Verbalisation libératoire à trois balles.

Hier, j’ai fait un rêve.

J’étais allongé avec une jeune femme brune et aux yeux bleus ; je pouvais parfaitement l’identifier. Nous nous sommes embrassés. Ce baiser, je l’attendais depuis une éternité ; il m’a profondément enflammé. Je buvais ces lèvres et je voulais prolonger cet échange.

Mais, ses caresses sont devenues plus précises et j’ai senti en moi le désir croître.

« Non, ce n’est pas ce que je veux ; je veux juste t’embrasser et te serrer dans mes bras ! ». Mais elle continuait à me caresser. J’ai décidé alors de me réveiller.

Aujourd’hui, je hais tout le monde.

tu ne t’appartiens plus,

désolé

Old par M. Fox le 03 Mar 2003

Minuit pile

L’absinthe renferme un marteau à bomber le verre menthe caverneux amer, l’absinthine, et de 0,20 à 0,50 p. 100 d’une huile essentielle très aromatique, aux tuiles de sept lieues de crachat open source de plumeau dentaire juvénile vinaigrette de chaussures vernies érogènes en coin laser nombreux, les plus notables étant un coquetier d’abeilles à came ambidextre gonflable, le gargariser tue-mouches d’encens, et l’ectoplasme de son noeud coulant coulant d’asphalter toilette, l’agrafeuse. Cette dernière substance, poison de l’insecte coprophage d’épiciers nerveux, convulsivante (12 g d’essence provoquent une mycose 4 fromages divergente épileptiforme chez l’homme), fait de gibecière de genouillères de mine anti-personnel une poule d’eau à tarte détachable de binette en biais à tamiser à barbe d’orange toxique à forte dose. L’absinthe des sportifs d’agneau à la vieille mansarde électriques du temps de Zola, qui associait l’essence de casque à pointe de patinoire municipale secret espagnol d’organes à celles, non moins dangereuses, de runes d’accélérateur de pépites de chocolat hystériques, du petit bonhomme vert, d’angine, etc., était un mille-pattes cocktail de belles mécaniques explosives de l’arc-en-ciel de clémentine rouges marseillais responsable de bien des pseudopodes d’assaut tremens.

Old par igor le 25 Fév 2004

Old par M. Fox le 19 Fév 2003



No pain, no gain

– Jurez vous de dire toute la vérité et rien que la vérité ? Levez la main droite et dites « Levure »
– Levure
– Vous pouvez vous rassoir

Old par M. Fox le 19 Mai 2003

En raison d’un encombrement des lignes, votre correspondant ne peut être joint. Merci de renouveler votre appel ultérieurement.

Old par Nicolai le 29 Oct 2002

LA NUIT

– Poussière du rêve –

J’ai trainé ton corp jusqu’au camp.
Le sang coule partout.
Le bruit des bombes et les pleurs des femmes me terrifient.
J’ai peur.

Old par Rodia le 09 Avr 2003

Old par igor le 01 Jan 2004

un tourment au printemps, le parfum du marquis corse, les rires des malades

suave ellipse falsifiée en plein soleil
sage eclipse d’un monde douillet
qui ne parle que de toi

Old par M. Fox le 24 Avr 2003

Parce que…

La société JP-FOUGERE assure les dépannages, les installations et la maintenance dans les domaines du Froid, de la Climatisation, de l’Electricité et de la Plomberie.
Elle est agréee PGN, PGP, QUALISOL, CLIMSURE, QUALICLIMAFROID…test

Old par To le 10 Juil 2006

Quatre-vingt-dix festins de neuf décisions

Quatre-vingt-dix rassemblements de neuf ministres

Pour s’inquiéter, s’inquiéter, angoisse superbe

Appelez les troupes dehors en hâte

Est-ce ce que nous avions attendu ?

C’est l’heure des garçons, ceci est une guerre

Le président est sur la ligne

Comme quatre-vingt-dix neuf ballons rouges du voisinnage

Old par M. Fox le 09 Déc 2004

Old par Gu. le 30 Sep 2004

La foudre de la mauvaise humeur !!!

