be light or be the light !
Igor, Mina, ludiques.
A travers le ciel percé : mon regard oh oh, semble avoir recommencé
à observer la vacuité des mes yeux mensongers. T’ai-je fait croire que nous étions
plus qu’amis en me rapprochant du seuil ? Oh bébé ça pourrait prendre des atours
fiévreux puisque je vis aisément sous de soleils ternes.
Cela ne signifie en rien que je suis sérieux : à quoi bon vivre dans une pièce
avec vue sur l’absence puisque la perte du sens me définit si typiquement ?
Oh bébé, bébé si j’envie librement c’est que nulle rente ne m’est tenue.
Ohoh… Oui, j’ai recommencé.
C’est synonyme de toutes choses prononcées par mes lèvres : jouer à
coeur mon errance de mise Oh bébé, bébé, énigmatique construit
de mon imagination. Oh oh ! … Tu penses que je me love venu du ciel céans,
du cercle céleste qui m’emporte au séjour, qui ne me sait pas innocent.
Fenêtre du temps m’emporte au vol du vent. Vois-tu la difficulté, c’est que mon
rêve vagabonde. Même si j’ai vu des étoiles dévorées par le soleil – souhaits
d’héroïsme à en exister réellement, et faire mouche du juste coup, je pleure
voyant ce jour : ne vois-tu pas que je suis différent ? Et quand même j’attends
Mars assis à en perdre ce sens ce qui me définit si caractéristiquement bébé, oh…
Oui Oui Oui Oui Oui Oui Oui Oui Oui Oui Oui Oui.
Vois-tu, je ne crois pas qu’un futur soit la cause de cet élan éthéré
qui m’emporte moi dans l’Eden. Mais Bretonne, avant de t’en aller, il y a quelque
chose que je souhaite te donner : une fenêtre dans le temps; celle qui m’emporte de
son vol, oui celle là même. Oh quelle magnificence, mais patiente un instant,
n’est-ce pas … un spectacle de chiens de guerre enivrés par leur festin ?
Oui c’est bien cela, un monde occidental qui s’effondre en Orient.
Mais à la fin, je sais que la Douairière l’égarera dans l’Océan,
se complaisant de l’avarice qui inonde notre époque.
Et bien mon coeur, j’y ai plongé pour te la récupérer, mais là qu’ai-je fait ?
Dois-je désormais vivre de profits et de fiertés Oh oh !… J’ai encore visé droit
au coeur. Oui oui oui oui oui oui, je me suis abîmé dans cet ébat oh mon bébé
Oui oui oui oui oui oui, oh oh penses-tu que je viens de l’eau de là ?
Et pourtant, je ne me connaissais pas d’innoncence.
Ozzy Spears (1969-1999)
Danser dans la forêt, pieds nus couverts de boue glissante, sourires qui se répondent, yeux émerveillés ne clignant pas. Hiver nucléaire.
La gendarmette velue est carrément splendide, son petit lynx gigote sévère. On peut se retrouver sur le lac gelé à 6 heures propose Mina.
C’est la nuit et il pleut.
Ouch ma tête.
le récitant : Tourgueniev, c’est rien que de la Hype ?
j’en ai marre que les pubs pour les tampons et les serviettes ne s’adressent pas à moi.
comme si je devais faire autre chose pendant ce temps là.
comme si on m’excluait.
je ne veux pas être seul.
je veux être réglé.
Ce matin, j’ai vu ce qu’il y avait sous le masque : des OS et de la CHAIR à vif, des NERFS et le portrait d’un ECORCHE
VIF

MAIS QUI A TUE STAGGER LEE ?
