Les milices bengali me paient des frites et du pastis. t.co/HfXI0lLh
Carver, lessivé, n’ignore rien des techniques de camouflage belges. Ses petites cellules grises, itou. Pinkie pou ! t.co/At4i4CYp
Et l’homme à la tête de chat, nu, énumère mentalement les possibles arrangements de son intérieur anthropo-félin. t.co/fPHD1KhB
Et le bunker de Mina, si rouge, de ne plus retenir en son sein aucun débordement poétique. Igor, invalide, bourré. t.co/A6DP43BY
Et Igor, tellement peu loquace, béatitude des guérillas réussies. Se blottir, sous les bombes, se sourire. t.co/BYZBhycW
Mais nus, quoi !?
Mina, Igor, Carver gisaient sottement sur la moquette incarnate, exsangues mais pas si laids. Les miliciens ramassaient les organes épars.
Lèvres bleues, mensonges.
Et dans les décombres. Nos restes. Épars, nus. t.co/JhIrnG39
Igor et Carver installent de nouvelles défenses terrestres, protéger ainsi les pourparlers de paix, ivres. t.co/bzfz7JPX
Nus, la nuit.
Les ambassadeurs se rencontrent régulièrement pour tenter de défricher la situation internationale confuse, ivres. t.co/9ThVSkxw
Message très important pour Samuel : L’octogénaire ne se déride pas. Attendez deux voitures et des amis sur le bonbon.
Non, tu n’as pas besoin de courir le monde après ton destin comme un cheval sauvage !
Égarement. t.co/LqeYd2r9
Et l’homme à tête de chat, chelou. t.co/1cAgAOlc
Il pleut tellement de trucs noirs, gluants, radioactifs que même les miliciens siciliens abandonnent les boulodromes aux alsaciens ivres.
Rebondir follement. Nos doigts entrelacés. Nos regards absents, ahuris.
Carver, et le marché noir. Igor, ses béquilles. Mina, sa gatling. L’homme à la tête de chat, son scooter. Impavides. t.co/ijakTK8L
Du bouledogue au sanglier : vous recevrez encore des amis ce soir. Le vent souffle les flambeaux.
C’est pas ma faute à moi !
Et Mina, de mimer l’ecclésiastique gaulois. Nos troupes roupées, en déroute, rigolarde. t.co/nh2AUxAt
#hop
Et nos frissons partagés. Igor, sous la pluie, ouvre ses cadeaux. Mina, au soleil, manœuvre le lourd dirigeable. Nue. t.co/0Zgom1FU
Traboule moi toute.
Et Igor, tellement tête au carré, expire une pensée émue pour le créateur du générique d’Albator 78, le gars Charden. R.I.P.