Old par Gu. le 20 Mai 2003

« c’eSt le genre de fille

Qui aime trOp leS chOcOrêveS »

(…)

Old par Gu. le 18 Juin 2003

Je ne me souviens plus

s’il vient ou s’il est déjà venu

le chasse-tempête


Old par M. Fox le 10 Juil 2004

Papy Ivan : quel que soit le but de la prière d’un homme, il demande un miracle.
chaque prière se résume en ceci : «Grand Dieu, faites que deux fois deux ne fassent pas quatre.»

Old par igor le 28 Juil 2003

Camille et mon propre désir

Bonjour,

Je vais vous décrire ce qu’il me faut :

Je souhaite une jeune femme, charmante (mignonne), intelligente ayant une sociabilité derrière la quelle je puisse m’abriter.

Je souhaite aussi qu’elle soit gentille et qu’elle ait connu quelques vicissitudes qui nous mettent sur un pied d’égalité dans notre relation amoureuse.

Il est indispensable qu’elle aime la musique.

Les cheveux courts et une forte inclinaison d’avoir des enfants seraient des avantages indéniables.

Passons Camille au crible de ces critères pointus :

Jeune femme : OK

Charmante, (mignonne) : OK

Intelligente : ?, le silence est-il une preuve d’intelligence ?

Sociable : OK (elle rencontre beaucoup de monde tous les jours)

Gentille : OK, avec moi elle me sourit toujours …

Vicissitudes : ?, je ne sais pas

Mélomane : ?, j’ai essayé de lui faire écouter de la musique, peu d’effet.

Cheveux courts : OK

Envie maternelle : très certainement.

Bon score, somme toute !

Il faut à tout prix que je récupère une affiche de Camille pour la présenter à mes parents (pour les rassurer, ils sont très inquiets pour moi en ce moment) puis l’emmener devant Monsieur le Maire.

Pour les enfants, une grande photocopieuse devrait faire l’affaire !

Celui qui cherche

PS : je crois qu’elle est partie.

Hey, if you see the most beautiful girl in the world…

Il y a parfois de biens curieuses annexions. Un bide.

je pleure car j’ai besoin de toi

je pleure car je te sens

je pleure car j’ai besoin de toi

je pleure car je tiens à toi

si seulement un bateau arrivait

ou seulement si quelqu’un venait

frapper à ma porte

ou seulement quelque chose

je pleure car j’ai besoin de toi

je pleure car j’ai besoin de toi

Old par M. Fox le 14 Nov 2003

Bang

       Bang

Old par Gu. le 09 Fév 2004

Dans un café de la gare de Lyon, à mes pieds, un moineau
très loin du ciel, sautille sur le revêtement caoutchouteux et bullé.

si tu sais de quoi je parle

il faut que ça cesse.

mes ongles dans ton dos et nos conversations secrètes.

tes jupes retroussées et ton sourire mutin.

nos doigts qui se cherchent et se déchirent.

lundi, il ne restait plus qu’une dose

et je me suis mise à te hair, baby.

je suis ta pire ennemie et je suis à tes trousses.

Cendrillon et la signification m’échappent.

je suis à ton service. passe moi les Curly.

j’aime ce gout d’arachide sur ta queue.

Old par igor le 25 Août 2003

BONNES VACANCES !!

Note n°37 (aux urgences) : ne pas tenter de sucer un noyau d’avocat comme on le fait avec une cerise.

Old par Rodia le 02 Mai 2003

Bon imaginons que, ce jour, je sois un peu différent d’hier…
Un peu particulier, un peu pas comme d’habitude.
Ca serait pas si mal, non ?
Moi je trouve que si.
Ton sourire.
Encore !