O’d speedy o dee…
Ca s’est passé dans un bar de Louisianne ou de Poitiers,
Et je ne me rappelle plus quand j’ai vu ma chérie pour la dernière fois,
Ca s’est passé à St Louis, à Chanatooga ou peut-être bien ailleurs,
le long du Miss Issipi ou de la Meuse,
Il cherchait du diable le regard la main crispée sur la crosse de son revolver,
O’d speedy o dee…
Le doigt tremblant sur la gachette, ou peut-être bien ailleurs le long du barillet,
Et je ne me rappelle plus quand j’ai vu ma chérie pour la dernière fois,
Isiah « Wild » Tourgueniev attendait devant le saloon, patiemment que les portes s’ouvrent,
CLIC CLIC CLIC, CLIC-BOOM… fit le pétard pour un stetson
O’d speedy o dee…
Ca s’est passé dans un bar de Louisianne ou de Poitiers,
Et je ne me rappelle plus quand j’ai vu ma chérie pour la dernière fois.
La preuve par l’image
Regardez bien !
Il y a des requins dans le transat de JLB* !
* JLB vit près de Répu.
MOBILIZATION : Level Four Precinct Personnel – City Wide
Dirigeables dans le ciel, typiques signes utopiques. Pleine lune, il fait bien trop chaud pour Carver, plainte. tinyurl.com/dzyro2
L’été, Carver partait chasser les dernières baleines bleues qui, cancéreuses, se précipitaient, chantantes, sur son harpon. #euthanasie
Et dans les rues, dans la fumée, les tigres rugissants. Les hurlements, les sirènes, nos chants et puis la lutte. Mes larmes et ton sourire.
Il neige à Kaboul.
écran catholique, un homme brandit un serpent et boit son venin en prenant la tète du crotale dans la bouche… dieu a dit d’écraser les serpents de la terre… je suis impressionné et à la fois un peu terrifié… la foi déplace les montagnes… je me demande si j’aurai un tel courage… oui… peut-être… mais j’aurai peur et le serpent le sentirait sûrement… c’est pas bête un serpent… enfin c’est ce qu’on dit… c’est pas mathématicien, mais quand même… faudrait que la télé leur fasse passer un test de QI comme aux chauves et aux blondes… je crois que finalement si on me fout un serpent dans la bouche… je croque…

les temps changent, avant on faisait plus dans le diamant…
La preuve par l’italien, l’heure pile : la nuit solide et mes souvenirs si fluides me donnent les moyens de « suis un personnage de friction »
Sur le kiki.
Déterminer la position du nord magnétique. Mettre trois pointes en acier dans une bourse en cuir de bouc. Lancer la bourse vers le nord. Nu.

je suis mort de peur car
depuis ce matin je pense
que mon voisin n’est pas
un être humain mais en
fait une forme de vie
non identifiée qui tente
de siphoner ma psyché
sans me demander mon
avis. hum.
Presque plus rien à manger, de l’eau à volonté, neuf cent gélules d’extasy. Nos trois compères ne s’imaginaient pas survivre bien longtemps.
At the Copa, Copa BenvenisteThe hottest spot north of Havana (hise) At the Copa, Copa Benveniste Music and passion were always the fashion.
Marcher en se tenant sous le bras, il y a beaucoup de vent et sans lui je m’envolerais. Les bribes de paysages se mêlent, il y a sur ma gauche les quais d’un fleuve embrumés, à ma droite des herbes sur une plage engouffrées par le vent. Il y a devant moi un bâtiment gris luisant sous la pluie. Il y a derrière moi un chemin de terre qui m’emmène dans des champs plats. Il me tient sous le bras je ne suis pas blessée et pourtant je vois défiler ma vie, l’aisselle de son manteau est chaude et j’y pose ma tête. Fermons les yeux et ce sera un autre, le prochain, le dernier. Les fuites ne me vexent pas.
and the wind turns the skin to lovers
En plein cœur de l’ivresse, au milieu du chaos.
The crime of the century / Who shot little Bambi / Never trust a hippie / ‘Cause I love punky Bambi / I’ll kill to find the killer. #mj #sex
Sacrifions le poulet.
La Java foule queer Igor ouvre la voie vers une dynamique intime magnanime, enfin bon rien de trop non plus. #sensei #gourou #hum #etc.
