Et Mina de déclarer : « c’est un meurtre, un coup d’estoc à l’abdomen de bas en haut, perforant la vessie et le foie. Un coup de maître ».
Et Mina de poignarder un Igor hilare. Et Carver de proposer au Parlement bulgaro-normand un programme d’ouverture. Sacré tribun. Assez.
Entropie, sérendipité et chaos.
Et sur le cadavre, encore un poil bouillonnant, Mina de déclarer : « et pour déterminer la cause de la mort rien ne vaut une bonne autopsie ».
L’homme à la tête de chat récupère l’urne. Les cendres sont parfaites. Litière.
Les gamins, au narrateur, forcément, omniscient : « mais alors il est mort Igor ? ». Silence de.
Carver termine son discours. Le bombardement commence. On rase gratis.
Puis, la crémation.