Old par igor le 15 Oct 2002

Tes reins m’entendent

Ah toi sirene habile,
maitre es symphonie du pipeau
parolé parolé parolé scout,
sous le charme la banquise _______
j’y vois que du feu…

Banalement

Ordinairement

Rituellement

Normalement

Béatement

Actuellement

Docilement

&

B.a.d.i.d.e.dement

Assurément

Dorénavant

Généralement

Idéalement

Régulièrement

Lentement

.

.

.

Old par Gu. le 22 Mai 2003

Epitaphe

Old par JLB le 07 Mai 2006

Cars&Girls issue:





De nos jours, rien ne remplace la chaleur d’un foyer uni…

le récitant : je vais découper une lune dans la graisse de ma cuisse.

Old par igor le 12 Mar 2003

mon cul…

somebody told me
you had a boyfriend
who looks like a girlfriend

</> : I have nothing to say today, but at least I’m wellformed

the font tag : so am I. And webdesigners love me…

</> : but you’re a pain in the ass for developers

the font tag : the same goes for you!

[both of ’em] : we love to crash dreamweaver!

Old par JR le 20 Juin 2003


Old par M. Fox le 04 Juil 2003

Bonjour,

Bonne journée à tous, il est huit heures et avant de prendre son petit déjeuner, nous allons faire quelques mouvements de gymnastique intellectuelle :

Trouvez les définitions des mots suivants :
consultant,
poésie,
coruscant,
syncytium.

C’est bon … maintenant, vous pouvez prendre votre petit déjeuner.

Passez une bonne journée, en ce vendredi 4 avril 2003.

A bientôt.

« I’m Nessie da huge black snake from da lock; are you in a mess? »

Paux 1997 – On a marché sur la Lune.

Old par igor le 17 Août 2006

« Il en est du véritable amour comme de l’apparition des esprits :

tout le monde en parle mais peu de gens en ont vu. »

(Maximes, La Rochefoucauld)

Old par igor le 16 Jan 2003

INSOLITE MIGRAINE SARKOZY 10/10/2005-19:58 – AP – 0mn52

Sarkozy: « quand on a une migraine, ce n’est pas un sujet de
plaisanterie »

PARIS (AP) — On ne plaisante pas avec la migraine. Le ministre
de l’Intérieur Nicolas Sarkozy est revenu lundi sur la migraine qui
l’a empêché d’assister au Conseil des ministres mercredi dernier,
soulignant qu’il s’agit d’un mal « extrêmement incapacitant ».
« Il y a six millions de Français qui, comme moi, ont la migraine
ou j’ai la migraine comme eux », a-t-il déclaré sur France Info. « Ils
savent que c’est extrêmement incapacitant et quand on a une
migraine, ce n’est pas un sujet de plaisanterie. »
Le ministre de l’Intérieur a par ailleurs reproché au journaliste
qui l’interrogeait d’avoir dans la voix « un petit air ironique ».
« Cela prouve (…) que vous ne savez pas ce que c’est que la
migraine. »
« Depuis mon plus jeune âge, j’ai des migraines », a-t-il confié,
évoquant avec sarcasme « la générosité spontanée d’un certain nombre
de journalistes ». « En cas de prochaine crise, je vous la
signalerai », a-t-il conclu. AP
kb/cr
101956 oct 05