Dans le lointain, les villas en flamme. Sur la terrasse de l’hôtel, Mina, Igor, se resservent en pastis et allument la piscine de pétrole.
Que faire du bonheur? Certains disent que ça ne se raconte pas, d’autres, comme Piaf, écrivent des chansons dont, si on est un suédois qui ne parle pas français par exemple, on croit qu’elles parlent de cataclysmes qui tuent irrévocablement l’être aimé… (Heureuse, heureuse….)
Moi j’erre dans l’espace où je me trouve en souriant béatement, et en racontant à qui veut l’entendre mon expérience récente du bonheur. Ou alors, je me mets dans un coin privé et je crie:
YIIIIIIIIIHAAAAAA! YOUPIIIIIIIIIII!!!!!!!!!!! OUAIAIAIAIAIS!!!!!!!!!!!!!!!! ENFIN!!!!!!!!!!!! INCROYAAAAAAAAAABLE……………………………
Je prends en secret un enfant dans mes bras et j’embrasse ses lobes d’oreille qui ressemblent à des coquillages roses
Je cours vers la cheminée et je bois un thé fumant, en regardant de mes yeux troubles en émoi, ceux que, oui, j’aime
Je prends une douche chaude et je laisse couler l’eau chaude très fort sur mes épaules en fermant les yeux, en serrant les cils
Je souris aux anges même s’ils n’existent pas, je souris à la croyance des autres
Aujourd’hui la mienne s’affermit, le bonheur c’est nous, ça peut être les autres, je ne sais pas bien en fait
(pour moi c’est avant tout le vent, les yeux dans le ciel, la mer)
en tous les cas c’est terrien, et on peut le vivre maintenant
si tu y touches, n’oublie pas d’être gentille, oui car il aime bien.
Association de défense des oiseaux de compagnie
ADDOC
Président : M. Georges BOUDON
Courriers : 42 allée Albert Girard
93300 Aubervilliers
Tél. : 01 48 34 46 11
Fax : 08 71 73 17 86
boudon.georges@free.fr
Apprendre à reconnaître les oiseaux, les nourrir, les élever.
Participer à des concours.
Protéger toutes les espèces d’oiseaux de compagnie ou sauvages dans la nature.
Casimodo a trouvé une seconde famille (…)
A tous un grand merci d’avoir adopté son image sur le réseau (…)
présages d’hier :
-« transgression » ou « transgression = pauvreté »
associé à « tout arrive toujours deux fois »
-« violence » ou « la dispute »
le récitant : Oneko, en japonais, ça veut dire chatte, et sexe féminin en argot, aussi. tout s’explique…
Mina à Carver : je vais te balancer par la fenêtre, tes minables os creux de petit oiseau feront flutes et petit bois en contrebas velu. #ns
Le train, noir, des anarchistes traverse la Sibérie emportant les utopistes, debout.
Mina, Igor, poser des bombes au petit matin. Dans les rues, les milices, ivres. Carver confectionne munitions et alcools. Et, on danse, nus.
Fête païenne.
1er mars 2007 : début de « l’année polaire internationale », sur le thème du changement climatique. Des missions scientifiques se dérouleront dans les cercles polaires. Plusieurs phénomènes alarmants sont recensés : rétrécissement de la calotte de glace de l’Arctique ; élévation du niveau des mers qui s’accélère ; recul des glaciers à travers le monde ; dégel du permafrost ; débâcle plus précoce des cours d’eau et des lacs ; modification de la répartition et du comportement des animaux et des plantes.
Par la fenêtre de la cuisine, sur le parking, sous la lune, le Grand Dieu Pan. Nos regards se croisent. J’en pleure, joie, puis, la nausée.
Sans doute pire que le foot. Sans doute. Igor balance l’écran par le sas. Dehors, la ligue des rouquins ricane.
#Mina portait un uniforme anglais de la RAF en velour sauge. Dirigeables à structure rigide.
