Que mille fleurs s’épanouissent ! Que mille tribus se multiplient ! Qu’un million de versions de la réalité rivalisent !
L’homme à la tête de chat. Les yeux dans le vague. Sous le charme. bit.ly/dtVbfb – mysp.ac/cGsBaK
Et Igor de s’apercevoir, subitement, de.
Et le sourire de Rose, au Docteur.
Mais la souris porte un gros pois dans la bouche. Impossible de parler; elle se contente de hocher la tête. Pierre se met à pleurer.
Espoir fou des révolutionnaires, le dirigeable blindé canonne l’antique cité. Les hommes sans âme s’égorgent dans les décombres hantés. Oui.
Igor a 6 ans. Sur le chemin de l’école, il pleut. Il coince sa botte dans un trou, de la boue. Il doit arriver à l’école pied nu, gelé.
Bon @fbon il faut dormir !
Dehors, les anciens dieux foulent la terre. Par la fenêtre, les hurlements des premiers sacrifiés. Et, Carver, Mina, ivres, nus, attendent.
Dieu est un nain maléfique ?
Dans la cave, ombragée, de l’appartement 42 on écoute Pop Satori religieusement. Dernières minutes avant la fin de tous les chants. Éclairs.
J’aime celui qui aime sa vertu : car la vertu est une volonté de déclin, et une flèche de désir. #ns
Jamais dormir jamais…
Et je marche dans les rues qui de donnent (et la pluie et la nuit).
Donc, en se serrant le ventre, la classe ouvrière a développé outre mesure le ventre de la bourgeoisie condamnée à la surconsommation. #ios4
Et l’homme à la tête de chat, nu, énumère mentalement les possibles arrangements de son intérieur anthropo-félin. t.co/fPHD1KhB
Igor se demandait (encore) si utiliser #google #wave pour faire du jeu de rôle #papier serait paradoxal. Ou alors ça : bit.ly/18aEu0
Et, là, malgré les explosions, les fumées et la poussière, tu arrives.
Les sensations courantes sont accompagnées par d’autres sensations provenant du monde des esprits.
U
Chloe et Lydie nous renversent en la chapelle. C’est la littérature. #labaule
Sous le camion, garé devant la gare en ruine, je fixe le mécanisme explosif, le détonateur à distance, les tracts. Mes mains tremblent trop.
I ℒℴѵℯ to ℒℴѵℯ (air connu).
Igor, à Mina et Carver, au télégraphe, velu : « embrassez-vous de ma part – stop. »
Et nus, bien sûr, la nuit, forcément. Et la transe, côtoyer les petits dieux, ceux planqués, souriants, derrière les brumes. Et bredouiller.
Debout sur la frontière, Igor, hésite une dernière fois, se retourne pour ses larmes cacher, puis, souriant, fait un pas en avant, extase.
Suis moi chez le vieux. Tout le reste est mensonge. L’homme à la tête de chat, décapité, hoche la tête trois fois, roule sur le sol nu, net.
Well it’s been a long time, long time now since I’ve seen you smile.
Parfois on va à la campagne et personne ne meurt. Parrrfois.
Deux petites douches alternées ? #dpda
J’aime les choses coupées en bouts. #scie #jambe
Mention spéciale au type qui vend des armes antichars en berlingot sur le Boulevard des Capucines.
Les nouvelles n’étaient pas vraiment bonnes pour Igor. www.tourgueniev.com/images/saga_tourgueniev_2.jpg
Carver est une personne changeante. #ちなみにEカップです
Mina passe les nuits avec sa tendre amie, skateuse, insulaire. Elles causent philosophie, féminisme, révolution et post colonialisme. Nues.
Mina regarde le feu. Elle pense à une chanson folklorique du vieux millénaire. Burn the disco. Hang the Dj. Ses mains se posent sur les grenades customisées, rouge, noire et paillettes, évidemment. Les nazis sortent en hurlant, nus. Igor rigole. Mina plisse les yeux. Explosions.
S’égarer dans une forêt, la nuit. Vraiment se perdre. Allumer une balise GPS. La fixer au dos d’un tigre non castré. S’éloigner super vite.
Traboule moi toute.
Et soudain tout s’arrête. Les habitants sortent de l’abri en rang par deux arborant leurs plus chatoyantes couleurs, se dirigent vers les arènes irradiées, oubliant soudainement l’humiliation. Les ruines sont pleines de mutants. On sert le vin. La neige est noire, le roi est nu.
« Le cyberespace. Une hallucination consensuelle vécue quotidiennement en toute légalité par des dizaines de millions d’opérateurs… » W. G.
Mina : « Fermez bien les yeux, ça brûle. »
Sur la crosse du fusil de Mina, 87 encoches. Carver n’a pas de fusil. Son arme : son charme. Igor, déjà saoul, confectionne des moscow mule.
Et tu viens avec moi, faire l’avion. t.co/m0vq87wz
Après son exécution, sa tête fut préservée dans un bocal par des scientifiques afin d’examiner la structure de son cerveau. #xfactor
L’homme à la tête de chat est monochrome. Le orange, le rouge, le bleu, le vert et les autres teintes sont le Noir. Le blanc est le Blanc.
Une fête réussie, ce sont des trucs qui explosent.
