Mina, au cœur de l’assaut, tourne sept fois sa langue sa bouche avant de parler, et ne dit rien. La mitraille, comme un rideau de douche nu.
Igor à Mina : « This is really bad. » t.co/d6glD6a2 #ledebat
Et Igor de décider de mettre l’accent sur ces moments forts, ratés. Genre Woodstock, j’y étais pas. La naissance de ma mère, non plus. Etc.
J’ai froid.
Et Mina, triomphante, petit déjeune sur les ruines. Avec l’Antéchrist, avec une tête de chat. On rase gratis à la fin du monde. Vrai.
Tes amis sont réels.
Etc…
Igor se sentait d’un autre temps, parfois, en s’éveillant toujours vivant. Et le soleil. t.co/cusMD8Oh
Le ciel comme un grand cirque avarié. On marche sur le feu. Cap au sud.
Et on danse. Nostalgie.
Rien n’est de la salade.
Dans la petite sacoche grise, Igor transportait une petite dose d’entropie. Et une mini chaussure. Bleue. t.co/FLJCMxo2
Max, les maximonstres, orphelins.
Mina et Igor préparaient un mauvais coup. À 20h on en saurait plus. Opération « Petit Poucet ».
Et nos amis. t.co/0FtQwZ4T
Mina : « Les mangas c’est plus des discussions bergsonniennes ».
Un feufeu pour ceux qui ont froifroid.
Les personnes réelles sont faciles à reconnaître. Elles clignotent.
Mina a un message. t.co/0HKNJHUi
Igor, lucide, à Mina, morte, mais souriante : « je pense que les choses ne peuvent que s’arranger ». t.co/ldTMCUlw
Ton aura est violette.
La guerre est finie. On a perdu. Mina pleure.
Mina ouvre la boite. En tombent 100 euros, verts.
Tadaaa !
Cut the cake.
Un type de plus de deux mètres. Un soldat borgne. Il installe un néon au plafond. Il a posé son arme dans le cendrier en inox.
Et Igor, sur ce rocher humide lancé à 30000 km/s dans l’espace, rentre chez lui. En bus.
On propose un nouveau job au héros. Il hésite quant à la manière de refuser. Il y a une roquette dans le salon. Ça sent mauvais. Ouais.
La grande Mina à Igor, impavide : « Monte avec moi dans le ferry boat et regarde devant c’est la côte Anglaise. »
Trouvez moi des amphétamines. Purple hearts.