Retire ton pantalon, raclure !
Et Igor, tellement tête au carré, expire une pensée émue pour le créateur du générique d’Albator 78, le gars Charden. R.I.P.
Et, elle est morte.
Igor est l’ami des animaux et du saucisson. Sec. Mina est organique, voire bio. Carver la traite de hippie consensuelle. Elle tire. Bien.
Ouroboros et vieilles dentelles.
Mina et Igor préparaient un mauvais coup. À 20h on en saurait plus. Opération « Petit Poucet ».
Une fête réussie, ce sont des trucs qui explosent.
Comme d’habitude. t.co/u5Np88BG
Igor à Mina : « je vais t’embrasser, ne me frappe pas. » – t.co/XwA4qUgV
Mina : « et tu mérites la mort, la mort par la Tounga ».
Chernogorsk. Passage à l’église, puis je trouve une petite Winchester au supermarché, tranquille, et là, fatalement, une balle dans la tète.
Carver, héros d’une dramatique télévisuelle, de fascicules brochés, se sentait, à l’aise, à l’@udobar. t.co/XANG8owt
Pendant les combats, la vie continue. Teatime pour Mina. t.co/McsbM8Fe
Prendre des ptits bouts de trucs et puis les associer ensemble.
Comment expliquer. Je porte le badge blanc. Et je danse jusqu’à vieillir la nuit.
Et le p’tit gars Tony de nous quitter. Et Mina, pas fière, fredonne une petite mélodie plaintive. Foutu pont. t.co/rLvD23TA
Et Mina, triomphante, petit déjeune sur les ruines. Avec l’Antéchrist, avec une tête de chat. On rase gratis à la fin du monde. Vrai.
La guerre est finie. On a perdu. Mina pleure.
Hey Jim ! Ici c’est très bon ce soir.
Par la fenêtre, au nord, une grande fumée grise, le grand incendie ?
Je ne pense pas. Non.
Et ne se tenir que d’une phalange. Brisée. Ici on mange correctement. Nos dents sont fidèles, sensibles, matinales. Salutations.
Ce sont des gens qui s’aiment.
Nus, la nuit.
Flickr est dans les choux. Nous corrigeons ce problème immédiatement.
et donc, le matin.
Boum. La Nuit.
Et, là, malgré les explosions, les fumées et la poussière, tu arrives.
Raclure : Petite parcelle que l’on enlève d’un corps en le raclant. Fig : déchet.
Bon anniversaire @damepipi !
Et l’homme à la tête de chat de déclarer la chasse ouverte. Penser à applaudir. Mina qui baille. t.co/JMLqxdWO
À minuit, tous les agents…
Les gamins, au narrateur, forcément, omniscient : « mais alors il est mort Igor ? ». Silence de.
Les milices bengali me paient des frites et du pastis. t.co/HfXI0lLh
et c’est le matin, et alors on aime ses voisins et la fille avec les fleurs.
Les personnes réelles sont faciles à reconnaître. Elles clignotent.
Igor’s blowin’ in the wind.
Et je me penche au balcon pour regarder les lueurs. La comète illumine la baie. Dans le ciel, les parachutistes tournoient, décimés, nus.
La fille, avec les fleurs.
Si notre danse est satisfaisante. Si et seulement si.
Carver, et le marché noir. Igor, ses béquilles. Mina, sa gatling. L’homme à la tête de chat, son scooter. Impavides. t.co/ijakTK8L
Nous nous trouvions dans une situation difficile. Pas de fumée sans feu. t.co/6RBvjcdR
Puis, la crémation.
Le cœur sur la main. t.co/OTP5XoXx
Mina proclame son indépendance. Carver tourne de l’oeil. Igor, dans sa cellule, fait du vélo. Sur les murs : un œil, une date, c’est tout.
Mina, Igor, Carver gisaient sottement sur la moquette incarnate, exsangues mais pas si laids. Les miliciens ramassaient les organes épars.