Old par Nicolai le 10 Oct 2005

III

Dans l’étonnement, visions fatiguées des lignes d’écritures sur un fond blanc, images
mortes, texte pour rien. Surpris par cette participation hybride, je souhaitais non pas apporter mes biens (je ne suis pas un spécialiste), ni tonner contre les risques de pollution que peuvent engendrer ces systèmes — mais juste signaler en toute hâte et
sans me priver d’avouer un certain enthousiasme — que je suis tout à fait apte à saisir l’esprit dans lequel viennent s’insérer ces signes, excluant un nombre non négligeable d’individus, sans afficher cependant les couleurs d’une quelconque communauté : je ne rejette rien, et si aujourd’hui je fais acte de ma présence, c’est juste pour m’infiltrer dans cette brèche moyenne, sans valeur effective ; singularité quelconque idéale en somme pour reprendre à zéro nos entreprises. Ainsi : nulle intention tueuse. Aucune identité sérieuse. Quelque chose de naissant, de fragile, menacé par l’annexion frivole de songes-creux ; cette liberté apparente peut susciter de drôles de rêves égotiques, des attitudes démesurées pour chercher à tout prix le contact en le privant de contenu. Il y a de quoi avoir peur. Cette distance froide et brûlante à prendre vis-à-vis de ce phénomène n’interdit cependant pas d’y venir signaler le vacillement de sens dont il pourrait être coupable : à peine la communauté reliée, elle peut s’éteindre dans l’insignifiance, mais bizarrement c’est l’insignifiance même (momentanée) qui lui donne une raison de vouloir monter plus haut. À SUIVRE ?

Old par LiLi le 01 Déc 2004

Voilà j’y suis. Je pense à quoi ? Voilà j’y suis. Je voudrais remplir cet écranpage blanche. Je voudrais j’y suis j’y voilà qu’est-ce que j’y fait comment ? /Pas très abouti/ Je voudrais mes doigts s’égarent dans le fil de tes pensées cheveux tes yeux bleues J’approche. Je souris /ça me plait/ Ton souvenir, des images le souvenir de nous Ton rire s’égarer s’envoler respirer s’élever Des nuages /des clichés:dépasser/ Toi partout sur tous les murs de mes rêveries nostalgiques gris lépreux fânés libidineux définitifs. Un jour toujours ce jour mythique dans le passé ou dans l’avenir ce jour meilleur inaccesible qu’on a vécu quelques secondes quelques minutes Pas plus. J’y crois. Peut-être tu y crois aussi alors ce serait bien tous les deux d’y aller. Qu’attendons-nous ?
Retomber en soufflant quel lourdeurdésespoir sans grâce sans finesse sans magie Retomber comme une merde glisser dans l’oubli anonyme des jours énumérés machinalement mécaniquement /c’est pareil/ Toi Quelques ombres quand même Des empreintes Un parfum
C’est le tien …

Old par -- Zan le 17 Déc 2004

miss c. : Peut-on rire de tout touyoutou ?

Old par igor le 20 Juin 2006

comment a-t-on pu en arriver là ?

les chants des femmes n’apaisent plus mon âme,
une énorme blessure
comme un gouffre béant
noircit ce qu’il me restait de passé,
ces lumières qui dansaient
et que dans mon coeur je gardais,

elles s’éteignent une à une,

j’ai été fou de penser qu’il pourrait combler ce manque

je n’ai plus de feu
je n’ai…

Old par M. Fox le 02 Mai 2003

Encore une nuit passée

dans l’étreinte du manque

sueurs froides, panique et cauchemars

étaient au rendez-vous

Merci d’etre tous venus,

mes amis

(tu me manques,

j’aurais aimé pleurer et frissonner entre tes bras)

Old par M. Fox le 16 Juin 2003

Copieurs!!!

Non mais!

Old par Gu. le 09 Avr 2003

Ainsi c’était donc ça. Pardonnez la simplicité de l’idée. Vous étiez donc une femme. Et ça changeait tout. Vous n’y pouvez rien, alors continuez.

this book is to be hidden.

Labyrinthine structures are entered at the reader’s own risk.

Nosuch Library and Lending Service cannot be held responsible for Misuse.

Old par M. Fox le 17 Jan 2004

le récitant : et elle m’a dit qu’elle m’aimait bien, mon coeur a faillit éclater…

Old par igor le 19 Nov 2002

Minuit pile

Old par igor le 26 Jan 2004

Je ne déteste pas m’évanouir.