Igor a 6 ans. Sur le chemin de l’école, il pleut. Il coince sa botte dans un trou, de la boue. Il doit arriver à l’école pied nu, gelé.
De la glace dans un cœur de verre…
Contractions tourgueniennes

Noter que le péricarde a été ouvert pour mieux voir le coeur.
Le cœur du tourguenien est formé d’une oreillette et d’un ventricule.
Il est doué d’automatisme et des potentiels de pace-maker précédant
les potentiels d’action peuvent y être enregistrés dans certaines fibres
avec une microélectrode intracellulaire. Il bat avec une fréquence de 20
à 30 contractions par minute et développe une pression systolique de 1,4 mm
de mercure. L’application d’acétylcholine ralentit la fréquence cardiaque et
peut même arrêter le cœur.
Le mailnigmatique de ma journée
> « Fifth » is a European musical term. It is not appropriate for gamelan music.
Sorry; I didn’t mean to patronize you.
Un inconnu hongrois @Matavnet.hu
J’ai la voix de Marlon Brando, en plus grave.
Mais merci ! bit.ly/aKEhoJ
… Comme de petits paquebots.
– Pourquoi sembles-tu si maussade, grand-mère ?
– Un mois que tu te consacres à ce rituel, c’est sérieux au moins ?
– Très
– On ne peut pas le rencontrer avant, ce garçon, pour se faire une idée ?
– Non, c’est celui que je choisis, personne ne pourra me détourner de lui
– Mais tu es si jeune et le monde si vaste, je crois que tu ne mesures pas les conséquences du sortilège d’amour, ma chérie
– Au contraire, je serai fière d’etre enchainée à cet homme pour toujours, nul n’en est plus digne que lui
– (haussement d’épaule) J’espere que l’avenir te donnera raison, ne viens pas pleurer auprès de moi lorsque tu ne l’aimeras plus, celui-là
Pogo, tout seul.
SCOOP : La planète Terre vient d’être envahie par une armée de fourmis compulsivement mythomanes.
La NASA, l’Office des Amis des Insectes & la Chambre des Lords de Papouasie invitent les populations à cacher leurs pots de confiture.
Ce sont des Métazoaires Triploblastiques Coelomates Protostomiens Hyponeuriens à symétrie radicalement bilatérale.
V Tavern Zabugrom, sur les coups de dix heures. J’ai entendu le coup partir,
mais j’ai pas eu le temps de rentrer la tête dans les épaules : le rostre coince.
ça fait un bruit étrange, cloc-cloc. Mais de toutes façons la balle a rebondi,
j’ai pas rêvé. Au passage j’ai découvert la fonction de certaines extensions
chitineuses, d’une résistance extrême apparemment. L’intrus eût-il réarmé et
visé qu’il endurait une frappe non-conventionnelle compacte.
La sinusoïde devient vertigineuse, l’amplitude la fait sortir du cadre. En tous
cas la cuticule est plus forte, et le reflet intéressant, constat agréable
qui laisse craindre un revers particulièrement épineux.
(Et sincèrement, j’aimerais bien ne serait-ce que l’esquisse d’une confirmation.)

« crash. reboot. crash. » A un néocortex cuirassé s’ajoute des déconnexions
intempestives, une première dans le genre. Kernellpanic derrière une barrière
complètement verrouillée. Mais il va quand même falloir y arriver.
Sternite abritant une neuromère reptilienne et un processeur cardiaque réamorcé,
un peu en surrégime hier soir, soit un arthropode transi auquel les protocoles font défaut.
Agorafocus:
1970: haaa, les bonnes vieilles seances de niquage collectif au coin du feu…
… 
de nos jours, rien de tel que le chaleur d’un bon feu de bois de meubles en chene massif…
50 minutes avant sa mort, on aperçut Igor en train de trafiquer les munitions du peloton d’exécution. Quelques années plus tard, la Sicile.
umbrella was behind everything
Mercredi : -1- chercher des provisions. Le rouge ne va pas à Paula.
