Etc…
Et vous la voulez comment la pastèque ? Tartare ? t.co/sRVRAjjz
Danger – cybernétique ! t.co/4wd04Am4
Dans le sous-bois, ce matin, j’ai découvert un vestige préhistorique. Une calandre de Cadillac en crystal. Le chien était tout fou. Et mort.
Et mes amis. De joyeux lurons. Et les jeunes filles, invincibles. Alors on collabore. On va prendre cher, sans doute. Nus. Vive le feu.
Et dans le sac on trouve…
Igor et Carver décident ensemble. Ils vont en Italie. Médicalement parlant, c’est jouable. Les routes sont infestées de loyalistes furieux.
Traboule moi toute.
Le chat a mangé les clefs du garage à bateaux. La fin des temps. Apocalypse.
Network Connection Refused by the Server
Et Mina de s’éveiller tardivement. t.co/tiBZTvOn
On me signale « Dalatrace » et pas « Galatrace ». Ça m’étonne moins qu’elle s’énerve quand j’écorche son titre. Donc.
C’est bon sa mère. #canard #saucisson
L’homme à la tête de chat lave sa gamelle dans la salle de bain du 3ème étage. Du coin de l’oeil, son Kobo, le Trône de Fer : hécatombe.
Il neige à Kaboul.
« Il suffit d’une femme de sens pour que la folie du monde sur elle se casse les dents ! »
Le saucisson de poney ça n’a pas du tout le goût de magret d’âne. t.co/L5DGeX3u
Je vois cette relation d’un très mauvais œil. La nuit.
Aussi belle qu’une balle.
Et soudain (encore), la nuit.
Saisir le code invisible, algorithmique de la réalité.
Igor, lucide, à Mina, morte, mais souriante : « je pense que les choses ne peuvent que s’arranger ». t.co/ldTMCUlw
Mina passe les nuits avec sa tendre amie, skateuse, insulaire. Elles causent philosophie, féminisme, révolution et post colonialisme. Nues.
Oh mon dieu, le gamin avait raison, l’assassin est un pneu !
Bien rentrée ? Juste un petit mail pour te sourire, te tenir la main, effleurer tes pieds avec les miens.
Sept d’un coup !? Gravide un jour, gravide un moment.
Clap !
Mes doigts dans l’acide. J’ai comme une sensation de grande douleur. Je vais acheter un poney pour Mina. Ou un dragon. Fondus les doigts.
Et Mina, c’est une rouquine, évidemment. Une sorcière, pilote de dirigeables, et bien plus encore. Et nos espoirs, dansants, vacillants.
Et dans le salon déserté, une petite voix, sortant d’un casque, posé au sol. Par la fenêtre, les dirigeables noirs. t.co/d7Nz5d7r
Mina, en larmes, sur la jetée.
Igor, esseulé, décide de prendre un chat, noir et blanc, chapeauté, nihiliste. t.co/itv86vQl
Il pleut tellement de trucs noirs, gluants, radioactifs que même les miliciens siciliens abandonnent les boulodromes aux alsaciens ivres.
Carver vient de mourir, en Suède.
Mina, Carver, Igor (et un autre type bizarrement constitué) sauvent le monde. Encore.
La fille, avec les fleurs.
Et le p’tit gars Tony de nous quitter. Et Mina, pas fière, fredonne une petite mélodie plaintive. Foutu pont. t.co/rLvD23TA
Je pense que c’est encore la nuit. Si vous pouviez tous arrêter de jacasser ainsi au fond de mon crâne et retourner vous coucher. Merci.
Et tu viens avec moi, faire l’avion. t.co/m0vq87wz
Et la lumière.
Non, tu n’as pas besoin de courir le monde après ton destin comme un cheval sauvage !
Mina ouvre la boite. En tombent 100 euros, verts.
Je cherche cette amie du regard. Les passants sont trop rapides. Je les distingue à peine en contrebas. Cette amie. t.co/0klN8dIq
We lied. We are not at war. There is no enemy. This is a rescue operation.
La grande Mina à Igor, impavide : « Monte avec moi dans le ferry boat et regarde devant c’est la côte Anglaise. »
On prépare le petit soir, doucement, masqués, modestes. Nos émissaires sont tels les carpes. t.co/BfRM1NUm
Cheval.
Roux.
