Mina aime les vieux boucau.
Dormir. Sommeil. Non.
Et la jolie laborantine de s’élancer dans le vide espérant ainsi accomplir un voyage dans le temps salvateur. Et ça marche.
Carver, en pleine phase j’aime la nature, je dors avec mon totem, etc, se demandait bien pourquoi il devrait faire bénir son vélo avant noël. Simple bon sens.
Si c’est trop cher dis moi et je sors.
Danger – cybernétique ! t.co/4wd04Am4
Igor fait le malin.
Mode d’emploi : En cas d’obstruction de la pompe, Rincez abondamment à l’eau chaude.
La fille, avec les fleurs.
Les Reines ne font jamais de marché.
Mina à Igor : « un diamant est éternel ». Igor : « l’inspecteur Derrick est super doux ». Carver : « je veux du canard ». Bavardage. Chevals.
Alors le président a dit que l’on était en guerre, et on a regardé les missiles qui se croisaient dans le ciel grisâtre. Puis vinrent les lumières qui fondent les yeux des enfants et puis la pluie noire, le bunker puant et les pillards idiots. Et arrivèrent les rats. Et la peste.
Mina et Igor bloquent la porte de l’abri avec une chaise tordue. Dehors, Carver change de disque, se tourne vers la lumière et sourit. Ivre.
I killed a party again.
Et nous connaîtrons d’autres moments. D’autres moments plus grands. Mais aussi, sans doute, quelques autres, vraiment, petits.
Donnons du merci en ce jeudi déjà nocturne.
Égarement. t.co/LqeYd2r9
Carver, écroulé sur le cadre. Carver pédalant à fond, rattrape son retard. Dans son sang, mille dopants. Derrière, les premières explosions.
Pour un nouveau massacre.
L’homme à la tête de chat va se coucher car c’est la Nuit.
17h17, mardi, Igor décide de laver son corps. Il entre nu dans la douche et se frotte. Un savon parfum bois de santal. Dehors il neige.
Enfin je dis ça je dis rien.
Dans les rues désertées les miliciens chassent les élans pour leur viande et leur peau. Mina, Carver et Igor, nues et confinées dans le bunker, préparent tracts et cocktails, mojito et Molotov. Dehors pluie noire et soleil froid. Arc en ciel grisâtre. C’est la fin des temps. Ouf.
Quelques minutes avant de débuter ce nouveau projet, je me posais foule de questions métaphysiques. Dans la salle de classe : grand silence.
La Police de la Pensée, la Police Temporelle, logeaient sous la Piscine Rouvet. Mina envisage une action de sabotage, il y a trois semaines.
Une orgie c’est déroutant.
Igor, au volant de sa Dodge Veg-O-Matic neuve, ne se souciait vraiment pas du code de la route. A l’arrière, Poison, Cordelette, ivres, nus.
Une porte.
Please do not reply to this message; it was sent from an unmonitored email address. This message is a service email. #hell
Les forces anarcho-siciliennes pilonnent la capitale occitane depuis quatre jours. Mina, Igor savourent leur hibiscus bien frais. Surprise !
10-66 Unusual Incident (train derailment/collision, plane crash, building collapse)
Name dropping sans doute. Mais c’est authentique (Cette saveur aromatique etc… ).
Et Apple invente : the HumancentiPad – laptopreviewshop.com/wp-content/uploads/2011/04/1501_humancentipad_1024x768.jpg
Je suis le chasseur. Je vais aller chasser. C’est la nuit. Ma nuit. La nuit du chasseur. La nuit qui mène d’hier à demain. En route.
7h11
A l’aide.
Non encore exempt, même régnant sur eux comme sur des esclaves, du hasard, de la mort et de la mutabilité.
Hey ! Vous dormez ? Moi oui.
No v rukah zavoda Alis, my umiraem ! #dnd
Quelques minutes avant la fin, l’ambiance est plutôt détendue, blagueuse et amicale. S’effleurer le bout des doigts. Dehors, les incendies.
Je vais ouvrir un portail, ça ne prendra que 5 secondes. Je compte. un…
Bon ok, je pleure dans le train.
La foudre frappe dans le jardin. Les plombs sautent. Punition de nos vilaines pensées. Et le chat reste cool. Fourmillement sur le clavier.
Grishka : Pour ce que tu m’as fait. Je vais te tuer, Igor…
J vs tien o courènt dè ke j finie merci.
Igor se fait asperger par Mina. Humidité et syndrome pour tous.
Le baron Saturne retrouvant sa BMW défoncée : « J’aurais pourtant juré entendre crier les pneus d’un éditeur diabolique, lâchons les chiots »
… Comme de petits paquebots.
Igor, Carver, en slips, trop petits, attendent la fin du monde. Dans l’ascenseur, Mina, de faction, commence ses mémoires. En chinois.
Et Spirou de dire à #Spip : les espions sont dans nos murs, je peux entendre leurs pensées. #bédé
Et, pour un rien, les larmes aux yeux, souriant, pourtant.
Pas de réponse de votre part. Obligé de prendre le bus. On n’annule pas les trains sans raison deux jours avant un voyage. Avec des mails contradictoires qui confirment le voyage et l’annulent dans la même minute. Pas merci. Dans l’attente du remboursement et de la compensation.
Devant, derrière.
Aujourd’hui : 85 !