La phrase de la journée :
Ca me fait peur parfois de me rendre compte 5 minutes après que pendant 5 minutes, je n’ai pas du tout pensé, je n’ai fait que vivre.
Charlotte Touch me

tu arrives dans trois heures…

Old par igor le 12 Août 2003

She r@n @W@y (…)

Old par Gu. le 21 Juil 2003

« – Vous avez toujours les yeux exorbités, comme ça ?
– Heu … »

Middle Grades

For middle grade readers I’m going to cite examples of some good graphic novels, but with a little exploration, you’ll be able to find more good work.

The Adventures of Tintin
by Herge, published in the USA by Little, Brown (about 22 separate titles), ISBN 0316358398 – Tintin in Tibet
In this world famous series from a Belgian cartoonist, the intrepid boy reporter Tintin and his little white dog Snowy travel to the far corners of the world on all sorts of exciting quests.
WARNING: Some of these volumes contain stereotypes unacceptable today. Tintin in the Congo, The Red Sea Sharks, Land of Black Gold, and Cigars of the Pharaoh contain « mushmouf » black people. Tintin in America contains « redskin » Native Americans.

Old par To le 10 Mai 2005

l’immortalité, parlons-en.


ce soir les brigades tourguenistes
saouleront le vil avant de l’écorcher
pour que ses cris d’horreur
ne puissent donner l’alarme
aux tribus ennemies.

Old par igor le 04 Avr 2003

le récalcitrant : sans commmentaire.
Fuck

Le Bonheur est l’envers de l’Inspiration

Old par M. Fox le 24 Juil 2003

halte à la fascination morbide
Mon ami Charlie me spamme :
J’ignore qui je suis. Je suis celui que vous voulez que je sois; en fait, vous désirez que je sois un monstre. Un monstre sadique et pervers, parce que c’est ce que vous êtes. Je me fiche totalement de la société et de ce qu’elle représente. Si je pouvais me mettre en colère, je tenterai de tous vous tuer les uns après les autres. Si c’est ça être coupable, j’accepte votre verdict. Toutes les nuits, pendant que vous dormez, je détruis le monde.

Old par igor le 25 Nov 2002

Aujourd’hui c’est dimanche et j’ai trouvé ma vocation. Je crois que je vais postuler pour être « Counter-terrorism Analyst » ou « Operations Officer » à la CIA. J’ai passé les premiers tests d’évaluation en ligne et vous me croirez ou pas, j’ai obtenu des « excellent matches ».

La CIA recherche des « independant thinkers, adventurous spirits and passionate professionals » : ça me plaît bien, c’est tout à fait mon genre. Ils offrent des « competitive salaries » et même des « holiday pay », et ça c’est plutôt cool. Un « Operations Officer » du Clandestine Service, par exemple, peut être payé jusqu’à 60 000 $ dès la première année : moi ça me suffit.

Je me vois bien m’installer dans un pavillon avec jardin, garage et chien, tout près de mon boulot, au George Bush Center for Intelligence. Ça se trouve pas loin de Washington, à McLean en Virginie, sur la rive ouest du Potomac – très belle région. Là-bas c’est beau comme un campus ; d’ailleurs ils le disent, c’est une « campus like atmosphere ». Un peu comme à Camden. Il y a tout plein d’options pratiques : deux « fully equipped fitness facilities » et un « jogging track », et même un « child care center », au cas où j’engrosserais une « college student » du « Internship Program ». En plus, c’est une «drug-free workplace» : ça veut dire ce que ça veut dire, non ? (en fait je suis pas sûr ; je suis pas très bon en anglais).

A la CIA, tout le monde a l’air super sympa, ouvert, souriant, dynamique, pluriethnique. En plus ils bossent sur un fond musical hyper rock’n roll, ambiance Tom Cruise dans Mission Impossible. Trop cool. Avec un peu de patience je finirai peut-être comme Anne, une « senior analyst » qui voyage beaucoup et qui accompagne souvent W. Bush à bord d’Air Force One. La classe. Je finirai en vieux beau, les tempes grisonnantes, genre Harrison Ford.

La plus belle fille du monde me spamme : « Jean-YES, tu as vraiment le sens de la formule, tu es trop classe, ton écriture me donne des frissons, t’as ce p’tit truc indéfinissable, cette touche intello-glamour qui me fait tout chose ; je crois que je t’aime ».

