Et l’aube de saluer les survivants, hilares, d’une nuit de bombance, de doux sourires, de complices révolutions, nus.
Hipsters everywhere.
Je peux sentir les battements de ton cœur dans ma bouche.
Souviens-toi que tu vas mourir.
Rencontrant Mina, le simple d’esprit sourd muet avait écrit sur son ardoise : « je mapel silence é je sui genti ». Coup de cœur immédiat.
Bizarre, même si nous n’avons pas parlé de la viande de la question, nous n’avons pas parlé du contenu lui-même. Ouais, ouais. #☭☭☭
Carnivores, les plantes.
« …with dreams, with drugs, with waking nightmares, alcohol and cock and endless balls,… » Ginsber – Howl
Igor à Mina, les larmes aux yeux : « ça ne sera pas moi ». www.deezer.com/listen-2849984
Sur la crosse du fusil de Mina, 87 encoches. Carver n’a pas de fusil. Son arme : son charme. Igor, déjà saoul, confectionne des moscow mule.
Igor : « Tu as tué mon père, tu as tué ma mère, tu as tué mon peuple ! Et tu as volé l’épée de mon père ! »
Mina, Igor, roucoulent. Carver dort mal. L’homme à la tête de chat inspecte la ligne de front, monté sur son buggy, chromé, hilare. Il peut.
Et on raconte que dans Ulthar, de l’autre côté de la rivière Skaï, aucun homme n’a le droit de tuer un chat.
Mina, Carver, Igor (et un autre type bizarrement constitué) sauvent le monde. Encore.
Nudisme. tourgueniev.com/2003/08/08/1098
Hey Jim ! Ici c’est très bon ce soir.
Et le sourire de Rose, au Docteur.
Mina dans sa jeunesse, aventureuse, possédait papa libraire bien pratique pour fournir munitions intellectuelles, cocktails molotov, en kit.
Devoir : sortez de vos conapts, au moins allez à la fenêtre, imitez le cri de votre totem, le plus fort possible. Déguisement possible.
C’est l’aube. Les dernières rations sont distribuées aux miliciens ardéchois. On arme la phalange turco-suisse. Dans le bunker : frissons.
Le mystérieux manager androgyne de Mina et ses Minettes, Carver, hantait le backstage, ses pupilles, énormes, ses amulettes, mortelles. Si.
J’ai cru entendre je t’aime.
J vs tien o courènt dè ke j finie merci.
I’m a flesh eater.
Un vecteur de transmission idéal de la grippe A : les stylos dans les bureaux de vote. L’abstention, l’ultime obstacle à la pandémie ?
Une plume de grive, une brindille sèche de saule et une corde de chanvre pour les nouer ensemble. Ajouter quelques brins d’ADN. Brûler tout.
Les femmes de l’Oude ont les désirs les plus impétueux, leur semence coule avec abondance et elles y aident par des médicaments.
Causer des animaux qui te regardent dormir. Lui : « Ne t’inquiète pas, ça ne fait que commencer. » Elle : « Weirdo, va me chercher une glace. »
Mina entretenait une relation si complexe avec Carver qu’elle en arrivait à douter de la possibilité de sa réalité. Igor, dans le TGV, pose.
A4 – elle a coulé mon chalutier. On se demandera pourquoi les chants de Noël des plutoniens sont si tristes pour un peuple si gai, pourtant.
Igor à Mina, boudeuse : « tu me bouleverses. »
Dans la rue, Ebola.
Dans son bureau, forcément ovale, l’homme à la tête de chat compte, calcule. Par la baie vitrée, on aperçoit les lueurs de l’aube, les feux.
Nous remontons à la surface avec nos combinaisons intégrales. Carver est en larmes, Mina serre les poings, je pousse la dernière trappe. Nous sortons du bunker. Dehors le ciel est violet, la pluie noire, les bâtiments relativement intacts. Nous sommes les derniers zombies. Enfin.
Carver, Mina et l’homme à la tête de chat, le carré des étrangers, journée grise et lourde. On jette de la terre sur le cercueil, Igor. Fin.
Tu as oublié de boire beaucoup d’eau fraiche. En finnois. 50 secondes avant, laisser passer la jambe.
L’entropie peut être interprétée comme la mesure du degré de désordre d’un système au niveau microscopique.
We Shall Abovecome ! (dictons tourgueniste)
Dans la forêt voisine, on avait ramassé des cailloux allongés. On les avait alignés devant le bunker. On se cachait derrière pour faire feu.
Et dans le ciel, une ville.
Mina : « Les mangas c’est plus des discussions bergsonniennes ».
brume comme une forme vague / ça ne me porte pas vraiment / couler pierre ronde noire / coup de dés et abolir le hasard / blablabla #milice
Étrange de prendre connaissance des détails de la destruction de sa vie commune via un site dont on est le concepteur-webmaster. #hell
Igor, la tête dans la gueule, du lion.
Carver couvert(e) de cendre termine sa première pellicule 24 poses. Fujichrome Sensia 200 avec son vieux Nikon N8008s et Nikkor 50mm f/1.8.
Twitter me permet de raconter au monde exactement ce qui arrive au moment où ça arrive. L’important c’est l’objectivité de l’observateur.
