L’amitié, c’est comme… (sur un air connu)


Old par M. Fox le 18 Jan 2004

               Soyons désinvoltes, n’ayons l’air de rien…

Old par igor le 28 Juil 2003

Je veux te prendre comme un animal
je veux te sentir de l’intérieur,

tu n’avais pas compris ?

Old par M. Fox le 23 Avr 2003

Facile de tourner au tour du pot, de varier les distractions, les inventions, d’accumuler les surenchères.

On pointe une vérité ? On pense l’atteindre et pour y arriver, je suis prêt aux glissades autour du sujet. Puis j’en doute. Ce qui me semble important et que je peux limiter à un énoncé, tout à coup sous le poids de la phrase, se dérobe & perd de son intensité.

Alors subsistent les jeux.

Ce qui n’est pas mal aussi en somme.

Pus rien n’a d’importance, si ce n’est l’éloignement progressif du sérieux, du tragique.

On fête cette indétermination.

Il y a encore la mémoire, mais celle-là, nous induit en erreur. Plutôt qu’une conformité à la vie, il s’agit d’accepter d’en être séparé. (« éloignement progressif du sérieux, du tragique »)

Est-ce une façon de légitimer l’invention ? Au nom d’une perte, d’une maîtrise impossible.

Comme les textes sont artificiels, au moment où je m’apprête à écrire : alors… (comment conclure un problème sans énoncé ?)

Alors il y a tout à faire, du temps surtout et de l’espace. Les jeux, les mensonges, les personnages ; on retrouve peut-être ici la littérature, même si nous n’avons pas grand chose à voir avec elle.

Do it.
ne pleure pas minette, c'est l'agonieUne nuit,
mercredi soir,
lire un livre,
jouer un peu,
attendre ta venue,
rien ne vient.
Une nuit,
j’ai froid,
toujours pas de toi,
tu manques,
jouer un peu, en attendant.
Il pleut,
j’ai chaud,
jouer encore,
t’attendre,
regarder les ions qui vont
et viennent.
Say you want a revolution.

Old par igor le 11 Juil 2002

Avant, j’ouvrais grand les yeux.
Maintenant, moins.

miaow

. . . . . . . .

Messieurs,

Je n’ai pas le désir d’être illisible, alors, je vous prie, puisque vous avez un certain pouvoir,
de corriger au plus vite les textes envoyés, les accents surtout . On parle de communication.
Alors, s’il vous plaît, rendez moi la possibilité d’être lu, pas comme un martien.
D’autre part, quelques éclaircissements s’imposent :
Je regrette souvent les productions défilantes.
On se dit qu’on est attendu ailleurs.
Trop d’impatience vous coupe les jambes.
Cela ressemble à du poétique.
Mais le mot me gêne.

Je relisais récemment le « journal de Moscou  » de W. Benjamin dans lequel
il souligne l’importance du va -et -vient entre communication et expression. Cette difficulté
semble bien opérante au regard de ce qui se fabrique entre vous et moi.
Mille regrets de ne pas savoir parler davantage de lui, de Walter Benjamin.

Pourions-nous faire preuve davantage d’audace ? Vous êtes parfois capable du pire, et moi aussi. La retenue semble bien interdite ici. Mais il faudrait peut-être affronter l’impudeur. Au risque d’être obscène, pas dans le sens collégien de la semaine dite pornographique.
Je me demande pourquoi tout ceci se dit aujourd’hui.

Pardonnez la distance que j’impose entre vous et moi. Je vous avoue ceci : je ne me sens pas
vraiment chez moi ici, comme à peu près partout.

Old par A venir le 01 Sep 2002

Je suis une quatrième personne du singulier, je trouve les jours trop courts
Je suis le Je fêlé, l’instauration d’une méthode sérielle en art déglingué.
Je suis l’effectuation temporelle de la blessure, la place variable,
Je suis la respiration interne accélérée
Je suis la montre à huit aiguilles
A force de bonne volonté et d’arbitraire
Je ne suis pas nécessairement fondé, ni formé
Je suis des prémisses, je suis chaque chose dans la boutique.

fuck you doctor !

