La chaussette bleu du pistolero espagnol, le cheval, les bois, Londres. Mama, i feel the same. Nimp. Maman moi. Reine de la danse. #ns
I’m a flesh eater.
Parfois.
Et un hommage à Nellie Bly.
Nan, c’est pas du moher c’est de l’alpaga. #écrire
Le bunker. Igor passe la serpillère en écoutant « Papa don’t preach ». Nu. La chaleur est intense. Les filles se bandent les seins. Boogie.
Et on arrive à Toulouse.
et c’est le matin, et alors on aime ses voisins et la fille avec les fleurs.
Igor portait l’uniforme de la milice depuis maintenant 15 jours et ça n’arrangeait pas vraiment ses affaires de cœur. Il mentait. #vérité
Sur l’océan, lueurs d’incendies, lointaines, puis, plus tard, la grande chaleur, en attendant la vague terminale. Picoler, sortir les surfs.
Salive, bave, crachats et autres sécrétions. C’est plutôt stimulant.
Mode groupie on – merci @DevoreAlyce et @electrelaneyeah – mode groupie off t.co/NSLEoq3
hier soir : bière + chinois + bière + chat + whisky-coke + dodo
(utiliser le medium comme support pour un journal intim’impartial)
Pierre Kropotkine est issu de l’une des plus vieilles familles de la noblesse russe. Sa mère est une femme douce et aimée de tous pour sa grande bonté. Elle est très estimée des serviteurs et fut un modèle pour ses fils en ce qui concerne la tolérance, le respect d’autrui et l’intérêt pour les choses intellectuelles.
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Ivan Tourgueniev connaîtra très tôt l’injustice et l’absence de liberté qui règne dans son pays. Sa mère possédait 10 villages, soit cinq mille âmes (hommes -les femmes et les filles n’avaient pas d’âmes !) qu’elle mène, tout comme ses fils, sous le knout. Pour exemple, le serf qui apprit la poésie russe à Ivan sera envoyé par sa despotique maîtresse en exil pour cette conduite indépendante et subversive.
Marie Paule Belle Mondo ?
mardi je me lève en retard une douche rapide encore une saloperie d’Oneko je m’habille avec des restes pas le temps de me raser ça pousse
Un mail du jeune Paul E. : « Il n’y a pas de hasard, il n’y a que des rendez-vous. »
Il neige encore, je vais sortir déblayer l’allée, si je ne reviens pas, prévenez les maitres chiens. Genre dans 15 minutes. J’ai une pelle.
| Je | ne | suis | pas | très | en | forme | et |
| mon | moral | est | en | devenir | . | Le | boulot |
| est | en | petit | morceaux | et | je | dois | décider |
| de | mon | avenir | . | Text Here | Text Here | Text Here | Text Here |
| Text Here | Text Here | Text Here | Text Here | Text Here | Text Here | Text Here | mon |
| ami | je | t’ | aime | Text Here | Text Here | Text Here | Text Here |
| Text Here | Text Here | Text Here | Text Here | Text Here | Text Here | les | menaces |
| sont | vraies | à | chaque | fois | Text Here | Text Here | Text Here |
Her Doktor @troudair cherchait une solution aux interrogations de sa fille quant à la présence de néo-marxistes localistes libertaires nus.
Les Magiciens du Chaos sont souvent décrits comme amusants, individualistes, peu sérieux. Ils se décrivent eux-mêmes comme tolérants.
To ℱℴℓℓℴω or not to ℱℴℓℓℴω ?
…
Elvis chante
Bruce Lee me sourit
Sylvain ne dit rien
J’ai le trac
Je suis crevé
Je veux dormir
Trois jours
Au moins
Mais je suis motivé
Je crois
Et je vais prendre sur moi
Quitte à devenir incohérent
(plus que d’habitude)
Essayer de voir
La vie en jaune
Ce soir
Et laisser
Place à l’Imprévu
Demain
On verra
…
Igor se demandait comment expliquer que Scott Pilgrim ça fait je sais pas comment dire c’est apaisant sexy cool drôle et je sais pas quoi.
Bon, jeudi encor’
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1202 – 1204 – Lors de la 4e croisade, 4 chevaux de bronze sont ramenés de Constantinople à Venise, aujourd’hui à la basilique Saint Marc.
« This is the story of how I died.”
Le colonel porte un bel uniforme. La cavalerie anglaise. Ou l’équipage d’un dirigeable de la Compagnie des Indes. Il panique sec.
