Poésie blanche : t.co/FkkTQd7O – @HmijocEatene
Pandemic wicked little town, invisibility is not an option. ♫ blip.fm/~59xgq
Encore quelques minutes. Je vais sauter. Le portable le plus FIN DU MONDE. Quelques secondes. Odeurs corporelles. Très étroit. Seize. Enfin.
Toujours la vie / pleine de surprises / les créatures nocturnes aux longues dents / n’aiment manger que la salade et la neige / à en pleurer
Les mouettes ne provoquaient qu’un petit désagrément. Les tirs de mortiers étaient vraiment plus ennuyeux que le guano, les hurlements gras.
Reboot.
Et la nuit de fondre sur nous, affamée.
Les filles bronzaient sur le toit du vieux Boeing. Igor ramassait les douilles dans le cockpit. Les Minettes dormaient encore dans la soute.
Petit déjeuner dans les ruines. t.co/MSu75e6W
Mina défonce la porte ! Soudain.
A long day of outdoor activities.
#Mina est, évidemment, une rouquine acrobate. Commander sur un dirigeable demande beaucoup de sang froid et d’empathie.
Mina, à Igor, s’excusant presque, sous la neige : « Toutes les conditions de la révolutions sont réunies, la révolution est inéluctable… »
Afin de maximiser les impacts, Igor pouvait joindre le Front de Libération de la Réalité plutôt simplement : omegle.com
Et pour les livres numériques, réévaluer l’autodafé. t.co/PKCZjlZr
Tiens pour toi mon frère, le vieux boucau, un ermite que très peu de gens ont exploité.
La nuit, fonction, je porte les gants à dépecer. On mange froid. Techniquement on peut se fier à @lrntrlln et l’âme on la donne à @troudair.
Demons run when a good man goes to war. Night will fall and drown the sun when a good man goes to war. Friendship dies and true love lies.
je prédis un grand retour de « je connaissais la même avec un rabbin »
Tu as oublié de boire beaucoup d’eau fraiche. En finnois. 50 secondes avant, laisser passer la jambe.
Mina, Igor, goguenards, partageaient une petite Kro’, heureux dans leurs grands pantalons. Ça sentait la valse, le ska. t.co/PsB0G90n
Igor rencontre jbon une nouvelle fois. Deux ans ont passés, le cinéaste aventurier semble en forme, intrépide.
Je vois l’avenir et le feu et je danse sur la langue de la déesse me demandant si la bombance durera toujours. I’m not a potato gun.
Tokyo / Igor logeait dans un love hostel typé hôpital de campagne / première guerre d’indépendance andalouse. Ça déconne pas. #qui #où #hein
Je vais me coucher, les barbus sont à l’affût.
Autour de nous, les décombres de la cathédrale, les enfants aveugles de nos frères, les rats. Nulle trace de Dieu. S’embrasser, enfin.
Mud on your face.
Carver et Mina occupaient leurs journées à résoudre des tsumegos sans se soucier ni des dirigeables ni du typhon venu du sud. #apostasie
L’homme à la tête de chat va se coucher car c’est la Nuit.
Le milicien au visage d’Igor : « je vais compter trois, entrer, tuer ceux qui sont encore debout ». Je suis un androïde de chez Frauenzimmer.
Grosse agitation autour du métro Crimée. Vivres et munitions commencent à manquer. Les milices tiennent le Monoprix et le Castorama. Misère.
Mais bien sur, pas le temps de danser. C’est la guerre.
Igor, en mini short, cuir naturel, se décide enfin. En ville, on ne parle que de ça. Nos troupes, enfin, au nord, hilares, se convertissent.
E
Et en face… C’est la côte anglaise. Mina enlève son pull. Sur le ferry, l’ambiance est vraiment pourrie. On balance les corps à la flotte.
Portez un badge blanc comme signe de reconnaissance.
Saké !? t.co/ouNIeVN
Avec un sourire niais.
*tousse*
Les pages jaunes sont en latin. Je ne comprends plus du tout le latin je crois. Le chat m’aide pour la traduction. Un étang, une chanson.
Allo ? Il y a quelqu’un ? Dors je ? Hum. #hop
Depuis la forteresse ensevelie, Mina surveillait les miliciens ivres depuis deux jours déjà. L’aube, le village désert, la neige, un renard.
Le dernier mot dièse de Carver : #keur.
Se toucher et/ou se retoucher (un mac brulant).
Ça vous semble fou, mais c’est arrivé.
Obligé de noter les gazouillis puis de les lâcher par la fenêtre en espérant que ça finisse en ligne. Si vous lisez ça, ça marche. Ou pas.
Mina et Igor se jouaient aisément des manigances des impériaux. Carver content(e) comptait ses deniers dans la cale du petit chalutier. Fin.
Furet : cancérigène ?
Et on raconte que dans Ulthar, de l’autre côté de la rivière Skaï, aucun homme n’a le droit de tuer un chat.
L’indien montre du doigt la porte du bureau. Ses yeux absents me fixent. La porte est blindée. Des coups à l’intérieur. Je tremble, pleure.
Et soudain, le train.