Jeudi : jack a défoncé la porte de service, il a dû s’y prendre depuis un bon bout de temps. Remplacer les planches du coming out.
Vendredi: -5- Ai commencé le grand nettoyage de printemps par l’aile B, Mme Witkowski n’en a toujours pas fini avec son mari.
Samedi : Vérifier le terrain de basket et peut-être demain, crier des noms de la NBA en sautant partout, qui sait ?
Dimanche : -3- Barricader les entrées principales du terrain. Une voiture de flic garée à dix mètres. Vérifier la radio.
Lundi : Aucun Tango Charlie à l’appareil. Du Wagner, ça venait du magasin, je ne vois aucune lumière.
Mardi : Un message à côté du poste « je reviendrai dans quelques jours », je réponds « ok, l’appartement 16, passe par devant, attention aux Mc Intire, leur fils james a très faim et n’oublie pas le vin » je change pour du pink floyd.
Mercredi : De moins en moins d’hurlements. Tiens, James a retrouvé son chien.
Jeudi : Coma philanthropique. Laisser prendre l’instinct, laisser mourir…
Vendredi : -2- Ai sécurisé la ruelle vers le magasin.
Samedi : Taguer « copinage 24h/24 » sur la façade de l’immeuble.
Dimanche : Deuxième meute de chiens, finalement jack a servi à quelquechose.
Lundi : Toujours pas de cinémathique flippante pour boss de fin de niveau, pas faute d’avoir dégommé le quota plus que nécessaire.
Je suis persuadé d’être polyglotte, comme Gwyneth.
Friday – Let’s dance !

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Son électro-acid-house-hip-hop, ambiance assurée par la tribu tourgueniste et pleins d’autres crevards bioniques, consos pas chères + surprise éthylique sponsorisée par Havana Club… Le Zoco Bar, 223 rue Saint-Maur, 10ème, Paris, France – Métro Colonel Fabien ou Belleville. Si vous voulez me voir enfin nue…
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![]() Jeudi matin, Oscar Berthelot se demande, gratte, retire, enfile, se dirige, se traîne, se déplace, discute, argumente, est, n’en reste pas moins, se permet, se traîne, s’arrête, regarde, débarrasse, pose, éteint, tente et rêve.
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Martine Aubry : Sur la vitre qui ruisselle, la terre me parait si belle, je donne cet orage au désert, les neiges éternelles sur le Caire.
« les fantômes ivres avaient tendance à se minoucher«
I.Tourgueniev, in Sociologie de l’ivresse, 1922
Godiche que moi.
Le tigre, allongé sur le sol, léchait ses grosses pattes du bout de sa longue langue rose.
« Parti de chez lui habillé d’un pantalon de survêtement bleu turquoise, d’un sweat blanc et d’une casquette bleu marine, chaussé de baskets noires et blanches, XXXXX, 1,68 m, cheveux châtains foncés coupés court, n’a depuis plus donné signe de vie à ses parents. Toute personne susceptible d’apporter des éléments d’information aux enquêteurs est invitée à contacter la gendarmerie de XXXXXXXX au XX.XX.XX.XX.XX »
petit balade nocturne: je ne suis pas un pendu mais ma balade est pendulaire. Je rêve d’un pas à l’autre et sens mon équilibre basculer d’un pied sur l’autre. J’aime sentir mon coeur si fort qu’on le voit battre sur mon cou. Je respire l’air un peu frais, je sillonne le trottoir, je croise: un couple amoureux, des voyageurs, un groupe d’hommes hilares, les lumières de pigalle. Le soir est là, je suis toujours vivante, il y a quelque chose de doux dans cette nouvelle rencontre de moi et moi. J’attends un prochain chapitre. Je marche au rythme qui m’est imposé par le soir tranquille sans étoiles parisien.





