Le conteneur tournera autour de la Terre, deviendra ainsi son satellite artificiel. Le Monde Libre adhère au club des puissances spatiales.
Just one day out of life, Les jeunes chômeurs s’la donnent aux cocktails molotov, 300 patrons qui craquent font sauter la baraque. Holiday.
« Révolution » par @troudair ? t.co/H8J7D4vI – t.co/73EmkdtH
Ici on ampute les chatons pour couvrir les hurlements des catcheurs de l’ex-Hollande. Là on picole sec pour polir nos vestes en queer. #cdm
Comme sur un blog : mercredi.
le jour des enfants enfin,
ne pas penser à la petite
lucie, c’est bien triste
et on la pleure ce jour
sur tourguy au bord du
canal nous n’irons plus
petite lucie flotter tête
en bas avec les rats crevés
mon coeur saigne et il neige
sur paris hommage sordide à ton
enfance broyée petite lucie douce
fleur brillante ensuite les tables
furent couvertes de viandes antilopes
avec leurs cornes, paons avec leurs plumes,
moutons entiers cuits au vin doux, gigots de
chamelles et de buffles, hérissons au garum,
cigales frites et loirs confits. oué.
Marc Levy : la vérité est tailleur. bit.ly/4ivJ4e
#remaniement #hadopi #eu09 #navet #albanel #mitterrand #bide
De bonnes nouvelles, une fuite d’eau, pas de chats à fouetter et une grande fatigue pas lasse.
Se lever, franchir d’un bond la limite de la chambre, se ruer sous la douche, retirer son pijama mouillé d’être si pressé, grignoter un bout de chêvre, fermer l’eau, écouter « france-info », se conduire en idiot, prendre le metro, me voici au boulot. De grace, me retrouver en vacances pour enfin pouvoir travailler tranquille. Coucher sur un écran quelques historiettes malhabiles et sinueuses paisiblement, sans stress. Faire rimer chinois et minois, tamanoir et Renoir. Tourgueniev, mon héros, Ganesh, et vous les autres, je vous laisse fondre doucement sous ma langue. C’est si doux…
bises, une douce semaine sans peurs ni reproches…
Where is Roulette Russe ?
EPIC 2015 – l’autre pays du fromage.
Aujourd’hui je viens terminer l’écriture du troisième tome de l’Universelle Tourgueniste, on peut chercher en ligne dans les données qui la composent en tapant un mot clef ici : Universelle Tourgueniste.
Mina, l’hôpital, cherche, la Vérité, ne vous retournez pas. Don’t Blink. bit.ly/jc9P4o
Il me reste douze cartouches et, autour de l’hôtel de ville, les miliciens festoient, en bons voisins. Personne dans le no man’s land.
my left foot is a rascal but i love it like a fool
petite pièce minimaliste à jouer dans un sanctuaire incas en Amérique du sud
personnages :
Albert Jiron (un homme pas bien grand)
Gina Jiron (une femme pas bien grande)
Sylvie Jiron (une fille pas bien belle)
Honoré de Balzac (un grand homme)
le Choeur Antique (2000 incas authentiques chantant en mandarin dans le fond de la scène et répétant les dialogues en coeur après chaque réplique)
Acte 1 : Scène 1 : Un sanctuaire incas en Amérique du sud
Albert Jiron :
– Je me sens un peu balloné.
Gina Jiron (pensive):
– C’est l’altitude, chéri, ça va passer si tu pètes.
Albert Jiron :
– Je ne suis pas convaincu.
Sylvie Jiron :
– Là, sur ma gauche, quelque chose de terrible se passe.
Albert Jiron :
– Et cette enfant est si lourde, dieu, si lourde !
Gina Jiron :
– Sylvie, cesse de jouer avec les momies, le Choeur Antique nous regarde bizarrement.
Sylvie Jiron :
– Tout est si lourd…
Gina Jiron :
– Tu l’as toute débalée, stupide imbécile d’anarchiste merdique trop gatée. Que va dire le Guide du Routard. Petite vicieuse, ton père matte tes fesses.
Albert Jiron :
– Cette momie, elle me semble êtrange. Elle est si grande…
Honoré de Balzac :
– Arrrrrgh.
Le Choeur Antique (seul cette fois) :
– Arrrrrgh.
Albert Jiron :
– Elle est morte, Gina. Tu peux la lâcher.
Gina Jiron :
– Tout est si futile…
voile
(et à vapeur)
et… Noir !