Je sais, je sais. Et ça ne fait que commencer.

–> « a light bulb, hangin’ over my bed » (your love was)

Old par ... le 08 Fév 2006

Poste de courtisane (CDI)

Date : mardi 21 septembre

Fonction : Courtisane

Secteur : services à domicile, aux particuliers

Lieu : Paris Annonce n° : 807453

Employeur : jeune homme 34 ans charmant, cultivé, plutôt gentil, aimant la musique

Type de contrat : CDI

Convention collective : SYNTEC

Poste :

Dans un contexte de fortes attentes affectives, l’employeur cherche une courtisane pour combler une de ses soirées par semaine, sur la base de 47 semaines par an.

Ce poste comprend toutes les responsabilités en terme d’affections : depuis l’attention polie aux activités professionnelles de l’employeur jusqu’au relations physiques, en passant par la connivence sur des loisirs partagés.

Salaire :

A négocier sur une base horaire ou par soirée, frais remboursés.

Profil :

Jeune femme de 25 ans à 35 ans, célibataire (livret de famille à l’appui).

Qualités requises pour le poste : attention, gentillesse, prestance, beauté et tempérance.

Compétences : qualité de l’écoute, expérience mesurée en terme de rapports charnels, savoir vivre, culture générale d’assez bon niveau, attrait pour la musique.

Diplômes requis : niveau licence, voir supérieur

L’employée présentera des lettres de recommandations d’ex employeurs, ex maris ou ex amants.

Clauses d’aptitudes : l’employée et l’employeur fournissent à la signature du contrat de travail un certificat médical équivalent aux examens pré maritaux.

Période d’essai : selon la convention collective

Clauses contractuelles particulières :

L’employée et l’employeur s’interdisent de tomber amoureux l’un de l’autre.

Pendant toute la durée du contrat, l’employée ne pourra exercer un travail équivalent pour un autre employeur, même à titre exceptionnel.

Afin d’éviter tout conflit d’intérêt, en cas d’engagement marital stable (mariage, PAX, concubinage, …), l’employée avertit sous quinzaine l’employeur qui peut rompre le contrat de manière discrétionnaire.

Merci de contacter l’employeur par l’intermédiaire du site qui transmettra.

DJ !

Old par igor le 06 Déc 2003

Je n’embrasse pas.

Mais j’y pense, parfois.

ever

and

never

were

ever

together

never

was

a

brother

for

ever

and

ever

liked

never

(…)

Old par Gu. le 13 Déc 2004

un peu pitché ?

son public l’attend fidèlement…

Old par ... le 10 Mar 2005

…comme on a pas le choix, il nous reste le coeur!
Tu peux cracher même rire, mais tu le dois
à ton étoile…

J’espère que tu prends du plaisir à voir l’ailleurs et l’autrui…

Old par Gu. le 30 Avr 2003

PLP ce héros

je voudrais me coucher avec toi
et me réveiller avec un autre.
please, don’t go…

Fiche d’identité :
Nationalité : Hurleuse
Activité principale : Hurler.
Description physique : grande bouche, amplitude des poumons
Maladies connues : la Hurle (maladie incurable, très grave, et contagieuse à ce qu’on m’a dit).

Hurler de joie. Hurler de rage. Hurler quand je jouis. Hurler pendant mon sommeil. Lui hurler que je l’aime, mais qu’il faut qu’il fasse la vaisselle. Hurler à la lune. Hurler dans le métro. Hurler sous coke. Hurler sur mon chien. Hurler sur mon boss. Hurler au téléphone. Hurler vers la mer, la voix portée par le vent. Hurler toute seule dans un champ. Hurler en permanence. Hurler partout et en toutes circonstances. Hurler intérieurement.