Petit déjeuner dans les ruines. t.co/MSu75e6W
N’allez pas sur la lande tout seul, Lord Baskerville. t.co/eLJsN3uW
Et dans le salon déserté, une petite voix, sortant d’un casque, posé au sol. Par la fenêtre, les dirigeables noirs. t.co/d7Nz5d7r
Déjà quatre hivers à ne savoir que faire.
En 1950, Sri Aurobindo a quitté son corps. Quelqu’un l’a-t-il retrouvé depuis ? Les cagoulards depuis les anciennes carrières fomentent.
Allons nous allonger.
Martine Aubry retrouve son labrador 12 ans après qu’on lui a volé. Un message de la SPA de Longvic. « C’est à propos de votre chien ! » #eu09
Kaboul de neige.
Sortir du bunker, passer le champ de mines, s’extraire du brouillard en souriant. Retrouver le soleil, de nouveaux horizons. Libres, enfin.
Fatal error: Call to a member function getTrailAsList() on a non-object in /home/www/forum/modules/forum.modules.threads.trail.php on line 7
Commisération de coalition de circonstances plurielles (live). ♫ blip.fm/~4u0v5
Carver : « Aujourd’hui, marathon NERDZ sur @NolifeOfficiel « . Mina : « Montre-nous, Dagobert, ce que tu sais faire ». Igor : « Ouah ouah ! »
Saudade.
Alors sortir dans la neige, pieds nus, danser le tango de l’entropie, yeux dans les yeux, sourires en coin, libres, beaux, roupés à mort.
La nuit.
Igor et Carver, bord de mer, polluée, métaux lourds et poissons morts. Coucher de soleil sur champignon atomique. S’enlacer pour oublier.
Igor laissait tout le monde tranquille : angine blanche.
Ashes to ashes.
La Fédération des Tourguenistes Informels vous souhaite de bonnes fêtes révolutionnaires zé molletonnées.
Dirigeables dans le ciel, typiques signes utopiques. Pleine lune, il fait bien trop chaud pour Carver, plainte. tinyurl.com/dzyro2
Et soudain, plus personne. t.co/SfJ7d96Z
La nuit sur France 5 parfois avant la Guerre des Brimades pour parler de nu les gens qui parlent étaient nus. Parfois. Avant. Nus.
Déjà vu.
There’ll be a war tonight.
La nuit, avant. tourgueniev.com/2003/08/07/1090
S’égarer dans une forêt, la nuit. Vraiment se perdre. Allumer une balise GPS. La fixer au dos d’un tigre non castré. S’éloigner super vite.
Chloe et Lydie nous renversent en la chapelle. C’est la littérature. #labaule
Raclure : Petite parcelle que l’on enlève d’un corps en le raclant. Fig : déchet.
Et donc. Hiatus.
Du coup je.
Deux mots : saucisson et chocolat. Sagesse. (thx @ioudg)
Trop de mauvaise poésie tue la mauvaise poésie.
I have no plans to meet you babe,
I had a million things to do babe,
But it hit my heart with a harpoon,
I wish that i could see you soon
Sur la table : une boite, noire. Dans la boite : cinq millions de nanomachines plutôt agressives. A la porte, les miliciens flous. J’hésite.
Rouge.
Une gang de pyromanes se croit au paradis, Put your troubles down, It’s time to celebrate, Let love shine et vive et vive le feu.
C’est une plaque tournante avec des ramifications internationales, particulièrement avec le Centre de Recherche Post-Dostoïevskien.
Mina, sourire en coin, contemple les flammes, la fumée, les chants, les rires, toute la nuit, debout, sur la barricade, ardente : Victoire.
Igor, levé dès l’aube, s’aventure prudemment dans Jérusalem. C’est noël, la neige recouvre Southampton bien mise à mal par les bombardements alliés. Restés à l’hôtel, Mina et Carver inventorient les munitions, les provisions, le sel. Les rues charrient les espoirs de l’an passé.
Mina, Igor et Carver, ce matin gueule de bois. L’homme à la tête de chat prépare une infusion. Préparer sacs de sable et cocktails. Molotov.
Padam padam padam.
La colline a des yeux. tweetphoto.com/37416553
Et tu piques vers le sol en chute libre…
Monde petit, etc…
Jou m’appelle Igor, Carver ou Mina et jou sommes des personnages de fiction. Eh bien ! Hal’, quelle heure se fait-il, mon garçon ?
L’homme à la tête de chat, au piano, aimait nous interpréter d’antiques chansons pop d’avant la guerre. Carver l’accompagnait au triangle.
Have no fear Doc Savage is here !
Nous nous tenions la main, un sourire aux lèvres, lunettes sur le nez. Depuis le toit du supermarché les explosions lointaines, si belles.
Mina et Igor roulent vers Toulouse. Dans le ciel, les dirigeables veillent. t.co/nYeYPnP3
Tous les vendredis, Igor organisait des karaokés survoltés dans son living. Il ne laissait jamais personne chanter sur Indo. #ragots #luxe
Don’t blink !
À minuit, tous les agents…
Programme d’étude pour la nouvelle année : réflexion autour de la notion de Mana.