les jeunes filles, invincibles. Alors on collabore. On va prendre cher, sans doute. Nus. Vive le feu.
Et Igor, Mina, de danser.
Doucement. L’aube.
« You are troubled, my Lord, » said Morkin. The boy looked up at Luxor, his face a mirror of the man’s sadness.
Mina passe les nuits avec sa tendre amie, skateuse, insulaire. Elles causent philosophie, féminisme, révolution et post colonialisme. Nues.
Non, tu n’as pas besoin de courir le monde après ton destin comme un cheval sauvage !
*tout* trouver, partoutundefined ».undefinedundefined undefined « undefinedVous appuyez sur la touche Super, et dites ce que vous voulez…
Par la fenêtre, une dystopie, uchronique, cyclopéenne, de toute beauté. Dirigeables, Grand Amour désespéré, guérilla urbaine pour nos héros.
Mes doigts dans l’acide. J’ai comme une sensation de grande douleur. Je vais acheter un poney pour Mina. Ou un dragon. Fondus les doigts.
Ouvre les yeux.
Danser dans la forêt, pieds nus couverts de boue glissante, sourires qui se répondent, yeux émerveillés ne clignant pas. Hiver nucléaire.
Bonbons à la peau d’orange pourrie. Mina aime les délices japonais.
Igor à Mina : « This is really bad. » t.co/d6glD6a2 #ledebat
Et Mina de s’éveiller tardivement. t.co/tiBZTvOn
Ouroboros et vieilles dentelles.
Et l’homme à la tête de chat, nu, énumère mentalement les possibles arrangements de son intérieur anthropo-félin. t.co/fPHD1KhB
Et le sourire de Rose, au Docteur.
Igor, seul, fouille les cadavres, trouver une solution à la faim, la soif. Du whisky et de la semelle taille 43. Ça suffira pour ce soir.
Le saucisson de poney ça n’a pas du tout le goût de magret d’âne. t.co/L5DGeX3u
Nos lésions ont du talent ?
Igor, lucide, à Mina, morte, mais souriante : « je pense que les choses ne peuvent que s’arranger ». t.co/ldTMCUlw
Je cherche cette amie du regard. Les passants sont trop rapides. Je les distingue à peine en contrebas. Cette amie. t.co/0klN8dIq
Mina a un message. t.co/0HKNJHUi
Hum.
Igor, nappe de vomi potentiel couvert de paillettes.
Clap !
J’ai si faim 2.0. t.co/YJ1Z1q8q
Un mur.
Hey, I just met you,
And this is crazy,
But here’s my number,
So call me, maybe ?
D’accord. Je t’aime. Aussi.
Bon anniversaire @damepipi !
Etc…
La galatrace galarienne est plutôt vénère.
Mina, Igor et l’autre type chelou qu’on connaît pas trop bien se chauffaient au soleil sur le gros rocher au milieu de la rivière, dévêtus.
Tu m’entends ?
Et Mina de déclarer : « c’est un meurtre, un coup d’estoc à l’abdomen de bas en haut, perforant la vessie et le foie. Un coup de maître ».
Étranges pérégrinations humides.
Et Igor, tellement tête au carré, expire une pensée émue pour le créateur du générique d’Albator 78, le gars Charden. R.I.P.
Un moyen de savoir si une femme est une sorcière consiste à la jeter nue à l’eau, mains et pieds attachés ensemble pour l’empêcher de nager.
Et la nuit de nous engloutir.
Du coup je.
And thanx to @SashaGrey for the end of the night.
Pluie acide sur le nord du 19ème arrondissement de Paris, France, Europe, Monde, Terre, Système Solaire, Voie Lactée, Univers, Litière.
Mina n’aimait pas, mais pas du tout, les animaux qui parlent. Et les ongles, et les souris.
Cet instant là, de bonheur, la nuit, Mina endormie, juste là, à mes côtés. Dans le placard, de petits bruits, bleus et discrets. Un animal.
Et Igor, de visiter le rayon charcuterie, hipster de base. t.co/xKkVkI7R
Et pendant ce temps là, dans l’espace. t.co/PyBquYhF
Present Day… Present Time… Mouhahahahaha !