Old par -- Zan le 03 Déc 2004

Chaque fois je vois votre visage
Je deviens tout humide entre mes jambes
Chaque fois vous m’ignorez
Je pousse un soupir de douleur

« J’ai baissé ma garde,
Dressé ma droite
Et placé mon poing sur sa face,
Cassé son nez,
Pressé la gachette,
Laissé
L’ennemi
Dans le sang blessé
Démunie
D’énergie,
Dressé
Une corde pour
Lui passé autour de son cou,
Hissé son corps dans le vide,
Glissé une lame dans ses intestins,
Massé les hématomes,
Pansé les plaies
Dansé sur sa tombe
Baissé
Tu me diras pourquoi autant de haine cousin
Regardes autour de toi
Ici tout est malsain »
LUNATIC _ Le Guidon

Old par igor le 10 Juin 2002

Received: from 67.168.35.229 [67.168.35.229] by b0504.idoo.com id 200403101634.1105; Wed, 10 Mar 2004 16:34:40 GMT

Message-ID: <67c601c406be$9abd85f2$1bd4a998@mzpeci>

From: « Ethel I. Moss »

To: Shioran

Subject: I love you alot

Date: Wed, 10 Mar 2004 16:39:21 +0000

MIME-Version: 1.0

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IHRvIChmb3IgDQoNCjwvYm9keT4NCjwvaHRtbD4=

Je crois bien que c’est Sartre qui signait « Lui »…
Je ne suis pas Simone de Beauvoir, seulement Gu.

Old par Gu. le 24 Avr 2003

Happy B-Day Babylone Babies !

Fake symbolism is only manipulation

Old par ... le 11 Sep 2007

petit mémo : passage à l’adsl ce soir

Old par igor le 26 Fév 2003

L’interzone était glaciale. Le basculement s’est fait par palier, c’est bien ça qui a été le pire. La désagrégation de l’exosquelette, les fissures dans l’enveloppe externe, l’écroulement des architectures, n’avaient été que le prologue. Ce n’est qu’ensuite que / / évocation douloureuse, spectre encore étendu d’une rétine à l’autre, la cornée grillée s’en remet comme elle peut. Qui eût cru qu’une métamorphose à moitié scénarisée allait servir de prélude à un bouleversement profondément réel. Chitine granuleuse contre sang frais – la première a fondu, le second jallit joyeusement et investit à nouveau tous les compartiments, limpide, irrigue des contrées ravagées par des décennies d’intuitions apeurées, et d’intoxications diverses aux chimères variables, aux résignations occultes et aux procrastinations réflexes (toodidoo). Le contournement conduit à la névrose ; il n’interrompt pas la maraude mais remplit les bottes de boue et le crâne de plomb. L’hormone noire n’était pas autre chose. La minerve en fonte crasseuse la distille depuis un bail – résilié il y a peu, recommandé avec acccusé de réception. Lorsqu’on renonce à contourner, il faut parfaitement maîtriser plusieurs arts plus ou moins martiaux. Sinon on risque un peu de ridicule et beaucoup d’embarras. Mais qu’importe. Alors la chair est à vif, et le parcours parsemé de stalagmites acérées, d’orties vénéneuses, de ronces mille fois piétinées par d’autres mais encore terriblement pointues pour un arthropode carbonisé muni d’un cuticule en gestation. Le parcours est long, ce qui n’est pas le moindre de ses inconvénients, mais cette fois c’est autre chose qu’un aiguillon petitement narcissique ou un quant-à-soi mauvais, qui l’étreint et l’emporte. Des rails plus puissants, quelque chose qui touche réellement à l’altérité.

Et, fait amusant, les paradoxes se poursuivent néanmoins (toodidoo) : à quelques temps de prendre un avion, c’est pourtant le départ d’un train qu’on attend avec impatience.