« Je pense que l’administration Bush ne sait pas ce que je sais à propos des photos de petites filles » : Igor à Mina en remontant le courant.
le récitant : je ne sais pas vraiment ce que je voulais dire et même si ça n’était pas bien clair, merci à tous, ami(e)s, cette année sera brillante ou ne sera pas. sortez de vos conapts, accrochez la photo du gourou barbu sur le mur du dojo et commencez-continuez à pratiquer la self defense intellectuelle (geste de la main aux Triplettes de Nouville). tourguenistes de tous pays, unissez-vous et frappez fort !
On raconte que dans Ulthar, de l’autre côté de la rivière Skaï, aucun homme n’a droit de tuer un chat.
Ce dimanche matin, Mina, habillée en magicien d’opérette, se sentait vraiment à l’étroit dans son rôle de chef de la révolution mondiale.
Les lucioles mourraient par centaines, on enterrait les spectres. Sauter à pieds joints sur le thorax des hirsutes bambins. #squarespace #bi
Et Igor, hurlant, de balancer la bouteille enflammée au travers de la fenêtre entrouverte : « tamanoir ! »
La révolution est en marche. Nos pupilles sont tellement énormes qu’on peut y écrire notre devise, en cinq langues. On trinque.
C’est l’Calder l’dire…
De longs machins très coupants en acier qu’on trouvait chez les barbiers. On pourra se demander quel avenir pour les facéties faciales.
Igor et Carver entament une grève de la faim. A l’hôtel, Mina commande du champagne puis fait exploser le rez-de-chaussée. Sale ambiance.
Un calin !!Deux petits seins feraient plutôt mon affaire.Un petit cul
ou
juste un sourire sincère
et
me blottir tout contre toi.
Le tumulte et des émeutes, c’est ça l’anarchie ? Ceci n’est pas l’anarchie, c’est le chaos. Verwirrung puis Ordung. Si tout va bien. V.
Depuis la forteresse ensevelie, Mina surveillait les miliciens ivres depuis deux jours déjà. L’aube, le village désert, la neige, un renard.
Dormir en cuillère.
Carver, Igor et Mina se retrouvaient au @udobar pour négocier avec le Front de Libération de la Réalité devant une Currywurst et une bière.
Dans certains cas, la personne atteinte peut reconnaître ces sensations et si elle en a le temps, s’allonger pour prévenir une chute.
tentative 1
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Ecouter le chant des cerveaux chaleur sueur décollement des masses grisâtres des parois gluantes de la boite crânienne flottements glouglou se concentrer sueur penser scrabble penser plaisir et chaleur encore chaleur et flotter grisâtre solitude et graisse cervelle confite pourrissante vieillir déjà et bon anniversaire au reste du corps enchaîner accélération dégénérescence programmée penser désir et cuisine compoter comploter la fin des abricots pour ne pas voir la fin des synaptiques aptitudes neurones en caramélisation phase terminale chaleur et tyroïde confite au jus de neurone glougloutement absurde des hémisphères affaiblit chaleur et sueur évacuer excédent façon cocote minute en frontal et touiller les oignons et subir le soleil et émincer le veau et cuire et bouillir soleil attaquant douce chair vampirique encéphalique vaine tentative fraîcheur glacée douche glace pilée entraînant choc thermique et réaction explosive des cellules cibles. Montpalach août 2004. |
R.I.P. : Paul Gillon – bit.ly/iOgoba
Extrait pour Miss G.
Elle est pleine de jolies filles, elle est pleine de jolies filles
Aussitôt qu’arrive l’été, aussitôt que le soleil brille
Bikinis-Monokinis dénudent le corps des demoiselles
Sous le soleil de Marseille, elles apparaissent encore plus belles.
Les garçons tapageurs sont tous de méchants brancheurs
Rub-a-Dub, ghettos blasters, lunettes noires de rigueur
Ils font des matches de volley et puis des concours de plongée
En bonde ! en bonde ! du plus haut des rochers
Ils se font cajôleurs, ils se font enjôleurs
Et pour apaiser leurs émois, se jettent à l’eau tous les quarts d’heure.
Massilia Sound System – Qu’elle est Bleue
…
j’ai un peu les boules là
j’arrive tôt
mais
miss Car(r)o se lêve tôt
aussi
alors on cause
(et c’est cool)
et Costes me fait rigoler
donc
—————
merci Car(r)o et Costes
pour ne pas m’avoir laissé
seul ce matin
…
Et Igor de fêter aujourd’hui ses 14000 jours.
