Il aura ici – ou ailleurs – plusieurs naissances, accessoires et illusoires autour de son grand vide, puisque telle est mon idée. Il ne se reconnaîtra pas, il se sentira étranger à lui-même. Ce mot, étranger, mériterait une étude, à mi-chemin entre une convention littéraire et son sens plus profond, mais je n’entreprends pas, je ne décide rien. A l’absence de faire son travail après tout. Journal de l’absence. Journal d’une absence. Journal absent. Ou peut-être rien.
A l’absence de me faire râter ma soupe aux lentilles roses. A elle de me faire apprécier le soleil sur les berges de la Garonne. A elle de me faire sourire de jouer ainsi les Pénélope…