Old par ... le 18 Juil 2005

Old par Gu. le 01 Juil 2003

deserve choir abraham accuracy adele craig o’dell guenther dobbs content
corduroy beauteous revelatory boldface chautauqua regional
wiggle budweiser puffin harrison myth townsmen cornerstone
agatha cutover page minicomputer bodybuilding loudspeaking
sweepstake downtrodden jest saigon cowhand deafen santo
economic brookhaven buick bloodstream republican extendible
cotangent continuation totalitarian profession coronate litmus gunmen
correct sped timetable ginseng candidate aptitude barbarous implicate
irradiate digestive anaheim mettlesome manifestation epithelium litton canadian
swedish stanchion perusal dowel elegiac protease intelligent hue proviso
abnormal simonson minsky cancer paschal electroencephalography lome
compressive immodesty primal posey oppression oar buchenwald
asilomar parks thatch beefy insolvable herringbone deflector cunning eben
aerobic hydrostatic swigging arteriolosclerosis adore cloddish everybody
definitive serology downright carolyn neonate amplifier chantilly scarborough
evelyn bladder snuffle cyanamid cruickshank dean hydrous marine fungible
beep decimate hang although brenda koenig wash leeway mate torsion dianne
elizabethan capital travesty tremble dooley clubroom burbank ellipsometer fleeing
theism kenney agnew ore cosmetic beg farewell momentum jose sank convoke
bide soothsayer agnew artemis tartary pitiful win arachne vampire crisscross
chaparral criterion advisable handicraftsmen almost chairlady bergen beauty
though habeas pease archery emigrate advantageous list incredible
delude cognate down pestilent simile vegetate bestir ejaculate aspen
bloat martin wow oleomargarine shack libation magnetic gift cognate
province sashay amuse thyratron rubidium ama devil erratum
genevieve tablespoonful cocoon maddox addition pickoff bimetallic
condemnate pratt prospectus courage humpty haunch hubbell eddy
sandusky hive cagey beatrice adjectival adjoint checkbook cpu ear
radioastronomy brainard restraint irradiate bangui perish dreyfuss
prophesy empty nc wisp sears illiterate acquittal

Old par igor le 18 Jan 2004

I’ve seen those words

Collapse

As it was the end

Of poetry

Old par M. Fox le 16 Oct 2002

Le code de la nuit

Le Code de la nuit est un petit fascicule rédigé d’un ton un peu méprisant, visant
à édifier les règles auxquelles les « gens de la nuit » (comprendre : ceux qui s’amusent
uniquement une fois la nuit tombée) doivent se plier, sous peine d’être exclus du
Cercle. Celui-ci contient, pour la façade, un certain nombre de célébrités
(Johnny Hallyday, Régine), mais ses membres réellement actifs et influents sont tenus secrets.
Originalité du Code de la nuit : on ne peut le lire qu’en rêve. Aucun exemplaire physique
n’existe. Certains en ont rêvé la couverture, et d’autres, triés sur le volet, ont pu le parcourir en entier
et signer ainsi leur appartenance au Cercle. L’avantage est qu’ainsi, il n’existe aucune preuve matérielle
du lien entre un individu et le Cercle : aucune perquisition n’est possible. On m’a récemment montré
la première page du Code, mais je doute d’appartenir un jour ou l’autre au Cercle : je m’amuse
trop pendant la journée.

Old par DrT le 30 Mar 2003

Pardonnez-moi cette incursion.

No sex last night?

Old par JLB le 15 Fév 2006

Petit moment tendresse parmi ces sombres lignes… Histoire(s) d’ensoleiller l’ensemble, puisque tel est le rôle voulu par mes origines. Le printemps est là, il fait bon et chaud, et qu’est-ce qu’ils sont beaux, les quais de la Garonne quand ils deviennent une plage citadine ! Et qu’elle est belle, la brique sous cette lumière renouvellée ! Pour un peu, je me sentirais en Espagne. Pour un peu plus, je me sentirais en Amérique Latine… J’y cours.

Old par Mr le 24 Mar 2002

Marseille en Mars: derniers jours


Je trouve un pendentif dans la rue,
sur le bijou argenté est écrit d’une
façon enfantine « séduire ».
Mon horoscope poétise:
vous vous sentirez étouffée
Comme un grain de maïs
dans une salade de patates.
Confondant…

Paradigme artificiel

Every time i think of you

I feel shot right through with a bolt of blue

It’s no problem of mine but it’s a problem I find

Living a life that I can’t leave behind

There’s no sense in telling me

The wisdom of a fool won’t set you free

But that’s the way that it goes

And it’s what nobody knows

While every day my confusion grows

Every time I see you falling

I get down on my knees and pray

I’m waiting for that final moment

You’ll say the words that I can’t say

New Order – Brotherhood

Old par Gu. le 04 Juin 2003

—————————————-
Je…
Je m’appelle Igor Tourgueniev
Je n’étais pas à EOF hier soir
Je dormais avec mon chat
Igor Tourgueniev n’existe pas
Je suis en train de nier
Igor Tourgueniev porte un éclair
Je ne suis pas Igor Tourgueniev
Je suis un personnage de fiction
Je suis…
—————————————-

Old par igor le 26 Mar 2003

Get into the groove
Boy you’ve got to prove
Your love to me, yeah
Get up on your feet, yeah
Step to the beat
Boy what will it be

Old par M. Fox le 01 Mar 2003

je t’offre des fleurs aussi même si ce n’est pas l’endroit

Old par igor le 06 Jan 2004

La phrase de la journée :
Sophie, c’est la catastrophe, nos finances sont au plus mal, avec la démission de Jospin nos subventions sont annulées. Je suis obligé de vous licencier.
Mon Big Boss chéri de l’OIE

www.spokevousparle.com

Old par Gu. le 15 Avr 2003

NOURRIR LES ANES #5

Ah, les voila.