Je vois cette relation d’un très mauvais œil. La nuit.
Jimmy boit du gin dans sa Chrysler.
Ce dimanche matin, Mina, habillée en magicien d’opérette, se sentait vraiment à l’étroit dans son rôle de chef de la révolution mondiale.
Et Carver, se soustraire à la foule. Soudain.
Pour un nouveau massacre.
Et un sinistre sir. Et une cérémonie d’apocalypse. Et nous au milieu des bombes enlacés. En flammes. t.co/BBhcmwrH
Mina ouvre la boite. En tombent 100 euros, verts.
Jens !
Et Mina, de mimer l’ecclésiastique gaulois. Nos troupes roupées, en déroute, rigolarde. t.co/nh2AUxAt
Par la fenêtre, au nord, une grande fumée grise, le grand incendie ?
Mina, Carver, Igor (et un autre type bizarrement constitué) sauvent le monde. Encore.
« Un lac dans la salle de bain, huit serviettes à la nage, et des raclures de rasoir dans la cuvette. »
Déjà quatre hivers à ne savoir que faire.
Sacrifions le poulet.
Et l’homme à tête de chat, chelou. t.co/1cAgAOlc
Mina à Igor : « un diamant est éternel ». Igor : « l’inspecteur Derrick est super doux ». Carver : « je veux du canard ». Bavardage. Chevals.
Mina à Igor, l’œil torve : « Krakoukass ! »
Chernogorsk. Passage à l’église, puis je trouve une petite Winchester au supermarché, tranquille, et là, fatalement, une balle dans la tète.
L’homme à la tête de chat utilisait ses facilités psychopompes pour le bien de la communauté. Igor n’aimait pas ça. Point d’Enfer, alors.
Boum. La Nuit.
On prépare le petit soir, doucement, masqués, modestes. Nos émissaires sont tels les carpes. t.co/BfRM1NUm
Et Mina de poignarder un Igor hilare. Et Carver de proposer au Parlement bulgaro-normand un programme d’ouverture. Sacré tribun. Assez.
En contrebas. Un homme porte un fez. Le canal. Dans le ciel. Un dirigeable écarlate. Dans l’allée : une troupe de miliciens. Ivres, hilares.
Convenez que c’est étrange : t.co/xIO5FBBd
Nous nous trouvions dans une situation difficile. Pas de fumée sans feu. t.co/6RBvjcdR
Et soudain (encore), la nuit.
Ce truc avec le lièvre supérieur m’aime.
Luther et Igor partageaient le même goût pour le spectacle vivant. t.co/rcPeWLlA
Igor se fait asperger par Mina. Humidité et syndrome pour tous.
Et on danse.
Brochette d’œil de renard.
Il me reste seulement 2 cachets d’Ubik. La fin de semaine sera dure. Je commence à revoir le monde. Et l’Empire. Mes mains tremblent.
Entropie bitch !
Et pour mes noces, du fromage de lait de chat et un manteau en poil de souris.
Mina, Igor, roucoulent. Carver dort mal. L’homme à la tête de chat inspecte la ligne de front, monté sur son buggy, chromé, hilare. Il peut.
Mina, Igor, Carver, l’homme à la tête de chat, sur un forum d’études bogomiles, se rencontrent, enfin. La vie réelle, bien plus tard, Paris.
Rebondir follement. Nos doigts entrelacés. Nos regards absents, ahuris.
Igor demande à Mina une nouvelle ceinture de munitions. Être l’homme de paille de Carver, c’est plutôt épique. Ne pas flancher. Non.
Un type de plus de deux mètres. Un soldat borgne. Il installe un néon au plafond. Il a posé son arme dans le cendrier en inox.
Et, elle est morte.
Poison.
Mina profite de la distraction temporelle des gardes pour ajouter deux atouts à sa main déjà impressionnante. Tout se passe bien. Deux fois.
Ouais. Miel. Aussi. Et nus.
Carver termine son discours. Le bombardement commence. On rase gratis.
Igor, la tête dans la gueule, du lion.
Ok, on danse. Dubstep.
Il pleut tellement de trucs noirs, gluants, radioactifs que même les miliciens siciliens abandonnent les boulodromes aux alsaciens ivres.
Grise.