Et l’homme à la tête de chat se demandait comment ne pas succomber à la tentation nocturne. t.co/4Bvw7hEa
Et Mina de déclarer : « c’est un meurtre, un coup d’estoc à l’abdomen de bas en haut, perforant la vessie et le foie. Un coup de maître ».
Je peux lire ton cœur : révolution !
Et Mina, c’est une rouquine, évidemment. Une sorcière, pilote de dirigeables, et bien plus encore. Et nos espoirs, dansants, vacillants.
Trampoline.
Il me reste douze cartouches et, autour de l’hôtel de ville, les miliciens festoient, en bons voisins. Personne dans le no man’s land.
Je pense que c’est encore la nuit. Si vous pouviez tous arrêter de jacasser ainsi au fond de mon crâne et retourner vous coucher. Merci.
Clap !
Danser dans la forêt, pieds nus couverts de boue glissante, sourires qui se répondent, yeux émerveillés ne clignant pas. Hiver nucléaire.
Igor demande à Mina une nouvelle ceinture de munitions. Être l’homme de paille de Carver, c’est plutôt épique. Ne pas flancher. Non.
Doucement. L’aube.
Roux.
Carver termine son discours. Le bombardement commence. On rase gratis.
Six belettes et du pain d’épice.
Et si ?
Absorbé conformément au mode d’emploi, Ubik procure un sommeil ininterrompu garanti sans torpeur matinale.
Sans pouces, c’est relou.
Et le sourire de Rose, au Docteur.
Rien n’a changé. Non non.
Mina défonce la porte ! Soudain.
Et la nuit de nous engloutir.
J vs tien o courènt dè ke j finie merci.
Igor, la tête dans la gueule, du lion.
Brochette d’œil de renard.
Ouais. Miel. Aussi. Et nus.
Mina : « Les mangas c’est plus des discussions bergsonniennes ».
Et Igor, tellement peu loquace, béatitude des guérillas réussies. Se blottir, sous les bombes, se sourire. t.co/BYZBhycW
Mi fille ni raisin ?
Et la neige. Et la nuit.
« You are troubled, my Lord, » said Morkin. The boy looked up at Luxor, his face a mirror of the man’s sadness.
Et dans les décombres. Nos restes. Épars, nus. t.co/JhIrnG39
Enfin, tu vois, quoi.
Bon sang !!
Kaboul de neige.
Suis vivant, dans une ferme près de la centrale électrique, avec winchester, pistolet, hachette, carte, montre, munitions et de la bouffe.
Mina, en larmes, sur la jetée.
Kaboul disco.
Carver, lessivé, n’ignore rien des techniques de camouflage belges. Ses petites cellules grises, itou. Pinkie pou ! t.co/At4i4CYp
Mina, lisant, s’éclate.
Étranges pérégrinations humides.
Traboule moi toute.
Carver s’occupait de l’intendance, de la gestion des petits objets explosifs, des débardeurs blancs de la bande, des repas. Des chats aussi.
La nuit. Carver hurle à la lune. Les grenouilles.
Chère maman, ici tout se passe bien. Les chats sont plutôt fiers de leurs nouvelles amitiés. T’embrasse. t.co/CvFaPK3c
Entropie bitch !
Crac !
Et un sinistre sir. Et une cérémonie d’apocalypse. Et nous au milieu des bombes enlacés. En flammes. t.co/BBhcmwrH
Mina aime les vieux boucau.
Du bouledogue au sanglier : vous recevrez encore des amis ce soir. Le vent souffle les flambeaux.
Ploutocratie : forme de gouvernement dans lequel le pouvoir est entre les mains des plus riches.
La sérendipité est le fait de réaliser une découverte inattendue grâce au hasard et à l’intelligence, au …
Œil bleu, œil gris, œil blanc, œil noir.
Ouvre les yeux.
Et la nuit comme médecine. t.co/GL3eb0np