Ils m’ont entendu verser de l’eau.

Une petite gratouille pour chacun, ça c’est important.

Ils me connaissent pas très bien après tout.

Il faut qu’on soit en confiance, tous les trois.

qu’ailleurs, mais ici

Once upon a time, was a dragon-fly

Hola muchachos y muchachas,

Me voila donc de retour de la terre de feu, du parc des Torres del paine ou j’ai passe 3 jours, plus un petit aller-retour au glacier du Perrito Moreno en Argentine, un glacier d’une vingtaine de kilometres de long, qui avance, avance et avance en faisant un bruit invraisemblable… bref, un glacier parleur, d’un bleu etonnant sous le soleil brulant de Patagonie.

Je repars ce soir pour Punta Arenas, ou je vais continuer ma route vers le sud jusqu’au Fuerte Bulnes, ou est l’un des phares les plus celebres du detroit de Magellan, celui de la fin de « Happy Together » pour les plus cinephiles d’entre vous.

Je suis assez heureux d’etre revenu en terre hispanophone apres 4 jours de stage d’allemand renforce. C’est invraisemblable… du moment ou j’ai pris le bus pour aller a Torres del Paine, je me suis retrouve plonge dans une terre essentiellement germanophone. Un indice certain m’a d’ailleurs montre que je passais dans un espace-temps distinct : avant de monter pour avaler 3 heures de voyage sur des pistes caillouteuses propres a detruire les dos les plus resistants, je fumai ma derniere cigarette d’une vie de fumeur urbain, la tete dans les nuages, observant le ciel changeant d’une demi heure sur l’autre, je ne remarquai pas la presence de cet homme en noir et blanc au coin de la rue, en train de commenter mes moindres faits et gestes. Au moment ou il se tut, je jetai mon megot sur le trottoir, encore ignorant du peril qui me menacait… le megot, insultant, au lieu de se coucher comme tout bon megot qui se respecte, se tenait droit, sur le sol, pose sur sa base, le nez vers le haut, fierement, comme pour me dire : « Hahahah, tu as oublie ta methode Assimil allemand, tu vas le regretter mon petit bonhomme, tu viens de rentrer dans la quatrieme dimension, der katriem dimenzion, hahahaha »

Dont acte : dans les refuges, on chantait la Lorelei, autour d’un feu de camp et d’une bonne francfort, la chope de biere a la main, sauwerkraut et compagnie. Sur les sentiers, on devisait joyeusement en anglais, l’accent teuton au bord des levres, le cheveu bond au vent, la birkenstock au pied leger, pour soulager les exces de biere de la veille. Gutten Morgen, Bernart, como estas ? Hola Brigit, did you sleep well ?

C’est en voulant fuir mes compagnons de voyage que je commis l’erreur fatale. Epuise par deux nuit de discussions animees autour d’un saladier de chou cuit et de sympathique charcuterie bavaroise, je cherchai le reconfort de la solitude vers la valle del frances, emportant avec moi toutes mes affaires, musique, sac de couchage, chaussettes sales, bref… a 5heures du matin, je desertai la place, m’enfuyai du refuge pourtant si accueillant pour ne pas entendre de nouveau « Ars du gutt gestshlafen » qui m’aurais conduit a un massacre a la tronconneuse certain. C’etait sans compter la puissance de la nature, reconnaissante de la politique ecologiste menee par les gouvernements Shroeder et Khol. Apres une heure de route sur des sentiers boueux, dans des souffles de vents glaciaux, en tentant d’escalader une paroi humide et glissante, je retombai lourdement sur ma jambe droite. Jamais ma hanche ne fut si proche de mon epaule. Clopin clopant, je retournai au refuge, penaud, la tete basse, alors que le soleil pointait de nouveau.

« Zer, Nicolas, did you hurt youself on the sendero »
« Nothing serious Bernart, thanks »

Le jour fut sublime. Je bus moult bieres en chantant « La petite Huguette » en allemand, bien plus drole que la version francaise. Je pris a l’instar de mes compagnons d’infortune de nombreux coups de soleil ; le teint rouge, je rentrai le soir meme pour Puerto Natales en car, sur les routes pierreuses, en buvant de l’eau gazeuse pour digerer le chou cuit et en chantant « Der Kaporal », une tres jolie ballade des annees 70 avec Ingrid et Yuki, un japonais qui lui aussi s’etait acoutume a la culture traditionnelle locale.