Alors, plus que jamais en rentrant, l’arrogance devient insoutenable. Trop de bile dans cette voix, la nausée à chaque syllabe, une marée de paroles, le vertige de la spirale, les mots tournent en soulevant des spasmes, une diarrhée orale d’abjections – se retenir, introspection, après tout, votre scandale ne m’intéresse pas, pourquoi pas, l’alcool déforme l’émission autant que la perception – mon poing dans ta gueule.

Seul comme un lâche, sans accent, je serre les mâchoires et je retourne dans un bois animé ou les contacts des mains pincent mon coeur, ou un simple regard amène à mon estomac l’émotion d’un enfant de 15 ans. Upercut. Des gens évoluent encore dans ma tête, mon esprit clair, et les mélodies discordantes d’un piano ivre et insistant crispent l’amour que je porte à ces inconnus. Crochet du droit.

Certains mots refusent de sortir, ce soir où je devrais m’excuser de partir, je lève les bras et il danse avec moi ; l’absence d’image ne sert plus de prétexte à l’indigestion verbale et la nausée persistante, balayage de la jambre droite un coup décisif sur l’arête du nez qui explose dans un craquement ni sourd ni bruyant, un craquement de cartilage, juste, pour remédier à l’odeur des mots qui puent la mort, pire, la satisfaction d’avoir été prononcés.

Manque de bol, le français utilise beaucoup trop d’accents. Coup de chance, j’ai gardé sur moi mes petits ciseaux pour découper le sparadrap, et du haut de mon mètre quatre-vingt dix de trop, je contemple ce corps allongé, pataugeant dans ses flaques de contentement. Coup de chance, j’ai gardé sur moi mes petits ciseaux.

Une aube nouvelle, enfin

qu’elles sont longues, ces nuits d’été

Old par M. Fox le 31 Juil 2004

tu veux jouer ?

Old par M. Fox le 12 Mai 2003

Insère toi bien mon petit sinon gare à toi. Je t’enverrai crever loin des tiens, dans un trou boueux dont tu ne pourras t’extirper, avec pour seul bagage quelques souvenirs affolés.
Sois bien sage.

encore un jour enfui
sacrifié sur l’autel du néant
ô samedi je n’avais rien contre toi
mille excuses pour tant d’ennui,
je n’ai pas su faire autrement.

Old par M. Fox le 21 Avr 2002

Old par igor le 26 Juin 2003

A1-Je cherche une scie à métaux pour mon vélo…

A2-Tu veux scier ton vélo?

A1-Pfff! L’antivol a rouillé pendant l’hiver. Là c’est l’été…

A2-Ah d’accord! Ben j’en ai pas…

A1-Ben demandes autour de toi steuplais!

A2-OK, sinon je peux te préter mon vélo…

(…)
Ici la scène est coupée parce que trop violente. L’acteur 1 insulte l’acteur 2 avant de le rouer de coups…

Old par Gu. le 09 Mai 2003

Old par Gu. le 20 Oct 2002

WE WANT (mixerase >>)

désolé le numéro que vous avez composé

n’existe plus n’appartient plus qu’à un

effacement progressif juste programmé





ps : je compte bientôt réintégrer la vie sociale

mais je cherche un plan plutôt molletonné

pas trop violent /

Marre des enfantillages.

Old par Rodia le 01 Mai 2003

Regarde Julie !

J’ai apprivoisé une coccinelle !




Old par igor le 17 Fév 2003

Mise O point – recadrage

Old par Gu. le 09 Mai 2005

But some people DO CARE

Old par ... le 06 Juin 2005

le récitant : la vérité doit se relire de nombreuses fois.

Old par igor le 08 Oct 2004

Pataques cérébral
amour-art
jouissances intercédées
politique oblique
dispositif machinal
jardins de la tête d’or
la jeune femme et moi
ciel inconnu
la femme éléphant a chié rouge
extension du doigté
le ciel est tout
le safran était dans le coup

Viol de soucoupes

Carrément…

ou

prête moi ta vertu

je deviendrai ton tourgueniste

« là ici »