J’ai si faim 2.0. t.co/YJ1Z1q8q
Deux petites douches alternées ? #dpda
Mina, Igor, Carver, se laissent séduire par les paradis artificiels. On imagine sans peine que cela va ralentir l’avance des troupes alliés.
Et les Moissonneurs de pulvériser Paris. Igor s’en lave les mains avec ses potes krogans. Tali et Mina sont trop potes. Enfin tu comprends.
On prépare le petit soir, doucement, masqués, modestes. Nos émissaires sont tels les carpes. t.co/BfRM1NUm
On me signale « Dalatrace » et pas « Galatrace ». Ça m’étonne moins qu’elle s’énerve quand j’écorche son titre. Donc.
Igor et Carver décident ensemble. Ils vont en Italie. Médicalement parlant, c’est jouable. Les routes sont infestées de loyalistes furieux.
et donc, le matin.
Bien rentrée ? Juste un petit mail pour te sourire, te tenir la main, effleurer tes pieds avec les miens.
Igor, seul, fouille les cadavres, trouver une solution à la faim, la soif. Du whisky et de la semelle taille 43. Ça suffira pour ce soir.
Et les milices turquo-chinoises apportaient aux réfugiés lyonnais, vivres, médicaments, passeports. Dirigeable en flamme. Radium sec. #dpda
Tu m’entends ?
La galatrace galarienne est plutôt vénère.
Mina, Igor, roucoulent. Carver dort mal. L’homme à la tête de chat inspecte la ligne de front, monté sur son buggy, chromé, hilare. Il peut.
Tu peux lutter contre l’effet du témoin en désignant une personne précise, l’appeler à l’aide plutôt que les gens alentours en général.
Et les yeux si ouverts. La nuit si lumineuse.
Mina, Igor et l’autre type chelou qu’on connaît pas trop bien se chauffaient au soleil sur le gros rocher au milieu de la rivière, dévêtus.
Ouvre les yeux.
Il neige à Kaboul.
Il pleut sur Barcelone. Nos amis nous déposent en banlieue. On mange de vieux tapas. Les bombardiers nous harcèlent. On danse, pourtant.
Et Mina, souriait à la lune, rousse. Ses copines, barjotes, tendres mais sobres, n’en menaient pas large. t.co/CGIwvEWk
Un pas de côté.
Kaboul de neige.
Mina et Igor, enlacés, convoquent les forces du mal et les utilisent pour récurer les toilettes du parlement, en flamme. C’est un peu gâché.
Et l’homme à la tête de chat se demandait comment ne pas succomber à la tentation nocturne. t.co/4Bvw7hEa
Et pendant ce temps là, dans l’espace. t.co/PyBquYhF
Kaboul disco.
Et soudain (encore), la nuit.
Tout le monde rentre au bercail en octobre.
Et je me penche au balcon pour regarder les lueurs. La comète illumine la baie. Dans le ciel, les parachutistes tournoient, décimés, nus.
Godiche que moi.
Chère maman, ici tout se passe bien. Les chats sont plutôt fiers de leurs nouvelles amitiés. T’embrasse. t.co/CvFaPK3c
Igor et Mina voyagent dans le temps. t.co/114uPkhK
Et, la nuit.
Kaboul de pétanque ?
Je dors mal à cause de ma gangrène qui me bouffe le pied.
Je ne pense pas que les livraisons du mercredi matin soient une bonne idée. t.co/tIduSxM8