Sinon, la Patagonie est sublime et non, je n’ai pas rencontre Florent Pagny.

Besos a todos

Old par Nicolai le 20 Mar 2002

je t’en prie le temps presse

Old par -- Zan le 18 Sep 2004

nON

igOr tOurgueniev a dit non à la drogue

igOr tOurgueniev s’en mord les oigdts

Old par Gu. le 03 Fév 2004

Asphyxie

Les volutes empoisonnées
de Babylone
auront raison de ses adorateurs

Ultime sacrifice
librement consenti

Ils brulent
et toussent dignement
alors que la cité les tue lentement

Au revoir

Old par M. Fox le 14 Juin 2006

Elle voulai l’inviter :
Pour une polenta sauce tomate avec en dessert la voie lactée
avant ils auraient fait
un tour sur la promenade plantée
et du patin d’été le nez au vent par les remblais protégés.
La nuit est arrivée
elle n’a pas osé
c’est raté…

dommage.

(c’est un poême-dommage)

10000110 006 144.150
10000111+007 144.175
10001000 008 144.200
10001001 009 144.225
10001010D010 144.250
10001011 011 144.275
10001100R012 144.300
10001101 013+144.325
10001110 014M144.350
10001111 015 144.375
10010000 016 144.400
10010001 017 144.425
10010010+018 144.450
10010011D019 144.475
10010100 020 144.500
10010101 021 144.525
10010110R022 144.550
10010111+023 144.575
10011000 024 144.600
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10011100 028+144.700
10011101 029M144.725
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10100010D034R144.850
10100011 035M144.875
10100100+036 144.900
10100101 037+144.925
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10101111 047 145.175
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10110010 050 145.250

DRM-Fritz chipDMCAFritz chipEUCDFritz chipTCPAFritz chip

Complainte du héros
#44
Vous insinuez qu’il n’y a aucune diff&eacuterence
entre lui et moi, que cette division est une coquetterie,
ou pire une lacheté, que je n’ose pas assumer
le grand jeu, le grand bavardage de soi, et que j’use
de ce moyen à des fins de duperie, façon complaisante
de complexifier la tache ? Oui vous avez raison, en un sens,
mais la réponse à votre scepticisme prendra
un tour violent et sincère : sachez docteur que je me
considère à la fois comme le sujet le plus banal
qui soit (et dont la vie ne mérite aucune considération)
et aussi comme quelqu’un menacé de disparaitre ;
ainsi j’ai confié au héros, digne représentant
de mon ame égarée, la mission d’agir pour me requinquer
et retrouver dans la vie et dans l’autre des petites graines
que j’ai plantées jadis.

A travers le ciel percé : mon regard oh oh, semble avoir recommencé
à observer la vacuité des mes yeux mensongers. T’ai-je fait croire que nous étions
plus qu’amis en me rapprochant du seuil ? Oh bébé ça pourrait prendre des atours
fiévreux puisque je vis aisément sous de soleils ternes.

Cela ne signifie en rien que je suis sérieux : à quoi bon vivre dans une pièce
avec vue sur l’absence puisque la perte du sens me définit si typiquement ?
Oh bébé, bébé si j’envie librement c’est que nulle rente ne m’est tenue.
Ohoh… Oui, j’ai recommencé.

C’est synonyme de toutes choses prononcées par mes lèvres : jouer à
coeur mon errance de mise Oh bébé, bébé, énigmatique construit
de mon imagination. Oh oh ! … Tu penses que je me love venu du ciel céans,
du cercle céleste qui m’emporte au séjour, qui ne me sait pas innocent.

Fenêtre du temps m’emporte au vol du vent. Vois-tu la difficulté, c’est que mon
rêve vagabonde. Même si j’ai vu des étoiles dévorées par le soleil – souhaits
d’héroïsme à en exister réellement, et faire mouche du juste coup, je pleure
voyant ce jour : ne vois-tu pas que je suis différent ? Et quand même j’attends
Mars assis à en perdre ce sens ce qui me définit si caractéristiquement bébé, oh…
Oui Oui Oui Oui Oui Oui Oui Oui Oui Oui Oui Oui.