Prendre des ptits bouts de trucs et puis les associer ensemble.
je t’aime
je crois que j’aime tes traces de pas
dans la neige
je crois que j’aime les traces de sang
sur la moquette
je t’aime
——————
ici Paris
demain Pau
retrouver Nicolaï
couper les ponts une semaine
aller à la montagne
ou à la mer
ou juste à la campagne
compter les moutons
et les pissenlits
par la racine
A l’aide.
Il pleut. t.co/TE4HkuZe

le récitant : et si on recommençait une semaine porno ?
MME DE SAINT-ANGE : Bonjour, mon frère, eh bien, M. Dolmancé ? twitpic.com/2qohts
Bien chère Ar*,
Vous savez comme ce rubicond faciès qui est le mien fut souvent le miroir d’une âme fameuse de ses joies, larges et généreuses tels ces fûts que l’on met en perce, en cette saison quand la vigne a donné ses fruits. Mais désormais, la seule émotion qui anime ce masque autrefois coquin, c’est la nostalgie ma chère. Et ce nez ample et charnu qui humait tous les fumets de la terre, de nos femmes et de leurs tables, s’est flétri. Et cette panse jadis fièrement enflée comme celle d’une pouliche lourde de son fruit s’est rétractée avec l’appétit. Jusqu’à ce gosier que vous louâtes aussi pour l’ampleur de son débit et qui ne sait plus que s’humecter petitement sans jamais reconnaître d’autre saveur que l’amer. Mais, perdre le goût ne m’a rendu ni sourd ni aveugle. Et je sais ô combien la tragédie qui vous a plongée dans l’obscurité vous a éprouvée et pourquoi elle nous a privé de votre faconde. Celle-là même qui s’alliait si bien à ce caractère épicé qui faisait ma nature. Je songe souvent à ces soirées d’automne sous les tonnelles de votre demeure aujourd’hui si silencieuse. Mais il a fallu que vous partiez à la rencontre de la lumière, en sa demeure que les français ont patiemment construit au fil de leur grandiose histoire, de leur exubérance et de ce goût pour le plaire. Ma chère Ar*, puissiez vous y cautériser vos plaies et laisser leur vin légendaire remplacer les saveurs passées que votre gorge ne saurait déglutir.
En effet, après m’être égoïstement épanché sur mes grosseurs de cœur, il me faut maintenant vous enjoindre de faire de ce voyage le purgatif de cette bile noire, pour vous, pour moi et pour l’amour de cette petite perle que vous me confiâtes ce soir-là. Mais, pour l’heure, c’est loin de notre honteuse patrie dont l’orgueil vous a si injustement spolié dans vos biens et votre cœur qu’il vous faut poursuivre cette œuvre de l’œil et de la plume dont on dit que Paris est le sanctuaire. Car sachez que ces efforts de lucidité, ce tranchant de rapière, fleuriront mieux la mémoire de notre regretté At* que nul chrysanthème.
J’aurai encore à vous dire combien l’évocation de ce Paris d’où vous m’écrivez me remplit de stupeur. Je ne sais si c’est l’émotion encore vive qui vous étreint ou si c’est la raison qui anime ce lugubre tableau que vous m’avez fait de votre exil. Notre imaginaire ne saurait s’accommoder d’un Paris sépulcral. J’espère donc que vous aurez tout le loisir de nous rassurer sur ce point dès que vous vous serez acclimatée. En ces heures sombres qui voient notre patrie sombrer dans le contentement de soi, l’autoritarisme et la violence, nous avons plus que jamais besoin de porter nos espoirs vers une terre promise.
Je vous quitte, ma chère Ar* en vous renouvelant la promesse que je tiendrai coûte que coûte, dussé-je me damner, d’élever cette enfant dans la dignité et le confort que procure l’espoir de jours meilleurs, à vos côtés.
Je prie pour vous, pour nos morts et notre patrie.
Az*
Je veux me réveiller de cette interminable insomnie.
Collectionner les oreilles, c’est vraiment une idée à la con.
Igor constatait que, au bord de la piscine, les jeunes filles de province, donc qui se nourrissent, ont un petit ventre, sain et joli.
Et, vive le feu.
Après je me tais. #4motsavantlamort
Igor et Mina adoptent un arbre. t.co/irSxcAyO
Carver assistait au conseil des mères depuis sa transition. Elle ne pourrait parler qu’après un an d’observation. Et voter, après deux ans.
Le genre de lundi dont on cherche l’entrée.
On m’a pardonné, je garde ce compte : la science c’est vraiment amusant.