Carver, héros d’une dramatique télévisuelle, de fascicules brochés, se sentait, à l’aise, à l’@udobar. t.co/XANG8owt
Je me sens légèrement zoomé et panoramique ce matin.
Du bouledogue au sanglier : vous recevrez encore des amis ce soir. Le vent souffle les flambeaux.
Les gamins, au narrateur, forcément, omniscient : « mais alors il est mort Igor ? ». Silence de.
Je dors mal à cause de ma gangrène qui me bouffe le pied.
Et un sinistre sir. Et une cérémonie d’apocalypse. Et nous au milieu des bombes enlacés. En flammes. t.co/BBhcmwrH
Et Carver, se soustraire à la foule. Soudain.
Et Igor, tellement peu loquace, béatitude des guérillas réussies. Se blottir, sous les bombes, se sourire. t.co/BYZBhycW
Igor se sentait d’un autre temps, parfois, en s’éveillant toujours vivant. Et le soleil. t.co/cusMD8Oh
On propose un nouveau job au héros. Il hésite quant à la manière de refuser. Il y a une roquette dans le salon. Ça sent mauvais. Ouais.
et c’est le matin, et alors on aime ses voisins et la fille avec les fleurs.
Entropie, sérendipité et chaos.
Grise.
Pendant les combats, la vie continue. Teatime pour Mina. t.co/McsbM8Fe
Mais nus, quoi !?
Kaboul de pétanque ?
Poser quelques mines anti dauphins et licornes autour du lit. Et reposer, enfin. Dehors, les choses se passent, mal. La Nuit.
Hey Jim ! Ici c’est très bon ce soir.
Tu m’entends ?
Vous vous réveillerez frais et dispos, prêt à affronter tous vos problèmes. Ne pas dépasser la dose prescrite.
Et le arroser la terrasse au lance-flamme, sourire à la vie, le cœur explosant. Sens propre. Je ne manque de rien. Ah si, de roquettes.
Rien n’est de la salade.
Igor’s blowin’ in the wind.
Et le sourire de Rose, au Docteur.
Mina a un message. t.co/0HKNJHUi
Et Igor, sur ce rocher humide lancé à 30000 km/s dans l’espace, rentre chez lui. En bus.
Et l’homme à tête de chat, chelou. t.co/1cAgAOlc
Je t’€{45* !
Et la basse. Et nos yeux empathiques. Entropie et tango.
Entropie bitch !
Jens !
En contrebas. Un homme porte un fez. Le canal. Dans le ciel. Un dirigeable écarlate. Dans l’allée : une troupe de miliciens. Ivres, hilares.
La nuit. Carver hurle à la lune. Les grenouilles.
La Transylvanie n’est pas l’Angleterre.
Les yeux dans les paumes. N’y voir goutte. Je ne reste pas. Bonsoir.
Tout le monde rentre au bercail en octobre.
It’s just the drugs, Mason.
Et, sur la cheville gauche de Mina, un grand dragon aquatique. Igor se penche pour mieux l’examiner : « Année du Dragon, ça va secouer ». Oui.
Quand c’est l’amour faut pas trainer les pieds.
Et le bunker de Mina, si rouge, de ne plus retenir en son sein aucun débordement poétique. Igor, invalide, bourré. t.co/A6DP43BY
Mina profite de la distraction temporelle des gardes pour ajouter deux atouts à sa main déjà impressionnante. Tout se passe bien. Deux fois.
50% nuit et 50% nos doigts se touchent. Tu souris.
Et, là, malgré les explosions, les fumées et la poussière, tu arrives.
Mallony Guerrila et Eléonore Mc Muffin contre tout chacal !
AFK
Pluie acide sur le nord du 19ème arrondissement de Paris, France, Europe, Monde, Terre, Système Solaire, Voie Lactée, Univers, Litière.
Mina proclame son indépendance. Carver tourne de l’oeil. Igor, dans sa cellule, fait du vélo. Sur les murs : un œil, une date, c’est tout.
Disque. t.co/7Quule5R
Okan est seul. Au musée. Il me cherche des yeux. Nous devons sortir. Dans sa main un de nos tracts séditieux. t.co/DG9MDjyM
Dans la petite sacoche grise, Igor transportait une petite dose d’entropie. Et une mini chaussure. Bleue. t.co/FLJCMxo2
*tout* trouver, partoutundefined ».undefinedundefined undefined « undefinedVous appuyez sur la touche Super, et dites ce que vous voulez…
Oh Don Piano.