Tous les vendredis, Igor organisait des karaokés survoltés dans son living. Il ne laissait jamais personne chanter sur Indo. #ragots #luxe
Le marabout avait certifié le retour de l’être aimé dans les dix ans sinon, remboursement. Avec l’inflation et les guerres, Igor en doutait.
Igor se réveille, il a rêvé de Mammon, de la fin des temps.
Rave dans les souterrains, les adolescents, les vieillards, se pressent dans le noir. Les mains se touchent, les lèvres s’effleurent. Ciel !
50 minutes avant sa mort, on aperçut Igor en train de trafiquer les munitions du peloton d’exécution. Quelques années plus tard, la Sicile.
Carver, Mina, commencent à organiser l’évacuation de la tentaculaire mégalopole. On recrute les chauffeurs de taxi, les mimes et les hamacs.
Igor, Mina, Carver : la rencontre. Nous étions clients du même marchand de glaces à l’eau. John Citron, sur la 5e avenue. Août 1937, Saigon.
Place de la République, nos amis avisent un petit homme naïf qui s’époumone, fier, on est mercredi, dans quelques jours, l’hiver nucléaire.
Mina, Igor, poser des bombes au petit matin. Dans les rues, les milices, ivres. Carver confectionne munitions et alcools. Et, on danse, nus.
La nuit.
Et la Samain, encore. Résidus. t.co/UmhuTnCw
Bonjour, j’ai 37 ans et j’ai encore et toujours la larmounette quand passent, dans le ciel, les dirigeables de la milice chinoise. #uchronie
S’il vous plaît, Patron, vous permettez que je m’abrite avec le couvercle ? Il y a un de ces courants d’air !
Explosions variées. C’est l’emballement. Igor numérote ses abattis. Mina pousse ses forces à la limite. Carver bouquine, à poil. Affections.
Il fait incroyablement beau ce matin de printemps. Alors on ouvre la lourde porte du bunker. Dora, alors, nous laisse là, seuls, sans son sourire et sa lumière. Alors on pleure, on se tient la main, puis on retourne dans le bunker où il fait un peu plus noir, un peu plus froid.
Et un simple piquet de bois, marqué de l’infamant Y, indiquait, sans gloire, la sépulture du dernier des mâles humain. t.co/OtsTCqzA
Marc Levy : Il y a des tempêtes, il y a des situations extrêmement vertigineuses, il y a bien sûr une histoire d’amour, il y a tout ça.
Se replier vers les catacombes.
Igor raconte : « mon post précédent vient de là : yes.thatcan.be/my/next/tweet/ . Pas tous les autres, mauvaises langues ! «
Finir l’hiver. Pitié.
Well it’s been a long time, long time now since I’ve seen you smile.
À l’ouverture de l’antique abri, un furet, ironique, s’échappe en faisant « pop ». Mina y voit un signe de fraîcheur. Igor sanglote, ivre, nu.
Et derrière la porte, un mur.
Igor, après une nuit de marche nocturne, pluvieuse, de l’affection en studette, se fera dérober son téléphone dans un photomaton. Classique.
Barbelith.
Carver installe la table pliante. Mina apporte les chaises. Igor fournit la provende et le latex. Petit déjeuner dans les ruines de Londres.
Les serbes nous livraient du grain et du bois, en fin de semaine. Les miliciens parlaient de marché noir. Logique. #vérité
#Max avait refilé des pilules de rien aux badges blancs facétieux. #blank
R.I.P. : Paul Gillon – bit.ly/iOgoba
Marchons.
Je me téléporte a l’arbre à lettres de Ledru vois pile Jou puis manipule du regard et par l’agitation intensive de mes mains l’ensemble. #bi
Igor démonte l’ensemble des appareils servant à se connecter au cyberspace depuis son domicile, se débrancher, souffler, course à la mort.
Carver dit : « c’est une radio de quelqu’un qui a gobé une bute… » t.co/OATyMxX61g
Le coton c’est doux. Naturel. Et biodégradable. Et un peu rugueux aussi. Juste comme il faut. Le chat valide de la tête.
Igor à Mina : « Ce que j’aime dans le kung fu, c’est le Han Yan ». « fatigue maxillaire » aussi traduit par « satisfaction de la mâchoire.
Carver, en homme, aimait la pêche à la ligne. En femme, le dessin. À présent, la danse, le vélo et ses nouveaux seins. t.co/fARMrFkZ
« Année Google » : proposez une définition.
Samedi : Mon papa est un ogre et je m’appelle Jeannot… t.co/Md4YQwk
twitpic.com/9ov2s – Le tourguenisme avance. Igor et Carver, en campagne et marcel. #letourguenismeavance
Un chef indien avec une coiffe de barbelés me tend son cœur à deux mains. #e3
Émerger doucement du grand lac Pastis, les nageoires engourdies et le chat comme, amorphe et souriant, posé sur la tête. Avec le sourire.
Devant la maison, on trouvait, le matin, de petits bouts de créatures si belles que nos cœurs se brisaient. Mais le soir on faisait du feu.
Du rosé sur les ongles, la vodka, toute nue, vomir. Les allemands ont débarqué. Il pleut. Edredon. La croix rouge. Merci @kclech #cdm #ns
Partez pour l’Ouest, jeune fille, partez pour l’Ouest.
Il ne reste plus que moi et le blizzard dans la station, ils sont tous morts, comme les chiens, mais. Ça gratte dehors. Urbi et Orbi. Tic…
C’est carrément pas autorisé l’intrusion onirique sans permis. Surtout à répétition. Oui c’est à TOI que je parle. Passagère clandestine.