Vois-tu, je ne crois pas qu’un futur soit la cause de cet élan éthéré
qui m’emporte moi dans l’Eden. Mais Bretonne, avant de t’en aller, il y a quelque
chose que je souhaite te donner : une fenêtre dans le temps; celle qui m’emporte de
son vol, oui celle là même. Oh quelle magnificence, mais patiente un instant,
n’est-ce pas … un spectacle de chiens de guerre enivrés par leur festin ?
Oui c’est bien cela, un monde occidental qui s’effondre en Orient.
Mais à la fin, je sais que la Douairière l’égarera dans l’Océan,
se complaisant de l’avarice qui inonde notre époque.

Et bien mon coeur, j’y ai plongé pour te la récupérer, mais là qu’ai-je fait ?
Dois-je désormais vivre de profits et de fiertés Oh oh !… J’ai encore visé droit
au coeur. Oui oui oui oui oui oui, je me suis abîmé dans cet ébat oh mon bébé
Oui oui oui oui oui oui, oh oh penses-tu que je viens de l’eau de là ?

Et pourtant, je ne me connaissais pas d’innoncence.

Ozzy Spears (1969-1999)

Old par To le 03 Oct 2005

Alice m’embrasse,

je crois que le chapelier fou est jaloux
mais il n’en montre rien

je crois que le lièvre de Mars
voudrait encore un thé

qu’il est doux de te connaitre,

Alice

Old par M. Fox le 10 Jan 2003

Il marchait déjà depuis une tétine dans ce strapontin de bol de soupe à l’oignon jaune et les oeufs de lump de drag-queens qui l’avaient lâché ici ne perdaient rien pour lubrifier. Il avançait vers le nord, vers cette illusion d’optique de langues de chat qui semblait pouvoir lui procurer un pesticide contre le ver solitaire et éventuellement dissimuler une entrecôte aux cèpes. Il repensait sans cesse à la barre de fer d’or abandonnée à l’herbier de la 66, à ces bâtards ignorants en route vers le Mexique et à Charlie et à ses petits saints têtant de la poire qui l’avait si bien mené en bateau. Il pestait contre le moteur à explosion entier et avant tout contre sa pétasse. Le pet-de-nonne tapait dur sur la blonde squameuse des rabots…

Old par igor le 09 Jan 2003

— Peut être que la terre aime le beurre, tout simplement ? —

Old par -- Zan le 10 Jan 2003

« Maintenant ? » — « Urgences » — « Une traversée ? » — »Périples, cache-cache avec le temps. » Tout ça bien sûr en guise de masque. Nous traversons la rue, et ceux qui vous regardent, je les félicite : ils ont bon goût. Un peu bruyante tout de même madame. « Nous allons rendre visite au jour. » Nous sommes enfin arrivés dans l’autre époque. Pages tournées, ambitions modifiées, énergies décuplées. La ville avait enfin de quoi nous divertir. La nuit nous dormirons si possible à la campagne. Et la journée — vacances. Urgence de trouver un pas juste, une cadence pour marcher ensemble ; je ne le dirai pas cinq cent fois : vous me suivez, ou vous disparaissez.

le récitant : ce jour, thème imposé, le jaune, le bleu et la rénovation de maisons en bois.

Old par igor le 15 Avr 2003

sauter à la ligne


J’aime l’odeur du fioul sur ton torse poilu

Old par -- Zan le 20 Mai 2003

Old par ... le 11 Mar 2005

Un petit panda rouge

Old par M. Fox le 10 Nov 2004


Old par M. Fox le 25 Jan 2005

Note sur le héros
(Intermittence etc.)

Il y a quelque chose qui s’ouvre parfois, une
amitié s’amorce, un retour d’&eacutenergie
comme des milliards de points qui convergeraient
sur cet impératif : vivre ; l’échange
doit se produire, car la chance tourne vite : la loi de l’alternance
comme dit R. Laporte est une machine qui peut n’importe
quand lui retirer ce pouvoir, alors urgence de tendre la main avant
qu’elle soit brulée, pour construire son regard dans l’amour.

(Amour de quoi ? corps, spectres, mots, pays………)

Minuit pile

Old par igor le 28 Déc 2003

pour rimer avec plaisir
il faut une longue prière

Old par M. Fox le 13 Oct 2005

D’une table de café

Retour du soleil, pensées lâches brûlées,

retour à la surface, la peau a très chaud.

(La vie inconnue se déroule, sans s’affoler.)