Et nos trois amis de souhaiter, en cœur, au Docteur, un bon anniversaire.
Tadaaa !
Anthracite.
Dehors les bombes et le feu. Dedans le froid et la désolation. Et le vieux chef indien sur le canapé en velour noir me fixe, larmes de sang.
Et, sur la cheville gauche de Mina, un grand dragon aquatique. Igor se penche pour mieux l’examiner : « Année du Dragon, ça va secouer ». Oui.
« She’s a rich girl, She don’t try to hide it, Diamonds on the soles of her shoes. » Souvenirs en 9 cases.
Sommeil où es tu ?
Ma vraie vie rêvée : le dirigeable cyclopéen frappé de l’Union Jack plane au dessus du continent africain démilitarisé. Mina me sourit.
Grenouille. tourgueniev.com/2003/08/18/1125
Sans glace, ces cataclysmes apocalyptique se terminent souvent, mal. Enfin, tu vois, quoi.
Pendant ce temps là en 2006 : tourgueniev.com/2006/10/04/4677
Quand j’étais petite : « So let me get right to the point I dont pop my cork for every guy i see ».
Par la fenêtre, les hommes en noir. Le bruit des bottes.
Je peux sentir les battements de ton cœur dans ma bouche.
Oneko fixe la lune, hypnotisé.
« Un lac dans la salle de bain, huit serviettes à la nage, et des raclures de rasoir dans la cuvette. »
Ouroboros et vieilles dentelles.
J’ai comme une irrésistible envie de sortir couper du bois à la machette en mini bikini pour ensuite me rôtir un steak de mammouth laineux.
Et soudain, plus personne. t.co/SfJ7d96Z
Boum !
Et le palais en flamme, le grand incendie enfin, n’en finissait pas de s’effondrer : “qu’il viennent me chercher” avait il dit un jour à ses minions assemblés. Leurs sourires moqueurs, ce jour là, avait fait grimacer, Mina, Carver, serrer les poings, jurer, Igor. Puis la maladie.
Mina, Igor et Carver ouvrent les hostilités. On rase gratis. L’homme à la tête de chat énerve les miliciens eunuques. Explosions variées.
Lèvres bleues, mensonges.
Sept d’un coup !? Gravide un jour, gravide un moment.
La Fédération des Tourguenistes Informels vous souhaite de bonnes fêtes révolutionnaires zé molletonnées.
Goodbye, goodbye.
La nuit, je vais en faire des tonnes. Je vais balancer de petits bancs sur les militaires sous mes fenêtres. Ou de jeunes vierges folles.
Douleur à la poitrine coté gauche qui se prolonge, mal à la toux. Mina pense que la vieille blessure indienne, la balle perdue, s’agite.
Wesh gros.
Carver, Igor récupèrent les idéaux, les utopies abandonnés sous les bancs de la grande salle. Recycler, c’est capital.
Carver et Mina, déglinguées, sautillent sur le toit de l’hôpital, monoculaires en l’air. Le son des explosions se mêle à celui des basses.
La vie, sur terre, est sur le point de disparaitre. Mais nos amis, goguenards, ne perdent pas le sens de l’humour. La lumière, trop vive.
On roule dans l’herbe, nos doigts se touchent, nos joues se frôlent, nos bras s’enlacent. Impossible de détourner le regard de toi. Révolte.
Et il pleut. A verse. Et l’eau recouvre Paris. Noyant les hipsters, les chiptsters et les autres, qui ne le méritaient sans doute pas tous.
et Carver n’avaient aucun problème à verser quelques sous afin de soutenir la seule chaîne non soumise aux milices : nolife-tv.com/
La tournée se termine, Minnesota, plutôt un succès. Le groupe est dans la salle de bain. Allongé sur le lit, je compte le fric. Détonation.
Dans la remise, Carver et l’homme à la tête de chat réparent le vélo, atomique.
Où est passée ma main droite ?
J’ai envie de relire la Marque de Raspoutine.
Danger Diabolik In Roma.
Dans les tunnels, on manquait de tout. Sauf de rats et de pestilence. Nos fêtes étaient légendaires et éphémères. Mina, toujours en blanc.
Je vais te bouffer le coeur n’est pas la meilleure phrase d’introduction quand on cherche un boulot dans le baby-sitting non sataniste.
33 coups de couteaux plus tard, il continuait à espérer la venue d’une nouvelle ère de légitime défense et de curry wurst. Via @udobar
Sur Rowe Island, Mina, Carver, Igor et l’homme à la tête de chat achèvent les préparatifs. On décore les palmiers. t.co/yA2xfh75
L’homme à la tête de chat est rentré au matin. Ses grands yeux jaunes pleins de nostalgie. Une balafre nouvelle. t.co/BeU1kNFt
Entrepenu ?
Dans la Conurb, grand retour des Panthères Modernes, du Front de Libération de la Réalité. Ambiance toujours pourrie. Cannibalisme.
我要去睡覺的藍貓在叢林中。
Pour quitter le bunker : pressez le bouton rouge, énorme, puis attendez la fin des explosions, puis celle de l’hiver nucléaire, puis sortez.