Igor sentait son cœur à nouveau prêt à être volé, brisé et piétiné. A vos marques mesdames (et autres) ! t.co/bsTS4m06
Hommage. t.co/QorhoUhX
Sommeil, frontière de l’infini
vers lequel voyage notre vaisseau spatial : l’insomnie.
Les choses changent.
Moitié homme, moitié robot.
Igor pleurait depuis déjà 14 minutes. Mina astiquait son P38. Carver faisait une tartiflette de première classe. « poor kate, alone in Roma ».
Invariablement. La nuit.
Dehors on achève le sacrifice rituel des premiers fils. Ordre du Pingouin. La bande son est de Prince. Il pleut. t.co/mflGAuHN
Etc.
Sortez de vos conapts, accrochez la photo du gourou barbu sur le mur du dojo, commencez-continuez à pratiquer la self defense intellectuelle
Le charcutier traiteur prépare et vend de la viande de porc ainsi que des produits à base de volaille, de gibier, de poisson. #xfactor
Mina entre et annonce : « le petit chat est mort. » Les yeux s’embuent, on parle avec passion, les souvenirs et les sourires affluent. Le vin recouvre tout. Dehors, toujours la pluie, toujours noire.
Au bord de la piste de danse, j’hésite fébrilement. Un slow, je m’avance vers elle, et bredouille une demande inaudible : sourire, et rejet.
Mina, particulièrement lucide, entrepose les explosifs sous les bases pourries du capitalisme patriarcal blanc. Et son cœur : le détonateur.
Samain. Je recolle mon nez à la super glue. t.co/vfx47ECV
Les serbes portent de longues blouses brunes tachées d’encre de chine. Je ramasse les douilles à l’étage. Je démonte le fusil. #☠☠☠
On tombe là dessus et tout est dévasté. Rock’n roll / Love / Drugs / Sex & Nostalgia. bit.ly/9WX9i8
Je peux sentir la morsure. Nous aimons les oiseaux. t.co/TUs1CMH
Le soleil vert, c’est de la chair humaine ! #xfactor
Pour passer le temps, les tireurs observaient les manigances des soldats arméniens dans la ville basse. Trafic d’organes et poésie lyrique.
Les Reines ne font jamais de marché.
Le chat a mangé les clefs du garage à bateaux. La fin des temps. Apocalypse.
Et Carver, se soustraire à la foule. Soudain.
Si vous me dites à quelle langue appartient le mot «turlututu», je vous dirai comment il se dit en Allemand !
On rigole on rigole.
La nuit.
Nicolaï utilisait en général un calibre 45 pour répondre aux solicitations des supporters serbes. #Vérité ou jeux ? bit.ly/bHQxq
Alors, le Tigre, le costume, la malle, les pucelles, le belvédère des jardins suspendus de l’Académie et cette lumière toute particulière.
Une orgie c’est déroutant.
Il neige.
Toujours la vie / pleine de surprises / les créatures nocturnes aux longues dents / n’aiment manger que la salade et la neige / à en pleurer
Et la nuit de nous engloutir.
Mina portait le badge blanc à la ceinture. Carver au travers de son téton gauche. Igor, sur le revers de son trench, harrington, classique.
Préparer ou disposer sur une machine, l’ourdissoir, les fils de la chaîne d’une étoffe, d’une toile, etc.,
Quelques secondes après la Fin, dans le désert vitrifié, seul se tient le narrateur. Pour une fois, les mots lui manquent…
Réunion secrète au mini golf. Carver lance un assaut sur le trou numéro douze et plante le mini van bourré d’explosifs bio dans le bunker.
Je me demande si les étrangetés spatiales du TARDIS s’appliquent aussi aux FESSES.
Un rideau de mystères, de dissimulation entourait les origines du sulfureux patron du Bunker : L’homme à la tête de chat. Gare aux souris !
L’Empire n’a jamais pris fin.
Mina à la basse, Carver à la batterie, l’homme à la tête de chat à la guitare et Igor, ivre dans un coin, au chant, le public, est, en, feu.
Pogo c’est lui : img695.imageshack.us/img695/8131/statepossumphoto.gif
Tadaaa !
Avec Carver c’est souvent : des gars, des os.
El Georges commins à straner com enn’ canaille.
Journée type lésions internes : #MegaPiranha #Halloween #Roi_Heenok #Hipster_Hitler #Slovénie
Et dans la corne de l’Afrique. Les ventres gonflés. Par la faim.
Igor, au volant de sa Dodge Veg-O-Matic neuve, ne se souciait vraiment pas du code de la route. A l’arrière, Poison, Cordelette, ivres, nus.
Godiche que moi.
L’Académie / le tigre / la malle / les jardins / le Général / la photo / le costume d’explorateur / 3 pucelles / la doublure / le belvédère.
Le grand dieu pan par delà le mur du sommeil, un remède contre le cancer. Entropy tango.
Vendredi a Miami il fait plus chaud que partout ailleurs. Les cœurs s’envolent à Miami. Tu as tes amis à Miami. Welcome to Miami.
Et la nuit et toutes les nuits, laisser la transe pulser, nos corps luisants, émaciés, s’entrechoquant. Caves humides et sourires doux.
Carver : « Igor, tu ressembles à Paul Kalkbrenner ».
Et Mina, c’est une rouquine, évidemment. Une sorcière, pilote de dirigeables, et bien plus encore. Et nos espoirs, dansants, vacillants.