X-PLICIT UN-LYRICS

… qui vont droit dans le mur

lorsqu’on veut braquer vers

l’extérieur ou l’intérieur

de l’amour pas mal heureux

le récitant : soon

Old par igor le 10 Déc 2003

Un point c’est tout

.

Old par To le 30 Sep 2004

Réduis l’étude sans inquiétude,
seul ou accompagné de flatteurs.
Les uns se débarrassent de quelques
« quelle bonté est accompagnée de mal ? »
Les autres se débarrassent de
« quels hommes et quels endroits craindre ? »
On ne peut pas ne pas craindre
les endroits incultes, où il faut presque mendier, en effet !
De nombreux hommes sont brillants et florissants,
comme s’ils jouissaient de la plus grande écurie,
comme si l’amour montait sur scène.
Moi seul suis à l’ancre, comme en attente d’un signe,
comme le fils nouveau-né, pas encore enfant,
qui accumule et entasse, comme s’il n’avait pas d’endroit où retourner.
Tous les hommes ont des surplus,
moi seul suis comme un perdant.
Je suis un idiot, dont le cœur aussi est confus et chaotique !
L’homme commun brille et illumine,
moi seul suis un crépuscule sombre.
L’homme commun examine et observe,
moi seul m’ennuie et déprime,
calme comme la mer,
un vent fort qui ne s’arrête pas.
Tous les hommes ont un usage,
moi seul suis bête comme un village isolé.
Moi seul diffère entre les hommes,
mais ma mère est un précieux repas.
Laozi

Old par igor le 04 Déc 2002

le récitant : je me dégonfle…

Old par igor le 12 Avr 2004

Butter explosion ?

yeah

Exploration dans les mailles du temps,

colmatage des trous d’amnésie, retouches en

tous genres.

J’ALLAIS

LE DIRE

Mes yeux sont le sang, le déversoir de flaques

Les vers m’ont définitivement rongé comme

Un évènement majeur dressé devant l’art

on se refait pas


via Menstruel

Old par igor le 30 Août 2007

Frih Deh Bi De Hu

je…

Old par igor le 01 Sep 2004

Avertissement

Le désir d’écriture est plus fort que celui d’être lu.

oh mon amour, mon coeur est lourd
je compte les heures je compte les jours
je voudrais te dessiner dans un desert
le desert de mon coeur

oh mon amour, je passe mon tour
j’ai déserté les alentours
je te quitte, voilà c’est tout.

extrait de « desert », émilie simon.

Papy Ivan : quel que soit le but de la prière d’un homme, il demande un miracle.
chaque prière se résume en ceci : «Grand Dieu, faites que deux fois deux ne fassent pas quatre.»

Old par igor le 28 Juil 2003


Maxine et moi on vivait ensemble depuis 6 ans quand c’est arrivé
Deux fois plus de petits que ce qu’on espérait.
Catherine nous avait prévenu qu’on risquait l’invasion.
Les petits roux et les gris étaient ok.
Mais les blancs, moi ça me disait trop rien.
Tu vois le genre :
« je suis un intellectuel de droite non-spectaculaire »
Carrément ingérable, surtout pour une si petite structure.
Donc on a commencé à les éparpiller autour de nous.
Les blancs partaient bien finalement…
Les journaleux roux, on en a donné deux à Jeremiah.
On a gardé les trois petits gris pour les expériences.
Et le dernier roux, Bourdieu, a disparu un matin avec la bonne.
Maxine m’aime, je crois.
Tout à l’heure, elle m’a frappé avec la machine à écrire.
Les petits bouts blancs de ma tête sont tout partout autour de moi,
Elle savait que je voyais Catherine en secret.
Elle m’aime, je vous dis.
Oh… Bourdieu te voilà…
Tu veux manger les bouts blancs de ma tête ?
Te gêne pas
Je vais plus en avoir besoin.
Maxine.

Old par igor le 17 Oct 2002

BALADE VERTE
ON ESSAIE SOUVENT DE RETENIR LE TEMPS - ET TOUS LES ELEMENTS QUI LE COMPOSE - CAR IL NOUS EST IMPOSSIBLE D'ADMETTRE QUE CE QUI ETAIT NE SERA PLUS - ET QUE DOUCEMENT - JAMAIS BRUSQUEMENT - TOUT S'ENFUIRA DANS LE FLOU -

))) -blOwing-blOg- (((

### (…) Ö / Ô / Ò )-

Old par Gu. le 13 Juin 2003

One O’clock… we’ll be
SINGIN’ IN THE RAIN

Old par DrT le 20 Avr 2003

Old par LiLi le 04 Déc 2004

iS rEd
Old par Gu. le 03 Oct 2004

Old par Gu. le 04 Avr 2005

Contorsionnisme matinal et lavage haute-pression

Le maugréant : « une jambe dans chaque main » et la gueule dans le cul.

Le moelleux au chocolat nocturne provoque un croissant de douleur blanche et bileuse au sud du sternum – quel con – et d’énormes quantités de café sous pression sont projetées à plusieurs centaines de bar en direction de la paupière droite afin de l’ouvrir, putain de merde – se raser le crâne, nouer une cravate, tout à l’heure sans doute, pour l’heure l’onirique Contre-volonté règne sans partage et fait sourire beuêtement.

(tourguenian, tourguenian, tourguenian, tourguenian…?)

Old par ... le 05 Oct 2006

Comme sur un blog :house of happiness, dimanche matin

Sa chevelure, poudrée d’un sable violet, et réunie en forme de tour selon la mode des vierges chananéennes, la faisait paraître plus grande. Des tresses de perles attachées à ses tempes descendaient jusqu’aux coins de sa bouche, rose comme une grenade entrouverte. Il y avait sur sa poitrine un assemblage de pierres lumineuses, imitant par leur bigarrure les écailles d’une murène. Ses bras, garnis de diamants, sortaient nus de sa tunique sans manches, étoilée de fleurs rouges sur un fond tout noir. Elle portait entre les chevilles une chaînette d’or pour régler sa marche, et son grand manteau de pourpre sombre, taillé dans une étoffe inconnue, traînait derrière elle, faisant à chacun de ses pas comme une large vague qui la suivait.

Old par igor le 01 Mar 2005

***ALL IMAGES © COPYRIGHT BEN FROST 2001***

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Old par Gu. le 02 Avr 2004

Old par Rodia le 23 Avr 2003

Cette nuit, profitant se l’obscurite du courant d’air frais qui reveille la ville occupee a s’oublier sur un bord de fleuve, je monterai a la force de mes mains pour la deloger, la pousser dans le vide apres l’avoir serree dans mes bras, ma femme froide et silencieuse, enveloppee de sa robe immobile. Je lui volerai sa lance et je ne bougerai plus, du haut de ma tour rose poussiere je serai rigide comme le bronze, et le regard lointain, je serai hors de portee du monde. Alors, je fermerai les yeux, mon coeur doucement ralentira, et je pourrai enfin retrouver le sommeil.

Dans le genre « Erreur fatale », le romantisme est une sacrée connerie.

Un peu comme une balle perdue : on ne peut pas l’esquiver, on en meurt bêtement.

L’ennui, c’est qu’on ne peut pas toujours déserter les champs de bataille.

vroup, vroup …

pirouette cacahuette
ne riez pas s’il vous plait

26 juin, Saint Alban.
A la saint Alban, dépose tes vêtements.

Dialogues (Extraits)

– Je crois que l’image ne peut pas oblitérer la réalité.
– Tu as raison, c’est la réalité qui oblitère l’Image.

Didier Feldman
PUNCTUM

Old par Gu. le 09 Mai 2003

SALUT LES POETES DE MES DEUX !!!!


Encore de l’amour
On n’en donne jamais assez…
Post-envoi d’amour

LA TIGUIDIGUIDI TACTIQUE IRAKIENNE DE GUERILLA URBAINE

16h00 – Igor Tourgueniev refait sa salle de bain.

Old par Rodia le 08 Avr 2003

DES POSITIONS

Bam bam je me suis barré en bagnole à bastille

Bam bam boire une bière dans un bar à belles filles

Bam bam bourré, j’ai brillé en buvant mon houblon

Bam bam le coeur brisé j’ai pété un boulon

Bam bam Bob le barman était un beau gars bidon

Bam bam qui balançait des beignes aux gars bons

Bam bam le blond boulet m’a envoyé ballader

Bam balam bam bam à travers la vitre blindé,

Bam bam j’ai balisé et boité pour me barrer

Bam bam dans la boucherie j’allais me faire buter

Bam bam couvert de bleus, en sortant j’ai blémi

Bam balam bam bam en entendant un petit bruit

Bam bam Bob m’a tiré une balle fatale

Bam bam un bain de mon sang bouillonnant au final

Bam bam je me suis pris une bastos à bastille

Bam bam j’aurais du buller dans un bal de belleville

Old par To le 25 Sep 2004

« là ici »